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[RP] Sacre de Sa Majesté Lemerco de Montfort-Toxandrie

Roxane2
Et de marmonner à la suite de l'officiante, étnnée de voir que c'était Lanaelle

Krediñ a ran e Doue, an Uhel-Meurbet Hallc'halloudek,
Krouer an Neñv hag an Douar,
An ifernoù hag ar Baradoz,
Barner hon ene war hor marv,
Hag en Aristot, e brofed,
Mab Nikomak ha Faetis,
Kaset evit kelenn ar furnez,
Ha lezennoù Doue an Hollved d'an dud dianket
Krediñ a ran ivez e Kristos
Ganet eus Maria ha Jiosep
Gouestlet en deus e vuhez evit diskouez hent
ar Baradoz deomp,
Goude en deus diwasket poanioù dindan Ponce
Eo marvet et verzherinti evit salviñ ach hanomp
Aet eo Da gavout an Heol el lec'h ma ao Aristot
en tu dehou d'an Uhel-Meurbet o C'hortoz anezhañ
Krediñ a ran Ober an Doue
E iliz aristotelek ha romanek
E komunion ar sent
E distaol ar pec'hedoù
Er vuhez peurbad
Amen


Puis le Saint Coffre fut amener et le Saint Radis présenté
Elle glousse en pensant au têtes de participant si cette sainte relique venait à disparaître

_________________
Roxane D'Alleaume de La Rosas Vicomtesse de Kerc'hfaou (Carquefou)
Arthibald
Arthi en eu marre du charabia breton dont il ne pipait pas le moindre mot, l’ennuie cérémoniel et le lustrage de séants par des langues tannées avait pris le pas sur le faste du sacre. Il prit congé pour aller se descendre quelques chopes de ses réserves de lambig.
Coldtracker
le Duc De Montfort s'envoya le crédo comme on s'envoyait une lampée de lambig.

Il était presque surpris, il avait été habitué aux surprises avec Lemerco.

Si le colosse De Montfort avait été dans toutes les campagnes militaires officielles, lemerco avait un palmarès pour les opérations noires.

Aussi le balafré se demanda quelle tournure allait prendre son règne.
Le tout avec une certaine sérénité .

Tout à ses pensées la dextre restait sur la poignée de sa dague, il était au plus près du futur Roué de Bretagne.

Autant reprendre les bonnes habitudes et protéger sa personne.
Discrètement.

M'enfin quand on frisait les deux mètres avec son passif militaire, la discrétion était une notion tout à fait relative...

L'ancien Maréchal De Bretagne esquissa un petit rictus à cette pensée,
tandis que ses yeux allaient et venaient sur ce qui rentrait ou s'approchait de l'autel.


_________________
https://www.youtube.com/watch?list=PL01C9D3CD185686B8&feature=player_embedded&v=6yj49byt7h8
Melianne
Mélianne suivait attentivement les indications de sa charmante voisine.
Son regard s'attarda sur Dame Rohan, ancienne duchesse. Elle la trouva austère mais sans savoir pourquoi elle ressenti également de la curiosité à son égard.


-" vous me raconterez plus tard ?
demanda t elle presque instinctivement
Vous devez savoir que je ne suis pas bretonne d'origine

Un homme se retourne et sourit à sa voisine

-" oh mais n'est ce point votre époux messire Barelius qui vient de se retourner ?
La rousse est toute contente de reconnaître une personne

-" je disais donc que je n’étais point bretonne. Ma mère était maire de saint Bertrand de Comminges en Armagnac et j'ai longtemps vécu à Orléans avant d'arriver chez nous.
Je dois vous paraître bien sotte mais je ne connais rien des us et coutumes...ni de la noblesse locale... ferez vous mon éducation ?


Elle passa sous silence ses véritables origines, non qu'elle les renia, mais cette histoire n’avait pas se place en ces lieux.
De plus, la jeune tribun était sincèrement désolée à cet instant de n'y entendre goutte à ce qui se passait autours d'elle et surtout qu'était cet étrange objet que l'on présentait à la foule ?
un ..radis ????
Ysaure_
Je vous raconterais plus tard oui...

Oui oui, voila c'est pas forcément lieu pour les papotages...

Un regard circulaire... Quoi que?!

Non je ne savais pas... mais peu importe!
Voyez mon père, n'est pas d'origine bretonne lui et je pense qu'il en a largement plus fait pour la Bretagne que beaucoup de bretons d'origine...
Breton on peut le devenir... tant qu'on en a l'âme et la sincérité pour l'être.


C'est Bary oui...

Et la voila qui se pare de sa légendaire petite moue en l'assortissant d'un soupir.


C'est qu'il doit siéger parmi les Grands Officiers...Il est Maréchal de Bretagne...


Non non , elle n'est pas jalouse, loin loin de là!
Juste privée de son époux quelques looooooongues heures... avec en prime la frustration de ne voir que son dos.


En quoi? Armagnac?

Hooo mais je connais l'Armagnac!! J'y suis déjà allée... Auch c'est ça?
Et Orléans... non je connais pas...


Voila à quoi sert de voyager!!! Elle y avait croisée même quelques personnes... mais bon, là c'est beaucoup demander que des les citer...

Et petit sourire à la rousse Melianne.


Sotte? En quoi êtes vous sotte? Nul n'est tenu à savoir tout sur tout, ni tout le monde... Mais si vous le souhaitez oui, je peux vous apprendre deux ou trois choses...
Venez à Guinguamp quand vous le souhaitez et s'il vous plait de venir nous visitez...


Interceptant le regard perdu du tribun de Saint Brieuc, et comme c'est une évidence...


Voila notre Saint Radis!

_________________
.cathelineau.
Le Saint-Radis est monté, il peut alors poursuivre. Il se lève et se place derrière l'ambon.

Lecture du Chapitre XI de la vita d'Aristote "Le Songe".

Citation:
Un matin, Aristote avait une mine préoccupée. Son fidèle Sargas, qui fréquentait le lycée depuis des mois, vint à sa rencontre pour s’enquérir de son sort. Le maître lui fit cette réponse…

Aristote : "Cette nuit, mon cher disciple, j’ai fait un rêve."

Sargas : "Ah oui, maître ? Racontez-moi."

Aristote : "Certes oui. J’ai songé qu’en orient existait une cité merveilleuse."

Sargas : "Quel genre de cité ?"

Aristote : "Une cité idéale, parfaite, où tous vivaient en une fabuleuse harmonie. L’équilibre y était si solide que nul n’aurait pu le rompre, pas même la venue d’un étranger comme je l’étais dans mon imaginaire. J’y ai fait intrusion, y ait importé mes mœurs, que je dirais à présent corrompues, mais j’y ai été accueilli comme un frère."

Sargas : "Quels étaient ses principes, maîtres ?"

Aristote : "Cette cité est organisée selon le principe de trois cercles concentriques, ou trois classes de citoyens si tu préfères.

Je commencerai par te décrire ce qui constitue la plus basse de ces classes, à savoir celle des producteurs, la classe d’airain. Ils constituent la majorité, et vivent paisiblement de la culture de leurs champs et de l’élevage de leurs bêtes. Ils prennent ce qui est nécessaire à leur subsistance, et à celle de leurs familles, dans leur propre production, et donnent le reste aux classes supérieures. Si ces hommes constituent la base de la cité, leur sort est cependant enviable. Ils connaissent les joies de la tranquillité, d’une existence simple au service de la collectivité. Ils s’adonnent à l’activité physique qu’exige un travail régulier, et qui maintient leur corps en condition, meublent leur temps libre par la contemplation des choses de la nature, par l’éducation des enfants que ces gens là placent en très haute considération, et par la prière, adressant leurs louanges à Dieu qui leur a donné les plaisirs dont ils sont bénéficiaires.

La seconde classe de citoyens, la classe d’argent, est celle des gardiens, des soldats. Ceux là sont autorisés à l’oisiveté, et profitent, en temps de paix, d’une subsistance gratuite qui leur est fournie par les producteurs. Ils philosophent, admirent eux aussi les bienfaits de la nature, s’instruisent quel que soit leur age, s’entraînent au maniement des armes. En temps de guerre, ils se font les plus fervents défenseurs de la cité. Leur courage n’a pas d’égal, et ils donneraient leur vie, sans hésitation, pour la conservation de la communauté, ou pour défendre leur foy qu’ils placent en très haute estime. Et au retour des combats, ils sont accueillis comme des héros. On dépose sur leurs têtes des couronnes de lauriers, on les traite comme des princes, et de fabuleux festins sont tenus en leur honneur. Ils sont portés en triomphe par le peuple, et aimés par les femmes.

La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."

Sargas : "Par ma foi, voilà une formidable cité que vous me décrivez."

Aristote : "Certes, c’est vrai. Et j’ai la conviction intime qu’elle doit exister, quelque part."

Sargas : "Croyez-vous, maître ? N’est-ce pas là un simple songe ?"

Aristote : "Non, je crois plutôt qu’il s’agit d’une prémonition. Et je veux m’en assurer par moi même. J’ai fait mon temps ici, et de ta condition de disciple, tu vas passer maître. Le lycée t’appartient."

Sargas : "Comment, maître ? Mais j’ai encore beaucoup à apprendre."

Aristote : "De moi, non, mon cher ami."

Et le maître, toujours aussi grave, laissa Sargas décontenancé, pour s’intéresser aux préparatifs de son voyage en orient…


Il relève la tête et débute alors l'homélie.

Je vais essayer de ne pas m'éterniser car je sais que beaucoup ici s'impatientent déjà, ils ont faim, soif, froid, chaud, d'autres doivent sans doute déjà dormir. Je vais donc faire en sorte d'être concis et clair. "Une cité idéale, parfaite, où tous vivaient en une fabuleuse harmonie."

Voila ce vers quoi la Bretagne doit tendre. Voila le défi que va avoir à relever le nouveau Grand Duc élu. Ne nous voilons pas la face, il existe un large fossé divisant les Bretons depuis des années. Les derniers Grands Ducs n'ont pas appliqué la même politique selon les caractères. Certains ont tenté d'apaiser, d'autres ont accentué les divisions. Selon ou l'on se place les avis divergent car nous interprétons tous les mots différemment. Mais ça n'est pas nouveau, cela fait des siècles que ces ainsi. Déjà l'arrivée des Saints-Fondateurs des clans se déchiraient jusqu'au dernier conflit sous Grand Sage.
Je souhaite que la Bretagne puisse connaître la paix et l'union. Voila la tâche que j'aimerai donner au nouveau Grand Duc. Bien des gens se sont déplacés pour aller voter, c'est un beau signe. Il serait formidable de voir ces gens s'investir pour le Grand Duché, le Duché, les villes, l'armée, la marine, la diplomatie, car c'est ainsi que nous retrouverons la grandeur que notre pays a jadis connu.

Lemerco de Montfort-Toxandrie, Grand Duc de Bretagne, veuillez approcher et vous agenouiller.


Il désigne alors un prie Dieu placé devant l'Autel, c'est à partir de ce moment que le Sacre va vraiment "commencer".
Roxane.
Cathelineau a écrit:
Je souhaite que la Bretagne puisse connaître la paix et l'union. Voila la tâche que j'aimerai donner au nouveau Grand Duc. Bien des gens se sont déplacés pour aller voter, c'est un beau signe. Il serait formidable de voir ces gens s'investir pour le Grand Duché, le Duché, les villes, l'armée, la marine, la diplomatie, car c'est ainsi que nous retrouverons la grandeur que notre pays a jadis connu.


Qu'il était beau de rêver.
Ho et puis avant j'avais récité le Crédo puis écouté Lanaelle avec le Saint Radis.
En ce moment je suis du regard notre Grand Duc. S'agenouiller ? Houlala !! A son âge et son arthrose ça risque de grincer.
J'attends pour voir si l'ambiance trop sérieuse s'anime un peu.




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Debenja.v.riddermark
Le Comte arrivé à Nantes, et comme sur la route en Bretagne, il s'était perdu, pour ne pas changer. Il s'avait qu'il aurait du prévenir sa cousine afin qu'elle l'aide à se retrouver dans la région.

Le Chancelier de Franche Comté arriva donc au dernier moment avant le début de la cérémonie, il eu juste le temps de s'installer à sa place afin de suivre le sacre. Il espérait pouvoir saluer Tuatha et surtout passer un peu de temps avec sa cousine Teia qu'il n'avait plus vu depuis longtemps.

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Lestan_dj
    Entraîné de force par son ami Tamella, il prit place à son côté. Il tenta de réciter le credo en Breton, langue qu'il ne connaissait aucunement. Tel un perroquet maladroit, il marmonna.


Kredigne a ran et Doué, an Uhel-Meurbet Hallc'halloudek,
Krouer en Neñv hag en Douare,
An ifairnou hague ar Baradosse,
Barner on ene war or marve,
Hag an Aristot, e brofaid,
Mabe Nikomaquea Faetis,
Kasait vie kelenn ar furnez,
A lezennouDoue en Hollved d'en dud diankai
Krediñ a ren ivé e Kristos
Gané eus Maria a Jiosep
Gouestlet an deus e vuhez evit diskouez hent
ar Barados deompe
Goude an deus diwasket poanioù dindan Ponce
Eo marvet é verzherinti evit salviñ ach hanomp
Aet eo Da gavout an Heol el lec'h ma ao Aristot
an tu dehou d'en Uhel-Meurbet o C'hortoz anezhañ
Krediñ a ran Ober an Doue
E iliz aristotelek ha romanek
E komunion ar sent
E distaol ar pec'hedoù
Er vuhez peurbad
Amen


    Puis il murmura à son amie : "ai-je fait ce qu'il fallait ? Quelle est la suite ?"
Tamella
Lestan_dj a écrit:

"ai-je fait ce qu'il fallait ? Quelle est la suite ?"


Lestan récita lui aussi le crédo, comme il fallait dans un Breton à la limite de la perfection. Même elle, née en ce pays n'y était jamais parvenue. Elle le rassura donc en lui murmurant

Vous avez été parfait. Quant à la suite, je vous suggère une petite prière intérieure pour qu'ils ne nous fassent pas tous défiler pour goûter un morceau de radis pourri. Les traditions Bretonnes peuvent être surprenantes vous savez. Personnellement je ne m'y suis jamais faite..

Elle pouffa de sa réponse un peu légère, et reporta son attention sur la cérémonie qui n'en finissait pas...

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Peryl
Elle avait hésité longuement avant de se rendre à Nantes pour assister au Sacre du nouveau Grand-Duc. Peryl, la pas bretonne pour un sou, mais dont le cœur battait de plue en plus chaque jour pour cette Breizh et ses habitants, était néanmoins curieuse. Alors elle s'apprêta de manière élégante, et prit la route, direction la Cathédrale.

Que de monde, que de monde... toutes les tranches de la population se côtoyaient, ceux de la "Haute", comme dirait son amour, et les badauds. Pas facile de se frayer un chemin dans cette foule immense, et agitée, cependant elle parvint avec agilité et à force de patience, à se faufiler et, enfin à rentrer dans l'édifice. Evidemment la cérémonie avait déjà commencé, le crédo résonnait à l'intérieur de l'édifice, le mélange des langues rendant cette mélodie presque envoutante. Elle se concentra sur sa voisine qui psalmodiait en breton. Peryl était charmée.

Elle jeta un œil partout, impossible de reconnaître qui que ce soit, tant pis, elle irait saluer plus tard, le peu qu'elle connaissait. Sa mère Teia, devait déjà être installée, peut-être auprès de son amie Tuatha, ainsi que Debenja son petit cousin et surtout chef de la famille Riddermark, avec lequel elle espérait pouvoir échanger au moins deux mots.

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Reynfrey_sharpe
Reynfrey priait également. Cela donneriez le même était il dans le pays natal parlait bien que dans une autre langue. La cérémonie était un peu différente que ce qu'il connaissait déjà. Et il n'avait pas encore vu toujours l'avis qui le déconcertait quelque chose.

Je crois en Dieu le Très Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
Des Enfers et du Paradis
Juge de notre âme à l'heure de la mort

Et en Aristote, son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés


Je crois aussi en Christos
Né de Maria et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dans le martyr pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la
Droite du très Haut

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine,
Une et indivisible
En la communion des Saints
En la rémission des péchés
En la vie éternelle

Amen

_________________

Grandmaster of the Key / Baronet of Kendal / Crown Ambassador to the Grand Duchy of Brittany
Ankou
Si Ankou n’avait rien à faire ici et n’était ni souhaité, ni désiré, Bran de Coëtivy, 80ème Duc de Bretagne se devait d’assister au sacre de Lemerco Grand Duc de Bretagne.
Les deux hommes avaient été opposés lors de l’élection, un mois plus tôt, mais même si le programme de chacun était fort différent, aucune rancœur ni animosité ne persistait de la part du nouveau Duc.
Bran souhaitait simplement, pour le bien de la Bretagne, travailler en bonne harmonie avec le Grand Duc.

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Lestan_dj
    Le blond était satisfait d'entendre être parfait, bien qu'il n'avait fait que répéter avec certainement un accent d'ailleurs et quelques imperfections, mais ce qui l'intriguait surtout, c'était cette histoire de radis.

    A voix basse, en se penchant légèrement vers son amie qui semblait redevenir sérieuse.


    Pourquoi nous feraient-ils manger du radis, surtout pourri ?
    Tradition, dites-vous, mais quelle est donc cette tradition ?
    Auriez-vous l'amabilité de me la conter ?
Tamella
Lestan_dj a écrit:

Pourquoi nous feraient-ils manger du radis, surtout pourri ?
Tradition, dites-vous, mais quelle est donc cette tradition ?
Auriez-vous l'amabilité de me la conter ?


Tam' tout à la cérémonie entendit Lestan l'interroger sur la relique... Elle sourit en se tournant vers lui

Alors, le Saint Radis, comment vous dire ?.... en fait voyez vous les Bretons sont un peu... spéciaux dans leurs traditions. Et j'ai deux versions à son sujet. La première serait qu'il s'agirait du tout premier radis récolté en Bretagne, il y a des centaines d'années et, miraculeusement .... et bénit par je ne sais quelle vierge... il ne s'est jamais complètement décomposé. Il en reste donc cette relique. pourrie certes, mais bel et bien là.
Ou bien.... et je pencherais plus pour cette version puisqu'elle est quand même ressortie aujourd'hui la relique.. ce serait le tout premier radis retrouvé entier dans les entrailles du premier Normand éviscéré par Lemerco ! si si ! ... Alors pour le coup, faut le bénir celui-là et le lui ressortir à chaque cérémonie officielle. Il ne l'aime pas, il le vénère. C'est d'ailleurs une des rares choses qu'il aime dans la vie le vieux Duc... son radis ! Paraîtrait même que parfois il vient la nuit, discrètement le mesurer pour s'assurer qu'il ne se ratatine pas d'avantage...


Elle sourit, fière de son énormité et se retourne pour suivre la cérémonie, qui dure, dure.... pffff ce qu'elle dure cette cérémonie.
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