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[RP] La bataille de Lourdes

Feignant
Ceci est un RP de bataille. La bataille décrite est celle s'étant déroulée IG dans la nuit de mercredi à jeudi entre les armées "Lous Aguiles de Abidos" et "Vae Victis" au environ de Lourdes.

Des pertes ont été occasionnées dans les deux camps mais aucune des deux armées n'a obtenu suffisamment l'avantage pour mettre l'autre en déroute ni même l'anéantir.

Pour mieux distinguer les deux parties belligérantes, je propose un code de couleur (et/ou bannière mais je sais pas si Vae Victis en a). Pour l'armée "Lous Aguiles de Abidos", ça sera le rouge. Merci de respecter ça pour plus de lisibilité

Si vous avez blessé gravement quelqu'un, merci de respecter le choix du joueur (on ne lui tranche pas de membre, ni ne le tue sans son accord ^^).
Dialoguez par mp pour organiser tout ça, mais surtout ne décidez pas pour l'autre. Ces règles de bon-sens sont applicables pour tous les RP de toute façon.

Le but est de s'amuser tout en respectant les choix des joueurs qui ont participé à cette bataille.

Bon RP

Pour ma part... bah j'ai fais le touriste, j'ai tapé personne
Citation:
06-08-2009 04:10 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Vae Victis" dirigée par Madg.


[ Environ de Lourdes, Jeudi 6 aout de l'année 1457. ]



Bannières au vent, le détachement de l'Ost Béarnais avançait vers le campement de Vae Victis. Les dernières sommations avaient été lancées, mais l'armée adverse n'avait pas déposé les armes.

Le Sénéchal Feignant et le Seigneur d'Abidos Faster marchaient en tête, au dos de leurs montures.
Les cavaliers des gardes personnelles des deux Seigneurs étaient juste derrière eux (Feignant étant également Seigneur de Navarrenx).

Venait ensuite les soldats de l'Ost, les Ours Béarnais, marchant avec détermination, suivant la bannière de l'Ost.

Feignant avait fait mettre les civils volontaires à l'arrière, car il préférait les utiliser en tant que réserve.
Néanmoins, certains étant d'anciens soldats ou des hommes et femmes d'armes, il avait accepté qu'ils rejoignent les troupes de soldats. On avait donné aux autres civils n'aillant pas de formation de combat la tâche de servir comme troupe d'archerie.

Mais quel que soit leur expérience du combat, leur métier, tous avaient la même détermination dans le combat qu'ils menaient.


L'armée avançait, et d'ici quelques dizaines de minutes, elle serait en vue du camp Vae Victis.

_________________
Si vis pacem, para bellum.

by Kirika
Madg
[Campement Vae Victis, l'heure a sonné]

L'alerte était donné, les hommes s'activaient pour préparer les catapultes, les archers étaient en place, la comtesse rejoignait la sortie du camp par derrière.

Quelle bande d'imbéciles, ainsi ils avaient osé lever leur armes en premier contre leur Frère! Qu'Aristote les pardonne.


Hommes et Femmes de Vae Victis
l'Ost béarnais et les Hauts représentants du Béarn ont décidé de nous attaquer
pendant que nous étions en train de discuter avec leur Comtesse
Vous êtes libre de suivre vos idées, votre coeur
vous voulez la vie sauve et l'amnestie de la comtesse
libre à vous de quitter nos rangs

Pour ma part, je reste fidèle à ce combat que j'estimais juste
ce sera épée en main que je me défendrais jusqu'à la mort
pour voir cette traitresse d'Eugénie retirer sa Couronne
Mais soyez certain qu'elle sera capable de vous trahir, une fois dehors de ce camp
Dès lors, je ne pourrais plus rien pour vous


Elle regardait chacun des hommes et des femmes qui étaient en face d'elle, quand une flêche passait par dessus la palissade. Le moment était venu.

Archers, tirez!
projetez les blocs de pierre avec les catapultes!


Madg allait se procurer un flambeau auprès du feu, et c'était rapidement, qu'elle allait allumé l'huile déversé sur le sol afin d'encerclé...un peu, le campement Vae victis, et restreindre les entrées d'Abidos
Nairolf
[ Environ de Lourdes, Marche vers le campement Vae Victis, Jeudi 6 aout de l'année 1457. ]

Nairolf avait suivi ses supérieurs pour l'attaque du Camps des rebelles.
Il le faisait quand même un peu à contrecoeur, car il aurait préféré ne pas avoir à affronté d'autres Béarnais, mais ainsi va la vie.
Il était placé à l'extrême gauche du rang, pour maintenir les soldats et civils expérimentés de Lourdes, derrière les cavaliers des 2 seigneurs, et devant les archers civils.
L'ordre de marche avait été donné.
Le pas des soldats se fesait lourd, et quelques hommes curieux mais qui ne participaient pas regardaient du haut des remparts de Lourdes ce qui allait se passer.
Encore quelques centaines de mètres et des broutilles, et le camp de Vae Victis seraient en vue.
D'un coup, le Lieutenant vit quelques dizaines de flèches bondirent sur les rangs de l'armée fidèle à la Comtesse, et aussi quelques rocs.
Il leva son bouclier comme quelques autres, pour se protéger des flèches, mais ils savaient tous que si un roc tombait sur l'un d'eux, il n'aurait pas de grande chance de survie.
Son bouclier bien sur lui, il receptionna deux ou trois flèches qui ne l'atteignirent pas, et vit un roc passé juste à côté de lui, à gauche de l'armée. Le roc fut donc, heureusement, innofensif.
Les hommes continuèrent leur avance quand soudain, le campement ennemi s'entoura d'un mur de feu, un gigantesque brasier qui les protègaient mieux que n'importe quel mur.
A ce moment, l'armée s'arrêta, et attendit les ordres que les commandants donneraient.

_________________
Lieutenant de Lourdes
Artmeis
[ Environ de Lourdes, Marche vers le campement Vae Victis, Jeudi 6 aout de l'année 1457. ]

Cela faisait des jours qu'ils attendaient tous, espérant secrètement qu'un conflit armée n'aurait pas lieu. L'attente avait été longue et dure pour Artmeis, comme pour tous les autres, se disait-il. Les rumeurs le tailladaient comme des coups d'épée : attaque le soir même, négociations en cours, possible fin sans verser de sang... Et le voila, maintenant, son arme fermement maintenue dans une main, le bouclier bien accroché à l'autre, avançant pas à pas au milieu d'autres soldats. La sueur commençaient déjà à perler sur son front, y plaquant des mèches de sa chevelure brune. Le jeune soldat s'était imaginé de nombreuses fois ce qu'il ressentirait lorsqu'il serait entrain de marcher pour combattre. Il s'était vu claquer des dents, trembler de tous ses membres, refusant d'avancer vers une mort probable. Il s'était vu heureux. Heureux d'aller enfin en découdre, pour que tout cela cesse. Pour qu'une fois le quota de morts et blessés atteint, leurs dirigeants estiment qu'il est plus judicieux à présent de trouver une autre voie pour régler la question.

Ses voisins levèrent soudain leur bouclier. Sans trop réfléchir, Artmeis les imita. Il le plaça un peu devant lui, vers le ciel, comme pour se cacher à la vue bleue de celui-ci. Rien ne vint à la rencontre de son unique rempart, sur lequel reposait l'espoir tout entier de sa propre survie.

Le constat de son état lui parut alors très clairement. Aucune pointe de peur ne se trouvait en lui. Il n'était pas non plus content d'être ici. C'était son devoir en tant que soldat, et il allait le remplir. Une petite boule dans son ventre lançait des flux à travers tout son corps. Il voulait courir, bouger, se dépenser. Il se sentait très éveillé malgré les nombres nuits blanches qu'il venait de passer. Il était bien, il était chez lui, dans son domaine, celui des armes...

Artmeis sortit soudain de ses réflexions. Des flammes avaient surgie haut dans le ciel ce qui provoqua l'arrêt de l'armée. Comme ses voisins, le palois attendit les directives de ses supérieurs.

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Dotyy
[ Environ de Lourdes, Devant le campement Vae Victis, Jeudi 6 aout de l'année 1457. ]




Dotyy était la, avec tous les autres, en première ligne. Elle était devant sa section. Elle était pour les diriger et éviter qu'ils leur arrivent malheur.

Elle regardât droit devant elle, pas besoin qu'elle se retourne pour sentir la présence de tous ces hommes et toutes ces femmes venues pour défendre Béarn.

Elle avait rêvé de ca, elle l'avait vécu en rêve toutes les nuits depuis sont arrivé a Lourdes.

Elle voulut se retourner pour sourire a son amour quand elle vit des projectiles de différentes tailles surgir du camp adversaire.

Elle eu juste le temps de crier :

BOUCLIER !

Et de se protéger avec le siens quand elle sentit un gros choque s'abattre sur elle.

Elle avait fermé les yeux et les rouvrit. Elle vit son bouclier en miette et le lançât en colère.

C'est quoi ce truc encore, ca tien même pas.

Elle allait sortir son épée de son fourreau quand elle vit des flammes s'élever et entourer le camp adverse.

Elle se dit que l’idée n’était pas mauvaise pour se protéger. Mais que cela suffirais pas.
_________________
Acar
[Lourdes, mairie]

Depuis le haut toit, il pouvait voir ou entre-apercevoir et assurément cela ne lui fit point plaisir, le moment redouté arrivait, armes en avant, tous le bras levé...

En la mairie Lourdaise, il était le dernier défenseur des biens municipaux, espée trainait sur la tablée, attendant de servir s'il le fallait, car rien ne le laisserait se faire dépouiller ses coffres, malgré qu'ils étaient volontairement vides.

Alors, charge de l'ost se forma, dans le chaos des bruits environnants, arrivant jusqu'à ses oreilles...

Il dépêcha des pigeons, pour informer de la progression, puis un aussi pour son espousée, médicastre de son état, elle aurait bien a faire dans peu, nul doute...

Prière lui monta, car cette guerre allait faire payer un lourd tribut, chargée de remords, allant jusqu'à la haine pour certains, le Mal Sans Nom avait gagné...

En dehors, les cris arrivaient céans en la ville, semant la terreur chez les villageois, accourant vers leurs maisonnées pour les plus jeunes, les autres estait de la partie qui se jouait.

Lourdes... Chère ville à son cœur, martyrisée, faisant régner le sang plutôt que l'amour, il en avait goutte d'eau à l'œil.

Lourdes... Chère cité appréciée des visiteurs, à jamais marquée au fer rouge.

Il escoutilla les gens courir en la cité dans le brouhaha du tumulte, sachant qu'il tuerait tout ceux qui oseraient enfoncer la lourde porte en bois de la mairie, plutôt mourir que de laisser faire...

Néanmoins, des frères se combattant, des Béarnais tout autant que lui, ceci était une tragédie...

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Lamis
06-08-2009 04:10 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Vae Victis" dirigée par Madg.

[Lourdes]

La nuit avait été stressante comme toute les nuits de bataille. Matèu avait rejoint les forces Béarnaises dans la soirée après avoir longtemps discuté dans les tavernes Lourdaises.
Une fois chez lui il avait prit ses habits de batailles et son armure ainsi que son épée puis, en tant que sergent de Lourdes, s'était rendu en direction de l'armée loyaliste.

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Matèu de Mélian dict Lamis, Baron de Tallard et Seigneur de Pommier en Beaurepaire
Aimelin_
[Campement Vae Victis, l'heure a sonné]

La comtesse était en sécurité à l'abri, mais Aimelin n'en éprouvait aucune fierté, aucune satisfaction, il avait juste fait son devoir en la protégeant. Son armée, ses hommes avaient attaqué sans scrupules le campement de Vae Victis alors qu'elle même s'y trouvait et que les négociations pour la paix étaient en cours.

A croire que les deux hommes qui dirigeaient l'armée comtale ne souhaitaient pas la paix et se fichaient bien de tuer des béarnais, mais surtout se préoccupaient peu d'envoyer leurs soldats à l'abattoir.

Se dirigeant vers les cris qui s'élevaient au devant du camp, le jeune bearnais attrapa son bouclier devant sa tente, pour courir rejoindre Madg. Un regard entendu pour l'avertir qu'Ingénue était en sécurité et il se plaça non loin d'elle, en tête de sa section vers laquelle il se retourna.
Nul besoin de leur parler mais il était fier d'eux et priait pour qu'aucun ne soit blessé.

Quand il tourna la tête vers la droite, c'est le regard de Ptit qu'il croisa. Sa section était à coté de la sienne. Un regard qui disait de faire attention qu'ils avaient encore des chopes à descendre et des rendez vous avec Dance. Le sourire de son amie le fit repartir aux jours passés, pas si lointains que cela sur les chemins. Des rires, des confidences, des projets, de l'amitié à foison avec cette tendresse que seules ses vraies amies lui donnaient. Comme il aurait aimé repartir insouciant galoper sur les chemins. Pourquoi fallait il qu'à chaque fois qu'une folie soit faite il y saute dedans à pieds joints. Il est vrai aussi qu'à chaque fois il faisait tout pour arranger les choses.

Autour de lui les sourires fatigués avaient fait place à des grimaces, des visages qui n'avaient d'yeux que pour cette palissade qui ne les protègerait pas longtemps de leurs agresseurs. S'il venait à se trouver face à elle son choix était déjà fait. Il la laisserait frapper la première. Plutôt mourir que de lever son arme contre elle.

Le feu encerclait le campement pour en protéger l'acces mais l'attente ne serait guère longue à présent. Debout au devant de ses hommes, le regard fixé droit devant, il était prêt.

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mis à pied pour avoir cru en ses idéaux
Yohann65
|[Armée "Lous Aguiles de Abidos"]|

Il allait enfin y avoir de l'action. Il pensait depuis longtemps: "Les négociations ne servent jamais à rien dans les guerres", se remémore la Suisse et l'une de ces victimes du passé... L'épée permet de régler beaucoup, et il était temps de l'utiliser après les discours, propositions de paix et tout le tralala qu'il y avait eu. L'épée réglera ce conflit, pas des paroles.

A pied, derriere son sergent chef et amour, Dotyy , il suivait les ordres et avait avancé devant le camp de l'armée ennemi avec les autres soldats.
Léve son bouclier devant son visage, juste avant de ressentir une chaleur soudaine et brusque, une chaleur qui avait traversé son bouclier, telle une explosion.
Au bout de quelques secondes, il retira son bouclier pour voir: l'ennemi utilisait le feu pour se protéger. Il fixa aussi son amour, comme perdu dans sa beauté...

Puis il sortit, fort pour que ses compagnons d'armes l'entendent:


"L'ennemi est bon: avec ce feu qui éclaire tout à des centaines de pieds, nous verrons mieux sa défaite!"
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Faster83
[ [ Environ de Lourdes, Devant le campement Vae Victis, Jeudi 6 aout de l'année 1457. ]]

Ça y’est, cette fois, ils y étaient. Les généraux de Vae Victis n’avaient pas souhaité répondre favorablement à la dernière sommation envoyée par le viking.
Depuis une semaine, les négociations n’avaient menée à rien. Telle une épée de Damocles sur le Béarn, les félons restaient une menace tant qu’ils se décideraient à rester regroupé en armée. A présent, ils sont même prêts pour lever le camp et peuvent partir n’ importe où, n’importe quand.
Non, l’heure n’est plus à la discussion, mais à l’action.
Les deux chefs d’armée se rapprochent. Les archers se mettent en place. Au signal, ils bandent tous leur arc pour tirer une volée de flèches. Le bruit strident des pointes qui fendent l’air donne le signal de l’offensive. Pendant que les cavaliers se préparent, les archers relancent une deuxième volée.
C’est alors que ceux d’en face répliquent déjà en catapultant des petit rochers.
On comprend maintenant pourquoi les Vae Victis ont piller tout le vois disponible sur le marché de Lourdes.
Faster est surpris. Jamais il ne pensait que cette armée félonne disposerait d’armes lourdes.
Les soldats se dispersent. Fort heureusement, il n’y a plus de peur que de mal.
Soudain, un bruit de crépitement se fait entendre. Peu à peu, le ciel noir s’éclaircit. On se croirait presque comme au grand jour. Devant, à quelques centaine de pied de la, les ennemi ont embrasé leur palissade.
Les chevaux hennissent, commencent à s’agiter.
Faster tente de calmer Argento, mais celui-ci apeuré par les flammes le désarçonne et s’enfuit loin de la. Le cul dans la terre, le soldat en entendant un sifflement prés de lui, évite de justesse une flèche qui se plante juste à coté.
Heureusement pour lui qu’il n’a enfilé comme armure que la cote de maille. Malgré qu’il se relève difficilement, cela aurait put être bien pire, si il on lui aurait mis une cuirasse lourdes.
A cause de cettze palissade enflammée, la cavalerie ne peut plus avancer. Il ne reste plus qu’a continuer à pied et essayer de les contourner.



_________________
Yolaine
[Devant le campement Vae Victis]

L'assaut avait été lancé.
Yolaine se demandait encore comment on avait pu en arriver là.
Comment l'obstination aberrante de quelques fanatiques qui se moquaient bien du bien-être des béarnais, ne pensant contrairement à leurs dires qu'à leur petite vengeance personnelle, avait-elle pu entrainer tant de gens dans ce désastre ?
Des jours que l'économie tournait au ralenti. Les efforts soutenus du conseil et de la population avaient sorti le Comté de sa situation périlleuse, mais "Vae Victis" allait à coup sûr l'y replonger encore plus violemment si la situation perdurait...

Elle avait été incorporée dans l'unité du Bailli. Elle n'avait aucune expérience martiale, n'ayant acquis une arme que quelques jours auparavant, en toute hâte et se demandant toujours comment en faire usage.

Elle se retrouva entrainée dans une mêlée indescriptible. Elle apercevait des amis lourdais partout, combattant les uns contre les autres. Le monde semblait marcher sur la tête. Elle-même esquivait tant bien que mal les lames qui fusaient en sa direction, balançant pour sa part maladroitement quelques moulinets. Elle entendit des cliquetis dans son dos et se retourna en faisant tournoyer son épée.

Le temps s'arrêta.
Son amie Ptit la regardait les yeux grands ouverts de surprise.
L'épée avait laissé une large plaie en travers de son abdomen. Elle tomba au sol en crachant du sang.


Noooooooooooooooooooooooon !!!!

Yolaine se revit partageant avec Ptit toutes ces nombreuses fin de soirées en taverne tout du long des quatre mandats que la belle blonde avait passé à la mairie de Lourdes, toutes ces joies et ces peines qu'elles avaient partagées, ces instants de bonheur ou de délire, comme cette fameuse finale au combat de bâton effectuée complètement torchées dans la cave du Casque d'Or... L'amitié était née, s'était renforcée... et s'achevait par un cruel et implacable revers du Destin. Chose pourtant hautement improbable, il avait fallu qu'entre tous les belligérants elles se retrouvent toutes deux. Il avait aussi fallu que ce soit la novice qui abatte la combattante expérimentée, chose encore plus incroyable...
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Madg
[Campement Vae Victis]

Les négociations ne menaient nul part. La Commissaire au Commerce semblait être touché, un comble pour celui qu'Eugénie voulait nommer en tant que Chambellan. Ainsi donc l'armée de Faster menait son combat pour terminer ce conflit par les armes et le sang sur les collines lourdaises. Une autre armée se préparait à Pau, une autre certainement à Tarbes, pour y mettre qui? des civils? Pauvre Béarn, dans la précipitation, ce conseil avait une organisation désastreuse, laissant la possibilité à Vae Victis de profiter des flammes autour du campement pour prendre la direction de Pau et souhaiter la bienvenue au chef d'armée...et puis le lendemain à Tarbes. Ainsi la sécurité du Béarn reposait sur les épaules d'incompétent où la communication frolait l'herbe béarnaise.

Eugénie était vraiment tétue, elle ne voulait pas se rendre à l'évidence que chaque jour qui passait rendait sa gestion plus compliquée. Plus tôt elle retirait la couronne de sa tête, plus vite cela se terminera. Mais puisqu'ils voulaient en finir par les armes, libres à eux.

Il était temps de profiter de la barrière de flammes pour les mobiliser un peu plus


Archers! continuez de tirer pour les tenir loin du camp encore
Nul sang de civils ne sera déversé
nous nous éloignons de la ville

Toi! fait transmettre ceci à l'archevêque Navigius!


Madg tendait à un jeune soldat qui s'empressait à coté d'elle, un morceau de parchemin avec une seule et simple note...sans signature

Citation:
Pardonnez nous Monseigneur...


L'archevêque Navigius?
Il est encore dans le campement mon Général!


Le sang de la jeune femme ne fit qu'un tour! il était encore dans le campement

Occupes toi de lui!
ramène le, et sans égratignures,
dans les murs de Lourdes!


Certains hommes de Vae Victis voulait entrer dans la ville de Lourdes. Ils ne devaient pas insiter au risque d'être pris entre deux feux..

N'entrez pas en ville!
par ici!
indiqua la Générale afin de montrer la direction


[Quelque part dans le Béarn]

L'armée Vae victis s'était placé sur les hauteurs d'une colline. De là, ils avaient une meilleure vue d'ensemble. L'avantage de cet endroit stratégique, étaient que les hommes de l'armée Abidos n'avaient qu'un chemin très escarpé pour avancer, des rocs avaient pris place de la terre et des mauvaises herbes; ils seront facilement accueilli par l'armée Vae Victis qui se trouveraient au dessus de leur tête.

Malheureusement, le conflit a été éprouvant, beaucoup d'hommes étaient rester à terre, d'autres blessés avaient rejoint l'infirmerie qui s'était élevée au pied de Lourdes

Madg regardait chacun d'eux, le courage pouvait se lire dans leur yeux. Leur vie aura à présent changé, qu'ils n'aient pas peur d'être fier d'eux. Ils pourront dire qu'ils ont osé défié le pouvoir pour voir leur vie changé, pour vouloir une vie meilleure pour leur enfant. Eux ne seront pas des moutons, qui suivraient aveuglément leur berger...quand celui ci n'est qu'en fait qu'un loup...



edit pour une meilleure cohérence ig
--Montaizuma


[Campement Vae Victis]


Les compagnons de la Horde nouvelle c’étaient rassemblés pour le combat. Leur but était de détruire le plus possible d’assaillants tout en se protégeant les uns les autres, pour Monte c’était son premier grand combat sa première bataille rangée …..

Son coeur battait à tout rompre dans sa poitrine, quand d’un coup elle s’aperçue que coup sur coup Doc était à terre blessé et Lust venait d’éclater ses armes.

Comme une tigresse elle bondit vers eux pour les protéger …..Déjà les chiens enragés du camp ennemi arrivaient pour les occire.

Dans son élan elle ne prit pas garde et un coup d’épée s’abattit sur son bouclier ce qui eu pour but de l’ébranler un peu.

Maintenant elle était devant ses amis, deux assaillants était à la portée de son épée, mal leur en pris le premier devait être un homme, Montaizuma le décapita d’un seul coup, la tête roula au pied du second ce devait être une femme, elle fut tellement surprise que son élan fût stopper net, Monte n’avait plus de pitié elle lui enfonça la lame jusqu’a la garde dans la poitrine, elle tomba à genou et Monte dégagea son épée de ce corps sans vie.

Madg avait repris le contrôle de ses troupes et indiquait l’endroit ou tous devaient se rassembler, Montaizuma se retourna vers Lust et lui dit, allez ma belle on va prendre notre Doc et le trainer avec nous vers le point de ralliement....... et toi Doc fais pas ta chochotte t’as déjà eu des blessures plus grave…..La bas il y aura surement un rebouteux pour te soigner.
Ils se dirigèrent vers le sommet de la colline, pffffff c' est qu'il etait lourd le bonhomme
Dancetaria
|[Armée "Lous Aguiles de Abidos", Jeudi 6 aout de l'année 1457.]


Les cors avaient sonnés, le rassemblement était prêt. Et la mise en avant vers ceux qui devaient être leur ennemi. D'ordinaire, elle était fière de représenter les couleurs de l'Ost béarnais, fière de porter son épée. Rien y fait, cette bataille, jamais elle ne pourrait en être fière, et elle n'était pas la seule, elle le savait. Mais c'était ainsi.

Ils avançaient, vers le point de combat. Soudainement, elle fut surprise par les flammes. Peut être une envie de rôtir les soldats ? Elle se prit bêtement à sourire alors que la circonstance ne s'y prêtait vraiment pas. Rapidement elle reprit son contrôle, cette barrière de flamme était un vrai piège pour les soldats. Elle restait en retrait, observant la scène, les combats. Les flammes l'empêchaient de voir grand chose et pour tout dire, elle les cherchait. Elle ne voulait pas avoir à les combattre, ni Cécé, ni Aimelin, ni Alleaume .... Pour qu'elle combatte , il lui fallait la rage, voire la haine ... parfois, quand elle se sentait complètement neutre, indifférente, il lui suffisait de ne pas connaître la personne pour ne pas éprouver le moindre sentiment de peur, de regret. Mais jamais elle n'avait eu à affronter des personnes qu'elles connaissaient et envers lesquels ses sentiment n'étaient pas mauvais. Ce ne serait heureusement pas pour ce soir. Quelques coups d'épées échangés avec des visages qui l'indiffère complètement. Elle se sentait passive ...


|[Jeudi 6 aout de l'année 1457, après le combat.]


Un sentiment étrange. Elle s'en voulait, doublement. Tout d'abord, de sa passivité sur le champ de bataille, jamais elle n'avait été comme ça. Elle était plutôt à vouloir partir en avant, foncer, tête baissée. Elle était trop pensive, et pas suffisamment sur ses gardes. Elle aurait pu se faire tuer, cela aurait été entièrement de sa faute. Soulagement. Nim, Ditz, Aknail, Lupi, eux, ne semblait pas avoir été blessé.

Un peu plus tard, elle entend des rumeurs. Les noms des personnes qui auraient été blessé pendant l'assaut. A la fois elle veut les entendre, mais elle craint le moindre nom prononcé. Puis, un nom qui arrive, comme un véritable coup d'épée. Elle blêmit, et des larmes qui lui montent aux yeux. Cécé ... Cécé avait été touchée, très gravement. Elle mordille ses lèvres, comme pour empêcher tout mot, ou tout son de sortir. Besoin de solitude. Elle part, elle s'isole. Dormir. Oui, il lui fallait dormir. Remettre ses idées en place. Et une idée qui fait de plus en plus place dans son esprit, finalement, elle n'était peut être pas faite pour être soldat.



|[Vendredi 7 aout de l'année 1457, très tôt]


Elle s'était réveillée les yeux rougis. Elle avait pleuré, elle n'avait pas pu se retenir. Elle avait dormi, d'un de ces sommeils si lourd qu'on a l'impression de ne plus pouvoir en sortir. Dans le creux de sa main, un anneau. Il l'avait apaisé.
Elle était là, parmi les autres soldats, mais elle se sentait seule. Si seule et étrangère à tout ce qui se passait. Une nouvelle larme s'écoula le long de son visage. ça n'allait pas, non, ça n'allait pas. Elle n'arrivait pas. Elle avait besoin d'elle, de lui, à ses côtés. Elle était faible, si faible. Elle avait honte de se voir ainsi. Ses cheveux devant le visage, elle ne voulait pas laisser sa faiblesse apparaître. Lentement, elle s'endormit, à nouveau. Elle avait encore besoin de sommeil.

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Acar
[Lourdes, mairie]

Deuxième assaut dans une nuit fortement étoilée... Les nouvelles arrivaient de partout, tout était ni bon ni mauvais à les escoutiller mais pour l'heure, combat se poursuivait inlassablement, au milieu des cris et des pleurs.

Ont lui rapporta avoir vu l'un des dirigeants, messire Eriadan, entrain de travailler un champ...
Ceci était chose impensable, laisser ses hommes combattre seuls, honte il portera à jamais de cela...
Le montrer du doigt, il méritera, à jamais car mourir pour sa cause est noble, la fuir est la plus grande lâcheté, surtout quand d'autres en meurent...

Oui, assurément, le destin n'était point en leurs faveurs et voir un général se détourner des siens, ses combattants prendraient coup au moral, nul doute.

Pour l'heure, depuis son haut toit, il faisait les cent pas... Sa ville avait reprit sécurité totale mais il ne pouvait en sortir, tant que risque celle-ci encourrait, même le plus minime.

Son espousée, au soin des blessés, ont lui rapporta également ce fait... Il s'en gratta illico le menton mais il ne put s'empêcher de sourire à cela.

Une brave elle était, tout comme les forts combattants de la bonne cause, car oui, il n'y avait point deux causes justes... Mais aussi des vivants, puis des morts.

Il se signa, puis pria pour ses frères et sœurs Béarnais, disparus...

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