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[RP - OUVERT] Rencontres improbables

Comteur
Lazaryus Poquelin, homme de la trentaine d’année, au visage masculin, carré et orné d’une barbe courte, sa tête coiffer d’une chevelure brune et frisé, battit comme un homme ayant travailler toute sa vie dans les champs, une musculature prononcé mais pas carré, ni totalement fin non plus, d’une taille dans la moyenne il n’était pas non plus aussi grand qu’une montagne ni aussi petit qu’un mouton. Son regard noisette racontait tout une histoire, l’histoire de sa vie.
Il vivait dans une petite maison au fond d’un bois, loin de toute population abondante des villes, loin de tout ce qu’il ne pouvait pas supporter autant pour sa santé physique que sa santé mentale.
Il vivait donc isolé de tout, au milieu de la forêt et des animaux pour seule compagnie, cultivant un bout de terre et élevant des bovins pour subsister.
Demeure dans une forêt de Champagne.

Melody Holmes, une jeune femme anglaise, émigrée de son pays après avoir vécue un drame familiale, toute sa famille s’installa dans la ville de Dax où elle pris la toge pour devenir religieuse, après plusieurs cérémonies elle devint ordonnée et pratiqua sa religion au quotidien.
Mais l’histoire l’ayant tout autant touché que le reste de sa famille, elle avait, comme tout homme, des penchants pour certain pêchés. Plus particulièrement pour celui de la boisson, appréciant toutes boissons fortes, qui l’aidait à partir ailleurs que dans le monde réel où elle vivait, bien entendu, tout cela dans le plus grand secret.
Toujours bien habiller mais sobrement, une chevelure rousse et abondante lui ceinturait la tête, bien souvent attacher maladroitement en chignon qui partait en tout sens.
Ses yeux vert exprimait de l’amour et de la compassion pour tout les êtres qu’elle rencontrait.
Vivant dans la demeure familiale à Dax en Gascogne, elle est devenue, par la force des choses, la maîtresse de la maison, gérant les domestiques et les visiteurs.

Kerns d’Ailhaud, Seigneur de Roussine, Homme d’une carrure impressionnante, plus grand que tout autres compère de son sexe. Une barbe décorant un visage allongé, bien souvent tresser et perler, mais toujours bien entretenu. Une longue chevelure caramel, dans un chignon mal formé sur la tête ou en général libérer et simplement attacher sur les tempes.
Des yeux noisettes mutins, exprimait la fierté qu’il avait pour lui même.
Noble seigneur ayant un égo aussi grand que lui aux ambitions toutes aussi grande, vivant dans sa demeure qu’il à transformer en établissement des plaisirs, il ne ce cache pas des voluptés et des penchants pour les bas fond du monde qu’il apprécie tout particulièrement.
Demeure dans le Périgord Angoumois

Souzies, enfant des rues, qui à connu bien des aventures, mais qui ne ce lasse jamais de la vie, toujours pleine d’entrain et jamais sa langue de sa poche, possédant un bagou d’enfer, que la plus part ne comprend pas forcément, mais dont certain ce délecte.
Elle vie avec un petit garçon de 7 ans qu’elle retrouve tous les jours dans les rues et pour qui elle donnerait tout pour qu’il réussisse lui, sa vie.
Travaillant durement pour le nourrir et ce nourrir elle même, à ce jour elle est en compagnie d’un homme muet et de Bernard.
Habitant sur la ville d’Orthez en Béarn.

Et un jour ils ce rencontrèrent, et vous allez me demander comment, eh bien plongeons nous dans leur histoire…
Miss.holmes
[Dax – Jour X de l’année 1466]


Sylvain – My lady …. Vous ne pouvez pas nous quitter ainsi, que ferions nous sans vous ?

Melody était entrain de préparer sa malle avec les quelque robe qu’elle avait dans son armoire, elle avait pris une décision qui changeait tout son monde, mais aussi tout le monde de sa famille qui ce reposait beaucoup sur elle. Non pas qu’elle ne les aimait pas, non pas qu’elle avait une grande pression sur les épaules, non pas qu’elle ce lassait, mais elle avait une envie fulgurante de voyager, de découvrir le monde, de sortir de ce domaine dont elle connaissait tous les recoins par coeur, elle voulait s’évader de ce monde qu’elle gérait et qui était bien trop parfait, alors lorsque Sylvain pointa du doigts le point sensible, elle arrêta sur le champs ce qu’elle faisait, ce redressa, aussi droite qu’un i, posa ses mains sur ses hanches et regarda son majordome et lui posa une autre question en réponse à la sienne.

Melody – My dear Sylvain, depuis quand suis je à la tête de la demeure ?

Il la regarda perplexe, effectivement cela faisait des année qu’elle gérait la maison d’une main de fer dans un gant de velour, il savait pertinemment tout ce qu’elle sacrifiait pour sa famille et pour la maison, l’abnégation totale.

Sylvain – Cela fait huit longues années que vous êtes à la tête de la demeure Holmes, my lady.

Aussi droit qu’elle, les mains dans le dos, et la surplombait d’une bonne tête et demi, il l’observait, inquiet de son départ et de savoir la maison au main de personne, il ne souhaitait pas voir ce désastre arriver.

Sylvain – Mais … Si je puis me permettre my lady, qui dirigera la maisonnée à votre place ?

Il était certain que l’inquiétude ce sentait dans la voix de Sylvain, mais elle surpassait tout cela, pour une fois, elle songeait à elle et ses envies, avant de penser aux autres.

Melody – Eh bien, ce sera quelqu’un d’autre, quelqu’un qui souhaitera prendre la relève le temps de mon voyage.

Les yeux de Sylvain s’écarquillèrent à cette réponse des plus absurde, elle qui organisait tout même jusqu’au plus petit détails innocent, n’avait aucunement songé à la suite des évènement après son départ … Il était rare de voir cette expression sur le visage du majordome, de mémoire d’homme, on ne le vit d’ailleurs jamais arborer cette expression depuis qu’il travaillait chez les Holmes, et cela remontait à bien des années encore !
Il était plus qu’évident qu’il ne désirait pas voir ce désastre arriver et pourtant il arrivait à grand pas, d’ici la fin de journée, sa maîtresse serait déjà sur les routes, au dos de Gryson, son cheval, aussi vieux que cette maison, tirant une charrette, elle même transportant la malle de voyage de la jeune femme. Ceci était inenvisageable pour lui.

Sylvain – Alors si vous devez partir de la demeure, veuillez m’accorder le plaisir de voyager en votre compagnie.

Melody resta bêtement là à le regarder, jamais elle n’aurais songé qu’il parte lui aussi de la demeure, elle comptait d’ailleurs, secrètement, qu’il garde les rennes de la maisonnée en son absence, mais en l’observant, le regard plus qu’inquiet et au vue de sa demande, elle ce questionna longuement.
Voyant que sa maîtresse restait bloquer sur sa décision, il prit la permission inenvisageable, de prendre entre ses mains celles de Melody, ce qui réveilla la jeune femme de sa léthargie instantanément.

Melody – Mais Sylvain, qui va donc s’occuper de la demeure si vous partez ?
C’était la question qu’il persistait à lui poser depuis le début, mais sur la quelle elle n’avait pas percuté et que maintenant elle réalisait.


Sylvain – Comme vous dite, quelqu’un d’autre prendra le flambeau à notre place, mais dans toutes les situations, je ne souhaite pas être spectateur de irréductible qui arrivera.


Il n’avait pas tord et elle comprenait parfaitement sa vision des choses, elle pris un instant pour réfléchir tout de même à la demande de son majordome, dans tous les cas, qu’il soit présent à la demeure et que l’un de ses frère ou que sa sœur prenne en main toute l’organisation, il ne pourrait dire mot sur les directives de ceux ci, ce qui finirait sûrement en scandale et en affreux débarras, et si il partait avec elle, cela ne changerait pas grand-chose à la donne.

Melody – Allez donc préparer ce dont vous aurez besoin pour notre aventure Sylvain !

Un léger sourire sur le visage de Sylvain lui fit changer totalement d’expression, et tout en saluant sa maîtresse, il tourna les talon pour aller préparer lui même une besace, plus pratique pour le voyage qu’une malle.
Deux heures plus tard, les deux compères ce retrouvèrent autour de la charrette qui s’échangea contre une calèche pour recevoir les deux voyageurs et leur bagages.
Le jour commençait à descendre doucement sur la demeure, et la calèche prenait dans la même allure les chemins.

Sur la table du petit salon de la demeure familiale, était posé un mot, signé de Melody Holmes.
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Souzies
[Orthez– Jour X de l’année 1466]


Deux enfants, dans un champs de fleurs, étaient en pleine répétition, pour attirer le client, il faut savoir leur piquer la curiosité et pour cela c'est tout un travail de charme.
Souzies expliquait pour une énième fois comment ce tenir et parler bien fort pour qu'il puisse ce faire comprendre.


T'vois tu tien comme ça, t'bombe l'torse, tu l'gonfle fort, et t'parles pas 'vec t'gorge, t'parles 'vec ton bide, j'sais qu't'a l'dalle, moi aussi j'l'ai, mais faut s’entraîner !

Bernard assit sur son postérieur au milieu de ce champs et observant une nouvelle fois son amie interpréter le geste, il cherchait à savoir comment on parlait avec un ventre, pour lui le son sa sort de la bouche et au pire des cas de la gorge, mais pas du ventre !
Il ce gratta une énième fois sa chevelure cradingue, qui tirait moins du blond.
ses perles bleu était attentif à tout ce qu'elle faisait, mais la fatigue et surtout la faim, le rendait bien moins attentif.
Alors sans ménagement il ce laissait s'écrouler en arrière, écartant les bras et faisant le mort.


J'en peux plus, j'plus d'énergie pour l'journée là ... !

Il poussa un grand soupire d'épuisement.
Souzies posa ses mains sur ses hanches et le regarda, compatissante à son sors qu'elle connaissait parfaitement.
Elle alla donc chercher dans sa besace un morceau de pain frais et de fromage qu'elle avait garder tout spécialement pour lui et le lui offrit généreusement.
Dans un large sourire il pris les victuailles qu'il dévora en un instant, faisant ainsi taire son ventre qui criait famine depuis déjà une bonne heure.
Quand à elle, elle ne dégusta qu'un morceau de pain de la veille, ce qui satisfaisait aussi son propre estomac, même si celui ci aurait aimé dégusté le même repas que l'enfant.
Ils échangèrent ainsi leur vision de leur futur compagnie, ils voyaient les choses en grand, il fallait que ce soit spectaculaire, que les spectateurs en prennent plein les mirettes, c'était pour cela qu'ils s’entraînait durement chaque jour.
Après une bonne heure de repos et un repas engloutit, Souzies ce leva pour reprendre l'exercice, mais Bernard l'interpella.


Et pou'quoi c's'rais pas toi qui l'f'rais ?! T'es plus doué qu'moi !

Elle le regarda, pendant une demi seconde et explosa de rire avant reprendre son calme et de lui répondre.

J'peux pas être au four et au m'lin !

Elle n'avait pas tord, déjà qu'elle créait un spectacle, il lui fallait bien des artistes, et c'était dans toute son innocence et sa bonne volonté que Bernard c'était proposer, mais quand elle lui dit qu'il servirait de rabatteur, pour le coup il n'eu pas compris, comment pouvait on être artiste en étant rabatteur, puis quand vinrent les séances d'entrainement il compris parfaitement que c'était tout un rôle que d'être rabatteur !
Gonflant ses poumons, et ce relevant, il prit son courage à deux mains et ce lança dans une spectaculaire interprétation.


M'sieur, M'dame,
Soyez l'bienvenue ! V'nez rencontrer nos artistes, v'nez découvrir d'merveilles, v'nez observer nos curiosités et en prendre plein les mirettes !
Profiter du pestacle et émerveillez vous des exploits de nos artistes qui vous offre ce soir ce numéro pestaculaire !


Il agitait ses mains, en large et en grand, pour agrémenter ses paroles d'un autre art qu'est le mouvement. Posant par moment la main sur le cœur, pour prendre un aire plus solennel, puis offrant des sourire à qui voulait. Il était parfait dans ce rôle et cela Souzies le savait parfaitement.
Elle applaudissait son petit protéger pour le numéro exceptionnel qu'il venait de lui offrir.


T'es splendide Bernard !
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