Amelliane
(Au domaine de Rozès au petit matin, l'instant T petit résumé)
Un tas de lettre à moitié rédigé sur un bureau, des multitudes de noms d'oiseau assignés à Martin sur d'autre, un courrier de Zoé auquel la demoiselle n'avait toujours pas répondu, c'était le foutoir que contenait le bureau d'Amelliane depuis quelques jours. La Flamboyante l'avait invité à se joindre à elle à une petite sortie que Seleukos avait organisé. La jeune femme n'avait pas du tout envie, repoussant à échéance la réponse de sa lettre.
A une heure ou tout le monde était déjà levé et prêt à travailler d'arrache pied, la brune, elle, dormait à poing fermer. Les cheveux tout en vrac, une main posé sur le torse d'un homme. La chambre était plongé dans le noir totale, pas un bruit venait rompre le silence.
Seulement des bruits de pas se faisait entendre derrière la porte, ce qui résonnaient dans la tête de la brune qui avait bien trop abuser et user de l'alcool. Et si seulement il y avait eu que l'alcool ..
La porte s'ouvrit brusquement, les rideaux étaient tirés d'un coup. Amelliane remonta les draps encore plus haut pour se cacher de la lueur puis tourna la tête de l'autre côté en disant avec une bouche pâteuse : non Mont on dort encore un peu..
Mais quand elle reconnu la voix de Zoé, la brune se redressa d'un bon et remonta le draps. Elle détourna légèrement le regard pour remarquer que son garde était toujours dans son lit puis revint vers Zoé. La brune espéra qu'elle ne pousserait pas une gueulante car là sa tête allait littéralement exploser.
Amelliane réfléchissait déjà à l'excuse qu'elle allait pouvoir lui donner "il s'est perdu" ou alors "il pleuvait, on a prit l'averse on s'est déshabiller pour ne pas attraper froid", " il est tombé dans mon lit" ou tout simplement "oui j'ai péché".
(FlashBack, Domaine de Rozes la veille au soir, ce qui nous intéresse le plus pour le moment)
La brune était accouder à la table un verre à la main, elle en avait pas assez bu encore pour laisser place à l'ivresse. Son regard était dans le vague et contemplait l'extérieur. La nuit n'était pas encore tombée, c'était même l'heure du repas, auquel elle n'avait pas touché une nouvelle fois. Elle picorait un peu mais rien de bien saisissant pour se rassasier. Un morceau de fruits par ci un bout de viande par là rien de plus.
Son regard se perdait et ses pensées aussi, sans doute dû à l'alcool ... alors qu'on disait que ce doux breuvage aidait à oublier là il l'a faisait trop réfléchir. Amelliane se demandait à quoi tout cela lui servait, ce titre ces terres .. tout ça pour rien .. un refrain qu'elle avait déjà entendu l'année dernière ce petit air de "tout ça pour rien".
Tout sourire était partie de son visage depuis quelques jours, elle était même presque devenue invivable envers le peu de domestique qu'elle avait. La demoiselle était devenue irritable à un point que la moindre petite chose pouvait l'agacer.
La brune leva sa main droite qui tenait son verre, tapotant son index dessus pour faire savoir qu'il était temps de le remplir a nouveau. Ce n'était pas encore l'heure pour l'ivresse, l'alcool pouvait encore couler un peu avant que cela arrive.
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Un tas de lettre à moitié rédigé sur un bureau, des multitudes de noms d'oiseau assignés à Martin sur d'autre, un courrier de Zoé auquel la demoiselle n'avait toujours pas répondu, c'était le foutoir que contenait le bureau d'Amelliane depuis quelques jours. La Flamboyante l'avait invité à se joindre à elle à une petite sortie que Seleukos avait organisé. La jeune femme n'avait pas du tout envie, repoussant à échéance la réponse de sa lettre.
A une heure ou tout le monde était déjà levé et prêt à travailler d'arrache pied, la brune, elle, dormait à poing fermer. Les cheveux tout en vrac, une main posé sur le torse d'un homme. La chambre était plongé dans le noir totale, pas un bruit venait rompre le silence.
Seulement des bruits de pas se faisait entendre derrière la porte, ce qui résonnaient dans la tête de la brune qui avait bien trop abuser et user de l'alcool. Et si seulement il y avait eu que l'alcool ..
La porte s'ouvrit brusquement, les rideaux étaient tirés d'un coup. Amelliane remonta les draps encore plus haut pour se cacher de la lueur puis tourna la tête de l'autre côté en disant avec une bouche pâteuse : non Mont on dort encore un peu..
Mais quand elle reconnu la voix de Zoé, la brune se redressa d'un bon et remonta le draps. Elle détourna légèrement le regard pour remarquer que son garde était toujours dans son lit puis revint vers Zoé. La brune espéra qu'elle ne pousserait pas une gueulante car là sa tête allait littéralement exploser.
Amelliane réfléchissait déjà à l'excuse qu'elle allait pouvoir lui donner "il s'est perdu" ou alors "il pleuvait, on a prit l'averse on s'est déshabiller pour ne pas attraper froid", " il est tombé dans mon lit" ou tout simplement "oui j'ai péché".
(FlashBack, Domaine de Rozes la veille au soir, ce qui nous intéresse le plus pour le moment)
La brune était accouder à la table un verre à la main, elle en avait pas assez bu encore pour laisser place à l'ivresse. Son regard était dans le vague et contemplait l'extérieur. La nuit n'était pas encore tombée, c'était même l'heure du repas, auquel elle n'avait pas touché une nouvelle fois. Elle picorait un peu mais rien de bien saisissant pour se rassasier. Un morceau de fruits par ci un bout de viande par là rien de plus.
Son regard se perdait et ses pensées aussi, sans doute dû à l'alcool ... alors qu'on disait que ce doux breuvage aidait à oublier là il l'a faisait trop réfléchir. Amelliane se demandait à quoi tout cela lui servait, ce titre ces terres .. tout ça pour rien .. un refrain qu'elle avait déjà entendu l'année dernière ce petit air de "tout ça pour rien".
Tout sourire était partie de son visage depuis quelques jours, elle était même presque devenue invivable envers le peu de domestique qu'elle avait. La demoiselle était devenue irritable à un point que la moindre petite chose pouvait l'agacer.
La brune leva sa main droite qui tenait son verre, tapotant son index dessus pour faire savoir qu'il était temps de le remplir a nouveau. Ce n'était pas encore l'heure pour l'ivresse, l'alcool pouvait encore couler un peu avant que cela arrive.
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