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[RP] Milhau en état de siège

Nidnim
Dès le point du jour on a vu débouler les moufflets du plateau, ceux des Combets, puis des Coulons et enfin ceux de l'Hôpital. Le réseau du Larzac s'était mis en alarme dés que la première lance languedocienne eut passé le pas de l'Escalette dans la nuit et les gamins des fermes des contreforts du Larzac avaient été le dernier relais. Nous avions la journée pour nous préparer.
La consule Mircha avait fait afficher les appels à la défense et avait personnellement préparé sa lance. D'autres groupes se préparaient. Les inimitiés d'hier s'évanouissent dans ces situations, même la population de Creissel qui n'avait pu trouver refuge au château du Vicomte était accueillie les bras ouvert, c'est peu dire.
J'avais envoyé un corbeau au castel pour annuler mes propositions de service d'érudit, avais passé la matinée à monter les meules à mains pendant que d'autres ramenaient le grain des moulins avoisinants. sur le midi toutes les fermes du coin étaient évacuées.
Après la sieste (la nuit risquait d'être longue et...il fait si chaud) l'épée a été dégraissée, son fil affuté, le casque et le bouclier ont été dépoussiérés et après une bise aux orfanels je monte à la maison commune rejoindre la lance de Na Mircha. Kiromance me rattrape et me lie au bras notre brassard de guerre. " Que li bengoun " peut-on y lire.

En cette fin de journée trois lances peu amicales sont repérées à proximité de l'enceinte...

"Que li bengoun"
"qu'ils y viennent"
Selm
Selm s'était réveillé ce matin sans le chant du coq. Il trouva alors la réponse en passant la tête par la fenêtre. Il vit de l'agitation, des gens s'afferaient avec des charettes de foin et de grain. Ils allaient nous pas les mettre dans la halle, ni dans les entrepôts de la ville. Ils allaient les mettre à l'abri dans des cachettes qu'eux seuls connaissaient.
Selm qui habitait la place de l'Église, était en face de cette dernière, sa cloche sonnait encore et encore... Il en était de même pour celle du beffroi.
Il sortit en passant sur lui son mantel et accrochant son épée à la taille, avec le bouclier dans le dos.

Alors il se dirigea vers la mairie où les gens s'amassaient devant afin d'arracher des informations à la mairesse, Mircha.
Elle était en tenue de combat et rassemblait des partisans pour se rendre sur les remparts et défendre la ville.
Alors qu'elle rassemblait sa troupe, Selm appela aussi d'autres afin de créer aussi sa lance et défendre une autre partie des remparts.

Il attendit que du monde vienne le rejoindre avant de se mettre en position.

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Les Chroniques d'Arthenay, pour essayer d'aider à avancer...
"Un voyageur est un mauvais politicien, mais un politicien est un mauvais voyageur"
Thibali
La maistre de camp, avait reçu missive par un gamin, dès l'aube.
La journée commencait mal ...très mal.
En grommelant, elle s'était rendu à la mairie. Déja autour tout le monde s'agitait.
Certains ne faisait que palabrer, d'autres agissaient. Elle reconnaissait bien là les gens de biens qui en cas de crise mettaient la main à la pâte.
Après discussion avec la bourgmestre et le tribun, elle distribua quelques ordres et s'en fut chercher ces hommes.

L'heure était au rassemblement. Les pigeons volaient vers rodez, d'autres vers les contrées voisines. Ils revenaient chargés de réponse...
Un pigeon en particulier l'a mit en rogne. Non seulement Millau était elle en péril mais Espalion aussi. Elle froissa le papier dans sa main et respira un bon coup.

Le conseil était alerté, l'état Major en action, La prévoté aux aguets et l'ost en alerte rouge.
Les civils veillaient aux grains ....
Pensive, elle s'avanca et regarda au loin....observant les mouvements.
Oseraient-ils ?
Son épée pendant a son coté, elle posa la main sur la garde, comme pour se réconfortée. La mandra défendrait sa ville
Mircha
La mairesse Mircha avait passé une nuit quasi blanche, à réfléchir, calculer, lire les messages des avant postes et des espions qui s'étaient glissés subrepticement parmi l'armée d'en face pour rapporter des nouvelles. Les soldats boivent pour se donner du courage et deviennent rapidement bavards, c'est bien connu. Il suffit d'attendre et d'ouvrir grand ses oreilles.

La mairesse, les yeux rougis et les doigts tâchés d'encre, s'échinait sur ses parchemins, envoyait et recevait quantité de pigeons qui voletaient autour de la mairie. Le ballet des volatiles avait quelque chose d'irréel dans la lumière rosée du petit matin.

Elle avait ceint son épée, s'était composé un visage volontaire et déterminé pour encourager ses concitoyens. Elle rassurait certains, expliquait à d'autres comment défendre leur ville, s'occupait de l'intendance, du recrutement de la milice.
Et surtout elle avait dégoté quelques costauds pour sortir des caves fraîches de la mairie toutes les marchandises entreposées là. Il fallait emballer tout ça, le répartir sur les chariots qui les emporteraient en lieu sûr.
Pas question de laisser quoi que ce soit aux envahisseurs. La politique de la terre brûlée, voilà ce qu'elle avait entendu à la réunion avec le conseil.

Elle regardait ceux qui avaient pris les armes avec courage, dès les premiers appels. Elle les voyaient s'affairer sur les remparts, et elle était fière de ces hommes et de ces femmes qui se dressaient pour défendre leur ville bien aimée.

Alors elle qui était une femme de paix et de diplomatie, elle avait mis un masque de guerrière, pour que personne ne voit ses yeux s'embuer et son âme se recroqueviller à la pensée de ceux qui allaient souffrir.
Elle agissait car il fallait agir, mais son coeur se fêlait sous la cuirasse.

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Mircha, mairesse de Millau et garde-pêche
Audixia
La petite fille avait une fois de plus échappé à la surveillance de sa bienveillante nourrice. L'agitation au dehors l'avait réveillé, elle et son sang bouillant de vie, plus même que les autres enfants de son âge.
Elle s'imaginait n'avoir peur de rien. Mais le soleil n'était pas levé ce matin là que ses yeux s'ouvraient déjà, un boule creusant son estomac. Trop jeune, elle n'était pas encore capable d'identifier l'angoisse prémonitoire quand elle y était sujette, et pensa qu'elle avait envie de se dégourdir les jambes.

Elle se glissa hors de l'auberge, et s'accroupit dans le caniveau, sortant sa craie de sa poche, bien décidée à égayer les pavés sombres et crottés qui s'étendaient sous ses pieds. C'est alors qu'un vacarme assourdissant parvint à la distraire suffisamment de sa besogne pour qu'elle relève la tête. Un homme qui conduisait une lourde charrette et ses imposants bovins s'était arrêté à sa hauteur. L'inconnu regardait la gamine, se demandant ostensiblement ce qu'elle faisait là à s'amuser.


Et dis moi la petiote, tu devrais pas être en train de plier bagage ? T'es pas d'ici ? Les femmes et les petits enfants comme toi doivent partir ! File de là !

Il adressa à la petite un regard dur, dans lequel les adultes aurait pu lire la détermination saupoudrée d'angoisse que provoquent généralement les situations de guerre. Bien loin de ces considérations, Audixa, déjà énervée par quelque chose dans l'air, ne put que se sentir agressée par les propos abrupts, et sa fierté pris le dessus en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, ses yeux brillèrent.

Gran Tatû ! M'a rien dit nounou, on part ce soir nous. On est pas des tatacul d'polaille !

La réponse ne se fit pas attendre, et l'homme ainsi insulté leva la main. La gifle sonna Audixia, laissant une marque cuisante sur sa joue, en représailles d'avoir si hardiment répondu à plus grand qu'elle. Elle se rappela que sa nourrice lui avait souvent promis la même chose quand elle dépassait les limites du raisonnable.

L'enfant ne pouvait accepter cette correction faite sans la présence même de sa préceptrice, et ne comprenait pas comment un quidam osait porter sur elle son châtiment. Les larmes aux yeux, elle se leva d'un bond, et laissant choir la craie qu'elle tenait, s'enfuit en courant dans les ruelles inconnues, grouillant d'animation pour se préparer à l'affrontement imminent avec leurs ennemis.
Nidnim
L'Encantayre à Milhau doit, soir et matin, à toute heure du jour et de la nuit, si nécessaire, faire le tour de le ville, en passant par les murailles, et en jouant de la trompette annoncer les nouvelles venant de la maison commune,ce que d'autres appellent la mairie.
A cette heure notre encathaire, notre crieur publique en fait, dans son costume vert taché de sueur et couvert de poussière n'avait plus de voix. C'était l'heure la plus chaude de la journée et c'était avec gratitude que l'homme avait accepté la gourde de maître Nid. Ils se connaissaient bien, compagnons d'ivresse dans nombre de nuits, le boucher avait souvent détourné l'encathayre -l'encantayre doit par contrat éviter la fréquentation des tavernes et la société des mauvaises gens- dans le coté sombres des venelles de la cité.
Les deux milhavois du haut de la tour de la porte des Gozons, regardait le sud, le Tarn et les falaises du Larzac.
Par delà la rivière les carcassonnais avaient établis leur camp. Ils étaient nombreux. C'était étrange, comme à se demander si ce n'était pas Carcassonne qui faisait la guerre à Milhau. Les petites gens n'avaient peut-être jamais entendu parler de cette ville fortifiée mais en tout état de cause, aujourd'hui, ils avaient la haine du carcassonnais. A un tel point que déjà les gamins dans leurs jeux de rue se traitaient de « carcassonnais » quand l'insulte fusait.
Aktar
Aktar dans une discussion qui se passait dans une taverne de villefranche, qui parlait de la menace du Langudoce il dit :

...Mais les languodocien on un grand territoire mais son imcapable de le défendre ! Il on peut-être beaucoup de militaire, mais personne ne sais se battre...c'est guerre dura surement 2 semaine !
Pas plus ! De toute façon il sont tous dépourvue d'intelligance...ce sera facile de les vaincres !

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Nothias
Edit Flood. {darky}
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Zoelie
Comme bien souvent, elle passait par les villes de son diocèse de Rodez, sans prendre parole, observant, écoutant les uns et les autres.
Ces derniers temps, on eût dit que le même vent de folie qu'en ses tout débuts soufflait sur le Rouergue ; elle hésita à passer encore son chemin, encore une fois, sans rien dire.
Puis, en une impulsion soudaine, à peine retenue par son fidèle valet qui l'accompagnait partout, elle s'avança pour quelques simples mots :


Mes amis, gens d'ici, gens de chez nous, pauvres, riches, nobles ou gueux, hommes et femmes,

Je vous en prie ! Prenez le temps de réfléchir ! Prenez le temps d'imaginer les conséquences de vos actes ! Prenez le temps de vous souvenir de la parole divine !
Oane, le premier, celui qui fut élu par le Très Haut a permis de désigner l'homme comme seul, parmi les créatures vivantes, capable de ressentir, de connaitre, de comprendre et de diffuser l'amour.
N'oubliez pas, braves gens, le sens profond de l'amitié aristotélicienne !
Laisser parler les armes n'est que la pire des solutions. Tous sont perdants quand la voie de la négociation échoue.

Pardonnez-moi de venir ici et ainsi vous interpeller de la sorte. Ce que je vois, ce que j'entends m'effraie tellement !
Je ne suis ni plus, ni moins que vous . Je suis une simple personne, enfant du Créateur, tout comme tous ici, attachée à notre région, à nos amis, à nos voisins.
Prions ensemble pour que cesse les bruits de la fureur des hommes !


Avec grande ferveur, elle entama une prière à voix haute en espèrant que d'autres la suivent.



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Thibali
Elle veillait sur les remparts, aux cotés de nombreux autres.

Le vice-comte lui avait fait savoir la réponse de la comtesse Enduril qui niait toutes attaque envers Millau. L'armée qui campait aux abords de Lodève, selon celle-ci faisait la chasse aux brigands sur les terres languedociennes.

N'empêche... elle avait une mauvaise im pression qui se confirma à l'aube . Tout près se profilait l'oriflame de l'armée.
Réprimant le sentiment de colère, elle les observa s'approcher des rempart et installé leur campement aux portes de Millau.

Quel scélérat osait ainsi franchir les frontières....Elle plissa les paupières et reconnu a son grand dam des couleurs. Pas possible ! Guèine n'apprécierait pas.....Elle jeta un regard au loin vers les terres de Belcastel, Etienne lui manquait aujourd'hui....particulièrement aujourd'hui.
Devrait-elle affronté les amis ? Elle n'en croyait pas ces yeux....

Reprenant ces esprits, elle prit en main son épée et parla aux hommes qui l'accompagnaient sur la Muraille.


Courage Millavois, nous allons défendre nos terres contre l'envahisseur !
Aujourd'hui sera un triste jour.....Virtus semper triomphat!
Eloy_dazayes
Eloy faisait une pause dans la ville de Millau, mais ce matin, il avait été reveillé par un bruit inhabituel.
Il l'avait reconnu bien trop facilement, le bruit des armes, le bruit d'une armée en campagne...

Il se leva d'un bond, et pensa à Aristote, qui prechait la Paix, il se décida donc à aller prier, avant de se mettre à la recherche d'un groupe armée qu'il pourrait adhérer pour défendre Millau....

Allez, courage, tu défends une terre contre la folie de certains hommes....
Quand les gens apprendront ils à se parler autour d'une table et à s'expliquer ?


Il s'avancait lorsqu'il reconnu, de par son acoutrement, une jeune femme d'Eglise qui entamait une prière, lui, que les Eglise en général endomissait, posa genou à terre et entamma à son tour une prière.

Tu ne faibliras pas, tu défendras ces terres... Pensa-t-il

D'un coup d'oeil, il remarqua la Maitre de Camp, il irai la trouver et défendrai la ville...
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Lordmick
Pendant se temps à Espalion, Lord voyait les pigeons arriver de tout les cotes et faisait partir les siens dans les 4 quoi du comte.

Hum alors comme cela le Languedoc est rentre sur nos terres... On va defendre Millau, la guerre est declare maintenant.


Il ouvrit la lettre qui venait du Languedoc

Citation:
Concernant l'armée sise à Lodève, elle est actuellement en mission de nettoyage à travers le comté depuis Carcassonne. Nous avons un nid de Lodévois coutumiers de Jacquerie qu'il va nous falloir mater, certains étant sur notre liste noire officielle des personnes poutrables.

Je dois avouer que nous attendons quelques précisions sur des déplacements potentiels pour placer cette armée sur un noeud et poutrer une bande menée par un hérétique qui se fait fit des décisions de la pairie et menace de prendre par la force notre castel de Montpelhièr. Si la présence de notre Ost ne suffit à les calmer, il est clair que notre armée devra se positionner sur un noeud pour les renvoyer en convalescence chez eux. Comprenez aussi que ces personnes semblent souffrir d'un complexe de persécution et qu'ils sont même prêt à toutes les bassesses pour nous virer de ce qu'ils semble penser être une ville indépendante du comté. Peut être même demanderont t'il à nouveau à être rattaché à votre comté, ce qui, si c'était accepté et avéré pourrait être considéré comme déclaration de guerre de votre part.


Hum apparament il n'ont pas de paroles chez eux... Bon il faut demander au bon peuple de nous aider a defendre nos valeurs.

Il se reconcentra sur les nouvelles en esperant ne pas voir de mort et en esperant que cette infami ne resterai pas impuni !
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La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!
--Ljs


Monseigneur,
Il suffit ! Venez, les gens vous ont entendu. Leur conscience leur dictera ce qu'ils ont à faire.
Vous ne pouvez pas rester la. Cela risque d'être dangereux !


Il la tirait par la manche et tentait de l'éloigner de la place.

Nous devons rentrer en Toulouse, de toutes façons ! Vous savez bien que vous devez intervenir là-bas !


Le jeune simplet, dict "LjS", fidèle serviteur de la baronne depuis des lustres et des lustres.
-16 ans, fort comme un boeuf, pas bien fini, mais très gentil-



A la suite ...Zoélie :
Elle avait aperçut un jeune garçon agenouillé. Lui aussi venait aux nouvelles, mais il avait pris le temps de réclamer le secours divin. Elle lui adressa signe de tête et finalement obéit à son fidèle serviteur et se résolut à quitter les lieux, gardant grande inquiétude en son âme.
Zacharia
Zacharia essuie la condensation qui de si bonne heure le matin couvre son mézail. Il l'ouvre pour voir plus clair.

Devant lui, la cité Rouergate. Ses hommes ont leurs ordres et les remparts sont promptement entourés, les sorties de la ville surveillées. Pour l'heure ses hommes ont juste l'ordre de surveiller les abords, de n'engager le combat que si une formation hostile se présente.

Les Rouergats commencent sérieusement à le chauffer. Il Prend l'oriflamme aux couleurs du Languedoc en main, talonne son destrier pour se promenner devant les murailles de la ville, voyant des défenseurs entre les merlons, un genre de milice civile pour la plupart. Rien qui ne pourrait les arrêter s'ils voulaient prendre la cité. Il s'arrête devant les portes principales de la ville et d'une voix puissante, vibrante de colère contenue :


"Il y a quelques temps un bandit reconnu utilisait les fruits de son pillage pour faire commerce avec ce comté. Alors que votre conseil le savait il n'avait pas hésité à donner le statut de guilde officielle et de pouvoir ainsi profiter des fruits du pillage du Languedoc. Alors que nous vous avions aidé lors du de la création de ce comté. Nous aurions mieux fait de nous couper le bras.....

Et maintenant, alors que le baron de Portes offrait assistance à la maire de votre ville, lui proposant de l'aider avec ses hommes, ce conseil ne trouve rien de mieux que de les mettre en procès le jour même de leur arrivée et de les prendre en otage. Dont mon propre fils ! Le fils de celle qui, lors de chacun de ses mandats à la tête du comté du Languedoc a aidé votre comté. Et voila les remerciements que vous nous faites ?

Par amitié envers les anciens habitants de notre comté qui sont venus chez vous, nous vous avons aidé tant que nous avons pu. Et aujourd'hui, vous nous poignardez. Il ne sera pas dit que j'ai laissé mon fils et mes amis dans le besoin. Si les procès ne sont pas annulés et que vous ne faites pas démonstration de votre volonté à vous excuser, il vous en cuira."



Zac referme son mézail, fait demi tour et va se poster sur une hauteur ou ses hommes ont déjà installé les tentes d'état major.
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Odysseus
Dans la taverne QG de la Bastide de VF, à quelques jours de marche de Millau

Odysseus ouvre rapidement les pigeons qui affluent de partout. La taverne est une volière pas possible et la serveuse ne cesse de balayer les plumes qui s'amoncellent.

Il prend une lettre et constate qu'il s'agit d'un rapport de son agent à Millau. Il l'ouvre et lis en froncant les sourcils.


Ces ebflures nous sortent les vieilles excuses bidons pour justifier leur entrée en Rouergue sans avoir demandé d'autorisation ou quoi.
En plus de ça leur pretention va jsqu'à dicter au Rouergue sa conduite !! Mais pour qui se prennent t'ils ces peignes cul ???!! Ils pensent dicter leur loi en Rouergue comme si nous etions une colonie ?


Odysseus fulmine.

L'aide qu'il nous ont offerte, heureusement avec ce que le Rouergue leur a donné après le desastre de Montpellier. Ces imbeciles n'ont pas compris la leçon apparement.

Qu'ils viennent jusqu'à VF et ils verront la surprise que je leur prepare.

Ody refait un courrier pour le bureau du porte parole à Rodez.
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ma citation du moment :
Ce n'est pas fair-play de ramasser les balles de golf perdues pendant qu'elles roulent encore.
[Mark Twain]
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