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[RP] Chez maître Ogier - artisan boucher.

Ogier_le_boucher
Une petite échoppe faite de bois et de mortier ferme en cul de sac une ruelle étroite parisienne. La boue dans la ruelle et quelques restes d'abats et d'os forment le sol à l'entrée de chez le vieux Ogier.

Ici il ne faut pas regarder la qualité de la viande, mais la quantité. Parfois le boeuf est du porc, le rat est vendu sous le nom de lapin et certains morceaux de viandes ne sont pas animal.

A l'intérieur l'odeur du sang et de la sueur vous prennent à la gorge.


Balisage "[RP]" fait par {Amaterasu}. MP à venir.
Simeon.charles
        Paris, Boucherie de maître Ogier – Au moment M


Ogier était un de ces vieux routiers qui avaient décidé de s’installer après une énième campagne en région parisienne. Comme tous les gens de guerre, l’ancien mercenaire avait eu du mal à s’établir socialement. Il était vu comme un pilleur par ses voisins, comme un coupeur de gorge par les autres. Aucun artisan ne voulait le prendre dans son atelier, bien que plus jeune fut-il un bon apprenti cordonnier. Il avait donc réalisé quelques travaux qu’on confiait qu’aux gens d’armes désargentés afin d’amasser un pécule pouvant lui offrir un toit. Marqué par le sang de la guerre, Ogier avait vite fait de son échoppe une boucherie afin de pouvoir vivre honnêtement, ou presque. Le boucher avait lors de diverses campagnes combattu dans les mêmes rangs d’un autre homme de guerre : Siméon, bascon du Livel-Rees. Les deux hommes s’étaient liés d’amitié et parfois le bâtard fournissait quelques écus et quelques carcasses humaines un peu trop encombrantes au boucher.

Ce jour, le vieux bascon était allé trouver le vieil Ogier afin de lui demander un service d’autre nature : son arrière-boutique qui servait à la fois de chambre et d’entrepôt. Paris n’étant pas le lieu préféré du vieil artésien, il devait se rabattre sur des lieux comme celui-ci pour des rencontres sures.

C’était donc dans l’arrière salle que le vieux, désormais marquis, attendait la venue de la Casas à qui i avait fixé rendez-vous. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas vu la gitane, écuyère en devenir et surtout fidèle alliée. Mais s’il l’avait invitée à le rejoindre ce n’était pas pour lui conter fleurette, ni pour prendre des nouvelles. S’il l’avait conviée, c’était bien pour une idée qui avait germée dans sa tête depuis un moment.

Farfouillant dans les affaires du boucher parisien, par curiosité et surtout pour palier à l’attente dont il n’était pas friand, il découvrir trois beaux poignards qu’il savait être des armes redoutables dans les mains de son ancien compagnon de bataille. Si lui avait été un lansquenet, Ogier lui était un coutillier, achevant les hommes au sol à la suite d’un lancier. Il savait aussi, que ces poignards-là étaient la solution aux problèmes de quelques riches commanditaires.
Il en tira d’abord un de son étui, puis les autres. Il visa alors une des carcasses suspendue et d’un lancé précis il planta le premier couteau dedans. Le second lancé fut plus malheureux et percuta le mur derrière. Le troisième rebondit, manque contre viande avant d’atterrir au sol.


Bordel de merde.
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En refonte !
Axelle
Une chose était certaine. Depuis la Gascogne, la manouche était plus encline à tirer la tronche qu'à rire aux éclats. C'était ainsi. Que ça plaise ou non, elle n'en avait rien à carrer. Il fallait bien dire que si elle tentait de n'emmerder personne, ou du moins le moins possible et ce dans la limite du raisonnable – enfin selon elle, d'où la relativité de la chose - elle ne supportait pas qu'on vienne l'ennuyer. Et purée, combien elle l'avait été, ennuyée, pour rester poli. Et les effets avaient été assez dévastateurs, lui faisait prendre goût de beaucoup.

Pourtant, ce jour-là, installée derrière sa table au cabinet des confections royales, elle n'en finissait pas de gigoter, d'aller et venir, une oreille accrochée aux cloches de Notre Dame. Les toiles, elles, restant irrémédiablement vierges de tout coup de crayons. Et quand enfin sexte sonna, elle laissa tout en plan pour filer. Furie rouge traversant le Louvre, un sourire clair accroché à la trogne.

Sourire qui s’envola en une flopée de jurons en passant l'infect seuil de la porte du boucher. Pas qu'elle soit coquette, non, ça se serait su sinon. Mais foutre sa robe en l'air en pataugeant joyeusement dans les restes d'abats et d'os signifiait devoir se coltiner de nouveau les salons d'essayages. Et ça, il n'y avait rien de pire. Pourtant, elle aurait dû se douter que Siméon ne lui donnerait pas rendez-vous dans un petit salon de velours pastel pour s'empiffrer de macarons. Plissant furtivement le museau sous l'odeur lui tirant les larmes des yeux, elle posa son regard noir sur le vieil Ogier et lâcha un simple :
« Casas ». Un menton piqué de poils mal taillés lui indiqua la direction de l’arrière-boutique. Les politesses d'usage s'arrêtant là, la manouche se glissa dans la réserve.

« Bordel de merde. »

Un sourire glissa au coin de bouche alors qu'elle avança pour ramasser le couteau.


Moi aussi je suis heureuse de vous revoir Chevalier. Et de tendre le couteau en le tenant par le bout de la lame. Surtout si vous me proposez un concours de lancé de couteaux, vu que je vais devoir me racheter une robe.
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Simeon.charles
Avait-il été surpris ? Un peu, beaucoup même. Mais il ne le montra pas et se redressa un peu mieux, fier qu’il était.

Salut Casas ! Non je ne souhaite pas vous défier aux couteaux, je sais que trop bien vos talents à ce jeu-là et je ne suis pas pigeon à aimer se faire plumer.

Bien qu’il avait une confiance absolue en ses dons de guerrier, il savait bien que la gitane était bien plus habile que lui pour envoyer un poignard droit dans sa cible. Il se retourna vers elle, et bien qu’une de ses mèches noires comme les ténèbres parsemée de cheveux blancs lui couvrait une partie du visage, elle pouvait distinguer son un sourire affiché sur sa gueule de tueur compulsif.

Puis, elle vous va à ravir cette robe, pourquoi vouloir la changer ? Vous n’avez pas tant grossie rassurez-vous.

Pour éviter de se prendre un taquet en retour à son petit pic, il tendit une main impérieuse en direction d’un tabouret, afin que son écuyère puisse prendre place. Lui même alla s’installer sur le banc voisin. Il ne l’avait pas vue depuis les événements à Bouillon et bien qu’elle lui avait écrit plus d’une fois sa fidélité, il avait besoin de voir un peu mieux en elle et surtout de lui montrer qu’elle pouvait toujours lui faire confiance.

Je vous ai demandée de venir pour une bonne raison Axelle, une raison qui peut faire mal un peu à l’égo, à l’honneur, mais qui dans sa finalité sera bénéfique à nous deux.

Ses fesses s’écrasèrent sur le banc et celui-ci grinça alors que l’ancien chevalier l’avança plus prêt de la table.

Axelle, êtes-vous encore et toujours loyale à ma personne ? Etes-vous encore et toujours désireuse de me servir, qu’importent les tempêtes, qu’importent les dangers ? M’êtes-vous toujours dévouée corps et âme ? Etes-vous toujours volontaire pour apprendre à mes côtés, pour combattre à mon flanc ?

La mine se fit plus ferme, l’œil couleur vipère non-bandé de la fronde plus perçant.

Sachez que je ne doute pas de vous, mais je pourrais comprendre que les derniers événements aient pu vous refroidir.
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En refonte !
Axelle
Ronchonner pour la forme, la manouche savait faire et ne s'en priva pas, glissant un regard faussement courroucé vers son cul, comme pour s'assurer qu'il était toujours à la hauteur de sa fameuse réputation. Mais les taquineries des retrouvailles s'arrêtèrent là. Et elle écouta, chaque mot, chaque syllabe, avec la plus grande attention quand pourtant elle savait bien le passage obligé avant même de venir.

Un instant elle se tut, se contentant de regarder cet homme qui la poinçonnait de son œil vert. Tout aurait dû être facile et simple et, jamais, ils n'auraient dû se retrouver dans une pareille situation.

Cet homme-là avait gagné sa confiance sur les contreforts d'Angers. Cet homme-là, en six mois, lui avait plus appris bien plus qu'elle ne l'avait espéré. Plus qu'elle n'avait seulement pu l'envisager. Cet homme-là, en six mois lui avait appris combien il pouvait être dur et sévère, mais aussi juste, attentif et généreux. Cet homme-là, pouvait-être impulsif, agir sous le coup de la colère, cette facette là aussi il l'avait montré. Point commun entre eux, sans nul doute. Cette facette-là, il l'avait payé cher. Trop cher, quand elle était pourtant la couronne de la franchise. Quand elle n'avait été certainement que prétexte aussi pratique que présagé et attendu. Mais de quelques mots oubliés ça-et-là, il avait dans le même temps su démontrer savoir se remettre en question. Cet homme-là, elle ne voulait pas le perdre. C'était aussi simple que cela. Et c'était finalement bien pour cela qu'elle ne cacherait rien d'elle.

Enroulant son mollet autour du pied du tabouret elle s'avança aussi vers la table et hocha doucement la tête.
Je sais que cela sera difficile. Mais je sais aussi qu'il le faut. Si ma confiance dans le genre humain est ébranlée aujourd'hui, si vous me retrouvez méfiante, vous n'en êtes en rien responsable. Seuls les événements les sont. Et lentement elle remonta la tête pour ancrer le noir au vert.

Un jour, je vous ai demandé comment apprendre à être moins naïve. Vous m'avez répondu que la vie se chargeait de l'apprendre. Je l'ai appris.
Avoua-t-elle dans un plissement amer du museau. On vous a piégé, pensant certainement que sagement, je suivrai la file de la facilité, pour mieux vous harponner. Mais je n'ai pas suivi. Alors, cet avis que j'avais, cette vision de la situation qui s'est imposée à moi, n'ont servi qu'à vous accabler davantage en me désignant comme l'exemple parfait de vos soi-disant méfaits, me rabaissant dans le même temps à une petite chose idiote, indigne et soumise à vous, incapable de penser seule. C'est blessant. C'est humiliant. Au mieux, c'est sournois. Et s'il est quelque chose que je ne veux plus. Jamais. C'est cela. Alors, oui, les choses pour moi ont changé. Si ma loyauté se retourne contre vous, contre moi, alors je ne sais plus faire.

Elle inspira profondément avant poursuivre, mains posées à plat sur le bois sale de la table.

Alors, loyale envers vous, je ne sais pas si je le suis encore quand, si j'ai mis de la distance entre Clichy et moi, si le dialogue même est rompu, ce n'est pas pour les événements qui ont eu lieu à Bouillon, même si ce que j'ai vu là-bas ne m'a donné que la nausée. Mais j'ai compris aujourd'hui qu'être sincère n'était pas ce que l'on attendait de moi. C'est un choix entre vous et Clichy qui était attendu de moi. Choix que je n'ai pas fait tant les vraies responsabilités pour moi étaient ailleurs. Pour cela aujourd'hui, on me dit lâche et de mauvaise foi. Vous, le pensez vous aussi?

Son regard glissa vers le sol dans un haussement d'épaule évasif avant de revenir cueillir celui de Siméon, avec gravité.


Est-ce aussi ce que vous voulez de moi, un choix ? Pardonnez-moi cette question quand jamais vous n'avez jugé ni mes actes, ni mes mots. Quand jamais vous n'avez cherché à m'influencer dans ma décision sur Bouillon. Mais paumée, et peureuse, et pleine d'amertume encore, voilà ce que je suis maintenant. Si loyale est être soumise jusqu'à fermer les yeux sur mes propres convictions, alors, je ne veux plus l'être. Parce qu'on ne peut être loyale envers autrui sans l'être avant tout avec soi-même. Mais si, comme je l'espère, loyale pour vous est être vraie et honnête, même si désaccords il peut y avoir, alors, loyale envers vous, toujours je le suis, tant je ne peux être plus sincère avec vous qu'en cet instant.


Et elle se tût. Le point étant crucial, pour la suite des événements, elle ne pouvait répondre aux autres questions sans connaître sa réaction et son avis.

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Simeon.charles
Bien que le décor semblait glauque, bien que les faits que la Casas rapportait étaient tristes, le vieux Siméon ne put s’empêcher de rire aux éclats quand elle parla du piège qu’à Bouillon Sancte et Gnia lui avaient tendu. Son rire disparut aussi vite qu’il était venu, mais malgré son air sombre clairement affiché, une lueur amusée persistait à briller dans ses yeux.

Il l’écouta sans mot dire, jusqu’à ce qu’elle termine. Sa voix grave répondit alors.


Ne parlons plus des événements de Bouillon, nous savons tous et je savais dès la parution de l’annonce que je serai banni de l’ordre qu’importe ce que je dirais. J’avais même dit à Volkmar, il me semble, que l’annonce de mon bannissement devait déjà être scellée avant que nous allions au rendez-vous. Personne n’a été dupe. Ils sont bien trop peureux tous les deux pour risquer d’être mis en danger par un chevalier un peu trop aventureux, ils sont bien trop fiers pour se remettre en question, ils sont bien trop peu efficaces pour mener une troupe de guerriers, ils n’avaient besoin que de moutons. Alors baste, laissons-les avec les glorioles du temps passé, pour qui l’un n’a rien fait, pour qui l’autre fut trop absente.

Tenez pour rire une dernière fois afin de dédramatiser la situation, vous saviez que Bouillon fut un groupe de guerriers avant même que la duchesse n’y mette les pieds ? Il semblerait qu’à l’époque celui qu’on nommait le Balbuzard menait sa troupe avec Volkmar, Jusoor, Maud et quelques autres. A cette époque ils venaient de servir en Berry pour la Couronne et avaient été appelés à l’aide en Guyenne car là-bas c’était la guerre civile. Ils sont allés les aider, mais la veille de leur arrivée un combat s’est préparé opposant des guyennois aux montalbanais. Sancte menait une armée et une autre était menée par je ne sais plus qui.
Enfin, au moment des combats, le nouveau capitaine de Bouillon a baissé son oriflamme et s’est caché pour ne pas être pris ni blessé. Tous les autres se sont faits massacrer.
C’est ce qui m’a été raconté par des témoins de l’événement qui ont rejoint Bouillon par la suite.

Alors vous voyez, quand c’est ce genre de personne qui vient vous parler de comportement digne et de mentalité chevaleresque, je me dis que nous avons eu beaucoup de chance de ne plus faire partie de l’ordre.


Un autre petit rire se fit entendre en guise de conclusion.

Non Axelle, vraiment, la seule question qui me vienne à l’esprit, le seul choix que je vous impose est de savoir si vous voulez toujours me servir. Je vous ai prise pour écuyère dans l’idée de vous voir un jour adoubée. Je crains que pour l’heure je ne suis plus en mesure de le faire, car même si l’adoubement pouvait avoir lieu, aux yeux des autorités il n’aurait aucune valeur.

Il se tût un moment, les yeux d’abord rivé sur elle, puis le regard glissa jusqu’à ses doigts épais qui pianotaient sur la table. Il aurait dû la laisser réfléchir tranquillement sans doute, mais il eue peur que sa dernière prise de parole la refroidisse alors qu’il la voulait dans ses rangs, pour toujours.

Je ne peux pas vous faire reconnaître chevalier, mais je peux toujours vous former et j’en serais fort honoré. Je ne peux pas vous promettre un ordre nouveau et glorieux, mais je peux vous promettre de vous offrir une terre dont vous serez la dame. Un fief qui saurait vous apporter des écus, un fief qui saurait vous apporter la reconnaissance et la gloire.

Il la dévisagea de nouveau.

Je vous veux pour vassal, Axelle Casas. Je veux que nous soyons une entité guerrière. Moi j’ai toute confiance en vous, car pour moi vous êtes exactement la personne qu’un homme de guerre souhaite avoir à ses côtés.
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En refonte !
Axelle
Bordel que ce tabouret était dur ! Malgré la remarque Siméon, avait-elle à ce point maigri ces journées entières à Labrit à refuser tout ce qui se présentait à sa bouche, qu'il lui semblait que ses os se clouaient au bois ? Sans le moindre petit coussin de chair pour amortir le rustique de l'endroit ? Ou bien alors, devenait-elle déjà précieuse à arpenter les couloirs de la Maison Royale ? Si quelque chose la fit frémir, ce fut bien cette idée-là, même si du coup, les flans aux champignons du premier Maistre d'Hostel trouvaient une justification bien plus honorable que la seule gourmandise. Quoiqu'en fait, elle s'en fichait pas mal des justifications alors que ses yeux s'étaient écarquillés sous le rire du Saint Just, tête rentrée furtivement dans les épaules à la mode tortue, s'imaginant déjà prendre une volée de bois vert à une belle connerie qu'elle avait dû dire. Elle se tortilla sur sa chaise, tant pour déloger les os de son bassin de leurs mâchoires de bois que parce qu'elle n'était pas franchement certaine de l'accueil que recevrait son petit monologue. Mais sur ce dernier point, elle fut rapidement soulagée.

Chaque mot bien enregistré dans sa caboche, rassurée, sans le moindre doute sur les volontés de l'homme face à elle, les réponses quelques minutes avant pleines de prudence, se déversèrent sans plus de crainte.


Je le veux toujours. Lâcha-t-elle d'emblée. Toujours apprendre de vous. Toujours me battre à votre flanc. Qu'importe les dangers si la cause est juste et bonne. J'ai confiance en vous, je sais que vous ne m'enverrez pas à l’abattoir. Je sais maintenant que vous ne me demanderez rien que je ne puisse faire, sans me porter préjudice, à moi ou plus encore à mes proches. Puis relevant un museau amusé. Même si je dois encore me pisser dessus.

Et elle laissa le silence retomber, reprenant une mine plus grave. Elle avait dit ne plus vouloir de suzerain, mais les raisons étaient-elle encore vraies ? Avait-elle besoin d'une terre ? Non. Gitane faite Duchesse, son mariage lui apportait tout cela, et tellement plus encore. Voulait-elle gloire et reconnaissance ? Non, elle s'en fichait pas mal tant qu'elle ne décevait pas ceux qu'elle aimait. Elle savait en outre qu'une terre de plus ou de moins n'avait pas ce pouvoir, sans quoi, elle aurait pu les collectionner. Mais collectionner n'était pas ce qui l’intéressait. Non, l'important pour la manouche était ailleurs. A mille lieux même de ces considérations-là. Alors lentement, son regard quitta les doigts pianotant sur la table pour engloutir son regard dans l’œil vert lui faisant face, regrettant à cet instant n'en n'avoir qu'un où s'accrocher. Puis simplement, répondit.

Alors je vous veux, Vous, comme suzerain.
Laisser le passé derrière soi n'était pas simple, mais tel était le prix du futur. Et la manouche, enfin, le comprenait.
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