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Info:
La forge de John

[RP] L'Union fait la Forge

Victoria.d.alaya
Tornade en vue !

Au moins, ce qui était bien avec Maia, c’est qu’elle ne pouvait prendre personne par surprise. Sa voix portait si loin qu’on avait le temps de se refaire une beauté avant qu’elle n’arrive.


Je ne vois AB SO LU MENT pas de quoi elle parle ! Puis d’abord, c’est quoi ces « ors mornes » ? Moi je trouve que ca sent surtout le brulé, mais ca, tu devrais y être habituée toi.

Petit sourire machiavélique pour sa belle-sœur.

Je suis là pour un achat figure toi, une pelle toute neuve, et gravée à mon initiale s’il vous plait !

Pelle qu’elle paie d’ailleurs en laissant la bourse, prévue à cet achat, dans la paume de John. Puis dans le mouvement, elle se penche à son oreille pour un murmure à peine discret.

Oui, encense la bien, elle adore ca, ca flatte son ego.
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John_du_pont
Enfin, enfin John avait le temps de forger un peu et il s'en donnait à cœur joie. Le feu rougeoyait dans l'âtre, le marteau tapait sur l'enclume et les outils prenaient vie sous ses coups répétés.

Ce jour là ce fut Ben qui vint lui apporter sa commande. Il avait fait du beau boulot ! Il ne manquait plus qu'à trouver l'emplacement idéal sur la devanture pour installer ce présentoir.


Merci encore Ben. Comme cela les clients auront une idée des prix que j'applique au marché. Bien évidemment tout est négociable à qui s'en donne la peine. J'espère voir beaucoup de monde franchir cette porte bientôt.

Ensemble, ils installèrent cette pancarte bien en vue.


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Mini.
Il fait beau, il fait chaud et Maia a besoin d'une pelle ! Où est le rapport comme demanderait Sili ? Il n'y en a aucun. Sauf peut-être qu'il est plus drôle de creuser près de la lice lorsqu'il fait beau. Enfin bref ... La brune suzeraine se radine, admire le beau travail de Ben. Déjà l'enseigne d'Ewald était magnifique et là, le présentoir, l'écriture, tout avait été étudié et mis en forme avec beaucoup de goût.

Lorsqu'elle eut fini de s'extasier devant la devanture et son présentoir, Maia pénétra dans la fournaise. Elle retira aussitôt son col qui était, pour le coup, de trop, à l'intérieur. Il lui fallut un temps pour s'habituer à la pénombre qui régnait icelieu mais quand elle discerna quelques formes, elle comprit aussitôt où se trouvait John. Elle se râcla discrètement la gorge et avec la douceur minienne que chacun lui connaît, elle l'interpella :

Bien le bonjour John. Comment allez-vous ? Il fait beau, hein ? J'aurais besoin d'une pelle. Oui ! Encore ! La dernière m'est restée dans les mains alors que je trouvais une bourse emplie d'écus. Formidable, me direz vous ! Eh bien nan, pas du tout. Parce que je ne peux plus creuser à présent.

Elle se tut l'espace de quelques secondes et reprit la parole sans que John ne puisse en placer une :

Nom de Zeus ! Vos prix sont exorbitants, John mais comme vous êtes un ami, je veux bien payer ce prix.

Maia ou comment jouer sur la corde sensible de l'amitié ? Première partie.

Il me la faut de toute façon. Quand sera-t-elle prête ? A quel prix ? Nan parce que bon, pour toute commande, un rabais est accordé alors bon ...

Maia ou comment jouer sur la corde sensible de l'amitié en faisant prévaloir l'écrit du nouveau panneau ? Deuxième partie.

Et un sourire en prime m'accordera aussi une nouvelle réduction ?

Maia ou comment jouer sur la corde de l'amitié à l'aide de ses charmes ? Troisième et dernière partie.

Ne faites pas cette tête, John. Je plaisante. Votre prix sera le mien.

Et sur ces bonnes paroles, elle le gratifia d'une bise affectueuse et amicale sur la joue avant d'oser lui demander une dernière chose :

Ces négociations m'ont donné soif, auriez-vous de quoi désaltérer votre suzeraine préférée ?

En même temps, il en avait qu'une alors il était normal qu'il l'apprécie, nan mais oh !!

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John_du_pont
La porte fit entrer son flot de lumière et John arrêta un instant le martellement du fer incandescent. Il sourit en voyant sa suzeraine le chercher partout et sitôt repéré, lancer son avalanche de paroles.

Bonj...

Il n'eut pas l'occasion d'en dire plus que la voilà repartie à déblatérer sur les prix excessifs. Il l'écouta un moment sans broncher et enfin après une bise sonore - il venait encore de perdre un tympan !- il put enfin en placer une.

Bonjour Maia. Je pense que cela ne vaut pas la peine de vous demander comment vous allez aujourd'hui ? Cela se voit, vous débordez d'énergie comme toujours ! Passons à côté, la pièce est plus fraîche et j'ai de quoi nous désaltérer.

Il la conduisit dans une pièce qui lui servait de réserve et où il avait installé une table et quelques chaises pour prendre les commandes des clients. Il se saisit de son livre de bord et consulta les prochaines livraisons prévues.

Voyons pour une pelle cela peut être assez rapide. Regardez j'ai ce modèle de tête de pelle, s'il vous plaît je peux vous le monter d'ici quelques jours sur le manche de votre choix.

En manche, j'ai différentes essences de bois, les plus résistants sont bien sur le hêtre et le frêne. Celui là, j'hésite à vous le proposer, il est en sapin de Genève et son ancienne propriétaire m'a dit qu'il devenait tout mou si l'on s'en servait pour frapper un helvète... Allez savoir !

Ah et puis j'ai celui ci en très joli bois rose, il sierait très bien à votre teint.


Pendant qu'elle était occupée à faire son choix, il sortit quelques verres et la bouteille de génépi.
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Mini.
En vassal et ami attentionné, il la fit passer à côté. Il faisait frais. Il lui montra ses oeuvres mais elle, pourvu que ça creuse et qu'elle trouve quelque trésor aux abords de la lice, le reste, elle s'en fichait pas mal.

Du sapin de Genève ?! Nan mais vous m'avez bien regardé John ? Est ce que j'ai une tête à avoir une pelle avec un manche de sapin de Genève ?! Servez-moi donc un petit génépi au lieu de dire des âneries.

Il obéit parce que John adore faire plaisir à Maia, elle but son verre comme si c'était du petit lait puis elle le reposa non sans en taper le fond sur la table.

Bien. Je la veux mais pour le manche, tout sauf du sapin de Genève hein. Pis, je voudrai bien aussi mes initiales dessus au cas où je la perde, vous comprenez ? Et pour le prix ? On s'arrange ?

Il la savait déjà très mauvaise gestionnaire, il faut dire que Victoria l'avait habillée pour l'hiver avec ça, alors sa radinerie ne l'étonnerait pas plus que ça. BAh oui, on peut être noble et n'avoir pas un écu de vaillant.

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Fanch_vaillant


Il était temps, il devait s'acheter une pelle pour pouvoir creuser et essayer de déterrer éventuels trésors.

Pour ça, il se dirigea vers la forge de son fils pour lui passer sa commande.

Il arriva devant cette dernière et appela son fils.

Hé John, fiston, est-ce que tu es la?
J'ai une commande pour toi.


Il attendit patiemment que son fils lui réponde.

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John_du_pont
La commande de Maia avait été livrée, une belle pelle bien solide et gravée à son nom.

John était occupé à ranger ses matériaux quand il entendit qu'on l'appelait.

C'était son père. Il alla l'accueillir et lui demanda :


Bonjour père. Tu viens visiter ? Dis moi que recherches-tu ? Pelle, épée, chandelier ?
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Fanch_vaillant


Il l'avait trouvé dans sa forge, et v'la qu'il lui pose plein de questions. Faut faire fonctionner son cerveau pour lui répondre mais en ce moment son énergie était drainée par une cause très importante à ses yeux.

Je voudrais quelque chose te toi en effet.

Une grande inspiration car même si son fils avait accepté son retour, le quadra, lui, avait toujours du mal à se pardonner.

J'aimerai avoir une pelle, est-ce possible?

Et la il se dit qu'il était temps de sortir ce qu'il avait vraiment sur le cœur.

Je voudrai passer du temps avec toi John, est-ce que je pourrai t'aider d'une quelconque manière ici?

Il commençait à avoir chaud dans cette forge, en même temps s'il travaillait ici, sa petite brioche pourrait commencer à disparaître.
D'une pierre deux coups comme dirait l'autre, mais il fallait l'accord de son jeune clone avant.

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John_du_pont
Son père avait l'air un peu préoccupé. John l'écouta attentivement :

Je voudrais quelque chose te toi en effet.

Heu oui dis moi ?

J'aimerai avoir une pelle, est-ce possible?

Son père faisait beaucoup de mystères tout ça pour une pelle ? John resta un peu perplexe, il aurait cru que c'était quelque chose de plus complexe comme dresser un aigle royal à faire voltiger une banderole rose "Maia je t'aime ! " dans tout Chambéry mais même pas ! Une pelle !

Il allait répondre quand son père enchaîna :


Je voudrai passer du temps avec toi John, est-ce que je pourrai t'aider d'une quelconque manière ici?

Il sourit et répondit tout content :

Ah c'est donc ça ! Un pelle je n'en ai pas en stock pour le moment, ça part comme des petits pains ! En revanche, je peux lancer la fabrication et ... si tu veux m'y aider ce serait bien volontiers. Mais dis moi ? Tu ne voulais pas t'occuper d'un moulin ?
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Fanch_vaillant


Qu'est-ce qu'il me parle du moulin le gamin, hé c'est moi le père ici, c'est moi qui dois avoir raison.

Mais la c'était lui. Heureusement que ce ne sont que des pensées.

Ah bien sur que si, je veux devenir meunier, comme ça je pourrais procurer de la farine aux boulangers de la ville.

Et surtout allez voir Maïa pour lui livrer les matières premières pour ses superbes miches!
La voir malaxer tout ceci et leur donner la forme voulue.

Une grosse calque en pensée pour se réveiller de ce rêve fantasmagorique et il reprit.

Mais oui tout à fait, en attendant d'avoir mon moulin et réaliser mon fant.. heu rêve d'aider la communauté.

Je suis prêt à t'aider! Dis moi ce que je peux faire pour te faire gagner du temps. Je suis ton apprenti!


Tout sourire, le quadra attendit les instructions de son fils.


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John_du_pont
John sourit en regardant son père se perdre dans ses pensées rien qu'en lui parlant de moulin. Probablement que cela devait lui rappeler une discussion de la veille avec Maia. Pas un pour rattraper l'autre décidément ! Quand ils étaient épris les Vaillant plus rien d'autre ne comptait ! Il n'épiloga donc pas sur le moulin mais se concentra plutôt sur sa forge.

Un apprenti dis-tu ? Hmm on peut toujours essayer mais vois-tu manier le fer demande une certaine formation quand même. Le fer, il ne suffit pas de lui taper dessus pour lui donner une forme, il faut d'abord le chauffer, le surveiller, le veiller, en prendre soin puis seulement quand il est bien à point, on peut lui donner forme, le modeler, le tordre, le sculpter, lui donner vie quoi !

Mais avant toute chose, la forge, c'est le feu ! Alors si tu veux m'aider, viens donc couper un peu de bois avec moi pour attiser l'âtre ! En revanche, je te conseillerai de passer une tenue plus confortable pour cela! Tu es très chic mais je ne pense pas que ce soit l'idéal pour venir éclater des bûches !


Il rit et montra à son père des vêtements amples beaucoup plus adaptés au travail.
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Fanch_vaillant


A y est il est parti dans le laïus du maître à l'apprenti, le fer bla bla bla il n'écoute plus de toute façon, il n'a de pensée que pour elle mais bon il essai quand même de capter un mot sur deux pour faire bonne mesure.

Hmm on peut toujours essayer mais vois-tu manier le fer demande une certaine formation quand même.

Oui d'accord le fer tout ça.

Le fer, il ne suffit pas de lui taper dessus pour lui donner une forme, il faut d'abord le chauffer, le surveiller, le veiller, en prendre soin puis seulement quand il est bien à point, on peut lui donner forme, le modeler, le tordre, le sculpter, lui donner vie quoi !

Comprends rien à ce qu'il dit mais continue de faire semblant d'écouter son fils.
Et puis précise quand même parce que la ça le barbait, il avait pas du tout envie d'être forgeron, juste passer du temps avec le jeune lui.

Mais avant toute chose, la forge, c'est le feu ! Alors si tu veux m'aider, viens donc couper un peu de bois avec moi pour attiser l'âtre !

Oui voilà c'est ça que je veux faire, les basses besognes pour t'aider, le fer j'ai pas envie.

Et maintenant il a à redire sur sa tenue, ben il était tout beau comme ça.

En revanche, je te conseillerai de passer une tenue plus confortable pour cela! Tu es très chic mais je ne pense pas que ce soit l'idéal pour venir éclater des bûches !

Ah oui bof pour bosser, d'accord. Mais bon c'est pas avec ces fringues la qu'il allait conclure.

Oui parfait, merci je vais changer de vêtements.

Ni une ni deux, le voilà en train de se désaper pour passer la tenue de travail. Et une fois changé de demander.

Je mets ou mes vêtements propres?

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Victoria.d.alaya
Tornade en vue !

Au moins, ce qui était bien avec Maia, c’est qu’elle ne pouvait prendre personne par surprise. Sa voix portait si loin qu’on avait le temps de se refaire une beauté avant qu’elle n’arrive.


Je ne vois AB SO LU MENT pas de quoi elle parle ! Puis d’abord, c’est quoi ces « ors mornes » ? Moi je trouve que ca sent surtout le brulé, mais ca, tu devrais y être habituée toi.

Petit sourire machiavélique pour sa belle-sœur.

Je suis là pour un achat figure toi, une pelle toute neuve, et gravée à mon initiale s’il vous plait !

Pelle qu’elle paie d’ailleurs en laissant la bourse, prévue à cet achat, dans la paume de John. Puis dans le mouvement, elle se penche à son oreille pour un murmure à peine discret.

Oui, encense la bien, elle adore ca, ca flatte son ego.
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John_du_pont
Enfin, enfin John avait le temps de forger un peu et il s'en donnait à cœur joie. Le feu rougeoyait dans l'âtre, le marteau tapait sur l'enclume et les outils prenaient vie sous ses coups répétés.

Ce jour là ce fut Ben qui vint lui apporter sa commande. Il avait fait du beau boulot ! Il ne manquait plus qu'à trouver l'emplacement idéal sur la devanture pour installer ce présentoir.


Merci encore Ben. Comme cela les clients auront une idée des prix que j'applique au marché. Bien évidemment tout est négociable à qui s'en donne la peine. J'espère voir beaucoup de monde franchir cette porte bientôt.

Ensemble, ils installèrent cette pancarte bien en vue.


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Mini.
Il fait beau, il fait chaud et Maia a besoin d'une pelle ! Où est le rapport comme demanderait Sili ? Il n'y en a aucun. Sauf peut-être qu'il est plus drôle de creuser près de la lice lorsqu'il fait beau. Enfin bref ... La brune suzeraine se radine, admire le beau travail de Ben. Déjà l'enseigne d'Ewald était magnifique et là, le présentoir, l'écriture, tout avait été étudié et mis en forme avec beaucoup de goût.

Lorsqu'elle eut fini de s'extasier devant la devanture et son présentoir, Maia pénétra dans la fournaise. Elle retira aussitôt son col qui était, pour le coup, de trop, à l'intérieur. Il lui fallut un temps pour s'habituer à la pénombre qui régnait icelieu mais quand elle discerna quelques formes, elle comprit aussitôt où se trouvait John. Elle se râcla discrètement la gorge et avec la douceur minienne que chacun lui connaît, elle l'interpella :

Bien le bonjour John. Comment allez-vous ? Il fait beau, hein ? J'aurais besoin d'une pelle. Oui ! Encore ! La dernière m'est restée dans les mains alors que je trouvais une bourse emplie d'écus. Formidable, me direz vous ! Eh bien nan, pas du tout. Parce que je ne peux plus creuser à présent.

Elle se tut l'espace de quelques secondes et reprit la parole sans que John ne puisse en placer une :

Nom de Zeus ! Vos prix sont exorbitants, John mais comme vous êtes un ami, je veux bien payer ce prix.

Maia ou comment jouer sur la corde sensible de l'amitié ? Première partie.

Il me la faut de toute façon. Quand sera-t-elle prête ? A quel prix ? Nan parce que bon, pour toute commande, un rabais est accordé alors bon ...

Maia ou comment jouer sur la corde sensible de l'amitié en faisant prévaloir l'écrit du nouveau panneau ? Deuxième partie.

Et un sourire en prime m'accordera aussi une nouvelle réduction ?

Maia ou comment jouer sur la corde de l'amitié à l'aide de ses charmes ? Troisième et dernière partie.

Ne faites pas cette tête, John. Je plaisante. Votre prix sera le mien.

Et sur ces bonnes paroles, elle le gratifia d'une bise affectueuse et amicale sur la joue avant d'oser lui demander une dernière chose :

Ces négociations m'ont donné soif, auriez-vous de quoi désaltérer votre suzeraine préférée ?

En même temps, il en avait qu'une alors il était normal qu'il l'apprécie, nan mais oh !!

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