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[RP] Le blaireau, le loup, l'oie et la dinde , en lice!

Sofie.de.valmonte
Ce que l'Auvergne paraissait terne sous son manteau de brume , même les hauts volcans semblaient endormis.C'était tout un tumulte en ses pensées, le après demeurait présent, il y avait toujours des "après "en sa vie et anticiper ses routes était une nécessité qui la faisait bien souvent passer pour une inconstante, alors qu'il s'agissait de se rassurer.
Une demi-finale en marche, ce tournoi de lice aura eu l'avantage d'animer le village et d'attirer du monde, d'ailleurs le Tout-Clermont était au rendez-vous et elle comptait bien sur des encouragements en masse avec une foule en délire, peut-être des banderoles aussi?


Le bonjour Louis et vive la lice..


La brise fraiche qui effleure son épaule droite, comme pour la prévenir… le moment est là. Tout s’efface pour ne laisser place qu’à son adversaire, agilité , vitesse, esquive et coups ordonnés seront décisifs. Soudoyer l'arbitre aurait été classe! Peut-être qu'elle aurait dû demander au prévôt d'enfermer Louis en geôle , cela aurait été facile, puis l'empoisonner autant..Cela aurait eu le mérite de faire taire les rumeurs sur ses croyances d'hérétiques. Le rouage du bon vieux proverbe qui consiste à dire ...jeux de mains, jeux de vilains.. Allait peut-être s'avérer vrai. C'est une danse où le mental prendra le dessus, la concentration et la technicité . Sans une arme ,sans sa dague c'est beaucoup moins amusant, la lice doit prendre vie et forme , aucun alcool ne mènera la danse et la fée verte se taira.

Un sourire intérieur en pensant que la veille, elle avait donné une leçon de maintien ou nobl'attitude à sa future fillote. Fais ce que je dis et non ce que je fais..
Le genou qui la percute juste en dessous de la poitrine lui arrache un grognement étouffé par ses lèvres, le ballet des coups s'enchaine, elle oublie l'essentiel qui est de ne pas se perdre en route. Le souffle est le fil de la vie, ne pas le perdre et se raccrocher aux belles choses pour s'insuffler l'envie . Voir la mer dans le reflet des flaques au sol, voir un horizon à perte de vue avec ses yeux brouillés , apercevoir la vie et se noyer dans un verre..
Dans l'esquive, il y a certaines lettres du mot amertume et elle déteste ce sentiment .L'excitation du combat a pour vertu de décupler les sens. Le cœur qui bat plus vite. Puis l'espérance de ne pas boire l'infâme bouillon réservé aux perdants, enfin les encouragements du village, ceux qui lui ont dit que si ce combat était gagné, ce serait la baffe finale de tout un village uni.Et c'est un autre coup qui part , celui ci sonne et résonne comme une pierre jetée au fond d'un puits, il fait rebond et semble faire mal...c'est le but aussi.
Le jeu de jambes, elle affectionne, il permet la souplesse et la rapidité et il fait parfois la différence, le coup est porté et il semble que.... Qu'il soit fatale , il souffre un peu? beaucoup? Quoi qu'il en soit


Oh cela fait mal ?


Pluie de pétales de feuilles d'automne à défaut de laurier, puis des pigeons avec des courriers portant des dessins de petits cœurs, qui arrivent , oh un courrier du duché ? celui de la duchesse puis des tas d'autres...


13/11/1466 17:00 : Vous avez élégamment massacré Le_g. lors d'un magnifique combat en 1 contre 1. Vous l'abandonnez au milieu de la lice, pendant que le public acclame votre nom : "Vive Sofie.de.valmonte ! Vive Sofie.de.valmonte !" Quelle raclée ! Quelle victoire ! Vous gagnez 540 points d'expérience. - Résumé du duel

_________________
Andrea
Epiphyte m’avait magistralement éjectée du tournoi. Et je dois dire que ma fierté en avait pris un coup, tel et tant que j’avais fini par lui dire que je l’avais laissé gagner. Pourtant à vous je peux l’avouer, j’ai tout fait pour me défendre correctement. Et je me suis complètement ratatiné la gueule. J’étais entrée en lice avec l’assurance d’une grande dame dans un combat de titan, j’en étais ressortie cassé comme jamais, avec la certitude d’avoir été une poupée de chiffon qu’Epi avait fait valser contre son gré. Si j’en doutais encore, je n’avais plus vingt ans.

M’enfin j’avais gagné mes deux autres combats, non officiels. J’avais en effet expliqué à mon fils comment l’on devait respecter sa mère d’une tendre façon –ma façon et foi d’Colombe, il est pas prêt de mal parler-, et je ne dirais pas ce que j’ai pensé du combat contre son père. Sachez juste qu’à l’heure qu’il est, je tape régulièrement mon genou à l’endroit précis où mon genou est entré en collision avec ses roustons. J’ai tellement peur d’oublier que je vérifie toutes les cinq minutes si c’est encore rouge.

Mais déjà nous étions aux demi-finales. Nous, tous. Ceux d’ici et ceux venus exprès pour le combat. Certains dans les tribunes, d’autres sur le sable.
Il n’avait pas été difficile de choisir mon camp, comprenez bien que je suis peut être vieille mais pas encore sénile. Et entre m’asseoir proche d’une jeunette ou avec le reste du village – que dis je du monde !-, même à l’ombre, c’était assez rapide oui.

Quand Sofie avait annoncé son bonjour à Louis suivi d’un « vive la lice », c’est tout un peuple qui s’était agitée sur les gradins. C’était le moment de montrer que les fondations étaient solides ! Et vas-y que je tape des pieds, des mains, que le Wielem agite sa banderole, d’autres hurlaient SOFIIIIIIIIE et je crois même qu’une petite culotte avait volé. Je soupçonnais Jiveli d’en être la propriétaire, mais Merlin avait aussi une tête à en porter alors… Alors allez savoir.
Moi, je m’étais contentée de me la jouer Femen, nibards offerts à tous –ils font tellement d’effet à Louis qu’on ne sait jamais…- où j’avais pris soin de noter le prénom de ma favorite avec de l’encre –en priant pour que ça parte au lavage, sinon ma vie sex’uelle va en prendre un coup, ‘suis pas sûre que mon époux comprenne- et comme j’avais encore la voix un peu enrouée d’avoir beuglé la veille, j’avais pris avec moi une énorme marmite en fonte et une cuillère pour lui taper au cul.
Ah ça, y avait de l’ambiance dans les tribunes, ça s’annonçait fort pour la finale !
Enfin si Louis perdait ce combat…

Il fallu un bon moment à l’arbitre pour calmer les foules, et il me semble même avoir entendu Wielem éternuer une insulte. A moins que ça soit… on était vraiment beaucoup !

Le début du combat ne commença pas sous les meilleurs hospices, un vent frais balaya les feuilles et j’eu presque envie de mettre une veste, c’est pour dire !
Et comme pour me donner raison, voilà que le Blaireau s’attaque à l’Oie, glougloutement dans les tribunes et au-delà, à croire que les animaux ressentent le grognement de leur maitresse, la nature est en folie
Le temps de scander un « Fais lui mordre le sol ! » que déjà les coups s’enchainent, dire que Sofie menait était un euphémisme, et lorsque la première partie fût achevée et que la pause s’annonçait, on savait déjà tous comment ça allait finir.
Je priais secrètement pour quelqu’un ai la bonne idée d’apporter à boire, vu que moi j’avais pensé à prendre des saucisses mais… Mais rien ne se passa. Aurillac avait encore des progrès à faire en ce qui concernait l’animation.

Le temps d’allumer un barbecue –dans mon poêlon, je pouvais encore tambouriner sur le bord, pas de panique !- que déjà le combat reprenait. Mais la fumée semblait ennuyer Sofie, qu’importe, j’irais la féliciter avec une saucisse –une qui ne soit pas tombé au sol-. Quelques unes disparaissaient entre deux acclamations, et je suspectais la Duchesse d’avoir un petit creux mais encore une fois, je n’accuse personne, trop de bras, trop de …saucisses…

Et c’est alors que je tartinais mon point de ce qui ressemble le plus à de la mayonnaise, que j’entendis Wielem hurler



Elle est vraiment, elle est vraiment, elle est vraiment phé-no-mé-nale !
Lalalalalala la Lalalalalala la
Elle mériterait, elle mériterait, elle mériterait d'être dans l'journal !
Lalalalalala la Lalalalalala la


Refrain bien vite repris en cœur par toute une nation.
Je pris le temps de souffler un baiser vers Louis et continuait à beugler avec le reste du Monde. Et même la bouche pleine, je ne pouvais m’arrêter


Elle est fraimeeeeeeent, elle est fraiiiiment, elle est fraiment phé-no-mé-nalalalalalalala la lalalalala laaaa
Elle nérifrait ! Elle nérifrait ! Elle nérifrait d’être dans l’fournalalala lala laaaaaa


En espérant que je n’ai pas trop craché…
Le_g.
1 Et c'est avec une force vicieuseté que Sofie.de.valmonte fauche les les genoux de son adversaire, ouille ouille ouille, ce dernier risque de s'en souvenir de ce coup bas... (Sofie.de.valmonte gagne 14 points)

2 Pas à la tête, pas la tête ! Le_g. n'aurait pas frappé plus fort pour fendre une bûche... sauf que la bûche, là, c'est le crâne de son adversaire... (Le_g. gagne 5 points)

3 Et c'est avec une force vicieuseté que Sofie.de.valmonte fauche les les genoux de son adversaire, ouille ouille ouille, ce dernier risque de s'en souvenir de ce coup bas... (Sofie.de.valmonte gagne 7 points)

4 Le_g. réalise une parade impressionnante qui déstabilise son adversaire, et Le_g. en profite pour lui coller dans la foulée une rouste mémorable, ouch ! (Le_g. gagne 5 points)

5 Et bien, nos deux combattants semblent être de force équivalente... Espérons que la suite du combat soit plus intéressante !

6 Pas à la tête, pas la tête ! Sofie.de.valmonte n'aurait pas frappé plus fort pour fendre une bûche... sauf que la bûche, là, c'est le crâne de son adversaire... (Sofie.de.valmonte gagne 7 points)

7 Le public semble clairement du côté de Sofie.de.valmonte qui reçoit moult encouragements ! (Sofie.de.valmonte gagne 4 points).

De ce combat homérique, Sofie.de.valmonte est ressorti vainqueur. Célébrons ses louanges et chantons la geste de ce héros à nul autre pareil ! Sofie.de.valmonte a gagné un doonuts.


Il avait prévenu son ange. Sofio avait bien plus d'expérience, et il allait manger. Ceci dit, il s'était engagé pour ce tournoi, il irait jusqu'au bout. Sofio avait décidé d'utiliser les mêmes techniques que Déa... Les genoux, les genoux... Il ne tenait déjà quasiment plus debout quand elle lui asséna un coup sur la tête.

Pour lui, le duel n'était qu'un jeu mais certains semblaient se prendre au jeu, et penser que c'était là la consécration d'une vie. Toutefois, il n'en avait cure.

Il avait relevé le gant, et il s'était présenté pour la lice. Sofio l'avait malmené, mais il avait gardé le sourire.

L'aura de haine que certains dégageaient dans les tribunes ne lui faisait ni chaud ni froid.


Non. Ce n'est qu'un jeu, un tournoi. Félicitations Sofio.


Son ennamie de toujours... Il esquisse un léger sourire.
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Wielem
Le village s'était déplacé en masse ce jour là. Faut dire que les demies-finales, commençait à y avoir un sacré enjeu. Et puis les évènements récents rendaient la rencontre encore plus brulante. Les gradins étaient pleins. Des habitants, mais pas que, Clermont était venu en force.

Ambiance électrique, tapement des pieds, et la Ola parcourait le stadium d'un bout à l'autre en attendant l'arrivée des duelistes. Wielem faisait parti des nombreux spectateurs qui s'étaient donnés le rendez-vous, apportant même une banderole.

Lorsque les deux adversaires arrivèrent sur la piste, la foule en délire se déchaina, hurlements, sifflets, applaudissements dans une cacophonie mémorable.

L'arbitre demanda le silence avant de lancer le combat. Quelques secondes de calme, puis le top fut donné. Tout le monde se remit à hurler. D'entrée de jeu, Sophie mit la pression ne laissant que peu de chance à son adversaire par un coup féroce là où ça fait mal. L'assistance retenait son souffle. Ses coups faisaient mal, très mal. Sofie eut le dessus assez largement, bien que Louis lui infligea ça et là quelques taloches. A la mi-temps, Sofie menait largement au score.

Mais rien n'était joué, tout pouvait arriver. En attendant, Andréa s'occupait déjà du barbeuk ! Heureusement, Wielem avait pensé à ramener un fût de bière fraiche. Il évitait cependant Andréa du regard, de peur d'avoir à fixer ce qui se trouvait entre son menton et son nombril, rien qu'à l'idée, une légère coloration lui teintait les joues.

A la reprise des combats, léger flottement, Louis réussissait à parer ses coups, puis personne ne semblait l'emporter, avant que Sofie finisse en beauté par un coup fulgurant en pleine tête. Il n'y avait pas à dire, Sofie remportait le duel haut la main... enfin, moins que contre Wielem, mais quand même.

Lorsque le gong final retentit, toute la foule se leva comme un seul homme. Du délire, du jamais vu. Même des petites culottes qui volaient !




Et Wielem de chanter

Elle est vraiment, elle est vraiment, elle est vraiment phé-no-mé-nale !
Lalalalalala la Lalalalalala la
Elle mériterait, elle mériterait, elle mériterait d'être dans l'journal !
Lalalalalala la Lalalalalala la


Sans nul doute que Wielem finirait aphone. Il était temps d'aller faire la fête.
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Le_g.
Déa avait quitté la ville...

Sans doute que sinon, oui, elle aurait pu faire plein de chose... Mais difficile d'être à deux endroits au même moment, non ? Elle était partie la veille du duel entre Sofio et Louis.

Un minimum de cohérence ça aurait été plutôt sympa, mais non, il faut croire que ce n'était pas possible.

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Aristotes
Le village s'était déplacé en masse ce jour là. Faut dire que les demies-finales, commençait à y avoir un sacré enjeu. Et puis les évènements récents rendaient la rencontre encore plus brulante. Les gradins étaient pleins. Des habitants, mais pas que, Clermont était venu en force.

Ambiance électrique, tapement des pieds, et la Ola parcourait le stadium d'un bout à l'autre en attendant l'arrivée des duelistes. Aristotes faisait parti des nombreux spectateurs qui s'étaient donnés le rendez-vous, apportant même une banderole avec écrit : "Aller Ari ! "

Lorsque les deux adversaires arrivèrent sur la piste, la foule en délire se déchaina, hurlements, sifflets, applaudissements dans une cacophonie mémorable.

L'arbitre demanda le silence avant de lancer le combat. Quelques secondes de calme, puis le top fut donné. Tout le monde se remit à hurler. D'entrée de jeu, Louis ce laisse mener volontairement, malheureusement c'était sans compter la flamboyante et ses coups lâche, L'assistance sans nul doute payée, regarde en l'air. Malgré la noble attitude de Louis, la flamboyante, flamboie. Louis lui rend quelques coups avec le sourire, en n'oubliant pas qui dominait à l'époque, souvenir flamboyant tout ça.

La flamboyante mit une demi-pression ne laissant que peu de chance à Louis d'avoir un adversaire louable...

Lorsque le gong final retentit, toute la foule reste assis, il n'y a qu'une poignée qui se leva comme un seul homme, oui un seul. Du délire, du jamais vu. Même les petites culottes de la flamboyante s'envolait.
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