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[RP] Quand les bonheurs s'additionnent

Melyna.
[Et puis un jour, tout les espoirs sont permis...]

Si le mini volcan avait retrouvé toute sa superbe, il ne restait pas moins des moments où elle devait fournir de grands efforts pour se taire, jouer la sourde oreille et s'imaginer vétue du magnifique pelage d'un canard, celui là même qui avait l'avantage en tout temps de laisser couler la pluie sans jamais être mouillée par elle.

Son armure était forgée, et du haut de sa tour, elle restait la seule décisionnaire que qui et quoi avait la possibilité de l'atteindre.
Enfin presque.... Il lui fallut la missive d'un ami pour en prendre conscience...
Entre les lignes il avait détecté la fêlure, au devant de la folie des Hommes, il avait saisi l'usure.

Et parce qu'il avait le coeur grand et bon, parce qu'une autre avant elle en avait découvert toute la rutilante beauté, elle mit son conseil à exécution.

Au matin de ce jour qui verrait certainement une nouvelle page de sa vie se tourner, Mely quitta la demeure familiale... Seule.
Elle avait besoin de ce moment à elle, elle devait se plier au sage conseil.

D'un pas décidé, l'oeil aux aguêts veillant à ne pas être suivi, oui elle était devenue spécialiste de ce petit jeu, elle gagna le coeur de la clairière voisine.

Suffisamment loin pour ni croiser personne et qu'on lui fiche la paix.
Et là dans l'intimité de ce moment qui ne serait qu'à elle, elle se défit de sa cape, laissant le fardeau qu'elle portait sur ses épaules gagner le sol en même temps que le tissu. Puis elle centra son esprit sur son ventre, en délia chaque noeud, faisant remonter toute la colère qui formait une boule dans son estomac, libérant ses poumons du silence pesant auquel elle s'était astreinte, par devoir et elle devait bien l'admettre avec une pointe de ce qui pouvait encore de loin ressembler à de l'amour.

Du plus profond de son être, des énergies bouillonnantes quittaient ses entrailles et quand sous leur impulsions la bouche s'ouvrit, ce ne fut que pour que s'extirpe un cri.
Un son profond et guttural, fait de l'entrelacement de mille et uns sentiments.
La colère se mêlait à la joie, le plaisir à la frustration, l'attente à l'impatience, l'ombre à la lumière, la rage à l'espoir.

De troncs en souches il se répercuta, violent et libérateur, une onde de choc puissante qui faisait vibrer l'entièreté de son être le plus profond.
Le son semblait ne jamais pouvoir s'éteindre tant elle avait besoin qu'il se défasse d'elle, qu'il ne soit plus sa prison.

Comme un loup hurle à la mort, la femme rugissait de Vie.
Au moment de la naissance de sa fille, hurler lui avait permis de puiser dans ses forces,de les décupler pour mettre l'enfant au monde.
Aujourd'hui elle hurlait encore, pour que naisse une femme libre !

Puis soudain plus rien. Les genoux s'effondrent jusqu'à toucher le sol, les paupières se ferment sur la lumière trop vive et le souffle est cherché, haletant avant de reprendre un rythme plus serein. Les yeux s'ouvrent à nouveau, un regard plus clair, plus lucide, et le front se relève. L'adversité ne lui fait pas peur, les jugements ne le touchent plus, les fragments du passé s'en sont définitivement allés...

Plus de poids dans son coeur, plus de rage dans son ventre, juste le désir de vivre vrillé au creux des reins.
Dans le flux de ses veines pulsait la Liberté et sur son horizon débarrassait de tout reste d'épave, un arc en ciel se levait.

Le même qui se dessinait bien au dessus de la cime des grands arbres.
Un rayon de soleil vint jouer avec ses pupilles, et lui faire un clin d'oeil.

La vie est donc si belle !
Merci à toi mon ami....

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Melyna.
[28... Et un... Et deux... Et trois.]

Le soleil s'était levé depuis un bon moment dans le ciel quand un rayon de soleil vint jouer sur la joue de la mini encore étendue entre ses draps blanc.
Sur l'oreiller, la tache sombre des boucles brunes auxquelles se mêlaient encore quelques brins de foin vinrent lui rappeler que non, elle n'avait nullement rêver.

Son index s'en vient caresser la pulpe de sa lèvre, un sourire s'y épanouit le regard voguant vers un autre lieu, sous un ciel étoilé.
Chacun des mots échangés raisonnés encore à ses oreilles et dans ses yeux, Mely avait lu la promesse d'un avenir, d'une vie à deux... Côte à côte.


T'emballe pas ma poulette !
Tu risques de souffrir encore...
T'as pas pris assez de gamelle ?
Bon c'est vrai il a l'air différent
Dis donc tu rames pour quel bord toi ?
Ben quoi ?!


Un soupir plus tard, tant il est difficile de se défaire des images de la nuit, et les jambes battent l'air, repoussent la blancheur virginale et apparaissent tandis que suit la nudité du corps épanoui.
Les bras s'élèvent loin vers le ciel pour un étirement en règle, façon minet après sa sieste, quand fuse un
Aïeeeee qui interrompt ce plaisir tout simple.
De la main en premier lieu puis du regard, elle tâte et part à la recherche de cette pointe douloureuse. C'est sur sa hanche elle trouve une auréole bleuâtre, joli cercle qui déclenche un rire en cascade tandis qu'elle file se préparer.

Je connais quelqu'un qui va devoir jouer les infirmiers...
A moins bien sur qu'il ne rende ces derniers aveugles et manchots !

Vêtue d'écarlate, ses cheveux fraichement lavé ondulant dans son dos jusqu’à caresser ses reins, une odeur enivrante de fleur d'oranger flottant dans son sillage, Mely se posa le temps d'enfiler le cuir à ses pieds.
Se fut alors que le son des cloches de l'église sonna les dix coups. C'est pile à ce moment là que lui revint la date du jour... Le 28.....
La main suspendit sa course, et le jupon retomba mollement.

A des lieues de là, le bourreau aurait pris position derrière le condamné dénudé jusqu'aux hanches. La foule se sera tu dans l'attente morbide que s'abatte le premier coup.
L'homme lèvera son bras, tout les regards accrochaient à lui.
Puis les lanières de cuir fendront l'air pour aller s'abattre sur le dos du prisonnier.
Des Ho s'élèveront, des Haa parfois et quelques cris de rage sans doute ou de joie allez savoir, d'impuissance aussi. Avant qu'ils ne cèdent à la douleur.
Que les zébrures se parent de vermeil, que la peau ne se fende tandis que les chiffres s’égraineraient au rythme des coups de fouet.
Peut être qu'avec un peu de chance le prisonnier se serait évanoui avant la fin, trouvant un échappatoire à la violence et la douleur.
A moins que sa haine ne lui serve de bouclier et qu'il ne trouve dans sa rancœur la force de faire face.
Peut être qu'un médecin aura pitié de lui et viendra le prendre en charge à son retour.
Peut être lui apporterait il les soins nécessaires à ses blessures.
Peut être le temps guérirait il son corps autant que son âme.

Assise sur le bord de la couche, une unique larme perle aux cils de Melyna.
C'est par la porte de son âme que s'échappe le dernier filament des sentiments qu'elle lui porta un jour.
Du bout du doigt, tout en délicatesse, elle recueille la petite perle saline et la pose sur la pointe rose de sa langue. Après les paroles doucereuses, la tristesse est donc salée....

Les images s'éloignent, comme un livre que l'on ferme avant de l'oublier sur une étagère
Deux consonnes et une voyelle viennent alors danser devant ses mirettes avant qu'un piaf n'explose sa fenêtre !!!


Oh le con !!! Et le pigeonnier c'est pour les chiens ?
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Melyna.
[Ensemble et c'est tout]

Entre un guerrier qui vous garde tout contre son cœur et un capitaine toute crinière au vent qui avec toute son armée vous ouvre la marche, on pouvait dire que la brune avait eu droit à un retour sous haute sécurité.

L'histoire elle ne dira pas qui du cheval ou du cavalier allait se payer le mal de crâne de sa vie après que la pipelette ai barjaqué tout au long du trajet.
Par contre la mini portait sur son minois le sourire enchanté de la femme épanouie qui avait vu la fin d'une trop longue attente, couplée à celui de la mère en manque de l'odeur doucereuse de son enfant.


Quand nous aurons passé les portes, il te faudra prendre à gauche chéri, la maison est juste derrière le petit mur d'enceinte.

Un dernier signe de la main à Lulu et sa troupe.
Rendez vous au Jeu des Dames les amis, ce soir c'est la Proc qui régale !!!!
Arffff il allait falloir dégoter et vite de l'absinthe pour le Capitaine sinon il allait leur faire une jaunisse.

Au pas tranquille du cheval, Mely si tendrement encadrait par l'écrin de son Homme, redécouvrait son chez elle, chez eux désormais au travers du rehard de son Homme. Ô rien de mirobolant, ce n'était pas un château, mais une jolie maison confortable et dotée de tout le confort nécessaire à ses occupants.

Les hautes portes furent passées et à peine la fontaine contournée que la porte s'ouvrit.

Elle sont là !!!!!!

La rouquine et sa princesse les attendaient sur le seuil.
Dans les bras de la gouvernante la petite agitait pieds et mains.

On va enfin retrouver mon petit ange et mon... dragon.

Un tendre baiser fut déposé aux lèvres aimées avant que dans un éclat de rire joyeux, la brunette se laisse glisser à bas de la monture. Soit en gros pas loin de deux fois sa taille, un véritable tour de toboggan cette glissade en fait.

Sitôt sur la terre ferme, Mely se précipita vers Ma'Hell, l'arracha tendrement des bras d'Orthie, la souleva dans les airs après l'avoir dévorait de bisous et tournoya avec elle, déclenchant les éclats de rire de l'enfant.

Ohhhhh que tu m'as manqué toi !!!!!

Ha ben c'est pas trop tôt ! Depuis l'aube qu'on vous attend !
Un rire joyeux déchira le petit matin
Chéri tu as deja croisé Orthie chez m'man, c'est elle qui veille sur la maison... entre autre.
Den apprendrait vite que la rousse ne s'en laissait pas compter et était loin d'a oir sa langue dans sa poche.

Orthie, voici Den Ulvenson.... Mon époux.

Et paff un caillou dans la marre !
Enfin pas vraiment pour la rouquine pour qui se ne serait que de vagues éclaboussures puisqu'elle seule avait été mise dans la confidence.

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Den_ulven_strandhogg
Il y a un avantage de voyager avec elle... Au delà du plaisir qu'ils ont à être ensemble, le fait qu'elle le tienne éveillé, sur son cheval, en faisait un certains atout, pour éviter de se prendre un platane qui traverserait le chemin.

En gros ça parlait de tout et de rien, une armée, les précédait et du coup ils pouvaient voyager tranquilles. Riant, parfois plus sérieux, mais toujours en phase, l'un et l'autre. Cette femme était un mélange de bonheur, d'humour, et d'intelligence. Il aimait ça, comme aimait discuter de tout ce qui les entourait dans ce monde. De quoi avoir des discussions, et ne pas se lasser à cause du silence, qui pouvait devenir pesant à force. Et ça il en savait quelque chose.

Et de bon matin alors que le jours se levait encore timidement ils rentrèrent dans la ville, puis il prit comme indiqué par son autre à gauche après la porte et ils s'avancèrent doucement dans les rues de la ville encore endormie.

Ils arrivèrent au niveau de la fontaine, et une porte s'ouvrit. Cela faisait plaisir de voir son autre retrouver sa fille. Il l'aida à descendre de sa monture, puis descendit ensuite, prenant la bride , il s'avance, regardant son autre bisouiller et rire avec sa fille. Image qu'il connaissait avec ses deux fils, sa fille plus grande, c'était quand même un peu dur de la soulever au dessus de soit... Mais n'allez pas dire, que le viking disait qu'elle était trop lourde non plus hein?

Les présentations vers la dame Orthie... Le viking s'inclinait doucement pour la saluer, se demandant si elle était si piquante que son nom voulait bien le dire.


- Enchanté madame, sachez que Melyna, ne tari pas d'éloge envers vous.

Un sourire bienveillant, il luttait pour demander si il était possible d'aller se reposer un peu. histoire de reprendre des forces.

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Ortie
Quand la patronne avait sonné l'heure du retour, l'avait fallut tout organiser parce qu'elle revenait pas seule la brune et il allait falloir un brin d'organisation dans la maison pour que tout le monde y trouve sa place pardi.

Réorganiser deux trois trucs, changer les meubles de place pour que le monsieur de madame arrive à caser sa carcasse dans tout le bric à brac qui envahissait l'espace.
Pis remplir le garde manger car d’après ce qu'elle avait entendu dire, l'homme avait un bon coups de fourchette et apprécié la bonne chair.
Tout ça en s'occupant de la pitchoune bien sur, car quand elle n'était pas pendu aux mamelles de Suzi qui jouait les nourrisses en l'absence de la jeune mère, il fallait l'occuper maintenant la drôlesse.
Vive comme l'eau, gaie comme un pinson, et curieuse comme une pie !


Va pas leur faire la misère aux amoureux hein ma paupiette. Ta m'man te ramène un gentil papa alors va falloir leur foutre la paix ma tite grenouille.

Adoptant la technique de Melyna, Ortie s'était entortillée avec la petiote dans la grande écharpe dont la brune se servait pour garder sa fille tout contre elle tout en ayant les mains libres. On pouvait donc dire que Ma'Hell malgré son jeune âge avait pleinement participé à préparer l'arrivée de sa mère et de celui qui allait devenir son père.
Une journée bien riche que celle de la veille !

Résultat au petit matin, la maison toute entière sentait bon le propre et tout était à sa place, dont les deux donzelles réveillées aux aurores grâce à l'estomac de la demoiselle. Quand le pas d'un cheval résonna dans la cour Orthie venait de remballer les fesses talquées de la petite.

T'entend qui arrive mon asticot ?!
Pour tout dire, en la seule présence de Ma'Hell, la "gouvernante" était méconnaissable de douceur. Mais ça chutttt c'est son secret, elle a un mythe à entretenir la rouquine !

Sur le pas de la porte la mère reprend son enfant et la piquante sa douceur légendaire.

Ben c'est pas trop tôt... On a faillit attendre.
Saleté de mauvaise foi huuuuuu pas beau.
Regard attendri sur les élans maternels avant que les pupilles se rétrécissent pour scruter l'homme qui lui même ne lâche pas la charmante scène de famille.
L'aide apportée à sa mini... Hummmm prévenant, il saurait prendre soin de ses protégées. One point
Haaaa pis il avait de la carrure ! Bien. Un homme doit pouvoir protéger sa famille. Two point
Les yeux... Hummmm ça dégouline d'amour, l'est sincère le gars. Three point.

Ca valait bien l'ombre d'un sourire tout ça, et Orthie s'y emploie... A la sauce piquante.

Enchanté madame, sachez que Melyna, ne tari pas d'éloge envers vous.

Madame.... Devait avoir mal astiqué ses esgourdes pas possible autrement.
Les épaules se redressent et le torse se bombe, concurrence déloyale à un pigeon qui ferait la gueule s'il savait.


Enchantée tout pareil de mettre enfin une tête sur vot'nom. Parce que j'ai "beaucoup" entendu parler de vous moi aussi Monsieur... Et si ce qu'ON m'en a dit est ben vrai, vous z'êtes le bienvenu.
Autant dire que les choses étaient clairement posées. Te rate pas mon gars.

Puis replongeant dans le rôle qu'elle connaissait le mieux.


Pas tout ça mais la route ça creuse hein. Suzie vous à laisser de quoi vous remplir un peu la panse et je garderais mon joli petit moineau le temps que vous puissiez prendre un peu de repos.

Qui a dit qu'avec elle tout marchait à la baguette ?
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Den_ulven_strandhogg
[Une journée d'octobre ensoleillée]

Emeraudes qui s'ouvrent, sur ce qu'il y a de plus de beau à son regard. Un sourire, après une soirée, inoubliable. Regarde le tartan sur la chaise derrière son autre et rit doucement. Les choses simples de la vie, sont souvent les meilleurs.

Il se décale sans réveiller son autre, s'habillent doucement et regarde le soleil, qui commence à se faire voir en orient. Brume matinale, qui augure, un temps encore beau et doux pour l'époque. Aujourd'hui, serait un jour spécial. Un jour ou il voulait connaitre un petit être pour mieux se faire apprivoiser par elle. Ouai, pas le contraire, avec les enfants, c'était surtout aux adultes, de se faire accepter et non l'inverse.

Alors il avait prévenu Orthie qu'aujourd'hui ils partiraient avec la petite, et qu'elle devrait juste leur préparer un bon pique nique... Il connait un endroit ou ils seront biens et le viking s'habille tranquillement après avoir hésiter à mettre le tartan ou autre chose. Oui il n'avait pas envie de voir son autre à genou tout le long du chemin hein?

Ce sera le tartan, quand même, parce que le cadeau lui plait énormément. Il prépare les montures, et prend de quoi porter la petite, de façon confortable. Le voyage ne serait pas long de toute manière.

Tout était prêt le petit déjeuner de madame servit. Il se penchera pour la réveiller, en y déposant un baiser d'une grande tendresse, pour murmurer, ensuite.


- Debout trésor, on va bientôt partir.

Sourire en coin, alors qu'il sait qu'elle n'est pas au courant, et le temps que ça monte au cerveau, il a hâte de voir ce qu'il a enclenché. Se recule toutefois, et avec son sourire de sale mioche attend la réaction.
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Melyna.
Depuis que leur routes se sont croisées, depuis que leur pas se melent sur le même chemin, la brune a prit l'habitude de s'éveiller dans un écrin de tendresse. Enlacée dans ses bras, son viking lui offre à chaque réveil, ce cadre idyllique pour prémices d'une journée de bonheur.

En ce matin d'octobre, la caresse de ses lèvres à son front, la tire des limbes où elle vogue en toute inconscience, et quelques mots qui viennent faire tilt suffisent à faire se lever les paresseuses paupières.

Déjà débout chéri.
Une pointe de regret en le voyant déjà prêt de pied en cap, puis la vision du tartan fait remonter d'autres souvenirs, nait de la veille. La chaleur remonte par vagues successives, de son ventre à ses joues, tandis que les mirettes détaille la vesture.
Il avait osé.... Mais qu'est ce qu'il était beau ainsi vêtu ! A tomber.... à genoux.


Tu crois qu'elle va nous refaire le film ?
Elle est bien partie pour en tout cas
Et bien... On n'est pas sorti du lit
Si si tu vas voir, suffit d'une petite piqure de rappel.
Mais de quoi tu parles ?
Attends tu vas voir... Et le cerveau ? C'est le moment renvoie le son !


Repoussant les fourrures, Mely telle un chat s'étire voluptueusement, cherchant à faire fuir les quelques courbatures qui se logent dans des coins où elle n'aurait jamais cru possible d'en avoir. Les reins se creusent autant que darde la poitrine fière et insolente sous les deux bras tendus.
C'est que le bonheur lui va bien à la mini et qu'enfin, grâce à lui elle ose être pleinement la femme qui couvait sous la lave.
Puis elle exhale un long soupir et se détend quand soudain, ça cogne et ça raisonne en écho.


On va bientôt partir. Alerte rouge ! Partir !!!!!Il a bien dit.... Partir !!!!

Comme montée sur ressort la voilà assise en plein milieu de la couche, beauté sauvage que couronne la masse en bataille de boucles brunes.

Tu as dit partir ?
Les pervenches incrédules réclament à elles seules mille réponses.
Mais où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?

OHHHH du calme Mely !!! Respire un coup et laisse le te répondre
Et couvre toi un peu pendant qu'on y ai, enfin... si tu veux tes réponses.
T'es con !
Non avec ces deux là... Juste réaliste.

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Den_ulven_strandhogg
L'effet voulu était là, et alors que le géant n'en ratait pas une miette, il rit doucement et lui tendit la main.

- Petit déjeuner, et ensuite j'ai demandé à Orthie de faire venir ta fille, pour qu'on parte en ballade tout les trois. Pique nique etc, on va profiter de cette journée qui s'annonce radieuse et douce.

Vrai que l'automne était une superbe saison, quand il ne pleuvait pas et avant que le froid ne s'installe autant en profiter, bien qu'il aimait l'hiver aussi.

Il emmenait son autre à table et s'installait. Puis servit une crêpe confiote myrtille à la jeune femme , puis s'en prit une tant qu'à faire. Tout heureux il croquait à pleine dent et n'en fit qu'une bouchée .


- J'ai repairé un coin sympa non loin d'ici. Et je me suis dis, que ce serait bien de le passer tout les trois, que je fasse mieux connaissance avec ta fille.

Tout en buvant son café d'orge, il regardait la réaction de Mély, espérant qu'il n'ailles pas trop vite non plus sur ce sujet précis.
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Melyna.
Ma'Hell, ballade, journée à trois. C'était largement suffisant pour inciter la mini à sauter du lit. Un baiser plein enthousiasme à son autre fut offert.
Tu es un ange ! Je n'aurais pas rêvé mieux que de pouvoir profiter de vous deux en même temps.

C'est parti pour la séance habillage. Un truc pratique, mais qui reste féminin.... Ha l'éternel dilemme, être belle et confortable. Deux choses qui allait rarement de pair.
Elle fit au mieux du contenu faramineux de ses coffres et les cheveux assemblés à la va vite en une tresse d'où les rebelles mèches s'échappaient, Mely revint s'attabler en si agréable compagnie.


Yehhhh des crêpes !!!
Et hop, à la gourmande de se lecher les babines avant de finir par les doigts.

On est là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

L'arrivée en mode Orthie, discrète à souhait. En même temps si elle voulait préserver sa pudeur autant que la leur, il valait mieux.

Mely s'empresse
Bonjour vous deux.
Et n'en finit plus de bisouiller sa petite princesse.
Bonjour mon petit coeur d'amour.... Alors on va promener ? Tu viens avec nous aujourd'hui ma bouille ? Tu vas voir on va faire plein de choses !
Dans ses bras la petite gigotait de plus belle, très certainement contaminée par l'excitation de sa mère. Jusqu'à l'instant où les grands yeux d'encre marine qui lui dévorait le visage, se posent sur la haute silhouette de Den.
Plus rien ne bouge, le silence ce fait. Arrêt sur image. La voilà captivée, presqu'autant que sa mère et c'est peu dire, par le grand gaillard.


Petits baisers de tendresse sur la tête de l'enfant.
Vrai que ces deux là n'avait pas vraiment pris le temps de faire connaissance et avec ce qui s’annonçait, il allait bien falloir commencer.

Tu as vu comme il est grand ma chéri ? Et il est aussi gentil qu'il est grand tu vas voir...


A petits pas, sous le regard confiant de la piquante qui ramenait le panier de pique nique généreusement garni, Mely s'approcha de Den, et vint avec son précieux trésor, toujours muet et curieux, se blottir dans ses bras en levant vers lui un regard empli d'amour.
Merci chéri.... Il venait tout simplement de réunir, la Femme et la Mère.
Comme si elle avait attendu un signal Ma'Hell poussa un cri ravi en se saisissant d'une des tresses du Viking.

Reuhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!
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Den_ulven_strandhogg
Mini volcan... On aurait pu dire mini tornade,, à vous en faire tourner la tête à une vitesse folle. Et c'est ce qu'il aimait en elle, sa joie de vivre et sa façon de tout balayer sur son passage. Elle avait la classe, l'humour, l'intelligence et la vivacité. Il n'avait jamais vécu ça, et pour lui elle était sa révélation. Le plus alors qu'il mangeait une seconde crèpe, plus par gourmandise qu'autre chose, c'est qu'il constatait qu'on pouvait très bien être noble ou non, une mère, aimait ses enfants quelle que soit son statut d'ailleurs.

Puis voilà miss Orthie, qu'il commençait par son professionnalisme à apprécier. Comme quoi pas besoin d'être coincé du séant pour être une bonne intendante. Elle arrivait avec le petite princesse, qui très vite se retrouvait dans les bras de sa mère. Un sourire à la vision, puis le panier, une inclinaison de tête accompagnée d'un clin d'oeil pour la remercier, d'avoir fait ça.

Puis les émeraudes retournent vers le couple mère fille et sourit. Puis un bras qui entoure son autre pour la serrer doucement contre lui.

- De rien trésor, ça me fait plaisir.

Puis comme pour montrer qu'elle était là, Ma'hell , lui prit une de ses tresse et il rit doucement.

- Je vois que mademoiselle, s'approprie un peu de moi aussi.

Il ose d'un revers de la main, lui caresser sa joue de pêche tout en douceur. Les émeraudes, brillaient par la tendresse, et que ce soit ses enfants,, leurs enfants et elle, il n'y aurait aucune différence . Tous à égalité. Sourire vers la mère, et un clin d'oeil, une invitation à la prendre du regard juste une question, parce qu'on demande toujours avant.

- je peux?
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Melyna.
Si elle avait craint un bref instant la réaction du viking face aux menottes impérieuses de sa fille, Mely fut rapidement rassurée par le rire qu’il laissa échapper.

Je vois que mademoiselle, s’appropie un peu de moi aussi.
A croire qu’elle a les mêmes goûts que sa mère que veux tu.


Tout doucement, la brunette tente de faire lâcher prise à la petite bourrique, qui s’entête et refuse de céder aux doigts maternels, les jambes de l’enfant remuant comme l’on danse un quadrille. Une chance qu’elle ne soit pas encore en âge de plonger ses mains dans le pot de confiote, sinon je ne vous raconte même pas la tête des tresses !

La grande paluche de son autre vient au contraire caresser avec cette douceur qu’elle lui connait bien la joue enfantine, caresse qui fait naitre sur l’adorable bouille de la petite fille, un sourire identique à celui de sa mère.

Mais c’est au cœur même des émeraudes qui luit le plus grand des trésors, cette tendresse toute particulière dont elle avait perçu l’intensité lors de leur première rencontre, entre Den et son fils Bornj.
Au reflet du bras protecteur qui assure protection et attention au duo féminin s’ajoute en signe de ponctuation un clin d’œil complice au-dessus d’un sourire renversant.


Je peux ?
Rohhh tu n’essaierais pas de nous faire du charme par hasard monsieur le séducteur ?


Puis comme si elle prenait sa fille à témoin, les lèvres s’approchent de l’oreille enfantine et y dépose un murmure.
Attention ma puce, prudence, quand on s’attache à cet homme-là c’est pour la vie.
Le petit visage fripon se tourne vers elle, une bulle de salive sur les lèvres genre « mais quoi que tu dis-toi ? »

Tant pis pour sa chemise qui fait alors office de bavoir et essuie tendrement la bouche en cœur de son Etoile. Des chemises elle en avait à loisir, sa fille elle, était unique.


Bien sûr que tu peux !

Et s’en plus attendre elle lui confie le précieux paquet, qui passe des bras graciles à ceux bien plus rassurant du Viking. Perchée dans les bras masculins, à une hauteur encore jamais atteinte pour elle, Ma’Hell pousse de petits cris enthousiasme avant de rencontrer le regard aussi vers que tendre de son Autre et de se taire, totalement hypnotisée… Mais pas au point de lâcher sa prise de guerre !

Le cœur de Melyna bat à tout rompre, on pourrait presque le voir sortir de sa poitrine tant le tableau qui s’offre à ses yeux requiert d’importance pour elle.
Car si elle est femme, ardente et passionnée, la femme d’un seul Homme, elle est aussi et à jamais une mère. La famille, sa famille a pour celle qui n’a connu les joies de celle-ci que sur le tard.

Il avait fallu que Valeryane lui ouvre son cœur et sa maison. Avec une infinie tendresse elle lui avait appris la patience et la persévérance au travers de la peinture et du dessin. Le mini volcan s’était éveillé à son contact
Et puis se fut Auclair qui au-delà d’être son parrain était devenu son père spirituel. C’est lui qui lui avait donné le goût d’apprendre et celui du travail bien fait.
A jamais pour la jeune femme il resterait son père de cœur, celui dont elle souhaitait faire la fierté.
Ils étaient à eux deux, le modèle de famille qu’elle souhaitait de tout son cœur pour sa fille.

Depuis qu’elle l’avait mise au monde, la mini savait que le géniteur de Ma’Hell ne serait jamais véritablement un père pour elle. Et cela c’était confirmé.
Jamais il n’avait pris sa fille dans ses bras, jamais il n’avait eu un geste ou un regard.
Et depuis qu’il était parti, jamais il n’avait cherché à avoir la moindre nouvelle de l’enfant.

Melyna l’avait donc purement et simplement rayé de leur vie.
Elle avait redoublé d’effort pour offrir à sa puce, la vie qu’elle était en droit d’attendre. Mais elle aurait beau faire et se démener, une mère ne pouvait remplacer un père.

Et en cet instant, alors qu’elle contemplait le rapprochement entre les deux têtes blondes, elle sut au fond de son cœur, de femme et de mère, qu’elle ne s’était pas trompée.

Avant que quiconque ne perçoive l’émotion qui la submergeait et les traitresses qui ramenaient leur fraise, Mely chose suffisamment rare pour le faire remarquer, batti en retraite.


Je vais changer de chemise. Attendez-moi !
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Den_ulven_strandhogg
Sourire à l'approbation, et le géant prend dans ses bras, la petite princesse. Elle n'avait pas l'air d'avoir peur, bien au contraire. Ça rassurait l'homme, après tout, les enfants peuvent avoir peur de l'inconnu. Alors doucement il la soulève et les émeraudes échangent avec les petites billes de l'enfant. Le regard est bienveillant, et tendre à la fois. Qu'est ce que les regard se disaient à l'instant, on ne peut pas vraiment le savoir, mais clair qu'elle serait comme sa propre fille.

Famille, honneur, et pourtant pas si paysan que ça. regard vers la maman, et il perçoit une émotion très forte en elle. Si forte qu'elle submergeait en lui en une déferlante de sensations.

Il sourit et hoche.


- Vas y trésor, on t'attend Ma'hell et moi.

Pour plus de confort, alors que la petite princesse, ne lâchait en rien la tresse, il s'assied avec elle et sourit. Pas évident de tenir une discussion avec un enfant de bas âge et pourtant il se lança un peu à tatillon.

- Bien bien bien....

Ouai peu convaincant tout ça mais voyons la suite.

- Alors comme ça tu t'appelle Ma'Hell? Ta maman m'a beaucoup parlé de toi tu sais? Se mord la joue... Moi c'est Den et je crois qu'on a un point commun toi et moi.

Il sourit et regarde les réactions de la jeune fille. Donnant un coup de tête en direction de son autre.

- On l'aime tout les deux et du coup, ça nous lie toi et moi. Fait une légère moue... Tu verras, je ne suis pas bien méchant,, un peu ronchon, parfois mais je pense que tu en rigolera. Certains disent que je suis un tyran. Mais là aussi tu verras que c'est faux. Sauf si je te gronde parce que tu fais une bêtise bien sur. Mais on en est pas encore là.

Il rit doucement puis incline la tête sur le côté.

- Sois sure en tout cas, que tu seras protégée et surtout aimée. Ah et je te présenterais Bjorn et Audren aussi. Sont plus grands que toi, et je sais qu'ils seront comme des grands frères. Tu peux en être sure aussi.

Il sourit et voyait l'avenir dans ses enfants et ceux à venir aussi,. C'est une certitude maintenant. Il était passé d de l'éphémère à quelque chose de bien plus précieux. Sourire qui s'élargit, elle et lui, auraient une famille soudé et unie. Et pour longtemps.
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Ortie
L'avait râlé pour la forme la rouquine, et aussi un peu parce qu'elle allait passer la journée sans sa grenouille. Mais l'avait beau l'aimer comme une gaga cette nistonne, l'avait besoin d'un paternel pour lui apprendre la vie, alors Orthie avait concédé du terrain.

Comme le grand homme l'avait demandé, et poliment en plusça elle avait bien remarqué, le panier de pique nique avait été copieusement garni, sans oublier le lait de la petiote et sa purée de légume. Avant d'amener la demoiselle de la famille rejoindre sa mère, la piquante avait pris tout son temps.

Z'ont qu'à attendre un peu hein... T'en pense quoi ma gargoulette ?

Les petites guibolles battaient dans le vide en guise d'assentiment, pendant que l'apprentie nounou s'efforcait de nettoyer les petites fesses à l'air.
M'arrête donc de bouger petit asticot ! En fait elle se régalait, mais ça elle ne le dirait jamais à personne.

Une fois la petiote prête, bien à l'abri des regards indiscrets les dernières recommandations furent faite.
Tu seras sage hein ma farigoule ? Faudra pas faire de beurk sur le grand gaillard attention ! Ta maman elle t'aime fort fort fort tu sais... Très très très fort même. Mais va falloir que tu la partage avec lui tu sais, parce qu'elle l'aime aussi très très très fort... Tu comprends ma favouille ?

Puis direction chez maman.
On est lààà !!!!!!!!!!!!!!!!!

Les deux maisons étaient suffisamment proches pour que l'urticante sache parfaitement ce qu'il se passait une fois les portes closes. C'est que même sourde, ses mains à couper qu'elle aurait entendu ! Alors autant s'annoncer haut et fort pour pas avoir de surprise. Pas le temps de dire Ouff qu'on lui ôtait déjà des bras sa petite crevette. Qui d'ailleurs commençait à avoir plus du gambas que de la crevette !

La rouquine resta les bras ballants et bien vides, le regard attendri posait sur la mère et sa fille avant de se secouer et d'aller récupérer le panier de pique nique.

Cette petite va te faire virer chique mole Orthie.
A peine la chose posée dans la cuisine, elle revenait sur ses pas quand la patronne planta la petiote dans les bras du Viking.
Quelle drôle d'image que ce grand bonhomme taillé à coups de serpe et la précieuse blondinette assise sur son bras comme reine sur son trône.
Une grande banane se forme sur la trogne de la provençale.
Voilà t il pas qu'il lui causait comme à une dame ? Et qu'elle l'écoutait en plus cette petite chipie !!!!!


L'avait plus qu'à laisser la tite famille tranquille la rouquine, même si elle se sentait vachement seule pour le coup, son petit coeur tout mou était en joie de savoir ses deux trésors en sécurité et surtout aimés comme elles le méritaient toutes les deux.

Avant de passer la porte, se sera la rencontre des regards qui s'entrecroisent, vert contre vert, s'entrechoque. Le sourire en guise de salut puis ses doigts qui lui disent : Gaffe mon gars je t'ai à l'oeil.


Bah quoi ? La confiance n'exclue pas le contrôle namého !
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Melyna.
Mely connaissait ses faiblesses et le tableau de Ma'Hell dans les bras de Den en était une.
Non pas dans le genre faille du Grand Canyon non, mais dans celle, plus insidieuse qui vous remue les tripes et sème dans le tourbillon émotif un joyeux bordel.
Adossée au mur de la chambre la brune tentait de calmer tout ce charivari qui faisait poindre des larmes à ces cils.
Car si elle pouvait piquer des colères monumentales, elle avait en horreur de laisser voir ses traitresses, signe plus qu’évident, de sa faiblesse à gérer un état qui justement lui échappait.

Alors que le calme revenait et que refoulait l'eau des mirettes, la jeune mère reporta son attention sur la pièce attenante.
Orthie vaquait à ses occupations et son Viking avait pris place dans le grand fauteuil qui lui était réservé.
Celui qu'on imagine parfaitement comme recevant uniquement le séant du patriarche et que les enfants se disputent quand ils sont seuls en mimant l'autorité et la prestance paternelle.
Du haut de ses cinq mois, Ma'Hell semblait minuscule dans l'écrin qu'il lui offrait et pourtant parfaitement à sa place.

Les émeraudes portaient en elles toute la douceur dont la brune le savait capable et c'était peu dire.
Si l'Homme pouvait avoir un caractère aussi merdique que le sien, et encore pas sur qu'il arrive à la battre, c'était aussi un puits sans fond de tendresse sitôt qu'il vous ouvrait son coeur.

A l'affut, la curieuse tendit l'oreille et ce qu'elle entendit ma foi, la retourna comme la crêpe avalée tantôt.
Son coeur se gonfla d'amour au point d'en déborder à nouveau par les fenêtres de son âme.
Mais cette fois elle ne les chassa pas. On ne chasse pas l'amour, on le laisse s'écouler, se déverser tout son soul car c'est le bonheur qu'il charrie dans son flot.

La dextre se posa sur son ventre et instinctivement une prière s’éleva vers la Grande Mère, la demande d'une terre fertile à ensemencer, d'enfants forts et en bonne santé, d'une famille en regard de ces sentiments que le couple se portait.
C'était son souhait, son voeu, sa prière vers les cieux.

Refusant de leur chaparder plus longtemps une intimité qu'ils devaient apprendre à apprivoiser, et cela semblait bien parti, la mini alla enfiler une chemise propre.
Quelques menus affaires furent ajoutées à sa main avant qu'elle ne revienne interrompre ce qui pourrait bien être un tête à tête Père/Fille.


Je suis prête mes amours !

Un baiser aux lèvres aimées et un autre sur cette joue rose qu'elle avait envie de dévorer fut posé, en même temps qu'un bonnet de coton sur la petite tête blonde.


On y va ? Il me tarde de savoir où tu comptes nous amener.
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Den_ulven_strandhogg
Le regard se tourne vers son autre et sourit. Il la savait émotive, mais la laissait tranquille la dessus. Il respectait ce besoin de ne pas montrer, certaines choses devant les autres, bien que pour lui, ça ne le dérangeait pas de partager et de rassurer si besoin.

Regard ensuite vers ma'Hell et un murmure à l'oreille.

- Regarde maman comme elle est belle.

Le baiser rendu, le bonnet mit , il se lève après avoir remis Ma'hell à sa mère. Il prend le panier pique nique.

- Ce sera une surprise mon ange, allons y.

Et les voilà qui sortent vers les montures, il prend la princesse dans les bras, pour que sa mère puisse monter , puis lui redonne et veille à ce qu'elles soient bien installées , puis il monte sur le sien et la rejoint tranquillement .

- Ça va aller trésor, ou préfères tu que je la prenne?
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