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[RP] Alix Poquelin

Alix.poquelin
[Alix Poquelin]


Elle était jeune, elle était belle et elle était loin d'imaginer qu'elle aurait un avenir si sinueux.
Alix Poquelin, une jeune paysanne devenait une femme dans les bras d'un homme qui l'avait séduite au court d'un détour de chemin forestier, de sa carrure princière et de ses belles paroles il l'avait séduite.
Ses yeux lui promettait monde et merveilles, ses caresses lui disait que la tendresse glisserait sur son corps des années durant, ses baisers lui disait l'amour qu'il avait pour elle, ses gestes la faisait voyager dans un autre monde qu'elle visitait au près de lui.
Il la fit voguer sur des mers inconnue, lui fit découvrir un monde qu'il connaissait bien, la fit rêver à de meilleurs jours.
Ces deux êtres s'unissaient dans un amour passionné et charnelle.
L'homme conquis la plus belle merveille que le monde avait mit au monde, satisfait de son travail, il s'évanouissait dans les bras de cette belle, qui l'enlaçait chaleureusement épanouie par tous ses efforts communs.
La nouvelle femme, passait ses doigts fins mais abîmer par le travail, dans la chevelure de cet homme qui venait de la combler par milles choses nouvelles pour elle.
Une flamme ardente venait de naître dans son cœur de jeune femme, mais cela l'homme l'ignorait. Le reste de la nuit observait ses deux amants enlacé l'un à l'autre dans un lit d'amour, les étoiles gardant leur âmes.

Après cette douce et magique nuit, les deux jeunes gens ce virent plusieurs mois durant, en journée passionnées ou passionnantes, l'un apprenant les bonnes coutumes à l'autre, et l'autre lui expliquant la vie du bas peuple.
Mais un bonheur n'arrive jamais seule, quelque mois plus tard, la jeune femme arriva plus arrondit qu'a l'accoutume, un sourire émerveillée aux lèvres, elle venait retrouver son tendre amour.
L'homme arriva à leur rendez vous quotidien, joyeux de retrouver cette femme qu'il avait appris à aimé au file de leurs rencontres, mais lorsqu'il vit l'état de celle ci, son regard ce changeât en haine, comment avait elle pu le trahir de la sorte, tomber enceinte et prétendre qu'il serait père, cela il en était hors de question pour lui, il était loin de vouloir présenté à sa famille une gueuse portant le fruit de leur nombreuses nuits d'amour, cela porterait le blasphème à sa famille et ferait tomber la honte sur sa réputation.
Sans dire mot, un simple regard sur cette femme au ventre arrondit lui fit comprendre à la pauvre enfant que tout ceci n'était plus, que tout ces instants qu'ils avaient vécue étaient fini, et sans dire mot de plus il tourna les talon et rentra en sa demeure, laissant sur place cette femme qui était loin de s'attendre à une tel réaction de la part de l'homme qu'elle chérissait plus que tout au monde.
Elle ne voulait pas croire qu'il est pris la fuite ainsi, la laissant dans cet état, elle ne désirait pas s'imaginer élever le fruit de leur amour seule ...
Elle revenait régulièrement à leur lieu de rendez vous, avec l'espoir qu'il soit présent et qu'il revienne sur sa décision, mais son espoir fini par disparaître avec lui.
Seul les souvenirs lui restèrent et cet enfant qui grandissait dans son ventre.

Il était maintenant inconcevable pour elle de retourner dans sa famille en l'état, elle serait renié rapidement, une femme enceinte et sans mari était un parjure pour une famille, même pour une famille de paysan.
Elle pris la décision de partir, loin de cette vie, loin de cet homme qui l'avait renié, loin de sa famille et de ses racines.
Durant son voyage elle faisait en sorte de ne point trop ce mêler à la population, car il était dangereux pour une femme enceinte d'être vue ne l'état seule.
Un soir alors qu'elle traversait une forêt, épuisé elle s'évanouie, sous une pluie tombante, à bout de force.
Le lendemain elle ce réveilla dans une chaumière, près d'un feu, une vieille dame concoctant une bouillit dans une grosse marmite.
Elle avait trouver l'enfant au beau milieu des bois à l'aube lorsqu'elle partait cueillir des champignons, et l'eu ramener en sa chaumière pour la soigner et au vue de son ventre bien rond, elle compris quelque peu l'histoire dans la quelle elle ce trouvait.
Dans une sagesse qu'Alix avait peu connu; la vieille dame lui offrit logis et repas durant toute sa convalescence.
Quelque mois passèrent et les deux femmes nouèrent de fort lien d'amitié, ou pourrions nous presque dire des lien familiaux.
La vieille Dame prenait soin de l'enfant et l'enfant faisait en sorte de s'occuper de la maison afin de n'être un poid pour cette dame.
Elles trouvèrent ainsi un équilibre sain et serein.

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Alix.poquelin
[La naissance]


Durant une caniculaire journée de juillet, Alix sentit des contraction à son ventre.
Les douleurs était intenses et spontanées, quasiment invivable.
Elle posa ses mains sur son ventre à la première, commença à ce courber à la seconde, posa une main sur une chaise à la troisième, s'assit à la quatrième, poussa un hurlement à la cinquième ce qui alerta Grande Nah, la vieille dame qui l'avait accueillit en sa humble chaumière.
Elle accourut à l'intérieur de celle ci et cueillit Alix dans ses bras pour l'amener sur la couche, le bébé venait et il fallait être prêt pour cela !
Apportant linge et bassine d'eau chaude, qu'elle posa près de la couche, elle pris position face à la jeune femme pour accueillir le nouveau né qui allait pointé le bout de son nez.
De ces mains rugueuses elle soulevait de temps à autre les jupons d'Alix pour voir ou en était les poussés, et complimenta la femme de ses effort, essayant de la garder consciente, car avec cette chaleur il était difficile de ne pas tomber dans les pommes en plein accouchement !
La vieille dame lui arrosait le visage pour la revigorer quelque peu, lui suppliant de rester au près d'elle et de continuer à poussé afin qu'elle mette au monde son enfant, elle ne désirait aucunement voir les deux condamné à une mort certaine.
Une tête noir commença à pondre entre les jambes de la femme, s'extirpant avec lenteur. La femme, allonger sur la couche hurlait tout ce qu'elle pouvait par la souffrance de l'accouchement et cette chaleur accablante.
Le bébé sortit petit à petit, tout doucement, mais arriva à terme et au plus grand bonheur de la vielle Nah, car Alix commençait à être au bout de ses force.
Nah prit des linges qu'elle humidifia pour lavé le nouveau né qui poussait ses premiers cris, Nah offrait un tendre sourire au beau bébé beau comme un ange, qu'elle nettoyait avec précaution.
Lorsque la chose fut faite et le bébé propre comme un sous neuf, elle le déposa sur la poitrine de l'heureuse mère.

Lorsqu'elle reçu son bébé dans les bras, un amour inconditionnel pointa sa flamme, le début d'une nouvelle histoire passionnée et tendre.
Le regard qu'elle porta au bébé fut empli d'amour, sa main ce porta sur la tête de celui ci, pour remettre ses petits cheveux tout neuf afin de finir en caresse tendre et douce, contournant le petit visage.
Tout bas elle lui récita une berceuse, tout en le berçant dans ses bras affaiblit par cet effort.


Doucement s'endort la terre
Dans le soir tombant
Ferme vite tes paupières
Dors petit enfant

Dors en paix près de ta mère
Fais des rêves bleus
Au matin dans la lumière
Tu t'élanceras joyeux

Sur ton lit la lune pose
Ses rayons d'argent
Quand s'apaisent gens et choses
Dors mon tout petit enfant

Mais ton père est brave et rude
C'est un vieux soldat
Fais dodo sans inquiétude
Mais ne tremble pas

A ton tour tu vas connaître
L'amitié des guerriers
Mais seulement tu devras mettre
Pied à l'étrier

L'air martial et l'âme digne
Loin tu partiras
De la main me faisant signe
Passant devant moi

Fais dodo paupières closes
Comme un vrai enfant
Sur ton lit la lune pose
Son regard apaisant.


De son regard claire, fatigué mais aimant, elle lui prononça cette phrase qui restera à jamais gravé dans la mémoire de l'enfant.

Lazaryus, tu es un rayon de soleil mon fils.
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Alix.poquelin
[Un enfant aimé]


Depuis la naissance de Lazaryus, le monde d'Alix devint amour et bonheur.
La vieille Nah était ravie de voir son propre monde s'agrandir avec la venu d'un petit être qui donnait tant de lumière dans cette chaumière.
Au file des mois, les yeux bleu de l'enfant devinrent marron, chaque fois plus foncé qu'avant, il possédait un regard profond et plein de vie, un sourire qui illuminait la vie de ces deux femmes, c'était un enfant joyeux.
Sa mère le couvrait de tout l'amour qu'elle avait en elle, le choyait et le protégeait de tout danger qui saurait le guétter.
Plus les mois passaient, et plus les rôles entre les deux femmes s'échangèrent, Alix pris les travaux des champs et la vieille Nah ceux de la maisonnée.
Car elle n'était pas de la première jeunesse, et la vieillesse commençait à lui tomber sur les épaules. Mais ceci ne l'empêchait pas d'enseigner à la jeune mère tout ce qu'elle connaissait sur les plantes médicinales, la culture de certaines plantes, utile pour la santé, ou non, bien pour les bébés ou au contraire à proscrire de son alimentation.
Elle lui enseigna toutes ses connaissances de la terre.

Les premières années passèrent dans la quiétude, les deux femmes regardèrent l'enfant poussé comme un arbre, sa chevelure devint bouclé, et ses traits ce rapprochèrent d'avantage de ceux de sa mère, la seule chose qu'il tenait de son père était ses yeux noisettes, mais les sien étaient souriant et vivant et non pas plein de charme et séducteur.
A l'âge de 3 ans, alors que maintenant il savait parfaitement marché comme le grands, il gambadait partout, découvrant son environnement avec émerveillement, mais donnant parfois des frayeurs à sa mère qui parfois ne l'avait plus sous son regard et partait le chercher dans les parcelles de la maison et dans la maison même, parfois elle mettait une bonne heure avant de retrouver la trace de l'enfant.
Mais à force de disparitions soudaines, elle commençait à connaitre les coins où s'installait son fils. En général elle le retrouvait à l'étable au près des vaches avec les quelles il parlait longuement, sinon c'était dans les champs, assis devant une plante et lorsque sa mère lui demandait ce qu'il faisait, il lui répondait qu'il admirait la nature grandir, ce qui avait le don d'étirer les lèvres d'Alix en un sourire émerveillé, puis elle posait un regard emplie de tendresse sur cet enfant qu'elle avait mit au monde, et qui était devenu son monde à elle.
Plus il grandissait et plus sa curiosité pour son environnement grandissait, la vieille Nah lui apprenait la culture de la terre et la traite des vaches, comment bien s'y prendre pour ne pas leur faire mal mais aussi comment les soigner lorsqu'elles étaient malade ou blesser.

La maisonnée trouvait un rythme harmonieux et l'enfant avait acquis une place entre ses deux femmes qui l'aimait profondément.
Il était un rayon de soleil, toujours le sourire aux lèvres, un rire cristallin qui donnait vit aux murs de la maison et donnait du bonheur à tous.
Au file du temps le petit garçon ce débrouillait parfaitement, et la vieille Nah pouvait le laissé en toute quiétude pour le travail avec les bêtes, tandis qu'Alix travaillait la terre avec passion, pendant ce temps Nah était à la maison, préparant les repas pour ces deux enfants d'adoption de cœur.
La ménagerie vivait dans un bonheur commun.

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Alix.poquelin
[Un départ pour un Héritage]


Ce fut à l'âge de 7 ans que Lazaryus connu sa première peine.
Le vie s'écoulait tranquillement, l'enfant grandissait, Alix prenait de la sagesse et Nah gagnait en vieillesse, mais Lazaryus ne s'en apercevait pas de son regard d'enfant, pour lui elle était toujours sa grand mère qui ne vieillissait pas, qui ne pouvait pas mourir et qui serait toujours là avec eux.
Il ne connaissait pas encore ce principe de la vie, tout était éternelle à ses yeux, mais ce jour lui apprit cette grande leçon.
La veille toute la troupe s'était atteler à leur activités. La vieille Nah avait entretenu la maison convenablement, avait fait cuire un plat en sauce odorante et aromatisé par nombre de plantes aromatiques. Les odeurs avait embaumé la maison, ce qui mettait en appétit rapidement nos deux jeunes gens.
Durant la journée, la vieille Nah sentit de vivent douleur dans la poitrine, le cœur ce serrant douloureusement, elle s'était de nombreuses fois plié en deux dans la journée.
Pour ne pas inquiété ces enfants, elle prétendit un peu de fatigue et partit dans sa chambre s'y reposer, mais elle pris surtout le temps d'écrire une lettre à Alix et son fils.
Il est un temps où on sens sa fin venir, même si on à beau dire que le destin nous réserve bien des surprises, on fini par prendre conscience que notre dernière heure arrive, et ce fut le cas pour Nah, mais elle était loin de souhaiter attristé ses protéger, alors elle ce mit à écrire cette lettre.






Ma douce Alix,

Il m'arrive encore de me souvenir du soir où je t'ai trouver sur le bord de ce petit chemin, perdu au milieu de la forêt, amoindrie par tant d'effort et de voyage, de ce matin où tu t'es réveiller dans cette couche, apeuré et pleine d'inquiétudes pour moi alors qu'entre nous, tu étais celle qui était le plus mal en point.
Ce jour là tu m'as donné une seconde existence.
Tu as donner une vie à cette maison qui devenait morne de ma présence seule, tu as été ce brin de zéphyre qui revigore et vous redonne une seconde jeunesse.

Le jour où tu as accepté ma proposition de rester vivre au près de moi, je fut bien la vieille dame le plus heureuse que ce monde est pu porter.
Je ne saurais jamais te remercier pour tout ce que tu as pu faire dans cette maison, ce que tu as pu faire dans ma vie.

Le jour où ton petite Lazaryus à pointé le bout de son nez dans notre maison, ce fut un bonheur supplémentaire, qui aurait pu imaginé que tu mettes au monde un ange ?
Tu es devenue une mère, parfaite.
Tu me diras que tu en as faites des erreurs, mais je t'aurais répondu qu'une personne qui n'en est jamais faite n'a jamais rien appris de la vie.
La chose la plus importante dans une famille c'est l'amour, et ton cœur en déborde.

Depuis notre rencontre tu es devenue pour moi l'enfant que je n'ai jamais eu et Lazaryus fut le plus beau cadeau que tu es pu faire au monde. Vous êtes tous deux devenue l'héritage de ma mémoire.

Je suis certaine que je peux partir sereinement, car je resterais gravé dans vos cœurs et mon esprit persistera dans vos vies.

Mais biens ne ce résume qu'à cette maison et ces parcelles de terres qui l'entoure, à ce jour elles deviennent votre, c'est le seul héritage matériel que je puisse vous léguer, ne possédant pas une grande fortune pour vous couvrir des pénuries ou de drames de la vie, mais je sais que vous saurez travailler la terre comme il ce doit et tenir le troupeau de vache convenablement.
Je n'ai pas d'inquiétudes sur votre avenir, car vous serez toujours cette petite famille soudé et plein d'amour.

Je vous laisse là mes enfants, mes derniers mots qui vous sont dédié, car mon monde c'était vous.

Je vous aime et vous aimerais encore toute l'éternité qui m'attend, ne soyez pas triste et garder ce sourire qui donne ce bonheur à cette maison.

Nah.


A la fin de cette lettre, une larme coula silencieusement sur sa joue, gage de l'amour déchirant qu'elle portait à ses deux enfants.
Il est difficile de dire adieux à ceux que l'on aime, et la vieille Nah ne dérogeait pas à cette règle, son cœur ce déchirait en milles morceaux.

Le soir venu elle passa le dîner avec ces deux amours, ils bavardaient de leur journée passé sans ce rendre compte de la mort qui ravageait l'esprit de la vieille Nah, car elle gardait sur son visage ce sourire bien heureux pour n'éveiller aucun soupçons sur ce qui lui arrivait.
Les rires joyeux amusait Nah, et l'attristait à la fois, car elle savait que c'était la dernière fois qu'elle les entendait.
A la fin du repas, chacun ce préparait au couché, mais avant qu'elle ne rejoigne sa couche pour rejoindre sa nouvelle vie, elle vint poser un tendre baiser sur le front d'Alix et de son fils, leur avouant tout l'amour qu'elle leur portait. Alix fut quelque peut interloquer par ces mots, non pas qu'elle n'avait pas l'habitude de l'entendre leur parler ainsi, mais ce soir là ses mots étaient plus fort qu'a l'accoutume.

Durant la nuit Alix eu du mal à trouver le sommeil, en silence elle quitta la chambre qu'elle partageait avec son fils et rejoignit celle de la vieille Nah, pour parler de ces soucis de conscience.
Lorsqu'elle ouvrit la porte de la chambre, elle sentit une énergie qui n'était plus, son cœur ce serra imaginant le pire, dans un pas silencieux, une main agrippant sa tunique de nuit, elle appela tout bas la vieille dame qui était allongé sur sa couche, dans un sommeil des plus profond. Alix s'approchait doucement, craignant de plus en plus l’inévitable, arrivé à la hauteur du lit, elle pencha sa tête pour écouter la respiration de la vieille dame qui n'était déjà plu...
Les larmes commencèrent à ce déverser abondamment sur son visage, mais elle ne hurla pas sa douleur, elle ne voulait pas réveiller son bébé qui lui dormait dans un sommeil enfantin, elle ne souhaitait pas l'alerté et lui faire apprendre cette leçon de vie durant cette nuit étoilée et lumineuse, alors elle pris les draps et enfouie son visage à l'intérieur pour étouffer ses sanglots, elle resta ainsi, près de cette dame qui lui avait tout donner lorsqu'elle était dans le besoin, à pleurer tout ce qu'elle pouvait, regardant ce corps inanimé avec ces yeux bleu humide et rougit par tant de larmes.
Au matin, Lazaryus s'éveilla et chercha sa mère qui avait disparu de la couche qu'il partageait avec elle, alors il sortit de celle ci et partit prendre son petit déjeuner, un bon bol de lait avec une bonne tranche de brioche de la veille.
Puis lorsqu'il était prêt il sortit de la maison pour s'atteler de ses devoirs quotidien, mais à sa surprise il trouvât sa mère devant une motte de terre rectangulaire entouré de fleurs des champs, la robe blanche de sa mère souiller par la terre.
Sa curiosité le poussa à s'approcher d'elle et lui demander ce qu'était cela.
Lorsqu'elle entendit son fils elle ce retourna et lui offrit un sourire, mais c'était un sourire qu'il ne connaissait pas encore, un sourire nostalgique, un sourire triste qui ne reflétait pas la joie de vivre et le bonheur, cela inquiéta Lazaryus, il demanda alors ou était passé la vieille Nah, c'est alors que les larmes montèrent aux yeux d'Alix, mais elle garda ce sourire et leva les yeux sur ce ciel bleu parsemer de petit nuages blancs, elle lui expliqua que Nah était partit dans une autre monde, qu'elle était dans un lieu ou le bonheur était une maison qui accueillait toutes les bonnes âmes.
Sur le cou il ne comprit pas réellement ces mots, mais au fil des jours qui suivirent, il compris que la vieille Nah ne reviendrait pas, alors il garda à l’esprit qu'elle était dans un monde meilleur et beau.
Le soir Alix lisait de nouveau la lettre qu'elle leur avait laissé, laissant encore échapper quelque instant ses larmes, évacuant toute cette tristesse qui l'envahissait.
Lazaryus avait 7 ans et Alix 22 ans.

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Alix.poquelin
[Une vie à deux]


Quelque années étaient passé depuis le décès de la vieille Nah, et le chagrin s’estompait pour devenir de doux souvenirs.
Lazaryus s'était fait à l'absence de cette dame chère à son cœur, il avait assimilée le faite que maintenant elle vivait dans un autre monde, où de ce que racontait sa mère, les choses étaient meilleur, que le bonheur était présent partout où elle poserait les yeux et qu'elle vivrait à présent en paix. Cette idée là le réconfortait au fond de lui, il lui arrivait de demander à sa mère si il était possible de la rejoindre et de connaitre ce monde et bien souvent elle lui répondait avec un sourire tendre sur un fond de tristesse, qu'il avait bien tout une vie à vivre avant de connaitre ce monde lui aussi.
Il ne comprenait pas vraiment cette phrase, mais il la comprendrait bien vite un jour prochain.
Aujourd'hui Lazaryus, de ses 10 ans, est devenue un brave petit garçon à la belle musculature naissante, aidant sa mère autant à la traite des vaches, qu'aux champs.
Il devenait aussi fort qu'un homme pour son jeune âge.
Alix décida, au vue des exploit qu'accomplissait son fils, de l'emmener au marché, faire sa première vente, une idée qu'elle trouvait fort sympathique et qui lui ferait rencontré du monde en dehors de la forêt et des animaux.

Un beau matin, Alix préparait les marchandises qu'ils allaient vendre durant la journée au marché de la ville la plus proche de leur maison, qui ce trouvait à quelque heures de marche tout de même.
Elle l'avait levé tôt pour arriver à l'ouverture du marché et ne raté aucun client potentiel. Le petite Lazaryus était déjà sur le qui-vive prêt à décoller de la chaumière pour aller faire son premier marché.
Ils parcourairent la forêt tranquillement, répondant aux questions de son fils sur les plantes et les animaux qu'il croisait et qu'il ne connaissait pas, il était plein de curiosité sur son environnement, ce qui la ravissait.



[en cours d'écriture]
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