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[RP] Bureau particulier, vote des lois.

Andrea_
Future Duchesse est en prison, du côté visiteur, et c’est assez rare pour le souligner.
Posée de l’autre côté des barreaux, la Colombe –son nom de scène, y a aussi la Chiasse mais faut pas se leurrer, avec la couronne sur sa tête, elle préfère le premier- se rend compte de l’état déplorable des geôles Berrichonne.
Bon, j’avoue que le fait que Diazolie soit à l’intérieur y est pour beaucoup. La Magnifique n’est plus si magnifique. Elle a l’air d’une pissotière en démolition, et ça, ça perturbe un peu sa visiteuse. Adieu air revêche, et bonjour regard de chien battu. Du chien battu d’ailleurs, elle n’a pas que le regard, elle s’est visiblement mangé une armoire à glace dans la gueule. Et c’est le profil gauche qui a morflé. Et la babine qui fendue laisse couler un léger filet carmin. Et l’œil. Enfin si tant est qu’il y ait encore un œil sous ce joli colori bleu maronnasse un peu dégueu qui l’entoure. Mais Déos est clément –de caractère, il s’appelle pas Clément, puisqu’il s’appelle Déos-, demain, ou peut être après demain, il va virer au bleu, puis vert, puis au jaune jusqu’à disparaitre. Y a juste à prier pour que l’œil tienne le choc. Au pire, dans le meilleur des cas, j’ai l’œil de Tordfer, on lui mettra à la place.

Et ça soupire, et ça se balance.
Et ça chante.
Salement. Les paroles encore ça peut aller, mais l’intonation est de la voix approche le bruit que pourrait faire un couteau dans une assiette en grès. Un truc à te filer une rage de dents. Si j’avais eu un fauteuil, jamais je me serais retournée. Mais je n’ai qu’un peu de paille dégueulasse pour poser mon somptueux séant et son habit de lumière. Soit, les Berricons ont des tisserands parmi les bouseux.

Mon objectif, c’était de lui redonner le sourire, et si possible la faire taire. Surtout la faire taire, et ensuite la faire sourire, en espérant qu’elle puisse pas sourire et chanter en même temps.
L’écharpe est déroulée du tour du cou Duchessien pour être tendue vers la lèvre entrouverte. C’est pas une tentative d’étouffement, même si ça y ressemble et que ça règlerait le souci hein.
Et sur les genoux Combesque, bientôt, la besace s’ouvre pour dévoiler un carnet et une plume qui a bien vécue. Il suffira de tremper la pointe –la pointe qui écrit sinon y a aucun intérêt- dans la flaque d’eau croupie, mélange d’humeurs humaines- pour écrire. Le but c’pas d’avoir un papier qui sent bon, mais un papier au goût de revanche, le fait que ça sente la merd’ est donc un plus.


Il est temps de faire honneur aux Piques Pioupiette.

Et déjà le titre noircit le vélin, un titre, juste un, qui devrait redonner à Diaz un minimum de joie de vivre.



Comment faire chier les berrichons,
Articles de Lois.


Allez Pioupiette, on a confiance en toi !
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Diazolie
Sa douce voix mélodieuse poursuit son chemin à travers la prison des Berricons. Les notes s'envolent haut laissant à tous une sensation de chaleur, de baume au cœur. Une vocation a été raté à ne pas en douter et la Magnifique en prend conscience au vu du monde qui afflue vers sa geôle. Aucun ne cherche à la faire taire, même le bruit de Jehan s'est arrêté. La larmiche vient affleurer l’œil valide, le nez se met à renifler sous l'émotion. C'est que c'est beau p'tain tout ce monde qui vient assister à son concert. Peut être que ce sera sa dernière représentation gratuite... La prochaine fois elle montera à Paris pour chanter dans les plus grandes salles, les plus grands bordels voir même pour la Reine. Oui oui... On peut mettre Bordel et Reine à la suite.

Lorsque sa nouvelle meilleure amie se radine couronne en haut de sa petite tête la bouche s'ouvre en rond et le regard se fait des plus tristes. Traîtresse ! Cette couronne lui était destinée à elle et non à... Elle... Quel bordel cette peine de prison abusive. Quelle bordel mes aïeux ! Les bras se croisent, le nez se lèvent d'un air revêche et le regard se détourne de la Colombe. Elle ose venir voir la Zozo habillée de ses plus beaux atouts. Elle ose venir pavaner sous son nez alors qu'elle, elle est toujours ici à deux doigts de chopper la mort. La violence de l'image brise le petit cœur tout mou de la Magnifique. Le souffle se fait rauque et la déception est telle qu'elle n'en trouve plus les mots.

Comment affronter une telle épreuve ? Comment ne pas sombrer ? Elle qui se voyait Duduche à la place du Duduc. Elle qui avait pour projet de faire la plus grosse partie de jambe en l'air couronne sur le sommet du crâne. Tous ces beaux projets envolés... Tous ses espoirs brisés. Et a cause de qui ? A cause d'une juge en manque de cul ! Car oui pour la Brune ça ne peut qu'être ça... Elle ne peut qu'être aigrie de ne pas avoir été touché depuis des lustres pour agir aussi petitement. Comment peut on acquitter puis condamner ? Ça.. Elle ne comprendra jamais notre prisonnière d'un temps.

Au bout de chiffon tendu, la vagabonde ne dit rien et le prend pour moucher son nez dans un bruit qui ressemble au bruissement d'ailes de papillon. Un son qui laisse tous les présents sous le charme de celle qui mouche son nez. Puis l'autre côté de l’écharpe est pris et d'un revers, elle vient essuyer le coin de sa lèvre qui perle toujours. Son regard ne quitte pas Andréa tandis qu'elle gribouille ce pour quoi elle est venue.


Tu sais que je lui veux tout le mal du monde ?

Bien sur qu'elle le sait la Duduche en devenir sinon pourquoi serait elle là ?

Note.

Un soupir plus tard, la Magnifique se lève et commence à faire les cents pas tout en dandinant son index en dictant la première loi à la con est annoncée.

Article 1 - Il est interdit de nommer son enfant Madenn. Tout parent osant outrepasser cet article verra son enfant pendu.

Adore l'idée de voir un bébé pendu... Il est vraiment temps qu'on la sorte de là.

Article 2 - Tous les mois, les Berricons devront offrir à leurs Déesses...

Signe du pouce vers elle puis vers Déa.

...le plus beau des poèmes.

Un instant de pause. L'index tapotant le menton.

Y a combien de mairie ici ?
Andrea_
Déas qu’il était dur pour la Colombe de voir sa nouvelle meilleure amie dans ce pétrin. Ça ne rendait pas sa voix plus sensuelle, mais le fait qu’elle ponctue sa phrase de reniflements en tout genre donnait une dimension quasi désastreuse à la situation. Et tout le monde s’était tût pour l’écouter brail..chanter. C’était comme le calme pesant après la guerre, cette scène doucereuse où les yeux des survivants se fermaient et que les flocons, en silence tombaient sur leurs visages. C’était le calme après la tempête, quand on milieu de la mer désormais calme, on voyait flotter au milieu des débris du bateau les corps de nos amis qui ne savaient pas nager. C’était un zoom énorme sur le coin de son œil, où au-delà du caca d’œil perlait une larme, et cette larme mes amis, c’était une tristesse, profonde, drapée dans une dignité à toute épreuve.
Et j’ai moi-même été émue aux larmes, comme rarement. A part peut être cette fois où j’avais mis des rondelles d’oignon sur mes yeux, c’bien beau de donner des noms aux légumes, mais faut mettre des images à côté sinon on se trompe. Assurément j’étais désolée pour Elle, et c’est avec une force inexpliqué qu’un son guttural sortait de ma bouche, un cri, quasi animal que mes entrailles ne pouvaient pas retenir, un son, caverneux, pour montrer toute la douleur ress..ah non, autant pour moi, c’était juste un rot.

Cette couronne –celle que je porte-, aurait dû être sur sa tête, c’est ce qui était prévu. Mais la vie avait mis sur notre chemin une personne horrible. Un être revêche, une blondasse au cul bordé de nouilles –à une lettre près elle aurait été moins chiante, comme quoi..- qui s’était soudain souvenu que quelques membres de notre groupe spectaculaire avaient des procès en cours. Bien sûr qu’il y avait prescription, bien sûr que si la Blonde avait fait son travail plus tôt ça aurait été plus simple mais… Mais je vous assure mes amis, que c’est dans l’abnégation qu’on trouve la force d’aller toujours plus loin. C’est en se battant, ensemble, contre les éléments, qu’on devient plus soudés –demandez à la Magnifique, elle est bien soudée dans sa geole-, qu’on devient invincibles.
J’avoue qu’une part de moi était quand même bien contente qu’y ai eu la blonde, sinon j’aurais jamais pu mettre cette couronne. Mais en cet instant, en cet instant précis, à ce moment M, à cet instant T, pile maintenant, au point G, je comprenais tout le désespoir qui habitait mon amie. Même si elle se mouchait dans mon écharpe –c’était pas un bout de chiffon zozo, c’était ma superbe écharpe en poils de moutons- et qu’elle y laissait, probablement à jamais –parce que le sang si tu rinces pas à l’eau froide dans les trois minutes c’est mort, ça s’incruste dans les fibres-, le sang babinien Magnifiquien.
Alors oui, il y a eu ce moment où la Magnifique l’a été un peu moins, et c’était, je vous assure, un spectacle de désolation.
Mais elle le faisait en silence, et ça, ça, ÇA, ça vaut tous les baumes possibles.

Et puis elle s’était finalement reprise et ENFIN on pouvait faire ce pourquoi j’étais là. Parce que j’voudrais pas dire mais maintenant que je suis Duchesse du Berry j’ai du boulot, alors j’voulais bien lui remonter le moral mais fallait pas non plus qu’on couche ici.


Tu sais que je lui veux tout le mal du monde ? Je savais.
Note. Et je notais. La Magnifique avait chialé devant moi et je pourrais probablement jamais m’en vanter alors autant que je fasse pas trop la maline. La pointe de la plume était donc trempée à intervalles réguliers dans la fange et je priais pour que la plume ne cède pas, j’suis pas prête pour une explosion parfumée-

Pendu, évidemment, même si avec le.. pendu c’est bien. C’est pas le moment de la contrarier, MAIS, si un jour quelqu’un appelle son enfant Madenn –ce qui est peu probable, Jacqueline, Sou Eva, ou Rigueberthe d’accord, mais Madenn faut pas prendre les Berricons pour des …oups.-.
Puis reconnaissance ultime, quand elle devient l’égal de la Magnifique : une Déesse. Une Déasse plus précisément.


Quatre. Je crois. Ce territoire est si vaste que j’ai pas envie d’aller vérifier, disons quatre, c’est bien quatre, en plus c’est paire. A ce propos, je vais te lire les propositions de Bossuet, notre PP, Procureur Poète.

-La comptine que j'écris présentement ayant pour objet notre épopée devrait faire parti de l'enseignement obligatoire.
-Les armes du Berry sont désormais un navet blanc sale sur fond marron chiure.
-L’élevage des canards est désormais interdit. Les canards sont placés comme supérieure aux berrichons.
- Chaque journée devra démarré par une hymne à la gloire des piques devant la statue de canard couronné ornant chaque place de village.
- La tenue traditionnel berrichonne est désormais le collant rayé aux couleurs qui jure, ainsi que le pot de chambre sur la tête.
- Les berrichons doivent se faire amputer des pieds, et se déplacer sur des petits patins.

Et je tiens personnellement à ce qu’on les marque au fer rouge d’un canard en plein milieu du front.

Nous disions donc, Quatre mairies, pourquoi ?


C’est dans l’adversité qu’on reconnait ses amies.
La preuve, j’ai la clé dans la poche, mais je lui ai pas encore dit, quel bonheur de savoir qu’elle sera bientôt libre.

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Vran
Bien. Envoyer des lettres, c'est bien. Rire comme un dégénéré sur les toits de la ville, c'est sympa aussi. Mais le bougre de Vran est conseiller ducal, tout de même. Et paraît-il qu'il est temps de remplir ses devoirs. Alors qu'ils se laisse glisser sur les tuiles humides pour atterrir devant la taverne, il semble qu'au loin un écho ait répondu à ses esclaffements terribles. Le visage fendu d'un sourire, l'homme prend la route des geôles qui, comme quelqu'un l'a déjà noté, ne sont pas bien difficiles à trouver.

Sénéchaussée -c'est quoi ce nom à la con, d'ailleurs?- est en vue, et Vran parcourt tranquillement le pavé en sa direction. Joli pavé, d'ailleurs. Ça doit probablement être le talent du pays, le trésor national. De la caillasse. Sûr que quelque pars dans la capitale, planqués dans des cave dissimulées -oui c'est deux fois la même chose, c'est à ça que ça sert d'avoir du vocabulaire- au plus profond du trou du cul du village -qui est déjà le trou du cul du monde- devaient se terrer plusieurs fois par an des berrichons pour vénérer un caillou. Désolé, elle est pas évidente celle là.
Ce que notre truand préféré -comment ça non?- ne savait pas, c'est qu'il allait reprendre cette même route sur le retour. Enfin si, ça il le savait. Mais ce qu'il ne savait vraiment pas, c'est que sur cette route, sur le retour, un groupe de mecs pas commodes -ni Brutus- allaient lui tomber dessus. Une escouade fantôme languedocienne, directement téléportée là par magie impie! Je sais, vous êtes étonnés chers lecteurs, interloqués même. Et je comprend! Que des gens puissent passer par de tels procédés démoniaques sans être inquiétés... En plus Vran il a perdu 60 boules dans l'histoire.

Mais ça c'est pour plus tard. Ou pas d'ailleurs. Pour le moment, notre homme, que j'ai décidé de surnommer La Corneille -le Corbeau c'est déjà pris-, atteint les grilles devant lesquelles se tient fièrement, du haut de sa stature proprement légend.... Non, bon là non, je peux rien faire. Elle est certes bien sapée, mais elle est surtout accroupie dans la merde, simiesque sur ses appuis. Vran se pose non loin d'elle, appuyé sur le mur à côté des barreaux, le regard porté sur les pauvres bougres coincé dans cette cellule à l'image du duché: Petite, sombre et sale. Le sourire en coin est toujours fixé sur son faciès.
Il les plaint. Un peu. Et dire que dans pas si longtemps que ça, il va passer à deux doigts du même sort. Heureusement que ces débiles de languedociens le feront tomber du cheval sur le début de la route, ne le laissant qu'avec les chaînes.

Non, j'ai dis que ça c'est pur plus tard. En attendant, la Loi, messieurs dames. C'est important. Il paraît. En tout cas il faut en rédiger, là. Il y en a déjà de très intéressantes de proposées, déjà.


Moi aussi j'ai un truc à proposer. La suite est dite d'un parlé plus soutenu pour énoncer ladite proposition. Les berrichons ont interdiction formelle de franchir les frontières du Berry.

Faudrait pas qu'ces sorciers dégénérés aillent s'mélanger et répandre leur merde...


Vran crache au sol pour signifier son dégoût. Si ça ne tenait qu'à lui, les berrichons seraient aux travaux forcés, pour construire un haut mur autour de leur territoire maudit par la magie noire.
Diazolie
La réponse donnait, la Magnifique reprend sa marche prête à enchaîner avec ses propres idées mais le drame arrive. Déas la coupe. En bonne Duduche, elle prend la parole et donne les idées de Bossuet. Nouveau drame, elle n'est pas la seule à être sollicitée. Les bras se croisent sur la poitrine et le nez se relève légèrement en mode "Vaz-y cause toujours tu m'intéresses". mais il faut avouer que les idées sont bonnes. Debeule drame dans la vie de la vagabonde prisonnière.

Oui... bon bon... C'est potable... Ça peut le faire...

Non mais t'façon c'est nul alors elle reprend sa marche prête à enchaîner mais voilà qu'on vient ENCORE l’interrompre. tripeule drame ! Là, la tronche de la Magnifique c'est plus "Mais est qu'on a demande ton avis d'abord ?!" que la bonne copine. Non mais si tout le monde vient et ramène sa fraise où est passé l'exclusivité ? Comment qu'on fait pour montrer que c'est elle la meilleure hein ? Tout part à vau-l’eau mon ami... TOUT !

Jalousie quand tu me tiens. Pourquoi que c'est pas elle qui a eu ces idées d'abord ? Surtout celle de pas laisser les Berricons sortir de chez eux.


Soit... Soit... Nous aviserons de cette proposition... Nous verrons si elle rentre dans le formulaire C4 du codex des bonnes lois.

Un regard vers la Duduche puis enfin, elle peut l'ouvrir. Enfin elle peut donner une réponse mais non. Elle se ravise et retourne s’asseoir au fond de sa cellule en mode boudeuse.

T'façon tout le monde s'en fout de mes propositions...
Andrea_
Et c’est le plus normalement du monde qu’un homme s’immisce dans une discussion exclusivement féminine. Et là je demande : « il est où le respect ? ». Les hommes c’comme la lèpre, tu leur donnes le doigt ils prennent le bras !
Je dois cependant avouer, qu’après avoir soufflé sur une mèche rebelle pour bien faire comprendre que ça me gavait, j’ai apprécié sa proposition. Et j’vous jure que ça m’fait mal de l’dire. D4ailleurs j’le dis pas, je le pense. M’enfin j’ai hoché la tête.
Et c’est peut être ce hochement de tête qui fait que la Magnifique part en vrille. Une vrille silencieuse, un triple salto arrière en beaucoup moins joli. Disons juste qu’elle va se rasseoir au fond de sa cellule pour bouder. Ça aurait pu être la fin de l’histoire. J’aurais pu par exemple me lever en posant les clés hors de leurs portées pour aller voir plus loin si j’y étais. Dans mon château, par exemple.

Mais voyez vous, y a bien asse de l’ancien conseil pour nous mettre des bâtons dans les roues, alors –préparez vous, vous n’allez pas vous en remettre- , j’allais endosser une nouvelle casquette : régleuse de conflit. C’est un poste en CDD que je paye avec mes propres deniers, inutile donc de raler ou de tenter de me coller en prison pour création abusive de postes.


Ecoutez. Notez que j’ai les bases.
Toutes les propositions sont bonnes à prendre. Prenons simplement en considération que c’est normalement Pioupiette qui devrait avoir la couronne, et que par conséquent, ses propositions seront notées en alinéa un à quinze, ou seize s’il y en a seize, ou vingt deux s’il y en a vingt deux, ou… BREF, vous avez compris. Les propositions de Bossuet, et les tiennes, Vranou chéri Je me permets parce qu’il est enfermé hein, sinon j’aurais pas dit ça viendront après.
CEPENDANT, elles auront la même importance. Nous avons réussi ENSEMBLE, nous trouverons des solutions ENSEMBLE.
Je mérite une médaille

Alors je propose que vous vous serriez la main pour sceller cet accord ô combien crucial pour la suite.
Allez, j’attends ! Trouvez un accord sinon j’oublie que vous existez et j’vous abandonne dans ces geôles. Et vu la mémoire que j’ai, j’risque même d’oublier quand j’y mettrais le feu.


Je précise que je m’éloigne un peu, histoire que personne n’ai dans l’idée de me cracher dessus, me tirer la jambe, salir ma robe, me frapper, bla, bla et bla.
Décidément, je suis FAITE pour ça !

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