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[RP]L'argent n'a ni couleur ni origine.

Traqueur, incarné par Finlams
Vêtu d'une chemise crasseuses dont les couleurs ont été travaillées pour ressembler a une espèce de camouflage que portent certains traqueurs. Un gilet de cuir sans manches aux coutures grossières ou plusieurs cordes et crochets pendent au niveau de la taille pour porter divers trophées de ses chasses... Pour l'instant, manifestement, vide. Un bonnet de laine épais devenus beige avec l'usure sur le crâne. Et les loques de braies déchirées par les ronces et plantes acérées des routes que ses chasses et traques le forcent a mener...

Cependant le travail présent était moins dangereux que chasser un loup qui s'en prendrait a des bergers ou encore des hors la lois ayant réussi une évasion et s'étant évaporé dans la nature comme le ferait une bête dans son propre milieu... Non. Il s'agissait de servir de messager. Enquêter et suivre a la trace les pas d'une cohorte d'une noble. L'un des nombreux travaux d'un traqueurs lorsque les armées ne nécessitent pas d'éclaireurs ou que la famine ne guette pas encore.

Son employeur était resté vague. Mais l'avait payé le prix "entier" pour simple acompte. Et avait promis le double s'il était réussi... En silence, bien sur.

Sa ceinture, alourdie par un gourdin de bois clouté, Un couteau de chasse, et une arbalète conçue pour la chasse au gros gibiers.... Mais aussi d'une large besace contenant le message.

La proie s'aventurait principalement sur les routes. S'arrêtant de temps a autre a des relais ou ville pour manger, dormir et se sustenter lorsque les arrêts n'étaieent pas trop long, des informations qu'il a pu glaner ici et la. Rapport a elle. Il avance vite. Ne se reposant que lorsqu'il pense avoir assez avancer et que ses jambes commençaient a peiner pour porter son propre poids.

Arrivé a un village. Il baisse la tête avant de sortir des lapins capturés plus tôt dans la journée. Nombre de chasseur entrent et sortent des villages pour vendre peaux et échanger de la viande en échange de légume ou de sel... Les gardes leurs posent rarement des questions hormis pour connaitre l'arrivée imminente d'une force armée ou de troupe de bandits... Ce qui l'a aidé lors de travaux de contrebande lorsqu'il devait faire entrer des marchandises illégales en les glissant dans les boyaux des animaux capturés en route.

Une fois entré. Questionnant après "une brune bien drapée avec toujours un foutu gant a la con a une des pattes" ou "avec un caractère passant d'invivable a commerçante". Autant aller dans le vague. Lorsque l'on cherche quelqu'un trop précisément cette personne finit toujours par trouver le curieux en premier... Autant éviter d'attirer trop l'attention.

Et lorsque cela est fait. Il commence a retirer la besace de sa ceinture.


Dôn ap Maëlweg de Kerdraon ?
Un message pour vous. C'la vient d'adieu.


Libérant le contenu de la besace pour laisser tomber un scalp séché aux cheveux noirs et lisse. Emmêlé a cause du voyage.

Il vous attends a la ville de vot' choix. Au lieu de son choix. Pouvez me passer l'mot pour que j'fasse l'relais.

[i]
Tendant sa main en attendant un paiement en échange... Et oui... On ne vit pas de menu service...
Don.
Gast !

C'est le premier mot qui parvient à franchir les lèvres écœurées de la jeune bretonne. N'allez pas croire que le scalp la répugne, oh non. C'est seulement l'état de ce dernier qui scandalise et donne des répulsions justifiées à la demoiselle.


Que.. ? Je.. Je vois.
Dites lui de me retrouver à Marseille, je compte m'y rendre prochainement. Qu'il décide donc du lieu de rendez vous. Et qu'il soit ponctuel, j'ai horreur des retardataires.


Un peu d'assurance ne fait de mal à personne n'est-ce pas ? Et là, assurément, Dôn en a. A revendre, à offrir même ! Ce n'est pourtant pas la trogne malveillante qui attend son paiement qui lui donne l'envie d'être généreuse, non. Si la Spontus est partante afin de rejoindre l'autre type tout aussi avenant que celui à qui elle cause présentement, elle n'a aucunement l'intention de payer l'actuel, qui fait le pied de grue à ses côtés.

Et pourtant, pourtant... L'allure de ce dernier ne lui dit rien qui vaille et c'est d'un air désolé et dans un soupir profond et exagéré que la demoiselle lâche quelques piécettes en faveur du messager qui se veut mendiant d'un jour. Ou toujours ?

Voilà qui sera bien.
Maintenant va, une fois sur Marseille, je gage que nous nous retrouverons tous trois, n'est-ce pas ?



Elle ne pensait jamais entendre parler à nouveau de cet homme avec qui elle avait dû lier son destin par le passé, afin d'obtenir ce qui lui était indispensable pour la confection de ses poupées chéries et voilà qu'après s'être fait oublier, il revient à la charge en réclamant sa récompense. Pour peu, la Kerdraon n'en croyait pas ses oreilles, et pourtant elle le savait bien vivant, puisqu'Ellya en personne avait évoqué l'énergumène, un jour, au coin du comptoir d'une taverne peu fréquentable.

Un nouvel affrontement serait de mise bientôt, il fallait être prête.

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Traqueur, incarné par Finlams
Un sourire édenté en inclinant hypocritement la destinataire devenue expéditeur. Il se redresse ensuite et sa seconde main se met a calculer le nombre de pièce obtenue d'un doigt et des yeux en faisant une addition selon les monnaies qu'il reconnait ou non... Espérant ne pas être floué avec de la monnaie rognée ou a valeur inférieur que celle française.

Voilà qui sera bien.
Maintenant va, une fois sur Marseille, je gage que nous nous retrouverons tous trois, n'est-ce pas ?


Au moins il avait assez d'argent pour le retour. Ce serait ça de pris. Le premier salaire était suffisant mais... Comme dirait l’adage : on ne vit pas de générosité et de pain. Son poing se referme sur la monnaie avant de glisser le contenu dans une de ses besaces, cachées a l'intérieur du pourpoint camouflé.

Pour vous mener au lieu qu'Adieu décideras de vous mener. Après j'en aurais finis.

Une légère inclinaison de la tête en guise de salut ponctué par un ricanement avant de se retourner et d'emprunter la sortie.
Finlams
L'odeur de poisson et du sel que dégage le port se répand sur tout le port de Marseille et au delà. Même dans les quartiers miséreux quelque peu éloigner des allées de chariots voulant entreposer les poissons et marchandises. Le soleil, même mourant de la fin de la saison, empire les odeurs les rendant plus atroces et faisant pourrir bien plus vite viande, poiscaille, fruit et autres vivres. Mêlé a l'odeur d'urine et de sueur des faubourgs... Le mélange de ces tortures olfactives devenant parfois une torture en chaude saison pour les non habitué.

La bicoque en elle même... Une vulgaire taverne dont le premier étage est le genre d'établissement criblé de dette. Les mendiants s'installent près du feu en échange de bois ou d'un pécule ridicule. L'étage plusieurs chambres ou des couinements de rongeurs ou des grattements se font entendre dans les murs... Mais a l'avant de la maison, une porte inclinée creusée dans la terres menant a la cave. Fermée clé... Pour le moment.

L'intérieur contient plusieurs tonneaux d'alcool frelaté ainsi que le nécessaire pour fabriquer l'alcool près de plusieurs tonneaux. Mais le centre de la pièce est vide... Hormis une table, deux chaises, les piliers maintenant le planchers grinçant de l'étage ou l'activité habituelle des tavernes se fait entendre, ainsi que la bière et vin épicé coulant entre les lattes du plancher. Et six tonneaux contenant la macabre cargaison...

Le vieux soldat, assit a la table, attendant son client dans sa cotte de maille usée, son casque et sa bavière. Grondant a chaque souffle son impatience en pensant que les mendiants du quartier ne feront peut être pas l'alerte habituelle des bas quartiers en cas d'approche de force militaire ou de milice armée... La possibilité pour que le traqueur ne tente de le flouer en signalant sa présence aux barons du crime ... Et autre possibilité... Sa paranoïa grossissant comme un abcès ... Balançant son regard unique entre chaque interstice possible... Et les oreilles a l'écoute du moindre bruit discernable malgré le chahut de l'étage.

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Don.
Je ne dois pas vomir, je ne dois pas vomir, je ne dois pas vomir.

Eternel refrain, qu'une jeune femme toute vêtue de noir et enturbannée comme jamais se récite pour mieux résister à cette fameuse nausée qui lui prend les tripes dès qu'elle traîne un peu trop longuement dans les bas fonds devenus trop habituels à son quotidien.
Le pied se fait hésitant rendant l'avancée bien moins rapide qu'elle ne l'aurait pourtant voulu, c'est qu'ici, il ne fait pas bon d'oser un arrêt et longer les murs reviendrait à se faire plaquer contre l'un de ces derniers avant de se faire égorger ou pire, violer en moins de secondes qu'il ne faut pour dire stop.

Pourtant, elle termine finalement dans l'antre infecte qu'avait prévu de rejoindre le bien nommé "Ed" dont elle n'était pas pressée de revoir la trogne qu'il a de traviole. Une fois en terrain semi-sécurisé, les bottes de la comtesse déchue frôlent le sol avec vélocité pour venir la faire se planter là, devant la carcasse ferrailleuse qui semble non seulement en attente, mais bien peu amène à saluer de bonnes grâces la cliente impatiente.


Vous n'avez pas su trouver plus accueillant ?

Bonjour, salut, merci, au revoir ?
Non. Il fallait assumer cette petite réunion jusqu'au bout et supporter à nouveau l'horrible vision que lui imposait son rendez vous du jour, qui n'avait rien de galant.

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Finlams
Vous n'avez pas su trouver plus accueillant ?

Ses sourcils se froncent en l'observant d'haut en bas... Se croyait elle en pleine hiver ainsi enturbannée comme une lépreuse dont les bandages seraient des frusques de lin ou coton ? Ses bottes boueuses se lèvent de la table pour se poser sur le sol de terre battue. Sa voix gronde, emprunte d'un sarcasme plus que visible.


Ouais... J'vais faire ça au marché devant l'église. J'suis certains que l'clergé dira rien de me voir vendre de la chair humaine velue pour des poupées..


Un long soupire. Pourquoi tout ses clients n'avaient aucun sens de la discrétion, se met il en tête ? Sa carcasse se lève lourdement avant de se porter vers les tonneau dont il ouvre l'un d'eux... détenant la cargaison et dégageant l'odeur du produit pour éviter la pourriture.

Il s'agit principalement de Catalan. J'y ai fais une guerre la bas pour l'Aragon. Beaucoup de ch'veux noir allant du lys corbeau au brun frisé. J'y ai tué une guerrière cheveux courte décolorée. Cela se sent. L'odeur de l'urine ibère utilisée pour retirer la couleur des cheveux a tendance a rester... Dans ces trois tonneaux...

Montrant celui ouvert et les deux derrières.

Ce sont ceux des pouilleux. J'ai retiré les poux mais j'ai pas traité la peau. Faudra l'faire vous même. J'suis soldat. Pas tanneur.

Sa main de chair se porte a sa barbe pour gratter entre deux tresses. La main de fer montrant le dernier tonneau.

Ceux la détiennent les belles chevelures dont de la blonde. J'les ai fais traiter par le traqueur qu'vous avez croisé. Vu l'prix d'son silence et du travail cela valait le coup. Mais c'était trop pour ceux des péons.


Marchant vers le tonneau aux coiffures nobles qu'il ouvre avant de glisser son bras a l'intérieur pour en tirer le scalp de la femme aux cheveux court. La couleur est fort pâle. Montrant une blondeur pas naturelle. La peau devenue légèrement rigide a cause du traitement.


ç'la t'vas ?
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Don.
Dana coiffure ouvrira ses portes le 12 septembre 1465, venez nombreux.
Guest-star du jour : Savian de Walburghe Lablanche d’Abancourt.
Derrière le feu des projecteurs : Edvald.
Et parce qu'il en faut une pour tenir les cisailles ! Dôn ap Maëlweg de Kerdraon, à votre service.


Le vieux projet. Ça sentait le vieux projet à plein nez cette histoire là.
D'ailleurs, en présence du vieux soudard se trouvant face à elle, le naseau n'était pas l'unique victime d'une telle présence en sa compagnie. Si l'homme la répugnait au plus haut point, ce qu'il venait de lui apporter - à sa demande pourtant - arracha des tripes de l'engrossée bien des nausées qu'il lui fut impossible de contenir. Un jet alors incontrôlable se fait la malle et vient atterrir aux pieds des deux protagonistes de la journée, après avoir violé la cloison pourtant volontaire que forment les lippes décolorées de la Dôna.
Éclaboussure nauséabonde qui n'arrange en rien la situation.

Il aurait été malin de s'enfuir après une telle réponse à la livraison, pourtant tardive, parce qu'il y avait là une révélation à faire et pas des moindres.


Tout.. Tout me va, mais nous allons rencontrer un léger souci, là, dans l'immédiat.


Tais-toi malheureuse ! Quémande de l'aide et casse-toi loin.

La bouche - qu'il faudrait songer à rincer, là, tout de suite - poursuit, pourtant.


Lors de notre dernière entrevue...


Ses doigts tremblent et la silhouette arrondie menace de s'étendre là, au sein même des vomissures que la jeune effrontée n'a pu retenir quelques secondes plus tôt.
Des yeux, la jeune femme parcoure l'étendue de sa commande, et il y a de quoi faire ! L'intégralité de sa collection pourrait être achevée grâce à une telle prise, l'homme ne se moquait vraisemblablement pas d'elle et l'honnêteté dont elle fait preuve journalièrement l'oblige à poursuivre, et à espérer l'éradication du malaise qui prend de plus en plus possession de sa cabèche.


J'avais encore de quoi vous payer.


Et bien voilà, t'es cuite. A moins qu'il ne décide soudainement de t'offrir un cadeau de mariage avant l'heure, tu sembles être dans une belle merde.
Clap-clap.

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Finlams
Son œil se sépare du contenu des meilleurs marchandises pour se reporter vers le bruit infâme. Les sourcils se froncent en observant le contenu de l'estomac se déverser au sol... Le problème étant que la cave est très, voir pas du tout, aérée... L'odeur tourne en rond, se macère et se mélange a l'odeur du vin frelaté, de l'alcool pure servant de formole et du cuir humain récemment traité... Autant dire. Cela sent pas le frais.

Tout.. Tout me va,

Ses lèvres s'écartent pour former une crevasse. Un sourire avide alors que les oreilles entendent déjà l'argent couler. Et sa main s'alourdir de leur poids.


mais nous allons rencontrer un léger souci, là, dans l'immédiat.
La retour case départ. Ses traits se froncent d'un mélange de méfiance, frustration et de colère. Son souffle s'approfondit pour se préparer a accueillir la mauvaise nouvelle le plus diplomatiquement possible.

Lors de notre dernière entrevue...

Ses narines s'élargissent d'impatience. Il déteste attendre... Le vieux soldat sent presque sa cliente réfléchir entre "détaler ou continuer dans la chute".


J'avais encore de quoi vous payer.

Une expiration lente et profonde des naseaux. Les doigts relâchent le scalp blond qui tombe misérablement sur les autres. L'observant d'haut en bas pour chercher une bricole qui aurait la valeur de sa cargaison... Un bijou, une possession.


Et j'fais quoi, moi, avec une centaine de crâne au milieu d'une ville qui pue l'poiscaille avec une femme incapable de m'payer ? J'espère qu't'as une solution pour. J'compte pas balancer ces trucs dans le fleuve après l'mal que j'me suis donné...

Oui... Scalper des ennemis dans le dos de son armée pour éviter d'être brûlé sur un bûcher est épuisant a soixante ans...

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Don.
Combien d'options s'offrent à Dana présentement ?
Aucune, si ce n'est celle de mourir, là, maintenant, entre les doigts - en manquent-ils ? - d'un type qui fait deux trois fois sa taille. L'imagination ne lui manque pas, diraient alors ses compagnons de route et de voyage. Mais voilà, l'imaginaire ne permet pas toujours de se sortir d'une délicate situation et là, clairement, s'en était une.

♦ La cervelle Kerdragonne s'active pourtant, et c'est tout un tas de solutions "escape" qui s'offrent à elle.

- Tout d'abord, elle pourrait tout simplement rester planter là. A attendre un quelconque miracle, comme voir venir l'arrêt cardiaque d'un voisin, plutôt peu ragoutant. Celui qui, par exemple, se trouve face à elle.
- Ou alors, pourquoi ne partirait-elle pas en courant, en espérant semer un type qui en a dans les pattes pourtant. Petite comme elle est, il serait tout à fait probable qu'elle puisse s'en sortir après s'être cachée derrière un simple panneau de bois. Si de longueur il atteint une taille semblable au fémur d'Ed, tout ira bien.
- Voler la marchandise, reste une idée réalisable. Avec l'aide de quelques marauds du coin, et en priant très fort pour qu'aucun d'entre eux ne soit complètement imbibé, alors, il serait bon de tenter l'expérience.
- Attaquer. L'offensive peut parfois s'avérer efficace. Parfois. Un croche-pied s'annonce risqué ?
- Le séduire. Là, on touche du doigt - le majeur, la précision est importante - la folie furieuse. La douce n'est réservée qu'à un seul être cher à son cœur. Visiblement, le concerné du jour n'est en rien présent au sein du muscle essentiel à la vie de la demoiselle. Non, il est même très loin de s'y caler. On peut même dire qu'un ongle incarné prend plus de place encore. Et qui a déjà rêvé de séduire un ongle incarné, j'vous le demande ? La réflexion se pose, et s'impose. Réfléchissez-y.

♦ Le corps Kerdragon s'active à son tour.

La solution est trouvée et c'est certaine de son effet, que Dôn se lance dans la gueule du loup. D'une jambe qu'elle pense assurée, la frappe est donnée. Le mollet carné désormais assailli, il lui est impossible d'observer la réaction de sa "victime" tant elle a peur de représailles immédiates.
C'est en réalité un mixe qu'elle s'offre, elle attaque donc pour mieux fuir ensuite, en espérant que le coup porté aura pu affaiblir le taureau qu'elle espérait ne pas voir charger.

Une main sous le ventre plein d'une Norvège pour l'heure, secouée, Bretonne court.
Il est rare de la voir gambader, la dernière fois que ses jambes l'ont ainsi portée, c'était pour fuir un homme aliéné qui partageait son sang et leurs jeunes années. Voilà une fuite différente, adaptée à un danger imminent.

Cours Forrest !

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Finlams
Réfléchissant déja a un moyen de s'en sortir sans se rendre compte que le crâne de sa cliente pense a pareille énigme... Bien qu'elle soit extrêmement opposée a sa situation a lui. Reculant le casque pour pouvoir mieux éponger, avec sa manche gambisonnée, son front couvert de sueur a cause de la chaleur, et le fait de devoir supporter cette odeur de poisson.

Sans le voir, ni le prévoir d'ailleurs, il sent sa jambe boiteuse le lancer soudainement et faiblir soudainement. L'empêchant de pouvoir porter son poids. S'agenouillant a demi pour frotter le membre douloureux avant d'entendre le bruit de pas de la fuite. Son œil se lève pour voir le dos de sa cliente commencer a monter l'escalier vers la porte.

Ses narines s'élargissent dans un souffle de colère qui écrase la douleur dans une rage qui le fera regretter le mouvement brusque pour se relever. Boitillant et courant a demi tout en prenant son bâton de commandement de l'époque ou il fut officier. Un bâton totalement de fer de 30 centimètre légèrement tordu a force de servir de matraque. Les deux bouts plus épais afin de donner du poids lors d'une "frappe" et couvert d'écriture a moitié effacée par le temps.

Essayant de gravir les marches quatre par quatre, ou plutôt deux par deux, avant de sortir la tête de l'entrée grande ouverte avant de chercher la fuyarde du regard. La repérant parmis les quelques hères du cul de sac. Il lance son arme de lancer improvisé dans sa direction dans un grognement de colère en hurlant toute la passion du moment.


P'TAIN D'TARÉ !

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