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[RP] Bureau des gérants

.elle

(illustration reprise du BDC d'Alphonse pour cohérence de lieu vu que même pièce)


A la demande d’Axelle, Dacien reprit possession de ce bureau, celui qu’il avait connu quelques années auparavant, celui qu’il avait déjà possédé du temps où il était directeur de l’établissement lorsque Alphonse n’était plus que l’ombre de lui-même. Le voilà ici, fermant la porte sur un passé indécent, ces fautes encore présentes et cette maladie folle qui le rongeait. Rien n’avait changé ou presque. Le bureau à la place originelle. Ce fauteuil derrière qui trônait dans une parfaite harmonie et les deux sièges pour parfaire l’atmosphère de cette pièce dans laquelle les entretiens prendraient tous leurs sens. Tabouret ne se trouvait plus dans ces murs alors que sa patte se décelait partout. Dans chaque pièce, à chaque porte et même sur les meubles. Il possédait cette touche raffiné qui faisait de chaque endroit un espace exceptionnel. Dacien posa quelques parchemins sur le bureau. Les étagères étaient les mêmes, rangées dans le même ordre. Un passé laissant place au présent pour faire un avenir.
Et ce ne fut qu’en attendant Rose que cet avenir allait commencer à se construire.

    Tout avait été si vite, pas même le besoin de se servir de la lettre qu'avait faite le duc, et pour la prime fois elle poussa la porte de ce bureau en le sachant sien, et non plus comme la galante qui venait rendre des comptes à Flav, étrange comme ressenti.
    Son regard se posa sur Dacien, déjà là, ce qui n'avait rien d'étonnant, il connaissait sans doute le lieu bien mieux qu'Elle, n'avait-il pas eu la direction de l'Aphro fut un temps après tout, et puis après le diner avec Axelle, Rose était passé par sa chambre prendre... quelque chose.
    Coupelle de pétales de rose séchée au creux de ses mains se vit déposé sur un des meubles, d'aucun aurait dit négligemment mais il n'en était rien, c'était sa façon à elle d'affirmer que cet endroit était en partie sien, et elle savait son acolyte aimer son essence, de cet ancêtre du pot pourri ne s'échapperait qu'une ébauche de fragrance, subtile presque imperceptible mais bien là.
    Changer le mobilier pour s'approprier l'endroit eut-été inutile, il était fonctionnel, pratique et de bonne facture, alors laissant glisser le bout de ses doigts sur ce bureau devenu en partie le sien elle avait rejoint Dacien, se posant face à lui émeraudes dans jades, sourire fin animant le carmin de ses lèvres.
      Prêt à oeuvrer très cher gérant ?

    Bien sûr qu'il l'était, il suffisait de lire dans son regard.



(RP écrit à quatre mains)
_________________

Merci JDMonty
.elle

Classement et archivage de documents de gestion
(en cours de contruction)

    Première Etagère : Contrat d'embauche galant

      Première Caisse : Contrat d'embauche galant

    Spoiler:


    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Justin de Monmouth, Propriétaire de l’Aphrodite
    Et le sieur Grégoire

    A compter du mois de Décembre 1466, le Sieur Grégoire est embauché au service de l’Aphrodite en qualité de galant.
    Les montants des prestations sont fixés par le galant lui-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment au galant sus nommé en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 07 Décembre 1466
    Justin de Monmouth.




    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et le Sieur Dacien

    A compter du mois de mai 1461, le Sieur Dacien est embauché au service de l’Aphrodite en qualité de courtisan à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par le courtisan lui-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment au courtisan sus nommé en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 08 Mai 1461
    Alphonse Tabouret.

    ~~~~~~~~


    Avenant au contrat : reprise de ses fonctions au sein de l'Aphrodite.

    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel,

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment au galant sus nommé en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.

    Fait à Paris, le 21 Février 1467
    Elle pour Justin de Monmouth.





    Contrat d’embauche
    Passé entre Damoiselle Elle, Gérante de l’Aphrodite
    Et le sieur Osmann

    A compter du mois de Juin 1467, le Sieur Osmann est embauché au service de l’Aphrodite en qualité de galant.
    Les montants des prestations sont fixés par le galant lui-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel, une ponction y sera appliqué pour effacer le rachat de sa dette auprès de la Baronne Mildred Des Arceaux.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment au galant sus nommé en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 06 Juin 1467



      Seconde Caisse : Contrat d'embauche galante

    Spoiler:


    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Flav, Gérant de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Elle

    A compter du mois de Août 1465, Mademoiselle Elle est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de galante.
    Les montants des prestations sont fixés par la galante elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel, une ponction y sera appliqué pour effacer le rachat de sa dette auprès de Sieur Julot.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la galante sus nommée en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 12 Août 1465
    Flav.





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Dacien/Mademoiselle Elle, Gérants de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Lylie.Blanche

    A compter du mois de Mai 1467, Mademoiselle Lyie Blanche est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de galante.
    Les montants des prestations sont fixés par la galante elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la galante sus nommée en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.

    Deux soirs en semaine lui sont octroyés pour le maintien de sa clientèle hors établissement en échange de sa disponibilité lors de son jour de repos hebdomadaire à l'Aphrodite.

    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 12 Mai 1467
    Dacien et Elle.





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Dacien, Gérant de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Tara

    A compter du mois de 25 Mai 1467, Mademoiselle Tara est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de galante.
    Les montants des prestations sont fixés par la galante elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la galante sus nommée en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.

    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 25 mai 1467
    Dacien.





    Contrat d’embauche
    Passé entre Mademoiselle Elle, Gérante de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Apolline

    A compter du mois de Février 1468, Mademoiselle Apolline est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de galante.
    Les montants des prestations sont fixés par la galante elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la galante sus nommée en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.

    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 16 Février 1468
    Elle





    Contrat d’embauche
    Passé entre Mademoiselle Elle, Gérante de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Kahori

    A compter du mois de Février 1468, Mademoiselle Kahori est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de galante.
    Les montants des prestations sont fixés par la galante elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la galante sus nommée en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.

    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 16 Février 1468
    Elle





    Contrat d’embauche
    Passé entre Mademoiselle Elle, Gérante de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Maghnild

    A compter du mois de Février 1468, Mademoiselle Maghnild est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de galante.
    Les montants des prestations sont fixés par la galante elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la galante sus nommée en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.

    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 16 Février 1468
    Elle


    Deuxième Etagère : contrat d'embauche personnel


    Spoiler:


    Contrat d’embauche
    Passé entre Etienne de Ligny, Directeur, propriétaire de l’Aphrodite
    Et Balan,

    A compter de ce jour, 03 Mars 1468, Balan est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de médecin.

    Le Médecin par le présent contrat s'engage à s'assurer de la bonne hygiène, santé physique et morale des employés du lupanar, à garantir leur intégrité contre les maladies transmissibles et les grossesses non désirées. S'engage également à être disponible, intègre et réactif en cas d'urgence.

    En contre-partie de ses soins, l'Aphrodite s'engage à verser un salaire mensuel de 580 écus et à offrir des matériaux de qualité, que le médecin peut être libre de s'octroyer par ses propres moyens. Pour garantir son effectivité et sa disponibilité, le médecin pourra aménager une salle mise à sa disposition, en cabinet. De plus, une chambre lui sera réservée lorsqu'il lui faudra demeurer entre ses murs.

    Le devoir de réserve, de loyauté et de secret lui sont demandés.

    Si ce contrat devait être rompu par quelque manquement que ce soit, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme au présent médecin.

    Fait à Paris le 16 Février 1468.





    Troisième Etagère : fournisseurs


    Spoiler:



    Quatrième Etagère : comptes


    Spoiler:


    Cinquième Etagère : contrats vierges


    Spoiler:


    Contrat d’embauche
    Passé entre XXXX, Gérant de l’Aphrodite
    Et XXXX

    A compter du mois de XXXX 146X, XXXX est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de galant(e).
    Les montants des prestations sont fixés par le(a) galant(e) lui(elle)-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à le(a) galant(e) sus nommé(e) en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le


    Etagère : Archives Contrats

      Première caisse: Contrat d'embauche courtisan

    Spoiler:



    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et le Sieur Etienne De Ligny

    A compter du mois de septembre 1461, le Sieur De Ligny est embauché au service de l’Aphrodite en qualité de courtisan à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par le courtisan lui-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment au courtisan sus nommé en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 23 septembre 1461
    Alphonse Tabouret.





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et le Sieur Kirdan

    A compter du mois de janvier 1462, le Sieur Kirdan est embauché au service de l’Aphrodite en qualité de courtisan à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par le courtisan lui-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment au courtisan sus nommé en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 17 janvier 1462
    Alphonse Tabouret.





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et le sieur Edgar Léon

    A compter du mois de juillet 1462, le sieur Edgar Léon est embauché au service de l’Aphrodite en qualité de courtisan à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par le courtisan lui-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment au courtisan sus nommé en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 26 Juillet 1462
    Alphonse Tabouret





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Flav, Gérant de l’Aphrodite
    Et le sieur Thimothy

    A compter du mois de Novembre 1466, le Sieur Thimothy est embauché au service de l’Aphrodite en qualité de galant.
    Les montants des prestations sont fixés par le galant lui-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment au galant sus nommé en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 05 Novembre 1466
    Flav.





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Flav, Gérant de l’Aphrodite
    Et le sieur Flo

    A compter du mois de Novembre 1466, le Sieur Flo est embauché au service de l’Aphrodite en qualité de galant.
    Les montants des prestations sont fixés par le galant lui-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment au galant sus nommé en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 05 Novembre 1466
    Flav.


      Seconde caisse: Contrat d'embauche courtisane

    Spoiler:


    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et La Demoiselle Eve Desvilles

    A compter du mois de mai 1461, Mademoiselle Desvilles est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de courtisane à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par la courtisane elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la courtisane sus nommée en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employée fautive.

    Fait à Paris le 31 Mai 1461
    Alphonse Tabouret.




    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Kayah

    A compter du mois de juin 1461, Mademoiselle Kayah est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de courtisane à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par la courtisan elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la courtisane sus nommée en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employée fautive.

    Fait à Paris le 18 Juin 1461
    Alphonse Tabouret





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Cersei

    A compter du mois de juin 1461, Mademoiselle Cersei est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de courtisane à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par la courtisane elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la courtisane sus nommée en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employée fautive.

    Fait à Paris le 30 Juin 1461
    Alphonse Tabouret





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Noémie

    A compter du mois de juin 1461, Mademoiselle Noémie est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de courtisane à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par la courtisane elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la courtisane sus nommée en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employée fautive.

    Fait à Paris le 30 Juin 1461
    Alphonse Tabouret





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Sybil

    A compter du mois de janvier 1462, Mademoiselle Sybil est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de courtisane à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par la courtisane elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la courtisane sus nommée en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employée fautive.

    Fait à Paris le 22 Janvier 1462
    Alphonse Tabouret





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Nej-Ma

    A compter du mois d’Octobre 1462, Mademoiselle Nej-Ma est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de courtisane à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par la courtisane elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la courtisane sus nommée en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employée fautive.

    Fait à Paris le 04 octobre 1462
    Alphonse Tabouret




    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Lucie

    A compter du mois de janvier 1463, Mademoiselle Lucie est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de courtisane à la Maison Haute.
    Les montants des prestations sont fixés par la courtisane elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel et ne se verra ponctionnée qu’en cas de besoins attenants au fonctionnement des Maisons uniquement.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la courtisane sus nommée en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employée fautive.

    Fait à Paris le 01 janvier 1463
    Alphonse Tabouret





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Justin de Monmouth, Propriétaire de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Anastasie

    A compter du mois de Décembre 1466, Mademoiselle Anastasie est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de galante.
    Les montants des prestations sont fixés par la galante elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la galante sus nommée en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 18 Décembre 1466
    Justin de Monmouth.





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Dacien/Mademoiselle Elle, Gérants de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Clémence

    A compter du mois de Juin 1467, Mademoiselle Clémence est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de galante.
    Les montants des prestations sont fixés par la galante elle-même et se doivent de refléter une certaine qualité des services offerts.
    Chaque solde perçue pour ses prestations le sera à son compte propre et personnel.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à la galante sus nommée en échange d'un loyer, de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec l'Aphrodite.

    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 13 Juin 1467
    Dacien et Elle.

      Troisième caisse Contrat d'embauche personnel

    Spoiler:



    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Angella


    A compter du mois de juillet 1461, Mademoiselle Angella est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de domestique à la Maison haute.
    Le salaire sera d’un montant de 400 écus toutes les semaines et calculé sur une base de douze heures de travail par jour.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à l’employée sus nommée en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.

    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employée fautive.

    Fait à Paris le 03 Juillet 1461
    Alphonse Tabouret




    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Fleur des Pois


    A compter du mois d’aout 1461, la Demoiselle Fleur des Pois est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité d’herboriste.
    L’Aphrodite ne ponctionnera nulle taxe sur les services délivrées par la dite herboriste qui se verra également libre de pratiquer la grille tarifaire de son choix.
    Les services et compétences de l’herboriste se verront soumis à la confidentialité la plus totale et ne feront objet de débat si besoin était, que dans le cadre de réunions privées.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à l’employée sus nommée en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.

    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employée fautive.

    Fait à Paris le 29 Aout 1461
    Alphonse Tabouret





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et le sieur Lev

    A compter du mois de juin 1462, le sieur Lev est embauché au service de l’Aphrodite en qualité de portier à la Maison Haute.

    Le salaire sera d’un montant de 300 écus toutes les semaines et calculé sur une base de huit heures de travail par jour.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à l’employé sus nommé en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 11 Juin 1462
    Alphonse Tabouret





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et le Sieur Angellus

    A compter du mois de février 1463, le Sieur Angellus est embauché au service de l’Aphrodite en qualité de portier à la Maison Haute.
    Le Sieur Angellus sera chargé d’accueillir la clientèle se présentant aux portes de la Maison Haute et de s’assurer de leur sécurité ainsi que celle du personnel en confisquant dès la réception, les armes potentielles de tout un chacun.
    Lui sera versé 50 écus par soirée ainsi qu’une prime à la fin de chaque trimestre selon ses états de service.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à l’employé sus nommé en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la clientèle de la maison haute et les contrats de la Maison Basse

    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employé fautif.

    Fait à Paris le 27 février 1463
    Alphonse Tabouret





    Contrat d’embauche
    Passé entre le Sieur Alphonse Tabouret, Comptable de l’Aphrodite
    Et Mademoiselle Esmée Corléone

    A compter du mois de février 1463, Mademoiselle Esmée Corleone est embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de femme de Main à la Maison Basse
    La demoiselle Corleone sera chargée d’assurer, au même titre que les autres Hommes de Main, la pérennité de la Maison Basse et s’engage pour ce faire, à participer à diverses missions dont la succession ci jointe n’est pas exhaustive : escorte, surveillance, accueil, garde…
    Lui sera versé 50 écus par journée ainsi qu’une prime à la fin de chaque trimestre selon ses états de service.

    L’Aphrodite s’engage à fournir lit, nourriture et blanchiment à l’employée sus nommée en échange de ses services pleins, de son entière intégrité et d’une clause de confidentialité concernant ses activités en lien avec la Maison Basse.


    Si ce contrat devait être rompu, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme à l’employée fautive.

    Fait à Paris le 20 février 1463
    Alphonse Tabouret





    Contrat d’embauche
    Passé entre Etienne de Ligny, Directeur, propriétaire de l’Aphrodite
    Et Alaynna Valassi

    A compter de ce jour, 05 juin 1467, Alaynna Valassi st embauchée au service de l’Aphrodite en qualité de médecin.

    Le Médecin par le présent contrat s'engage à s'assurer de la bonne hygiène, santé physique et morale des employés, du lupanar, à garantir leur intégrité contre les maladies transmissibles et les grossesses. S'engage également à être disponible, intègre et réactif en cas d'urgence.

    En contre-partie de ses soins, l'Aphrodite s'engage à verser un salaire mensuel et à offrir des matériaux de qualité, que le médecin peut être libre de s'octroyer par ses propres moyens. Pour garantir son effectivité et sa disponibilité, le médecin pourra aménager une salle mise à sa disposition, en cabinet. De plus, une chambre lui sera réservée lorsqu'il lui faudra demeurer entre ses murs.

    Le devoir de réserve, de loyauté et de secret lui sont demandés.

    Si ce contrat devait être rompu par quelque manquement que ce soit, l’Aphrodite se verrait alors en droit de réclamer une compensation à court ou long terme au présent médecin.

    Fait à Paris le 05 Juin 1467.








    Etagère :


    Spoiler:
    ]

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Merci JDMonty
Lylie_blanche
[2 septembre, lendemain de la Soirée d'inauguration]

Dormir seule. Elle ignore si cela fût une bonne idée quand finalement, l'esprit n'a eu de cesse de penser à cette réunion ou plutôt, convocation. Ils pensaient qu'elle avait menti, caché, quand finalement elle n'était pas capable d'avouer, d'assumer ce dont elle fût victime. Et quand elle pensait assumer, qu'elle espérait se sentir mieux devant tous, ce fût l'effet inverse qui se produisit et qui finalement, égratigna la vanité et l'assurance de la courtisane.

Visage est rafraîchit à l'aide d'un petit linge trempé dans de l'eau fraîche, peau flattée de cette sentir fruitée et finalement, corps entier est recouvert par une robe simple. Elle n'est pas d'humeur à séduire ou même à troubler ses gérants, surtout que ni l'un, ni l'autre n'allait se laisser berner par son manège. Lylie inspire s'empare d'une ceinture pour marquer sa taille et la desserre un peu lorsqu'elle vient à effleurer la cicatrice, qui désormais, l'incommode plus que de coutume.

Cheveux sont tirés en chignon et courage est cherché, peut être sous la couche, dans un placard..Quelque part, là où devait être sa virginité d'ailleurs. C'est donc avec cette boule au ventre, ses mains moites, ce courage absent mais néanmoins contraint par son soucis d'être à l'heure et de tenir ses engagements qu'elle s'avance jusqu'au bureau des gérants.

Elle frappe à la porte et attend qu'on l'invite à s'avancer.

Diable, qu'elle n'avait pas envie de se rappeler cette soirée..Moins encore de les affronter..
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Dacienhissy
Il n'y croyait plus. Il pensait que ces légers maux étaient passés, finis, mis au rebus après avoir tenté quelquefois d'autres aventures, histoire de se sentir attaché à quelqu'un alors que rien ne changeait. Il y tenait. Bien plus qu'il n'y songeait lui-même, sans se l'avouer, sans soupçonner cet amoncel de sentiments. Des sentiments certainement forts, durs, résistants à beaucoup de choses mais pas à l'appel de la convoitise externe. Ils y étaient confrontés tous les jours, tous les soirs, sans jamais faire autrement puisque ce n'était que leur gagne-pain. Dacien ne pensait pas un instant qu'il aurait été piqué au vif de cette façon, figé par l'affront involontaire. Il ne pensait pas non plus être autant accroché alors que les griffes d'un autre homme posées sur elle, lui aurait presque donné envie de vomir. Il la regarda, s'approcha d'elle et entoura sa taille pour l'embrasser dans le cou en remontant vers ses lippes.

La prochaine fois, j'te séquestre.

Ironique fut-il quand le phrasé sortait d'une triste vérité. Enfermer une femme. N'importe quoi. On ne gardait pas un oiseau en cage.

Tu aurais du enchérir sur moi en ce cas, pas sur une autre.
Outch! Touché. Grâce à moi, on a fait rentrer une jolie somme.

En effet, il tentait de se défendre comme il pouvait. Dacien ne savait même pas pourquoi il avait mis un billet sur Clémence. Ou si. Voir ce qu'il avait vu, encore à cet instant, cette petite épine qui savait piquer juste au moment où il fallait. La conversation aurait très certainement durée encore longtemps si des coups n'avaient pas résonné dans la pièce. Et le voilà en train de grimacer, déposant une dernière fois ses lèvres sur les siennes, aimant lui voler quelques baisers. Ce n'était autre que Blanche qui arrivait à sa convocation. Elle aurait pu trainer encore un peu pour venir. Il était bien là. Tranquillement, avec Elle, contre lui. Finalement, il laissa Rose s'installer dans le fauteuil, lui sur l'accoudoir, et de scander sur un ton sec.

Ouais. Entres.

Rp en accord avec JD Chérichou!

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Merci Châton et Chérichou!
Lylie_blanche
Souffle est manquant lorsqu'elle s'avance pour affronter la chimère. Couple démasqué par les courtisans, chimères imposantes en gérance. Elle inspire et conserve son échine droite, autant que faire se peut.

Elle les observe et finalement, ose s'avancer, prononcer quelques mots. Ne point se décourager. Peut être l'audace de la jeunesse.

Vous désiriez me voir. "Je vous écoute ?", "Je suis là, comme vous le voyez".. 

Non..

"Finissons en...S'il vous plait...Rien de ce que vous direz n’ôtera ce que l'on m'a fait..J'ai sû voir l'horreur sur des visages. Je suis prête à voir la colère, désormais."
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.elle


    La veille avait été riche de rencontre, de manne financière potentiel, d'enchères volant si haut que ça lui en aurait presque donné le tournis, une réussite sur toute la ligne, à une ou deux choses près... le ventre de la petite rousse, l'ire d'Etienne qui s'exprimerait tôt ou tard à ce sujet et probablement d'autres, et puis ces points de détails qui cette fois n'appartenaient qu'à un jugement plus personnel.
    Mais sur l'instant, le moment échangé dans l'alcôve du bureau de la gérance valait le plaisant d'un enlèvement derrière un rideau rouge la veille, l'envie de voir durer l'instant et savoir que leurs obligations ne leur permettrait aucunement cela, Lylie frappant déjà à la porte tandis que corps floral se lovait contre son complice d'un quatuoe de lèvres s'épousant à merveille pour divorcer à regret aux coups donnés, émeraudes et jades se croisant dans un soupir.
    Ne pas tergiverser et en finir, se poser délicatement dans le fauteuil et sourire de le voir se poser sur l'accoudoir, l'un ou l'autre, équité des tâches, et de le quitter du regard pour le tourner vers la porte s'ouvrant sur Lylie et que déjà la mâchoire se crispe dans une nspiration.
      Bonjour Lylie

    Le ton est bien moins doux qu'à l'ordinaire, la rose laissant place pleine à l'épineuse, la douceur connue s'effaçant pour l'instant.
      Effectivement... et je doute que vous ignoriez pourquoi.
      Otez votre robe je vous prie

    Voir ce qu'elle n'a qu'entraperçu, détailler ce qui doit l'être pour aborder la raison de sa présence sans détour, entrer dans le vif du sujet sans attendre.

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Merci JDMonty
Dacienhissy
Installé sur l'accoudoir, penché légèrement sur le dossier du fauteuil quand le bout de la natte fût pris entre ses phalanges pour jouer avec en faisant tournicoter la fine mèche entre ses doigts. C'était doux au toucher et la fragrance florale se dégageait un tant soit peu pour la sentir doucement. La Rousse entra et s'approcha, restant debout devant eux. Dacien la regarda de tout son tenant. Au moins, elle avait la décence de venir à l'aimable invitation que le Gérant lui avait donné oralement la veille. Le vert resta fixé sur Lylie pendant que Rose prit les devants. L'intonation semblait....Autoritaire. Rien. Il ne dit rien. Il laissa la Fleur commencer, en se disant que cela serait préférable.

Il hocha la tête pour saluer la jeune femme et puis, il sentait Rose bizarrement ennuyée, contenue dans une sévérité qui ne lui ressemblait pas. Et quand elle ordonna à Lylie d'enlever sa robe, Dacien fut surpris. Non. Étonné. Presque sur le cul. Fallait-il rellement revoir cette cicatrice qui prenait tout le haut du corps? Il ne dit rien. D'ailleurs, il ne le pouvait pas. Cela serait faire un affront à la Florale qui n'avait pas l'air de rigoler. Et de patienter, calmement, que la Galante s'exécute sous leurs yeux.
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Merci Châton et Chérichou!
Lylie_blanche
    Glas sonne et sanction tombe sous les lippes intransigeantes de la Florale. Qui mieux qu'une femme, peut en blesser ou en humilier une autre, finalement ? A en croire le regard que porte Dacien, celui-ci semble étonner de la démarche mais Lylie ne peut s'y dérober. Moins encore, y baisser l'échine.

    Intérieur de la joue est mordue alors qu'elle apprécie l'idée que la porte soit refermée derrière elle. Face aux deux gérants, Lylie inspire et finalement, défait le haut de sa robe puis, la ceinture pour laisser couler le tissus et avouer l'objet de cette entrevue.

    Cicatrice est là, mué en un fin tracé rosé qui se niche de ses monts jusqu'à la naissance d'un autre. Coupure verticale et délicate. Femme, courtisane, devenue : Fendue.

    Je n'avais pas d'autre choix que de cacher cette cicatrice, de crainte que vous..me congédiez pour être ainsi, fendue. Je sais que cela est... Salive est avalée alors qu'elle cherche le terme : Mal élevé ? Con ? Présomptueux ? Insolent ?...Oui, c'est cela. ..Que cela peut paraître insolent mais au vu de ces regards, je craignais que vous aussi, vous ne portiez le même sur moi. Que j'ai..en plus de cette balafre..Le poids d'une culpabilité à porter....Alors que...je..

    Lippes se serrent, tout autant que la gorge d'ailleurs quand maux reviennent. Quelle putain n'avait pas eu son lot de malheur. Quelle client n'avait pas eu droit à ce mauvais payeur ? Quelle putain n'avait pas payé..pour les autres...pour ces frustrés...ou instables ?..

    J'avais pris toute mes précautions..Il s'agit d'un homme propre sur lui, d'apparence respectable...Ce n'est qu'une fois dans ma demeure, dans ma chambre que le masque est tombé..Aussi sûrement que ce coup s'est échoué à ma tempe...Et que les autres..ont suivit...Je n'ai pas pu crier..le souffle m'a été coupé..aussi vite que toute tentative de fuite...

    Mains se font nerveuses, moites et étrangement mal à l'aise alors que la pulpe de son doigt joue le long de cette marque.

    Je n'ai qu'une...cicatrice...Et...je suis allée voir une ...sorcière pour m'aider à diminuer la marque, à la rendre moins visible..Autant que faire se peut... Depuis..Ce jour, je suis toujours accompagnée d'un homme de main à Montpellier pour éviter qu'un autre client, ne lève la main sur moi, en dehors du lupanar...

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.elle


    Et la disgrace s'étale, dans un mutisme de son acolyte qui s'étonne sans doute de la réaction, du froid qui émane des pétales floraux, un longue inspiration alors que la petite rousse s'explique, sans que l'expiration ne vienne, blanchissant la cassure du nez et du front.
    Qu'elle soit marquée n'était pas le soucis premier, qu'elle ne les aient pas informé en étaient une autre, et alors que Lylie poursuit ses explications, longues, bien trop pour un justificatif que ni Elle, ni Lui ne lui ont demandé.
    Expiration se fait enfin, visage de la gérante reprenant couleur habituelle, doigts courant sur le revers du lourd livre de compte ouvert, jusqu'à ce que...
    Brusque, vif, sans appel pour la faire taire, les chiffres disparaissent, se pressant les uns aux autres quand l'énorme livre se voit fermé dans un claquement sourd alors qu'émeraude ne lache pas la galante d'une semelle.
      Je me moque de comment et de pourquoi.
      Vous avez demandé des soirées hors de l'Aphrodite, où nous ne pouvons pas assurer votre sécurité, soirées accordées non sans mal, ayant pris parti pour votre cause et j'ai droit à "ça" ?
      Croyez-vous vraiment que ce soit cette, infamie elle-même le problème ? Ou "l'irrespect" dont vous avez fait preuve ?

      Vous DEVIEZ nous en informer !
      Et à la place ? Quoi ?

      Vous exhibez cette cicatrice en tant que galante de l'Aphrodite... et pas à un client particulier, pas lors d'une séance privée.... Non !

    Se mettant à tapoter des doigts sur le bureau, la rose se ressaisit un instant juste un court instant, ne pas perdre totalement pied quand le souvenir d'un corps gisant dans une ruelle, ou dans une chambre lui revienne en mémoire.
    Parce que oui, la rose avait connu toutes sortes de lupanars, et la condition des câtins étaient dangereuse à bien des égards, combien en avait-elle vu partir blessée au dispensaire ou morte sur la charrette des maréchaux.
      Vous nous avez mis devant le fait, dos au mur, sans possibilité de rattraper ça devant tout un parterre d'invités, de membres privilégiés venant pour la qualité du service, leurs convives....
      Des dizaines de personnes Lylie...
      DES DIZAINES !!!

    Et main vient pour se poser sur l'accoudoir, quand le self-control vacille, y cherchant emprise pour garder contrôle, y trouvant la cuisse de Dacien, colère de ce qui couvait en elle caché, lui ayant presque fait oublier sa présence l'espace d'un moment.
    Complice avait pris temps de lui expliquer les mots d'Etienne, cette première sanction quand l'autre leur appartiendrait.
      Rhabillez-vous... Dame Valassi sera sûrement plus apte à amoindrir ou faire nacrer cette cicatrice.

    Ne rien ajouter de plus, un soupir, étalant digitales sur la cuisse complice pour modérer ses humeurs, sans délaisser l'émeraude de cette marque encore rosée, ils avaient bien failli perdre une de leur galante vu l'entaille, et ça ça n'était pas pour lui plaire.

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Merci JDMonty
Dacienhissy
Blanche s'était exécutée sans broncher quand Elle lui avait sommé de se dévêtir. Si cela lui paraissait bizarre avec cette voix qui sonnait un glas qu'il ne connaissait pas, la suite risquait d'être déroutante.
Et la Courtisane partait dans un monologue sans nom. Elle parlait trop. Toujours autant de trop. En assumant le méfait qui lui avait laissé cette cicatrice affreuse, avouant à demi-mot ce qu'il semblait s'être passer et de distinguer la volonté de la faire disparaître sans le pouvoir. Une moue déçue, triste, compatissante quelque part, sans énoncer quoi que ce soit. Dacien ne disait rien et quand Blanche eut fini de parler, Rose prit le relais.

Il la laissa dire, raconter, affronter ce qui l'avait effrayé quelque peu et de transformer tout ce récit avec cette colère qui fusait dans la pièce. Il ne dit rien, ne comprenant pas pourquoi cette invective venait de se passer, restant de marbre devant l'employé. Un regard simple vers sa Complice et de la sentir au bord de la défaillance que d'habitude, elle maintenait de main de maître. Sa cuisse sentit ses phalanges prendre place quand sa dextre alla se réfugier à la nuque châtine. Rose avait terminé de s'énerver.

Tu nous a sérieusement manqué de respect. La moindre des choses aurait été de nous en parler. Tu t'mets déjà en danger quand tu sors pour tes propres clients. Un soupir. Pas d'bol, le Patron t'as vu, comme tout l'monde d'ailleurs...Vingt pour cent de plus te seront prélevés. Jusqu'à ce que j'ai décidé que tu aies assez payé. Quand tu auras compris qu'ici, on surveille tous les clients, peut-être que je f'rai un effort.

Ça c'était calé déjà. Ne restait plus que la sanction que la Gérante allait prendre et de ne pas aller contre. Dacien savait qu'elle serait juste. Vraiment?
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Merci Châton et Chérichou!
Lylie_blanche
    Mise à nue, tant physiquement que..mentalement. Tout avait été dit, vulnérabilité avouée par ce corps frêle et mutilé qu'elle avoue, tout autant que par ce vécu. Et pourtant, aucune pitié ne semble s'échouer aux lippes gérantes. Pire, pour la première fois, elle se sent honteuse et méprisée. Les reproches, bien que légitimes pleuvent et ce, sans qu'ils prennent conscience de la situation, de l'humiliation qu'ils instaurent en la laissant ainsi, nue devant eux. Alors, fière, Lylie se rhabille sans un mot. Invitation d'Elle étant trop tardive à son goût. Oreille écoute, malgré tout ce qui est dit. Vingt pourcent seront prélevés. De plus, que ce qu'ils ne touchent déjà. Là était la sanction du patron. Restait donc, la leur..en prime.

    Inspiration est prise alors qu'elle remet le tissus à ses épaules, couvre ses monts et enfin, le tout, jusqu'à enserrer les liens. Que répondre ? Rien, car de toute façon, ils avaient le don de lui faire entendre, qu'elle parlait déjà de trop. Comme à son entretien d'ailleurs..

    Et si, avec eux...Solution n'était-elle pas d'enfiler un masque ? Etre la parfaite courtisane qui se tait, acquiesce et obéis. Peut être est-ce là, ce qu'ils désirent..Pas faute de lui avoir mis cela dans la caboche d'ailleurs. Alors oui, elle va faire ça.

    Lippes restent scellées. Elle écoute. Obéis. Encaissera sa sanction, méritée. Mais plus jamais, n'acceptera l'humiliation. L'Insouciance de la jeunesse est là, tout autant que l'audace.

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.elle


    La sanction qu'évoqua Dacien sous l'ordonnance d'Etienne lui était inconnue, mais florale n'en fût pas plus étonnée que ça, et quand les comptes lui seraient révélés, sans doute enragerait-il peut-être davantage encore, Lylie était une perle brute, douée d'un talent certain et aurait pu, aurait même dû briller autant que les autres la veille... mais au lieu de ça l'éclat c'était terni pour les clients fortunés, adepte de la perfection, si tant est qu'elle existe, n'ayant vu que la disgrâce sur son ventre, sans voir ce que la jeune femme avait subi.
    Et si la rose pouvait compatir avec la petite rousse, sincèrement, même si la colère de son imprudence lui aurait sans doute fait lui en décocher une, Elle en revanche n'en avait pas l'opportunité, et elle se devait de lui faire comprendre, de sanctionner, et si l'épineuse avait compris une chose sur la galante, c'était son besoin d'indépendance, de liberté, de garder une main mise sur ce qu'était sa vie. Se fût donc là qu'elle frapperait pour marquer l'esprit de la courtisane sur son imprudence.
      Vous resterez à Paris pendant deux semaines, service exclusif pour l'Aphrodite. Ca permettra que vous récupèriez de "ça" et que Dame Valassi voit si elle peut vous rendre un peu plus la beauté de ce corps qu'est le votre.
      Ce n'est pas cette cicatrice qui me met en rage Lylie, c'est cette imprudence dont vous avez fait preuve, cette protection qu'on ne peut vous apportez hors de ces murs, nous avons failli perdre une des perles de l'Aphrodite, pensez-vous que nous avons si peu de considération pour qui travaille ici ?
      Je sais que vous me détesterez pour ça, mais si vous restez en vie alors mon rôle est rempli.

    Pivotant tête vers Dacien, court échange de regards afin de l'interroger sur un potentiel ajout à formuler, sans quoi il pouvait tout à fait la congédier dans la mesure où plus personne n'avait rien à dire de plus.

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Merci JDMonty
Lylie_blanche
Sanction florale tombe et avec elle, un trouble. Diable, sans prévenir, Elle, qu'elle ne connaît que pour son intransigeance, son talent et son perfectionnisme, se fait presque maternelle. Voilà donc, la différence entre son ancien lupanar et celui-ci. Son sort inquiète, assez pour les préoccuper quelque peu.

Alors, mutisme se fait plus doux et coups encaissés sont polis. Elle comprend, enfin et acquiesce sur la punition qui personnalisée.

J'ai désormais un homme de main qui veille au bon déroulement de mes passes lorsque j'officie et... Inspiration. Je m'excuse. Tant pour l'affront que pour l'audace de mon geste.

Cela vaut ce que ça vaut, mais humilité et vanité sont propres à la Renarde. Autant complémentaire, qu'oxymore.
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Dacienhissy
Spectateur. Bien plus que acteur. Ce ne fût que Rose qui maîtrisa cet entretien du bout des doigts, détenant une colère sourde, s'étant déployée à l'énonciation du méfait de la jeune Rousse. Le Gérant ne comprenait pas très bien ou ne désirait pas comprendre non plus, alors que l'accalmie se présenta d'elle-même pour envelopper chacune des femmes présentes d'un sirupeux mélange entre employées, souveraineté et femme au prime abord. Si Elle savait se mettre sans dessus dessous, elle savait aussi reprendre dignité et de parfaire ce discours énervé qui eut lieu plus tôt. La dextre toujours à cette naissance capillaire, prenant soin de mélanger les épidermes et de laisser les deux femmes finir leurs discours respectifs. Il n'avait rien à ajouter. Ses verts passèrent d'une Rose à une Blanche et de lui déclarer calmement.

Ca va. Mais la prochaine fois, viens nous parler. Vas voir Alaynna qu'elle regarde ce qu'elle pourrait te donner pour atténuer cette horreur.

Dacien la laissa partir, restant sur l'accoudoir du fauteuil, observant un poil Rose, avec ce jade interrogatif de savoir ce qu'il s'était exactement passé dans ce bureau. Bien étrange comportement que le sien qui mériterait presque un approfondissement de la question. Pourtant, Dacien ne dira rien, ne demandera rien quand il savait que le passé appartenait à chacun. Si Elle avait confiance, elle lui en causerait. Certainement.
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Merci Châton et Chérichou!
.elle

~[16 février 1468]~
    Foyer doux foyer.
    Oui sans doute pouvait-on dire cela quelque part, c'était en tout cas ce que les trois jeunes femmes venaient supposément de trouver, l'obligation de travail en prime bien entendu.
    Un recrutement ayant été mené avec efficacité, Théodora ayant rempli plus que sa part en ramenant ces perles à la déesse, trois magnifiques bijoux, tous plus différentes les unes des autres et dont aucune n'aurait son égal ici lieu.
    C'était là tout l'intérêt de ces nouvelles galantes, elles diversifiaient encore un peu plus ce qu'offrait l'Aphrodite à leur client, mais pour l'heure, rejoignant le bureau, la pochette déposée plus tôt par Justine fut ouverte et les contrats signés par le trio sortis de l'écrin, alors que le pas de la florale glissait vers les étagères pour les classer.

    Cet endroit lui était parfois pesant, comme à cet instant où une fois de plus elle avait paraphé seule les contrats, ou quand, archivant les contrats du personnel parti récemment, l'écriture de Dacien lui était passée sous les yeux.
    Longtemps, bien trop longtemps qu'elle ne l'avait vu, ne serait-ce que croisé, mais il en allait ainsi et elle n'était pas juge pour savoir ce qui pouvait bien se passer dans sa tête, il s'éloignait et ses pétales se resserraient, doucement, davantage à chaque semaine qui passait.
    Une longue inspiration et la dernière caisse remise en place, la sylphide vint à prendre place à son bureau, entendant vaguement ce qui se passait à l'extérieur, la vie nouvelle qui se créerait sous peu, les échanges à venir et ce qui se tisserait ici, mais pour l'instant une missive était à écrire urgemment pour palier à un manque vestimentaire dans les réserves de la déesse.




      A Vous, Anna,
      De Nous, Elle,

      Très chère Anna,

      Je vous écrit pour vous demander faveur et vous offrir travail, une fois encore, non pas pour moi cette fois, même si le bal de Printemps prochain risque de me voir vous rendre visite assurément.
      Mais là n'est point le propos de ma missive, j'ai embauché ce jour une nouvelle galante toute en rondeur que je veux voir vêtue avec le luxe qu'offre l'Aphrodite, j'ai donc naturellement pensé à vous pour pouvoir oeuvrer au plus vite pour elle, il faudra lui confectionner trois tenues.
      J'ai urgemment besoin d'une première robe pour elle, je vous laisserais aviser ses mensurations, je ne doute pas de votre savoir-faire, je ne ferais pas appel à vous pour ma garde-robe depuis si longtemps autrement.
      Je sais votre clientèle nombreuse, j'espère cependant votre diligence, l'Aphrodite n'ayant pour l'heure pas de couturière affilée officiellement, pour les deux robes suivantes vous aurez alors plus de temps.

      N'hésitez pas à venir me voir lorsque vous passerez,il me serait plaisir de converser un temps avec vous, sachez que vous êtes la bienvenue en nos murs dès que possible.

      Amicalement.






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Merci JDMonty
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