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[RP OUVERT] Vente de MONTPARNASSE -le vilain, oui-

Tafar
Le jour J est arrivé. Jusqu’au bout il a essayé de convaincre la Colombe de ne pas faire ça, mais il a beau être le meilleur conseiller du monde en termes de choix tactique… Normalement quand il s’agit d’économie, c’est Vran vers lequel on se tourne. Manque de pot, cette fois, elle n’a écouté personne.
Ayant lui-même été vendu lors de son adulescence –si si ça existe-, le pygmée n’était intéressé que par le challenge de réussir un enlèvement sans laisser aucune trace. Ce qui avait été fait avec un petit bonus… Et il avait été décidé qu’il laisserait sa part aux autres larrons qui s’occuperaient de faire la nourrice et les gardiens le temps du rançonnage.

Sauf que voilà, les affaires étant les affaires, Andrea avait laissé son Prince de fils en charge de l’homme appelé Montparnasse le temps d’une virée au Périgord -pendant laquelle notre pygmée failli mourir !- et semble-t-il, celui-ci avait trouvé des acheteurs plus intéressants pour le jeune homme.
Alors le gnome s’était détaché de l’affaire, il ne savait même pas où se trouvait le second otage qui, si on lui avait demandé son avis, valait beaucoup plus que le premier.

La seule chose qu’il n’arrive pas à faire, le Tafar, c’est à se détacher complètement de ce que risque la Colombe.
Alors quand il entend les beuglements de cette charmante voix bien connue quand il se décidait enfin à partir à la chasse, il ne peut s’empêcher de faire signe à son molosse de rester à l’entrée d’une ruelle et de sinuer dans les ombres pour rejoindre les badauds. Petit hic pour lui, la vue n’est pas dégagée selon l’attroupement et vu que l’ambiance s’échauffe, il se méfie de ne pas se retrouver sur l’estrade à son tour. Alors, profitant du chahut et du cliquetis des armures qui doit attirer l’attention, il sort de l’ombre quelques instants pour aller s’isoler et rejoindre son compagnon.

Quelques tonneaux sont escaladés et il est à bonne distance de l’épicentre quand il aperçoit la Rousse d’Anjou se faire entraîner par son Duc de mari loin de tout ça. Un grognement lui échappe, mais déjà une seconde offre semble envoyée car une lanterne explose sur un crâne… Détournement d’attention, il connaît, mais désormais il ne pourra plus partir.
Si jamais la vindicte populaire gronde et que les coups pleuvent, il n’aura plus qu’à envoyer son molosse dans la mêlée en espérant que la majorité des badauds n’aient pas pensé à sortir armé avec autre chose que des surins.


« Repose toi Färäs… On va peut être chasser un autre genre de gibier d’ici la fin de la vente…
Et on pourra dire à la Colombe que son idée c’était vraiment de la merde. »

_________________

Färäs
Andrea_
Dire que j’avais été émue serait mentir.
Non clairement, si j’avais été un homme, j’aurais eu une demie-molle. Ah punaise, voir autant de monde réuni pour la même et unique chose, c’était tellement émouvant, c’était… Je comprends ce que ressentent les curés.

Et c’est à ce moment, sans le savoir vraiment, que la future vocation de la Colombe naissait. Insidieusement, l’envie de partager la bonne parole se muait telle une seconde peau, recouvrant toute part de sa.. Nan je déconne, mais avouez que ça aurait été sympa !

Bref, tout ça pour dire qu’y a du monde. Heureusement que je suis une femme sinon j’aurais pas pu suivre.
D’abord, y a l’arrivée du Duc. Avec son armée de … avec son armée. On est loin de gagner mister France avec une équipe pareille. M’est avis qu’on a plus de chance de perdre des bouts en route que de taper du pélos, ah l’Anjou, tout un poème. Et en parlant de poème, on notera le verbe haut du Duc. Je le dirais jamais, mais c’est une des choses qui font que je l’admire, surtout quand il me caresse dans le sens des plumes en sous entendant largement que je lui colle une trique dans l’armure. Oh oui Jehan encore encore ! Là, j’avoue, j’ai cru que la fête était finie. Parce que quand le Jehan dit un truc gentil, généralement, derrière, il te la pose profond, et moi j’aime ni le citron ni le verre pilé. Alors j’ai ce réflex totalement con pour répondre à sa demande.
Majeurisation. Royale. Double. Bim, les yeux qui se plissent, l’acier qui fixe l’armure et majeur droit, t’as pas le temps de comprendre que le gauche vient heurter son jumeau, et les deux finissent entre mes lèvres. Et ouai mec, on abime pas la marchandise, vu le nombre de gonzesses qui s’sont ram’nés, j’ai plutôt intérêt à lui garder la bistouk.

En parlant de femme… Acte 2. Arrivée de la Rousse, accessoirement femme du Duc. Ah ce petit modèle ne fait pas de bruit, mais arrive en un regard à tirer sur les roubignoles du Duc. J’vous jure, c’t’assez fendard. Du coup ça dure assez peu longtemps, c’t’à peine si j’ai le temps de pincer le téton de Monty –oui, encore- et de faire un tour complet –j’voulais tenter deux mais il a pas l’air d’aimer-.

Acte 3. Des capuches par dizaine. Ah j’peux vous dire que l’gars qu’a inventé les capuches n’a pas perdu son temps ! Des rouges, des noires, des marrons, des grandes, des p’tites, des propres et même des sales. M’enfin j’ai pas l’temps de tenter de comprendre qui c’est. Parce que j’comprends que je maitrise pas trop les arrivées massives. J’aurais du employer un videur. Ah ça, j’sais pas si j’dois vraiment vous l’avouer, mais.. Mais les gars, ils avaient raison. C’était pas une putain d’idées. Cependant n’allez pas croire que j’m’en tamponne de leur avis hein, c’est juste que j’ai tellement de pognon, que même si ça tournait mal, je leur filerais mille écus chacun. Alors forcément, ça s’tente. Ça va p’t’être mal tourner, mais ça s’tente, on n’a qu’une vie hein !

Acte 4. Arrivée du petit frère. Séquence émotion. On sort les mouchoirs, et comme j’en ai pas, j’arrache un bout de la chemise de Monty pour me moucher dedans. Et puis j’écoute les lamentations. Parce que c’est ça aussi, c’être une princesse proche de son peuple. On écoute les doléances. On donne de sa personne. De son temps. Et puis on envoie chier le monde. C’est comme ça depuis la nuit des temps et c’est pas prêt de changer –ah çaaaaaa 550 ans après on attend toujours hein-. Pis regardez il s’approche –tiens, t’es allé chez le coiffeur poussinou ? J’aime pas-.
Le petit bisou, c’est cequi m’a achevé, j’ai pas pu retenir mon sang..lot… narquois. Et ouai, j’suis chienne quand j’veux.


Je vois que ton information et tes potions ne suffisent plus. Je t'en propose 4...fraîchement concoctées et 3000 écus.

QUATRE potions et TROIS MILLES écus pour le…

Et Etheldrède lance l’acte 5 avant la fin du 4. J’adore cette fille, je vous l’ai déjà dit ? Avec Elle t’es toujours surprise. Tu crois qu’elle n’écoute pas, alors qu’en fait elle est justement en train de t’écouter, et d’un coup, elle te sort un truc. Soit c’est drôle, soit c’est pertinent, et des fois c’est même les deux. Et là, surprenant. Pourtant je l’ai bien vu passer avec sa lanterne –oui, je suis une femme, je fais tout en même temps-, et j’ai pensé « mais OUATE, une lanterne, en plein jour ? », il se peut même que je me sois dit « elle est siphonnée la pauvre ! » et bim, coup de maitre. Enfin.. de lanterne pour le coup.
Le bras de la Colombe se lève alors qu’elle se penche pour ramasser –comme elle peut, c’t’une femme hein- le pauvre Blondin un peu inconscient-


On applaudit ETHEL pour son formidable doublé !
Elle relance donc les enchères, les DEUX frères sont à vendre ! Par contre désolé, pas de soldes, c’pas un acheté un gratuit

Alors ?
ALORS ?
C’bien beau d’venir lorgner les fréros de la Casa, mais enchérir c’t’encore mieux ?


Ah ouai, j’étais vraiment transporté de joie. Tant et tant que dans un élan d’excitation je me penchais pour mordre la cuisse de Blaireau numéro 1. Et de bon cœur ! Le bout sitôt arraché –le bout de peau hein, personne n’a envie de manger l’autre bout, enfin personne n’a envie de l’avaler. Enfin si mais.. le bout de peau donc, sitôt arraché fut recraché et posé entre deux doigts Colombin

Et pour les plus pauvres, possibilité d’acheter en kit !
En kit hein, pas en kilt, quoique…

AAAAAAAh, quelle belle journée ! Quel dommage que je dusse –jean claude*- attacher moi-même blaireau numéro deux. Mais berdol, où sont mes acolytes ?



* Pardon.

_________________

Merci Jd Sadella pour la ban et l'avatar, et merci Jd Nev' pour le fessier de ma Chiasse.
Martin.cv
[AVANT LE JOUR J]


La réception du courrier de Claque son cœur s’était affolé. Dès jours qu’elle ne dormait plus. Dès jours qu’elle les maudissait l’un et l’autre. Elle l’avait vu mourir une première fois sous ses yeux, cette image ne pourrait jamais la quitter, alors à chaque silence d’Enguerrand la même crainte revenait. L’angoisse de le perde une nouvelle fois, la douleur dans ses tripes, le sentiment de n’être que moitié. Mais l’angoisse avait laissé place à la colère, à la déception. Elle ne dormait plus par peur de les perdes, eux, se foutait simplement dans la merde par leurs conneries. Elle l’avait compris lorsqu’elle reçut enfin une réponse rapide d’Enguerrand, après des semaines de peur. Il osait lui demander d’être patiente. Doutes complètement dissipés, à la réception du courrier du présumé agresseurs. Les motifs de la captivité furent dévoilés. Plus aucuns doutes, il avait une fois encore merdé. Fatiguée et surtout résignée, il était temps pour elle de se concentrer sur autre chose. Sur quelque chose qui pouvait être sauvé : son mariage. Enguerrand ne pouvait plus l’être, quoi qu’elle fasse, quoi qu’elle lui dise, il resterait ce qu’il est : Montparnasse. Montparnasse et toutes ses casseroles, Montparnasse et toutes ses galères, et surtout Montparnasse et tous ses travers. Elle ne pourrait rien y faire, ni le sauver ni le changer. Alors oui, si son amour restait intact, son énergie elle se vouait à autre chose. La fracture dans son mariage notamment dû au retour d’Enguerrand, commençait peu à peu à se résorber. Le dialogue était revenu, la complicité se retrouvait doucement, bien que la culpabilité elle, s’accentuait. Elle avait haï Martin, pour ses mots, pour ses gestes. Mais la vérité n’était pourtant pas en sa faveur. Elle était celle qui était allée le plus loin. Alors c’était à elle de trouver son pardon. Un pardon dont il ignorait pourtant l’origine.

Mais ses bonnes résolutions furent une nouvelle fois brisés à la réception de la lettre de Claque. A la seconde même où elle apprit la finalité de leur captivité, tout bascula. Le fragile équilibre qu’elle retrouvait allait une fois encore être mit à mal. Si elle s'était décidée à les laisser vivre à leur façon, qu’importe les conséquences, les savoirs mis à prix était au dessus de son seuil de tolérance. Elle ne pouvait pas continuer dans son rôle d’épouse dévouée sans bouger le moindre doigt pour eux. Ils étaient, de façon différentes, sa famille. Elle les aimait, profondément, alors oui elle était prête à tout, même si cela devait entacher sa relation avec Martin, une fois encore.

Elle hésita longuement : partir et inventer une excuse toute faite à Martin, le travail par exemple ne serait pas difficile. Mais cela sera une fois encore trahir sa confiance. Elle ne pourrait, à force, plus jamais le regarder dans les yeux. Ou lui dire toute la vérité, au risque que la fracture s’agrandisse deux fois.
Elle pris la seconde décision, consciente des conséquences.


-Martin ? Je dois te parler.

Le ton est annoncé. Le tutoiement donne le ton. Elle coupe la barrière du vouvoiement uniquement dans les moments intimes ou lors de discussion importante où elle se livre. C’est rare, mais l’instant est donc important.
Elle aimerait se pencher sur son mari, caresser sa joue de façon rassurante, l’embrasser avec douceur comme elle a réapprit à le faire ces dernières semaines. Mais le cœur n’y est pas. Car elle le sait. A l’instant où elle aura prononcé ce simple nom, elle imposera une nouvelle fracture entre eux. Son cœur se serre. Ils arrivaient afin à recoller les morceaux, à se faire confiance, à aller de l’avant ensemble. En une simple lettre tout allait s’effondrer.


Au son de sa voix, je sors de mes pensées. Plongé dans les souvenirs de la nuit dernière, de notre dernière étreinte où nous nous retrouvons toujours un peu plus l'un et l'autre. Laissant loin derrière nous Limoges et les autres non dit. Chacun faisant l'effort de faire un pas vers l'autre. Chacun cherchant à construire au lieu de détruire. Nos petites escapades nocturnes ont repris et je ne peux que le reconnaître j'adore ça. J'adore flâner dans les rues à la recherche de la maison qui va nous accueillir le temps d'une étreinte. De trouver l'endroit où Maxou et Lucette pourront s'exprimer pleinement laissant bien loin le Comte et la Comtesse aux lourdes casseroles. Pourtant, hier ce n'est pas dans une petite maison cambriolé où nous nous sommes retrouvés mais bien dans notre lit conjugal. Nous nous sommes retrouvés en tant que Martin et Geneviève, à nous aimer à notre manière, à s'étreindre avec la passion qui peut nous habiter, avec la peur que cet instant ne soit le dernier alors quand j'entends sa voix hésitante, je pose mon regard sur elle attendant la suite. Le tutoiement est de mise et je le comprends, il est l'heure d'une nouvelle confidence.

Imposant un silence de quelques seconde, elle s’assoit face à lui. Elle d’habitude si fière, elle défendant chacun de ses points de vue, agissant par ses seules envies, qu’importe les conséquences, fuie pour la première fois son regard. Car elle sait la déception qu’elle allait lui infliger. Néanmoins, dans une inspiration, tout est dit, sans détour, sans pincette ni faux semblant.

- J’ai reçu une lettre ce jour de Lutecien. Elle trouva de bon ton de préciser : le frère de Montparnasse. Je passe les détails, mais ils se sont une fois encore mis dans la merde par leurs conneries. Ils ont été kidnappé et aujourd’hui mis à prix. Je comprends que leurs sors t’indiffère, mais tu sais aussi que ce n’est pas mon cas.
Je ne vais pas te mentir, je compte m’y rendre et payer leur libération. Martin je ...


Les yeux se lève enfin vers lui pour cette fois accrocher ses azurs aux siens. Elle le sait, le visage qu’elle a redécouvert doux et aimant s’est sans doute fermé dès qu’elle a prononcé ces mots. Elle va retrouver le Martin froid et distant. Néanmoins, pour une fois elle ne veut pas entrer en conflit, lasse de ces mois de guerres acharnés.


L'annonce est faite d'une traite. Dans un souffle avec la hâte de celle qui sait qu'elle lâche une bombe dans ce quotidien qui avait retrouvé un semblant de paix. Ma mâchoire se serre tandis qu'elle me parle une nouvelle fois de Montparnasse. De cet homme qui hante encore et toujours l'esprit de mon épouse. De ce fantôme qui était tellement mieux six pieds sous terre. Si je n'avais pas craint de la perdre, il y a bien longtemps que j'aurais commandité son meurtre en mettant sa tête à prix. Si je n'avais pas craint de voir Geneviève se détourner de moi, il y a bien longtemps que j'aurais mis un terme à ce petit jeu. Mon regard se fait froid tandis que mon esprit vogue à toute vitesse à la recherche des mots à prononcer.

- Je n’ai plus envie de nous plonger dans la même situation que ces derniers mois. Je sais que par mon geste, je vais pourtant y contribuer, c’est pourquoi je t’en fais pars. Nous avons décidé d’avancer ensemble, alors je suis prête à accepter tes conditions.

Même si comme toujours elle agira selon comme elle l’a décidé, pour une fois, elle le laisse maître en partie de la décision. Elle le sait, le risque est grand. Mais pour permettre la liberté de ses deux êtres elle serait prête à tous les sacrifices. Et avouons le, sacrifices il y aura, elle n’y échappera pas.


Lorsqu'elle reprend la parole, je ferme les yeux le temps d'un instant. Tout en moi me pousse à hurler ma colère, à la rejeter pour cette fois de trop, à lui faire mal comme elle vient une nouvelle fois de me faire mal mais au fond de moi je sais que si je fais ça, ce sera la fin. Que ne nous ne pourrons jamais nous pardonner. D'une main, je viens me pincer l'arrête du nez le temps de retrouver mon calme. Inspire. Expire. Inspire. Expire. Une fois fait, je plonge mon regard dans l'océan du sien pour y déceler tout ce qu'elle pourrait me cacher.

- Geneviève... Je suis...

Fatigué ? Las ? Comment lui dire tout cela sans blesser celle qui a eu à supporter ma propre chimère durant des mois ? N'avait elle pas subi mes propres lubies avec Tigist ? Alors comment exiger ce qu'elle n'a jamais exigé de moi ? Comment lui faire comprendre que nous devons cesser de merder l'un comme l'autre ?

- Tu es prête à accepter mes conditions ? Cela veut bien dire ce que cela veut dire... Je n'ai pas le choix. Tu attends juste que je donne mon accord là où tu as déjà pris une décision mais soit.

Du bout des doigts je viens caresser sa joue dans un geste tendre tandis que je souris tristement tout en l'observant toujours.

- Tu sais comment mener tes combats. Tu sais comment obtenir ce que tu veux obtenir mais ce sera la dernière fois Geneviève. Je ne veux plus entendre parler d'Enguerand sous mon toit. Je ne veux plus jamais entendre parler de cet homme.

Je tente de peser mes mots, je tente de trouver les mots qui sauront faire mouche en elle comme elle, par le passé elle a su me faire prendre conscience que je devais laisser ma chimère derrière moi. Du pouce je viens caresser sa lèvre inférieur, mon désir pour elle est intact, même après qu'elle m'ait parlé de l'homme qui hante ses nuits. Je suis devenu bien faible face à une femme et ce n'est pas la première fois que je m'en rends compte et la Normande le sait.

- Je ne vais pas t'interdire de le sauver... Tu iras mais pas seule. Je ne te laisserais pas seule parmi ces gens, tu es mère et je ne veux pas que Jean soit orphelin. Ceci est ma première condition et elle est non discutable.


Elle s’était attendue à sa colère, à recevoir en pleine gueule sa rage, sa fierté d’homme qu’elle venait une fois de plus de toucher. Mais non. A sa plus grande surprise son mari réagissait avec calme et pondération. C’était bien une première. Le contact de ses doigts sur sa peau avec la même douceur des derniers jours sont inattendus. Sa réaction loin de la rassurer, lui serre encore plus le cœur. On peut deviner sur ses traits sa tristesse. Et c’est sans doute plus dur encore à encaisser que sa colère. A cet instant, elle s’en veut de lui imposer une nouvelle fois cet amour pour un autre homme. Elle l’a encaissé elle certes, elle sait justement à quel point cela fait mal. A sa première condition, elle ne peut que hocher la tête. Elle lui paraît justifié, raisonnable, et pas dure à tenir. La main se referme sur la sienne avec douceur et la tête est hoché à nouveau.

- Bien, j’irais donc accompagnée si cela te rassure. Cela signifie que tu viens avec moi, ou que je dois prendre une escorte ?

La décision lui importait peu. Si il voulait en être pour être certain qu’elle s’en tiendrait à ses engagements, soit. Si il ne voulait pas s’imposer cette vision et être plus encore touché dans sa fierté, soit également.
Après tout, elle venait clairement d’avouer à son mari partir à la rescousse du grand amour de sa vie, pouvait-elle vraiment se permettre plus ? Non. Et clairement cette première condition était peu comparé à ce qui aurais pu en être.


La suite ne va pas lui plaire et je sais qu'au moment où je vais prononcer ces mots, je vais lui faire mal. je sais que la douleur qu'elle va ressentir sera telle qu'elle en suffoquera. Je le sais car je l'ai vécu. Je le sais car dire au revoir à son passé est plus douloureux qu'on ne peut l'imaginer.

- Geneviève, ce sera la dernière fois que tu le verras. Tu dois lui dire au revoir. Tu dois te concentrer sur Jean... Sur..

Je ne terminerais pas ma phrase, dire sur moi serait présomptueux. De quel droit pourrais je lui imposer de se concentrer sur moi alors qu'elle ne m'a épousé que pour avoir une situation ? Qui serais je pour lui imposer quoi que ce soit ? Son époux ? Même elle en rirait.

- Ceci est donc ma dernière condition, tu devras lui dire adieu et refermer ce chapitre. Il est temps que tu en écrives un nouveau. Il est temps que tu concentres tes efforts vers l'avenir et non sur ce qui aurait du ou pu être.

Si Tigist m'entendait, elle serait fière de moi. Moi le Martin qui envoie tout valser à tout va, je viens d'agir en adulte. Je viens de tenter de sauver une nouvelle fois le peu que j'ai au lieu de fuir. Je dois avouer être assez fier de ne pas mettre emporté. De ne pas avoir hurlé ou de ne pas l'avoir rejeté avec violence dans un caprice. Finalement, on y arrivera peut être...


« Ce sera la dernière fois que tu le verras » À ces simples mots, son cœur s’était affolé. Elle savait que sa venu aurait des conséquences, forcément elle s’était attendue à ce scénario, au pire des scénarios. Le reste des mots eurent du mal à être entendu. Cela suffisait pour en comprendre le tout. Si elle répondait à la demande de Claque en venant payer leurs libération, elle les perdrait définitivement. Est-ce que ça en valait le coup ? Les savoir libre mais ne plus jamais les voir, ou les savoirs vendu à on ne sait lequel de leurs ennemis - et il y’en avait beaucoup - et prendre le risque d’apprendre leurs morts, une fois encore. Choix cornéliens. Claque ne fait pas partis de la condition de Martin, tout repose sur Enguerrand. Enguerrand ... son obsession, sa kryptonite, sa moitié. Arriverait-elle à nouveau à vivre sans lui ? Non. Prendrait elle le risque qu’il se fasse tuer ? Plus jamais. Elle connaissait la douleur de le savoir mort, et plus jamais elle ne pourrait revivre ce sentiment de vide en elle.
Alors à cet instant, le choix de le savoir libre et en sécurité prenait le pas sur les potentielles conséquences de cette enchères. Des dizaines de personnes voulaient sa mort, beaucoup n’hésiteront pas à cette aubaine. L’hésitation ne fut pas longue.

Le visage est fermé. Le cœur serré. Mais elle est résignée. Elle était prête à tout pour les savoir sauf, qu’importe les conséquences.

- Bien. Je paie pour leur libération, et je lui dirais au revoir. Mais je devrais avoir une ultime conversation avec lui. Sans ça, je ne saurais .... avancer.

Comme lui l’avait eu avec Tigist.
A cet instant, la décision est simple à prendre et surtout elle semble être la seule envisageable. La lettre de Claque la tant alerté qu’elle accepterait tout pour pouvoir les mettre en sécurité. Pas un instant elle ne mesure réellement les conséquences de ce pacte qu’elle vient de sceller. Pas un instant elle ne prend conscience de ce que cela impliquait. Sa vie sans Enguerrand ? Non c’était encore inimaginable.
Pourtant, elle devrait en venir.


RP à quatre mains avec JD Mary Lisa. Navrée pour le pavé...

_________________
Mary_lisa.
Suite du pavé précédant – Sur le Stand.



Martin avait finalement décidé de la laisser venir seule. Enfin… seule signifie sans lui, néanmoins c’est plus de la moitié de la garde du couple comtal qui s’ameutait autour d’elle. A croire qu’un attentat sur sa personne se préparait. Qu’est-ce que cela aurait été s’il avait su qu’elle était enceinte ?

Si elle avait débord pensé venir aux enchères en tant que Mary-Lisa, c’est donc en Geneviève qu’elle devrait enchérir. Simple différence de nom ? Non, cela changeait tout. Dans l’apparence, dans la façon d’être et la place qu’elle devait tenir. Si être la glaciale comtesse pouvait avoir de nombreux avantages dans la vie de tous les jours, aujourd’hui ça lui desservirait plus qu’autre chose. Mais soit, c’était la condition de son mari pour qu’elle puisse venir libérer le grand amour de sa vie, et son frère, elle n’était donc clairement pas en position pour se plaindre de ce genre de détail.

Néanmoins, la deuxième condition elle, était bien plus dure à réaliser. Impossible même. Elle avait accepté certes, son seul souhait était de les savoir hors de danger, les conséquences lui importaient pour l’instant peu. Mais au fond d’elle, elle le savait. Alors qu’elle marchait vers l’attroupement formé, elle marchait également pour la dernière fois vers Enguerrand. Y arriverait-elle ? Certainement pas. Mais elle le devait. Claque l’ignorait, mais en faisant appel à elle pour venir les sauver, il venait de les condamner.



En s’approchant, le visage est fermé. Geneviève est présente alors le masque est de rigueur. La glaciale est de sortie. Elle vient pour atteindre son objectif, aucune émotion n’est visible. Pas un seul coup d’œil n’est jeté au reste de la foule, ses océans sont braqués sur une unique personne : La maitre des cérémonies. Celle qui tient entre ses mains, le sort des deux frères. Bien sûr, elle les avait repérés. Bien sûr son cœur de sœur c’était serré en reconnaissant la blanche tignasse. Bien sur son cœur de femme était meurtri en voyant l’être aimé, captif, la chemise déchirée, le visage défait. Mais en apparence elle n’était que froideur. Alors qu’elle s’approchait pour se positionner en première ligne loin des curieux et proche des offrants, elle évitait obstinément le regard de Montparnasse. Si pour tous elle portait un masque, lui saurait lire dans son regard. A la seconde même où il croiserait son regard il comprendrait. Il comprendrait que sa venue n’était pas sans conséquence. Il comprendrait que quelque chose était brisé. Il comprendrait qu’une part d’elle s’est déjà éteinte à l’instant même où elle a dû renoncer à lui pour pouvoir le libérer. En réalité elle n’en voulait même pas à Martin de lui imposer ce choix. Sa demande était légitime. Mais elle leur en voulait en eux, de s’être une fois encore foutu dans la merde, d’être incapable de vivre simplement, et l’impliquer dans leurs conneries.

Alors en effet, contrairement à la plus pars des gens ici, elle ne venait pas les acheter pour les torturer physiquement. Mais la sentence serait pire que quelconque blessure physique. Montparnasse saurait résister à n’importe quelle blessure qu’un de ces acheteurs pourrait lui infliger. Enguerrand en revanche, ne saurait jamais se remettre des simples mots qu’elle allait devoir lui annoncer. C’était ça, la vraie torture.

3000 écus. Voilà où l’enchère en était. Combien devait-elle proposer ? Peut-on vraiment estimer le prix de l’être qu’on aime plus que sa propre vie ? Elle serait prête à vendre la totalité de ses terres si elle était certaine que ça suffirait à le mettre en sécurité. Alors combien proposer ? Tout ce qu’elle voulait c’était gagner, alors qu’importe la somme

La main se tend pour renchérir, la glaciale se fait assurée, comme si elle savait parfaitement ce qu’elle était entrain de faire. Oh elle est juste en train d’acheter son frère et l’homme qu’elle aime, pour ensuite leur dire que c’était la dernière fois qu’ils la verraient. Classique quoi.

- Je vous en donne 10 000, pour les deux.

Sérieusement, il y avait vraiment des gens qui serait près à donner plus juste pour lui faire du mal ? Si c’était le cas, la journée allait être longue, elle ne lâcherait pas le morceau, pas après tout ce qu’elle avait accepter pour pouvoir se retrouver ici.
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Lyselda
Les enchères flambaient d'un coup, ils étaient passé de 3000 écus à 10 000 écus ! De plus au lieu d'avoir juste un phénomène à vendre il y en avait deux, le frère cadet avait rejoint Monty. Mince cela devait moins drôle du coup pour la brune mais elle allait tout de même bien profiter du jeu.

Sa tête se leva, sa capuche tomba aussi. Bon elle avait l'air d'une personne des plus normal sans chichi.


- 11 000 pour les deux ! lança-elle sans prendre le temps de réfléchir. Et un bon fût de vin !

Le fût de vin était plus pour le fun, mais ce n'était pas de la vulgaire piquette, la jeune femme en avait horreur de ce genre de vin de mauvaise qualité. C'est une fois qu'elle venait d'entendre sa propre voix qu'elle se rendit compte de la somme. Son époux allait sûrement lui en vouloir pour la somme, mais c'était pour la bonne cause. Pour Mont elle saurait toujours quoi en faire mais pour Claque ... cela restera autre chose, aucune idée.

Non Amel n'allait pas les torturer, elle ne se rabaisserait pas à ce genre de futilité même si Claque et elle n'avaient jamais eu une entente très franche. La brune se souvenait d'avoir croiser le blanc une fois en taverne il y a quelques mois après qu'elle avait quitté le groupe mais il semblerait qu'il avait fait mine de ne pas la reconnaître, que c'est fâcheux d'avoir une mémoire défaillante à cet âge.

Tant dis que la brune était en grande réflexion avec elle même, elle venait enfin de trouver une utilité à Claque si jamais, elle le refilerait à Tenu et Tomix ainsi elles pourront s'amuser, en tout bien tout honneur bien entendu.. ou pas .
Tomix
accompagnant sa dame, tomix, ressortit sa cape noire à capuche en plus de ses habits noires, elle avait reçu la consigne de Amelliane de ne sortir avec rien de valeur, ce qui allait bien à lui ravir, là charbon aimait pas s’afficher non plus.


Restant à la droite de sa dame, le regardait un peu la scène balayant la salle de ses noisettes vertes... assistant à la scène où un autre homme se fit prendre et mis aux enchères à son tour, elle sourit, regardait les deux hommes un sourire mauvais en coin de la bouche si pour le peu on pouvait la voir sous sa capuche.


Elle se penchait un peu à l’oreille de Amel, lui glissant doucement:



le premier, avec ses lèvres de cerise... je pourrais m’amuser avec?


Sa dame fit un pas en avant, criant et donnant son enchère à elle! Sa capuche tombait et tomix la regardait, son visage était désormais à découvert... envoyant sa main droite derrière son dos, elle tâtonnait sa dague... prête à intervenir au cas où! Certes elle paraissait une personne de normal, avec aucun objet de valeur...

Mais... quelle femme qui n’était pas noble pouvait se permettre de lâcher autant de écus!!! Tomix sentit un frisson parcourir son corps... ses mirettes et oreilles était en alerte, comme une tour de guet sondant a toute éventualité... regardant toute personne a s’approchant de trop près de la brune qu’elle servait.


Ma dame... vous êtes folle!sortit de sa bouche à vois basse que seul amelliane et les personnes aux alentours. Elle disait cela... mais c’est justement cette folie qu’elle aimait chez sa dame!
Lyselda
Amelliane cligna des yeux en entendant Tomix qui venait enfin de sortir de sa léthargie, restait plus que Tenu qui semblait vouloir s'habituer à ce genre de lieux ou alors elle était hypnotiser par quelque chose ..

A un moment Tomix avait une petite idée. Bon la jeune femme n'a pas eu à réfléchir bien longtemps pour comprendre de qui elle parlait et sa réponse à la question fût rapide aussi :
Heu non .. c'est un piètre joueur je l'ai déjà vu à l’œuvre. Donc non..

Bien entendu elle mentait. En gros elle pensait intérieurement 'je ne partage pas' ou alors 'qu'en rêve bien entendu'. Oui vous comprenez Amelliane était devenue un peu sentimentale, elle avait du mal à se séparer de ses vieilleries même si elle ne pouvait plus les porter comme avec une vieille robe qu'elle gardait dans son armoire en souvenir du passé. Imaginez, un passé surprenant, cette belle robe vous allait à merveille, elle vous mettait en valeur vos hanches vos formes tout quoi .. puis du jour au lendemain rien ne va plus, vous vous fâchez et vous connaissez la suite. Vous ressortez la robe de l'ombre par moment en se disant avec le sourire que vous l'avez porter une fois mais qu'à présent vous ne pouvez plus. Et bien avec Amelliane c'était pareil. Quoi donc et bien avec la vieille robe pardi. Vous allez dire que la vieille robe elle pouvait la refiler aux plus nécessiteuses ou à ses amies comme Tomix ici présente, mais non en plus la brune était radine et oui ! pas touche aux Grisbys.
Alala si Monty savait qu'elle le voyait comme une vieille robe il le prendrait peut-être mal ou alors en rigolerait, allez savoir.
- Mais en revanche avec le ptit frère pourquoi pas il s'est mieux jouer, enfin je crois. Et encore faudrait-il que nous remportions les enchères ma chère.

Heureusement qu'elle faisait que chuchoter auprès de sa comparse, ça serait mal venue que les "qualités" des deux phénomènes en vente soit connu de tous. Bah oui, vous avez déjà participer à des enchères ou d'autres acheteur ventait les mérites du bien qu'il convoite sous peine qu'on le lui dérobe sous leur yeux.

Soyons un peu réaliste.


- Moi folle ! non .. mais si Leng connaissait le prix oui je le serais pour lui.

Elle esquissa un petit sourire et avait confiance en elles.
Lengloas
Domaine de l’écrin, quelques jours avant?

dans son bureau, le blond était sagement en train de préparer leur futur voyage, oui, une conversation, en taverne avec sa brune, il avait remarqué que elle était plus souriante, plus pétillante, plus... tout... et la cause, bah leur voyage qui avait démarré depuis, de retour il y a peu, le blond avait promis à sa jolie brune de recommencer, de repartir de partout, de faire un tour du monde des terres connues! De découvrir d’autres contrées! Proposition qu’il eu fait mouche dans le cœur de la brune qui l’approuvait.

Donc c’est dans ses préparatifs que le blond se perdit, quand une pause s’imposait! Prenant une bière et le journal du jour, un article attirait bien vite l’attention du blond... la vente de Montparnasse!!!

Il lit l’article jusque au bout... et se mit à réfléchir... mont... la vieille robe de Amelliane... hum... voilà qui était intéressant, cela pourrait lui faire un bon cadeau à sa brune! Une surprise pour cette dernière, voila qui en serait interessant! Il en oublie pas sa promesse de la laisser s’en occuper... mais, il pourrait le ramener comme esclave à la maison où elle aurait le loisir de faire ce qu’elle voudrait! Enfin... si les autres filles s’en mêlait pas... ce qui allait être compliqué avec la pseudo ninja, tendue de l’arbalète...

Il prit la décision de partir à Paris au lieu de la vente, les écus ne serait pas un soucis! Mais le seul hic, que le blond savait pas encore a ce moment là, c’est que il était point seul... point seul à le vouloir le ramener à sa demeure... certains pour le tirer de la, d’autres pour le torturer... voir plus... lui pour le coup voulait juste l’offrir en cadeau à sa brune, que elle s’amuse un peu!

Le blond préparait certaines affaires, la route était longue et il devait partir au plus tôt! Il ne trouvait pas Amelliane au domaine, ce qui lui fait faire une moue... il aurait voulu l’embrasser avant de partir, mais tan pis! Il donna des consignes que il serait absent pour quelques jours... enfin... aux personnes encore présentes, Tomix et tenu il ne les trouvait point, sûrement avec leur Dame!

Montant sur son cheval, cape grise sur le dos, et habillement sobre et simple, il n’emportait aucune chose de valeur sur lui! Simple précaution... au final, un maréchal de paris... savait très bien où il allait mètre les pieds! Seul objet brillant... son épée à sa ceinture qui le quittait rarement! La route prenait quelques jours de ses contrées flamandes,




salle des enchères

Sautant de son cheval et l’attachant à une poutre à l’entrée, le voilà qui pénétrait dans la salle, du monde se trouvait déjà par la, et les enchères avait déjà démarré! Une enchère volait! 11000 écus venait d’être lancés! Hé bah bordel! Ça montait haut déjà!!! Mais.... plus perturbant pour lui... cette voix lui disait quelque chose! Bien familière en réalité...

Il balaya la salle de son regard... et il constatait que il y avait deux hommes en vente... un il y eut aucun mal à le reconnaître, c’était point la première fois que il le voyais... l’autre, il en na avait aucune idée de qui cela pouvait bien être! Ma foie... il verais bien après, car une autre chose attirait son regard... et justement... la personne qui venait d’enchérir!!! Inutile de dire que la femme en noire à ses côtés, il venait tout de suite de qui il s’agissait...

Le blond roulait les yeux au ciel! Regardant le plafond... retirait sa capuche visée sur sa tête et comme dans un geste de provocation à sa tendre épouse! Qui ne se doutait point de son arrivée il criait


12 000 ecus! Et 3000 en sacs de farine! Et un tonneau de bière!

Alors? Pourquoi la farine? Heu... vous posez pas de questions... c’est sorti tout seul pour le coup!

Un sourire mauvais se dégageait de ses lèvres et il reposait le regard sur son épouse, qui... venait de remarquer sa présence avec son enchère... il fit les quelques pas les séparant... venant l’enlacer devant tout le monde, et lui chuchotait à son oreille
cela... restera entre amell et le blond!
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Andrea_
Vous savez, dans la vie il y a des situations qui vous en rappellent d’autres. De ces moments qui vous plongent dans une certaine mélancolie, alors aujourd’hui, mes yeux se posent sur les fréros et j’en suis toute émotionnée, c’est pourquoi j’ai décidé de vous parler de mon frère.
Parce que oui, j’ai un frère. Kalum de la Colombière.
Kalum .. Non je déconne, premièrement il est mort, deuxièmement, voir les deux zouaves réunis ça me donne juste envie de ricaner et de couper les veines du poignet du premier et de couper les mains au second pour voir comment ils se démerderaient pour stopper l’hémorragie. D’ailleurs j’aurais pu exaucer mon vœu, mais j’avoue que les enchères montent et que ça calme mes ardeurs.

Je savais qu’ils étaient détestés. Enfin surtout Montparnasse, ce couillon sent le viol à trois kilomètres. Monty c’est le genre de mec que tu peux arrêter n’importe quand en étant sûr de trouver un bout d’hymen posé sur l’gland, ça a un côté pratique : une p’tite faim, hop…
Quant à Lutécien, Claque pour les intimes, j’avais plus de mal à comprendre. Les rares moments partagés en sa compagnie n’avaient été que douceurs et courtoisie. J’avais eu vent de ses activités de catins dans un bordel parisien sans trop m’en étonner, m’enfin un mystère demeurait tout de même : comment une même mère avait pu engendrer deux individus aussi différents ?

Un coup droit pour l’un quand le second se mange le revers, la Colombe distribue des giroflées à cinq branches aujourd’hui, et c’est gratos.


Vous endormez pas, dites moi si vous avez la même mère, et qui est votre père. Chacun votre tour, sans copier l’autre. HAhah.
Et ensuite toi, Blondinet tu vas faire le beau. Monty, tu vas sourire un peu mieux que ça, ça m’ennuierait de faire tinter tes roubignoles pour voir laquelle est la plus pleine.


Puis le museau se lève, en attendant qu’on exécute ses ordres. La Colombe est fière, par nature. Elle est de celle à qui on ne refuse rien, et rares sont ceux qui ont réussi à la faire ployer. Colombe impose. Et Colombe observe. Chacune des personnes présentes pour l’occasion. C’est à peine si l’on entendrait une mouche voler, une fois la barre des cinq milles écus franchis.
La vérité, c’est que Colombe se fiche de l’argent. Elle a de quoi faire couler les marchés de plusieurs duchés. De quoi faire construire des flottes entières. De quoi armer des tribus entières. Et bientôt, bientôt, de quoi en soigner des centaines. Sa motivation n’est pas celle-ci.
Mais elle n’était pas seule, et les autres, eux avaient la dalle et comptaient bouffer des écus jusqu’à la fin de leurs vies.

L’acier se pose sur Mary Lisa, visage inconnu. Probablement noble si l’on s’en tient aux nombreux tissus qui cachent un corps qui n’a rien de généreux. A la maigreur de son visage s’ajoute le nacre de sa peau. Et pour compléter la fadeur du tableau, Dieu avait été joueur et l’avait affublé d’une longue crinière blonde et d’une paire d’yeux clairs. L’insignifiante l’était soudain moins, quand elle proposa dix milles. Et le visage Colombin s’hochait doucement.

Pas longtemps, car la suivante montait d’un cran.


AH ! Et du vin ! Voilà qui devient intéressant !

Et puisqu’il y avait toujours un homme pour gâcher l’ambiance –sisi-, voilà que Lengloas- entrait en scène, enchérissait et venait roucouler sous mes yeux.

De la farine oui c’est inté…
Alors par contre on va arrêter les roucoulades hein !


Parce que moi, les roucoulades, ça m’tend, voyez ce dont je parlais au début ? Ouai, les souvenirs tousssa, bin je suis en deuil de vie de couple, alors respect, sinon ça va m’énerver et j’vais ENCORE abimer un des deux pecnos.
Tiens d’ailleurs, les pecnos, ils en sont où de mes réponses ?





Les enchères seront également IG, à savoir que ça se jouera sur un pourcentage entendu entre les joueurs, à vous de proposer, en mp combien vos persos donneront réellement. Exemple : X a dit 10 000 mais sa jd propose 100 ! Ou rien. Bon jeu et merci de votre participation.

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Merci Jd Sadella pour la ban et l'avatar, et merci Jd Nev' pour le fessier de ma Chiasse.
Lengloas
Et ouais... il y aura toujours un homme pour gâcher la fiesta! Certains sont clairement plus douées que d’autres... certains plus festifs, d’autres provocants, voir même piquants! Et puis il y a les timides... ceux que on pose à un endroit et qui osent même plus bouger??? Mais quel genre de gêneur était donc notre blond roucoulant avec sa belle dame couleur noisette? Hum... vous avez donc deviné ce que notre Dobby... heu... pardon! Ce que notre leng allait faire ensuite?

Andrea_ a écrit:

De la farine oui c’est inté…
Alors par contre on va arrêter les roucoulades hein !


Haussement de sourcil! Sourire en coin.... ce qui généralement était souvent à présager d’une conneries à venir de la part du blondinet! Une sorte de tic instinctif quand son cerveau est en trop plein... et qui doit relâcher un peu la pression en cas de trop de surmenage... ce qui, faut quand même l’avouer ne m’était généralement pas très longtemps chez un homme...

Il dévisageait l’animatrice des enchères, la regardant de haut en bas... essayant de deviner son soudait dédain pour le fait que il embrasse ce que d’autres auront deviné celle qui était sa femme... bon... il fallut pas très longtemps pour associer se dédain au désir charnel, on parle d’un cerveau d’homme tout de même! Je dirais pas que le blond pense que à sa... mais les gènes de mâles ne l’aidait pas forcément dans le bon sens à ce niveau...

Donc, haussement de sourcils, dévisage de l’animatrice... et il décide de l’ouvrir une fois de plus dans sa direction...


et je compléterais mon offre par une nuit dans l’établissement de son choix à l’animatrice qui apparemment serait en manque de câlins... avec l’un ou l’autre... voir même les deux personnes en vente ce soir...

Me les abimes pas trop... je peux en avoir besoin après...



Enfin.... pour ses conneries... faudrait déjà que notre blond farceur gagne les enchères... qui a ce niveau là... les gens s’envolait comme engourdis de la besace! Faut dire que les enchères montant à coup d’assommoir ont dû assommer certaines personnes présentes! Mais qui sait, se cacherait sans doute dans la salle une personne qui serait tenté de sauter à la dernière minute sur l’occasion essayant de rafler la mise à la dernière seconde!

Et comme la farce n’est jamais vraiment complète avec le blond, il prit sa brune à ses côtés, glissant la main dans la sienne et entrelaçant ses doits aux siens, et lui volant un baiser furtif sur le ses lèvres que il aimait tant!

Taquin??? Provocateur??? Bien sûr que non voyons! La c’était juste pour le plaisir d’être accompagné de sa brune, et son cœur bondissant à sa présence, le pousserait à goûter à ses lèvres en tout temps si il le pouvait!

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Lyselda
La brune rigolait intérieurement en se demandant qui pouvait bien vouloir troquer Mont et son frangin contre de la farine mise à part un boulanger bien sûr. Mais la seconde question qui turlupinait la jeune femme c'est ce que l’animatrice de la vente allait pouvoir en faire ... des petits pains par millier ?!

Cependant cette voix lui était familière mais quand elle remarqua qui était présent aux enchères aussi Amelliane fit un petit sourire tout penaud en voulant dire ´ ah toi aussi tu es ici ?! ´ avec un oups.

Elle se doutait que Leng allait lui poser des questions mais lui aussi devrait lui rendre des comptes. Enfin c’était une autre histoire.

Au baiser que son blond venait de lui donner elle lui sourit enfin les réjouissances étaient de courtes durées puisque Andrea voulait que les roucoulades soient stopper, non mais voici qu’on ne pouvait plus se bécoter en public.

Mais quand Leng surenchérit une nouvelle fois par une nuit avec l’un des deux zouaves mit en vente Amelliane grimaça. Son regard se posa sur lui en se demandant ce qu’il avait en tête là et que surtout son enchère là était comment dire ... pourri.

Sa main se resserrait dans la sienne elle attendit le verdict de la femme en question.
Mary_lisa.
Suite à sa proposition plusieurs relances sont faites. Une fois encore, pas le moindre regard n'est jeté sur les autres participants. Leurs identités ne l'importe pas le moins de monde, cela ne reste que des acheteurs insignifiants à ses yeux. Toute son attention n'est portée que sur ce qui représente son unique centre d’intérêt pour l'heure, la maître des cérémonies, ou celle qui détient le sort de ces deux abrutis.
A l'annonce des nouvelles enchères, un léger froncement de sourcil vient perturber son masque de glace. Il y avait vraiment des gens près à payer aussi cher pour des personnes qu'ils n’aiment pas ? Non... elle ne comprenait pas. Même pour le renard qu'elle voulait mort à tout prix, elle ne serait jamais prête à se démunir autant de sa fortune. Faire appel à un mercenaire lui coûterait bien moins cher. Seul l'amour pouvait justifier cette folie. Nulle autre explications n'était plausible à ses yeux. Et c'est donc l'amour qui la pousserait une fois encore à surenchérir.

Mais de l'amour à la haine il parait qu'il n'y a qu'un pas. Lorsque son regard se dévie un quart de seconde de la femme, c'est pour dénier enfin jeter un coup d’œil vers Montparnasse. Il est bref et discret, toujours masqué par le personnage de Geneviève, mais il la connait sans doute suffisamment pour y déceler sa rage. Elle reste de marbre, froide, distante et indifférente, mais au fond... au fond ça boue ! Oui elle à la haine à cet instant. La haine de se retrouver là, la haine d'imposer cette humiliation à Martin, la haine de se l'imposer à elle même. Mary aurait pu se retrouver là, à marchander à se battre bec et ongles pour obtenir la liberté de l'amour de sa vie. Mais Geneviève non. Elle, la Comtesse insensible, la Première Huissière Royale, la vitrine du Louvre, se retrouvait à négocier avec la vermine aux yeux de tous. Elle venait pour la première fois de fissurer ce personnage fabriqué sur mesure, et pourquoi ? Pour cet abrutis incapable de ne pas se mettre dans la merde tous les deux matins. Si elle l'en aimait moins ? Hélas... non. Cela serait sinon tellement simple.

C’est justement pour cette raison que dans sa tête tout va vite. Non, on ne peux pas lâcher plus de 15000 écus sans y réfléchir un minimum en amont. Les calculs sont fait rapidement. Elle ne pouvait pas annoncer à Martin qu’elle s’était démunie autant de leurs économies. Néanmoins, grâce à son investissement royal elle avait obtenu deux étalons des écuries royales. Leur ventes lui rapporterait une belle sommes. Le Comté de Dinant par ses ventes de Dinanderie était une belle ressource également. En soit, le remboursement pourrait être fait assez rapidement sans que son mari ne puisse trop se rendre compte du trou énorme dans les coffres. Puis bon, avouons nous le, si ce n’était pour assurer un héritage à son fils, elle serait bien prête à vendre tout ce qu’elle avait pour ces deux cons. Alors quand bien même elle tente d’être réfléchie, la main est rapidement levée pour surenchérir.

- 20000 écus, et une caisse de champagne provenant des terres du Dauphin. Pour les deux toujours.

Du vin princier c’est pas la classe ça ? Non sérieux ça fait la diff la non ?! Merci Guyguy pour le cadeau de naissance si il l’a fait gagner !
Les azurs glacial se pose quelques seconde à nouveau, sur Lutecien cette fois. Son petit frère, celui qui pouvait la rendre folle par moment, mais qui savait toujours la faire fondre. Non, elle n’est pas le cœur de pierre que l’on prétend. Elle a beau se montrer détacher, son cœur est serré de les voir dans cette position. Elle aimerait se ruer vers eux, les détacher de cette emprise, lâcher l’ensemble de sa garde sur ceux qui les détiennent. Mary l’aurait fait elle. Mais Geneviève, trop digne, trop ... trop tout se contente de rester inflexible.
Elle aimerait leur sourire, se montrer rassurante, leur promettre qu’elle allait les sauver. Mais quand bien même elle remportait l’enchère, ils ne seraient en rien sauver. Elle allait les détruire bien plus encore que toutes les tortures que les autres acheteurs pourraient leur faire subir. A peine aurait elle prononcé ces quelques mots, leurs vies prendraient un autre tournant. Alors non, sa présence ne pouvait rien avoir de rassurant.
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Andrea_
Qu’on soit clairs, j’ai rien contre les roucoulades. J’ai rien NON plus contre les parties de jambes en l’air. J’ai rien non plus contre les petits coups rapides contre une porte, sur une table, un comptoir, une pierre et même un plumard. Je n’ai rien NON PLUS contre un coup un peu plus long avec un connu, un inconnu. Ni avec un nain connu d’ailleurs.
Et quand je dis que « j’ai rien », c’est que « j’ai rien ». Rien. Niet. Nada. Queue de chie. Pas un mâle à l’horizon. Y ‘en aurait bien deux ou trois quand même mais franchement, c’pas le moment d’en parler.
Alors quand notre Blondinet amoureux transit –rouleur de pelles version expert- propose gentiment une nuit dans un établissement, la première chose à laquelle je pense c’est : manger. J’ai envie d’un put’ain de cochon de lait servi avec une pomme dans la bouche, le tout en train de tourner sur une broche. J’ai envie de me brûler la gueule en le mangeant, j’ai envie de le noyer dans la sauce et de me faire péter la peau du bide, et surtout j’ai envie d’arroser tout ça avec un bon verre de gnôle bien forte –style aquavit, au hasard hein-.
Parce que ouai, c’est tellement la dèche dans ma vie, le désert sesquelle dirons nous, que j’pense pas UNE SECONDE que le vendeur de farine me propose une nuit dans un bordel. Ça aurait pu m’offenser, m’enfin pas tant que le reste de sa phrase.


Avec l’un..ou l’autre, ou les deux ? J’pense qu’il est inutile que je vous décrive le rire qu’elle envoie. C’t’un savant mélange de « ahah qu’il est drôle » et de « j’vais le tuer ». Comment décrire ça, au plus juste… C’t’un peu comme quand ton gamin t’offre un beau bouquet et que tu comprends que ce sont les fleurs de ton jardin qui y sont passés. Tu vois ? Bin la même chose. En plus profond. En plus moqueur. En plus haineux. Parce que mon p’tit monsieur, y a un truc que t’as pas compris…

Parce que tu crois VRAIMENT, que je suis du genre à écarter les cuisses pour ces deux là ? Et quand bien même c’était le cas, crois tu que j’aurais été assez conne pour attendre qu’ils ne soient plus mes sujets ?
Le rire suivant ? Beaucoup plus léger. Comme la main, qui balaye l’air pour oublier cet échange fâcheux. Cet échange fâcheux, et le geste tendre qu’il avait eu à l’intention de sa compagne.

Puis le regard d’acier était resté longtemps immobile. A lorgner la douceur. La froideur. S’il y a des gens que l’on devine en un regard, c’est bien impossible, la concernant. Tout en elle, semble se contredire. Calme bien qu’en Colère. Douce et Brûlante. Sensible, et Froide. Distante et pourtant tellement là. Je me demandais ce qui les avait amenés ici. Ce qui avait motivé chacune de ces personnes à enchérir. La rancœur, pour beaucoup. La jalousie. La luxure. La simple envie de posséder. Ou simplement l’envie d’être là, pour regarder la déchéance de deux frères, qui, après l’apogée tombait plus bas que la bassesse. Ils côtoyaient les Dieux, et mangeaient maintenant la merde des cochons. Et cette déchéance, c’est à Nous qu’ils la devaient.
Et sans mentir, qui, mieux que Nous, pouvaient rappeler au monde qu’il est inférieur ?

Je savais, qui en voulait à leur peau, qui comptait les exploiter, les tuer. Qui ferait de leurs vies un enfer, qui leur offrirait la liberté peut être. Mais Elle…

Elle… Elle semblait implorer. Les yeux rivés sur Mont sans que je sois capable de qualifier ce regard. IL y avait de l’Amour. Autant qu’il y avait de la Haine. Pourtant elle était accompagnée plus tôt, alors…

Alors les deux mains levées pour que la foule se taise, un mollard envoyé aux pieds des frérôts, et voilà Colombe, de retour sur son destrier, qui annonce, clairement :



20 000 écus. Gardez cette caisse de champagne pour noyer le dauphin quand vous le verrez, en contrepartie, je veux savoir ce qu’il adviendra d’eux, quand vous en aurez fini.
Je veux au moins quatre lettres de votre part à mon intention.


Et un majeur à Len’, suivi d’un baiser soufflé, parce que ouai, c’est clairement un délit de salle gueule !
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Merci Jd Sadella pour la ban et l'avatar, et merci Jd Nev' pour le fessier de ma Chiasse.
Lengloas
~La connerie, c'est la décontraction de l'intelligence !
Serge Gainsbourg~


Le sourire du blond au geste de Andréa, levant légèrement les yeux au ciel, puis! une idée a la con lui traversait a nouveau l'esprit... une de ses idées qui enverrait sa femme se coller la main dans la figure! mais... pour le coup il resterait lui... et simplement lui! Faut pas chercher, la connerie de l'homme n'as parfois aucune limite, il simulait qu'il attrapait son baiser et le collait dans la joue en souriant... puis laissant quelques minutes sa femme, il s’approchait de l'estrade ou était perché la femme, animatrice d'un jour!

il est vrai... que tu vaux mieux que ses deux la... a n'en dénier que tu as ce qu'il faut ou il faut, et tu sauras sans aucun doute trouver un jour mieux que ses vieux rats... Mais en attendant! il sortit de sa poche une petite bourse qui en bon viseur que il était, lui lançait dessus

cadeau pour l'amination de ce soir!, tu trouveras de quoi te trouver a écartes tes cuisses a ta convenance, et même de quoi faire un repas avec si tu est pas trop chiante! sinon, il te restera toujours ton doit... mais ce que tu en feras ne me regarde en aucun point!

voila de quoi mêtre de l'eau au moulin dirait-on... et pas sur que il reparte de la avec une copine en plus! il s'en détournait les talons et regardait furtivement la femme qui lui privait de son cadeau pour sa brune! bon pour le coup ça lui fessait un peu chier quand même! mais bon il trouverait sans aucun doute une compensation a sa femme, même si un jouait humain, et qui plus est le monty... aurait été sans aucun doute a sa convenance! mais bon... comme on dit souvent, on a pas forcément tout ce que l'on veut dans sa vie!

rejoignant a nouveau sa compagne, ultime provocation.... ou pas... il embrassait tendrement la brune! Bon, pour le coup, il en avait aussi tout simplement envie! il en aurait fait bien plus... mais pas sur que sa femme l'aurait accepté pour le coup! surtout que elle devait aussi se dire que son blond était un peu débile sur le coup... ou tout simplement se marrer intérieurement aussi, il n'en est point a douter que elle était capable de le suivre dans sa folie parfois... même si après coup elle lui rejetterait toute la faute en jouant les innocentes! et que encore une fois il lui en voudrait pas!


Désolé mon cœur, il semblerait que mon cadeau m'aille glissé entre les doigts, et... tu m'expliqueras le comment de ta présence en ses lieux entre deux verres de vin et un morceau de viande a la taverne la plus proche.

Bah... tant que a faire, autant inviter la demoiselle sa femme a manger, et aussi sa dame de compagnie, car bon, il était pas un tyran a laisser les amies de sa douce crever de faim! amel n'aurait pas son cadeau, mais elle repartait pas les mains vides, un diner c'est toujours mieux que rien... non?
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Montparnasse.
Le silence. Autour de lui c'est le brouhaha mais pourtant il n'entend rien. Pas un bruit, pas un son. C'est comme si il était dans une bulle hermétique et que tout autour de lui se dérouler au ralenti. Il n'entend plus la voix nasillarde d'Andrea. Il ne sent plus ses doigts qui malmene son téton. Il a exclus la présence de son frère qui l'a rejoinds sur l'estrade, voulant l'aider, il se retrouve lui aussi victime. Il ignore tout autant la présence d'Amelianne et de son blond. Non il ne voit qu'elle. Mary Lisa. Depuis qu'il la appercu au milieu de la foule, ses yeux sont rivé sur elle et tous ce qui se passe autour est exclue. Il n'entend pas le prix de la vente s'envoler. Il ne sait même pas qui gagne ou même si la vente est finie. Il la voit simplement Elle. Depuis plusieurs mois. Qu'est-ce qu'elle fait là ? Il lui a écrit que tout allait bien pourtant...

Il comprend, alors qu'elle évite son regard que non. Plus rien ne va aller désormais... Il ferme les yeux un instant.

Bordel... Mais pourquoi est elle venu ?


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