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[RP] Une pastorale haute en couleur

Navigius


La salle de pastorale était enfin prête. Les Bernardins avaient gracieusement acceptés de louer une de leur salles de classe sise en leur Collège parisien afin qu'il puisse procéder à la pastorale de jeunes angevins, heureuse et fière descendance de Joffrey de Beaufort et de Blademaster de Dénéré. Si les enfants avaient une once du comportement familial, la pastorale risquait d'être haute en couleur. L'italien observa longuement la pièce. Les murs, d'un blanc cassé, étaient tapissés de portraits de différents Saints et de tableaux contenant divers enseignement religieux. Pendant un instant, celà rappela au prélat ses jeunes années au Séminaire de Bonifanti.

Trois pupitre, ajustés à la taille présumée des enfants, étaient disposés en hémicycle attendaient la présence des futurs baptisés. Derrière, des chaises étaient disposées pour leur usage ainsi que pour les membres de la famille désirant assister à la pastorale, les angevins de déplaçant rarement seuls. Au centre de cet hémicycle, un bureau emplis de différents vélins nécessaires à la pastorale, ainsi qu'un ardoise afin de pouvoir écrire. Des nécessaires d'écritures et du parchemin étaient déposés sur les pupitres, pour écrire, ou dessiner pour les plus jeune.

Ne manquait plus que les enfants...

Kilianedemarenvielle


Accompagnée de sa soeur et de ses trois enfants , Jo avait fait route vers Paris.
D'autres personnes devaient les y rejoindre afin de suivre une pastorale.

Jo souriait devant l'air buté de Killijo , le sourire curieux de Louis-marc , et essayait de rassurer sa timide Aloara.

Ils avaient papoter gaiement tout le long du voyage.

Enfin le coche s'arrêter devant le collège des Bernardins. Suivant les indications, Jo emmena la petite troupe vers la salle mise à disposition.

après s'être faite annoncer , elle entra dans la salle.

-Bien le Bonjour , Monseigneur, dit elle en souriant.

Nous voici arrivés .. mais . humm.. . Le manque de curé et diacre de part chez nous ..fait que ..

Enfin d'autres personnes aimerait nous rejoindre et suite à notre conversation , je me suis permise de les inviter.

Jo regarda le nombre de banc ainsi que la grandeur de la salle. La place ne manquait pas et elle était sur que trouver des bancs ne serait pas difficile.

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Cerrydwenn



Un carosse aux armoiries de Bramafan et Levignac avait suivit celui des Dénéré suite à la proposition de Joffrey pour faire suivre une pastorale aux enfants.
Cerise pensait que celà serait une fort bonne idée que sa fille adoptive Ludi puisse suivre la pastorale afin d'acceder au sacrement du Bapteme par la suite .
La jeune femme à l'arret du coche descendit avec Eirenya en son sein et Ludi à qui elle prit la main .
Toutes trois elle passereent la porte de lédifice et Cerise montra à sa fille comment se signer puis elles avancèrent Vers Monseigneur Navigius .
Petite révérence .

"Bonjour Monseigneur , quel plaisir de vous revoir icelieu. Je vous amène ma fille adoptive Ludi qui à cinq ans et donc je souhaiterais que vous fassiez suivre cette pastorale ."

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Aislin_mckorky
Rose avait suivit toute la petite troupe des Dénéré à Paris.

Elle était baptisée de longue date, et c'était une autre évêque qui avait officié à la cérémonie, Monseigneur Arikel, aujoud'hui disparue. La jeune fille qu'elle était alors , avait reçue la grace de la religion par les mains de Dame Arikel évêque d'Angers .

Mais ce qui la navrait, c'est de n'avoir jamais pu suivre de pastorale, et celle de ses neveux l'enchantait vraiment.

Elle entrat donc tout sourire avec sa famille, et alla saluer Monseigneur Navigius.


Monseigneur, bien le bonjour, j'espere que vous vous portez bien malgré la lourde tache qui vient de vous échoir.
je serais extrêmement honorée de pouvoir accompagner mes neveux dans leur pastoral, n'ayant jamais pu en suivre.

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Ludi59


Ludi qui était arrivé au bord du carosse avec sa mère et sa petite soeur, souria devant l'édifice, elle regarda sa mère qui lui appris comment se signer, elle fit le signe et entra dans l'édifice avec sa mère, elle fit une réverence devant le curé et écouta sa mère parler.
Koreldy_tensen
C'est en entendant la proposition de Joffrey à Cerise, se dit qu'il était temps pour lui de rejoindre la pastorale. Il avait donc, attentivement écouté les instructions de Joffrey.

Bonjour Monseigneur, puis je me joindre à vous malgré mon age ? Il est vrai que je suis plus un jeune adulte qu'un enfant.
Et à la fois, ne sommes nous pas tous ses enfants ?!

Il espérait de tout cœur pouvoir suivre la pastorale.
Nk
Le rouquin entra dans l'édifice peut de temps après Cerise et leurs filles, il vint les rejoindre alors que sa douce s'entretenait avec Navigius.
Il était un peu gêné face à l'homme d'église, au vu des nombreuses crises que leur couple a traversé.
Mais il se dit que dans sa grande bonté, Navigius ne les jugerait pas, aussi il lui sourit sereinement, entrelaçant ses doigts avec ceux de la belle bretonne.
Lovelymaster
Le jour s'était levé sur le domaine et en cette belle journée d'été, le jeune Louis marc ainsi que sa sœur et son frère devaient prendre la route vers Paris.

Paris voici un nouvel endroit qu'il allait découvrir, malgré son jeune age, il savait et avait appris que dans cette grande ville se trouvait des gens de tout horizon, c'est donc avec envie qu'il se laissa préparer pour le voyage, un grand sourire sur le visage, et oui suite à la pastoral on lui avait promis qu'il serait enfin un homme, enfin il allait pouvoir avoir son épée comme son père.

Un voyage de plus en carrosse, le dernier des Dénéré aimait être assis prés de sa mère, enfin disons plutôt qu'il aimait s'endormir contre elle quand la route devenait trop longue. Et c'est qu'il arriva, il parti rejoindre Morphée au pays des reves, apres plusieurs heures de voyages il se fit réveiller doucement par de douces paroles sortant de la bouche de la duchesse.

un œil qui s'ouvre, suivit du second...



On est arrivé Moman? déjà? j'ai fais un gros dodo?

Il descendit de la voiture avec un énorme sourire, prêt à rentrer dans l'édifice et encore plus dans la pièce qui avait été réservé à la famille.

Une fois dans celle-ci, il regarda tout les tableaux et surtout le Grand Monsieur habillé de noir..

Ecoutant sa mère, il reprit après elle


Bonzour Monseigneur, je suis content d'être là, je vais devenir un grand garçon

Il se retira legerement et tira une courte révérence à Navigius, il avait encore pas mal de progrès à faire mais les bonnes manières lui avaient été inculqué dés son plus jeune age.

A peine s'était il redressé qu'il parti vers son grand frère, sa petite main se posa sur la manche de sa chemise et il se mit à la tirer doucement
Killijo_de_denere
Killijo avait suivi sa famille à contre-cœur. Sa mère voulait lui faire une pastorale pour son baptême alors qu’il ne rêvait que d’une chose, c’était de devenir un grand chevalier. Les bondieuseries l’assommaient et le faisaient dormir. Il boudait dans le coche, alors que son petit frère s’émerveillait de tout. La Tata Rose les avait accompagnés aussi, il ne manquait plus que leur père. Il se serait bien amusé s’il était là. Il regardait le paysage sans rien dire, en rêvassant.

Ils arrivèrent devant le curé. Killi le salua à peine. Il s’assit sur une des chaises prie-dieu et attendit en soupirant la suite des évènements. Il vit une femme magnifique arriver. Une belle rousse, aussi belle que sa cousine Jolie Fifou. Il la regarda, ébahi, évoluer vers le prêtre.

Il vit aussi une belle petite fille, qui semblait être à peine plus âgée que son frère. Il la regarda en souriant. Il l’avait vue alors que sa mère avait perdu connaissance dans son bureau. Il était assez intimidé, n’osant pas approcher la dame, de peur de ne pas être reconnu. Il resta dans son coin, à regarder les nouveaux arrivants. Décidément, cette pastorale allait être très animée par le nombre de prétendants au baptême. Il faudrait qu’il demande un jour à son père de lui expliquer pourquoi tous les hommes veulent à tout prix entrer dans la famille d’Aristote.

Il croisa les bras et continua à regarder les gens. Le curé était entouré de tous, il pouvait à peine respirer.

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Chez moi
Navigius


En un rien de temps, tout un cortège provenant de l'Anjou débarqua dans la salle de classe. L'italien salua chaleureusement la Vicomtesse de Beaufort-en-Anjou, une amie de longue date dont il avait eût le plaisir de célébrer le mariage en son Archevêché d'Auch. Elle emmenait aujourd'hui sa descendance vers le baptême, si bien que le prélat se sentit épris d'un coup de vieux, le temps passant si rapidement lorsque l'on était occupé. Les jours s'étaient mus en semaines et en mois sans qu'il ne s'en aperçoive.

- Bien le bonjour chère amie. Avez-vous fait bonne route, nous avons entendu parler de brigands sur les chemins, nous étions inquiet. Nous offrirons la pastorale à toutes les bonnes âmes s'étant déplacée pour la suivre, c'était une excellente idée de votre part d'étendre notre invitation à d'autres personnes désireuses d'arpenter les routes de la foy. Nous leur ferons de la place, j'ai cru voir divers bancs et pupitres dans le fond de la salle, il ne suffit que de les approcher un peu.

Vint alors la rouquinesque fille du Vicomte de l'Isle Jourdain, Cerise de la Croix de Bramafan. Le visage de l'italien s'illumina d'un large sourire à son arrivée, heureux de la revoir de nouveau après si peu de temps, les deux armagnacais ayant échangés quelques mots lors du mariage du père de la rousse. Visiblement, le mariage avait tissé des liens plus que charnel entre l'Anjou et l'Armagnac.

- Chère Cerise, chaque pièce où vous entrez s'illumine de votre présence, un véritable rayon de Soleil. Quant à vous, jeune demoiselle Ludi, c'est un grand plaisir de vous rencontrer. Nous avons préparé quelques surprises pour vous, je suis convaincu que vous serez ravie de les découvrir.

Alors qu'il laissait Cerise et sa petite Ludi aller s'installer, le prélat remarqua l'arrivée de Dame Rosebudy, qu'il avait toujours indirectement côtoyé, mais rarement eût la chance de discuter avec elle. Salutations d'usages passées, il répondit à la dame avec ferveur :

- Dame Rosebudy, c'est un plaisir de vous rencontrer en cette pastorale. Qu'à celà ne tienne, vous suivrez le cours comme les autres. Je crois avoir décelé une place près de la petite demoiselle Ludi, mais il faudra me promettre de ne pas vous appropriez tout les bonbons au calva que j'ai acheté pour la classe pastorale, nous sommes d'accord?

Petit regard pince-sans-rire envers la noble dame qui comprit d'un coup d'oeil complice les calembours du prélat. Entra ensuite une jeune personne dont le nom lui échappait. Tant de paroissien, difficile de retenir les noms de chacun, après tout il se trompait encore lorsqu'il parlait de Joffrey, confondant allègrement Beaumont et Beaufort. Rapide sourire accueillant et réponse :

-Bien entendu, joignez-vous au groupe, cependant, pas de chuchotement pendant la classe et interdiction de tenter de copier vos réponses sur celles de Dame Rosebudy! Pouvez-vous me rappeler votre nom? Je n'arrive pas à mettre le bon nom sur votre jeune faciès.

La situation anormale qui s'était crée par l'arrivée de Cerise fut enrayée par l'arrivée de Niall. L'un n'allait pas sans l'autre, si bien que pendant un instant, l'Archevêque avait craint un châtiment cataclysmique. Il salua chaleureusement son comparse armagnacais et l'invita à prendre place.

Vint alors le petit dernier des Dénérés, Louis-Marc. Véritable portrait craché de son père, avec un tempérament plus posé comme celui de sa mère, il effectua une révérence toute emplie de la grâce qui n'appartenait qu'aux enfants. Souriant, l'Archevêque le salua d'un léger inclinement, bien appuyé sur sa canne

- Messire Louis-Marc, vous avez de fort bonne manières pour un enfant de votre âge. Nul doute que vous grandirez vite et ferez la fierté de votre famille. Prenez place, il doit y avoir un siège à votre taille près de demoiselle Ludi. Vous verrez, la pastorale ira très vite.

Finalement, le moment tant attendu arriva lorsque Killijo de Dénéré franchit la porte. L'italien salua le jeune homme tout en réfléchissant. L'Attitude rebelle du jeune Dénéré le décontenançait, lui qui n'avait eût pour crise d'adolescence que l'incroyable fait d'arme d'avoir jeté un livre par une fenêtre dans son jeune temps. Comment quelqu'un n'ayant aucune idée de l'adolescence rebelle pouvait-il intervenir avec un jeune homme carrément dedans. Fermeté ou amitié, le prélat y avait longuement réfléchit.

- Messire Killijo, c'est un plaisir de vous voir icilieu en ce jour. Prenez la place qui vous sied le mieux, nous débuterons très bientôt.

Se dirigeant vers ses effets personnels, réunis sur le pupitre du professeur, l'italien assista à l'entrée furtive de sa jeune soeur, la tempétueuse Éliséa, qui se glissa de la porte vers le fond de la pièce dans un silence plus que suspect au sujet de sa ponctualité. Esquissant un sourire, il sortit plusieurs parchemins de sa besace ainsi que quelques nécessaire à écriture, et des ouvrages illustrés pour les plus jeunes. À l'aide d'une craie, il s'approcha de l'ardoise et y écrivit en lettre distincte son nom : Navigius di Carrenza - Archevêque Métropolitain d'Auch.

- Bien le bonjour à tous et bienvenue à Paris, dans cette salle de classe qui nous est grâcieusement prêtée par le Collège des Bernardins. Nous sommes Navigius di Carrenza, Archevêque Métropolitain d'Auch et Grand Aumônier de France, mais d'abord et avant tout, prêtre aristotélicien. Aujourd'hui marque le début d'une longue aventure sur le chemin de la foy pour certains d'entre vous, un rappel du droit chemin pour certains d'autres et une agréable journée pour tous. Afin de rapidement balayer les inconforts liés à l'inconnu, nous demanderions à tous de se présenter. Par la suite, nous demanderons à Dame Rosebudy de bien vouloir faire la lecture du premier vélin de la pastorale.

Alors que les gens s'exécutaient, l'italien se dirigea vers Dame Rosebudy et lui tendit le premier vélin qu'elle pourrait lire à voix haute, sa voix étant surement moins raillante que celle du prélat.

--Elisea_di_carrenza




Les pas furtifs de la jeune italienne se firent entendre dans le couloir, tout comme le bruissement de sa légère robe de soie violette. Maugréant contre ses cheveux qui ne voulaient pas tenir comme elle l'exigeait, elle déambulait dans le Collège des Bernardins, véritable prison qu'elle visitait trop souvent à cause de son ignoble archevêsque frère. Grandir dans des séminaires, des églises et des presbytères, voilà qui n'aidait pas le caractère d'un enfant. Passant en revue sa toilette en se mirant dans la glace située au fond du couloir est, un endroit qu'elle avait découvert jadis, elle fit une petite moue insatisfaite, car aucune italienne qui se respecte n'est jamais complètement satisfaite en matière de beauté. Un cloche se fit entendre dans le lointain, si bien que la jeune demoiselle compta les coups.Huit...Neuf...Dix.... QUOI? Dix? Déja dix heures? Et la pastorale!

Les pas devinrent de véritables enjambées alors que le temps pressait. Vint enfin la porte, toujours entrouverte. Reprenant son souffle et un semblant de parure, elle se faufila par cette dernière alors que son frangin faisait horriblement crisser l'ardois en écrivant son nom, comme si personne ne le connaissait. Quelques pas, une chaise salvatrice près d'un jeune homme qui devait avoir deux ou trois années de moins qu'elle et hop, entrée incognito. Regardant le ténébreux adolescent, elle hésita d'abord un sourire, puis une question.

- Aie-je raté quelquechose ou est-ce qu'il étire encore une fois son introduction au point où celà devient endormant?

Cerrydwenn



- Chère Cerise, chaque pièce où vous entrez s'illumine de votre présence, un véritable rayon de Soleil. Quant à vous, jeune demoiselle Ludi, c'est un grand plaisir de vous rencontrer. Nous avons préparé quelques surprises pour vous, je suis convaincu que vous serez ravie de les découvrir.

Pendant qu'elle devisait avec Monseigneur , Niall les avait rejoint glissant pudiquement une main sur le creux voluptueux de l'échine de sa rouquine.
Cerise ne put s'empecher d'esquisser un sourire en coin en croisant le regard de Monseigneur à l'arrivée de Niall, il faut dire que leur couple avait traversé tant d'epreuves mais c'est avec sérénité et complicité retrouvé que le couple sulfureux formait une famille plus unie que jamais.
Eirenya blotie contre le sein de la rouquine, Ludi qui tenait la main de Cerise ainsi que Niall en son dos , la petite troupe alla s'assoir .
Au passage Cerise remarqua Killi qui avait aider Ludi lorsque la jeune femme avait fait un malaise , elle inclina la tete dans sa direction et le gratifia d'un sourire pour le saluer .

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Koreldy_tensen
-Bien entendu, joignez-vous au groupe, cependant, pas de chuchotement pendant la classe et interdiction de tenter de copier vos réponses sur celles de Dame Rosebudy! Pouvez-vous me rappeler votre nom? Je n'arrive pas à mettre le bon nom sur votre jeune faciès.


Koreldy avait attendu que Navigius soit libre, aussi il se dirigea vers lui lorsque Cersie le quitta.
Un sourire aux lèvres, il se présenta.

Bonjour Monseigneur, pardonnez moi, je me nome Koreldy Tensen, fils de Umbre_de_loh Tombétoile, fils adoptif à vrai dire. Il m'avait parlé de vous, juste avant ... son décès.
Si vous le permettez je vais retourner à mes camarades.
Nous aurons le plaisir de converser une autre fois.
Kilianedemarenvielle


après avoir partagé quelques mots avec Monseigneur Navigius, Jo laissa le prélat saluer les autres personnes et alla rejoindre sa fille Aloara.

Celle-ci se tenait un peu en retrait , intimidée. Il faut dire qu'elle sortait de plus d'une mois de retraite et replonger de suite dans le monde n'était pas chose facile.

Jo lui prit la main , déposa un baiser sur son front et lui murmura:

Ma chère fille , tes frères sont ... hummm .. enfin tu les connais ...Je compte sur toi pour limiter leur bêtises .. enfin ... fait de ton mieux.

Jo lui sourit et resta un moment avec elle.

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Aislin_mckorky


Citation:
.....appropriez tout les bonbons au calva que j'ai acheté pour la classe pastorale, nous sommes d'accord?




Ces paroles du Prélat tournent inlassablement dans sa tête, elle se demande pourquoi il avait prévu des bonbons au Calva pour des enfants, comment ? de l'alcool ? ils sont angevins mais tout de même, pas au point de biberonner le calva dès les langes.

Tout à coup, elle rougit légèrement en pensant que Monseigneur Navigius devait avoir souvenir de quelque tonnelets de layon d'anjou dissimulés en la cathédrale d'Auch ...


Citation:
Alors que les gens s'exécutaient, l'italien se dirigea vers Dame Rosebudy et lui tendit le premier vélin qu'elle pourrait lire à voix haute, sa voix étant surement moins raillante que celle du prélat.


Puis elle se vit confier une tache à sa mesure.

Aussi se leva-t-elle avec grâce pour pendre des mains de Navigius, le velin tendu.

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Citation:










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