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Seigneurie de Rozès (Fézensac)

Meladius
ROZES


      HERALDISME

  • Fief seigneurial
  • Rang historique du fief : Seigneurie

  • Description du Blason :D'or à un roseau au naturel

  • Devise : -

  • Ancien nom : Rouzes
  • Nom des habitants : Rozésien, Rozésiennes

  • Actuel Seigneur : Amelliane de Réaumont Kado'ch
  • Ancien Seigneur : -


  • Fiefs vassaux disponibles :

  • Fiefs vassaux octroyés :



      GENERALITES HISTORIQUES

  • Arnaud Guillaume II de Gelas comme procureur de Jean de Gelas seigneur de Bonas avoua tenir en fief noble et gentil du comte d Armagnac fin février 1384 à cause de la comté de Fezensac les lieux de Bonas et de Rozès
  • Rozès est un plateau calcaire sillonné par trois vallées où coulent la Baïse, La Bèze et l’Arquatère. Le point culminant se situe à 192 mètres. La mention la plus ancienne sur Rozès remonte à 1030. C’est au cours du XIII siècle que s’édifie un castelnau autour du château primitif. Cet ensemble disparait pour des raisons inconnues.




      VESTIGES ET MONUMENTS

  • Vestiges préhistoriques et antiques


  • Architecture civile


  • Architecture sacrée


      CARTES, PLANS, MINIATURES ET AUTRES ILLUSTRATIONS

    (iconographie si existante)



Citation:
SOURCES

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en refonte
Amelliane
[RP - Un garde actif est un bon garde et une femme reste une femme.]

C'était lors d'une petite conversation avec Montparnasse que la demoiselle était arrivée à cette conclusion : puisqu'elle avait un garde autant qu'il lui soit utile et l'occuper par la même occasion.

De plus ce dernier ne voyait pas trop en elle cette férocité nécessaire lorsqu'on menait un combat donc pour lui montrer que malgré tout elle n'avait rien perdu, du moins elle l'espérait.. Amelliane lui avait fait parvenir ce petit pli juste avant de rejoindre un lieu à l’abri de tout regard indiscret près de son domaine car les ragots vont bon train en Armagnac.

Citation:
Montparnasse,

Vous m'avez donner une petite idée l'autre soir. Pour se faire rejoignez moi près du grand chêne proche du petit cours d'eau qui longe mon domaine.

Je ne vous en dis pas plus.

Je sais que vous saurez me retrouver en tant que bon garde.

Amelliane.


Au pire elle lui montrerait que sous ses airs de gentilles Dame elle pouvait se montrer coriace ou sinon cela pourrait lui servir d'un bon entrainement.

Tout était prêt, elle avait demandé deux bâtons pour ne pas se blesser avec une épée ou quelconque autre armes. La demoiselle avait même troquer ces belles robes pour une tenue bien plus adéquate malgré qu'elle restait féminine. Une paire de braies, des bottes, une chemise un bustier rien de tel pour ne pas être embêter par quelconque froufrou et bien entendu elle s'était natter ces longs cheveux bruns comme elle le faisait autrefois.

Amelliane attendait patiemment que son garde la rejoigne à l'ombre du grand chêne en s’adossant sur le tronc, elle contemplait la petite rivière qui suivait son cours si calme si paisible. Le temps était bien étrange ce jour, comme l'ambiance trop calme à Saint Lizier, entre le Comte qui était occupé "on ne sait ou" pour ne pouvoir prendre son temps afin de lui donner signe de vie et les sous-entendus de son garde elle était gâté ces derniers jours.

Ainsi la présence de l'un pouvait compenser par l'absence de l'autre. Enfin, la demoiselle n'avait pas perdu le nord, elle avait malgré tout envoyer un petit cadeau au Comte dans sa dernière lettre, si defois cela le fasse réagir et bien entendu il en recevrait un par semaine.

La brune n'était peut-être pas assez féroce mais quand il s'agissait de jouer au chat et à la souris elle se débrouillait assez bien et rien qu'à y penser elle se mit à sourire.
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Montparnasse.
Le messager qu’avait envoyé Amelliane trouva Montparnasse dans une position plutôt fâcheuse.
En effet le jeune homme tenait fermement un autre homme par la gorge et l’on pouvait lire dans ces yeux que ce n’était pas pour voir s’il avait des ganglions…. Le nez ensanglanté de l’autre homme n’était pas étranger pour infirmer cette thèse. Montparnasse reconnue le roseau qui ornait le blason porté sur la livré du messager et il lui fit son plus beau sourire en relachant l’homme qu’il s’apprêtait à frapper de nouveau.
Devant la moue sceptique du serviteur, Montparnasse dut lui expliquer que l’homme avait essayé de le détrousser et qu’il avait était obligé de lui apprendre la politesse. Mensonge éhonté, mais qui eut l’air de satisfaire son interlocuteur, qui, du coup, lui tendit le message d’Amelliane.
Le message fut lut rapidement, mais cela suffit à la victime de Montparnasse de se carapaté.
Bien, il était libre de s’y rendre dès à présent alors.

Il se dirigea vers le lieu du rendez-vous après avoir ajuster sa tenue vérifiant qu’aucune tache de sang ne soit venait taché sa chemise. Il rejoint rapidement le domaine et on le laissa pénétrer à l'interieur sans faire d’histoire. Il rejoignit avec hâte la jeune femme ne voulant pas la faire attendre.

En l’apercevant au loin il lui adressa un sourire chaleureux. La tenue portée par la jeune noble lui fit rapidement comprendre qu’elle ne l’avait pas fait venir pour boire un thé. La présence de deux bâtons le lui confirma.

Arrivé à sa hauteur il s’inclina respectueusement et la salua avant de demander :

- En quoi puis-je vous être utile en cette matinée Dame Amelliane ?
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Amelliane
Loin bien, loin de tout regard indiscret qui pourrait susciter quelconques ragots de toute façon cela lui était bien égal à présent, Amelliane qui était adosser à l'arbre le quitta en entendant son garde arriver, elle s'approcha pour aller le saluer. Elle releva une chose positif c'est qu'il ne s'est pas fait attendre.

Elle fit un petit sourire et comme tout vient par la politesse avant tout la jeune femme lui dit :

- Bonjour Montparnasse, j'espère ne pas vous avoir fait lever trop tôt puis la brune désigna le lieu par un geste de la main : vous voyez, personne autour rien. Donc je pensais puisque l'autre jour vous ne me trouvez pas assez féroce pour mener un combat, vous démontrez que vous avez tord ou alors peut-être que vous m'apprendrez quelque chose ce jour. Qu'en pensez-vous ?

La demoiselle s'approcha à sa hauteur, plaça ces deux mains derrières son dos. Un petit sourire amusé s'affichait sur son visage.

- Sauf si vous avez peut de faire mal à une femme, bien entendu je comprendrais.

Elle savait que les défis par moment étaient une bonne chose pour pousser les gens, bon même si il ne fallait pas pousser son garde bien longtemps car il était à ces ordres et comme tout bon garde en principe. Si Amel lui demandait de grimper sur un arbre ou de faire on ne sait quoi des plus stupide il devait le faire, en principe bien entendu.
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Montparnasse.
Un sourire amusé se dessina sur les lèvres du garde. Ainsi elle voulait lui montré sa férocité, voila qui promettait de joie chose. Cela risquait d’être intéressant. Elle avait informé Montparnasse de son passé de combat, lui qui avait appris à se battre dans les rues, pas toujours de façon loyal. Le choque des cultures risquait d’être fort intéressant à étudier.

- J’en pense que cela est une très bonne idée.

Il posa son regard sur elle avant de répondre a sa deuxième questions sous entendu.

- Non je ne crains pas de frappé une femme, même si cela me déplairait de vous égratigner, après tout je dois vous protéger pas vous blessé.

Sourire entendu au coin des lèvres. Non Montparnasse ne craignait de pas de frapper une femme, celui lui était déjà arrivé, et cela lui arriverai surement encore. Ce n’était pas de sa faute à lui si certaine refusait de s’offrir volontairement ! Il devait alors les aider un peu à faire dons de leur corps... avec quelques caresses du bout du poing…
Mais cela n’avait aucun rapport avec la situation du jour.

Il alla se saisir des bâtons et en tendit un à la jeune femme sans se défaire de son sourire que certain qualifié de moqueur. C’est vrai qu’il lui donné un petit air supprerieur et bon nombre avait essayé de le lui faire disparaitre a coup d’épée. Il était donc prés à subir les assauts de la jeune femme.

- Je vous laisse l’honneur du premier coup Dame.
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Amelliane
Mont avait ce 'je ne sais quoi' qui avait un peu tendance d'agacé Amelliane à ce moment, il était bien sur de lui pour le coup. Peut-être qu'elle allait prendre une raclée ou alors ça serait lui mais quoiqu'il en soit personne ne le verrait ni le saurait juste eux deux.

Elle prit le bâton qu'il lui tendait.

- Ne vous inquiétez pas, on me blesse même sans le vouloir.

Il lui laissait le premier coup, sa galanterie déguisée la fit sourire soit quoiqu'il en soit la demoiselle n'allait pas se montrer tendre. Et puis quoi encore. Elle lui fit un petit signe de tête pour le remercier et lui dit avant de commencer :

- Si je vous fais mal dites le moi j'arrêterais et promis je ne répéterais pas qu'une femme vous a blessez elle lui fit un petit clin d'oeil.

Amelliane prit son bâton à deux mains et commença à l'attaquer en tentant de lui donner un coup à droite puis un autre à gauche. Elle se rappela les conseils de son défunt frère concernant la rapidité et la concentration. La brune n'hésita pas un instant à les appliquer. Elle n'arrêtait pas de bouger veillant à ne pas se retrouver bloquer par l'arbre qui se trouvait non loin derrière elle. Il ne manquerait plus que ça.

- Alors mon cher Mont ne craignez rien au pire des cas j'aurais plus qu'à trouver quelqu'un pour penser mes blessures dit-elle avec un petit sourire amusé le voyant retenir ces coups.

La demoiselle tentait quelques petites attaques juste pour le titiller un peu, peut-être il sortira de sa coquille pour montrer ce qu'il vaut. Car après tout elle la choisit comme garde mais ne la jamais vu à l'oeuvre pour l'instant.
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Montparnasse.
Le premier coup vient rapidement. La noble était rapide et fougueuse. Montparnasse fut surpris de la force de ces coups, mais il se ressaisit rapidement et para de justesse le premier coup. Fait pas le con Montparnasse, y’a ton honneur et ton salaire en jeux là. Il répliqua mollement. Ce n’était pas pour ne pas la blessé à vrai dire c’était le temps de prendre un appui plus convenable sur ces jambes.

- Alors mon cher Mont ne craignez rien au pire des cas j'aurais plus qu'à trouver quelqu'un pour penser mes blessures.

Le commentaire le fit sourire. Elle n’y avait vu que du feu. Parfait. Elle tenta quelque petite attaque, Montparnasse les évita facilement il comprit que cela était une sorte de test plus qu’un réellement entrainement pour al jeune femme. Bien. Allons-y alors.
Il prit un solide appui sur ces jambes et fléchit les genoux avant de fondre sur la jeune femme. Il était rapide. Son corps était mince et effilé, ce qui lui permettait de se déplacé rapidement. Le bâton fondit en direction du visage de la belle et alors que celui-ci se rapproché dangereusement de son visage il fit pivoter le bâton pour viser les jambes dans le but de la fauché.
Visée un endroit pour que celle-ci prépare sa défense pour au final taper à l’ opposé, cela il l’avait appris dans les bas fonds et en règle générale la technique était plutôt efficace.

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Amelliane
Elle n'avait pas mener de combat depuis un moment, la brune n'avait rien perdu mais c'était pas simple de se remettre dans le bain de suite et ça Amelliane le savait.

Déjà un point positif, Mont semblait savoir se défendre voir même de riposter à ces premières attaques. Tout comme tout homme face à une femme sauf en tant de guerre il devait retenir ces coups.

Il opta pour une petite technique ou plutôt une ruse. La demoiselle para l'endroit ou il visa mais finalement Mont frappa à l'opposé ce qui la surpris. La brunette se recula et se prit le talon contre une racine. Elle termina sa course sur les fesses. Non elle n'était pas froissé par sa maladresse ou légèrement, ces joues se tintèrent un peu elle aurait comme excuse la chaleur et non la légère honte d'avoir chuter.

La demoiselle esquissa un petit sourire :

- Bien jouer , je ne l'avais pas vu venir.

Elle lui tendit la main afin de l'aider à se relever et alors quand on fait tomber une femme on l'aide à se relever non ?

- Ou avez vous appris cette technique ?

La demoiselle le fixa, il devait en connaitre surement d'autre, fallait mieux être plus prudente la prochaine fois on ne sait jamais ce qu'on peut cacher. La meilleure attaque c'est la défense comme son défunt frère lui répétait souvent lors de ses entraînements en tant que soldat lorsqu'elle vivait en Lorraine.
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