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[RP] Viens ! Que j'te fasse la peau lice !

Montparnasse.
    [Nimes, le 02 novembre 1465, un peu avant 7h...]


Le réveil fut difficile pour Montparnasse. Une poulaine vola en direction du coq pour qu’il ferme sa gueule.
Il avait mal aux cheveux, et mal au cul.
Il avait commencé la formation de son jeune frère cette nuit, et les premiers cours avait quelque peu dérapé… Il fallait vraiment qu’il apprenne à se maitrisé en sa présence. Il le regarda dormir un instant, sans masque, vulnérable. Il le trouva vraiment beau. L’embrassant sur le front il décida de le laisser dormir pour le moment. Passant une main dans ces cheveux il tituba légèrement en se relevant et enfila ces braies et sa chemise.
Il avait rendez-vous à l’aube pour botter le cul d’un sale gamin prétentieux qui l’avait pris de haut. Fier comme un paon le jeune galant ne se laissait que rarement marché ainsi sur les pieds. Et bien qu’il avait voulu en découdre sur place, le blond avait préféré faire cela dans les règles de l’art en lice.

Montparnasse grogna légèrement, il n’aimait pas lice, il était obligé de se battre à la loyal entre ces murs, et la loyauté n’étais pas vraiment sa spécialité, et si il s’attendait à ce genre de combat il risquait d’être déçut le jeune puceau.
Galant, brigand, voleur, violeur, assassin parfois aussi, le jeune pédéraste avait pourtant de nombreuses cordes à son arc, et de nombreux cadavres derrière lui. Il se nourrissait de la violence et bien qu’il paraisse courtois et affable au premier abord à l’intérieur bouillonné une soif inétanchable...

En revanche en combat corps à corps, dans le sens loyal du terme je l’entends, il n’était pas le meilleur, loin de là. Parce que si sa subtile intelligence se taille la part du lion sur le plan de la force physique, j’ai bien peur que la génétique n’ait pas joué en sa faveur.*
N’ayant d’autre arme que son coutelas, et aucune pièce d’armure c’est donc seulement vêtu de ses brais, sa chemise et ces bottes que Montparnasse se rendit en lice.
Sa démarche était titubante et boitillante.
Il avait trop abusé hier soir.

Il s’arrêta un instant à l’abreuvoir pour plonger sa tête dedans et se raffraichir un peu les idées avant de reprendre sa route, son sourire de connard prétentieux vissé sur les lèvres…


- Alors ma mignonne, tu viens te faire….

Ah. Merde, il n’y avait personne encore, il était en avance. Foutu coq, pas même foutu du gueuler a l’heure. Ravalant ces insultes, son regard se porta sur le cocher de l’église et il se laissa tomber lourdement sur le sol de terre battu de la lice et ferma un instant les yeux. La tête lui tournée et il avait le cœur au bord des lèvres. Les gens dans cette ville étaient vraiment trop généreux dans leur tournée, il devait se modérer….

Le soleil vient de se lever, encore une belle journée, et il va bientôt arrivé, l’ami Khaan, il vient toujours au bon moment avec ces poings et ces dents…

Hum. Pardon.




Prochain duel
Grand événement ! Le prochain duel opposera Montparnasse. à Khaan le 1465-11-02 07:00:00 dans cette magnifique lice !



*Le roi Lion
Titre By JD Claquesous

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Amelliane
Alcool, Oh Alcool dis moi que je suis la plus belle !!

La gueule de bois, oui parce que faute de passer la nuit en charmante compagnie et que sa brune n'était plus en ville, la demoiselle avait choisit de passer une partie de la soirée, la veille quoi, à boire puis comme elle dit souvent "l'alcool tient chaud!".

Donc elle a dû tester son idée pour voir si cela était encore vrai.

Alors au petit matin ce 02 Novembre elle avait un peu la tête dans les choux.

Amelliane avait pris bien soin de se faire monter un baquet d'eau bien chaude, et oui c'est ça quand on est noble on peut tout avoir ou presque. Quelques pétales de roses éparpillé dans l'eau pour parfumer. Et dire que Mont manquait ce spectacle pour avoir jouer les "professeurs" avec son frère.

Elle avait revêtu une tenue confortable car là ou elle allait se rendre nul besoin de froufrous, dentelles et autre fantaisie.

Avant de se rendre en lice elle avait fait un petit détour au marché pour dérober un beau fruit. Par chance un vendeur qui n'était pas du tout du coin proposait des pommes à cette saison c'était rare mais appréciable.

La belle pu compter sur ces nouveaux talents découverts depuis que le brun lui avait confisquer tout ces biens pour éviter qu'elle parte.

Croquant à pleine dent dans ce fruit elle arriva en lice. Amelliane cligna des yeux à deux reprises, personne n'était arrivé pour l'instant enfin presque car Mont était là,couché sur le sol. Le combat avait-il déjà eu lieux ? Elle avança doucement et constata qu'il n'avait pas reçu de coup donc il devait surement décuver lui aussi puis arrivé à sa hauteur elle s’accroupit et dit doucement pour le réveiller.


- Debout beau brun.

Attendant que la Belle au Bois Dormant se réveille, elle croqua à pleine dent dans le fruit.
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Claquesous
    J'suis l'ventriloque d'la place masqué
    Et le masque en loques a mauvaise mine 
    Les mamelons sont pleins de lait 
    Les balayeurs sont pleins de balais 

    Il est cinq heures 
    Paris s'éveille
 

Hu hu hu hu fait le coq, le cocorico n'étant qu'une légende à deux écus, mais le minot s'en fout et ne cille pas lorsque la chausse vola, tétant deux doigts, il rêve de l'orphelinat Sainte-Catherine.


    Les travestis vont se raser 
    Les putains sont rhabillées 
    Les traversins sont écrasés 
    Les deux frangins sont fatigués 

    Il est cinq heures 
    Paris s'éveille
     



Bien callé contre son aîné, le garçon avait dormi du sommeil du juste, incousciant, il avait laissé ses songes vagabonder dans la capitale, souvenirs d'une enfance pas si lointaine que ça.
 

    Le vin flétrit dans les timballes 
    Les vingts écus sont dans la malle
    Et sur le ventre de Montparnasse 
    Claquesous a vidé sa carcasse 

    Il est cinq heures 
    Paris s'éveille
     


Inconsciemment, le jeune avait porté une main à son ventre, du bout de son ongle avait gratté une croûte nacrée, prémice d'un apprentissage réjouissant.


    Dans l'canniveau y a l'vieux soulard
    Les jumeaux Von Frayneur tranchent dans l'lard
    les trottoirs d'Brissel foutent le cafard
    Les hommes d'un soir font des bâtards 

    Il est cinq heures 
    Paris s'éveille
     



Il n'entendit pas son frère se lever, mais dans un état semi-conscient, il étira ses lippes en un grâcieux sourire lorsque les lèvres caressèrent son front.


    Pendant qu'AMel a froid aux pieds 
    le fond d'mon ventre est ranimé 
    Et l'Obélisque est bien dressé 
    Entre la nuit et la journée 

    Il est cinq heures 
    Paris s'éveille
     




Fougue des 15 ans et piquet matinal extirpèrent lentement le gamin des bras de Morphée. Courte avait été la nuit, courte et intense, passablement envinée.



    Les messagers sont dépéchés
    Les ouvriers sont déprimés 
    Les gens se lèvent, ils sont brimés 
    C'est l'heure où je vais me coucher 

    Il est cinq heures 
    Paris se lève 




La jambe effectua un moulinet sur sa gauche et ne trouvant pas son impact, la main tâta la place chaude à ses côtés, vide, laissant encore deviner la forme du corps de Montparnasse.
Claquesous se réveilla complètement, un peu déboussolé et perdu, mais surtout....surtout une gueule de bois qui lui fendait le crâne en deux.
Plusieures minutes lui furent nécessaire pour se resituer.
Foutre. Paris était bien loin, bonjour Nîmes.

Soulagé d'être éloigné de la misère et des trottoirs sales des rues qui l'avaient vu grandir ?
Le brun n'eût pas le temps de la réflexion.
Le duel allait bientôt commencer et il se devait d'être aux premières loges pour encourager son frère et couvrir ses arrières.

Il se leva, enfila son masque d'un geste machinal, soulagea sa trique matinale en pissant dans la cruche et vêtu à la hâte avec les seuls tissus possédés, il hâta le pas vers la lice, sa poupée bien fixée à sa main.

Bonne mère, l'Amel était déjà dans la place, la joue gonflée de sa bouchée, les lèvres brillants du jus de son fruit, belle, elle l'était indéniablement malgré sa tenue masculine.

Il la taquina d'emblée, le menton fièrement redressé, l'allure insolente et le regard rieur.



    Le bec plein, hein Amel ! Cela te va à ravir, mais fait attention, ça coule sur ton menton.




Il admira ensuite, le bellâtre, échoué dans la lice comme une étoile de mer sur une plage de Marseille.
Foutre...Ce n'est pas ainsi qu'il allait le gagner ce combat.
Stimulant au ieux, il redressa sa poupée, il fit entendre une petite voix stridente et aigue, teintée d'insolence , Celle-ci sembla vraiment sortir de la marionnette, le garçon qu'en à lui resta impassible ormis un petit sourire en coin.



    Debout Blaireau.
    Soit grand.
    Soit fort.
    Et fous-y la mysère, bordel de dieu
.



    Il est cinq heures 
    Je n'ai pas sommeil

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Ezio_auditor
Il avait dis aux autres membres du groupe de partir en avance pour ne pas les retarder d'avantage, suite à la missive de dernière minute qu'il avait reçu de son "beau fils"... Une invitation à venir le voir charcuter un gars en lice... Bon pourquoi pas qu'il s'était dit... Y en a qui invite pour un repas de famille en guise de retrouvailles, mais visiblement le blondinet voyait la chose différemment... Ezio allait pas dire que l'idée de voir deux crétins se foutre sur la gueule dans une arène lui déplaisait, mais quand c'est de la "presque" famille, on se doit d'être là, de soutenir, et de rafistoler. Même s'il allait certainement s'en sortir comme un chef, il morflerait quand même... Fallait venir quoi...

Ezio avait donc préparé ses affaires pour repartir le soir même, laissant Kayte ranger le bordel qu'elle avait mis dans la maison de son fils et passa par le marché se prendre quelques tranches de jambon séché à machouiller durant le combat. Il pointa peu avant l'heure, monta dans les gradins, à distance respectable pour s'éviter des gouttelettes de sang, sur sa tenue de voyage et s'affala, déposant son pic-nic devant lui, prêt pour suivre avec attention ce règlement de compte. Le premier combattant avait fière allure, couchée sur le sable, il l'avait déjà remarqué en taverne, avec son frère qui trainait sa poupée et qui parlait à sa place... Parfois on s'demande dans quel monde on est tombé, si on c'est pas trompé de route, ou encore si les gens sont nés cons... Mais voilà chacun sa vie chacun ses neurones c'était de loin son problème, l'en avait assez à gérer pour s'attarder sur la folie des autres...
Khaan
Le jeune garçon c'était levé de bon pied mais quand même un peut fatigué il enfila ses vêtements sans prendre la peine de prendre son épée ni son bouclier, cela était un combat a la loyal.
Sans même faire trempette ce matin là, il se dit que d'enlever la merde qu'il avait au coins des yeux ne changerait rien au résultat final.
Du coup il prit le chemin direction la lice, il avait des compte a réglé avec un aubergiste qui empesté a plein nez.
Il arriva sur les lieux ou le duel allait se dérouler.


- Bon... T'es prête?! Allez lève toi, tu ne cognera pas les clochards comme tu pouvais beugler hier.. Je suis ici maintenant, que les choses qui devait se passé arrivent!

Ils étaient tout deux face à face, Khaan regardaient l'aubergiste en face de lui droit dans les yeux.
Une defaite ou une victoire n'allais rien changé pour lui, mais il envisagea quand même de lui mettre une rouste comme il était convenu.


- C'est partit... Que le plus pourri de nous deux gagne! De plus j'ai pas pris le temps de faire une toilette, si je ressort vainqueur t'auras l'occasion de me renifler l'oignon!

Il se mis en garde devant son adversaire.

Il vu que son beau père et sa mère était venu le voir, c'était une première pour lui, il se dit qu'il voulait les rendre fiers dans ce combat.
il aurait eu au moins une activité active dans sa journée, au lieux de picolé. l'occasion de repartir avec de belles égratignures ou peut être bien amoché.
Kayte
Jour J

Levée aux aurores, de corvée de nettoyage ? Nan mais le Ezio croyait tout d'même pas qu'elle allait se transformer en bonne maîtresse de maison ?! Apparemment si, puisque monsieur s'est tiré, dès qu'elle eut le dos tourné. Elle soupire, râle, peste, et dans son éternel flegme finit par se résigner.

Les retrouvailles avec sa progénitures ne se sont pas tout à fait passées, comme elle a pu les imaginer Xfois. Il a fallut qu'elle tombe dessus en taverne, qu'il parle, parle et parle encore et toujours, et qu'il tombe sur plus grande gueule que lui et qu'elle compte simplement les points. Attitude indigne d'une mère, oui.
Tout naturellement, elle aurait dû prendre sa défense, s'interposer et elle n'en a rien fait. Au contraire.... Elle espère que cela forge Khaan.

Finissant de ranger la baraque, elle retire le tablier et se rend en lice.... La lice, c'est cool. Sa forge, les meilleurs leçon y sont parfois données. Ou pas, Montparnasse ne devait pas être le meilleur instructeur du siècle non plus. A son arrivée, il y a déjà du monde, elle balaye les lieux des yeux , salue d'un signe de tête l'gamin à la poupée, la dame, Montparnasse qui gît comme une étoile de mer au sol, surement sa position fétiche... Puis son fils. Elle remarque son homme sur les gradins, roule des yeux... Putain qu'est ce qu'il fiche perché aussi haut? Elle le rejoint, ouais elle joue pas les mères poules avec son gamin, sinon elle est capable de prendre sa place et de foutre elle même une raclée à son pote de joute verbale.

Se plaçant près de son homme, la tension fut au maximum... Elle est à fleur de peau. C'pas tout les jours qu'on va voir la chair de sa chair aller s'prendre une raclée ou en donner une. Anxieuse, elle était.


-Coucou mon coeur... T'as briefé le p'tit ? Tu lui as dis qu'en cas de galère faut viser le bas-ventre ? On s'en sort toujours comme ça...

On inspire, on expire... Puis elle entendit Khaan provoquer son adversaire et c'est partit...

-Putain il le provoque... Ferme là, couillon ...Bordel, chiotte, merde...
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Ezio_auditor
Enfin elle était arrivé... juste au bon moment! Il lui sourit en la voyant monter les escaliers et lui fit une petite place auprès d'elle avant de constater un petit détail qui lui fit rapidement comprendre que la belle était tendue comme un arc, de mauvaise et pas a prendre avec des pincettes... En vue de ses joues qu'elles bouffaient de l'intérieur, c'était pas le moment de lui lancer une vanne du genre "t'as pas oublié de refaire le lit" ou une connerie du style "le groupe est parti sans nous"... C'était l'instant même ou fallait justement être monstre intelligent, la calmer... Pour commencer un baiser histoire de lui faire comprendre qu'on était du même côté, puis ensuite le truc qui allait la calmer... la bouffe! A coup sûr elle remarquerait la classe du gars qui avait préparé le pic-nique...

Coucou chérie! Un p'tit bout d'lard? ça vient du boucher du coin!

Puis revenant sur sa question, Ezio savait plus trop où il en était au niveau coaching....

Ben disons que.... Ah sauvé par le gong!

Voilà t'y pas que le beau fils arrivait, fier comme un paon, il avait même décidé de lui balancer des trucs à la tronches histoire d'énerver son adversaire, mais quel con... mais quel con... Le combat commençait et le maladroit, commençait à donner des coups dans l'vide... S'en était trop, pour les yeux d'Ezio qui était prêt à descendre pour prendre sa place et lui montrer comment se battre... Il se leva, et commença son job de coach...

Putain Khaan remontes ta garde!! Restes pas en face de lui!!

et paf, il s'était retourné en la direction d'Ezio et venait du coup de découvrir toute sa face, ce qui n'échappa pas à son adversaire...

Mais coooognes non de dieu! Fous y dessus!!!
Montparnasse.
La voix douce d'Amelliane le fit légèrement sursauté, il ouvrit légèrement les yeux et grimaça sous la lumière du jour, son première reflexe fut de marmonner un :

- Non, j'dormais pas c'est pas vrai...

Avant de se redresser en appuyant la paume de sa main sur son crâne. Dieu que le vin italien est traitre ! Il tenta de sourire à sa jolie brune quand il remarqua que son frère était déjà là. Combien de temps avait-il dormis ?
Son regard se porta de nouveau au clocher de l'église... Ah oui quand même...
S'essuyant la bave qui couvrait le coin de ces lèvres, il grommela doucement. Il allait faire payer au blond de lui avoir gâché une si belle gueule de bois.

Je vous arrête tout de suite, je sais ce que vous vous dite. Montparnasse est complétement con d'avoir fait abusé ainsi des bonnes choses juste avant un combat, mais détrompez-vous, derrière son attitude qui semble parfois impulsive le jeune homme avait souvent quelque coups d'avance et il ne faisait rarement rien sans rien.
Tenez par exemple boire comme un trou avant un combat, cela peut vous semblez complétement stupide et puérile comme attitude, mais il n’en était rien. L’alcool faisait ressortir la noirceur qui sommeillait en lui, et il aurait besoin d’elle pour botté le cul au blondinet qui s’avancer à présent vers lui
Le jeune homme le provoquait, l’insultait…

Montparnasse avait mal au crane, c’était vraiment pas l’moment de faire ainsi le mariole.
S’aidant du bras de son frère pour se relever, il tituba un moment avant de grimaçer en s’approchant de lui pour lui glisser ces quelques mots a l’oreille :


- Tu m’as pas raté hier, p’tit enculé va !

L’ennuie avec son frère, c’est que ces deux insultes préféré, c’est-à-dire, enculé et mignon de catin, ne fonctionnait pas sur lui. Aussi il fallait prendre la phrase prononcé à mi-voix dans son sens premiers.
Il jaugea un instant son adversaire qui se mettait déjà en garde et sans un mot il s’élança vers lui.

Montparnasse était fin et rapide, il entrait parfaitement dans la catégorie des petits nerveux. Ceux dont on sous-estime bien souvent la force et l'agilité.


- Putain Khaan remontes ta garde!! Restes pas en face de lui!!

Le beau-père gueula de l’autre côté de l’arène, l’attention du jeune homme était dévié, c’est le moment qu'il choisit pour lancer son bras au travers de la gorge du jeune garçon, et, dans un parfaite synchronisation, il lui balaya les deux jambes pour le mettre au sol.



0. Khaan est fauché comme un épi de blé en plein vol, quel geste remarquable de Montparnasse. ! Le geste parfait, Khaan se tord de douleur sur le pré. (Montparnasse. inflige 9 points de dégât à Khaan.)


- Cause moins et cogne plus gamin…
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Amelliane
La brune se mit à sourire en voyant Mont sortir de son sommeil qui selon lui n'en était pas un, voyons à d'autre pensa-t-elle avec un petit air amusé.

Puis elle se retourna quand Claque la taquina l'air de rien. Amelliane manqua même d'avaler, son morceau de fruit, de travers si bien son sous-entendu était si explicite.

La demoiselle le regarda avec les joues toutes gonflées amusé par la situation
(enfin heureusement pour elle qu'elle ne ressemblait pas à cela) et surtout par cette allusion. D'un revers de main elle s'essuya le coin de la bouche au cas ou. Elle finit par avaler histoire de ne pas parler la bouche pleine, ça serait un grand manque d'impolitesse.

Elle lui tendit le fruit en lui fait un petit clin d’œil :


- Merci Claque tu es mignon tout plein mais vas y je te prête ma gourmandise qui me remplis tant la bouche.

La jeune femme alla lui donner une légère bise l'air de rien et souriait à Mont en le voyant dans un piteux état, la nuit a du être longue pour lui.

Mais trêve de bavardage le jeune coq qui devait affronté Mont arrivait, enfin il y avait pas mal de monde. Elle salua une femme par un signe de tête. Le gamin beuglait comme un forcené semblait en forme lui, la demoiselle espérait dans son fort intérieur que le beau brun allait lui faire ravaler sa fierté.

En tout cas pour l'instant il semblerait qu'il était temps au combat. Amelliane attrapa Claque par le bras pour le guider un peu à l'écart. Le ton était donné, son attention était porté sur ce qu'il se passait en lice, le brun ne devrait pas si mal s'en sortir s'étant déjà un peu entraîner au combat avec lui elle savait ce qu'il valait et avait confiance.

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Khaan
Le jeune garçon écouta le conseil de son "beau père" en regardant en coin, "- Putain Khaan remontes ta garde!! Restes pas en face de lui!!" puis se retrouva fauché au sol, la douleur était au rendez vous mais cela l'avait bien réveillé.
D'un coup vif il répondit de ses poings en se relevant. Il se dit "C'est pas possible, il a du aller a l'église celui la son haleine sent la fouffe de la bonne sœur, il a du lui faire un travail sale avant de venir ici.


- Bien jouer mon salop! Tu as bien jouer ton coup, mais maintenant je ne me laisserais plus avoir par surprise une seconde fois.

Il s’élança a toutes vitesses vers son adversaire, tout en portant son coup en plein estomac, il avait sentit que son poing c'était bien porter a son adversaire.

- Tien! Voilà pour toi mon con!!

Citation:

1. Ah, celui là, c'est pas un cadeau ! Montparnasse. a dû le sentir passer ! (Khaan inflige 5 points de dégât à Montparnasse..)


Ce n'était que le début d'une séries de coups qu'il allait s'infliger l'un a l'autre, il prit quand même un malin plaisir dans ce début de duel devant autant de monde, le village était au rendez vous.

Il se concentra sur son adversaire pour ne plus laisser de coup surprise arrivé, il releva sa garde comme ont lui criait et se mis en mouvement pour ne pas être une cible statique.
Kayte
Round 1: Ferme là et sois un homme, bordel !

Il y a des moments dans la vie d'une femme où un homme peut l'exaspérer au plus au point et avec son morceau d'lard.... Ezio opéra. Ce fut magique, elle lui envoya une flopée de flèches en feu d'un simple regard... Son fils est en lice et son mec s'tape un pique nique, manque plus qu'il sorte la chopine et qu'il lui dise " Après la lice, j'vais au bordel du coin, chérie !" Ah ah ! Elle fait preuve de patience, un mec après tout c'est comme un gosse.

Salvé mon coeur... euh... nan... pas de... Tu as fais l'marché plutôt que d't'occuper du...

Gamin, l'mot de fin est "gamin! Ezio s'égosille, Khaan regarde son homme, l'Aubergiste en profite sciemment ! Elle revoit la scène au ralenti, sa bouche s'ouvre pour ne former qu'un "o". Ouais elle n'en croit pas ses yeux... Une balayette ? Une foutue balayette ! D'une main elle agrippe le bras de son homme et sert de toute ses forces... Elle lui tort la peau. Elle ne pouvait pas dire mieux que le faucheur... Ouais parle moins et rentre lui dans le lard !

En apparence, elle a l'air très calme, posée , limite elle s'en bat les coquillettes, seul le bras d'Ezio peut témoigner du contraire et quand elle tourne son visage vers lui... Pauvre, il s'bouffe la barbiche. Elle desserre imperceptiblement sa prise, le regard un brin désolée avant de retourner au combat qui se poursuit...

Et son fils repart dans un blabla, et inflige un bon crochet du droit, gauche, centre à son adversaire. Elle souffle longuement, tout n'est pas perdu ! Elle décide donc de se détendre et de s'asseoir, dépliant les jambes devant elle, prenant un bout d'jambon.


-C'bon, mon coeur, s'il sait envoyer, il sait recevoir... Enfin....


C'est que le doute est permis des fois....

_________________
Montparnasse.
Le petit merdeux ne tarda pas à répliquer et son poing s’enfonça dans l’estomac de Montparnasse ce qui qui pour effet, outre de lui couper le souffle, de lui donner une certain envie de gerber, pour pas dire que ça lui a entièrement retourné le bide. Le voilà bien en rogne à présent. D’autre coup de tarde pas à suivre et Montparnasse les encaisse comme il peut sans se débarrasser de son sourire. Les coups il a l’habitude d’en prendre, mais il a l’habitude aussi d’en donner et la garde du jeune homme l’amuse. Pas de doute c’est bien par l’ost qu’il a était formé et pas dans la rue.

Montparnasse s’avance contre lui, il n’essaie pas d’esquiver ces coups, il se les prend, mais continue sa progression pour se trouver dans sa garde avant de se mettre à frapper à son tour. Ces coups sont fourbe, direct, sa façon de se battre est brouillon et chaotique mais efficace, il ne cherche pas la beauté d’un combat loyal, il cherche seulement à faire mal. Laissant sa rage couler dans ces veines Montparnasse oublie son mal au crane, il oublie son mal au cl et sa nuit de beuverie et de sexe, il ne pense plus qu’à une chose, il veut lui faire mal à ce gosse, lui faire ravaler son sourire et son air supérieur, il veut qu’il ferme sa gueule. Et il veut avoir mal !




2. Mme Khaan et Mme Montparnasse. ne passeront certainement pas leurs vacances ensemble ! (Montparnasse. inflige 4 points de dégât à Khaan.)

_________________
Gilet
Ce jour là, Gilet faisait sa balade matinale comme à son habitude. Il aimait arpenter les rues de la ville, juste avant que Nîmes ne s'éveille et que l'animation batte son plein. C'était son petit plaisir quotidien. Il n'était pas installé ici depuis très longtemps, mais déjà, il se sentait chez lui et ce rituel quotidien lui permettait de s'approprier chaque fois un peu plus la cité occitane.

Cependant, ce matin, une fois n'est pas coutume, il s'était éloigné du centre-ville pour marcher hors les murailles et admirer le paysage environnant. Lorsqu'il passa non loin de la lice, il entendit une agitation inhabituelle. Intrigué par des cris qui semblaient être des encouragements et par des bruits qui semblaient être ceux d'une bagarre, Gilet activa le pas afin de voir ce qu'il se passait.

Son ouïe ne lui avait donc pas jouer un tour. Il s'agissait bien d'une bagarre ou plutôt, non, d'un duel. Il y avait même des spectateurs assis dans les gradins ! Tous lui étaient totalement inconnus. Sans doute s'agissait-il de voyageurs de passage. Il faut dire que ces derniers temps, le jeune homme n'avait guère le courage de se rendre en taverne après sa journée de travail. Labourer et semer les champs, récolter le maïs, traire des vaches étaient terriblement épuisant. Rien de comparable à la mine, bien évidemment, car au moins, là il était au grand air et non pas enfermé au fin fond d'une cavité, mais tout de même, à la fin de la journée il était plus que fourbu, et, généralement, à peine rentrer chez lui, il s'effondrait sur sa paillasse sans demander son reste.

Le match avait a priori déjà commencé. Les deux combattants portaient des marques de coups sur leur corps et leur visage.

A n'en pas douter, le jeune homme était fort intrigué par toute cette assemblée. Qui pouvaient-il s être ? Que faisaient-ils tous à Nîmes ? Une odeur de souffre, à la fois répulsive et particulièrement attirante, émanait de chacun d'eux.

Plonger dans ses réflexions, Gilet s'arrêta pour observer le duel ainsi que tous ces nouveaux visages.
Khaan
Juste après la série de coup qu'il lui avait donné, il vu que Montparnasse se raprocha brusquement de lui pour lui rendre les coups.
Il rentra dans sa propre garde c'était des coups au corps a corps et ainsi prenait une bonne série dans la tête. Il compris que le courtisant était entré dans une colère noire, Khaan se devait de faire quelque chose pour répliquer.

Puis il riposta dès qu'il pu, il se dit qu'il était trop près de lui et qu'il devait faire quelque chose quitte a ce que cela soit déloyal au combat qu'il menait.
Coup pour coup il devait faire le boucher et non le gibier, il mis un écart entre Montparnasse et lui puis lui rentra un coup de tête dans le nez puis lui mis un coup de pied direct dans les bourses, une fois tomber a genoux il s'empressa de lui mettre un coup de pied direct dans la tête pour l'étourdir. Puis repris un écart pour pouvoir reprendre son souffle qu'il avait longuement dépensé durant les coups au corps a corps.


Citation:
3. Khaan porte un coup vicieux à Montparnasse., sous les yeux de l'arbitre qui ne bronche pas ! Monsieur Foote, vous êtes un salaud ! Quel scandale cet arbritrage, c'est invraisemblable ! Jamais vu un individu pareil, il devrait être en prison, pas dans une arène. (Khaan inflige 8 points de dégât à Montparnasse..)



Il vit que le courtisant était sonné, il se tourna vers la foule puis s'exprima,


- Et dire que vous êtes en pleine jouissance!

Il prit une voix surjouer,

- J'espère que vous appréciez également, j'aime partager un moment comme celui-là avec vous mes fans, vous qui me regardez..

Puis il se retourna vers Montparnasse et lui dit,

- Fais pas la tafiole, lève toi et bats toi donc vieille courtisane! Quoi?! T'as mal au cul?! Allez Débout!
Montparnasse.
Coup de tête, coup dans les noisettes et euh…re-coup dans la tête.
Montparnasse est à terre. Sonné. Il n’a pas compris ce qu’il vient de se passé. Je rêve ou il vient de le frappé dans les couilles ? La douleur fait écho a ces pensées et Montparnasse se recroqueville la main sur son entre ambe, le nez en sang. Et le gamin qui continue à piailler. Cette fois s’en est trop.
Finit le gentil courtisans, c’est à présent à Montparnasse le brigand que le gamin va avoir à faire.
L’arbitre est aveugle ? Bien. Jouons-le de la même façon dans ce cas.

Apres être resté bien trop longtemps au sol, sonné, la main se Montparnasse se referme sur une poigné de sable. D’un geste rapide et précis le Parisien lance cette fine particule au visage de son adversaire pour l’aveugler.
Puis, sans lui lancer le temps de réagir il l’enchaine. Crochet du droit dans la mâchoire, coup de poing dans le ventre, avant de lui agripper sa tignasse blonde et de lançait à vive allure le visage toujours aveugler du jeune homme contre son genoux. Il entend les os de son nez craquez sous le coup, mais Montparnasse à la rage, ses couilles le lance, son cul est déchiré, alors, il vient percuter avec une violence complétement gratuit et disproportionné son coude dans la nuque du jeune homme.




4. Montparnasse. porte un coup vicieux à Khaan, sous les yeux de l'arbitre qui ne bronche pas ! Monsieur Foote, vous êtes un salaud ! Quel scandale cet arbritrage, c'est invraisemblable ! Jamais vu un individu pareil, il devrait être en prison, pas dans une arène. (Montparnasse. inflige 8 points de dégât à Khaan.)


Montparnasse titube un instant, pas encore complétement remit du coup de pieds dans la tête, mais il voit que le jeune homme ne bouge plus, il est sonné. Il ferme sa grande gueule. Enfin. Montparnasse lève les bras en signe de victoire, en crachant à ces pieds toute sa haine, et son dégout.

- Tu sais c’qu’elle te dit la tafiole ? Pfff. P’tit con.



De ce combat homérique, Montparnasse. est ressorti vainqueur. Célébrons ses louanges et chantons la geste de ce héros à nul autre pareil ! Montparnasse. a gagné un doonuts.


Son sourire est pour son frère, son regard pour Amel. Il a gagné. Lui-même n’en croit pas. P’tain mais comment il va se la péter quoi…
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