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SoS Homme en detresse, ou pas ... !

[RP] Une aide à demi mot.

Kerns
[Un périple de plusieurs années]


La noblesse octroyait bien des passes droits, dont on ce privait bien rarement.
Kerns était l'un de ces nobles, qui s'octroyait tous les droits qui lui était du à son titre, du moins au titre de sa famille, car les titres il ne les avait pas encore acquis et cela était encore bien loin d'être le cas.
Mais tout cela lui passait bien au dessus de lui, s'occuper de tous les devoirs que lui incombe ces fameux titres il le laissait au reste de la famille, loin d'être désireux de reprendre en main la famille après le décès de ces parents, ceux ci qui avaient décidé d'octroyer ces fameux titres à sa sœur cadette Prinne pour d'obscure raison qu'il ne comprenait guère.
Tout ceci ne l'empêchait aucunement de profité de sa vie de liberté au près de libertines.
Il était libertin, il parcourait le royaume de France au fils de ces mœurs, dépensais ses écus en nombre de tenues, de femmes, de boissons et d'obscures substances planantes.
Son régime de vie était à outrance, et pourtant il gardait un corps sublime qui ne marquait pas de ces excès.
La fortune de la famille était pour lui inépuisable jusqu'au jour où ces rentes lui on été supprimer et ce jour arriva bien trop vite à son goût !
Arriver sur le Comté du Béarn, Kerns ce retrouvait sans le sous, muni d'une malle contenant ces tenus et d'un cheval, ainsi que de sa sous fifre qu'il avait embauché durant ces années de débauche.
Il du prendre un logement dans une auberge miteuse qui lui accordait le droit d'être logé sous la condition de travailler et de le payer dès son salaire reçu.
Des conditions de vie qu'il exécrait au plus haut point !
Il ce devait retrouver son honneur, mais surtout des titres et des terres pour ce sortir de ce troue à rat que sa famille l'avait plongé !




Pour amasser de quoi vivre et partir de cette ville il en fallait du temps !
Et du temps il en avait pas assez pour pourrir ici, malheureusement pour lui, il n'avait pas d'autres options dans la manche.
Entre deux travailles il retournait dans la taverne qui lui semblait la plus accueillante, mais celle, surtout, qui offrait une bière buvable et qui pouvait étancher sa grande soif.
Durant ces nombreux séjours en taverne il fit la rencontre d'au moins deux personnes, du moins celles qu'il croisait plutôt régulièrement.
Une chef maréchale, du moins dirions nous LA chef maréchal, car ils ne couraient pas les rues dans cette ville.
Puis la curette, une dame bien discrète, mais charmante à regarder.
En connaissant le rustre qu'était Kerns, il était étonnant de savoir deux dames tenir compagnie à cet homme non charmant de son langage crue et pourtant, peut être à son grand malheur, il n'arrivait pas à ce départir de celles ci !
Ceci dit, il ne s'en plaignait guère plus que cela, il avait de quoi ce rincé l’œil de temps à autre et de ce faire offrir de quoi boire et manger par moment.
Plus le temps passait, plus il ce les coltinait, plus particulièrement l'une d'entre elle, qui lui témoignait chaque jour son attirance envers lui et chaque jour il ne cessait de l'envoyer dans les roses à sa manière bien directe.
Mais Le Très-Haut avait surement des comptes à lui rendre, car la bougresse lui tenait la jambe plus que quiconque, à un point qu'il ne savait plus comment ce départir de cette pintade !
Aucune solution ne lui était permise, coincé dans cette ville les poches vides.
Après plusieurs jours de réflexion il du ce résoudre à appeler sa famille à la rescousse.





Ma Très Chère Soeur Prinne d'Ailhaud,

Il est bien longtemps que je n'ai pris de vos nouvelles !
De ce fait il est temps de me rattraper dans cette besogne.
Comment ce porte donc notre famille et leurs terres ?
Fortune et bon gens tiennent il la maison convenablement ?
Nos sœurs ont elle pris maris bien riche et bien nobles ?
Conçoivent elles nombres d'héritier qui conviennent et ne possédant aucune tares ?

Il me tarde de vous revoir, ainsi que la demeure !
Venez donc me retrouver à Lourdes, en ce beau Comté qu'est le Béarn, vous verrez, ici la vie y est reposante et religieusement agaçante intéressante !
Vous y prendrez rapidement goût !

Dans l'attente de vous lire mais surtout de vous recevoir,

Votre inconsidéré et aimable frère,





Il rongeait difficilement son frein en écrivant cette lettre plein de politesse à sa sœur qui tenait les terres et les richesses de sa famille, mais à l'heure du jour, il n'avait plus d'autres choix qui s'offrait à lui.
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Bibliothèque
Prinne.
Elle vaquait au comptage des écus familiaux, son activité préférée quand un messager se fit annoncer. Elle réceptionna le pli et reconnu l'écriture. S’asseyant confortablement elle en prit connaissance.

Elle arc un sourcil et sourit en coin. Son frère demandait des nouvelles, en fait c'était un message codé pour lui demander encore des écus. Soupirant elle prit un vélin et lui fit une réponse Prinnesque. C'est a dire, claire, nette, précise et dénuée de toute diplomatie.

elle se demandait vraiment ce qu'il pouvait bien faire des 1000 écus de rente qu'il recevait tous les mois.


Citation:
De Nous Prinne d'Ailhaud, Duchesse de Coutances et d'Epernon, Vicomtesse de Saint-Omer et de Montbron, Baronne des Botteraux et d'Arques,
A Vous Kerns d'Ailhaud, frère ingrat, chasseur de pintade et arriviste de son espèce,


Salutations!

J'ai bien reçu votre courrier qui m'a doucement amusé. Je puis vous assurer que nos terres se portent à merveille grâce à mes soins et ceux des intendants qui m'aide dans cette lourde tâche.

Nos soeurs n'ont point encore prit mari, je n'arrive pas à leur trouver un parti convenable qui ne fuit pas aussi vite qu'il est arrivé. Et je ne puis compter sur votre aide dans cette lourde tâche, Reconnaissez que vous n'êtes point un modèle en la matière.

Je sais que votre courrier cache un soucis qui, j'imagine, doit être d'ordre pécuniaire. Vous recevez vos 1000 écus de rente par mois et vous n'aurez pas un écu de plus avant la fin de Février.

Si vous désirez avoir plus de rente, trouvez vous une femme digne et noble qui saura vous supporter et vous épouser. Surtout vous supporter!

Nous allons venir vous rendre visite à Lourdes. Ne croyez pas que ce voyage me fasse plaisir mais il est temps que quelqu'un se charge de prendre les décisions pour vous.

Faites nous préparer maisonée digne de Nous. Il ne saurait être question de loger dans une auberge à la propreté douteuse. Nous aurons à discuter de vostre avenir.

Fait à Coutances, le 12 février 1466



Elle fit convoquer le chef de la garde pour qu'il organise transport et fasse préparer le Dragon Rouge. et elle fit remettre un courrier a Camille.



Très chère Camille,

Nous partons demain rejoindre nostre Frère à Lourdes. Ma camériste va venir aider la votre à préparer vos affaires.

Prinne


Il l’agaçait à un niveau jamais atteint, et pourtant elle en avait croisé des abrutis en politique qui avaient réussi à venir à bout de ces nerfs, mais lui il était hors catégorie. Peux être par leur lien de sang elle avait une tendresse pour lui mais elle aurait préférer devenir pauvre et gueuse plutôt que de lui avouer cela.

Elle fini ses comptes et mit les affaires familiales en ordres avant d'aller préparer le départ. Grégoire viendrait avec elle. Elle en avait été séparée bien trop longtemps et le petit adorait voyager. Il aimait être avec Gezekell son percepteur et sa soeur devait découvrir son neveu.

Ce fut tout une expédition qui prit le départ le lendemain matin à l'aube pour un voyage d'au moins 1 mois.

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Kerns
La réponse ne ce fit guère attendre bien longtemps.
Un messager arriva à la modeste auberge où vivait Kerns, il vint à sa chambre et y frappa quelque coups à la porte.


Monsieur Kerns ? J'ai un message pour vous, on m'a indiqué que vous habitiez ici.

Un bruit sourd ce fit entendre derrière la porte, un bruit ce rapprochant d'avantage.
Celle ci s'ouvrit d'une violence inouïe face au messager qui ce trouvait en face.

Monseigneur Kerns d'AILHAUD ! Et je ne VIE pas ici ! Je ne suis que de passage ! Notez le donc et faite arrêter l'imbécile qui vous à donner ces informations !

Tremblant et ne sachant quoi faire, il restait aussi muet qu'une carpe, bloquant littéralement sur cette impressionnante stature.
Un grognement en réponse à cette incompétence.
Il attrapa le sac du messager le soulevant légèrement de terre, il farfouilla dedans cherchant une lettre portant son nom.
Ayant réussis à mettre la main dessus, il la récupérera et retourna dans sa chambre pour la lire, claquant la porte fortement au nez du messager, le laissant pantois.

La Lecture de celle ci, fit légèrement sourire Kerns entre quelque frustrations.
Il connaissait plutôt quelque peu sa sœur, ce doutant parfaitement qu'elle penserais à un problème d'écus, ce qui n'était guère faux non plus, mais son problème, était à ses yeux, plus important que son problème pécuniaire.
Une chose était assuré, sa sœur serait prochainement là, il avait enfin une porte de sortie !
Mais au grand damne il ne fallait surtout pas qu'elle tombe sur la cinglé qui lui collait les bottes sans arrêt, au risque qu'elle ne décide de le marié à cette bougresse pour une quelconque vengeance, il fallait donc trouver une issue de sortie qui lui échapperait cette torture.
Prenant plume et encrier il ce lança dans une réponse qui ce voulait sur la même ligné de courtoisie.






Ma chère soeur Prinne d'Ailhaud Duchesse de Courtances et Truc,
Vicomtesse de Sainte Boulasse et son compagnon, Baronne des Buveurs et Soulards.

Salut !

Quelle ravissement de vous lire en ce jour miteux,
Sachez que vous me ravissez en m'écrivant que nos terres ce porte à merveilles.
Un Ravissement qui m'extasie !

En ce qui concerne nos chères sœurs, il serait bien temps qu'elle trouve compagnon ET comme vous avez bien pu le noté, je suis fort bien mauvais juge pour leur trouver mari convenable ... ! Je ne suis guère une femme qui s'amourache de n'importe quel gus qui écrit deux lignes de poésie romantique.

Parlant de Mariage et vous sachant désireuse de me voir enchaîné à une donzelle, auriez vous trouver pintade convenable pour mon illustre personne ?
Si vous souhaitez avoir moult marmots à élever en mon nom, il me faut me mettre à l'oeuvre rapidement ! Au risque d'avoir moult pintades infertiles, il me faut les essayer.

Vostre Incontournable frère,




Il la plia en huit, une ânerie qui emmerdiasserait bien sa sœur.
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Bibliothèque
Prinne.
Une mouette vient s'écraser contre le mât du bateau. quand la bête atterri lourdement sur le pont un des matelot lui porta et le volatile et le message qu'elle transportait. Pauvre bête, elle était sonnée. Prenant le courrier elle dut se retenir de rire devant la courtoisie fraternelle. Ce n'était qu'un prêté pour un rendu.

Se rendant dans sa cabine elle fit amener son écritoire de voyage et porta réponse à kerns.


Citation:
De Nous Prinne d'Ailhaud, Duchesse de Coutances et un tas d'autre titres,
A vous Kerns, frère dans la misère à la politesse poétique,


    Salutations!

    Très cher frère,

    Je pense avoir trouvé une jeune baronne qui saurât être une épouse parfaite pour vous. Elle à le corps d'une parfaite pintade reproductrice et des manières, elle!

    Je vais prendre contacte avec sa famille pour organiser une première rencontre et que nous puissions discuter des modalités du mariage.

    Nous serons vers vous d'ici une quinzaine de jours.

    Je fais joindre au courrier une caissette pour le logement réclamé dans mon précédent courrier.

    Bien à vous!

    Votre soeur aimante.


Elle prit la mouette aller, pour la renvoyer à l'expéditeur après l'avoir fait nourrir. Elle sourit en la regardant partir, son plan ce mettait en place et le frère serait marier que cela lui plaise ou pas.

En fait elle avait menti sur la dite baronne. Aucune jeune fille saine d'esprit ne voudrait de l'ours. Mais quoi de plus amusant que de lui mettre la pression. Connaissant son caractère il chercherait lui même une pintade à lui présenter. Mais pas grave, pour une fois il aurait fait un effort. Et cela, ça n'avais pas de prix!

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Kerns.ailhaud
Un nouveau jour, une nouvelle missive ...
Il ce demandait à qui cet homme bien effrayant pouvait écrire.
Il était certain que ce ne devait pas à être à une jeune demoiselle pour la courtiser, comment pouvait on tomber amoureux d'une brute pareil ?
Sur le chemin pour arriver à l'auberge où logeait le Seigneur sans sous, le messager ce posait milles question sur cette échange, une intrigue qu'il espère, un jour, percera !

Arriver devant cette porte, il frappa trois coups puis annonça, ayant retenu la leçon de la dernière fois.


Mon seigneur Kerns d'Ailhaud, une nouvelle missive pour vous... !

Il n'avait pas plus osé que cela et n'intervint pas pour ouvrir la porte, ne sachant ce que cet illustre homme pouvait bien faire dans cette chambre, ne sait on jamais, le perturber dans une quelconque affaires ... Il y risquerait sa vie !

Des pas lourds arrivaient à la porte qui s'ouvrit sans manière, puis il fit face à cette montagne humaine, pleine de muscles et de poils.
Sans même prévenir il lui arracha la missive puis claqua la porte à son nez.


Dans sa chambre, il s'installa sur son lit, s'étalant comme un rien, décacheta le cachet de cire sans ménage et en lu le contenu.
Il manqua de s'étouffer lorsqu'il lu le mot mariage.
Fichtre sa sœur avait réussis à le devancer, il fallait maintenant remédier à une autres astuce pour évité la catastrophe !

Il s'empressa de quitter sa couche et de s’asseoir à son ridicule petit bureau, bien trop petit pour sa carrure, il prit plume, encrier et parchemin pour répondre à sa sœur, cogitant tout ce qu'il pouvait pour trouver une porte de sortie à cette catastrophe en court de réalisation.






Prinne,

Quel talent vous avez là en ce qui concerne à trouvé compagne à votre frère bien aimé, mais apparemment un talent qui ne fonctionne qu'avez les femmes car nos jeunes sœurs n'ayant aucunement maris à l'heure du jour ... Auriez vous certaines tendances obscures que je ne connaîtrais point encore ?
Non point que je vous jugerais, mais j'y comprendrais fort bien certaines choses.

En ce qui concerne le mariage avec cette ... Comment s'appelle t'elle donc cette Baronne ?
Une Baronne d'autant plus !
Au vue de vos talent, je vous conseil fortement de me trouver un rang bien plus important pour garder toute la splendeur de notre famille, à moins que vous souhaitiez courir au scandale.

Pour l'heure, je ne prendrais donc aucunement en considération la demande de cette poule pondeuse.

Pressez donc le pas si vous souhaitez profitez de cette ville pleine d'éclats ... De joyaux !

Pour ce qui sera de votre logement, que vue de la petite caissettes, vous ne chercherez point à vous plaindre de me recherches et de ce que j'aurais pu vous dégoter.

Bien humblement,

Vostre Incroyable frère,



Ni une, ni deux, la missive repartit par le même messager qui était venu lui apporter la réponse précédente, car aimablement et consciencieusement, le pauvre homme était rester en face de cette porte, attendant pendant quelques heures la réponse du seigneur afin de ne pas le froisser.
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Bibliothèque
Prinne.
Autant son frère pouvait l'ignorer et ignorer ses devoirs, autant quand il n'était pas satisfait il se manifestait. Elle ne put réprimer un sourire en lisant le courrier retour. Ah oui là il était clairement pas content.

Prenant un vélin elle envoya réponse via le messager qu'elle avait envoyé serestaurer dans les cuisines.


Citation:
De Nous prinne d'Ailhaud, soeur inquiète de votre avenir et surtout de celui de la famille,
A vous kerns d'Ailhaud, frère insatisfait,



    Mon très cher frère,

    Sachez qu'il est bien plus compliqué de jeter une de vos soeur en pâture à un éventuel mari. Je ne puis que vous rappeler que la famille de la mariée doit donner une dote.

    Concernant les hommes, cela est moins contraignant et de plus c’est nous qui recevrons la dote. Vu votre caractère et vos manières, soyez assurés qu'elle ne sera pas très élevée.

    De se fait vous vous contenterai de cette charmante Baronne. Si cela ne vous sied pas, je vous en prie, revoyez vos manière et peux être pourrais-je vous trouver meilleur parti.

    On ne peux avoir le beurre, l'argent du beurre et le séant de la crémière sans devoir faire un minimum d'effort.

    Nous serons là d'ici quelques jours.

    Bien à vous

    Prinne


Messager reput et courrier scellé, elle retourna vaquer à ses occupations. La réponse ne se ferrai pas attendre c'est certain.
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Kerns.ailhaud
Le messager, de nouveau présent devant cette porte de bois, prêt à s'annoncer au fameux seigneur.

Mon Seigneur Kerns d'Ailhaud, une missiv....

L'homme arriva derrière lui, le messager ce figea et n'osa parler, donc sans ménagement il pris la missive et alla la lire dans la taverne, à l'étage en dessous.
Cette histoire lui faisait grincer les dents, il prit donc le temps de répondre à sa sœur.






Ma chère chieuse de sœur adorée,

Pensez donc à carré la proposition de cette affreuse et mystérieuse Baronne dont je ne souhaiterais aucunement voir le portrait en peinture.

A ce jour votre aimable frère restera le célibataire le plus populaire du royaume, tant qu'une personne de haut rang ne me satisfera point.

Travaillez donc à la recherche pour les épousailles de nos sœurs, la dote de nos sœurs prendront preneur, trouver donc un noble titré et endetter, vous verrez qu'il ne rechignera pas au mariage !

Je vous est trouvé une merveilleuse place au couvent de lourdes pour votre séjour, vous y serez convenablement reçu, ils aiment la simplicité la bas.

Vostre frère aimant.




Il cacheta la missive et la rendit au messager, lui offrant quelque piecettes pour qu'il puisse s'offrir à boire afin de le remercier de ses services.
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Bibliothèque
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