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[RP] Battant pavé, battant briquet.

Gerfaut
Plus tôt, dans une taverne au nom imprononçable :
« Vous seriez d'humeur à une marche, après ? » , avait-il demandé.
« Sûr. » , avait-elle répondu, en opinant simplement.

Puis la discussion s’était orientée vers d’autres sujets. L’après était venu tardivement, puisqu’il avait fallu débattre d’une dénomination mystérieuse, des roux, rencontrer une Altesse royale de 10 ans, et une autre créature à particule d’environ le même âge. Ces deux derniers arguments les avaient menés à prendre la tangente vers le Blaireau. Là, elle avait récupéré sa pipe, et lui s’était préparé une infusion chaude pour se remettre de tant d’improbabilité en accueillant ses développements sur les pourquoi des comment elle avait connu la mère de la petite Altesse. Mais il n’avait pas eu le temps de profiter de son infusion. Une pénurie de bourre à pipe les rejeta finalement à l’idée première d’une marche.

Ça tiendrait au moins jusqu’à l’une des planques que la danoise devait entretenir dans Limoges ou alentours. Ça ne tiendrait peut-être pas plus loin que l’une de ces planques. Ils ont déjà remonté la moitié de la rue du blaireau.


Astana, je ne suis pas bon à ce qui va suivre ; alors, …

Alors, il chasse la fin de sa phrase d’un geste, tout en prenant une inspiration.

… j’ai cette tracasserie en tête. Vous n’êtes pas obligée d’y répondre maintenant, vous avez déjà vos soucis, les miens ne doivent venir qu’après. Simplement, je vous expose la chose maintenant, et le temps que vous m’en libériez, je suis un grand garçon et je saurai faire avec.

La dernière fois que nous nous sommes parlé, c’était deux jours avant mon départ pour l’océan. Vous vous êtes irritée que je vous mette devant le fait accompli, alors qu’il n’y avait justement rien d’accompli encore, puisque je venais m’assurer que cela ne dérangerait pas et que j’aurais sinon remis mon projet. Je n’avais pas compris votre réaction d’alors, et je ne la comprends toujours pas aujourd’hui.

Pas plus que je ne comprends aujourd’hui votre absence de réaction. Vous m'écriviez que je ne pouvais pas savoir. C'est vrai. Mais ce n’est pas une excuse. Je suis censé être au bon endroit au moment où vous avez besoin de moi, et je n’y étais pas. N’est-ce pas tout ce qu’il y a à savoir ?

Alors, je suis confus. Pourquoi m’avoir blâmé d’un projet d’océan – qui dans l'idée première, n’aurait du prendre que la journée, parti au matin, revenu au soir – , et pourquoi ne pas me tenir rigueur de vous avoir failli ces deux dernières semaines.

Mais ce n’est pas tout.


Il y a une pause à peine plus longue qu’une simple prise de souffle.
Tout ce que je viens de dire ne doit pas vous laisser croire que je n’ai pour vous que les considérations des devoirs d’un homme de main à… – micro-temps pendant laquelle on le devine cherchant le bon terme – … la personne à qui il doit rendre compte. J’ai le souci de vos poumons, de vos choix de garde-robe, de vous en général, dont ce qui m’échappe encore.

On peut le voir froncer la bouche et plisser les yeux. Quelque chose comme de la moquerie ou de la dérision passe en ombre sur son faciès.
Mmh. C’est un brin plus sentencieux que ce que je voulais ; je ne suis vraiment pas bon à ça... Et, merci de ne pas m’avoir interrompu.
Astana
Dès le départ, Sørensen avait senti l'embrouille venir. La demande lui avait fait le même effet qu'un « faut qu'on cause, mignonne » vu et revu. À ceci près qu'elle avait cessé - donc - d'être une mignonne depuis des longes, et que la blonde ne s'était pas défilée pour un sou. Sûr qu'on pourra marcher et causer autant que tu voudras, va. Elle aurait presque pu hausser une épaule pour appuyer plus encore sa résignation si on ne lui avait pas foutu un verre de vin sous le nez. À la mi-rue, la besace épaulée à droite plutôt qu'à gauche, on surprend un discret croissant aux lèvres d'Astana. Inutile d'avoir inventé l'eau chaude pour comprendre que la déclaration est à l'origine de la réaction.

- « La réponse est simple. À dire vrai, je la pensais évidente. »

Oh, vraiment ? Arrête ton char. Exception faite d'aujourd'hui, t'es pas ce qu'on appelle un livre ouvert, Sa Blondeur.

- « Je vous ai blâmé pour votre départ parce que vous me laissiez seule avec deux amoureux transis dont un tendron noir en cloque et une panique à bord à gérer. Sans personne sur qui m'appuyer. »

Une main passe sur le faciès, comme pour en effacer la fatigue visible.


- « Depuis le front, et plus encore depuis qu'on l'a quitté, vous êtes un peu comme... un... une... grosse ? Grosse pierre. Soupir. À laquelle je m'accroche. »

Aucune paire d'yeux n'est obliquée vers l'homme de main. À la place, Astana cherche à ficher les mains dans des poches qu'elle n'a plus. Maudite robe, foutu manteau absent. C'est que ça prend vachement de place, des mains, quand tu sais pas quoi en foutre. Allons brasser de l'air alors, et de balayer l'aveu d'un signe de main pressé.

- « Ça m'a lourdée. Alors j'ai ruminé après vous quelques jours, et c'est passé. Notamment parce que la situation n'était pas aussi insurmontable que prévu. Alors, quand est arrivé ce que vous savez, j'allais pas vous en vouloir à nouveau de pas être là sachant que j'avais admis que c'était une connerie. D'autant que je me suis cloîtrée sans plus d'explications aux autres, et que vous n'auriez rien pu faire de plus. Hormis ramasser mes cadavres de boutanches, et vous étonner de voir que je trimbale toujours une robe pour les mauvais jours ou les paris foireux. Ce dont vous vous seriez, je pense, volontiers passé. Vous me connaissez venteuse et cassante, Gerfaut, mais j'ai le mérite de garder en tête que vous avez votre liberté. »

La danoise finit par désigner de l'index une ruelle à leur gauche, dans laquelle ils s'engouffrent dans un silence relatif. Gêné en tout cas pour la blonde qui n'a pas franchement la fibre pour ces choses-là non plus. Une rue encore et l'appartement contenant des herbes sera à portée, sans que l'envie d'y pénétrer soit là pour autant. S'il est possible de pousser jusqu'au domaine familial, il y a fort à parier qu'elle le fera.
Gerfaut
Ils marchent presque de concert. Gerfaut concède à la blonde cette minuscule avance lui permettant de mener sans avoir l’impression d’être suivie.

C’est trop idiot… Je ne comptais même pas y passer plus de la journée, vous savez. Mais après votre réaction, j’ai mis deux jours à me décider à partir. Et une fois sur place, je n’en profitais même pas. Alors, je me suis dit, pourquoi ne pas longer la côte un ou deux jours de plus, le temps que ça passe ?… et ce n’est pas vraiment passé. Ça s’est juste remplacé par le mal de mer, après m’être embarqué en plaisance sur la coquille d’un pêcheur ; puis par le mal de l’eau de mer, après que le même pêcheur m’ait fait avaler une goulée d’océan sur la soi-disant vertu que ça aurait de calmer les effets secondaires du roulis. Il ne faut pas croire les pêcheurs qui vous ont l’air de braves types ; cette lueur dans les yeux, ce n’est pas de la sagesse de vieux marin, c’est qu’il se paye votre figure. Et je vous assure, quand on n’a connu que les champs de son patelin berrichon, c’est loin d’être évident que l’eau de mer de se boit pas.

Il se racle la gorge alors que la rue s’achève et qu’ils bifurquent à un croisement.

Bref. Revoyez vos certitudes sur mon manque de connerie. J’en suis capable autant que… Hésitation, il relève les yeux du pavé vers l’horizon de la rue. J’en suis capable, voilà tout. Pas que pour avoir bu de l’eau de mer. Ça vous fait un beau caillou, cette affaire.

Ces derniers mots comme d’autres diraient que tiens le vent se lève, l’air fraîchit et c’est vrai que l’automne arrive. Ça lui donne des airs de flâner, et s’il perçoit le discret ralentissement d’Astana, il n’en montre aucun signe. Lui-même ne décélère pas en deçà d’un certain seuil, cependant. Si bien que la minuscule avance concédée à la blonde, c’est lui qui la récupère. Au moins sur la distance d’une dizaine de façades, mais guère plus, avant qu’elle ne reprenne progressivement l’allure et la direction.

Il se tourne sur trois pas, vers les façades qu’ils viennent de passer, reporte son regard sur la blonde, et finalement au-devant de la prochaine intersection.


Votre amie Tigist. Comment prend-elle sa grossesse ?
Astana
Sûrement a-t-il remarqué que le pied à terre est dans leur dos depuis quelques façades maintenant. C'est à peine si la mercenaire s'est fendue d'un coup d'oeil à l'habitation sise au premier étage du bâtiment. La clef avait été remise à Gerfaut à leur rencontre, et jamais Astana ne s'était enquise de savoir s'il en avait pris possession ou non. À l'époque, il n'était encore perçu que comme un boulet accroché à sa cheville, auquel elle s'était opposée sans grand succès auprès du borgne. Et Sørensen, déjà roide par habitude, l'avait été plus encore en érigeant des barrières invisibles. Jusqu'à ce qu'il finisse par les grignoter à son insu, et qu'elle se réveille un matin pour constater qu'en réalité, elle affectionnait le personnage. Et Dieu sait pourtant que les d'Assay pratiquent l'affect et l'amabilité plus que sélectifs.

Comme il est légèrement en retrait, elle jette un coup d'oeil par-dessus son épaule.


- « Tigist réagit... comme une enfant paumée. »

Pause. Et ça secoue la tête.

- « Non mais... Vous savez ce qu'elle m'a dit en premier, lorsque je lui ai demandé ce qu'elle comptait faire ? Je ne sais pas, IL a besoin d'un fils. »

En accentuant le « Il », elle a marqué l'arrêt pour se tourner d'un quart vers lui. Sur le faciès pâle on peut lire tout le désarroi, le dépit que la déclaration ont provoqué chez elle, et qu'ils provoquent toujours. Et parce qu'Astana a trouvé aberrant que Tigist pense d'abord à l'italien plutôt qu'à sa propre pomme, trop aveuglée pour songer à sa santé, elle grimace large. Le sujet a teinté ses joues d'un rouge discret tout en les lui échaudant. La marche pour seul remède à l'énervement, les talons battent le pavé à nouveau. Rapide dans les premiers instants, la cadence finit par ralentir pour revenir à une vitesse de croisière raisonnable. Et de sauter du coq à l'âne :

- « Je pense que vous avez un potentiel de connerie encore inexploré. Mais si boire de l'eau de mer est la pire chose que vous ayez faite, je me vois dans l'obligation de demander : est-ce qu'il vous arrive parfois de lâcher la bride ? »
Gerfaut
Le petit emport de la danoise au sujet de sa jeune amie le laisse silencieux. Un silence attentif. L’enchaînement sans logique en revanche, fait poindre un bourgeon naissant de sourire à son visage ; à moins que ce ne soit le reliquat du souvenir d’un sourire.

Mmh.

Ça lui prend encore quelques secondes de réflexion avant de compléter sa laconique onomatopée :

Oui.

Et de la regarder posément, avec en demi-teinte, cette expression qui est ce qu’on lui a vu de mieux ressembler à un sourire. A l’instant même où l’on pourrait croire qu’il y resterait, celui où l’on pourrait s’en exaspérer, la demi-teinte s’éteint tout à fait. Devançant un éventuel rebond irrité, ou peut-être seulement un trop long silence, il ajoute en direction du croisement suivant :

Mais, j’ai perdu la main en gagnant de l’âge, sans guère de regrets. Et puis, ça ne devrait être d’aucun intérêt pour vous, puisque… puisque, prenons les choses dans l’autre sens, pourquoi est-ce que ça devrait l’être, au juste, d'intérêt pour vous.

Il a souvent cette façon, d'interroger sur un ton déclaratif. A nouveau, il la regarde.
Astana
Sans plus attendre, la danoise ralentit tout à fait l'allure pour marquer une halte à flanc d'homme de main. Le vilain haussement de sourcil équivoque ne vient qu'après, tandis qu'elle dévisage son profil. Cela n'a pas grand chose à voir avec l'éternel ton déclaratif duquel il se drape trop souvent. C'est cette furieuse manie qu'il a de retourner les questions à l'envoyeur. C'est urticant hein, Sa Blondeur ? Mais t'es de ceux-là aussi. Une vraie bande de petits rigolos, que vous êtes. Ne pouvant décemment pas râler sans risquer de se voir reprocher la même chose, Astana claque la menteuse contre son palais et reprend la route.

- « Ça a l'intérêt qu'on veut bien lui donner. J'en vois un. Si ce n'est plusieurs. Parce que le rire lie, notamment. »

La trentenaire appose la main contre sa nuque et la cicatrice qui y coure, plus franchement habituée à sentir l'air chatouiller l'endroit depuis qu'elle a retrouvé des cheveux. Mais tu vas pas passer tout le trajet avec une main dans la nuque, Sørensen, c'est tout à fait ridicule. Une épingle après l'autre, la danoise entreprend de défaire son chignon, mais voilà que le croisement arrive. Trop occupée à batailler avec une tige entremêlée entre ses tifs et surtout en plein dans l'angle mort, elle ne remarque pas l'homme qui se pointe en contresens et lui rentre dedans. La collision est brève, ce qui n'empêche pas d'y sacrifier du crin, l'épingle désormais libérée de sa niche dépigmentée, autant qu'elle rappe l'épaule gauche contre la façade.

- « Navré, ma Dame, mais vous êtes arrivée si vite... Je... », qu'il dit en lui fichant ses mains sur les épaules.
- « Il n'y a pas de mal, je ne regardais pas où j'allais. », en se dégageant de l'étreinte nullement consentante.

Il coule un regard vers Gerfaut comme pour s'excuser à nouveau, en revient à la mercenaire coincée dans sa robe, louche brièvement sur l'Ichtus pendu à son cou, murmure quelque prière et finit par prendre la tangente comme s'il avait vu le Malin. Ce qui a le mérite de faire se gondoler la blonde, qui n'en est pas à sa première rencontre de troisième type avec les superstitieux du coin. Au moins, ceux-là ne mettent pas le nez dans leurs affaires. L'épaule lésée une fois massée pour en chasser la douleur - lisible sur le faciès, mais sans mot pour en attester vraiment -, et débarrassée des quelques tifs restés entre ses doigts, elle rompt le peu de distance la séparant encore de son bras droit. Et comme s'il ne s'était strictement rien passé, demande :

- « Saviez que j'ai été chauve ? »
Gerfaut
Tout à l’observer dans son manège de coiffure, il n’a pas non plus anticipé le choc. Sa seule réaction visible est de reculer, invitant d’un geste le badaud à en faire autant. Geste qui n’a pas été remarqué cependant ; puisque le passant confus cherche obligeamment à défroisser la femme de leur collision. Il en est bien remercié, pendant que Gerfaut s’est détourné à trois pas de là et qu’elle se remet elle-même en train. Et tandis que l’inconnu s’esquive tout refroidi, il plie un genou au sol, ramasse quelque chose, et se redresse.

Beaucoup de monde peut se vanter d’avoir eu des poux. Même si peu le font.

Dans un pli de son revers de manche, il essuie l’épingle tombée au sol durant la brusque rencontre, puis la tend à sa voisine. Il est toujours immobile, mais quelque chose est en mouvement dans son esprit, car ce n’est qu’à moitié y pensant qu’il poursuit, les yeux posés sur la tige.

Aussi, j’imagine qu’il y a autre chose derrière : un encore plus mauvais jour, ou un pari encore plus foireux, peut-être… Et tout à fait présent, soudain. Vous devriez finir de vous décoiffer avant de poursuivre, cela évitera d’autres maladresses.

Il se tourne alors de trois quarts dos à la blonde, distrait par, au jugé de la hauteur de son regard, la couleur des tuiles ou un jeu de lumière dans une vitre.
Astana
- « Bien mon Sieur. Tout de suite, mon Sieur. »

Qu'elle ironise en enlevant une énième tige de l'amas de cheveux, sans se mouvoir outre mesure. Il n'en reste presque plus, les dernières sont les plus difficiles à attraper dans le bazar ambiant qu'est devenu la caboche de la blonde. Et toute à son œuvre, la danoise rajoute :


- « J'ai pris un méchant coup sur le crâne, une fois. À mon réveil, il me manquait déjà beaucoup de tifs. Je me suis contenté de finir le travail. »


Haussement d'épaules. Elle souffle une mèche venue lui brouiller la vue.


- « C'était pas une partie de plaisir, au début. Mais ça l'est devenu à partir du moment où des inconnus m'ont prise pour un jeune homme. Après ça, j'ai eu droit à tous les surnoms possibles. « Petit page » était le plus courant. »

Gerfaut, éternellement de trois quart, ne voit pas le sourire qui s'est pointé sur le pâle faciès. Peut-être l'a-t-il seulement deviné à ses dernières intonations. C'était une drôle d'époque. Affreuse, aussi. Au moins autant que la gueule d'Astana, chauve et maigre à faire fuir le jour, toute noueuse de muscles. Petit page... Té. Pour sûr que t'as rien de petit, Sa Blondeur, mais c'était pour le côté imberbe et pommettes saillantes de l'adolescent qu'on croise à tous les coins de rue. C'était l'ironie de la chose. Le « petit page » leur en aura fait voir de belles au tournoi de Bouillon, tout de fer vêtu le jour, et drapé de noir la nuit venue.

La dernière tige tombée, et un semblant de dignité - foireux - redonné à la tignasse, Sørensen fait face au dos qui lui est présenté. Et la voilà qui s'adresse au carreau d'en face d'un air goguenard, dans lequel transparaît le reflet de son homme de main.


- « Vous avez fini de vous admirer le profil ? »
Gerfaut
J’ai surtout fini de ne pas voir le vôtre. Si vous avez fini avec vos...

Il s’est retourné, et se tait sur le constat de son faisceau de paille fine libéré. Il acquiesce. Elle a bien fini. Alors ils peuvent reprendre leur route.

« Petit page » est encore sortable. Je ne vous connaissais que « Tanouille », qui l’est bien moins. C’est l’une des deux choses pour lesquelles je me souviens de votre amie rousse, d’ailleurs. Ça, et le fait que ce soit par elle que j’ai incidemment appris que vous étiez mère ; parce que ce n'est pas le trait que vous mettez le plus en avant.

Votre histoire de « Petit page » participe à cette impression que vous ne vous arrêtez jamais de prendre des coups de toutes sortes, depuis longtemps déjà. Depuis que je vous connais, entre le front, le secours au tendron défleuri, les robes, vous trouvez encore moyen de vous battre contre vos poumons, contre vos cheveux, et même de rentrer dans le lard du passant.

D’une autre façon, vous devriez vous aussi envisager de lâcher la bride. Si le prochain terme n’induit pas de quitter Limoges, éventuellement revenir à des choses simples, comme la gestion courante de vos affaires et le temps en famille.


Ce discutant, ils arrivent en lisière de ville.

Si vous voulez, vous me confierez une part de vos herbes lorsque nous serons arrivés. J'en réapprovisionnerai le Blaireau sur mon chemin retour.
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