Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[Rp] Chéri ! dessine moi un mouton ....

Amelliane
Bon la brune n'était pas un mouton proprement parler .. elle ne suivait pas bêtement ce qu'on lui disait. Certes elle avait cette blancheur comparable à la naïveté mais la belle comptait bien faire tomber sa belle fourrure pour se mettre à nu et ceci dans les deux sens du terme.

Oui elle espérait bien passer d'un petit mouton blanc à un mouton noir, surtout sachant qu'un loup, enfin son Loup était bien entré dans la bergerie et à même bouffer la bergère... la totale quoi.

Sauf que ce jour, le beau mouton allait rendre la monnaie de la pièce au Loup et la note serait salé.

Le brun voulait la possédé, en l'interdisant de prendre la route la veille en l'enfermant dans sa propre chambre et bien il allait être servi, il l'a possédera.

Elle était dans sa chambre vêtu d'une simple chemise. Elle regardait un homme qui était occupé a préparer certaines affaires personnel, le questionnant de temps à autre afin d'apaiser sa curiosité comme sa nervosité.

Il l'invita d'un geste de la main a prendre place sur son lit qui avait tenue à ce qu'il ne soit pas fait
.' Ce n'est pas la peine' lui avait-il affirmé. Il tenait absolument garder tout comme tel et puis le naturel était tellement mieux.

Amelliane acquiesça, s'assit sur le bord de son lit en tournant le dos à son invité du moment. Elle fit passé sa chemise par dessus sa tête et la laissa tombé à ces pieds. La demoiselle se retrouvait nue dans sa chambre avec un homme autre que Mont. Si ce dernier voyait la scène .. c'était plus que sur qu'il en perdrait tout contrôle.


'Allongez vous sur le ventre, ensuite je vais vous guidez' dit-il d'une voix douce. Bon il devait surement avoir l'habitude, elle ne devait pas être la première à lui demander cela. Elle se demandait encore pourquoi elle avait eu cette idée .. mais c'était tellement excitant, ce petit goût de l'interdit. Ce rebellé était devenait son passe-temps favori.

Elle s'était exécutée, allongée sur son lit dans la position demandé, sur le ventre. L'homme se déplaça vers elle, il attrapa ces deux mains qu'il les fit joindre et les plaça sous le menton de la belle. 'Relevez vos jambes, je veux voir vos jambes.'

Il déplaça quelques mèches de la jeune femme, ajusta le collier sur sa poitrine légèrement dévoilé ainsi que le bracelet qu'elle eu idée de passer à une cheville, puis il se recula avec un sourire satisfait.

Tout était prêt. Ce jour, la brune ainsi vêtue d'une tenue d'Eve allait se faire croquer et bien entendu ce n'était pas elle qui en payerait la note.

_________________
Amelliane
On n'entendait pas un bruit dans la chambre, l'artiste avait l’œil bien concentré sur les courbes de la brune qui était allongé là. Le moindre petit détail était croquer, de la cambrure de ces reins à l’élégance de ces fesses, même la longueur infinie de ses jambes n'y échappaient pas. Ses seins n'en étaient pas épargné.

Amelliane était là impassible ne voulant bouger pour fausser le résultat.

Elle pouvait distinguer de temps à autre un petit sourire de l'homme.
'Il est au courant de ce que vous faites car je présume que c'est pour un homme que vous vous mettez à nu devant un inconnu' dit-il sans détour.

La jeune femme se mordit la lèvre car en effet le brun n'était pas au courant du tout de ce qu'elle entreprenait là. C'était encore une première pour elle.

- Pensez vous qu'il serait possible de faire un deuxième croquis ? enfin je sais que cela demande un certain temps mais je n'ai pas grand chose à faire aujourd'hui.

' Oh un deuxième amoureux ? oui cela est possible mais ca sera plus cher'lança-t-il tout sourire. A ce moment là Amelliane prit une légère couleur rosé sur ces joues, non c'était surtout pour le brun les deux croquis. Elle se mit à bafouiller agitant les jambes : Non du tout les deux croquis pour un seul homme ..

Tsss arrêter de vous agitez jeune femme si il fait cette effet sur vous rien qu'en y pensant je n'ose vous imaginez lors de sa compagnie ! tsss ces femmes amoureuses ... marmonna-t-il entre ces dents.

- Surveillez donc vos paroles, je n'y suis pour rien si vous êtes un frustrer je vous paye pour me croquer donc croquer moi et taisez vous !

L'ordre était donner, l'homme qui n'avait rien d'autre à dire sinon sa solde s'en verrait réduite se mit au travail pour terminer le premier dessin. Que cette position de pouvoir lui avait manquer, ordonner, se faire obéir et encore mieux par un homme, que demander de mieux.

La brune reprit sa position initial, tête haut en regardant au loin. Elle avait cesser de bouger ces jambes. Au moins elle avait trouver un moyen de rester calme, penser au prochain croquis sur le comment se placer et dire qu'une autre idée venait de germer dans sa tête.

Elle en souriait intérieurement.

_________________
Montparnasse.
- T’as jamais gouté à l’Armagnac ? Attend, je vais te faire gouter, tu vas voir c’est plutôt agréable en bouche ! Il doit m’en rester une dans la chambre.

Montparnasse laissa un instant son frère Claque-sous seul et grimpa rapidement les marches, il passa rapidement devant la chambre d’Amelliane sans y prêter plus d’attention, il pensait la brune sortit aussi il poursuivit sa route. Montparnasse, bien que passant la plupart de ces nuits dans la chambre de la brune, il avait tout de même tenue à avoir une chambre à lui, pas pour préserver l’honneur de la Dame, parce que bon… c’était trop tard pour ça, mais plutôt pour passer quelque nuits avec le petit blond ou son frère. Chambre assez éloigné de la brune pour ne pas la réveiller en pleine nuit il va s’en dire. Se saisissant de sa dernière bouteille, il gagna le couloir en jetant un coup d’œil sur l’étiquette de la bouteille, pour sur son frère allait adorer !
En passant de nouveau devant la chambre de sa brune il entendit du bruit. Ralentissant encore un peu son pas, il s’immobilisa un instant et écouta. Les voix étaient étouffé derrière la porte mais il reconnut la voix d’Amelliane, puis celle d’un homme...
Un homme ?!
Dans sa chambre ?
Le sang de Montparnasse se figea, et sans gêne, il saisit la poignée et déboula dans la chambre.
D’abord rassuré qu’elle ne fut pas fermé à clé, son cœur eut un raté en la voyant allongé nue sur le lit.
Nue ?!
Son regard passa du corps d’Amelliane à l’homme.

La suite il ne s’en souvient plus.

Lorsqu’il reprit contenance la lame de son coutelas, collé contre le cou de l’homme, était fermement tenue par sa main droite, le couteau tenue à l’envers, tandis que de son autre main il maintenait le pauvre homme plaqué contre le mur.
Dans son regard se lisait la peur et l’incompréhension, mais cela n'appitoya nullement Montparnasse.
Il fronça un instant les sourcilles, cherchant à se rappeler ce qu’il faisait là, puis son regard se posa sur le corps nue d’Amelliane, et il comprit.
Ah oui, il voulait le tuer...
Sa voix se fit rauque, des pierres roulèrent dans sa gorge quand il l’interpella d’un ton sec :


- Vous avez trois seconde pour vous expliquer…
- Mais…Mais…lâchez moi bon sang !
- Mauvaise réponse.


Son poing tenant le manche du coutelas vient s’écrasé sur la pommette de l’homme et un craquement sonore se fit entendre, Montparnasse ne retenait pas ces coups.

- Essaie encore mon beau pendant que tu peux encore parler…
_________________
Amelliane
Amelliane tenait la pose sagement, le croquis devait sans doute être terminé enfin sauf que là un léger, ou presque, contre-temps arriva. Un contre-temps brun et passablement énervé.

L'homme était plaqué contre le mur laissant tomber son nécessaire de travail. La demoiselle sauta de son lit d'un bon et attrapa sa chemise qu'elle ne prit même pas le temps de passer, elle se contenta de la plaquer contre sa poitrine afin de cacher le plus voyant.

Enfin pas à Mont mais à l'homme surtout, ce n'était pas parce qu'il faisait un croquis d'elle nu qu'il devait la voir juste sous ses yeux et à porter de main. Quoique au vu de la position dans lequel il était il valait mieux pour lui qu'il gardait ces mains à bonne distance.

Oui elle aimait voir Mont se battre pour elle, oui elle aimait voir cette part d'ombre en lui ça la faisait frissonner même sauf que là c'était tout à fait différent, il avait même sorti son couteau.

L'artiste se faisait marteler la tronche à coup de poing, il fallait qu'elle intervienne sinon 'Adieu le deuxième croquis'.

La brune posa sa main sur le poing de Mont avant qu'il vienne se fracasser de nouveau sur le visage de l'inconnu, son autre main maintenait sa chemise contre sa peau.


- Attend Mont ! lui dit-elle. Il n'était pas en train de se rincer l’œil ou je ne sais quoi, il était en train de me croquer enfin ... elle eu un court instant de réflexion ce n'était pas le moment de mal choisir ces mots. Il faisait un croquis de moi que je comptais t'offrir tout simplement.

L'homme acquiesça la tête nerveusement dans l'espoir qu'on arrêtait de le frapper inutilement. Sans doute priait-il le Très Haut ..

Amelliane posait son regard dans celui de Mont, jamais elle n'oserait lui mentir, sachant trop ce qui pourrait en coûter à ceux qui osait s'aventurer trop près d'elle.


- Je le paye pour qu'il me dessine, regarde .. elle se pencha légèrement pour attraper le croquis qui gisait au sol pour lui montrer, laissant le plaisir au brun de pouvoir contempler ces courbes. Elle lui fit voir le croquis, elle n'avait pas encore eu l'occasion de voir le résultat depuis le début et elle était satisfaite du résultat.
_________________
Montparnasse.
Une main se posa sur la sienne, Montparnasse arrêta son geste et lança un regard furieux à son propriétaire. Quand il croisa le regard d’Amel il se calma un peu. Celle-ci, couvrant sa nudité essayé de lui expliquer. Il la croquer. La croquer ? Elle continua rapidement son explication pour ne pas lui laisser de doute. Elle se baissa même pour lui montrer les dessins. Mont relâcha l’homme pour contempler l’œuvre. Le dessin était bon. Très bon même. Son regard se posa longuement sur le corps d’Amel puis sur l’homme.
Le regard de celui-ci était empli de terreur, Montparnasse l’aurait bien cogné une fois de plus pour le plaisir mais une autre idée lui vint en tête.
Bien pire que cela.
S’approchant d’Amelliane sans un mot il posa ses mains sur son corps nu et la caressa doucement. Du coin de l’œil il remarqua que l’homme détourna le regard et cela le fit sourire.

Montparnasse était un homme jaloux. Amelliane était à lui et à lui seul et il comptait bien le faire comprendre à l’homme. Il releva le menton de la jolie noble et l’embrassa tendrement en la collant contre son corps. Oui Montparnasse comptait lui faire l’amour la, dans la chambre devant le pauvre peintre. Façon primitive de marquer son territoire, de faire comprendre à l’homme que jamais il n’embrassera la belle autrement que du regard. Puis c’est tout de même plus doux comme traitement que d’apprendre à voler par la fenêtre de l’auberge non ? Qui sait le pauvre homme apprécierait peu être même le spectacle.
Restez à voir si la brune le laisserait faire…

_________________
Amelliane
Amelliane leva ces yeux et les posèrent dans les siens. Le peintre les regardèrent en espérant que son compte de coups soit arrivé à terme. La demoiselle n'en avait que faire de l'homme puisque le sien était là.

Ces mains posés sur elle la faisait frissonner, toute sa peau était en chair de poule. La demoiselle savait bien ce que le beau brun avait en tête enfin elle se doutait.

D'un geste tendre de la main, elle lui caressa la joue. La commissure de ces lèvres se retroussèrent, un petit air amusé se dessina sur son visage. Elle se hissa sur la pointe des pieds, frotta sa joue contre la sienne et ferma ces yeux.

La demoiselle attrapa sa main et la posa sur sa hanche. Elle faisait effleurer ces lèvres contre les siennes et lui murmura : alors ce croquis n'est-il pas à croquer ?

Son petit jeu de mot était voulu, la jeune femme espérait qu'il relève sa petite pirouette. Comme à son habitude elle se mordit la lèvre son regard ne l'avait pas quitter, peut-être que elle aussi elle avait un message à lui faire passer.

Elle réajusta la chemise qu'elle maintenait plaquer contre elle, Amelliane s'amusait a dévoiler quelques formes juste pour attiser sa curiosité. Allez savoir combien de temps il allait garder son sang-froid avec elle nue juste sous ses yeux. Intérieurement elle comptait une .... deux ....

_________________
Montparnasse.
Le jeu de mot fut bien saisit, tous comme le corps de la brune. De la pudeur il n’en avait aucune, il faut dire qu’il vendait son corps depuis son plus jeune âge et il était fréquent que certains client réclame un public.
L’allongeant sur le lit, il prit le temps de se mettre nue à son tour en glissant un regard amusé au pauvre dessinateur. Son sourire était carnassier et ne laissait aucun doute sur le plaisir qu’il prenait à mettre mal à l’aise le pauvre homme. Alors qu’il embrassait avec ferveur sa jolie brune il nota que l’homme, rouge comme une pivoine détournait le regard. S’amusant de sa gêne il se permit de commander à l’homme :


- Regarde, puisque tu aimes cela, n’en perd pas une miette…

Puis il se mit à faire l’amour à la jolie brune. Il avait compris dans ces gestes et ces paroles qu’elle n’était pas contre, décidément la petite noble le surprenait jour après jour. Elle n’était plus cette jeune femme blessé et coincé qu’il devait protéger en Armagnac. Pas de doute, il avait vraiment une mauvaise influence sur elle. Et cela lui plaisait. C'est ce qu’il aimait chez elle. Le fait qu’elle repousse jour après jour ces limites pour lui, pour lui plaire, pour s’adapter à son monde à lui. Il se sentait diffèrent, important dans ces yeux, et il n’hésitait pas à jouer de cette influence sur elle pour arriver à ces fins.
Parfois, souvent même, il était dur avec elle, il savait qu’il la blessait mais la vie est cruelle et elle ne tolérerait que les gens fort. Et c’est ce qu’elle devenait jour après jour. Une femme forte et indépendante…
Et elle le lui prouvait une nouvelle fois, dans ce lit, gémissant dans ces bras sous le regard abasourdis de l’homme.

_________________
Amelliane
Le pauvre peintre ne savait plus ou se mettre, voyant ce couple en plein ébat il se demandait si il devait passer par la fenêtre ou alors quitter la chambre en toute discrétion. Sans doute qu'ils ne l'auraient même pas remarquer tellement ils étaient concentrer sur eux deux.

Alors il regardait à droit puis à gauche, il faisait tout pour ne pas regarder ce qu'il se passait sur ce lit même si la curiosité était plus forte par moment. Encore heureux que l'homme ne lui avait pas demandé de les dessiner à ce moment là !

Ce fameux lit, là ou Amelliane, cette jeune noble qui quelques mois avant ne se serait jamais donner en spectacle devant une autre personne. A vrai dire cette situation lui plaisait au plus haut point, mettre mal à l'aise ce peintre était agréable. Bon il fallait reconnaître que le brun était autant plus tentant et que jamais elle refuserait de frémir sous ses mains.

Il avait cette manière, ce petit je ne sais quoi que la brune raffolait. Sans doute ce côté galant car malgré tout elle connaissait son 'passe-temps' si on pouvait appeler cela ainsi. Même si par moment il se montrait cruel avec elle, elle le détestait mais il lui plaisait et il le savait.

Peut-être la tenait-il dans son giron à cause de ses sentiments mais grâce à lui Amelliane renforçait son caractère, ses désirs et envies.

Là pour l'instant il se contentait de lui faire l'amour, explorant chaque parcelle de sa peau. En guise de réponse, la belle gémissait et le peintre rougissait à vue d’œil. Sans doute ne savait-il pas aussi bien s'y prendre que Mont.

_________________
Montparnasse.
Quand le jeune homme en eut finit avec la jolie brune il se redressa et entièrement nue, il s’approcha de nouveau du peintre, saisissant son menton entre ces doigts il approcha son visage près de l’homme, trop près, et lui précisa :

- Elle est a moi, compris ? Ne songe même pas à poser tes doigts sur elle ou je reviendrais te les brisé un par un.

Relâchant la joue du jeune homme, Montparnasse se rhabilla et, récupérant la bouteille d’Armagnac il précisa au peintre :

- Et applique toi, je veux pouvoir me perdre dans la contemplation de tes œuvres…

Sans un mot supplémentaire pour Amelliane le jeune homme descendit rejoindre son frère et lui faire enfin goûter la boisson dont il lui avait parlé, comme si ce qui venait de se passer dans cette pièce était normal. A vrai dire cela l’était pour Montparnasse.

_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)