Orazio.
Je rejoignais le marquisat d’Arlon, du moins c’est ainsi qu’il se nommait officieusement, officiellement, je ne savais pas ce que c’était. Une terre qui avait décidée de ne pas se soumettre au dicta d’un drôle d’Empire qui était, dans le fond, contrôlé par une église pourrie jusqu’à la moelle osseuse. Le jour n’était pas arrivé que l’on allait me convaincre du bien-fait de l’église aristotélicienne et même si elle pouvait être bien dans le passé, aujourd’hui ce n’était plus le cas. Elle ne voulait pas changer car cela allait bousculer le confort d’une poignée de crétins inutiles qui se prenaient pour les maîtres d’un monde qui les méprisaient.
Enfin, je rejoignis Arlon par curiosité. J’en avais entendu parler par-ci et par-là, jamais rien de positif, mais était-ce étonnant ? Non, dans un monde où seul les fonctionnaires ennuyeux recevaient des louanges comme s’ils étaient le héros d’une épopée épique alors que dans l’absolu, ils faisaient chier tout le monde.
Non seulement avaient-ils dis merde à un bout de papier qui disait « cette terre n’est plus la vôtre », mais ils avaient également dis merde à l’église en rejoignant la réforme. Je doutais que j’allais la rejoindre et ce car la religion avait perdu toute sa place dans ma vie. J’avais d’autres priorités dans ma vie, des choses que je jugeais plus intéressant que de prier un dieu qui, dans l’absolu, se fichait pas mal de nous. Encore que, sur ce point, on peut discuter.
Je recherchais essentiellement à prendre contact avec eux, voir ce qu’ils étaient réellement, ce qu’ils faisaient, avoir quelques informations sur la réforme. J’étais plutôt un homme curieux, certains diront que c’est une mauvaise chose de vouloir connaître la réforme, mais je me demande, pourquoi ? Craignent-ils que l’on y voit là la vraie voie à suivre ?
Peut-être même que cette prise de contact allait m’offrir quelques opportunités intéressantes que je n’avais pas encore. Après tout, ils avaient combattus le grand khan et l’avaient même vaincus, ce qui restait un élément plutôt intéressant. On pouvait espérer à des aventures épiques, du moins de temps à autre, pour se passer le temps.
Je m’arrêtais un temps en ville pour loger dans une auberge. Je profitais de ce moment pour m’informer un peu plus sur les dirigeants du marquisat, ce qu’ils en pensaient, ce qu’ils faisaient.. Bref, les informations classiques pour avoir une quelconque idée de ce qui se passait réellement. Je ne doutais pas que cette petite enquête allait s’ébruiter, mais peut-être que cela allait jouer en ma faveur, allez savoir.
Après quelques jours, je me décidais de rejoindre la forteresse du seigneur, peut-être allais-je y croiser quelques personnes. La forteresse n’avait rien de particulier, j’avais mieux vue même si elle restait belle. Je m’arrêtais près des gardes, faisant un simple signe de la main.
Est-ce que des gens importants sont dans la forteresse ou est-elle… abandonnée ?
Demandais-je tel un innocent. C’était une autre façon de dire « est-ce qu’il a quelqu’un à la maison ». Il ne restait plus qu’à savoir ce qu’on allait me répondre héhé.
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Enfin, je rejoignis Arlon par curiosité. J’en avais entendu parler par-ci et par-là, jamais rien de positif, mais était-ce étonnant ? Non, dans un monde où seul les fonctionnaires ennuyeux recevaient des louanges comme s’ils étaient le héros d’une épopée épique alors que dans l’absolu, ils faisaient chier tout le monde.
Non seulement avaient-ils dis merde à un bout de papier qui disait « cette terre n’est plus la vôtre », mais ils avaient également dis merde à l’église en rejoignant la réforme. Je doutais que j’allais la rejoindre et ce car la religion avait perdu toute sa place dans ma vie. J’avais d’autres priorités dans ma vie, des choses que je jugeais plus intéressant que de prier un dieu qui, dans l’absolu, se fichait pas mal de nous. Encore que, sur ce point, on peut discuter.
Je recherchais essentiellement à prendre contact avec eux, voir ce qu’ils étaient réellement, ce qu’ils faisaient, avoir quelques informations sur la réforme. J’étais plutôt un homme curieux, certains diront que c’est une mauvaise chose de vouloir connaître la réforme, mais je me demande, pourquoi ? Craignent-ils que l’on y voit là la vraie voie à suivre ?
Peut-être même que cette prise de contact allait m’offrir quelques opportunités intéressantes que je n’avais pas encore. Après tout, ils avaient combattus le grand khan et l’avaient même vaincus, ce qui restait un élément plutôt intéressant. On pouvait espérer à des aventures épiques, du moins de temps à autre, pour se passer le temps.
Je m’arrêtais un temps en ville pour loger dans une auberge. Je profitais de ce moment pour m’informer un peu plus sur les dirigeants du marquisat, ce qu’ils en pensaient, ce qu’ils faisaient.. Bref, les informations classiques pour avoir une quelconque idée de ce qui se passait réellement. Je ne doutais pas que cette petite enquête allait s’ébruiter, mais peut-être que cela allait jouer en ma faveur, allez savoir.
Après quelques jours, je me décidais de rejoindre la forteresse du seigneur, peut-être allais-je y croiser quelques personnes. La forteresse n’avait rien de particulier, j’avais mieux vue même si elle restait belle. Je m’arrêtais près des gardes, faisant un simple signe de la main.
Est-ce que des gens importants sont dans la forteresse ou est-elle… abandonnée ?
Demandais-je tel un innocent. C’était une autre façon de dire « est-ce qu’il a quelqu’un à la maison ». Il ne restait plus qu’à savoir ce qu’on allait me répondre héhé.
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