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[RP]Folie pure pour un futur -> Chap1 : les prépas

Solveig.eriksen



Tout et n'importe quoi sur la préparation de ce mariage
Où ceux impliqués de près ou de loin pourront intervenir

Moments choisis : post sporadique, correspondance, scènette
Peu importe la forme le tout est de s'amuser


Pensez juste à baliser vos écrits




[Pensée narrative]

Salut la compagnie.

Je me présente Solveig Esmée Eriksen, cherchez pas à m'entendre parler je ne serais ici qu'un regard extérieur qui n'interviendra que pour vous donner mon point de vue vécu de l'intérieur, oui non parce qu'accessoirement je ne suis qu'un petit bout de quelques mois.
Alors pourquoi je me mêles de tout ça me direz-vous ? Parce que je suis un petit peu beaucoup concernée par ce qui va se passer en fait, et que je peux vous retracer un peu l'historique si ça vous tente.
Pis aussi parce qu'on s'est servi de moi pour lancer les invitations en faisant croire que ça venait de moi, non mais franchement qui peut sérieusement penser qu'une petite fille de même pas trois mois pourrait prendre une plume et écrire ce genre de parchemin que les conviés commençent à recevoir à droite à gauche dans le royaume.



Bon donc vous l'aurez compris, il va être question du mariage de mes parents, fin non pas encore, des préparatifs en fait, parce que le grand jour est pas pour demain encore.
Oh je vous entend hein "mais ils ont pêchés" tout ça, tout ça, et bah oui font rien comme tout le monde mes parents, sont imprévisibles.
La suite ???
Au prochain épisode.


_________________
Solveig Eriksen
Eudoxie_
Il est des espoirs que même l'absence ne saurait éteindre (E.C)

Absent ? Missive ? Espoir…

"Cabane Eudoren dans la garrigue marseillaise"


Les choses se précisaient et la date "fatidique" approchait plus vite que jamais, deux mois, deux tout petits mois pour tout finaliser, pour prévenir tout le monde, la liste des invités avait été vite montée, probablement des manquants, et régulièrement des noms revenaient au danois qui se disait sans ami, bah pas tant que ça en fait.
De son coté, la plupart des faire-part avaient été déposés par pigeon sans autre courrier car les convives croisés récemment en Provence, quasi toutes les invitations avaient été envoyés mais certaines demandaient un peu plus de rédaction.

Dans un premier temps, un blond qui risquait de râler, avec sa grossesse proche du terme la bestiole n'avait pas pu se rendre au mariage de son mentor, mais bon prévenu trop tard pour pouvoir y être donc pas de regret.
En revanche, pas de courrier non plus pour annoncer la naissance de sa fille, mais entre nouvelle vie de maman, pastorale, baptême, voyage vers le marquisat provençal, bah... pas eu le temps, pas penser, pas... ouai la brunette avait zappé on allait pas se mentir hein.




    Le 22 Septembre 1466, Marseille

      Salut Chou,

      Comment va le jeune marié ? Ton épouse ? Ton époux ?
      Fin toi quoi. Tu es où ?

      Je sais pas écrit depuis un moment, ni annoncé la naissance de ma fille, mais la tradition veut qu'on attende quelques mois voir si l'enfant survit, ça semble être le cas, donc... oui j'ai accouché en juillet d'une petite fille, Solveig.
      Pas de bol tu vas me dire je t'entend de là, les nanas ce sont des nids à emmerdes.

      Nous sommes actuellement en Provence où comme tu te doutes les préparatifs du mariage se mettent en branle, alors comme promis je sais où et quand donc je t'envoie les informations.

      Avec deux mois d'avance tu devrais pouvoir arriver à temps je pense, je te rappelle que tu dois me donner le bras pour entrer dans l'église, fin sauf si tu as changé d'avis, dans ce cas j'irais seule.

      Donnes moi de tes nouvelles, tu me manques et vu que je ne bouge pas de Provence pendant plusieurs semaines, je ne risque pas de te croiser par hasard sur les routes.

      Je t'aime.

      Ta princesse.
      Eud




Le coeur plus lourd l'index caressait trois prénoms, de ceux qui manquaient et que la vie avait tenu loin d'elle, trop loin d'elle sans qu'elle ne puisse y changer quoi que ce soit, le souffle qui filtra hors de sa bouche laissant percevoir sa peine.
Un complice disparu depuis un an maintenant et dont personne n'avait de nouvelles, une amie que la fatigue et une santé fragile avaient envoyé au couvent et un poète ami dont la vie passé l'avait fait disparaitre dans les dédales parisiens.




    Le 24 Septembre 1466, Marseille

      Mon coté sombre, mon complice,

      J'écris sans même savoir vraiment pourquoi... toutes mes lettres précédentes étant restées sans retour, quand elles ne me revenaient pas.
      Peut-être un fol espoir tout bêtement.
      Déjà plus d'un an que j'ai tenté de te retrouver en Helvétie Gérard, et plus d'un an que je saigne ton absence, ta disparition.

      Peut-être ce messager ci te trouvera, alors tu apprendras que j'ai donné naissance à une petite moi et que je voudrais t'avoir à mes côtés pour le jour de mon mariage.
      Oui, l'électron libre s'est posé vois-tu... et tu n'es pas là pour partager mon bonheur.

      Mon soleil me manque, tu me manques, j'espère vraiment que... qu'un souhait de ces génies de légende me soit accordé, un de ses petits miracles.

      Ta complice
      Eud







    Le 24 Septembre 1466, Marseille

      Ma nymphe,

      Comment te portes-tu depuis ton couvent je ne sais plus trop où, mais trop loin ?
      Des lustres que je me dis que je dois t'écrire et que bien sur je ne prend pas le temps de le faire, oui je sais c'est... oui t'as compris.
      Depuis que Solveig est parmi nous j'ai l'impression d'avoir le temps de rien, mais je t'écris pas pour ça, cela dit rassure toi, elle va bien et nous on apprend chaque jour auprès d'elle, doucement mais surement à être des parents pas trop empotés.
      Soren est un papa parfait à mes yeux mais niveau objectivité hein on repassera je crois hé hé
      Bon, j'ignore dans quel état tu es, si tu vas mieux, mais je t'envoie le faire-part du mariage, mine de c'est que ça approche bien vite et qu'on est plusieurs à vouloir te voir avec nous ce jour là.
      Finalement ce sera en Provence alors tu connais la route, tout droit vers le sud à coté de la mer.

      Tu nous manque, tu me manques.

      Ta BB qui t'aime.
      Eud







    Le 24 Septembre 1466, Marseille

      Auguste,

      Déjà plusieurs mois que ta plume reste muette, j'espère que ton escapade parisienne se passe bien, que tes craintes n'ont pas été aussi fondées que tu le pensais.
      Ton départ sonnait un peu comme un adieu, mais tu m'avais dit que tu essaierais d'être là pour la naissance tu n'as pas pu.
      Elle s'appelle Solveig, et est arrivée début juillet.

      Mais je t'envoie donc un parchemin, une invitation aujourd'hui, officielle et...
      Viens s'il te plait, j'ai envie que tu sois là, amène ta petite protégée aussi elle sera la bienvenue.
      Je t'aurais bien envoyé ma boussole pour te guider mais, j'ignore si le messager te trouvera et je tiens à cet objet, c'est un ami poète qui me l'a offert y'a bientôt un an.
      Trouve le chemin jusqu'à nous

      Prend soin de toi.

      Eud



Plume échauffée et bestiole aux doigts encrés, les rouleaux de vélin furent scellés d'un ruban violine après qu'un faire-part y ait été associé, marque habituelle des missives d'Eudoxie, une missive partant avec Hulule vers sa maitresse.
Les deux autres étant confiés plus tard à deux messagers équestres pour tenter de trouver les bruns à qui étaient destinées les autres courriers, sans doute d'autres courriers seraient à rédiger mais pour l'heure une petite merveille nécessitait l'attention de la béarnaise.

_________________
Eudoxie_
Quand ça jacasse, évite la casse (E.C)

Missive ? Surprise ? Loupé…

"Cabane Eudoren dans la garrigue marseillaise"


Matin ensoleillée sur la campagne provençale et une tartine sucrée en main, la brunette avait vu le piqué d'un pigeon rabougri sur les miettes de pain recouvrant la table en terrasse, la faisant sursauter.
Surprise passée, le message à la patte fût déroulé et un long soupir s'échappa des lippes luisantes de gelée de groseilles, comment avait-elle pu occulter que l'information arriverait à certaines oreilles plus rapidement qu'elle le pensait.




    Le 27 Septembre 1466, Aix

    Ma Bestiole,

    Nous étions à Aix hier, où il y avait tant de marseillais qu'on se serait cru au bord du vieux port, té!
    J'ai rencontré Zézé, aussi.
    Ca faisait une tripotée que je ne l'avais pas revue, la matriarche.
    Elle a été surprise d'apprendre que vous alliez vous marier, tout comme j'ai été surpris d'apprendre qu'elle n'avait pas reçu d'invitation.
    Pour la consoler, j'ai mis ça sur le dos du manque de mémoire de Sandino, qui a dû oiblier de lui en parler.
    Otez moi d'un doute, vous avez bien invité la kumpania pour le mariage?

    Gros bisous et embrassez votre princesse et son père pour moi

    Dom


La réponse fut aussitôt retournée, agacement probablement perceptible même si le célestien ne pouvait pas deviner les intentions du couple Eriksen.




    Le 27 Septembre 1466, Marseille

    Dom,

    Et bien non je n'ai pas invité la kumpania au mariage...

    Nous l'avions évoqué avec eux lors de mon passage à Arles.
    Je comptais donner officiellement le faire part en allant à Arles pour réserver la cathédrale.

    Mais je pense que je vais devoir le faire via un corbeau impersonnel maintenant et expliquer pourquoi ils n'avaient pas encore reçu leur invitation.

    Eud


Suite logique après avoir pris le temps de finir sa collation matinale et s'être occupée de sa fille, la béarnaise sorti fusain pour jouer de son écriture sur un vélin explicatif pour le patriarche et la matriarche de la kumpania.




    Le 27 Septembre 1466, Marseille

      Latcho dives Zézé et Sandino,

      Comment vous portez-vous ?
      J'ai eu vent par missive d'un olivophile de notre connaissance qu'une fois de plus il avait eu la langue bien pendue alors je prends vite ma plume pour vous écrire et contrarier mon projet initial.

      Dom m'a écrit l'étonnement de Zézé en apprenant notre mariage, nous en avions pourtant parlé à Arles de mémoire, mais l'endroit n'était alors pas fixé peut-être et surtout les invitations officielles non écrites encore.
      Il va de soi que vous êtes conviés à notre union je ne l'imagine pas célébrer sans votre présence alors que Sandi l'a scellé de sa bienveillance devant la Mère des mères.
      La date n'a d'ailleurs pas été choisi au hasard, c'est l'anniversaire de cette promesse échangé il y a un an, que nous comptons renouveler Soren et moi de manière plus intimiste juste nous deux au sanctuaire après le mariage.

      En fait, si vous n'aviez pas encore reçu l'invitation officielle c'est parce que nous comptions venir au campement à Arles quand nous y retournerons réserver la cathédrale, et vous la remettre en main propre.
      Et bien ça se fera par corbeau ma foi.
      Cette invitation vous est adressé personnellement mais il va de soi qu'elle s'adresse à tous les amis de la kumpania qui souhaiteraient venir fêter avec nous.

      Prenez soin de vous et à très vite.

      Eudoxie (aussi)



Invitation officielle glissée au parchemin, un corbeau se pressa de rejoindre le campement gitan avec le tout noué d'un ruban violine comme toujours.

_________________
Soren

Les préparatifs et moi, ça faisait deux, deux comme le nombre d’esprits qui habitent ce corps. Ça, c’était sans doute dû à mon caractère imprévisible. Normal non? Aussi étonnant que cela paraisse, c’est moi qui ait proposé le mariage à Eud …et moi aussi qui suis fâché avec cette cérémonie. La première fois que j’ai eu à faire avec un mariage, ça m’a valu la prison et le bannissement du Danemark. Malgré cette expérience guère satisfaisante, j’ai accepté un premier mariage à Sarlat, Périgord. Ma mère était contre, ma soeur était contre, j’ai tué la meilleure amie de ma future épouse dans un duel judiciaire quelques jours avant la cérémonie et une jeune scandinave est venue déclarer devant toute l’assemblée lors du mariage que j’étais le père de son enfant. Bref, vous voyez, moi, les mariages rocambolesques, j’ai déjà donné. Vous avez beau vouloir tout prévoir, il se passera toujours quelque chose auquel vous ne vous attendez pas. Celui-là ne fera pas exception j’en suis persuadé même si j’espère qu’il sera plus calme. Alors si au lieu que ce soit les mariés qui se fassent surprendre, c’étaient les mariés qui surprenaient? Hum? Vous en pensez quoi vous? Attendez, vous verrez que cela ne manque pas d’intérêt.

Scénario numéro un : Vous payez quelqu’un qui se lève au moment où le cureton prononce la phrase fatidique, vous savez celle où l’on s’assure que personne n’a de raison valable de s’opposer au mariage. Vous inventez une raison bidon. Les époux font semblant d’être médusés, le curé refuse de prononcer le mariage, les futurs époux balancent tout en l’air en riant, en sortant de l’église et vont entamer leur nuit de noces immédiatement, laissant là leurs invités se débattre dans l’eau chaude d’une cérémonie interrompue. Ensuite, les ex-mariés demandent à leur ami gitan de renouveler leurs voeux.

Scénario numéro deux: Le curé qui doit officier a été kidnappé par Dési et sa bande de pisseuses. Tout le monde est réuni dans la cathédrale d’Arles, attendant Anne qui ne vient jamais. Le mariage n’a jamais lieu et la cathédrale est transformée en auberge pour accueillir les festivités du mariage qui elles ne sont pas annulées. Vous voulez savoir le plus drôle? Dési s’est jointe au banquet incognito avec sa bande de traine-savates et finie totalement murgée en se soulageant dans les fonds baptismaux.

Scénario numéro trois: Les mariés ont fait une blague à leurs invités. Il n’y a jamais eu de mariage prévu mais tous le monde s’est réuni à Arles pour l’occasion. Eud et Søren avaient seulement envie de voir la trogne de leurs de proches.

Scénario numéro quatre: Les futurs époux se sont mariés secrètement la nuit précédente pour éviter que Dom ne réclame la Prima Noctae. Le jour même ils arrivent dans la cathédrale en regardant leurs invités médusés et leur annonce sur un air de surprise «: « Quoi?!?!?!? Ne me dites pas qu’on s’est trompé de date sur les invitations de mariage?!?!?! »

Scénario numéro cinq: Les enterrements de vie de célibataire ont été fêté tellement forts la veille qui ni la mariée, ni le marié n’arrive à temps dans l’église. Du coup, Dom en profite pour passer devant le cureton pour la vingt-septième fois de sa vie et devient poly-polygame en mariant dans une seule cérémonie toutes ses épouses fertiles précédentes.

Scénario numéro six: La ville d’Arles est prise par les Corleone…Enfin, ce qu’il en reste… qui viennent rappeler au danois qu’il y a toujours eu un différend entre eux et lui et que ça n’est pas prêt de se terminer. Tous les invités sont barricadés dans la cathédrale, porte close. Un siège commence. Combien de temps durera t-il? Ça, seules les forces de l’ordre provençales peuvent le dire.

Scénario numéro sept: Le blond meurt le matin même d’avoir trop abusé de sa future épouse lors d’ébats sexuels d’une rare intensité. Du coup, les trois mariages que le cureton avaient prévu dans sa journée se transforment en un enterrement.

Bon, vous avez compris l’idée? Des possibilités il y a en de multiples. Je ne serais pas contre un mariage tranquille, hyper romantique à faire verser des larmes aux jeunes demoiselles à peine nubiles mais vous voyez, je n’y crois pas beaucoup. En attendant, moi aussi, j’ai quelques invitations à envoyer même si je n’ai que peu de connaissances encore en vie. Alors, c’est parti, gratte la plume sur le vélin et vole corbac, vole!


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Eudoxie_
""En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part" (lapin blanc)

Compte ? Rebours ? Stress…

"Roulotte Eudoren en Arles"
Mi-Novembre



"En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part", moui elle ressemblait un peu à ça la petite brune depuis son arrivée à Arles, entre l'espérance des réponses à ses missives qui non ne venaient pas.
Sans trop savoir pourquoi, si elle n'avait eu que peu d'espoir concernant Gérard, elle pensait qu'il en serait autrement pour son pouet, mais l'histoire semblait vouloir se répéter, se lier d'amitié avec un brun au regard clair provoquait une irrémédiable disparition semblait-il...

Mais l'heure n'était pas aux tergiversations, les derniers préparatifs devaient se gérer... l'église, le buffet, la salle, les tenues, sa robe, les trucs, les bidules, les machins et les chouettes... pfiou tout ça et bien plus encore mais dans quoi avait-elle embarqué la béarnaise uhm ???
Bon déjà une chose était réglé et pour ça, elle ne serait jamais assez reconnaissante de ce cadeau, de cette preuve d'amour que son jumeau diabolique lui avait fait en acceptant de composer avec ses croyances pour pouvoir être son témoin. Oui pour elle il l'avait fait... Kaghan s'était fait baptisé.

Soren avait sa tenue bien entendue, les armoiries de sa famille, si le nom qu'elle ajouterait au sien serait celui patriarcal, Eriksen, les couleurs arborées seraient celles des Mac Fadyen, restait maintenant à habiller le reste de la troupe alors c'est sans trop laisser le choix que la bestiole avait été récupérer sa nymphe, son p'tit bouchon et sa brune.
Les pauvres n'avaient guère eu le choix, et c'est en "troupeau" que tout ce petit monde arriva chez la tisserande, et oui Témouine Ambresque, Demoiselle d'honneur Carlesque et porteur d'alliance Amauresque (oui oui la jd pète un câble il est tard, ou tôt, question de point de vue) allait passer aux essayages et retouches des vêtements prévus par la future mariée.

Au défilé des protagonistes, l'orthézienne ne put s'empêcher de sourire, ils étaient parfaits, beaux, c'était tout ce qu'elle voulait et comble du comble, elle avait fait en sorte de respecter la nature de chacun dans ses commandes et... avait à priori réussi les tenues plaisants à ses amies et au petit bout.
Restait sa robe, mais ça... le secret resterait gardé et Eudoxie repasserait plus tard voir la tisserande s'entendant dire, "vous avez maigri mais z'avez toujours trop de seins dame Eudoxie", bah oui bah oui mais hé... pas sa faute si Solveig était une vorace.

En attendant... Tisserande Check !!!!
Next.... Chou t'es où ???



    Novembre 1466, Arles

    Chou !!!!

    Dis moi que t'es vivant ???

    Jamais tu réponds à tes courriers dis ?
    Je te rappelle que tu dois m'amener devant l'autel le 20 novembre normalement.
    Tu seras là ? T'es en prison ? T'es mort ?
    Répond moi !!!

    Je t'aime.

    Ta princesse.
    Eud


_________________
Amaury_de_plumaugat
Le petit bonhomme ne tenait plus en place depuis que Eudoxie lui avait demandé de porter les anneaux le jour de son mariage. C'est à peine s'il ne demandait tous les jours à ses parents si le mariage était pour bientôt. Porter un bel habit, être, un petit peu, le centre des attentions pendant quelques instants, et surtout être avec Eudoxie un jour si important...! Il comptait bien prendre son rôle très au sérieux. Ce serait son premier mariage, il n'en avait encore jamais vu, mais il savait que la mariée était toujours très belle ! Et Eudoxie serait sans aucun doute la plus belle ! Il s'imaginait déjà... Mais il fallait d'abord qu'il ait un bel habit ! Alors quand Eudoxie vint le chercher pour aller chez la tisserand, en plus avec Maman et Carla, Amaury courut plus qu'il ne marcha. Mais ne connaissant pas la route, il était obligé de revenir auprès des adultes :

- Alors ? C'est à droite ? A gauche ? On est bientôt arrivés ?
Eudoxie_
"L'innocence est une délivrance" (E.C)

Essayage ? Impatience ? Amaury...

"Arles : atelier tisserand"
Mi-Novembre


S'il en était un encore plus impatient qu'elle s'était sans nul doute le petit bouchon, Eudoxie n'aurait jamais cru faire autant plaisir à ce petit d'homme en lui confiant la tâche de porter les alliances en ce jour béni qui s'apprêtait à être célébré.
Il trépignait la tirait par le bras pour les précéder alors qu'au final il ne connaissait pas la route ce qui fit grandement sourire la brunette manquant de trébucher sous son engouement.

Oui, oui, Amaury, relève le nez regarde c'est ici

Et ce coup-ci se fut la main de l'orthézienne qui entraina le fils des célestes pour le confier aux mains de la couturière pour les ultimes essayges du vêtement qu'elle lui avait fait confectionner.
Un sourire tendre aux lèvres et en hâte de voir Amaury dans l'étoffe qu'elle avait fait tisser sur meure, la lèvre inférieure de la bestiole se vit doucement martyrisée par des quenottes angoissées.


_________________
La tisserande, incarné par Eudoxie_



La Tisserande




Et les voilà qui arrivaient enfin.
Et c'est un joyeux bambin que la future mariée m'amenait, et qu'il était chou le gamin, c'est que j'ai pas pu m'en empêcher l'a fallu que j'aille y pincer les joues et lui tigonner la tignasse.
    "Mais regardez moi ce petit ange, on en mangerait de ce petit bonhomme, alors c'est pour toi que j'ai tissé et cousu sans relache uhm ? Rhooo Dame Eud vous aviez pas dit qu'il était si mignon, on le mangerait tout cru dites"

Ni une ni deux j'avais attrapé la tenue du gamin pour qu'il la passe et que je vois si fallait rajuster.
    "Viens t'en donc par là mon prince qu'on montre à Dame Eudoxie comme tu es beau dans ta tenue de mariage.
    P't'ête bin que c'est toi qu'elle épousera tiens."

Et pendant que le blondinet se changeait j'avais apporté les robes en tentant de bien me souvenir, alors la tenue qu'avait pas de ça c'était pour la dame blonde et celle qu'avait un c'était pour la brune.
    "Voilà Mes Dames, voici ce que votre amie a fait faire pour vous, vous avez des pièces par ici pour vous changer, je viendrais voir si il y a besoin de retouche quand j'aurais fini avec le petit prince."





Amaury_de_plumaugat
Ouf… Ca y est, enfin arrivés… Ce que ça avait été long... Au moins deux… Non ! Trois éternités au complet avant d'arriver. Amaury ne fit pas trop attention au pincement de joue et failli presque être impoli avec la dame tellement il était pressé de voir sa tenue. Il salua la dame et rougit sous les compliments.

Mais enfin ! Enfin ! Elle lui tendit sa tenue ! Ses yeux s'ouvrirent tous grands. Oh comme elle était belle ! Hein ? Moi ? Epouser Eudoxie ? Il se tâta la lèvre supérieure en regardant Carla et ne pu s'empêcher de pouffer de rire. Ah mais non ! C'est Carla qui attendait ma moustache pour m'épouser ! C'était leur sujet d'amusement à tous les deux.

Vite ! Vite ! S'habiller de toute urgence ! Il passa derrière un paravent et commença à se déshabiller pour enfiler sa nouvelle tenue.

- Ca y est ! Chuis prêt !

Il faillit bien sortir en courant, une fois de plus, pour se montrer, mais il fallait attendre la dame pour qu'elle voit s'il fallait faire des retouches.
Princekris
(quelques jours plus tôt en Castillon)

Les jours d'Octobre s'écoulaient doucement sous un froid sec . Le castillonais de retour de forêt trouve un pli glissé sous sa porte. Regard direct vers la signature souvent plus importante que le texte.

Soren?!

Que voulait il donc. bla bla bla....bla bla bla...mariage.

Mariage? Diantre fichtre ! A Arles !

Kris s'installe à sa table et rédige 3 courriers: un pour Vanu, un pour Nabeille et le dernier pour Opaline. Puis il prépare ses affaires pour prendre la route le lendemain
_________________
4V/2D
Edern



    Vous ne rêvez pas, il est bien là. Il avait calé une croix sur le calendrier pour cette date fatidique et avait oublié de répondre dans la foulée. C'était pourtant évident qu'il ne raterait pour rien au monde le mariage de sa princesse. Rien, nada, même pas une saloperie d'armée Auvergnate, des connards d'auvergnats - Comment ça, je me répète ? voire la guerre Angevine, son propre mariage ou sa descendance qui prétend être enceinte sans oublier Katina qui va accoucher bientôt. Edern était un homme de parole et avait le sens des priorités. Si tôt remis sur pied, il avait filé mettre au chaud les caisses de jambon de Bayonne dans la propriété Angevine. Vous verriez l'foutoir, heureusement que le Rouergue est fort lointain, et avait tracé la route jusqu'au lieu de la cérémonie. Non, en vrai, on ne s'imaginait pas la vie active qu'un félon pouvait avoir. Là, déjà qu'il traçait du sud-nord-nord-sud la France à longueur de temps avec son poids mort de Boby et son amant-bien-aimé. En plus, il avait deux ou trois jours d'avance. C'était donc un Lisreux parcourant les rues, les épaules encore chargés de sacs, vous voyez? Celui qui n'a pas encore trouvé d'auberge pour passer la nuit.

    « Bon, j'ai pas pensé au cadeau. T'as pensé au cadeau ? »


    Et voilà comment on remet ça tranquillou sur le dos de son amant qu'on a averti au dernier moment et qu'on laisse porter une bonne partie du chargement. Les mains occupées à gribouiller à sa princesse, Edern ne fait même pas attention où il avance dans al rue, et quand des passants le bousculent, il les injurie en retour. Nous voilà dans le plus normal des mondes. Un pigeon plus tard, Edern ne vient pas plus aider Felix à porter les affaires. Disons qu'il aime bien voir son Éphèbe se démmerder sévère: Il lui a toujours dit: Faut te muscler, chéri. Aujourd'hui ce jour était arrivé. Un peu contre le gré de l'amant sûrement qui ne devait pas voir d'un bon oeil la nouvelle méthodologie Lisréenne. En attendant, le Lisreux trouve un mur contre lequel terminer de gribouiller son mot qui s'envole aussitôt vers la Princesse Abandonnée depuis des longs mois.


    Citation:



      Princesse,

      Je suis là et en avance, je te prie.
      Où es-tu que je te colle une claque une bise

      Edern




    « Je m'en roulerais bien une, moi.»

    Aussitôt souhaité, aussitôt le Lisreux fouille dans une poche pour sortir sa came qu'il ne tarde pas à vouloir allumer. C'est alors que Edern redémarre au pas de course pour trouver l'étincelle qui exaucera son voeux, ponctuant d'un « Traine pas Chaton » très classe.


_________________
Fel_x
Et comme, il fallait bien se l'avouer, l'un allait quand même rarement sans l'autre, Éphèbe suivait de près le blond amant qui, d'un pas trop distrait pour être pressé, traçait le chemin au milieu des gens de la plus civilisées des façons. Lorsqu'il butait sur quiconque avait eu le malheur de ne pas dévier de trajectoire devant la sienne visiblement immuable, il proférait des mots dont Félix aurait tremblé être le destinataire - et ça tombait plutôt bien, il ne l'était jamais -. En revanche, c'était bel et bien lui qui, lorsque son regard croisait celui de la personne qui était à peine en train de prendre conscience de ce qui venait de lui arriver - 1 : elle s'était fait rentrer dedans, 2 : elle s'était pris une sévère réprimande -, offrait un petit sourire mi-désolé, mi-amusé, comme si tout cela n'était qu'un jeu qui ne méritait pas qu'on s'y attarde. En réalité, il essayait tant bien que mal d'éviter qu'ils ne s'attirent des ennuis tout de suite - après tout, n'étaient-ils pas en avance de plusieurs jours, ce qui signifiait bien qu'ils allaient devoir rester en ville autant de temps ? -. Et en même temps, il gardait un oeil sur l'aimé pour éviter qu'il ne termine le nez enfoncé dans un mur. Qui avait dit que sa vie était reposante parce qu'Edern l'entretenait, parce qu'il avait à peu près tout le temps qu'il voulait pour rêver à sa guise ? Il se sentait presque parfois comme une sorte de père ou de frère de substitution - et il est bon d'insister sur le "presque parfois" pour éviter toute méprise -. Mais comme même son dévouement avait certaines limites...

Non, je n'ai pas pensé au cadeau.

Après tout, il connaissait à peine celle qu'ils allaient admirer au "plus beau jour de sa vie". A dire vrai, il ne la connaissait que du peu que son amant lui en avait parlé, et ce peu était tout ce qu'il demandait. Il pouvait se montrer bien frileux par rapport au passé du blond. Autant parfois, il avait eu plaisir à s'y plonger tout entier, se délectant des souvenirs et de l'image qu'il se faisait avec de son mari dans sa prime jeunesse - il n'en était qu'à la deuxième, quoi qu'il puisse en dire -, autant en général, il évitait de poser trop de questions à ce sujet. Beaucoup de fantômes parsemaient les réponses, et il n'était pas toujours temps de les réveiller. Il les savait pourtant à portée de main, puisque l'amant était contraint, au même titre que lui, de répondre à toutes les questions qu'il pourrait lui poser. Mais la plupart du temps, ces questions ne venaient pas, parce que ce n'était pas le moment, parce qu'il n'en avait pas envie, ou même sans raison. Et il s'en contentait, pas le moins du monde dérangé du déséquilibre, sur ce point-là particulièrement, entre ce que savait l'aimé de lui, et ce qu'il savait lui de l'aimé. Mais la conséquence était là, pourtant :

Je ne sais pas qu'est-ce qu'elle aime, moi. C'est votre amie à vous !

Et disant cela, il remonta sur son épaule le lourd sac qui y pesait. Parce que l'amant semblait ne pas trouver suffisant le fait que Félix fasse nourrice et médiateur entre le blond et les percutés, il avait aussi fallu que ce soit lui qui porte la plupart de leurs bagages. Mais sur ce point-là, Ephèbe s'était juré de ne pas émettre une seule râlerie, de ne pas laisser entendre un seul soupir de lassitude ou d'agacement. C'était qu'il s'entraînait, Chaton, pas mal, plus qu'il ne le laissait entendre à l'amant - pourquoi ? Il n'avait pas bien su. Peut-être une sorte de pudeur mal placée, peut-être pour que ses progrès puissent davantage le surprendre, peut-être pour qu'il soit satisfait quand il apprendrait que les entraînements étaient plus fréquents et plus intensifs qu'il ne le croyait -. Et même si évidemment, il ne pourrait pas porter son chargement pendant encore des heures, il était loin d'avoir atteint sa limite physique. Aussi se forçait-il même à arborer un air tranquille, quasiment détendu, même si Edern avait le nez plongé dans ses pigeons - et quelle idée d'écrire en marchant, aussi ? -. Une main était même plongée nonchalamment dans sa poche, et ses yeux avaient même parfois le temps de regarder autour d'eux, curieux, comme à leur habitude. Sauf que ce fut cette petite distraction de quelques secondes à peine qui donna juste le temps à l'amant, après s'être confectionné sa petite friandise, de partir en courant tout soudainement, sans prévenir, sans raison, sans rien d'autre qu'une envie visible de faire chier son monde. Et son monde, à cet instant, était réduit à : Félix.

Planté.
Là.
Comme un gland.


'Foiré...

Le ton était légèrement amusé, parce qu'un Chaton ne se défaisait pas de sa bonne humeur aussi facilement, et aussitôt il emboîta le pas trop rapide pour compter le rattraper, mais assez vite pour ne pas le perdre de vue, laissant son pouls et son souffle accélérer la cadence. Faut dire qu'il avait beau faire des enjambées plus sportives et relevées, les sacs, eux, ne perdaient en rien de leur poids.
Saleté d'amant.

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Guillon

    *Arles, 19 Novembre 1466*


    « Le renouveau a toujours été d'abord un retour aux sources. » - Romain Gary



      Guidé par quelques mots, héritage parcheminé d’une voix de passé, avait il fini par arrivé à l’endroit désigné : Arles.
      Croisé des chemins pour deux êtres qui allaient pour une obscure raison affirmer leur lien devant une église qui leur serait indifférente, si ce n’était qu’un présomptueux Pape devait être satisfait de savoir que son institution était toujours considérée comme légitime au point même où il paraissait indispensable de passer par celle ci pour valider un lien qui, le cas échéant n’était pas reconnu… Pourquoi ne vaudrait il rien ? Quelle présomption !
      Quand aux concernés alors, leur histoire romantique de rubans n’avait elle pas suffit qu’il fallait faire semblant d’en avoir quelque chose à cirer de l’Eglise ?
      Sujet obscure qui partait d’office perdant dans l’esprit de l’artiste indocile. Y réfléchir ne menait à rien, surtout pas à améliorer son humeur. Passé outre aurait été amplement suffisant, mais il fallait toujours qu’il y revienne : il devait bien y avoir un moyen de contrecarrer de telles fondations, de s’en rebeller, de cracher à la figure de cette institution… Si nuire à la cérémonie aurait été son premier réflexe, l’amitié avait alors plus de valeur pour l’en retenir. Un petit grain de sable sur la balance. Juste assez pour se donner bonne conscience.

      “C’est leur choix, il faut le respecter” résonnait alors dans son esprit, sans aucune conviction envers leur jugement qu’il trouvait pourtant erroné.
      “Pense à eux, pas au contexte !” devait il se répéter, gardant cette manie de se parler à soi-même, proche de la schizophrénie qu’il avait gardé depuis son isolement en solitaire. Mais parfois, mine de rien, cela l’aidait à garder la tête froide.
      Ou en tout cas, durant un temps… Car l’imagination fertile de l’agitateur ne manquait pas de le tenter avec toutes sortes de plans farfelues, à la limite de l’acceptable.
      Comment pourrir la cérémonie… Mais pas trop : réunir une troupes de ribauds pour une fête indécente à la sortie devant l'église quand les mariés en sortiraient, ou faire d’autres pitreries à l’intérieure même de la cathédrale allant de la propagande grivoise murmurée sur les bancs ou distribués sous formes d'écrits… De quoi faire sourire les invités, juste assez offensant pour ne gêner que le curé. Et là encore, fallait il tomber sur des ecclésiastiques qui respectaient leurs règles morales. Chose bien rare en cette époque où tonsurés et nonnes venaient d’eux même participer à quelques orgies, s’ils n’allaient pas d’eux même les organiser ! Ce n’était pas tant les serviteurs de l’eglise, les moutons de l’institutions à qui il en voulait. Et s’il savait endosser des rôles et des masques, il n’était pas très friand de jouer au faux cul quand il avait l’occasion de nuire, ne serait-ce qu’un minimum, par principe, à la Grande Eglise.

      Il était pourtant là. Sans qu’on le sache présent. Que pensaient ils tous quand ils le verraient ? Le revenant. Lui-même n’était pas sur combien de têtes familières il retrouverait à la cérémonie. Pour préserver l’effet de surprise, il sortit peu, évita la foule, les grandes rues, les tavernes et usa de pseudonyme et de jeu d’acteur auprès des marchands.

      Il a avait eut l’occasion de préparer ses manigances pour la cérémonie, la matériel avait été transporté depuis Nîmes, il fallait simplement trouver quelques complices sur place, ce qui était de loin la partie la plus compliqué de son plan. Tout ce mal pour ne pas gâcher la surprise, alors que la première chose qu’il voulait faire, c’était de les retrouver, de leur annoncer à tous son retour… Fichu caprice d’artiste à toujours vouloir trop en faire.
      “Ca leur fera un bon souvenir !” se disait il, se flattant tout en essayant de masquer son égo, alors qu’une part de lui imaginait déjà la répercussion sur sa réputation et popularité, résultant en une soudaine explosion de vente de ses écrits. Etrange besoin inconscient qui avait grandit en importance depuis son évasion. Comme si la crainte de finir ses jours dans une geôle avait ravivé la crainte de finir oublié et que le nom de Guillon n’aurait après son décès aucune résonance, que son impacte sur la littérature de son époque soit tout aussi éphémère.

      Pas de coïncidences cette fois ci, tout serait planifié. Il n’irait pas crier tout haut qu’il serait de retour. Ils le découvriront à sa façon… Allait il tenir jusqu’au moment de la cérémonie restait une autre paire de manche… Les savoir proches était une sacrée tentation. S’il n’avait pas idée qui d’autre était là, il était au moins persuadé de la présence du blond et de la brune. Un jour à tenir… Tant d’heures en plein calvaire.




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La Tisserande, incarné par Eudoxie_



La Tisserande


[Arles]
[Quelques jours avant le grand jour]



    "Mais qu'il est beau !!!!!!!!!!"

J'avais vite vu qu'il faudrait reprendre un peu au genou mais le petit était comme le courant d'air, pressé d'aller se montrer aux copines, alors je lui avais ouvert la porte.
    "Vas-y vite gamin"

Et j'ai pas besoin de vous dire qu'il avait courru vite voir la future et sa mère, tout fier comme un paon le môme, c'qu'il était meugnon comme tout en même temps, pis poli avec ça.
    "Dame Eud y va vous faire de l'ombre le petit prince, faites attention"

Oui j'étais un peu moqueuse mais dans le fond peut-être pas tant que ça, et regardant les deux dames dans leurs tenues, ma foi les laçages suffiraient au réglage pas b'soin de retouches, c'était d'jà ça de pris.




Patou.de.mercie
Des larmes coulaient sur son visage en écrivant une missive pour ses amis qui allaient se marier. Elle était dépitée de ne pouvoir y assister. Elle devait accompagner Seurn à sa future épouse. Putain de guerre qui la cloitrait au lit. C'est donc dans l'hôpital de fortune de Thouars, qu'elle se mit à noircir ce vélin, tant bien que mal, vu que les douleurs étaient présentes au moindre geste. Une fois séché et enroulé, elle demanda à Mortemer de lui prêter un pigeon, afin que son mot arrive à temps, puis le laissa s'envoler vers les destinataires. Le regardant voler, elle espérait que ses amis ne lui en tiennent pas rigueur


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