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[RP] La quête du Khan - Carnet de route d'Azharr.

Azharr
      - Les Prémices -



    Anjou.

L'occupation du château s'avère pénible. Aussi bien au niveau des Angevins independantistes qu'après du conseil Royaliste.
Commence alors à germer l'idée de partir loin, très loin.
Le besoin d'être ailleurs se fait sentir, comme une dernière chance, la recherche d'un nouveau souffle.
Lorsque tout n'est plus que déception, il convient de se retirer.
La rumeur Roumaine surgit. Mais dans un premier temps...Tenir l'Anjou.



    Poitou-Limousin.

L'occupation Royaliste explose aux élections nouvelles.
Le repli en armée débute. Pour ma part, cela sera vers le Poitou, province traversée sans histoire en compagnie de Zulma et Lerac.
Le Limousin est accueillant et ouvert au commerce. Je m'y attarde, presque séduit.
Un quiproquo finit par survenir avec la nouvelle Comtesse, m'obligeant à quitter le Limousin, à regret, mais motivé par une perspective, vers le Béarn. Un oeuf de 100 ans.



    Périgord.

Accueil agréable, mais stagnation, puis désastreux lors de l’élection du nouveau conseil.
La princesse Leyah me rejoint.
Il est difficile de ne pas céder au ressentiment face au comportement de ce Duché.
L'oeuf de 100 ans était une fausse piste, insuffisant. Il me parvient l'information qu'il faut à présent trouver un œuf de 1000 ans, encore plus rare.
Pour apaiser la crise Périgourdine, je finis par détruire mon armée "Sic Transit Gloria Mundi".
Cette descente vers le sud est un échec, mais ce n'est que partie remise, avant que cette armée ne resurgisse de terre...



    Bourgogne.

4 camarades du groupe des "Anges" nous ont rejoint sur la route. Je ressens une certaine émotion en revoyant mon duché natal.
Las, les ennuis se poursuivent. La Bourgogne, repliée sur elle même en fermant ses frontières, lance des procès aveugles.
Les échange avec le pouvoir sont glaçants. Nouvelle désillusion, qui ne fait que conforter notre pugnacité.
Je garde la Bourgogne dans un coin de ma mémoire. Aux cotés de beaucoup d'autres.

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Azharr
      - La Mise en Place -



    Genève. J-0
Cette fois, nous y sommes ! Une république libre comme point de départ d'une quête folle.
Nous pouvons enfin nous y reposer en paix et constituer l'équipe.
Seules ombres au tableau : l’œuf de 1000 ans se fait désirer, et des troubles sur la Capitale Fribourgeoise pourraient bien nous retarder. Saloperie de Fatum !

De renforts en défections, nous sommes tant bien que mal de plus en plus nombreux.
La "Sic Transit Gloria Mundi" revoit le jour et attend sagement son heure tandis que les lances de Satyne partent en éclaireurs.
Tout au sud, un "Ange" trouve un oeuf de 1000 ans !
La lance d'Agreste accomplit le voyage depuis Genève afin de le ramener jusqu'à nous.
Praséodyme dédie quelque vers à son exploit, qu'il convient de laisser à la postérité :


Citation:
La Geste d'Agreste

Ah, tant précieux fut nostre Agreste
Qui s'en fut au Sud de la France
En teste de sa chaude lance
Sans crainte de la malepeste.

D'un oeuf de mille ans fit la queste
Avant qu'Azharr perde patiance
Le trajet fit tenante séance
Sans crainte des éthylotestes.


Zarathoustra, chancelier déchu, nous accorde son soutien tandis que le conseil Helvète illégitime, tenu par Skarry, nous offre l'agrément en échange de notre neutralité dans le conflit Helvète.
Nous acceptons, dans le souci de ne point nous détourner de notre objectif initial.
Et sommes donc fin prêts à partir. Tadam.

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Azharr
      - Sur la Route -

    Confédération Helvétique


  • Jour 1 - 30 Septembre 1465.

Nous pouvons enfin l’affirmer, Genève est derrière nous !
Finalement, nous avons au moins réussi à partir avant qu’Octobre ne débute. Mais de peu.
Esposito, notre quêteur aguerri reste sur la touche. Il s’est trop chargé et n’est donc pas parvenu à nous emboiter le pas.
Il nous rejoindra plus loin, par le truchement d’autres retardataires.
Une première journée de voyage calme, sans événement notable, le long du lac Léman et avec une vue imprenable sur les Alpes.



  • Jour 2 – 1er Octobre 1465

Nous approchons de Fribourg…Et sur le chemin, nous perdons Leyah. Une ancienne Reine de France aux pieds nus, j’aurais dû me méfier, c’était fatalement source de problèmes ! Sgrogneugneu.
Ses amis Bretons ont visiblement oublié de la surveiller. Bravo, aaah bravo !
Malgré tout, nous poursuivons notre route au travers de cette zone de grands lacs.



  • Jour 3 – 2 Octobre 1465

Ce jour, nous passons la Capitale Helvète. Regards en biais échangés avec l’armée Fatum qui tient les lieux. Une hostilité latente est perceptible, mais la journée se déroule comme prévu. Pas de heurts, pas d’échange d’arme.. Pour cette fois, la neutralité sera de mise.
Nous poursuivons notre route au travers la Campagne.
A part ce fait notable, la journée est et mon humeur sont exécrables.
Au petit matin, c’est Eurus qui à son tour manque à l’appel. Je peine à obtenir un signe de vie de sa part.
Et décidément ! Guiyom m’informe en soirée qu’il observe des désertions au sein de sa lance.
Zilofus, Lucus et Carla.. quittent l’armée, sans un mot.
Seule Carla –et c’est tout à son honneur- répond à mon courrier et m’informe des raisons de leur départ.

Pour couronner le tout, un invité surprise et indésirable fait son apparition, un invité à même d’abattre les plus puissantes armées, de les éroder à petit feu jusqu’à annihilation complète, j’ai nommé : la maladie.
Xentrail m’informe le premier de son état dégradé.



  • Jour 4 – 3 Octobre 1465

Un tour de l’armée permettra de faire état d’un bilan de trois malades.
Mais de nouveaux cas ne tarderont pas à se révéler. La contagion dans la promiscuité peut s’avérer dévastatrice.
Nous ne disposons pas de lotions/potions/herbes appropriées pour lutter efficacement.
Un nouvel ennemi pointe le bout de son nez, alors que nous sommes toujours en pleine nature : l’ennui.
Nous n’avons pas réussi à allumer de feu cette nuit (pas de feu de camp) et cela se ressent sur l’humeur générale, que nous pourrions qualifier de maussade.
Malgré ces péripéties peu reluisantes, je n’oublie pas d’écrire à la maire de Solothurn pour prévenir de notre passage afin de ne pas provoquer d’esclandres avec l’armée en place.

Leyah joue à l’Esprit des forets, nous l’apercevons brièvement entre les sapins, avant qu’elle ne disparaisse à nouveau. Petit ange parti trop tôt.



  • Jour 5 – 4 Octobre 1465

Pour tenter de soulager les malades et leur permettre de se remplumer nous réalisons depuis les stocks de l’armée une première distribution de sacs de maïs, reputé plus digeste que le pain rassis que nous transportons.
Nous verrons si cela porte ses fruits.
Solothurn est franchie, son armée aussi, et l’agrément Helvète nous est octroyé !
Tous les ingrédients pour notre succès sont maintenant réunis.
Voyons voir plus loin !



  • Jour 6 – 5 Octobre 1465

Nous dépassons Luzern, sans pour autant nous y arrêter. Nous ne profiterons pas encore cette fois-ci du confort d’une ville.
Une décision qui surprend mes camarades, car celle-ci n’avait pas été initialement prévue.
La grogne monte, mais bientôt, nous reverrons la civilisation…Dans une autre langue que la nôtre.

La distribution de maïs a eu une efficacité mitigée. Certains ont réussi à le manger, Amedee, lui, a tout revomi dans la foulée, quel gâchis !
Son état est de plus en plus critique, nous craignons que ses jours ne soient comptés sans soin.



  • Jour 7 – 6 Octobre 1465

Nous avons effectué peu de route du 6 au 7. Il faut croire que cela a été profitable car…Amedee semble revivre ! Comme quoi, les miracles existent.
Il faudra cependant vérifier que l’embellie se confirme et qu’il ne s’agit pas simplement du « mieux avant la fin »
Nous approchons des frontières Allemandes…
Empire, nous voici.

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Azharr
      - Sur la Route -

    Comté d'Augsburg


  • Jour 8 - 7 Octobre 1465. Schaffenhausen.

C'est ce qu'on appelle une arrivée discrète. Nous foulons le sol impérial d'un pas decomplexé et pachydermique.
Les cors d'alarme retentissent. Les courriers fusent.
Des premiers échanges avec la province et la Reine de Germanie voient le jour.
Vous savez quoi ? Ils ne sont pas contents.
Ils nour prêtent des intentions hostiles ! Mais c'est faux ! Un mensonge infâme ! Ils mentent, ils mentent en Allemand !
Le comté est un couloir, un chemin unique avec la capitale en ligne de mire, Augsburg elle même. La course contre la montre s'engage. Réussir à passer, avant que la mobilisation ne soit trop forte.



  • Jour 9 - 8 Octobre 1465. Konstanz.

Oh le joli lac ! Quel dommage que nous n'ayons pas le temps de faire du tourisme.
Nous bénéficions d'informations sur la ville suivante, Ravensburg.
La première armée Allemande se situe juste devant. Mais elle semble loin d'être prête à faire face.
Nous poursuivons donc. Sans intention belliqueuse, mais prêts à nous défendre, tandis que la Reine nous enjoint de démanteler l'armée ou de faire demi-tour.
Nous apprenons que les quêteurs déjà présents à Snagov, réunis dans l'armée de Labienus ont échoués à vaincre le Khan. Certes, Lephil lui a porté un sérieux coup sur la caboche mais...Ils revivent toujours avec une facilité déconcertante. J'espère que nous aurons le privilège de percer ce mystère.
Quoi qu'il en soit, après deux jours de combats, les quêteurs sont décimés, ils sont une poignée à ne pas avoir été blessé.
Nulle intention de faire du mauvais esprit, mais cela est plutôt à notre avantage, nous permettant de ne plus être si pressés par le temps, pour arriver au terme de notre voyage.
Quoi qu'il en soit, il faudra réunir une sacrée force pour espérer vaincre le Khan...



  • Jour 10 - 9 Octobre 1465. Ravensburg.

Nous sommes au coude à coude avec l'armée "Augsburgs Schwertspitze" de Luthiandis dans une sorte de round d'observation silencieuse.
Le combat n'a pas eu lieu. Il aurait très mal tourné pour nos amis Allemands. Et nous n'aurions plus eu aucun espoir de négociation par la suite.
Alors, nous poursuivons ! En épargnant ainsi l'armée de Luthiandis, nous prenons le risque d'être encerclés par la suite. Mais peut être que la Reine sera sensible à ce geste, comme preuve de notre attitude pacifique.



  • Jour 11 - 10 Octobre 1465. Memmingen.

Nous parvenons à la dernière ville avant la capitale. Nous n'avons pas encore de renseignements sur la ville. C'est donc à l'aveugle qu'il faudra se lancer sur la route.
En prévision d'éventuels combat, que nous ne souhaitons pas, des armes sont distribuées aux dernières personnes encore mal équipées.
Je parviens également à récupérer Leyah dans l'armée. C'est une bonne chose. Pour une fois que c'est dans ce sens là ! Malheureusement, nous avons aussi perdu Bimba. Bouh.
Nous ne ferons pas mieux aujourd'hui. Voyons plus loin !



  • Jour 12 - 11 Octobre 1465.

Nous sommes à une demi journée d'Augsburg.
Mauvaise nouvelle : Nous avons perdu Nosilla Mac Dana.
Seconde mauvaise nouvelle et non des moindres : le passage semble fortement défendu. Une confrontation ne tournerait pas forcément à notre désavantage, mais se solderait par un bain de sang. Nous ne pouvions nous permettre d'amoindrir nos forces si tôt dans le voyage.
Comment espérer vaincre le Khan avec une armée d'éclopés ?
Jugeant que le comité d'accueil devant Augsburg, composé de deux armées n'était certainement pas là pour un échange interculturel, nous faisons demi tour, le cœur lourd et l'esprit troublé par cette impasse qui se dresse devant nous.



  • Jour 13,14,15,16,17 - 12,13,14,15,16 Octobre 1465. Memmingen.

Memmingen, le retour. Et cela n'est pas pour nous plaire. Deux autres membres de l'armée ont été perdus sur la route. La faute à une distribution de victuailles trop généreuses. Ils ont du s'empiffrer et rouler dans le bas fossé.
Nous nous creusons toute la journée à trouver des solutions de toute sorte. Ingénieuses, revanchardes, résignées...Mais finalement, le miracle survient de lui même. La Reine et l'Empereur acceptent de nous laisser passer sous conditions. Ils ont visiblement fini par être sensibles à nos arguments et notre désir d'éviter le combat.
Il faut donc reformer les groupes pour qu'ils voyagent séparement. L'armée ne sera plus constituée que de ma section de tête. S'il le faut...Nous obtempérerons..
Cette pause de plusieurs jours permet à la lance de Carensa de nous rejoindre, ainsi que Fernand. Les deux égarés trop chargés du tour précédent, Guiyom et Leo ont fait équipe et parviennent à revenir aussi.
Bimba et Nosilla nous attendent à Augsburg. Tandis que notre espionne de choc repart, toujours plus loin !
L'homme à l'apposition des mains miraculeuse, Portegas, décide de renoncer au voyage, il n'avait pas imaginé que celui-ci puisse durer plusieurs mois. Il rentre donc vers Genève.
A partir de maintenant, les départs de lance se font en différés. Certaines partent le 15, d'autre le 16 ou encore le 17. L'armée, quand à elle, part le 16.



  • Jour 18 - 17 Octobre 1465.

je continuerai à écrire du point de vue spatio-temporel de l'armée malgré le fait que nous n'y sommes plus guère nombreux. Vivement la réunification !
Toutes les modalités de la traversée ont normalement été posé. Nous sommes à nouveau à une demi journée d'Augsburg...
Parviendrons nous à franchir sans heurts cet obstacle ?

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Azharr
      - Sur la Route -

    Duché de Bavière


  • Jour 19 – 18 Octobre 1465

Augsburg est derrière nous, et nous entrons dans un nouveau territoire.
Notre armée ne comporte plus que très peu de membres, tandis que les autres groupes voyagent par ordre dispersés. Dommage.
Se sentir ainsi à nu en terre inconnue est un sentiment assez désagréable.
Nous savions que ce voyage serait plein d’imprévus. Je ne pensais pas que nous allions nous retrouver si vite dans une telle situation, contraints à la concession.
Cela permet cependant de donner plus d’autonomie aux chefs de lance, chargés de gérer leur route et leurs retardataires…et créer ainsi davantage de contact direct au sein de chaque lance.
Les membres hors armée pourraient également amasser quelques écus supplémentaires sur le chemin.
Le point de rendez-vous est fixé pour l’heure à Marburg an den Drau dans le Duché de Styrie.
Cette décision fait l’objet de vives discussions.
Afin d’atteindre la Serbie, nous avions le choix entre le passage par l’Autriche-Hongrie, légèrement plus court, mais estimé plus risqué, et le passage par le Duché de Styrie/Croatie permettant probablement une approche plus discrète vers la capitale Serbe.
C’est donc cette deuxième option qui fut retenue.



  • Jour 20 – 19 Octobre 1465. Ingolstadt

Le Danube. Ce fleuve d’une longueur tout à fait hors norme, à côté duquel tous nos cours d’eau ne peuvent soutenir la comparaison. Il est tout à fait remarquable de songer qu’à l’autre bout se trouve la Roumanie.
Qu’il suffirait de se laisser glisser sur les flots, afin de parvenir au bout.
Je nourrissais d’ailleurs une petite appréhension à ce niveau puisque la Reine espérait voir notre armée embarquer à Ingolstadt pour naviguer jusqu’à la capitale Croate.
Cela aurait été une option intéressante…Et nous y avons songé dès le début…Mais pas comme ça.
Il aurait fallu aller jusqu’au bout, avec un bateau à nous, pour ne pas être tributaire d’un capitaine étranger aux ordres de la Reine, malgré la compréhension dont elle fit preuve à notre égard.
Et puis, il existe toujours le risque d’attaque, d’accident, de naufrage. Et de pertes, corps et bien.
Et l’œuf, l’œuf de 1000 ans si durement acquis…disparaitrait à jamais, englouti par le beau Danube Bleu.
Cependant, l’option ne devient pas obligation, et nous poursuivons notre route par la terre.



  • Jour 21,22,23,24 – 19,20,21,22 Octobre 1465. De Ingolstadt à Passau

Nous longeons tranquillement le fleuve. Cette portion du voyage se déroule sans événement notable. Les charmants villages de Regensburg, Deggendorf et Passau sont traversés.
Et demain, nous mettrons le pied en Autriche. Notre éclaireur nous informe qu’une forte troupe est amassée à la frontière.
Simple mesure de précaution ? Démonstration de force dissuasive ? Désir manifeste de nous annihiler ?
Mais en fait, l’Autriche…Cela fait-il toujours parti du Royaume Germanique ?
Nous abordons donc l’Autriche peu rassurés et sans grande confiance.
Advienne que pourra.

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Azharr
      - Sur la Route -

    Duché d’Autriche


  • Jour 25 – 23 Octobre 1465. Linz

Il est parfois à se demander si je ne suis pas un peu trop méfiant. L’Autriche nous laisse passer sans le moindre souci.
Nous avons des échos de troubles plus loin. La Serbie aurait envahi la Bosnie avec 4 armées. Zenica, leur capitale, est tombée il y'a quelques jours.
Dans quel marasme allons-nous nous fourrer…Je crois qu’il faudra se faire petit.
Malgré tout, je reste sur mon choix premier, celui de passer par le sud puis l’est, plutôt que par l’est et le sud, même si cela implique de longer la Bosnie par la Croatie.
Linz sera donc la seule ville Autrichienne que nous aurons le plaisir de contempler. Tant pis pour vienne, beaucoup seront déçus. Au retour peut être ? Si retour il y’a…



  • Jour 26 – 24 Octobre 1465.

Une route. Tout ce qu’il y’a de plus basique. Et qui va vers Rottenmann, du duché de Styrie.
N’insistez pas, je n’aurais rien de plus à vous dire à propos de cet endroit.

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