[RP] Terribles en Rouergue

L appel , ils l avaient tous entendu ...
Des quatre coins du Bourbonnais Auvergne ils s étaient retrouvés...
Les fidèles de la COBA, l élite, les Terribles
Ils avaient été rejoints par bien d autres, fiers d être de leur armée, heureux sil ils en revenaient de pouvoir le raconter...

L oriflamme haut dans le ciel, les sabots de leur monture frappant le sol avec force, tête haute, Les Terribles parcourent les routes pour rejoindre Le Rouergue.

Dans leur yeux, courage et honneur de porter au bout de leur bras les couleurs de leur armée , de leur Duché.
Sur leur passage, les paysans travaillant dans leur champ , relèvent la tête...Admiratifs ou craintifs....

Les rayons du soleil matinal se reflète sur les armures, au loin , les remparts de Rodez...

Hommes et femmes sans d autre peur que de ne pas honorer leur drapeau , la vaillance est leur compagne....
Le galop des chevaux devient moins cadencés...Ils approchent de l entrée de la ville....

Capitale du Rouergue, sois prête a acceuillir les valeureux du BA!!

Non loin des portes, elle met pied à terre avec ses compagnons d armes.
Chacun s affaire pour monter le campement.
Pas de gestes ni de mots inutiles, la blonde sait ce qu elle doit faire.
Comme ses frères d armes , une fois que sa monture est dessellée, elle la mène au point d eau...
Le camarguais se désaltère...Du coin de l oeil , elle voit le bas-rouge , fidèle d entre les fidèles, partir a l aventure.
Le chien, museau vers le sol, disparait bien vite...
Pascale retourne vers le campement qui commence à prendre forme...
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Face aux menaces languedociennes les rouergats ont fait appel à l'aide du B-A qui a répondu de la plus belle manière, l'envoi des Terribles.

Après une longue chevauchée sous le soleil les hommes à l'armure noire, accompagnés de troupes triées sur le volet, arrivent enfin sous les remparts de Rodez et mettent pied à terre devant la capitale du comté. Laissant Nesta aux bons soins d'un écuyer, Rasta va à la rencontre du garde qui arrive au trot vers eux.

Cours prévenir ton capitaine que les Terribles du Bourbonnais-Auvergne sont là pour lui prêter main forte. Lui dit-il en lui montrant le papier de la COBA frappé du sceau ducal.

Alors que le troufion repars en quatrième vitesse vers la cité, il se retourne vers ses frères qui ont déjà commencé à installer le camp. Nul besoin d'ordres, passant le plus clair de leur temps hors de leurs chaumières, parcourant les routes par monts et par vaux, tous savent parfaitement ce qu'il convient de faire.

Une fois tout installé, tous se réunissent pour hisser solennellement le drapeau de la COBA suivi d'un drapeau rouge sang avec en noir en son centre une tête pourvue d'une barbe touffue : l'emblème des Terribles !
Ceci fait, les gardes prennent leur poste pendant que dans la tente principale on commence à préparer le lendemain .
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Pour le B-A, Force et Honneur!

Un messager accourru dans le chateau.

Messir, Messir, ils sont là, Messir, Messir, vite ils arrivent!

Lord Mick leva un oeil, fatigué apres avoir passe une nuit de plus sur les remparts avec ces soldats mais pour une fois la nuit fut fructueuse.

Quelque cris avaient retentit au loin et ses soldats avaient engagé un petit combat avec des bandits de grand chemin.

Oui voila, j'arrive. Pas la peine de crier comme un putois je suis sur que l'on ta entendu depuis la place du village !

il remeta et ses bottes, reajusta son armure pris son épee et descendit sur la place central du chateau ou son cheval scelle l'attendait.
Il grimpa et parti en ddirection de se nouveau hote afin de les salués lui meme.

Bonjour à vous et merci de vous etes deplace pour nous aider, je suis Lord Mick Capitaine du Rouergue, j'espere que vore voyage a ete agreable.

Vous preferez camper à l'exterieur ou preferez vous que je vous fasse rentrer dans la ville?

Et avez vous besoin de quoi que se soit?
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La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!

Lord Mick lui sourit et lui serra la main d'une bonne poignee franche et amicale.

Bien sur bien sur je vais vous dire tout cela mais pas ici malheureusement les murs on des oreilles et puis il parait que je bosse pas beaucoup alors on va pas commencer a leur donner tord.

Lord Mick eu un leger rectus puis inivtant son hote à le suivre.

Venez avec moi à l'OST, nous allons discuter borderie, de plus je pense que vous devriez revoir des gens qui vous sont familier et envoye un message pour remercie votre conseil de nous venir preter un coup de main, je m'en rappelerai.

Passant son bras derriere lui il lui indiqua la direction à prendre.

Si vous ou vos hommes on besoin de quoi que se soit faite le moi savoir si je peux je le ferai.
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La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!

Du castel, l'agitation s'était faite entendre. le comte jete un oeil par la fenetre et y reconnait la banniere auvergnate.
Il se rend a leur rencontre.

il approche d'un garde en faction

Bonjorn soldat! soyez le bienvenu sur nos terres!
Je suis Toni Montana, coms d'Eysena et de Roergue. Pouvez vous annoncer ma visite a votre chef de campement?
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Prince qui avait attendu vit arrivez un homme vers lui
Il lui dit

Puis alla chercher le chef Laurentide pour lui annoncer la venue de l'homme .


[color=green]Sieur Laurent , un homme du nom de Toni Montana souhaite vous voir ![/quote]
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En retournant au au Campement lord Mick vit une personne qui le salua .

Il le reconnu pour l'avoir rencontrer en taverne un peu plus tot et lui rendit son signe de tete.

En continuant sont retour il vit le Comte descendre et venir en direction du camp apres l'avoir salue il discutat un peu avec puis retourna en sa compagnie à l'interieur de l'enclave de leur otes.

Il suivit alors le bras droit du chef qui leur fit une visite de leur installation
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La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!

Tim recupere la gourde vide.
Il accompagne pascale jusqu'a ses quartiers et la laisser entrer seule dans sa tente.

Bon repos, pascale, on se voit plus tard alors

Puis tim entend qu'il y a une riviere un peu plus loin.

Pas bete, le chef rasta se dit il. Bonne idéée, moi aussi je vais me baigner et remplir les gourdes en meme temps.

Il se tourne vers laurentide, commandant en second il suppose.

Laurent, je vais a la riviere remplir les gourdes.

Il se dirige vers la riviere et il entend des clapotis.
Sans doute rasta qui se baigne se dit il.

Il entend aussi des voix.
L'une d'elle ne lui laisser aucun doute, c'est son amie sofio qui traine dans le coin. Il s'approche en sifflotant.

Tim se place sur la berge. Il voit plusieurs chevaux. Elle n'est pas venue seule.

Alors, capi, on barbotte comme un canard ?
Il te manque quelques poils et plumes quand meme ...

Il rit
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campement rivière

a des jours ou

silence je suis pas morte je dors, quand on ferme les yeux on imagine un monde a part, on peut refaire le monde et revenir sur le passé..tais toi.

Je me revois fiére et imbue, jeune militaire,en ce temps la, point de guerre de pouvoirs la guerre était au nord, les merdouilles de la politique était pas de mon ressort,en ce temps la j'avais espoir.

Les nuits de misère se sont succédés pour en arriver a faire entrer le loup dans la bergerie, COBA tu le comprendras un jour, je ne suis pas enfuie,je veille.

Personne n'a rien vue venir,et pourtant la bête guettait dans l'ombre depuis si longtemps, une pensée pour pascale,pourvu qu'elle y arrive, elle seule peut sortir du brouillard, je ne peut plus rien faire, il est déjà trop tard.

Arrête ce n'est plus pour toi.....

Si cela l'est, je ne peut nier, cela reste en mon coeur, et si il faut en mourir, j'irais jusqu'au bout

tais toi tu n'es plus seule cruche

Elle ouvre les yeux, et appercoit rasta..riggins, se rend compte soudain de sa nudité revient a terre, cherche autour d'elle....

Oui oui c'est moi, qui voulez vous que ca soit bon déjà vous allez commencer par vous retourner que je sorte de l'eau et m'habille ,pas malin d'arriver comme ca a pas feutrés, vous auriez pu vous prendre un mauvais coup.
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Alors que je suis là à observer Sofio sous toutes les coutures, Tim arrive à son tour plusieurs gourdes à la main. Prenant alors conscience de ma propre nudité je retourne m'habiller avant de revenir chercher des réponses que je compte bien obtenir.

Bien, maintenant que nous sommes deux pour mener l'interrogatoire tu vas pouvoir nous donner la raison de ta présence ici. Dis-je la regardant d'un œil nouveau. Et nous parler un peu de ceux qui t'accompagnent. Ajoute-je apercevant quelques chevaux derrière elle.
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Pour le B-A, Force et Honneur!

Tim entendit une voix derriere lui.

Il se retourna la main sur l'épée. Il apercut vincentte, le frere de lin.

Bonjour, s..., vincentte, vous allez bien ?
Je prefere pas donner de grade en foret, on sait jamais, on pourrait etre ecouter.


Il tourne vers sofio qui finit de mettre son armure.

Alors c'est sofio qui t'escorte ou c'est l'inverse ?

Tim sourit.

Vous pouvez passer manger au camp au pied de la ville ce soir si vous voulez je pense.
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Vincentte souriait, Sofio savait si prendre pour répondre ironiquement aux questions.

Il aquiescait ce qu'elle disait en hochant la tête.

C'est vrai, je suis un grand amoureux de la nature et en particulier des canards, ces petites bêtes sont tellements intéressantes ...

Donc quand Sofio m'a dis qu'elle partait suivre des oies sauvages, j'ai pas hésité une seconde, j'ai pris mes affaires et je l'ai suivit. Je me suis dis que si des oies partait pour le Sud, les canards suivraient forcément ...


" et je ne m'étais pas trompé ... " se dit il a lui même, en arborant toujours son sourire.

Tim ecoute les paroles de sofio et vincentte et sourit.

Ah la nature ... en effet, il parait qu'elle est jolie par ici, faudrait voir a pas tout saccager ...

alors, vous venez au camp ou pas ?

Tim remplit les gourdes maintenant que sofio est sorti de l'eau, une gourde a la fois, puis il remet les 5 gourdes en bandouliere et se prepare a redescendre au camp.

Je vais vous laisser alors, je retourne au camp, bonne chance avec les natures alors, attention aux oies sauvages sofio ...
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Zikzok était heureux, il avait fait bonne chasse. La mare proche, pleine de bestioles qui lui ferait un bon repas pour ce soir était suffisamment giboyeuse pour tout le monde. Un acte généreux pour une fois mais ça ne le dérangeai pas de tuer un peu plus. De retour aux environs du campement, il entendit des voix familières. Il sourit, les Terribles les avaient donc trouvés. Le borgne écouta un instant la conversation et se manifesta.
- Bonjour messieurs. Sa voix puissante dissimulait malle son amusement. Je crains n'en avoir pas pris assez pour tout le monde. Il exhiba sa prise, attachées par le cou, deux paires d'oies sauvages, chacune avec un carreau d'arbalète encore figé dans le flanc et traversant les bêtes de part en part.

Y en a qui comprenne pas grand chose

Je suis monté à Rodez, j'attends les ordres de mes supérieurs hierarchiques de l'Ost.
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Vicomte de Creissels

Alors que tout le monde discutait gaiement et que Zikzok venait tout juste de les rejoindre en exhibant sa prise du jour, de belles oies sauvages, une pierre vint se posé au centre du petit attroupement d'Auvergnats.

Vincentte se retourna pour voir d'ou venait cette pierre, il vit un paysan en train de hurler des choses complêtement absurde.

Tu as un problème le paysan ?

Aussi rapide que la pierre était tombé a leur pied, Vincentte la ramassit et la renvoya a l'envoyeur en souriant.

Soudain une pierre, je regarde en direction de la provenance.

Un homme au loin criais.

Aktar dit
Qu'est que des soldats du BA vienne foutre ici avec leur sale patte !?
Vous n'aurez pas le Rouergue !!! Le Rouergue aux Rouergats : point barre !
J'aimais je ne plierait devant votre comte ! JAMAIS

Vincentte récupèrent la pierre, la lance vers le paysan, suivit d`une réplique au paysan.

Avant que cette escarmouche devienne un événement diplomatique, je crois bien faire en m`expliquant.

Soldat Vincentte, nous somme en terre étrangère, nous somme terrible avant tout, il faut montrer l`exemple. Une seul guerre que nous somme venu batailler, se villageois a vécue de grande tentions.
La seul solution possible, parlementer dans le calme.

Me dirigeant vers l`inconnu, déposant mon épée en guise d`amitié.
Bonjour messire, je me présente Laurentide le fier vagabond.
Nous somme ici pour aider le comté de Rouergue, bien sur si vous avez grief contre nous je suis ici pour parlementer.

Attendant de connaitre la version du paysan.
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Aussitôt arrivé il me tend la main, je fis de même, en lui serra la main.

Il s`expliqua, se que j`ai vite compris la crainte qu`il y avait en cette homme.
Volant le rassurer, je profitai de la situation pour l`informer de la situation.

Comme vous le voyez, nous somme nombreux a cantonner en votre comté.
Bien sur nous avons tous les documents de vos dirigeants pour reconnaitre notre présence.

Notre objectif est fort simple, combattre avec vous peuple de Rouergue ensemble nous avons plus de chance de réussite, afin de vous redonner la dignité que vous semblez avoir perdu.
J`espère avoir réconforté votre inquiétude.
Je me permes de vous inviter en notre groupe, en vous offrant un bon verre de Calva.
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je passe prés du campement des terribles, vois mes amis Laurentide et Ratasplegique,ils m'ont bien l'air occupé,laurentide comme a son habitude entrain de faire de nouvelle connaissance ,par contre je vois Sofio a moitié dévêtue face a rasta ,très intrigué de passe devant Laurentide et lui fais l'accolade ,je suis heureux de le voir la

comment va mon frère?

puis lui murmure que ce passe t'il avec Sofio et Rasta ?
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Attendant la réponse du paysan, une silhouette se dessine au loin, ressemblant drôlement à mon ami Beusman.
Le sourire aux lèvres, il me donne une accolade, toujours heureux de le voir, je le sert avec vigueur.

Beusman dit
Comment va mon frère?

A bien salut Beusman, que me vaut cette belle visite, je te croyais a Montbrisson.
Bien je te présente, hum je cois qu`il a oublié de se nommer. Nous fessions connaissance.
Bien je `l`invitais à prendre un verre de Calva, tu nous accompagne.

Puis il m`explique qu`il a rencontré Sofio et Rasta.

A oui, je ne savais pas que Sofio était déjà rendu en ce comté, moi je surveille le campement en attente de Rasta. Il est parti ce rafraichir, depuis pas de nouvelle.

Pendant que tu m`en parle, j`ai remarque que plusieurs se rendre a la rivière, soit que l`eau est bonne ou bien ???
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qu'il est bon

Agréable sensation de pouvoir se sentir femme a nouveau, étonnante réaction que celle de rasta, elle aurait cru le voir rougir et se terrer, il a pris du poil de la bête, et a réussi a passer avec brio son petit test improvisé, il a même faite frémir, mais elle n'était pas la pour ca, autre temps autre lieux, même si les nuits sont chaudes, son cœur lui est si froid.

Laurentide la fera toujours rire, il est d'un calme et d'une patience a toute épreuve, il maîtrise le paysan ignare d'une main de maître, il sait en imposer par son dialogue.

Au loin quelques chevaux arrivent, ils sont la elle les attendait inquiète, enfin.....

Il va être l'heure, puisque tous sont présents, elle sent un noeud au fond de son ventre, elle sait qu'elle est en train de vivre les derniers instants avec les siens, seuls une poignée d'entre eux l'accompagnera encore un bout de chemin, puis il sera venu le moment, ou tous disparaitront, il ne restera que lui, lui et ses doutes, lui et son incertitude, et elle, elle et ses craintes, elle et tout ce qu'elle emportera avec elle, ses secrets bien gardés.......
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Elle avait tardé mais finalement Thibali arriva au campement des Terribles.
La jeune femme mit pied a terre et tint par la bride sa monture. Elle laissa son regard glissé sur le camp et un sourire vague apparut sur ces lèvres.
Cela lui rappelait tant de souvenirs.
L'immense campement au pied du Mans lors de la guerre du DR contre la bretagne. Le campement de l'ost de Guyenne en Poitou et puis plus récemment celui de la Mandra .

Tout semblait a sa place ici. Malgré une certaine agitation aux abords en direction de la rivière.
Elle eut l'impression de reconnaitre un des paysans de Villefranche...qu'est-ce que cet impétueux faisait ici ?
Un soupir, puis elle s'avanca vers le garde

Soldat, je viens a la rencontre de votre chef. Vous pouvez annoncé dame Thibali, maistre de camp du Rouergue.

Voyant le paysan retourné a son champ, ma réponse lui a surement été favorable.
Bon une première mission diplomatique réglé.

Mon ami Rasta étant sur place, il sera dialogué avec les nobles au campement.

Nous dirigeons a la cantine quand un cri

Au combat on nous attaque,

n`écoutant que mon courage l`épée sorti au pas de course, un attroupement devant nous.

Enfin de l`action.
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Non loin de notre campement, plusieurs personnes armée, s`avance en notre direction.
l`épée a la main, leur cri ne laisse aucun doute a leur intention.

Dans la fouler, j`ai du me battre contre plusieurs combattants. N`étant pas seul au combat
l`aide me fut que profitable.

28-08- 04:11 : Vous avez frappé Oxxx. Ce coup l'a probablement tué.
28-08-04:11 : Vous avez été attaqué par Oxxx.
28-08-04:11 : Vous avez été attaqué par Mxxx.
28-08- 04:11 : Vous avez frappé Oxxx Ce coup l'a probablement tué.
28-08- 04:11 : Vous avez frappé Dxxx Vous l'avez grièvement blessé.
28-08-04:11 : Vous avez frappé Dxxx Ce coup l'a blessé superficiellement.
28-08- 04:11 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Oxxx et de Dxxx
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Rasta s'apprêtait à répondre à son invitée quand un garde donna l'alerte.
Arrivant en courant sur le lieu désigné il vit une bande désorganisée se diriger l'arme au poing vers le camp tout en beuglant de manière inintelligible. Alastor jaillit de son fourreau et le Terrible s'élança dans la mêlée avec ses frères.
L'affrontement qui suivit tint plus de la boucherie que de la vraie bataille et l'ennemi, inférieur en nombre et de loin moins expérimenté, fut vite réduit au silence.

Après avoir essuyé sa précieuse épée sur l'un des cadavres, il retourna auprès de Thibali qui, l'arme à la main, avait assisté au spectacle.

Comme vous pouvez le constater tout se passe pour le mieux, nous avons même droit à de légers divertissements S'exclama-t-il avec un sourire carnassier. Laissez-moi me changer s'il vous plaît puis nous nous entretiendrons de la situations à venir.

HRP/Je serais moins présent la semaine qui vient cause partiels /HRP
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Pour le B-A, Force et Honneur!

l`action ne manque pas en ce lieu, malgré que le nombre diminue

31-08-Vous avez été attaqué par un groupe composé de M et de K

Mais bon c`est la routine, restant au rempart a surveiller depuis maintenant plus d`un mois.

Cette guerre sera ma plus longue, surtout que rumeur court que c`est que le début.
Faudrait que forgerons fabrique épée ainsi que bouclier nous risquons d`en avoir bien besoins.

Surtout que les visiteurs ce fond de plus en plus rare, a croire qu`ils nous laissent seul devant l`ennemis.

Mais une promesse est une promesse, nous défendrons jusqu`a la mort.
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Le Môme qui passait dans le coin était effrayé par toute cette agitation
Vraiment,t faut dire qu c'est n'importe quoi tout ça, et pi .... ces télible il vienne faire quoi ici de t'oute façon y'a plu rien à cramer

Le Môme jugea bon de déguerpir avant de se faire tuer pas ces brutes sans cervelle.

Le Capitaine Shel Ezeil avait rejoins à plusieurs reprises les armées du Rouergue en peu de jour, faisant vider le chariot de vivre apporté comme aide à chaque passage.

Au moins de ce côté-là ils ne mourront pas de faim et sauront défendre leur terres et la population. Après plusieurs entretien avec les officiers et le Comte du Rouergue, il avait mis en place la stratégie menée.

Nulle personne ne pourra dire que les Terribles, le corps d'élite du Bourbonnais Auvergnat, aura failli à sa mission auprès de ses voisins.

Il amena Symphonie du vent, sa jument, dans les écuries mis à leur disposition. Elle pourra se désaltérer après ses innombrable voyage au galop.
Fidèle monture de toujours.

Il fit envoyer un des gardes en faction pour informer l'Ost du rouergue de sa venue. Il irait les rejoindre plus tard dans les murs de leur caserne.

Pour le moment, il décida d'aller voir ses hommes, fiers soldats de la Coba.

Les gardes en factions à l'entrée du camp des Terribles furent surpris de l'apercevoir. Ils réagirent rapidement par un garde à vous et un salut en rigueur.

"Mon Capitaine"
"Repos soldats. Indiquez moi la tente de Rastaplégique, le chef de l'armée."
"C'est celle au milieu du campement Mon Capitaine, celle avec l'oriflamme non loin."

Après avoir saluer les Soldats il fit route vers la dite tente. En chemin, bon nombre de Terribles et autres soldats de la Coba accompagnant la troupe des Terribles l'aperçurent, étonné de le voir ici. La rumeur couru dans le campement

Le Capitaine est là, il est venu pour combattre à nos côtés.

Arrivé devant la tente de son ami et chef de l'armée en place, Rastaplégique l'attendait à l'entrée, averti rapidement de sa présence.

Salut militaire entre les deux hommes qui se connaissent depuis longtemps et s'apprécient.

Brefs échanges entre eux concernant les dernières nouvelles du front.
L'heure était venue de vérifier bouclier, épée, les combats allaient faire rage et certains tomberont peut-être au combat.

Il fit rassembler les hommes au centre du campement où une place de rassemblement avait été aménagée. Quand tous furent rassemblés, il s'adressa à eux :

Soldats, Compagnons d'armées
J'ai entendu dire que l'inactivité commençait à faire sentir chez certains quelques signes d'ennui. Si je suis aujourd'hui parmi vous c'est dans le but de vous avertir que les combats reprendront sous peu. Regardez bien les compagnons d'armes qui vous entoure car dans les combats votre voisin pourra vous sauver la vie comme vous la sienne.

Certains d'entre vous tomberont peut-être au combat, ce que je ne souhaite pas bien sûr mais ce que je veux vous dire c'est que l'avenir est encore incertain alors profiter des moments de calme car la tempête fera rage. Par contre, j'ai entendu dire que certains des soldats de notre bien aimée Coba prenait de hauts parfois les villageois d'ici. Je ne veux plus jamais entendre cela, donner une image de la Coba avec les valeurs qui sont les nôtres.

Je n'accepterais pas ce type de conduite de la part de vous alors montrez-vous dignes d'appartenir aux Terribles et pour ceux n'en faisant pas partis, de pouvoir les accompagner au combat.

Soldats, compagnons d'armes, faites chauffer les fourneaux et aiguiser vos épées car l'aube pourrait être ensanglantée

Il les salua comme les fiers soldats qu'ils devaient être

Voila,ça y était......
Des lieues et des lieues qu'ils galopaient de front son compagnon et elle....

Loin derrière les souvenirs d'une vie tranquille,rangée....au carré...Militaire pour lui,de notable pour elle.....

Le soir tombait lorsqu'ils aperçurent enfin les premières torches au creux de la vallée....
Le campement ....

Séléna tira sur les rènes de sa monture dont le puissant poitrail écumait sous l'effort soutenu qu'on lui imposait depuis trop longtemps.
La jeune femme posa une main sur le pommeau de sa selle et se redressa ,tentant de deviner les ombres qui s'activaient autours des lourdes tentes.
Elle repoussa une mêche rebelle qui retombait sur ses yeux aux lueurs émeraudes et se tourna vers d'Arkhenn en souriant.
"Nous y voici enfin ....tu crois qu'il nous attend?"

Frisson d'enthousiasme et d'apréhension mèlés....Le noeud au creux de l'estomac qui se tord...
Va-t-elle être à la hauteur?
Premiers pas dans un univers dont elle ne connait que ce qu'il lui a narré...
Oh..Bien sûr ,elle l'avait accompagné un temps en d'autres campements ...Mais du côté de ceux qu'ils méprisaient maintenant, ceux qui se riaient des existences des petits,du haut de leurs titres et de leur soit disant honneur qui n'était que mensonge.....Corruption...mépris...

Elle allait connaître la vraie lutte,le vrai combat...Saurait elle mettre en pratique tout ce qu'il lui a enseigné avec tant de passion?
Sa main ne tremblerait elle pas au moment de plonger son épée dans le corps de son ennemi?
Ferait elle honneur à cet ami qui avait demandé leur aide et vers lequel ils étaient partis sans la moindre hésitation?
Les questions embrouillaient son esprit...Il lui fallait reprendre pied et vite...
Agir....Avancer...Aller retrouver ces hommes et ses femmes....S'intégrer et se faire accepter...

D'Arkhenn semble perdu dans la contemplation du camp.
Elle sait tout se qui défile dans sa tête en cet instant....Et toute l'amertume qui doit l'envahir..
Mais quelque part aussi enfin il retrouve un univers qu'il connait,il sera à son aise lui au moins...
"On y va?"
Léger coup de talon qui suffit à faire débouler Shadow sur la pente du chemin.

Une sentinelle leur barre déjà l'accès....Montrer à son compagnon qu'elle est sûre d'elle...Prendre les devants...S'affirmer...

'OhLà l'ami!!.Deux voyageurs qui viennent de loin ...On peut espérer se reposer et manger un bout?"."

Étendu sous un arbre, me reposant, cette belle journée s`annonçait aussi calme que les autres.
Soudain des cris au loin attira mon attention, me dirigent vers le campement, j`observe un visiteur au loin.
Cette personne ressemble a notre capitaine, a bien y regarder c`est bien lui.

Le temps de me rendre au centre du campement, il avait disparu dans la tente de Rasta.
Quelque temps après il sorti puis fessant un discourt sur la situation.
Enfin de bonne nouvelle, mes deux épées aurons fort affaire. Je suis prêt a batailler.
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Camp des Terribles

La nouvelle a parcouru le campement dés l aube..
Leurs frères..leurs amis.. morts ou blessés...
Les visages ont pris la dureté de la vengeance..les yeux réclament l action qui ne laissera pas impuni la mort de leurs compagnons.La rage se lit sur chacun de leur trait..

Prêts ils le sont tous...Depuis des jours..
Deux jours de palabre....Deux jours à attendre...

La blonde serre les dents..Se retient d aller les secouer..Eux les décideurs qui ne décident rien!!
Le vert regard étincelle de colère!!..Que n a t elle besoin de discours morne et sans interêt...Elle veut du sang ..le bruit des lames...le cri des agonisants..la gloire de la COBA!!...

Son pas décidé la mène a l enclos des chevaux.Elle fait sortir Bonk , son camarguais et l enfourche à cru...Le talonne...

L animal n hésite pas un instant et démarre au galop...Saute les quelques obstacles dans le camp qui se trouvent sur son passage...
Elle hurle
YAAAAA!!!!..S accroche à la crinière...fait pencher son corps sur celui de l animal..S engage dans une course contre le vent..contre le temps...

Oublier ne serait ce qu un instant cette hargne exaspérée....
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Nous voila fin prêt a partir en direction de l`est, nous marchions tranquillement riens a signaler sur le chemin, l`ennemis semble bien loin, après les deux petits accrochages plus rien, le manque de pratique va-t-il nous nuire, une chose est sur nous somme plus déterminer que jamais.
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Aux abords d'Espalion

Cela allait faire quatre jours que les Terribles avaient installé leur camp devant les murs d'Espalion et rien, toujours cet interminable statu quo.

En un sens leur mission restait accomplie, l'ennemi apeuré n'osait porter atteinte au sol rouergat mais il n'en restait pas moins là ! Tapies à quelques lieues, dans l'ombre de Mende, les troupes languedociennes guettaient la moindre faille.

De plus, dans l'esprit de Rasta, un devoir restait inachevé. Un devoir de vengeance ! Des camarades étaient tombés sous les coups de ceux-là même qui leur faisaient face et il ne pouvait qu'attendre. Il luttait donc chaque jour contre le désir de donner l'assaut, inspectant les rapports, rédigeant des missives, organisant les tours de garde et surtout, s'entraînant avec ses frères. Il parcourait le campement sentant les envies meurtrières envahir les troupes un peu plus chaque jour, se plaisant à imaginer le résultat d'une attaque languedocienne.
Ainsi, il patientait.
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Pour le B-A, Force et Honneur!

Tranquillement installer a ma place de guet, je vois arrivé une dame avec une brouette, mais que fait elle ici avec cette brouette, a bien y regarder, il semble y avoir un bébé sur elle.

Après observation, elle nous apporte de la potée, je me dirige vers elle pour lui porter mains forte.

Déposant le gros chaudron sur une table de notre cantine, j`informe le cuisinier d`en prendre bien soin, nous aurons autre nourriture que du pain ce soir.

Alez mdame je m`occupe de votre potée, suivez moi, je veux vous remercier moi aussi, en vous offrant un petit verre de Calva, c`est peut mais de bon cœurs.
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Tim voit lysalore arrivait dans le camp.
Elle amène comme prévu la fameuse potée de son videur.
Il va vers elle, laurentide l'a déjà devancé.

Bonjour lysa, merci pour ton ragout.

Tim regarde le bébé attaché a lysa.
Comment va atlante aujourd'hui ?
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Lysa revient avec sa brouette, rieuse....

Eho !!!!!! C'est moi, Lysa. Je peux récupérer mes deux marmittes ? Mon portier est vert de râge !
Et puis, plus de potée sans les récupérer.

Lysa dépose la brouette, fatiguée, sentant sa fille protester Déjà ! Elle s'assied pour la nourrir.... et sourit en regardant la petite vorace qui agite une petite main, avec des petits doigts tout potelés....

Pire qu'Atila toi ! Pfffffffffffff.... vivement que je te mettes au lait de vache aussi !

Elle est songeuse....

Lysa lève les yeux sur Tim, reconnaissante.

Bonsoir Tim ! Comme c'est gentil de ta part !

Mon portier, Anatole me fait la tronche depuis deux jours, Atlante est épuisante , mais elle a bien repris... tu as vu comme elle devient potelée ?... quant à Tilman, mon compagnon, il est couché avec un vilain froid... pour deux jours au moins.

Boudu ! J'en ai un peu marre. Mais bon, je ne vais pas me plaindre... et vous, vous êtes prêts à risquer vos vies pour nous !

Elle remet sa fille qui commence à s'endormir dans la poche qu'elle a improvisé avec un drap, contre elle, et soupire. Lysa se lève, doucement, à la fois parce qu'elle est fatiguée et pour ne pas réveiller Atlante....

Honnêtement, oui mon ami, ça m'arrangerait bien... mais peux-tu quitter ton camp comme ça ? Elle regarde Tim hocher de la tête et sourit, soulagée.

Alors, allons-y ! Tu me diras en route ta vie, ou ce que tu veux bien en dire, et moi la mienne.... Et merci encore !

Ils partent vers Espalion, en devisant tranquillement....

Arrivée en Rouergue il y avait peu, arrivée à Espalion le matin et repartie le soir pour une autres destination, on lui avait dit qu'on l'attendait pour boire!
Un peu vieille la Lin mais pas rouillée pour une tite bibine, espérons qu'elle ne soit pas saoûle après..
Plusieurs soldats encore présents malgré l'heure tardive, la lune trônait déjà haute dans le ciel quand la Tyx franchit l'entrée du camp. Des visages familiers, cela lui faisait plaisir, ses frères et soeurs, présents ce jour, tous ensemble, tous unis comme d'habitude.
Faible sourire qui se dessine sur les lèvres de la brunette qui continue d'avancer à l'aveuglette, si un cercle de soldats était formé, elle saurait au moins où aller!

Des auvergnats, des auvergnats et oh, des auvergnats. Tient, une espalionnaise, sans écorcher si elle s'en souvenait bien, quand on est pas habitué, c'est pas facile à dire ça! Elle avait eu le court plaisir de la rencontrer, en fait en un après midi, la Tyx avait pu rencontrer trois rouerguats, les mêmes qui partaient et revenaient.
Elle salua la jeune femme d'un sourire et continua sa route à travers le bivouac.

Les gens passaient par ici, défois par là, les mêmes actions répétées chaque jours? Lin espérait qu'ils se dégourdiraient les jambes sous peu, au moins, ils avaient de nouveau à manger.

Au loin, Pascale vérifiait ses armes, se préparait sans doute avant sa garde, Lin alla à sa rencontre pour savoir où serait la feste.

Coucou Pascale! Tu vas bien depuis tout à l'heure? Tu as réussit à te calmer? Sourire amusé, y'a pas de tonneaux dans le coin? M'aurait on mentit?

Elle jeta un regard circulaire en direction du camp, savoit si elle ne les avait pas plutôt loupé dans la noirceur de la nuit.
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Alors que Rasta était comme la plupart du temps enfermé dans sa tente, on vint le prévenir de l'arrivée de Linoa suivie des chariots d'approvisionnement.

Il leva alors la tête de ses notes et sortit à sa rencontre. Bien évidemment, il la trouva accompagnée de Riggins à la recherche d'un verre, prête à piller la réserve du pauvre Laurent !

Ah Lin ! Fait bon voyage ? Lui dit-il en lui donnant une chaleureuse accolade suivie d'un léger baiser sur la joue. Viens donc par là, ajouta-t-il l'entraînant à sa suite, nous devions boire une pinte ensemble suite aux récents évènement. Chose promise, chose due !

Arrivés sous sa tente il tira quatre choppes d'un tonneau qu'il gardait, le cartographe et le soldat ayant eux aussi suivi le mouvement, et leur tendit.

A la COBA ! S'exclama-t-il trinquant avec eux.
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Pour le B-A, Force et Honneur!

Pas le temps d'en dire plus qu'une voix s'éleva au loin, tient, Tim, pas vraiment une surprise, rôdait dans le coin, sourire.
Des tonneaux, y'avait au moins de la boisson! Certe, il ne fallait pas boire, mais de temps en temps, surtout pour fester les nominations de certains, un tout petit écart sans conséquence, ne faisait point de mal.

Tu me rassures Tim! J'ai cru que vous m'aviez roulé dans la farine pour me taquiner!

Un petit temps de reflexion, la tente de Laurent? Sûr qu'on va retrouver quelques gouttes de calva?... Meuarf, on verra bien.

La Tyx commença à faire quelques pas vers.. Ah ben il était là Laurent! Tient Rasta arrivait aussi de l'autre côté, sourire d'accueil, une baiser qui se colle sur sa joue, sourit un peu plus, c'était ainsi qu'elle aimait le mieux, l'amour fraternel est plus cher que l'amour du coeur et il a moins de chances d'être perdu, bien au contraire.

Je vais bien merci, le voyage fut bon, comme d'habitude, pas de brigand à l'horizon, je vais vraiment croire qu'ils ont peur. Elle se mit à rire de bon coeur, un moment qu'elle n'avait rit ainsi, cela faisait du bien. Pas le temps de dire ouf qu'il l'entrainait déjà, alcooliques!

Une pinte? Ah bien oui! Aussi pour ça que je suis venue, ça se refuse pas! Marchant un peu maladroitement, bhein oui, pas facile quand on nous tire par le bras, tout en avançant! Ah une tente droit devant! Ce devait être leur destination, vite! Sinon elle allait visiter la terre du camp.

Tu permets... Elle en profita pour rapidement libérer son bras avant le désastre tout en souriant de satisfaction, pas encore rouillée, ça allait. Rasta était entré dans la tente, Tim suivait ainsi que Laurent, déjà les chopes claquaient entre elles, l'heure avait sonné! L'heure de boire!
Lin poussa le tissu barrant l'entrée de la chambre de fortune et s'installa avec les autres, humm la bonne odeur de l'alcool, cela lui manquait.

A la COBA, au BA et au Roy compagnons!
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Chevauchée de la nuit, agréable sensation de n'avoir que la lune comme amie , seule au monde, cheveux au vent, elle avait quitté millau tôt dans la soirée, avec une idée fixe, les revoir encore une fois, voir leurs visages, s'assurer que tout va bien, que tout ira bien, pour le meilleur et pour le pire, elle n'avait aucune crainte de leurs accueil, il y aura peut être des remarques, mais qu'elles soient blessantes ou acérées, cela n'avait guère plus d'importance a ses yeux ce jour.

L'armée des oies sauvages c'était sa vie son avenir et lui l'attendait, lui qui n'avait pas posé de questions ni demandé serment, lui qui acceptait tant d'elle sans aucune promesses en retour, partant le soir, un dernier baiser échangé, un regard, elle lui avait chuchoté je reviens..l'avait t'il cru?Il savait ce malaise qu'elle éprouvait encore a parler des autres, il connaissait son attachement pour l'enceinte du camp retranché, et son gout pour l'amour qu'elle éprouvait a ceux qu'elle appelait les siens, cela la fit sourire..... elle voyait encore sa tête quand au détour d'une phrase elle nommait les terribles les siens, mais hier soir elle lui avait foutu cette putain d'étoile dans sa main, et cela était bien le signe d'un non retour en arrière.

Elle l'aimait ca elle en était sure, le suivre ca elle le voulait lui elle le désirait, si avec ca il fallait prendre sa vie et ses traverses, elle prenait tout aurait été si simple, si il s'était engagée soldat, mais voila jamais la vie n'avait été simple pour elle, car jamais elle n'avait eu de choix a faire.

Voila un moment déjà qu'elle avait retiré son uniforme, pour ne revêtir que sa houppelande, l'uniforme avait du être brulé dans un feu du campement des oies, il avait en tous cas bien disparue, elle n'avait pas cherché a comprendre, un petit pincement au cœur elle aperçoit le drapeau des terribles au loin, encore quelques secondes et.......



Halte la qui va la un nom ou je pourfend

C'est qui celui la?un garde?depuis quand les terribles ont besoin de faire garder leurs entrées de camp.

Elle descend de cheval, sans même jeter un œil au garde armé, elle repousse du plat de la main son épée tendu et regarde les tentes.

Elle va pour avancer le clampin lui se met devant, l'œil insistant, elle se rend compte qu'il est pas la pour rire,et il serait dommage d'être blesse avant le jour du soleil noir.

Elle met ses mains en porte voix et appelle.

'ho he les terribles sortez de vos tanniéres a la garde vous êtes attaqués!!!!"



Elle attend, elle se voit déja en train de crier sur le premier qui montrera sa tronche hirsute, un bouton mal fermé, une barbe naissante hummm voyons voir combien de jours que ca vaut ca......

Puis elle se rend compte , que c'est trop facile ca on fout un barbu a l'entée et on se la coule douce vautré sous la tente, ca va barder ca c'est sur!!!!le riggins purée elle le savait il a encore du sortir un jeu de carte de la bête sans noms de sa gibecière, et les entrainer jusqu'à pas d'heure dans des tavernes d' infamies pour savourer la gueuse sur un air de tournée, qu'ils se préparent donc.....hum et si ils étaient la et l'avait déjà encerclé, la ce serait plus , elle en serait fière la.
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Malgré tout les précautions, Riggins avait trouvé ma réserve de Calva.
Hum pour temps elle semblait bien camouflé.
Voila qu`il arrive avec la gente dame Linoa passant par ma tente pour en prélever une bonne bouteille.
Soudain notre ami Rasta surgit en profitant de son charisme pour nous inviter a festoyer les dernières grandes nouvelles.

Après avoir but une bonne rasade un cri se fit entendre, de la joie la situation ce transforme en inquiétude, décidément plus moyen de ce détendre. Nous sortions tous pour voir de quoi il en retourne.
Un garde qui avait mal a parti avec Sofio, le pauvre il est vraiment brave ou inconscient.

Par chance Rasta décide de réglé le litige en lui expliquant que tout va bien.

Tous retournons a l`intérieur de la tente pour festoyer a nouveau en bonne compagnie.

Levant mon verre

Soyez la bienvenu Sofio, heureux de vous revoir, ainsi que vous tous, il va de soit. Riggins avait une petite soif, donc une raison de plus pour festoyer au nouvelles quelle soit bonne ou mauvaise
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Lysa arrive, cahin-cahas près du camp, en prenant soin de s'annoncer du voix claire :

Ohé du camp ! Ce n'est que moi ! Je dépose les marmites.

Elle les dépose en tirant sur tout son dos.....

Bonne soirée et bon courage.... nous serons à vos côtés.

Lysa file dans la nuit tombante... chose promise, chose due.
Elle a d'autres choses à régler.

Enfin quelques têtes connues qui sortent de la tente, elle sourit que ca fait du bien de les voir, s'enraciner par leurs présences, se ressourcer de leurs forces.......linoutte purée lâche moi t'es folle.... une envie de la serrer a son tour , mais elle ne fera rien, se laisser aller a quelques sentiments c'est se perdre, et se perdre c'est perdre tout ce que l'on peut garder en conviction, elle se contentera de froncer les sourcils, en la regardant.

Une envie folle de boire jusqu'à l'ivresse, de s'enivrer de leurs odeurs, jusqu'à pas d'heure, la prend, c'est un sentiment, certain, elle est des leurs, elle part, un sentiment de malaise, c'etait sa vie, c'est déjà derrière.

Elle trinque, haut le verre, elle accroche un sourire, l'heure en est au temps des sourires trompeurs, et pourtant elle pense......

Rien ne viendra gâcher se moment, ni la guerre , ni le l'Auvergne et ses stupides actions, ni la guerre, ni l'envie qu'elle a de les prendre et les enlacer.

"Alors c'est qui le troufion a l'entrée la??z'etes pas foutu de monter la garde, c'est ramollo ou quoi? vous allez vous la jouer dans la dentelle vous un de ces jours, je le vois bien venir ca, un petit bal des terribles ca en jette non?"


Elle repose son godet, purée vont réagir eux au moins un jour, et ne pas devenir les chiens de garde, mais bien rester ceux qu'ils sont.

"hé faites pas cette tronche on se croirait au lavoir de Montpensier avec les commères du coin, relevez vos trognes et montrez moi comment vous vous la pétez!!! après tout vous vous devez de la jouer fier et imbus, sinon qui le ferez!!hé souvenez vous d'une chose!!souvenez vous un jour sur nos terres, un grand homme s'est avancé avec une idée folle, réunir, et rassembler les meilleures de la COBA, pour les entrainer a devenir des soldats d'élite, pour les former, les forger a devenir une bande de tarés prêts a tout, cette envie, cette folie elle a été bâtie sur des rêves, vous avez répondu a l'appel un jour, je me souviens encore de chacun de vous a votre arrivée, des rêves vous en débordiez de par vos mines des rêves vous étiez tout ca et si peu.....souvenez vous."

Elle boit son verre doucement une gorgée et replonge dans des souvenirs

"Puis vous êtes parti bien loin des batailles, des victoires, des amères déceptions c'etait hier et pourtant si vieux encore, mais toujours revenu, le cœur en vrac , mais la jour après jour, et votre nom a commencé a se répandre au vent dépassant les frontières, vous n'êtes plus la création d'un duc et son projet fou, vous êtes les terribles car vous êtes forgés seuls sans votre créateur!!!!"

Elle se lève et porte son verre haut.

"Alors montrez moi la votre gueule de guerrier!!! poussez les vos cris de gagnant, je veut vous entendre partout ou je serez!!je veut que votre nom fasse tremblez les volcans d'Auvergne et les plaines du Nord, je ne vous entend plus!!!! vous couinez!!!je veut voir les terribles!!!"

A l'auvergne terre de puissance a vous!!

Elle finit son verre et le tend
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Attablés sous sa tente, moment de bonheur avant de se séparer, envie de la prendre dans ses bras mais non, pas son genre. Heureusement elle ne perd pas sa gueule, toujours à pousser les hommes à bout pour en tirer le meilleur, se sent bien incapable, saura-t-il faire de même ? Il ne veut pourtant pas se laisser envahir par la tristesse, il veut lui montrer ce qu'elle attend, ce qu'elle a contribué à faire d'eux ! Il se lève alors, droit et fier, la mélancolie de son regard seule à trahir ses émotions et tend sa chope en signe de toast.

Levons nos verres à Sofio, dont la voix va nous manquer, sourire, et aux Terribles dont les pas font craquer la terre et dont les épées fendent le ciel, SEMPER FIDELIS !!! Tonne-t-il d'une voix forte.
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Pour le B-A, Force et Honneur!

De gros yeux qui la tiraillaient mais le sourire de la Tyx ne partait pas, elle la connaissait si bien après ces mois derniers, certains, surtout les nouveaux, devaient avoir peur d'elle mais ceux qui la connaissaient n'avaient point peur. Tous la respectaient, tous l'écoutaient, tous voulaient qu'elle reste bien que tous connaissaient les raisons du départ...

N'oubliez pas votre promesse s'il vous plait...

Pourtant Lin se sentait déjà seule... Comme abandonnée du jour au lendemain... Son appui et aussi sa confidente on peut le dire, partait sous peu, déchirement qu'il fallait vaincre pour continuer ce qu'elles avaient mit en place, pour continuer de protéger le BA. Les souvenirs partagés reviendraient à chaque instant, c'est à ces instants qu'il faudra un sourire et non une larme, le regret n'aura pas sa place, elle sait qu'elle la reverra pourtant, un jour, on ne sait quand mais elle la reverra. Ce ne sont pas des adieux mais bien des au revoir.

Refouler ces larmes qui voulaient s'emparer de son visage, dans peu de temps, si peu de temps, elle les quitteraient... Il ne fallait pas y penser, trop de peine qui pourrait prendre le contrôle...
Il fallait boire! Boire en sa santé! Boire en ce qu'elle leur avait offert!
Lin n'était pas Terribles bien qu'on lui avait proposé il y avait longtemps, il n'empêchait qu'elle se battait tous les jours pour son duché et ce depuis presque trois années!

Point de pleurs en ce jour, ils étaient là, fort et fiers de l'avoir connu et pour certains, d'avoir travailler avec elle.
Les chopes se vident et se remplissent, s'entrechoc et se mêlent.

Pour ma Sofiloute!
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