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[RP]Mariage:Laure de Troy d'Orsenac & Namaycush Salmo Sa

Paysans01


Le 11 octobre 1467 Paysans étais au camp il a là ses faire coupe les cheveux et il l’acheter une chemise et un brai neuf de couleurs blanche et va ses laver a la river et ses rase le soir venu il participas a enterrement de la vie de garçons du General

Le matin suivent-il ses prépara pour aller au mariage du capitaine

Il arriva devant la Cathédrale Notre-Dame il la trouva magnifique le travail a étais a complié pars les enceint Architectes-il ses disait-il savais travailler ses gent la il espéra que soit toujours le cas il trouva paris pas trop mal il était déjà venu plusieurs foi il trouva la capital étais bien mieux que la ville de Lyon anciennement Lugdunum capital des gaule
Il voit des tété bien connu et bien amical


Bonjours Milly comment aller va tu ???
Bonjours Messire Gwenwed comment aller vous ???
Bonjours Messire Amael comment aller vous ???
Bonjours Ceronnie comment aller va tu ???
Bonjours Shendar comment aller va tu ???

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Ceronnie
Une voix bien reconnaissable entre toutes la fait se retourner et c'est avec un grand sourire qu'elle salue Paysan qui lui a laissé un excellent souvenir.

- Bonjour Paysan ! Je vais très bien et il me semble que toi aussi
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𝕮𝖑𝖎𝖖𝖚𝖊𝖟 𝖎𝖈𝖎 !
Raoul_acheron
A peine sortis de Louvre, la mine éprouvée et le teint blafard, le Comte du PA s'était refait humeur et bonne santé dans les bouges parisien les plus mal famés.
Couronne sur la trogne c'est à coup de tabourets et autres bouteillon qu'il était devenu pour un soir...Le Roy de Paris.
C'est frais comme un gardon avarié, mais rutilant comme le soleil du Périgord, que le Raoul arriva devant les portes de l'auguste Cathédrale.
On salue courtoisement les premiers arrivés avant d'allumer un cigare en forme d'étron princier, cadeau du Carmin...

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Amael
Il était occupé avec Mara, Ceronnie, et Delfia, attendant les autres membres de la Ruine, quand une voix connue vint à les saluer, il se retourna et aperçut Paysan.

Bonjour Paysan, content de te revoir, tu n'as pas changé, toujours en pleine forme à ce que je vois !

Le parvis de Notre-Dame commençait à se remplir, et le brouhaha des conversations emplissait les lieux, seule la volée des cloches annonçant de début de la cérémonie couvrirait ce joyeux charivari.
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𝕮𝖑𝖎𝖖𝖚𝖊𝖟 𝖎𝖈𝖎 !
Nessty_la_vilaine
Quelque part, entre monticules et veaux, un piaf qui sentait trop bon pour être honnête atterrit aux pieds de Nessty. Le pli tout beau fut avidement décortiqué par une Gueuse et le piaf renvoyé d'un coup de pied dans le coquillard.

Gueuse peut être mais Gueuse héritière royale et maintenant Gueuse special guest. Très spéciale même... mais invitée quand même...


Oh bordel de roubignoles vérolées du Malin !

Cette vieille Canaille Saumonée remet ça... et il va, avec certitude, y avoir un de ces festins digne d'un orgie que j'peux pas louper, mais alors pô du tout !


La rumeur donnait le pape en personne comme maitre de cérémonie. La publication des bans la confirma. Une magnifique occasion pour la Vilaine de taquiner un peu plus ce couillu que le destin croisait et décroisait.

Et la réponse tomba, d'une plume acérée sur un parchemin ayant servi d'emballage à de la poiscaille.


Citation:

A ma Veille Canaille qui encore s'encanaille,


Rien que pour te voir passer la corde au cou, j'en serai !
Et si besoin de volontaires pour tirer la corde en haut d'une potence, j'en serai aussi !

Comme cadeau, t'auras droit à du sauciflard d'âne et du frometon bien coulant comme t'aimes bien. Mais t'as intérêt à offrir du très bon pinard après la cérémonie, sinon je boufferai tout avec les crevards de la Memento qui te restent et on ne te laissera pas une miette, promis.

Mais c'est qui cette greluche ? Encore une nobliote pétée de tunes, avec une croupe de vache prête à être engrossée ? T'en loupes pas une en tout cas. A partir du moment où tu peux te cramponner à des mamelles pour échanger ta couronne de rois des cons contre une autre. Mais quand même, de là à laisser le Pape romain châtrer un réformé amateur de jarretelles comme toi... Tudieu, faut vraiment que je m'enquille un fût de schnaps entier pour m'en remettre et assister à ça !

Vraiment, ma Vieille Canaille, tu ne changeras donc jamais... et, surtout, t'oublies pas ta Vilaine, surement la seule que t'as jamais réussi à boteculer en ce monde... J'en suis tellement émue que je remettrai bien un second fût de schnaps.

Dire que je te croyais marié à celle qui fut toujours ta ptite mère, notre belle et douce Caro. T'as pas intérêt à l'avoir crevé celle là, sans quoi c'est une double paluche dans la trogne que tu prendras.

Au cas où ça t'intéresserait, ce dont je doute, je vais bien.
Aucun pardon requis si je ne te pose pas une question similaire, car, quand braie de Saumoné se défait devant putrelle, c'est qu'il est toujours aussi fringant que dans le temps. Vieille Canaille va...


Fait depuis un bouge quelconque, en un jour pluvieux d'octobre 1467.





Pour une si grande occasion, la Vilaine marqua le coup : elle laissa ses cloportes au placard - enfin dans la salpêtre derrière celui ci - et habilla d'un noeud aux couleurs des Vilains un pingouin. Envoyer un pingouin lie de vin vers un autre plus carmin était une Vilaine évidence.

Et elle se mit sur le champ en route, prenant routes à travers champ et se délectant de chaque goutte de ces 2 tonnelets de schnaps emportés en guise de remontant.


Paris, quelques jours plus tard. Une éternité que la Vilaine n'y avait pas usé ses semelles sur son pavé et le fond de ses braies sur les bancs de l'un de ses bouges. Comme d'habitude, elle avait été fort prévoyante, emportant tout ce qu'il lui fallait pour y survivre dignement. Son baudet, du Poitou bien évidemment, manquait à chaque pas de fléchir sous le poids des victuailles. Devant elle, elle poussait à coups de crosse ecclésiastique, un troupeau d'âmes aristotéliciennes : des dindons et des lapinous sauvés par elle lors du premier pillage du diocèse de Limoges ainsi que leur progéniture étrange entre poils et plumes, des pingouins. Les bestioles jabotaient et glougloutaient gaiement en allant picorer dans la sébile des mendiants, les mouches attachées au sauciflard et frometon promis rivalisaient avec une de ces plaies d'Egypte, le baudet du Poitou tentait de se soulager de quelques litres de pisse pour garder le rythme, les bourgeoises s'évanouissaient sur leur passage et les chiards un peu trop curieux finissaient tous par fuir avant de se faire becter les mollets voir avant un coup de bâton sur la tête. La Noisette Sarcastique, quant à elle, elle restait impassiblement fixée sur son objectif.

Premier arrêt devant une auberge pas trop malfamée pour cette Gueuse un peu embourgeoisée. Refus de la tenancière, trop horrifiée par tant d'animaux, de mouches et surtout par l'odeur émanant de la cape en peaux de rat recouvrant la Vilaine de la tête aux pieds.


S'pèce de bigote sans coeur ! Saint Oui-Oui nous a appris que nous sommes tous des ptites bêtes du Très Haut...
Que ton jupon soit maudit et pourrisse faute d'être aéré par une bonne botecule !


Second arrêt devant une auberge nommée "A la Tête de Poireau". L'endroit idéal quand l'on se rendait au mariage d'un gaillard à la tête blanche mais à la tige toujours verte. Sauf que la Gueuse ne semblait pas être la seule en quête d'un lieu adapté à la situation.

Hein ? Quoi ? c'est complet à cause d'un mariage ? Et c'est le même chose au "Pied de Cochon" et au "Chien qui fume" ? Vain diù d'vin doux !

Troisième arrêt devant un bordel où les clients ne savaient plus à quel sein se vouer. Une âpre négociation s'engagea avec le taulier.

Nan, pas d'piaule contre mes nibards ou l'épluchage d'carottes ! Nan mais...
En revanche, j'te laisse mes compagnons pour occuper tes pochtrons en rut. Ils n'y verront qu'du feu, crois moi.
1 dernier de commission sur chaque passe, 2 pour l'âne et de la paille fraiche dans le grenier pour moi.
Puis pô touche à ma cargaison où c'est toi qui finira avec une carotte dans l'fion !


Marché conclu. Le nom de la vieille Canaille ayant suffit pour faire se courber le taulier de ce bouge aux moeurs étranges. Allez savoir pourquoi.

La Vilaine se décrotta un peu les bottes en les trempant dans le filet d'eau brunâtre ruisselant au milieu de la rue. Un peu de cervoise sur le caillou afin de donner un air brillant à sa tignasse poussiéreuse et dépourvue de chignon, un peu pour son gosier car fallait pas gâcher. Un rehaussement de son corsage afin d'éviter que Sein Nitouche et Sein Nichon ne tombent du balcon lors d'une courbette qu'elle n'avait pas l'intention de faire. Et voici déjà qu'elle était prête pour la cérémonie.


Sur le parvis de Notre Dame. Lourde cape en peaux de rats pictaves et turons ayant trainée dans bien plus que de la fange, cliquetis de sa miséricorde de Grande Vilaine et de son fouet de fesseuse de cons contre une précieuse flasque de schnaps, royale boite à Meuh tressaillant de temps à autre au fond d'une poche, des cloportes somnolant dans le revers d'une manche, un bébé pingouin sur les talons et son sourire des plus sarcastiques sur le minois. Nessty réussit à éviter quelques bouses dont un ancien troufignon tourangeaux. Comme ses noisettes ne trouvèrent pas une seule trogne joviale des Mementos qu'elle avait connus par le passé, elle fila vers l'entrée. Sous la truffe de celui qui semblait avoir le croupion planté là pour accueillir les invités, elle brandit le livre des Vertus. Au chapitre sur la Sainte Fornication était coincé un torchon dont n'apparaissait que le seing du futur marié pas saint du tout.


L'bon ou l'mauvais jour ! J'suis la Grande Vilaine et j'viens pour voir une Vieille Canaille s'faire mettre par le Pape.. Toussotements... s'faire mettre la corde au cou...
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Sofie.de.valmonte
Très tôt, ce matin-là, un mince linceul blanc recouvrait pavés et toitures du village, tandis que les champs alentour prenaient des airs de mer de nuages, renvoyant un pâle éclat d'un soleil bien timide. C’était une journée à rester au lit du mois d’octobre annonciateur de la fin de l’été.
Se retournant, une fois encore dans son lit, elle voulait garder les yeux fermés , ne pas s’éveiller , rester dans son rêve de douceur.

Embuée, les yeux mi-clos, elle se remémore la veille comme des images floues, de l’alcool, de la musique festive, quelques rires et encore de l’alcool, une nuit à refaire le monde puis elles ont aussi pleuré, quelques larmes habituelles.

Elle s’étend dans le lit, profitant pour dénouer les muscles engourdis, sa main attrape avec paresse le coussin de soie et…récupère une pleine poignée de cheveux…

Signaux en alerte, ce détail n’est pas dans son souvenir de la veille, sous la couverture du blond apparait, déjà elle craint le pire, des noms surgissent, « tout, mais pas Namay ! » Dépitée au bord de la dépression, elle tire sur la couverture, petit à petit, Sun glousse au pied du lit, elle est superbe avec son nœud rose et ses yeux pétillants. Mais le suspens est haletant, elle prie c’est le moment d’y croire plus que jamais, pourvu que barbe soit, pourvu qu’il soit sot et muet, pourvu qu’il soit déjà mort… Elle tire encore et le visage se découvre, un cri d’effroi alors.


Bon sang Laure !

D’un coup, elle saute hors du lit, les cheveux en bataille, les pensées qui bouillonnent, elles se remettent en place, la veille la soirée, de l’alcool comme s’il en pleuvait, les marches pour monter dans les chambres étaient hautes, c’est en rampant à quatre pattes dans le couloir qu’elles avaient pu rejoindre … Le même lit !

Elles se regardent un moment, avant que la porte ne tremble et que..

Laure tu es réveillée?
C'est le grand jour...Ton jour!


Elie est derrière la porte, c’est le grand jour ? Un sursaut d’un coup, elle tire sur les rideaux , le soleil pointe son minois, dans la foulée elle va ouvrir la porte, prenant l’air scandalisé en faisant entrer Elie, montrant du doigt Laure vautrée…

Aide moi ! il va falloir lui redonner un aspect humain..
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Makcimus.
Le temps passe… La famille se rassemble avant de se présenter devant les portes de Notre Dame.

Les siens, commencent à arriver. Mara la petite dernière qui avait prit du temps pour elle, était présente. Le rude chevalier qu’il pouvait être sur un champ de bataille, devenait un doux agneau, lorsque celle vi apparaissait. Il l’admirait beaucoup et sous ses airs de fille de la campagne, était dissimulé un moteur de formule 1… Et Makcimus le savait très bien.

Les Chevaliers Teutonique Ceronnie et Amel étaient déjà la. On ne s’invente pas une vie en quelques mois… Ces deux la, avait suivi a l’ancienne, le cursus complet. Il n’était pas devenue Chevalier de l’église, par concours de circonstance ou en se faisant élire GM, pour accéder au Titre de Ritter Teutonique. Licencié en Aristologie, ils avaient suivi ensuite un long parcours et de longues années d’entrainement à la maitrise des armes et ils étaient aujourd’hui, un atout combattant considérable en la Ruine.

Sa fille Delfia… Ancienne Teutonique, elle aussi, avait suivi son Père, des son départ des Sanctes Armées… Elle était toujours a ses cotés et en l’instant alors qu’il s’apprêtait a s’éloigner du groupe, il s’avait qu’elle ne le quitterait pas a plus de quelques pas. C’était ainsi et… Il en était de toute façon heureux.


Un signe afin que les présents s’approche.
Bon , je suis un des témoins du Carmin… L’heure passe, vous allez pouvoir approcher de l’édifice et y entrer. Moi , j’entrerais avec le marié après vous. Et cette fois ci… La voix rocailleuse s’éleva sur le ton du commandement qui en règle générale, ne suscitait aucun commentaire… Attendez les autres et entrez ! Pour l’heure…. J’ai à faire. A plus tard. Ils savaient qu'il était heureux qu'ils soient la... Mais évidemment qu'il n'en dirait rien.

Un signe a Delfia…. Et le voilà s’éloignant de sa lourde Démarche.



[Un hôtel…vicinal de basilique…]



Et la grande carcasse de sa lourde démarche de gravir les escaliers et d’apostropher le garde de faction… Il est encore la ? Un haussement et une grimace en guise de réponse, lui confirmèrent ce qu’il savait déjà.

La porte s’ouvrit sans résister, fermée à clé ou pas… Lorsque le quintal se déplaçait, celle ci ne résistait pas. Et la…. La grande carcasse de soupirer … Il était a se délasser cigare en bouche dans son bain. Pourquoi ? Mais pourquoi n’était il pas étonné ?

Sur le même ton serein qu’il avait utilisé en Rouergue…. « Bon, ils ont déplacé pour nous, toutes les forces disponibles de France et ils arrivent a 200 »

Tu sais que c’est pour aujourd’hui ? Ca se bouscule déjà devant la cathédrale ! C’est l’heure !

Et de se laisser tomber sur une chaise… On fume ?

C'est lorsque l'on est pressé, qu'il faut prendre son temps....
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Berthine_de_bracieux
[ Sur la route venant de Gascogne ]


- NON NON NON ......... DAVINA !
- Quoi m'dame .... qu'est ce qu'j'ai fait encore ?


La Berthe tend son bras vers un poteau avec une pancarte et montre l'inscription avec son doigt .


- Que lis-tu , je te prie ? , sur un ton coléreux envers la servante .
- Euh .... je crois que c'est .....Ma...rsei...lle ..et 1 ..5 et ..euh ... lieues ! ...oui c'est ça .... Marseille m'dame ! à 15 lieues !
C'est ça m'dame , j'ai bon
?

- Ah bah oui , t'as tout bon .... je te le confirme et je t'en félicite !
Peux tu juste me rappeler où nous devons nous rendre pour assister au mariage ?

- Alors , ça , j'crois que c'est à Paris ! OUI , c'est à Paris où y a la Reine !!
- Y aurait pas comme un petit problème maintenant depuis qu'on est parti ?

Et de voir la servante se grattouiller le menton et faire non de la tête .


- NON .... NON tu me dis !!! ..... PARIS EST A PLUS DE 150 LIEUES !!!!

On fait quoi maintenant ? J't'avais dit de me réveiller quand on arriverait à Limoges ! D'ailleurs , quelle est le dernier village qu'on a traversé ?

- J'crois qu ... euh , que c'était Mende ... oui c'est ça !
- Bah tiens .... bien sûr ! dans le comté du Languedoc .... on a rien de mieux à faire !
- J'suis désolée m'dame , j'savais pas !
- Oui bah maintenant ... c'est le moment de reprendre la bonne route pour arriver à temps au mariage !


Les péripéties du voyage .... La bonne route fut reprise après un long détour et maintenant , il est certain que Berthine ne fermera plus les yeux et ne laissera plus les rennes de la carriole à Davina .



[ Paris , le jour de mariage ... ]



La gasconne avait trouvé une litière dans une petite auberge à proximité de Notre Dame . Cela n'avait pas été sans mal car beaucoup de monde avait fait halte avant elle . Il ne restait guère de place . Certainement en rapport avec le mariage de Namay .
Elle voyageait avec un seul bagage où il y avait quelques vêtures pour son séjour .
La robe mise , elle pris sa coiffe et termina sa préparation .
Davina n'était pas très loin , à finaliser les retouches et préparer les chausses .



- Madame , vous pouvez vous chausser maintenant . Il va être temps d'aller à Notre Dame .
- Oui , prestons-nous ...que je puisse trouver place parmi la foule pour voir la mariée !


Le parvis était à quelques pas mais déjà , une foule se pressait aux portes de la cathédrale .
Berthine essaya de se faufiler malgré les gens et essayer de se rapprocher de l'entrée . Il n'était pas certain qu'il y ai assez de place pour tous !
Aucun visage connu , que du beau monde , et surtout , que de belles toilettes sur les deux genres réunis .

Ah ..une marche ! Berthine se hissa sur celle-ci et se cala contre le mur de la cathédrale . Elle avait une belle vue et certainement qu'elle pourra bien apercevoir les futurs mariés .

Aussi , se mit-elle à rêvasser quelque peu ...

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Carminoir
Le rire du sergent… non il ne rigole pas le sergent là.
Il commande les estafettes, les âmes damnées du Rouge. Mi-chamanes, mi-hommes, hiver comme été, ils couchent à la rude, à l’extérieur.

Ils sont ceux qui brûlent les villages et les récoltes, qui ont la même considération de la vie humaine que le bout de gras qu’ils partagent le soir. Princes de la voltige et de la cambrousse, ce sont des tueurs, exécuteurs de basse besogne.

Quand leur siffle résonne par-delà les monts, les terres et les rivières, annonciateur de mort, l’armée rouge se prépare à l’assaut. Beaucoup l’ont su. Peu peuvent en témoigner.

Mais ce jour, non, il ne rigole pas le sergent. Il a consigne de se tenir à carreau. On reste poli, on ne tue pas les gens sans leur demander s’ils sont invités. D’abord. Et s’ils ne sont pas invités, on ne les tue pas non plus. On les reconduit sans exercer la brisure de gueule.

Et en plus on obéit au valet de pieds d'Elienore, décidément.



    Détachement, à moi !

    Appel !



Pas à dire, sale journée pour le sergent, deux gardes présents sur vingt-et-un. Va falloir faire de la courbette pendant que le vieux roucoulait de la princesse…
Tarrayon
La tarrayon avait reçu une lettre d'invitation pour venir au mariage de Namay. Il devait faire partir de la garde

Il avait donc pris rapidement la route pour rejoindre le lieu du mariage...

Il descendit de sa mule et essaya de voir si il reconnaissait des visages, mais il n'y avait personne de connaissance, donc il se dirigea tranquillement devant la porte en espérant que le lieu de rendez vous était ici
Lorelei_
[A l'annonce du mariage]

Non j'irais pas !

Les mots avaient fusés ainsi. La Brune était grognon, comme bien souvent. Un mariage. Mais quelle idée. Il y avait du monde. Trop de monde. Et puis des gens qu'elle ne connaissait pas, des gens qu'elle ne voulait d'ailleurs pas connaitre. Et puis d'autres qu'elle ne voulait plus connaitre. Alors c'est d'un ton décidé qu'elle avait tenu tête au paternel.

Toute façon j'suis pas invitée.

C'était effectivement le cas puisque finalement, personne n'était vraiment encore invité. Alors son excuse n'avait pas tenu longtemps. Et Mak avait réussi comme bien souvent à trouver les mots qu'il fallait. La Sauvageonne avait reconsidéré la question. Elle avait retourné le problème dans sa tête des dizaines de fois. Et finalement, elle ne trouvait plus d'excuses. Là bas était sa place.

Bon d'accord. Mais par contre, j'te promet pas d'être aimable !

Fallait pas non plus abuser. Les fanfreluches et autres froufrous n'étaient franchement pas son truc.




[Le Jour J mais pas tout à fait à l'Heure H]

La Ruine avait quitté Nevers quelques jours auparavant. Le paternel avait donné consigne, comme toujours. Et comme toujours, la Brune avait fait sa mini rebelle. Mais finalement, elle était tout de même de la partie. La famille avait quelque chose de sacré pour elle même si elle ne l'avouait pas réellement.

Elle arrive légèrement après le groupe, ayant préféré se préparer avant. Et pour retrouver un peu de sa quiétude également. C'est qu'il allait lui falloir faire preuve de grande sagesse ce jour. Et pour qui la connaissait, ce n'était franchement pas son truc la Sagesse. Un peu en retrait alors que chacun s'avance sur le parvis, elle observe les arrivées, silencieuse. Ce n'est qu'une fois le calme légèrement revenu, que la Brune se rapproche, saluant Mara d'un sourire et la remerciant du regard pour sa présence. Elle comprendra assurément. La fratrie n'est guère très expressive, surtout en public.

Puis lentement, la voilà qui se faufile jusqu'à Milly pour la surprendre doucement.


Bonjour toi ! Pas trop stressée ?

Ou comment essayer de se changer les idées alors que ses propres angoisses remontent à la surface. Et cette fichue robe qui lui compresse la poitrine n'aide en rien à son calme. Papa, pourquoi j'suis une femme sérieux ? Les robes, c'est naze !
_________________
--Gaubert_


Du monde se rassemblait sur le parvis, probablement les premiers invités. Gaubert était prêt à les accueillir sentant la garde dans son dos.
Un homme, tout droit sorti d'un désert, s'avance, s'arrête semblant hésiter puis reprend sa progression en escaladant les quelques marches. L'huissier du jour s'apprête à lui demander son nom quand il passe sans un regard à ses côtés et laisse tomber.


Asile

Gné! Asile??? Non mais tu te prends pour Esméralda? Ce n'est pas parce que je suis tonsuré que je suis curé. Une seule solution s'impose au cerbère de service.

A la garde!!!
On tente de s'infiltrer, d'entrer en force sans donner nom ou invitation...


Gaubert laisse le soin aux sentinelles d'oeuvrer et se tourne vers...euh vers quoi exactement? Difficile à dire. Le femme, car visiblement c'est une femme se présente et montre un bout d'invitation. La Grande Vilaine, porte bien son nom celle-là.

On espère qu'il soit bon ce jour.
Je vous en prie madame, prenez place sur les sièges des invités personnels.


Une inclinaison du buste et un geste de la main pour l'inviter à pénétrer dans le sanctuaire.
Milly.
Comme c'était pas une habitude chez moi, je me dépatouillais comme je pouvais avec ma robe.
Non mais qu,est ce qui faut pas faire!
J'avais choisi de laisser ma chevelure sans entrave , au moins çà me ressemblait.
Donc pas de boucles , chignons, tresses ou je ne sais quoi.
Juste quelques petites fleurs blanches pour orner et franchement, j'étais assez satisfaite.

Robe enfin enfilée, dernier regard d'inspection et puis...ouf , j'en ai les mains moites.
J'avais un peu de mal a me reconnaître dans la glace mais quand y faut, y faut.
Carton d'invitation en main, je m’arrêtais un instant sur le seuil.

Non mais vous croyez que la fille du marié a besoin de son carton ?
C'est un peu idiot çà !
Bon sait on jamais , y aurait des gens que je ne connaissais pas.

Je me décidais enfin a sortir de ma tannière, même s'il était encore tôt, il me fallait être présente pour l'arrivée des invités.

Je rejoignis timidement mon cavalier en rosissant légèrement.




Bonjour Gwenwed.


Arrivée à Notre-Dame

Plus nous approchions et plus la nervosité se faisait sentir, surtout quand je réalisais qu'il y avait déjà des invités d'arrivés.

Mon regard engloba le parvis et les portes, notant la présence de l'intendant mais aussi du sergent major et de quelques gardes.

Je plaquais un large sourire sur mon village et m'avançais plus vers l'avant en affichant un large sourire pas si assuré qu'il n'apparaissait d'ailleurs. Et puis et bien...et puis tout s'enchaina.
Reconnaissant certains arrivants , je dus me retenir pour ne pas courrir vers chacun d'eux... ouais, une histoire de protocole.

N'empêche que pour N'ours , je vais m'oublier un peu.

Quelques pas pour le rejoindre lui et ceux de la Ruine , je devais certainement avoir des étoiles dans les yeux. Qu'est-ce que j'étais contente de les voir.
Une bise claquée sur la joue de Mackimus, les salutations ravies a tous un chacun.
Delfia, Mara, Lorelei...ah Lorelei...
Faut pas oublier Amael et Ceronnie


Que ca fait plaisir de vous revoir tous !

Un coucou à Shendar et Paysan et j'aperçus mon Parrain enfumé un peu plus loin.
Non mais c,est quoi cette manie qu'ils avaient tous ?

Je pris le temps d'aller le saluer avec un clin d'oeil tout en me bouchant le nez.
Pauvre Gwenwed qui fut ainsi présenter à tous dans une avalanche de noms.


Attention Gwenwed, je te ferai passer un interrogatoire plus tard sur qui est qui !


Le pauvre , je le taquinais bien sur, mais on passe notre nervosité comme on peut.
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Cameliane
Etonnant !
Oui, étonnant.
Père qui se marie.
Et avec une femme qu'elle ne connait pas.
A quoi ressemble t-elle ?
Sûrement intelligente sinon il ne serait pas tombé amoureux.
Et sûrement jolie aussi.
Et ses pensées se prolongeaient alors que Lucia, sa gouvernante mettait la main à la dernière couture de sa robe.
Les enfants resteraient avec Lucia car trop petits pour certains et leur mère préférait ne pas les séparer pour éviter les solitudes et jalousies qui pourraient s'en suivre.

L'heure de partir étant venue, elle attendit que Maethor vienne la chercher dans la calèche de louage, et... direction Paris.
Combien de jours de route ?
Aucune idée.
Les étapes dans les hostelleries et auberges pour changer de chevaux ne prenaient guère de temps.
Ils se levaient à l'aube, somnolaient parfois durant le trajet, s'arrêtaient pour les repas et soupers et repartaient le lendemain à nouveau...

A Paris, il leur fallut trouver un lieu de résidence pour deux ou trois jours, car autant profiter du mariage pour visiter la ville, voir même la Cour des Miracles.
Des chambres à louer dans un hostel particulier où serait servi le déjeuner à prime (7h) seraient parfaites.

Elle se demandait si sa petite soeur Milly se trouverait parmi les invités...
En attendant le jour J, rien de mieux que se promener dans les ruelles empestant les ordures et excréments.
Car ils se perdirent en route. Paris est si vaste !

Le quartier des tanneries ne devait pas non plus se trouver loin, et il lui fallut mettre un mouchoir bordé de dentelles d'Alençon devant son nez...
Que Paris est sale ! Rien à voir avec sa douce Helvétie.
A chaque pas, obligation d'enjamber moult détritus et surveiller le ciel où pot de chambre pouvait être délesté à tout instant...
Peut-être auraient-ils dû faire le chemin en carrosse pour éviter de salir leurs costumes...

Maethor et elle demandaient leur chemins à des passants ou boutiquiers, et petit à petit, les quartiers traversés s'avéraient mieux tenus.
Des badauds et gosses des rues mendiaient - à qui elle versa quelques piécettes - et enfin... Notre Dame de Paris, avec ses deux tours, ses gargouilles, ses multiples fresques... Splendeurs !
Du monde en belle tenue et portant beaux bijoux attendait déjà sur le parvis...
Des gardes surveillaient les lieux...


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Tour à tour Capitaine de l'Edelweiss, de l'Eternel, de La Camysole Genevoise, de la Bella Ciao, Du Coucou dans le Cucul, délicieusement nommé par la Madgnifique. La dernière, c'est La Déculottée Genevoise, nom dégoté par Nikkita. Ca dépend des circonstances, et surtout de l'ennemi. Mais l'idée reste encore et toujours : défendre nos libertés.
Erell.


Gwenwed vit Milly arriver, encore plus jolie que d'habitude dans sa robe verte et avec ses cheveux si simplement ornés. Voyant le rose à ses joues, il sourit avant de rougir à son tour.

Bonjour Milly, tu es... très jolie, et même plus encore! Nous y allons?


Il lui tendit son bras pour aller avec elle devant la cathédrale. Il vérifia machinalement que son invitation était dans sa poche. Une façon d'oublier son stress sûrement, c'est que à son bras était la fille du marié donc il ne pourrait se faire discret.
Ils arrivèrent en vue de la Grande Dame bien plus rapidement qu'il ne l'aurait pensé.
Milly rejoint, courant un peu d'ailleurs, un groupe avec, visiblement à leur tête un homme très grand et... fort. Gwenwed se mit en retrait de sa cavalière et les salua tous l'un après l'autre. Il se rappela que Milly lui avait dit qu'un des témoins du marié était un homme grand, enrobé et chef de la ruine donc c'était lui sûrement. Assez timidement, il se présenta.


Je suis Gwenwed, ravi de vous connaître.


Puis ce fut le tour de ceux de la memento, il en connaissait quelques uns. Il les salua également.

Bonjour Paysan, bonjour Shen.

Puis le Comte Périgourdin, parrain de Milly qu'il salua à son tour.

Un interrogatoire? Mais tous les noms? Combien de temps aurais-je pour vérifier ma copie?


Il était déjà intimidé de se présenter à tous mais si il faisait une erreur dans les noms ensuite... Et la journée ne faisait que commencer. Si le marié avait prévu le cognac, il n'avait pas fini d'être stressé.

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