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Info:
Du jour où Samsa fut anoblie vicomtesse de Luzarches en Île-de-France, ou "la réalisation d'un rêve"

[RP] Honneurs royaux - Règne de Rose

Linoa
On prenait les mêmes et on recommençait, ou presque, disons que les deux numérateurs communs se trouvaient être la reyne et elle-même, peu donc quand allaient arriver les impétrants du jour.
Une liste plus courte - et heureusement - que celle des nobles de l'Ile de France qui se multipliaient en sus avec tous les chevaliers, ce dernier point n'était pas un mal mais allongeait bien assez la cérémonie ainsi, la fine fleur de la noblesse ou du moins, celle qui l'incarnait le plus dans son essence même.

Enfin, ce jour ils n'étaient pas rassemblés pour parler chevalerie mais honneurs royaux avec des impétrants méritant aux yeux de leur souverain, la Valten en connaissait la plupart car il s'agissait pour une poignée de collègue quand d'autres lui parlait juste de nom.

Il n'y avait cependant plus qu'à les attendre ainsi que la reyne.

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Eléïce de Valten de Mortemart Amnell, Duchesse de Touraine,
Épouse et bourreau d'Andrea de Mortemart Amnell dicte Phylogène.
June
Étrange situation que de se retrouver là. D'ordinaire, il aurait refusé, bien entendu. Il savait déjà les mots qu'il aurait employés, puisqu'il les avait utilisés par le passé pour refuser des cadeaux aussi mal distribués que dénués d'intérêt. Il avait, entre temps, murmuré une suggestion aux portes qu'il fallait, et c'était ce souvenir qui l'avait décidé à venir ici. Son instinct lui avait suggéré de changer son habitude de dénigrer ce qu'on lui proposait ; et, cette fois, la petite voix lui intimait de se présenter. Après tout, ce n'était pas n'importe qui, celle qui lui avait écrit. Saint Denis était son mentor et il ne l'oubliait pas. Alors, il se présenta aux portes du Louvre en indiquant son identité, dans l'ultime idée que le refus pourrait se faire à la dernière minute si d'aventure son instinct s'était - pour cette fois - trompé.

Il se laissa emmener jusqu'à la salle de réception où allait se dérouler la cérémonie. Lors de son passages dans les couloirs, il laissa traîner son regard sur les tableaux, les tapisseries, les dorures qu'il y avait ça et là, songeur. Le page le conduisit jusqu'à la porte, qu'il lui ouvrit, laissant apparaître une Valten seule ou presque. Un fin sourire amusé se dessina sur les lèvres du Sidjéno qui se dirigea vers elle.


"Mes hommages, Saint Denis. Je gage que vous ne vous attendiez pas à ma présence, néanmoins je me dois de faire honneur à celle de ma professeure."
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Cleopatre2
Une missive reçue, avec un tampon et pas des moindres. Les armoiries de Saint Denis. Surprise, que la missive en était tombée de ses mains. Puis de la reprendre et relire les mots écrits dessus. On l'attendait dans une aile du Louvre qu'elle ne connaissait pas du tout. Et de tourner à droite, à gauche, pour se retrouver la ou elle devait se rendre. De présenter sa lettre à qui de droit et d'entrer à la suite du page qu'il l'accompagnait en salle de cérémonie. Deux personnes de présente.

Saint Denis, Berry, le bonjour.
Dire qu'elle ne savait que dire. C'était le cas. Cela semblait ridicule, mais elle restait timide dans cette grande salle d'apparat.
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"Si tu n'espères pas l'inespéré, tu ne parviendras pas à le trouver" Héraclite - en cours de modification
Vittoria
Aux aurores, un messager s'était présenté aux portes de l'hôtel de Jouy et on avait fait porter une missive aux appartements de la Farnezze qui était encore en train de se préparer pour affronter une nouvelle journée. Elle y avait reconnu le scel de Saint-Denis et à la lecture du pli, compris qu'elle était convoquée le jour même au Louvre. L'emploi du temps de la journée s'en retrouverait incontestablement bouleversé car fidèlement, on ne pouvait refuser une convocation royale.
Lorsqu'elle arriva au Palais, elle n'eut aucun mal à trouver son chemin, connaissant la bâtisse royale comme sa poche mais elle entra presque timidement dans la salle, se demandant ce qui allait se passer. Elle fut surprise d'y trouver ses compères hérauts et ne manqua pas de les saluer :


Saint-Denis, Berry, Rouergue... mes hommages.
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Samsa
    "Pourquoi toujours penser que ça ne peut arriver qu'aux autres,
    Se dire que tant pis on n'a pas de chance,
    C'est la vie et c'est de sa faute...
    Il ne faut pas se laisser aller, on est jeune, l'avenir est devant nous,
    Jamais abandonner, c'est plus fort que tout.
    [...]
    Lève ta main et crie victoire."
    (Shy'm - Victoire)







Un courrier. Un courrier et toute la vie de Samsa prenait entièrement son sens. Son engagement indéfectible, ses efforts jour et nuit, sa présence sur tous les fronts... Tout ceci avait déjà un sens, celui de protéger la Couronne, la France, de l'aider à devenir meilleure chaque jour, petit à petit, mais ce courrier-là avait pour sens également celui de la reconnaissance, celui de se dire que le monde savait dire merci, un merci particulier, différent mais complémentaire des autres qu'elle avait reçu. Elle l'avait senti.
Elle n'avait pas enfilé de tenue particulière, c'était celle qu'elle portait au Louvre et à la guerre parce que c'était pour cela que la reine voulait la remercier, pour ce qu'elle était. A quoi bon se vêtir d'une robe ? Cerbère détestait les robes et puis ça ne lui ressemblait pas. Elle était femme simple et, surtout, de symbolique. Ainsi, seul l'insigne du Secrétariat Royal ornait sa poitrine qui aurait pourtant pu arborer moult médailles militaires, mais alors il aurait aussi fallu porter les colliers à son cou et Cerbère ne venait pas ici se montrer ; elle venait recevoir, humblement.

Elle connaissait bien le Louvre puisqu'elle y travaillait. Néanmoins, elle n'était venue qu'une seule fois dans cette partie du château, c'était sous Sa Majesté Lafa de Bussac et pas pour recevoir sa baronnie de mérite en Alençon mais pour la pièce des combattants. La récompense avait beau avoir été offerte à tous les combattants d'Anjou, elle avait pour Samsa cette symbolique particulière pour elle-même. Elle fit ainsi attention à ne pas s'égarer dans les couloirs, retraçant de mémoire ce petit chemin de gloire qui avait été le sien ; quelle pièce l'attendait au bout ?


-Saint-Denis, Berry, Excellence-Rouergue, saluté à vous pardi ! Oh, Vittoria ! Maine. Je veux dire, Votre Seigneurie. Comment allez-vous té ?

QUATRE hérauts dans la même pièce. Pas n'importe lesquels, Cerbère leur portait tous une estime particulière, Sidjéno pour s'être lui aussi levé au mariage de Lucie -bien que largement moins véhément qu'elle- et Valten pour son parcours et sa présence tant à la hérauderie qu'en Touraine, où Samsa avait vécu il y a un certain temps déjà. La Prime Secrétaire Royale adorait ces figures constantes et canoniques -pas sur l'âge, allons-, ces figures qui rassurent et qui font se dire que tant qu'elles sont là, le monde ne part pas trop en cacahuètes. Cleopatre aussi, Samsa la considérait beaucoup pour son travail en Rouergue, plutôt du côté des ambassades et du Secrétariat d'État cette fois. Elle en avait entendu bien des éloges et sa visite diplomatique avait au moins confirmé la sensation qu'elle avait face à elle une travailleuse. Et puis, Vittoria, bien sûr, celle que Samsa avait soutenu durant ses deux campagnes royales, femme de droiture et de justes exigences, regrettée supérieure pour une écoute et un sens moral qui, si elle n'était pas la seule à avoir, ressortaient tout du moins particulièrement chez elle.

- Pardonnez-moi, je voulais vous écrire à la suite de votre entrée à la Pairie pour vous féliciter mais je reconnais que mes actes n'ont pas dépassé mes pensées pourtant déterminées par manque de... beaucoup de choses pardi.

Elle lui sourit, de ces sourires dont on comprend qu'il n'y aura pas d'accolade pour le contexte très officiel dans lequel elles sont mais qui l'offre tout de même. De ces sourires, aussi, qui se rassurent d'une présence familière ici, en ce jour particulier pour Samsa, qui sont heureux de savoir que lorsqu'elle aura genou à terre devant la reine, il y aura dans son dos un regard bienveillant et fier.
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Coleen_de_colmarker
La veille j'vais reçu un pli me demandant de me rendre d'urgence à Paris que Sa Majesté voulait me voir. J'avais donc prit la route avec ma femme car on ne faisait pas attendre une reine, surtout quand elle venait d'enfanter. J'étais fier et heureux.

Nous me mirent pas long a arriver à destination puis à emprunter le bon couloir pour arriver à la bonne salle. Par contre qu'elle ne fut pas ma surprise de ne trouver dans la salle presque que des hérauts. . C'était les mystères de ce genre de cérémonie, qu'est ce qui motivait pour untel ou untel? Mystère et boule de gomme.

J'avançais donc au bras de mon épouse, en saluant les personnes présentes. dont la responsable de la cérémonie , June tout d'abord que je connaissais bien pour avoir échangé souvent avec lui quand j'étais duc de Champagne, et c'était une adorable personne.

Vitto que je connaissais du Maine bien entendu puis Samsa croisé lors de guerre, quand aux autres je ne connaissais que de nom.

On se posa donc dans un petit coin pour attendre la suite. Sa Majesté ne devrait pas tarder .

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Elisabeth_stilton
Suspicieuse en recevant le courrier elle se rendit sur place. Voyant les noms rien ne la surprenait sauf une personne, elle allait vite relire ses notes et là ce fut l'horreur. Elle se dirigea donc vers Vittoria et lui glissa un mot discrètement. Le pourquoi de la convocation passait complètement au dessus de la tête de la blonde vu la bêtise qu'elle avait faite. Elle était mortifiée ... Rien n'avait d'importance à ce moment là.
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Liloia_de_baish
Pas de pli reçu , mais juste un " Ramène tes fesses" que l'on ne discute pas.
Je me retrouvai donc dans un des salons du Louvre entourée de personnes que j'avais plaisir à voir ou à revoir, sans savoir quel allait être mon rôle .

Souriante , je saluai les présents , d'un hochement de tête et d'un large sourire . On ne m'appelait pas La Taiseuse pour rien. Discrètement , je tâtai ma fiole de calva bien calée dans ma botte gauche - on ne se refait pas - et attendit la suite.

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Vittoria
A l'arrivée de Samsa, la Farnezze l'accueillit avec cet habituel léger sourire. Elle n'était pas étonnée de la voir là et elle se fit la réflexion qu'elle recevrait les honneurs qu'elle mérite.

Je vais bien je vous remercie. Ce n'est rien pour le courrier, j'imagine que vous avez été occupée et...

La conversation fut coupée par un mot que Montjoie lui glissa à son arrivée dans la salle. Déplié et lu rapidement, Vittoria comprit que la journée allait vite reprendre son cours normal. Elle releva les yeux vers la reyne d'armes sans rien dire puis reprit vers Samsa :

Désolée, je vais devoir vous laisser, des occupations m'attendent.

Elle lui sourit tout en lui prenant une main qu'elle serra affectueusement et lui murmura :

Quelque soit l'honneur que vous recevrez soyez-en fière, vous le méritez.

La voix s'était faite douce, convaincue de ce qu'elle venait de prononcer, une inspiration fut prise puis elle lâcha la main du Cerbère pour quitter l'endroit.
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Vittorina
Lorsque l'on vint trouver la florentine dans les bureaux de la Chambre Royale, pour lui faire parvenir un message, celle-ci était perdue entre rêveries et pensées parasites, accoudée sur sa table d'écriture, et le nez levé vers le plafond. Le tambour à la porte, aussi brutal qu'inattendu, la fit se redresser soudainement, prenant l'air très sérieux de celle qui était en pleine séance de travail, puis récupéra le pli sans un mot.

Alzo était persuadée qu'il s'agissait là d'un mot de son compagnon, essayant de briser la glace survenue au cours de la soirée de la veille, mais rapidement mesura son erreur. Le sceau comme l'écriture ne lui disait absolument rien, un peu comme le motif d'ailleurs.
Ce matin, en habillant la Reine, celle-ci ne lui avait rien laissé deviner. Comme souvent, elles avaient un peu bavardé un peu du temps du jour, des jumeaux royaux, et des potins de la Cour entre deux lacets à resserrer, mais rien concernant cette cérémonie.
Et puis un détail, et pas des moindres, lui sauta aux yeux comme un diable en boîte.
    - Ahhh ! Mais .. mais ... on est le 15 !!!
Pas le temps de tergiverser plus longtemps ! La journée était entamée et refuser de se présenter à une convocation royale officielle, ce n'était pas du tout envisageable.
La brunette récupéra de sous sa chaise les souliers qu'elle avait ôté pour être plus à son aise, les remit dans un exercice d'équilibriste improvisé mais contrôlé grâce à la chance du débutant et sortit dans les couloirs.

Grâce au Ciel, Vittorina arpentait le Louvre depuis plusieurs mois maintenant et le connaissait assez au moins pour ne pas se retrouver à tourner en rond dans les galeries, à revenir sur ses pas, ou à devoir demander son chemin comme une touriste paumée.
Quand elle croisait des figures de noblesse ou d'autres officiers, son pas se faisait tranquille, serein, gracieux, avec en sus moult sourires et salut de la tête, mais quand il n'y avait personne d'autre qu'elle ou des valets et des servantes, son allure se pressait, à mi chemin entre le trottinement et le véritable pas de course, quitte à prendre le risque d'une cascade mémorable.

C'est donc essoufflée qu'elle arriva, courrier en main en guise de Laissez-Passer, et pénétra la grande salle, les joues teintes encore de sa course folle.
En un rapide coup d'oeil, Vittorina remarqua l'absence de la Reine, n'était-elle pas encore arrivée ou au contraire déjà partie ?
Pour le reste de l'assemblée présente, ils lui étaient pour la plupart inconnus. Elle se souvenait un peu de Coleen, pour avoir assisté à un plaid commun, forcément de la Dauphine - le minimum syndical, non ? - un doute sur Samsa dont elle se demandait si elle ne l'avait pas déjà croisée à Limoges et ... c'était tout.

Cela ne l'empêcha pas évidemment de les gratifier d'un " Bonjour " timide, assez audible pour ne pas paraitre impolie, mais discret pour ne pas attirer l'attention, et d'oser sourire à ceux dont elle pourrait croiser le regard.
A pas mesurés désormais, et l'air de rien, la florentine s'approcha d'une jeune femme que le hasard désigna comme étant Liloia, puis tout en lissant sa jupe et remettant de l'ordre dans une coiffure bousculée, lui souffla discrètement.
    - C'est terminé ? La Reine est déjà partie ?

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"Dans un monde où le paraître est roi, être peut tuer."
Vittorina Gloria A.
Hellina_rose
La reine était assise sur son trône depuis un petit moment déjà. Elle voulait être là pour accueillir tout le monde d'un sourire. Et là ce fut le drame. Le sourire disparut totalement sur le visage quand elle vit Vittoria, non pas qu'elle n'était pas enchantée de la voir, loin de là, mais elle s'attendait plutôt à voir VittoriNa le N faisait toute la différence.
Elle pâlit honteusement, pour le coup elle était quasi sûre d'avoir bien orthographiée le nom à son dauphin, alors, en partant de là, c'était une erreur de la pomme dauphine. Un sourire s'étire à nouveau, cette femme pouvait donc faire des erreurs, quelle satisfaction ! En tout cas ce qui était certain c'est que dans le travail comme dans les bourdes Eli ne faisait pas les choses à moitié ! Elle s'excuserait auprès de Vittoria, mais plus tard, dans l'intimité, ce n'était pas vraiment le lieu pour ça.


Bref comme à chaque fois elle grignotait en attendant que tout le monde soit présent tout en faisant signe à Eli d'approcher. Une fois que la pommette fut à côté d'elle, elle lui dit :

Restez à côté de moi, votre présence me rassure, ça ne vous dérange pas j'espère que je vous ai fait venir ici. Mais dans les trucs héraldiques vous savez que j'aime votre présence.


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Liloia_de_baish
- C'est terminé ? La Reine est déjà partie ?

Je sursautai légèrement quand on m'adressa la parole. Déjà moi même me posai beaucoup de questions sur ma présence ici et je ne savais pas si la Reyne devait même passer Je me retournai et sourit à la Donà qui m'avait adressée la parole

Bonjorn ... je ne sais pas. Je suis moi même arrivée il y a peu et ...

Puis j'avisai la Reyne sur son trône, un peu plus loin interpellant Montjoye. Nouveau sourire

Et bien vous avez votre réponse Donà , elle est bien là , je reconnais sa voix...

Par habitude je continuai à chuchoter Je suis le Chevalier Liloia de Jacetania de Baish , héraut es Chevalerie , dict Ényo...

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Linoa
Les impétrants n'avaient pas tarder à venir les uns après les autres, la Valten se tenant derrière son pupitre fut ravie de constater que le premier fut le Sidjéno, peu sûre de le voir ce jour, l'inverse la ravie.

Vous gagez bien mon cher et je suis ravie de constater que vous avez fait le déplacement, normalement vous ne devriez pas être déçu! Se permit elle d'ajouter entre eux.

Suivi de Cléopatre et d'autres qui la saluaient tout autant que les premiers. Le bonjour Rouergue, baronne, Maine, parce qu'elle ne pensait pas qu'il y avait eu bourde pour cette dernière, elle ne comprit qu'après le brassage d'air de Montjoie qu'il y avait un truc en cours.
Salutations rendues au couple Colmarker-Valrochelles.


Il semblait ne manquer qu'une personne, ou deux, de mémoire car les choses avaient changées en cours de route.
Quoiqu'il en fut, ne restait que le feu vert de la reyne pour débuter.

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Eléïce de Valten de Mortemart Amnell, Duchesse de Touraine,
Épouse et bourreau d'Andrea de Mortemart Amnell dicte Phylogène.
Vittorina
Les retardataires et les squatteurs des fonds de salle ont toujours tort. C'était une vérité établie.
Quel était le pourcentage de chance pour que Vittorina se place pile à l'endroit d'où elle ne pouvait avoir vue sur le trône ? Hm ? Et pourtant, il aurait suffit de se décaler d'un pas de côté et de se hisser sur la pointe des pieds pour l'apercevoir, et donc éviter de poser des questions aux réponses évidentes. Le moment venu, car il viendrait, elle irait saluer la Souveraine de nouveau, comme il convenait, autrement que par le sourire qu'elle lui adressa de loin.

En attendant, Alzo participait à sa manière à entretenir le bruit de fond.
D'un hochement de tête, elle écouta le Chevalier Liloia. Le titre de Chevalier l'impressionnait, surtout pour une femme, mais Vittorina sut tout de même rester attentive à sa présentation dont la fin la laissait dubitative. Les dénominations de la Hérauderie, n'ayant pas encore pris le temps d'y mettre le nez par curiosité, restaient un grand mystère pour elle, du chinois, du charabia, autant que les jurons de la Reine en patois. Mais pour cacher cette ignorance-là, elle se contenta d'une présentation retour et d'autres questions qui ne jouaient pas en sa faveur non plus.


- Enchantée, je suis Vittorina Alzo, la Dame d'Atours de Sa Majesté ... dites-moi .. je vais vous paraître un peu niaise mais ... sauriez vous me direz un peu qui est qui ? Je connais la Dauphine, le Connétable... mais les autres ?

De savoir qui l'entourait aiderait peut-être à comprendre la raison de sa présence ici ?
Son côté grande parano lui soufflait l'hypothèse que derrière la "distinction" évoquée sur le courrier se cachait peut-être en réalité une séance de redressement publique. Mais la florentine avait beau cherché, à part une consommation excessive en bois contre sa grande frilosité au sein de la Maison Royale, elle n'avait rien à confesser.

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"Dans un monde où le paraître est roi, être peut tuer."
Vittorina Gloria A.
Elisabeth_stilton
Et oui Elisabeth peut faire des conneries, cela arrive, rarement, mais cela arrive et quand ça arrive c'est de haute volée. Elle ne fait jamais les choses à moitié. Excuses avaient été faites mais la pilule serait dure à avaler sans aucune doute, elle n'en doutait pas. Rose lui demandait de la rejoindre du coup elle s'exécuta se plaçant sur un siège pas loin, elle n'allait pas rester debout quand même.

Majesté.
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