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Les premier pas d'un homme sauvage ?

[RP - OUVERT] Qui est ce ? Lazaryus Poquelin

Lazaryus
Ce ci est un RP OUVERT, c'est à dire que vous êtes TOUS les bienvenu à venir vous incruster dans ce rp, car en lisant l'histoire de mister Lazar, vous apprendrez qu'il est loin d'être sociable et qu'il à besoin que d'autre vienne à sa rencontre et le bouscule un peu, donc si vous êtes curieux ou intéresser hésitez pas à vous incruster, ce rp est fait pour !




Qui est cet homme qui vient, rarement, dans notre ville, vendre ses productions.
Un fantôme comme certaine aime à le penser, un ours sortant de sa caverne dirait d'autres moins entrain au fantaisies de la jeunesse.
Il n'avait pas une apparence effrayant au prime abord, un homme d'une certaine carrure, ni très grand, ni, non plus, un petit homme, une taille respectable de ce que vous dirait le vieux du village.
Des cheveux ondulé et sombre lui tombait sur le visage en mèche, par ci, par là, entourant une courte barbe tout aussi sombre que sa chevelure, qui encadrait un visage carré et masculin.
Des yeux d'un marron foncé, qui ne permettait pas de distinguer la pupille de l'iris, étaient profond et parlait d'une histoire forte et poignante.
Des ridules sur les coins des lèvres laissait dire que c'était un homme qui avait pour habitude de sourire au monde, mais lorsqu'on le croisait, son sourire n'était pas, juste restait ces fines marques en guise de souvenir d'un temps lointain.
son corps était musclé, par plusieurs années de travail de la terre et de l'élevage bovins, sa gestuel lui donnait une certaine souplesse, mais une force d'homme ayant vécue, lui donnait un certain charme.

Il portait tout simplement l'apparence d'un paysan n'ayant jamais rien connu que ses terres et sa chaumière.
Personne n'eu entendu le moindre son sortir de sa bouche, personne n'aurais su dire quel était le timbre de sa voix, si celle ci était mélodieuse ou rustre.
On ne sait même pas si on l'eu entendu, ne serait ce qu'un jour, parler à quelqu'un.

Un symbole intriguait parfois les observateurs indiscret lorsqu'il était de passage dans la ville, un collier pendait à son cou, on pouvait imaginer qu'il recelait le portrait de quelqu'un, peut être une femme qu'il aurait aimé ? Un ami de longue date qu'il aurait perdu ? Le portrait de son père, ou peut être bien de sa mère, voir pourquoi pas celui d'un enfant ?
L'imagination de ces curieux allait à bon train lorsqu'il s'agissait de parler de cet homme si discret.

Mais revenons au jour présent, ce jour de soleil, de douce chaleur et de marché.
C'était ce jour là que Lazaryus, car effectivement il portait un nom cet homme mystérieux, avait décidé de prendre en main son destin, et prendre en main son destin c'était de ce mêler à la population de la ville et quitter quelque heure sa chaumière au milieu de la clairière de ce bois lointain et de ses terres.

Il était arrivé dès l'ouverture, car il avait pour habitude de venir y vendre ses productions, mais comme dis, il vendait, il ne s'était jamais mis à la place d'un potentiel client ...
Le voila, devant ce marché, qui ce remplissait petit à petit, de marchand, de client et de gens en tout genre, raidie par l'inquiétude de ne savoir comment ce comporter, de ne savoir que faire, de ne savoir que dire, et à qui surtout !
Il était là, debout, devant cette foule qui s'accumulait doucement, comme un imbécile ne sachant pas utiliser ses pieds, regardant avec effroi tout ce monde présent.

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Oust
Oust furête un peu partout , à l'affut d'un légume ou d'un fruit tombé d'un étal et dont il pourrait s'emparer avant de fuir à toutes jambes
Facile quand on est à peine plus haut que 3 pommes empilées de passer inaperçu .
Les voix s'entrecroisent au dessus de sa tête , marchandages compliqués , commandes prises ou ragots de commereS tout est bon , tant qu'on ne s'occupe pas de lui .
Une pomme par ci , une carotte par là , ses poches se gonflent au gré de sa promenade .
Et puis soudain c'esst l'accident
Sans comprendre il se retrouve le cul à terre , la pomme roulant hors de ses poches et s'éloignant de lui
Il leve la tete , regarde les jambes de l'homme sur lequel i la buté ...; qui est ce ? il ne le reconnait pas de prime abord puis soudain s'écrie


Le Taiseux !

Il dévisage effrontement l'homme surnomme ainsi par son père qui n'est pourtant jamais enclin au bavardage lui meme

Vous vendez quoi ? J'savais pas que vous aviez un étal ..

A 4 patts il se glisse sous un étal ,en revient victorieux avec en main la pomme évadée
Lazaryus
Pétrifié, il l'était totalement, une vrai statue de marbre.
Mais personne ne le voyait à ce qu'il en constatait, ses muscles commençaient à ce détendre doucement à cette contemplation stoïque mais pleine de réflexion.
Certes il ne parlait que peu voir pas, mais dans sa tête s'en était une ébullition de paroles, de constations, d'hypothèses et de verdicts.
Mais il restait là, planté, sans bouger, observant comme un ours attentif à son entourage, alors que son entourage n'était pas attentif à lui.
Peut être arriverait il à ce mouvoir dans cette foule sans qu'on eu la chance de l’apercevoir ? Ou peut être était il devenu un fantôme ! Depuis le temps qu'il vit dans la forêt peut être est il mort mais que lui n'en était pas conscient ? Un frisson lui parcouru la colonne vertébrale à cette idée, mais très vite un enfant le fit démentir lorsqu'il vint ce percuté contre ses jambes, les poches vomissant ses trouvailles ramasser plus tôt.
Le voir ramasser sur son postérieur, Lazaryus ce recul d'un pas, levant en arrière les bras, comme signe qu'il ne souhaitait pas lui faire de mal, mais lorsqu'il lui sortit un mot, il en resta encore plus bouche bée, il était prêt à rétorquer , mais l'enfant fila plus vite qu'une souris sous un étale, récupérant au passage sa pomme éjecter de sa poche à sa chute.

Sa première rencontre avec le peuple de la ville, une rencontre bien étrange, et loin de ce qu'il aurait pu imaginé de tous ses plans qu'il avait en tête.
Il constat que finalement il n'était pas très opportun de rester sur place ainsi, il pris donc la décision de s'avancer dans cette foule, l'angoisse remontant à son estomac.
Il essaya de ce faire le plus petit qu'il pouvait, retenant sa respiration, il fit le premier pas, avançant doucement dans la foule, il ce crispait lorsque quelqu'un s'approchait de lui de trop près et faisait en sorte de ne pas les frôler ou de ne pas les bousculer;

Une danse sur les pointes.
Il ce retrouva plus rapidement que ce qu'il pensait au milieu du marché, maintenant que devait il faire ?
Partir ? Aller sur une étale pour bavarder avec quelqu'un ? Mais bavarder avec qui, et de quoi ? Il ne connaissait personne en cette ville !
Et il était loin d'être un as dans le domaine de la conversation...
De nouveau stoïque il resta bloqué au milieu de cette foule, cherchant ce qu'il devait faire.

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Oust
Assis à croupetons le gosse dévorait sa pomme sans plus se soucier du manege autour de lui .
Ses trésors avaient regagné ses poches , tout allait bien .
Il croquait donc , insouciant , dans son fruit juteux lorsqu'il vit l'homme qu'il avait percuté se mettre en mouvement .
Il aurait bien ri s'il avait pas eu la bouche pleine . On aurait dit un lapin traversant une foret emplie de chasseurs .
Moqueur il s'écrie


Et on serre les fessess , on rabat les oreilles !

Puis jetant son trognon sur un étal , il détale en riant
Lazaryus
Et on serre les fessess , on rabat les oreilles !

Sacre bleu ! Il reconnu la voix du gamin qui avait détaller sous les étales, il songeât que si il arrivait à lui mettre la main dessus il le pendrait par les pieds à un arbre comme pour les lapin lorsqu'on les chassait.
Mais tout ceci ne résoudrait pas son problème premier, celui qu'était qu'il ne savait pas quoi faire, quoi dire ...
il resta de nouveau planté au milieu de la foule esquivant ceux qui s'approchait de trop près, une danse statique.
Il chercha du regard si il ne trouvait pas un endroit moins encombrer de toutes ses personnes pour reprendre de l'aire et revivre quelque secondes.
au mouvement qui ce faisait devant ses yeux il avait bien du mal à distinguer le moindre bout de paysage complet, son regard était aveugler par tous ses corps en mouvance, c’était comme des mouches qui vous chipotaient les yeux.
Il du ce résoudre à s'avancer encore un peu pour essayer de deviner des endroits plus calme que là où il ce trouvait, mais plus cela allait et plus l'envie de retrouver sa chaumière au milieu de la forêt ce faisait sentir plus encore, mais il ce devait de ne pas craquer, il avait fait la promesse sur la tombe de sa mère qu'il prendrait un nouveau départ et qu'il ce confondrait au peuple de la ville, mais quelle promesse n'avait il donc pas fait là ...
Arrivé au près d'un stand un peu plus désert que d'autres, il repris un peu son souffle, essayant de calmer son cœur et de faire disparaître quelque peu la boule qui lui tenait l'estomac.

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Marcelle
Enfin quelqu'un venait jusqu'à son stand, il faut dire qu'elle n'avait pas bonne réputation, ni bonne odeur la Marcelle !

Allez le Sieur ! laissez vous tenter, ici se trouvent toutes les merveilles du monde ! Faites vot' choix ! Vot' bonheur est ici ! rien ne manque ! Vos souhaites seront exhaucés!


Que recherchez vous ?


Desperados40
bonsoir messire

comment allez vous ? je viens vous voir pour me présenter je suis desperados je suis maire de se village et je vous souhaite la bienvenue messire taurin m'a prévenu de votre arrivé j'espère vois voir très bientôt en taverne
Marcelle
Marcell regarde le bourgmestre :

Ho z'êtes bien gentil, mais je suis en affaire là hein !

Marcelle marmonna: "tous les mêmes ces gens là , ça fait des courbettes à tout va , mais ça vous plante une couteau dès le dos tourné ..."
Lazaryus
Il était arrivé au près d'un stand de l'un de ses nombreux marchands qui exposait leur marchandises, le seul stand où il n'y avait justement point grand monde et où il pouvait reprendre de l'aire plus ou moins pure, mais un fumet odorant lui vint aux narines ce qui le fit grimacer, comment pouvait on sortir comme une bête à ce point là ?

Allez le Sieur ! laissez vous tenter, ici se trouvent toutes les merveilles du monde ! Faites vot' choix ! Vot' bonheur est ici ! rien ne manque ! Vos souhaites seront exhaucés!


Que recherchez vous ?


Une voix le fit sursauté et reculé d'un pas.
Il cherchait rien lui et encore moins à acheter quelque chose !
Il ce crispa de tout son long, que faire ? Que dire ?
Il agita ses mains devant la grosse dame pour lui indiquer qu'il ne souhaitait strictement rien du tout de ce qu'elle pouvait proposer sur son étale.
Mais il était loin d'être au bout de sa stupeur, un autre client arriva vers eux, mais il ne le vit pas tout de suite.


bonsoir messire

comment allez vous ? je viens vous voir pour me présenter je suis desperados je suis maire de se village et je vous souhaite la bienvenue messire taurin m'a prévenu de votre arrivé j'espère vois voir très bientôt en taverne


Cette nouvelle personne le surpris aussi, tellement qu'il finit sur son postérieur manquant de renverser l'étale de la bonne grosse dame.
Il était bien empêtrer le pauvre Lazaryus.
Il hocha la tête au fameux Bourgmestre, mais ne savait pas lui même si il saurait capable d'arriver à pénétré dans une taverne au vue de cette première expérience catastrophique.


Sacrebleu !

oui, ce n'était pas poli, ni même galant, mais ce fut le seul mot qu'il réussit à sortir, trop de peur, trop de stupeur, trop trop trop de choses à la fois !

Ho z'êtes bien gentil, mais je suis en affaire là hein !

Décidément cette bonne dame n'en démordait pas !

Non !

La peur lui empêchait d'arriver à en faire des phrases construite, ce ne sont alors que de simples bride qui sorte, par l'extrême effort que lui procurait la peur et l'angoisse.
mais il était bien malin, assis par terre à énoncé ces bout de mot.

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Marcelle
Comment ça, non? Ho bin si rien vous interesse, du balai là ! vous faites de l'ombre à mon stand ! Hop debout, et allez voir ailleurs si j'y suis !

Joignant le geste à la parole, elle saisit le balai de son stand et tente de le faire déguerpir, sans se soucier du moins du monde de son visage apeuré et de ses mains tremblantes.

ALLEZ ! HOP HOP !

Pendant ce temps là un gamin tentait de lui voler le chaton, ni une ni deux, le voyant elle lui cassa le balais sur le dos . C'est comme ça !

Bon et le bourgmestre là! il va bien m'acheter une truc lui hein ! elle doit être bien grasse la bourse du bourgmestre !
Inattendue
Ina faisait son petit marché, insouciante.

Elle avait précédemment achetée une chemise à un marchand tisserand et lui avait commandés un col et une ceinture.

Continuant son chemin tout en chantonnant, elle découvrit un tout nouvel étal plein de breloques, genre chariote de curiosités.

Elle pensa « hé mais je vais peut être y trouver des objets pour la cabane du Lulu… »

S’approchant, elle vit un homme le fondement au sol :

Je peux vous aider ?

Et en s’abaissant pour l’aider, elle vit là, presque sous la charrette, exactement ce qu’elle cherchait, il lui fallait l’acheter.
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Lazaryus
Voila que la bonne grosse dame voulait le jeter en dehors de son stand, c'est pas comme si il l'était déjà, n'ayant pas mit un pied dedans !
Mais sortant son ballait elle commençait à le balayer d'un bon revers de poignet.
Sacre Dieu, dans quel galère il venait de ce mettre ?!
Il essaya de ce relever mais la poussière qu'elle faisait voler par ce ballait l'enfumait d'autant plus et lui fit déclarer un début de toux incessante.
Sacre Dieu !! Il allait donc mourir ici lieux, avec une grosse Dame comme assassin et un bourgmestre comme témoin ?! Mais qu'avait il donc fait pour que tout soit contre lui ?
Il fut sauvé par le fameux enfant qu'il souhaitait pendu par les pieds à un arbre, qui vint essayer de chiper un objet sur l'étale de la grosse dame, il ouvrit de grand yeux lorsqu'il vit le ballait ce fendre sur le dos du pauvre gosse.
L'homme était il si monstrueux, ou n'était ce que certain ?
A ce moment là il eu en horreur la nature humaine, les animaux était bien plus humain que les humains eux même ...
Sa pensée partit sur sa chaumière, celle ci même qu'il souhaitait à tout pris rejoindre à ce moment même !
Puis, sans s'en apercevoir, une femme ce pencha sur lui.


Je peux vous aider ?

Il était prêt à hocher affirmativement la tête pour lui accorder le bénéfice de l'aider en cette phase bien compliqué, mais elle détourna bien vite les yeux sur le dessous de l'étale de la grosse dame qu'il portait en horreur.
Finalement cette dame là aussi était bien plus intéresser par la vision matériel que par la vision humaine envers ses compatriotes.
Voyant que personne ne prenait plus attention à lui, il recula à quatre pattes, cherchant un passage pour s'évader de ce troue d'ennuies.

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