Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >   >>

Mariage de Rosa de Leffe et de Louis-Hubert d'Harlegnan

phillau
Toutes les réflexions du monde semblaient se partager l'esprit de sa cousine. Un moment ses yeux reflétaient la peur de mille démons alors qu'un moment suivant, ils s'étaient emplis de toute la malice qu'elle pouvait développer.

Ce fut le cas et Phillau garda son étreinte autour de son bras, les moments lucides se succédait sans se ressembler et il voulait pouvoir contrôler sa cousine si celle-ci se perdait dans les méandres de ses songes.
Quelle belle sottise que cela, vouloir contrôler Izarra, pensa Phillau intérieurement. Jamais quiconque n'avait pu s'y essayer alors qu'elle était pleine de raison, comment cela pouvait-il changer alors que maintenant des songes la contrôlait.
Marchant à ses côtés vers l'autel et vers leurs places toute proches, Phillau la serra contre lui. Il avait vu des femmes possédées cracher mille humeurs dans des râles incontrôlables mais il savait qu'Izarra n'était pas encore dans une telle déchéance. Il ne craignait pas pour ses étoffes et ses broderies mais plus pour elle.

Se signant au passage de l'autel, Phillau passa une main réconfortante dans le dos d'Izarra et il l'a pria de s'asseoir. Le mariage allait bientôt débuter, le bruit des chariots à l'extérieur le laissait présagé, et il ne voulait pas que sa cousine soit debout, effrayée par tant de monde, quand les promis rentreraient.


Asseyons-nous en attendant, voulez-vous ? Je vais faire quérir un bol d'eau.

Avant de se retourner vers un servant de messe dans la pénombre, Phillau jeta un dernier regard à sa cousine et déposa un baiser sur son front. Il aurait voulu pouvoir passer une main et sentir son futur neveu qui grandissait en elle, mais tant de sollicitude n'aurait fait que diriger les sous-entendu et les railleries vers eux.
_________________
merenwen74
Auprès de la mariée

A voir Merenwen courrir en tous sens on aurait pu se demander qui était la plus anxieuse des deux, la future épouse ou la voisine mais amie avant tout qui souhaitait que tout soit parfait pour ce grand jour.

Elle jeta un oeil sur la tenue de Rosa et ne pu réprimer un sourire de fierté :
tu es magnifique !

Puis, elle se tourna et entrouvrit la porte pour voir si les convives commençaient à entrer : ils arrivent.

Comment te sens-tu ? As-tu besoin de quoi que se soit ? Sache que j'aurais des mouchoirs pour toi si tu en as besoin.

Meren dans un élan d'émotion ne pu se retenir d'étreindre son amie, voilà que je vais bientôt reprendre ton statut de célibataire des Flandres... mais je suis si heureuse pour toi !
_________________
Misskanoueg
Miss, arrivas quelque temps après les autres, montant seule les escalier qui menaient à la cathédrale.

Saluant avec gêne les personnes présentent, ne les connaissant point, elle se fit aussi discrète que possible. Une fois à l'intérieur, elle reconnue Dame et Messire de Clairambault qu'elle salua comme il se devait, puis le Chevalier Bayard, pour enfin poser ses yeux sur le Baron de Ronaix accompagner de sa fille Malycia, elle se dirigea alors vers eux et pris place à leurs côté.

Ne souhaitant rompre le silence, elle leur fit signe de la tête pour les saluer, son regarde se tourna alors vers le marié, qu'elle trouva fort beau dans son habit, elle avait de voir Rosa dans sa robe, la jalousant secrètement de ce moment.

Elle pris donc place, regardant Malycia, fraiche comme une rose, souriante et gracieuse. Attendant avec impatiente l'entrée de Rosa et l'échange des vœux.
_________________

NON NOBIS DOMINE NON NOBIS SED NOMINI TUO DA GLORIAM Seigneur, Faites de moi un instrument de votre paix. Là où est la haine, que je mette l'amour. Là où est l'offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l'union...
Izarra
La brune écarquilla les yeux sous son voile de veuve. Diantre, elle n'était plus guère habituée à tant de prévenances de la part de ses proches ! Fort radoucie par la gentillesse de son cousin, elle le suivit docilement _ une fois n'est pas coutume _ et s'installa à son côté sur le banc.

Laissant son regard vagabonder à droite et à gauche en attendant le début de la cérémonie, elle sentit son malaise croître. C'était la première fois qu'elle remettait le pied dans une église depuis son... veuvage. Et elle ne s'y sentait pas franchement à l'aise. Non qu'elle soit encore en âge de croire aux stupidités selon lesquelles on se trouvait icelieu sous le regard du Tout Puissant... M'enfin si c'était le cas, ce qu'il allait voir risquait fort de ne pas lui plaire, au gus du haut...

Décidément mal à l'aise, elle se serra un peu plus contre son cousin, posa sa main gantée sur la sienne et l'y maintint, peu soucieuse d'éventuels qu'en dira-t-on. Et tâcha de relancer à mi-voix la conversation en attendant l'arrivée des futurs condamnés.


Alors cousin, comptez-vous beaucoup de connaissances dans l'assistance?
Bartox
Etonné par Adrienne, il lui rendit son baiser, puis en fit de même avec Lafred qui venait de les rejoindre.

Vicomtesse, future comtesse, un plaisir de vous avoir près de moi !

Bartox vit le grand cavalier noir, à son passage, il se posta face à lui, et le salua par une révérence.

Votre cruauté, c'est un honneur de vous voir en ce lieu pour célébrer le mariage de notre amie commune.

Sa fille se tenait derrière lui, emboitant son pas. Bartox ne put rester insensible au sourire si timide et furtif. Il la laissa s'avancer, et lui glissa un petit papier dans la main à son passage.

Citation:
Ce soir. Pendant que tout le monde fête. Dans mon bureau, 21h.

_________________
phillau
Le servant revint avec un bol d'eau fraiche et Phillau le remercia quand celui-ci le lui tendit. Le passant à sa cousine, il en profita pour lui répondre.

Je dois vous avouer qu'en une année, bien des regards ne m'inspire plus cet éclair de ma mémoire me rappelant leur nom et leur profession.

Sa cousine ayant finit de boire, il reprit le bol et prit deux lampées avant de le poser à terre. Il s'essuya les lèvres d'un revers de manche et posa sa main sur la cuisse de sa cousine. Inconsciemment, il se mit à la caresser, du genou à la hanche, dans des mouvements lents et sensuels qu'il stoppa net, rougis de honte.
Pas ici, pas comme cela, se dit-il intérieurement.
Il se devait d'être là, presque comme un père pour l'enfant que sa cousine portait. Mais il ne devait pas se conduire en époux ou en amant, bien que l'une ou l'autre des situations ne lui aurait naguère pas déplut.
Mais les choses avaient changé, Phillau avait apprit par un moine être père d'un enfant né au couvent de la femme à laquelle il avait été fidèle malgré son départ. Et il ne pouvait se résoudre à rompre un serment...

Feignant l'absence d'évènement, Phillau reprit la discussion tout en retirant délicatement sa main sous celle de sa cousine.


Nous avons croisé messire SlamJack il y a peu, Messire Wuggalix et sa femme, ainsi que plusieurs membres de la noblesse flamandes.

Mais la plupart du reste de mes connaissances se situeront dans la famille des promis ou dans leur entourage


...Mais comment pourrait-il résister alors que la moindre vue sur sa cousine, lucide ou non, développait chez lui un feu ardent.
_________________
Izarra
Il était notoire qu'il suffisait souvent d'un rien pour échauffer les sens de la fort peu éplorée duchesse veuve. Un inconscient attouchement sur sa cuisse par exemple. Inconscient et trop rapidement interrompu au goût de la navarraise, qui n'apprécia pas davantage qu'on lui retire ainsi la main qu'elle détenait au creux de la sienne.

Croisant les bras avec la moue boudeuse d'une petite fille privée de sucreries, elle se résigna en apparence à se consacrer à la conversation mondaine sur les invités de la noce. Pour sa part, elle n'en connaissait absolument aucun. Le seul visage connu, outre celui du seigneur d'Ypres, serait celui du marié. Autant donc se renseigner un peu.


Parlez-moi donc de notre future cousine en ce cas, que je n'ai pas la joie de connaître pour l'heure. Assurément, pour oser s'unir à notre cousin, elle doit être pourvue d'un fort caractère?

Badinage innocent pour tromper l'ennui en attendant l'arrivée des promis. Beaucoup moins innocente était en revanche l'oeillade incendiaire dont elle accompagna ses paroles.
Malycia
A peine fut elle assise, qu'elle s'empressa de lire ce que Bartox lui avait furtivement glissé dans la main, elle essaya d'être discrete pour ne pas eveiller la suspiscion de son père, parcourant alors le parchemin elle tourna son regard dans sa direction essayant d'aquiescer d'un signe de tête, mais Misskanoueg qui venait de prendre place à ses côtés l'observait du coin de l'oeil, elle chiffonna alors rapidement le parchemin et le garda precieusement dans le creux de sa main, contemplant alors la magnificence des lieux, faisant comme si de rien n'etait...
_________________
Malycia du Castel de Lys Lez Lannoy
Warick
Warick arriva accompagné de son épouse Darklajid, tous deux arrivés à peine à Bruges après leur long voyage.
Ils entrèrent alors dans l'église vêtu pour l'occasion d'un ensemble assortit l'un à l'autre et virent des visages connus et d'autres inconnus, ils les saluaient alors de la tête.

Mais DarKl, essoufflée par le voyage à cause de sa grossesse devait s'asseoir, Warick l'a mena alors sur un siège dans les première rangées ou ils s'assirent tous deux. De leurs places, ils voyait parfaitement le marié dans une très élégante tenue. Warick n'avait plus qu'une hâte, c'était de voir sa marraine.
duncan
Duncan avait un travail à terminer avant de se rendre aux noces. Le jeune homme n’aimant pas être en retard, se hâta d’arriver en la cathédrale de la capitale, certains des invités étaient déjà présents, il salua le major Bartox avant de se diriger ver le Seigneur et Baron et sa fille.

Duncan complimenta Malycia sur sa tenue et la beauté dont elle faisait preuve en cette soirée, ensuite, il se retourna vers son père qu’il salua respectueusement. Misskanoueg était aussi prêt d’eux, Duncan lui fit un signe de tête en guise de salutation puis s’en alla rejoindre ses parents.

Il donna un franche poignée de main à son parrain d’une rare élégance puis embrassa sa mère avant de lui prendre la main et de se reculer d’un pas, lui souriant, afin de lui dire vous êtes ravissante mère.
Le jeune Clairambault posa sa main sur l’épaule de son père, le regardant fièrement et prit part à leur discussion, attendant la suite des évènements.

_________________
phillau
Ces yeux de feu posés sur Phillau le brûlaient, pas visiblement, mais même en détournant le regard, il les sentait sur lui.

Prit d'une attraction sans borne, Phillau reposa sa main sur la cuisse de sa cousine continuant les caresses là où il les avait laissé.


Notre future cousine est l'ancienne comtesse des Flandres, prédécesseur de messire Doudou.

La cathédrale semblait se rétrécir et Phillau commençait à sentir de plus en plus pressant l'envie de laisser un baiser à sa cousine.

Gêné et tentant le plus possible, avec peu de réussite, de cacher ses émotions, Phillau détourna à nouveau le regard, arrêtant sa main. Proche, très proche de l’aine de sa cousine, trop proche pour une cathédrale.

Phillau rappela le servant réclamant un nouveau bol d’eau, il voulait plus que tout refroidir le brasier ardent qu’était son cœur actuellement. Sa main reprit son chemin.

_________________
rosa
Merenwen, dame d'atour, amie, dame d'honneur en cette occasion.... sa présence n'était que d'autant plus précieuse. Elle s'occupait de tout avec facilité, n'oubliant rien, prévenante pour les moindres détails, s'était occupée de sa coiffure... Une perle en somme.

Elle avait vu les invités renter dans la Cathédrale... l'angoisse monta d'un cran. Elle lui dit:

Un peu d'eau fraîche, j'ai besoin d'un peu d'eau fraîche. Louis-Hubert est-il déjà là? Et les témoins?

L'heure de rentrer n'allait pas tarder à venir... l'impatience était à son comble...
_________________
Malycia
Malycia voyant Duncan s'approcher lui fit un charmant sourire de complaisance, le remercia des compliments qu'il lui fit et le regarda s'eloigner....

Son attention se porta alors sur un couple de nobles qu'elle ne connaissait pas, sans doute des proches du futur marié pensa t elle....

D'où elle était elle pouvait observer le noble sire carresser la cuisse de sa voisine, vêtue elle aussi de noir, il etait rare de porter du noir pour venir à des noces, bien qu'elle en porta elle même, mais c etait différent dans son cas et passé un certain age, c'etait plutot signe de veuvage que par gout vestimentaire...

Le petit manege la faisait sourire, finalement elle n'allait pas regretter d'être là, elle se pencha alors vers son père et lui chuhota discretement...

"dit moi, tu connais ces personnes qui sont assises juste là?"

Elle designa du regard le couple alors en pleine discussion et pas seulement....

_________________
Malycia du Castel de Lys Lez Lannoy
merenwen74
Merenwen lui tendit un verre d'eau et la fit asseoir.

Oui, ton futur époux est arrivé, la salle à l'air magnifique !
En ce qui concerne les témoins laisse moi vérifier.


Merenwen sortit en prenant bien soin de refermer la porte pour que personne ne voit la tenue de Rosa avant l'heure.

Elle fit quelques pas dans l'assistance puis revint dans la petite salle prévue pour la mariée.

Non, je ne les ai vus, ils ne vont sans doute pas tarder.

Rosa semblait nerveuse : ne crainds rien, tu vas passer le restant de tes jours avec un homme merveilleux que rêver de mieux!!
_________________
Izarra
Elle qui depuis quelques semaines se sent toujours perpétuellement gelée vient enfin de trouver comment se débarrasser de cette impression permanente. Un petit sourire aux lèvres, elle apprécie donc à sa juste valeur la chaleur que diffuse à travers le tissu de sa vêture la main de son cousin.

Vêture qu'elle prend soudain grand soin d'arranger d'ailleurs. Lissant avec application le velours de ses jupes, le déployant quelque peu aussi. Innocemment bien sûr. Qui aurait l'outrecuidance de penser qu'une respectable veuve, enceinte de surcroît, profiterait des nombreux et vastes plis de l'étoffe pour dissimuler soigneusement ses jambes et leurs éventuels mouvements? Personne n'est-ce pas?

Et pourtant ses gestes, bien à l'abri de cette cache de tissu improvisée, sont-ils vraiment innocents? Candide, cette façon de glisser sa jambe contre celle de son cousin, de la frotter de bas en haut contre son mollet, lentement, si lentement? Allez savoir...
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)