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[RP] Chair à canon ...

Jenifaelr
    Toutes personnes qui voudrons participer à ce RP sont le bienvenu


    [Saumur - le 03 janvier 1465]

    Sa destination donnée, la jeune femme s'y rendit. Sur le trajet, elle avait récupéré ses enfants, estiment qu'ils seraient mieux élever avec qu'elle, que n'importe qui d'autre. Rosalia l'accompagne, comme toujours, Italienne dans la trentaine, désapprouvant la langue française et affectionnant la sienne. Elle avait râlé tout le trajet, mais la Rose serait-elle la Rose, si elle ne râlait pas ? Épineuse et râleuse, charmante et désobligeante, la jeune femme fut râleuse, arguant qu'elle n'en avait rien à foutre, de beaucoup de choses, non ce qui compte, c'est ses enfants, qu'est-ce qui pourrait compter d'autres, pour une mère digne de ce nom, avec un bambin de sept mois dans les pattes ?

    La route fut prise donc, la boule au ventre, elle en avant, Rosalia plus loin derrière avec les enfants et épées non pas au poing pour la blonde, mais à la hanche, c'était un soldat, qui lui avait foncer dessus et alors elle n'avait même pas eu le temps de sortir son épée, il l'avait blessé au bras et au ventre. Un autre, la blessa à la cuisse, puis au visage, elle tenta alors de fuir, laissant armes et bouclier sur place, après avoir hurlé son cry. L'Amore, car c'était pour cela qu'elle se battait et le cry, entendu la domestique et les enfants s'éloignèrent du lieu, les fillettes et le jeune garçon de cinq ans, tombant et s'écorchent parfois, Alesio, sept mois, lui pleurant dans les bras de sa nourrice, jusqu'à la ville de Saumur. Puis la brune confia les deux plus jeunes aux deux fillettes de dix ans, les laissant dans une chambre louée et repartie alors sur les chemins, trouver sa jeune maîtresse. Lorsqu'elle la trouva, une grimace trouva le visage et elle traîna alors de son mieux, l'obligeant parfois à faire marcher celle-ci malgré son état, en la soutenant. Jusqu'à la mener jusqu'à l'auberge qu'elles occuperaient.


    04/01/1465 04:09 : Félicitations ! Vous avez débloqué le trophée Chair à canon.
    04/01/1465 04:09 : Ulyssia vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
    04/01/1465 04:09 : Marcus.. vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
    04/01/1465 04:09 : Alpha14 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
    04/01/1465 04:09 : Conrad_de_la_woevre vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
    04/01/1465 04:09 : Antenore vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
    04/01/1465 04:09 : Valene.. vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
    04/01/1465 04:09 : Antenore vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
    04/01/1465 04:09 : Ulyssia vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
    04/01/1465 04:09 : Marcus.. vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
    04/01/1465 04:09 : Ulyssia vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
    04/01/1465 04:09 : Vous avez été attaqué par l'armée "Le Bouclier de Guillaume "Diex Aïe"" dirigée par Alpha14.

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Ulyssia
De garde aux portes ou devant le campement les ordres étaient tous les mêmes, on frappe et on parle après.
Ce jour là la jeune fille, oui à 13 ans on est pas encore une vrai femme, devait faire sa garde avec quelque autre soldat. Dans le lot elle ne connaissait que leur chef d'armée mais ce n'était pas un problème, marchant en tête de groupe elle apperçu une femme qui avançait apparemment seul.


Capitaine on frappe ?

Ah la jeunesse bien sur il y avait des ordres. Sans plus attendre Ulyssia fonce et en deux coups d'épée lui ouvre bras et ventre, les cours que son père était bénéfique et elle saurait en faire bon usage.

Alors que les autres finissaient le travail Ulyssia essuya son arme avant de la ranger. Inspecter les environs avant de rentrer et faire son rapport au Capitaine n'était pas non plus à négliger.
Alpha14
Alors que la troupe patrouillait, une femme s'avança seule, la troupe se mit à couvert dans les kékés *, Ulyssia, qui était en eclaireur vin à lui et lui demanda

Ulyssia a écrit:

Capitaine on frappe ?


Alpha regarda quelques seconde la dite personne, elle ressemblait trait pour trait à la cible que lui à donné dame Samsa la veille, il attendit qu'elle soit au bas du chemin et fit signe à ses soldats, qui dévalèrent la pente sur l'ennemi.

La plupart assénant un coup d'épée à la cible, la laissant grièvement blessé :


Un toubib pour s'occuper d'elle? le reste de la troupe sécurisez le secteur
Marcus..
En patrouille nocturne, la section d'assaut de l'armée du "bouclier de Guillaume" sont sur le qui-vive depuis l'invasion d'Angers. Ces troupes fraîches amenées depuis le nord français, ont pour mission de pacifier le territoire pendant l'occupation en terre angevine. Alors que la section allait franchir le sommet d'une colline, la jeune Ulyssia, fraîchement recrutée du Mans, partie en éclaireur, fit signe à ses compagnons d'arme de se planquer. Sous le couvert des ombres nocturne, le capitaine Alpha va la rejoint discrètement. Une hésitation est perceptible entre les deux soldats qui du heur de leur position stratégique observent un voyageur seul qui, arme à la hanche, s'avance vers les portes de la ville interdite.

Ni une ni deux, le conseil Royal a dit,... "tuez tout ce qui bouge". Ce voyageur bouge. Alpha donne donc l'ordre d'attaquer. Heureux d'enfin pouvoir se défouler toute la compagnie charge comme un seul homme, la jeune Ulyssia âgée d'à peine 13 ans en tête. Marcus est bien évidement dans la mêlée, même si s'en prendre à un seul pitoyable ennemi n'est pas très glorieux. Les ordres sont les ordres. Tous y vont de leur coup d'épée avant même que l'assaillant n'ai pu dégainer la sienne.
Même une fois l'ennemi à terre, Ulyssia se permet un troisième coup, pour être sûr. Sûr qu'elle est morte ! Elle ?


Merde une femme.

Le géant déteste s'en prendre aux femmes. Cela doit être son côté un peu macho. Celle-ci ne bouge plus. Mission accomplie. Il se penche pour la regarder de plus prêt.

Zut,... et jolie avec ça . Avec des formes... et tout, et tout...

Lorsqu'un détail attire son attention. Un blason dessiné sur une besace. Marcus n'est pas un expert en héraldique mais il sait reconnaître un blason angevin et celui ci n'en est pas un. Oups ! Dépité de crainte d'avoir fait une erreur, le colosse fait bien sûr partie de ceux qui rapatrie le corps à une auberge sous la tutelle d'Alpha qui, comme lui, n'aime pas faire des inutiles dommages collatéraux. Comme premier fait d'arme, les vaillants combattants Normands avaient fait fort.

Une heure plus tard, aU chevet de la mortellement blessée, le bourguignon-normand s'attèle à lui nettoyer ses nombreuses blessures avec une éponge imbibée d'eau. C'est ici que Teia aurait été utile. Mais la doc était restée en Normandie pour veiller à la santé de la caserne.

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Jenifaelr
    Avez-vous déjà vu, une italienne blessée, qui se réveille ? À moitié nue ? Ouais, parce qu'entre les blessures au ventre, à la jambe, au bras, l'Italienne à surement était un peu désapé pour son plus grand déplaisir cette fois-ci. La chemise à du être ouverte, la tunique aussi, les braies descendues au moins pour la cuisse blesser. Oui, tout pour son déplaisir, et cela, Corleone déteste cela. Elle se sent faible. Son ventre est coupé, heureusement que la coupure s'arrête avant les côtes, cela serait gâché l'œuvre de l'oiseau qui y est tatoué. Quoiqu'il en soit, voilà un grognement, puis un gémissement. Elle ouvre une aigue-marine, Rosalia, la domestique est retourné avec les enfants, grognant néanmoins en italien de devoir laisser sa Signora avec des inconnus. À la vu d'un inconnu, c'est la main blesser, qui va attraper la dague, qui se trouve non-loin, dans sa cape à côté d'elle et elle tente de se redresse.

    "- Mer*a. "

    La douleur est vive et l'oblige à se rallonger, alors que l’œil clair est furieux et braqué sur ce qui lui fait face. Il s'agit d'un homme et la jeune femme le mitraille de son air furieux, se sentant faible.

    "- Z'êtes qui ? Si vous m'dites une connerie, j'vous crève, je vous préviens. "

    Et c'est un chapelet d'insultes ritales qui s'échappent ensuite des lèvres de la transalpine. La douleur est vive, elle relâche la dague, pour glisser sa main sur son visage, la mine en lambeaux, voilà que son visage est atteint et quelques larmes grimpent jusqu'aux yeux de peur de se voir enlaidit à vie.

    Boîte. Marche avec une canne, sous la robe, un bandage ensanglanté ou non, au niveau de la cuisse. Des égratignures éparpiller sur le corps. Une coupure assez profonde sur le bras gauche, celui-ci est dans un bandage, plus ou ensanglanté aussi. Une entaille sur la joue et le visage serti de bleue, plus violacé et noir qu'autre chose. Une coupure aussi sur le ventre plutôt superficielle, bandé également.

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Lililith
*VLAN*

Vous avez déjà entendu le bruit que fait une porte ouverte par Lili ? Tout en douceur, en délicatesse, en poésie, bref : ce qui correspond parfaitement à sa manière d'être. L'ouverture de porte, c'est ce qui la représente.

Mais comment en sommes-nous arrivés à là ?

Elle s'ennuie, la gamine. Et entre un braconnage plus ou moins réussi, et un récupérage – ouais, ça existe pas mais je fais c’que j’veux – d’enfant, le temps s’étire à l’infini, et elle tourne en rond en bullant. Alors, quand elle apprend – par hasard ! – que quelqu’un est tombé, elle se met en tête d’aller l’aider. Elle est mignonne. Mais surtout, elle espère que cet inconnu lui fera un câlin. C’est comme ça : l’Étoile est tellement désespérée qu’elle ferait des câlins à n’importe qui.

Elle court donc, du pain et du saucisson dans son petit sac, Custos, son gros chien ressemblant à un loup sur les talons, et Pandou… Pandou la précède, à croire qu’il sait qui est la personne blessée.

Lili s’informe, se renseigne, trouve enfin ; elle se dirige donc vers l’auberge indiquée et la voilà donc qui entre sans ménagement dans la chambre.


*VLAN*, donc.

L’Étoile s’avance, regarde, un poil méfiante, l’homme en présence, puis ses ambres tombent sur la personne allongée. Un pas, puis l’autre, et enfin :


- Jeni ?!

Un peu hésitante, surtout parce qu’elle n’est pas sûre de la reconnaître. Puis, ses pupilles reviennent à l’homme tandis qu'elle pose une main sur la lame ottomane qui pend à son flanc gauche.

- T’es qui, toi ?
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Marcus..
Marcus sent sa victime doucement revenir à elle. Cela le rassure car cela faisait plus de 24 heure Que Cole ci était dans le coma. En effet, gravement Blessée à la cuisse, coupée au ventre et au bras gauche, de nombreuses égratignures éparpillées sur le tout la surface du corps, son pronostique vital était engagé. Son visage aussi n'a pas été épargné, il est barré d'une légère entaille disgracieuse et couvert de bleues. Elle a vraiment morflé.

Le soldat Normand l'observe dans son ensemble, à moitié nue, sans se demander s'il en aurai eu l'autorisation. Avantage indéniable de l'occupant. C'est une belle blonde vénitienne à la poitrine généreuse, quoi que, il a déjà Vu et goûté à plus volumineux encore, mais de taille très fine, comme il les aime. Elle est plutôt Jeune, enfin mature pour la plupart mais jeune pour la quadragénaire qu'il est. Le physique de la jeune blessée à la particularité d'être plutôt musclé, un combattante indéniablement. Son corps couvert de cicatrices en est une autre preuve.

De long cheveux blonds vénitiens caractérise la belle assoupie. Son corps allie à la fois la force et la féminité. "Intéressant ". En nettoyant ses nombreuses blessures, le colosse découvre sur le côté gauche, une rose tatouée et signée d'une petite plume. Il trouve cela joli même s'il ne comprend pas la propension des femmes à vouloir se marquer au fer comme ça.

Soudain, penché vers lui, un regard aigue-marine lui lance des éclairs de colère et la pointe d'une dague effilée le menace à la gorge. Le quel des deux est vraiment le plus dangereux? Le géant n'a rien à faire pour se sortir de cette situation fâcheuse parce qu'elle doit lâcher elle même l'arme pour se recoucher de douleur. Elle râle pour la forme et exige qu'il se présente, le tout coloré de nombreux jurons manifestement d'origine italienne. Non sans lui rappeler une bonne amie aujourd'hui disparue, le grand brun aux épaules larges ne voit aucun inconvénient à décliner son identité.

Je me nomme Marcus seigneur de Fay et soldat de l'armée Normande qui occupe actuellement Angers.

Le puissant guerrier en armure n'a pas l'air très intimidé par sa colère, au contraire , il la trouve normale. Il répond sèchement en recouvrant à regret son corps nu et bandé d'une couverture chaude.

Et vous ?

Elle n'a pas le temps de répondre qu'une très jeune furie pénètre à grand fracas dans la chambre de la taverne ou la suspecte avait été emmenée et hurle. Encore un accent italien. À son attention.

Dois je me répéter ?

Celle ci, une Blonde encore, probablement de la famille, sans se présenter non plus, prononce le prénom de Jeni, s'enquière de l'état et de la raison de celui ci. Le barbu répond simplement, dans la subtilité et l'honnêteté qui le caractérise.

Nous l'avons défoncée avant hier soir.
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Ulyssia
L'inspection terminé la jeune fille serait bien retourné au campement mais le Capitaine voulait que l'on s'occupe de la dame. N'ayant trouvé rien de bien suspect pouvant terminer sur un second assaut - ou massacre vu la tête de la victime - Ulyssia acquiessa donc et fit route vers la future demeure provisoire de la dame en compagnie de Marcus et quelques autres. Les soins n'étant pas son domaine elle préférera rester dehors le temps que ce soit fini puis vint à son tour veiller la jeune femme.
Alors que la victime reprend conscience et discute avec Marcus une petite furie entre en faisant presque voler la porte. Presque car Ulyssia était derrière et la retenue au dernier moment pour ne pas la prendre dans la tête
.

Je m'appelle Ulyssia Bochon pour ma part. Je pense qu'il n'est pas bon pour une personne blessé d'avoir trop de monde avec elle. Tu es sa fille ? Viens avec moi et on va boire quelque chose de chaud le temps qu'elle puisse te parler plus facilement.

Elle avait parlé d'un ton très doux et sans menace mais rien que pour avoir bougé sa main vers une épée peut classique la jeune fille avait fait de même avec la sienne. Ce n'était la que pur réflexe et pour montrer que tout irait bien elle relâcha le pommeau en tendant sa main vers la gamine.
Jenifaelr
    L'ordre claqua, sec.

    "- No. "

    Elle émit un grognement, planta l'aigue-marine dans les yeux qui lui faisait face, affronté des bleutés.

    "- La mia piccola stella* "

    Et la main est tendue vers Lili et le sourire sur les lèvres de la blonde a éclot. Elle avait lancé un non, autoritaire à la femme, qui semblait vouloir éloigner l'étoile Corleone d'elle, non, la Rose avait besoin de son étoile, pour la guider sur le chemin de la guérison, pour la rassurer aussi, lui affirmer qu'elle était toujours présente.

    "- Lili ... Si j'ai bien pigé. T'as Marcus et Ulyssia. Ils m'ont amochée en pensant qu'je n'étaie pas du côté royaliste. "

    Et restant, main vers la jeune fille, elle attendait que celle-ci s'approche et pourquoi pas grimper sur elle. Puis elle replanta ses yeux dans ceux de celui qui l'avait soigné.

    "- La vue était agréable j'espère. J'm'appelle Jenifael. Jenifael Lisbeth Corleone. Dame d'Boisisères-en-Vaunage. "

    C'est le corps qui à morflé, pas les cordes vocales et si elle est capable de lâcher des chapelets de jurons sans fin, elle est bien capable de répondre à des questions. La respiration est un peu douloureuse et elle sent alors sa bouche, sèche.

    "- J'ai soif ... "

    Ce n'est pas un ordre, c'est une demande, une réclamation, une supplication presque. Ses bras la font souffrir, tant de courbature que du reste. Elle lâchera un merci pour tard, surement, mais pour l'instant, son esprit continue de remettre en place les événements récents.

    [La mia piccola stella = Ma petite étoile.]

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Lililith
L'enfant est retenue et ses doigts se crispent plus encore sur la dague qu'elle n'a pas tiré. Elle ne perd pas de sa superbe et toise la femme qui lui fait face. Lili est maigre, elle a les cheveux courts, mais elle compense ce qui lui manque de muscles par sa vivacité.

Tu es sa fille ?

- J'suis sa sœur.

Et alors que Lili s'apprête à camper sur ses positions, le « non » résonne franc et clair dans la chambre. Elle sourit à Jeni, s'approche en trottinant et s'empare de la main tendue. T'peux rien faire, elle a dit que j'pouvais rester !

Elle se tourne vers les deux en présence et reprend d'une voix moins étranglée d'avoir vu Jeni :


- J'suis Lili Marionno-Corleone, sa sœur. Pas tout à fait le même nom ? C'est ça d'être une bâtarde. Puis, rieuse, elle se tourne vers Jeni : Toi ? Pas une royalo ? Franch'ment, c'qu'y faut pas entendre !

Il n'y a aucun accent dans sa voix, pour la simple et bonne raison qu'elle a bien vite oublié l'italien pour apprendre le français à la place. Histoire compliquée d'une bâtarde devenue une étoile.

La fille de treize ans se redresse un peu et se tourne vers les deux autres :


- 'Pourriez aller lui chercher à boire s'vouplé ?

Elle ne grimpera pas sur Jeni, non : elle aurait trop peur de lui faire mal...
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Marcus..
Sa collègue Ulyssia propose doucement et gentiment à la jeune furie de l'accompagner pour laisser seule la blessée parler entre adultes. Mais la blonde amochée se réveil et refuse net. La gamine en profite alors pour se rapprocher de sa... sœur ? Celle-ci l'enlace tendrement... et pour tempérer la situation, malgré un rapide reproche sur sa semi nudité, se présente enfin. Marcus répète tout bas pour lui comme s'il était important et qu'il ne devrait pas l'oublier à l'avenir.

Jeni...fael. Mmm originale

... " et délicieusement exotique" pense t-il. À propos de sa plastique... honnêtement, il commente.

Non ca va, les restes sont encore très agreable à regarder.

Dans la foulée, sa petite sœur fait de même Et décline fièrement son identité . C'est alors que la dame de bois-machin-chose demande légitimement à boire. Comme s'il n'avait pas entendu, la petite peste répète désobligeamment la supplique de sa sœur . - 'Pourriez aller lui chercher à boire s'vouplé ? - C'est alors que la moutarde monte au nez du colosse. À son attention, il souffle agacé.

Merci, mais j' avais compris.

D'abord, le géant dégaine et offre sa propre gourde d'eau à l'adolescente pour qu'elle donne à boire à sa sœur elle même . Ensuite, alors que Lili allait s'exécuter le futur Normand de deux fois sa taille désarme vivement la petite Lili en lui confisquant sa dague.

Ça, c'est un jouet de grand !

Il range le poignard dans sa botte droite et passe de l'autre côté du lit. Il la réprimande pour la forme.

Tu ne sembles pas l'avoir compris mais on n'est pas dans une réunion de famille, ici !

L'ignorant maintenant, il se tourne vers leur prisonnière gravement blessée.

Dame Jeni, Royaliste ou Pas, c'est à nous de le vérifier. Hors selon notre hiérarchie, après vérification, tu ne fais partie d'aucune liste de personne autorisée. Tu restes donc aux yeux des autorités militaires responsables du blocus d'Angers une potentielle ennemie. Qu'as-tu tu as dire pour ta défense ?

Un vieux réflexe de sa vie avant son anoblissement encore tes récents, le géant à la mauvaise manie de tutoyer tout le monde.
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Jenifaelr
    Le corps, ou plutôt, ce qu'il en reste, comme il dit, est agréable à regarder, tant mieux. La voilà presque rassurée et alors elle répondit.

    "- Que je vais ouvrir un guide des prisons les plus confortables du royaume et que la vôtre n'est pas mal ... Vous restez mon geôlier ? "

    Si on peut plus s'amuser, elle soupire.

    "- Renseigne-toi. Demande à ton supérieur qui est l'emmerdeuse qui a répondu au ban du Languedoc et qui à pratiquement insulter le comte Languedocien et le capitaine du Languedoc, auprès du capitaine du Lyonnais-Dauphiné. Ils te répondront que c'est moi. "

    Elle respira, la douleur était toujours très intense.

    "- T'apprendras, ensuite que j'ai quitté l'duché pour venir jusqu'à ici, j'suis passé par le Poitou, pour aider les troupes françaises. Tout comme j'ai souhaité les aider lors de la guerre avec l'Empire et où j'ai répondu au ban. Tout comme j'ai ensuite suivie de mon propre chef l'armée pour venir mener le combat contre les Angevins, avant de me lasser et de partir. "

    Et l'aigue-marine posée sur l'imposant, elle ajoute.

    "- Je connaissait un Normands ... Goery Legio Lisreux-Delasges, il tenait une boutique d'hypocras. "

    Elle sembla se replonger dans ses souvenirs et émit un soupir.

    "- Signore ... Impertinent ... Séduisant ... Un bain qui fut fort agréable. "

    Et l'œil brilla.

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Marcus..
Le géant écoute attentivement les arguments et l'historique des raisons de sa présence que sa prisonnière avance pour sa défense. Ensuite, changeant sensiblement de sujet, elle prétend avoir connu un Normand. Cette information laissa Marcus de marbre. À la fin, il la regarde même murmurer des mots qui n'ont rien de cohérent. "Ca y est, elle divague ! Elle a dû se prendre un sacré coup sur la tête." Se dit il.

Quoi ? Vous voulez un bain ?

Il hausse les épaule et répond aux premières allégations.

Tu comprendras, .... heu... Jenitaelle...?

Le guerrier marque un temps d'hésitation. Et Non, il n'a même pas fait exprès d'écorcher son nom. Puis reprend.

...Que je vais devoir, en effet, mener l'enquête pour vérifier les informations que tu viens de nous transmettre. En attendant, dans le doute, tu resteras notre prisonnière. Néanmoins, en tant que noble, tu seras donc sous ma responsabilité.

Irronique...

J'espère que tu mesures l'honneur que je te fait ?

Il se tourne ensuite vers sa compatriote et lui intime un ordre en des termes néanmoins respectueux.

Ulyssia, peux tu, s'il te plaît, reconduire sa jeune et encombrante petite sœur. Les "visites" sont terminées !

Le colosse se place à côté de la porte de la chambre, ouvre et tient le battant de celle ci pour lui faciliter la tâche.
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Jenifaelr
    Soupire à fendre l'âme. Enfin, ceux qui en possède une.

    "- Jenifael. "

    Elle corrigea, lasse.

    "- Tu veux dire, quel honneur j'te fait, de pas t'envoyer mon pied dans la tronche et de rester sagement allongée ? "

    P-O-L-I-E. On vous le dit !

    "- A più tardi, piccola stella. "

    Sourire à la petite Corleone, avant de terminer.

    "- J'peux avoir à manger où j'dois me prostitué pour avoir de la nourriture ? "

    On sait jamais, mais en tout cas, cela comptera dans les notes sur dix, pour les prisons du royaume.

    A più tardi, piccola stella = A plus tard, petite étoile.

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