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Info:
Ici vous trouverez les derniers jours de la vie de Ayla

[RP] Une vie...une fin

Ayla83
[A Noirlac]

Ca faisait longtemps qu’Ayla s'y était retirée avec ses enfants, la jeune femme souffrante à son entrée, avait besoin de repos...

Les nonnes (allaient savoir pourquoi d'ailleurs) levèrent les yeux au ciel quand elles la virent arriver. Des chuchotements eu lieu du style


- Elle va nous rendre folle


Mais le ton changeât bien vite quand elles virent la jeune femme pénétrer dans leur antre, elles se précipitèrent vers elle, et une pris les enfants la jeune femme voulu leur dire non, et la révérende mère prit la parole

- Ma fille au vue de votre état vous êtes pale comme une morte, on va vous conduire à une cellule, et vos enfants iront jouer dehors sous l'œil de mes sœurs

Ayla lui répondit d'un pale sourire et embrassa ses enfants, Lilya et chinon et suivit la mère vers sa cellule

- allez ma fille au lit, vous avez besoin de reprendre des forces ne vous inquiétez pour vos enfants, votre santé avant tout, et je vous averti pas d'escapade, ni rien, car n connait votre manège à force vous êtes intenable, on n’a pas idée de devenir maire d'une ville aussi importante dans votre état mais bon vous en avez toujours fait à votre tête

Ayla écouta la mère que dire...qu’elle avait raison, elle avait toujours poussé le bouchon, mais la tous les jours ca devenait dur et du repos était le bienvenue...

_________________
--Petite_lilya
Lilya n'avais connu que sa maman, avec des responsabilités ou là mais peu présente, Lilya savait que sa mère l'aimait mais peu souvent avec eux, saturnin c'était occupé de chinon (son frère) et d'elle...

Du temps où sa mère était maire, elle rentra un soir en disant,

- je ne me représente pas une troisième fois je me sens pas bien, du repos avec vous mes enfants, j'ai envie de passer du temps avec vous

Lilya eu un sourire amusée car sa mère leur avait fait des gâteaux, des rôtis enfin elle avait une maman rien qu'à elle, qui était là présente, elle apprit aussi que sa maman avait été tisserande, et avec un beau drap blanc (cadeau d'un ami à sa naissance) Elle lui fit une robe blanche, avec des nœuds rose partout...la petite fille tournoya sur elle même et se dis qu'elle ne quittera jamais sa robe...

Puis sa maman décida un jour de partir à Noirlac, la petite fille frémit, à chaque fois c'était des prières, des géni flexions, des chutttttttttttttttttttttttttt, tout rêve de petite fille de 8 ans enfermée la bas...


Ils arrivèrent devant Noirlac, chinon se cacha dans les jupes de sa mère et Lilya taquina son frère

Ne - Fais pas le bébé, et ne commence pas à hurler

- Même pas vrai mézante, MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAn

Ayla exaspérait regarda ses enfants

- Mes amours, on se calme chinon non tu n’es pas un bébé alors ne pleure pas, et Lilya ne taquine pas Chinon je ne me sens pas de me battre avec vous deux

Puis ils pénétraient dans ce...lieu froid, et Lilya eu un drôle de sentiment et une vague de tristesse s'empara de la petite fille

- Le même regard que Mélo, ta tante allez ma puce on ne va pas te manger

- non Maman Lilya pas mangé

Ils partirent en fou rire, Chinon avait eu son mot de fin et virent les sœurs arrivé en courant, d'un geste la plus vielle sépara Lilya et chinon de leur mère une autre vint prendre le relais

- avez-vous faim les enfants si oui on va aller se ravitailler à la cuisine

- Révi quoi?!
Demanda chinon

- Ravitailler chinon et arrête avec tes questions et avance on ne va pas embêter ses braves gens

Chinon se serra contre sa sœur et la suivit en cuisine, on leur servi une assiette pleine de bonnes choses et la sœur leur dit

- Je reviens vous êtes sage je vous fais confiance

Lilya redressa la tête et vit partir la sœur et se pencha vers son frère

- Je vais voir ou est maman tu ne bouges pas

La petite fille se faufila en douce, et entendit des voix elle les suivit, et vit qu'on installait sa maman

- allez ma fille au lit, vous avez besoin de reprendre des forces ne vous inquiétez pour vos enfants, votre santé avant tout, et je vous averti pas d'escapade, ni rien, car n connait votre manège à force vous êtes intenable, on n’a pas idée de devenir maire d'une ville aussi importante dans votre état mais bon vous en avez toujours fait à votre tête

Ho sa maman se faisait gronder, Lilya tendit l'oreille car elle savais que sa mère aller lui rabattre le caquer mais la rien ne vint et Lilya baissa la tête, car sa mère ne répondait et ne tenait plus tête a personne depuis longtemps, dans son souvenir sa mère était forte belle intelligente, et surtout elle avait était chef maréchal, et ça Lilya ca l'avait toujours impressionner moins quand sa maman était devenu douanière des papiers à donner des rapports à faire rien de bien intéressant si les gens qui l'insulter et la elle remettait tout le monde a sa place, et quand elle était devenue après son "oncle" Masa elle l'avait trouvée douée mais là, sa mère ne se battait presque plus...

- Jeune fille que faites-vous là

Une grosse voie tonna derrière la petite fille qui sursauta

- Je...je venais voir ma maman

Une voix plus frêle se fit entendre

- Lilya vient ma chérie

La petite rentra et sa maman installée sur de gros coussin lui ouvrit les bras

- une petite grippe ma dis la mère ca va aller ma puce

- Maman tu devrais appeler marraine...

- Ta marraine va m'achever oui, la je lui prouve...que je me soigne


Lilya leva les yeux au ciel sa mère même malade ne changerait pas....
Ayla83
Ayla entendit une voix entrain de gronder, elle se redressa et vit des boucles brunes dans l’encadré de la porte, elle appela sa fille

- Lilya vient ma chérie

Elle vit sa fille rentrer et lui sourit, pour elle sa fille s’était tout, et encore aujourd’hui dans ce couvent elle ne pouvait s’empêcher de la protéger

- Maman chinon et moi on voulait savoir si tu allais bien

- Il est où notre p’tit diable

- Il mange Maman et tu sais quand il mange personne n’existe…

La mère et la fille partirent en rire, quand une quinte de toux les fit arrêter…

- Je vais aller vous rejoindre dehors de l’air pur me feras pas e mal vas chercher Chinon puis je vous rejoints dans le parc

La jeune femme embrassa sa fille, et la poussa dehors, puis se dirigeât vers sa malle et chercha des vêtements qui lui allait, elle ne voulait pas affoler sa fille mais elle avait beaucoup maigri, et flotter dans tout ses vêtements, quand elle avait fais la robe de sa fille elle avait repris les sien a la taille et a la poitrine, mais même repris sa flotter…

Donc elle enfila de l’épaisseur, passa une chemise, ses braies et descendit lentement dans le parc

Les sœurs la virent passer


- Dame Ayla vous savez que vous seriez mieux au lit

Elles levèrent les yeux et se signèrent, voila Ayla dans leur lieu et même souffrante, la belle n’en faisait qu’a sa tête

- Vous êtes pire que vos enfants, enfin EUX écoutent

Ayla eu un sourire amusé et fit mine de ne pas entendre et continua sa route, en pensant ce qui se passerai si sa santé ne revenait pas…

Dans le parc ses enfants jouaient à chat Ayla se dirigeât vers eux et chinon se précipita sur sa mère


- Maman dis tu joues avec nous ?

- Non mon chéri mais jouer je vous regarde et pas trop de bruit sinon on va se faire tous gronder

Elle leur fit un clin d’œil, et s’assit sur un banc et les regarda tendrement

Sa vie c’était eux maintenant, et pour rien au monde elle ne le quitterait maintenant elle voulait rester avec eux, et partager les rires qui lui avaient cruellement manqué pendant des mois prise par les affaires où elle avait été prise par toutes ses fonctions, une cloche résonna, et Ayla compris que c’état l’heure de la prière, une sœur arriva et leur dit


- La mère supérieure m’a chargé de vous dire que vous étiez pas obligée de venir prier, car l’église et humide et avec…enfin vous avez compris, tous ce qu’on vous demande c’est de rentrer dans vos cellules

Ayla rappela ses enfants et rentra avec eux, elle allait leur lire des histoires et cette sortie l’avait fatiguée et s’allonger lui ferait sans doute du bien…

Dans la cellule Ayla prit un livre et leur lu, elle avait commencé à apprendre à lire a sa fille, et lui demanda de commencer le conte, et avec l’aide de sa mère, mère et fille lurent à deux voix le conte…


Quand une quinte de toux, les firent arrêter et Lilya regarda sa mère

- Maman écrit à marraine je t’en pris, tu es pale et tu tousses

La petite fille baissa la tête honteuse d’avoir suggère encore une fois ca à sa mère…

- Tu as raison ma puce, je vais lui envoyé un pigeon…

Mais Ayla dans sa fierté ne le fit pas de suite, et quand leur su souper arriva renvoya ses enfants vers les sœurs et s’allongeât et s’endormi aussitôt

Les jours passèrent comme ca, Ayla dormant et mangeant à peine mais faisait en sorte que ses enfants s’aperçoivent de rein, enfin elle le croyait….

_________________
--Soeurcolette

Sœur Colette était une dés religieuse de Noirlac elle s’occupait d’une petite annexe qui servait d’infirmerie pour les sœurs qui vivaient ici et pour les retraitantes.L’infirmerie de Noirlac n’était que pour un passage temporaire dés soins y étaient donnés par dés sœurs et des frères deux annexes bien distingués et sans rapprochement pas comme au dispensaire de Saint Aignan.
Soeur Colette avait fait vœux de s’occuper des pauvres et des plus démunis. Cela fessait déjà bien longtemps qu’elle y exerçait elle s’occupait également des petits orphelins, elle aimait son travail et le faisait avec bon coeur et gentillesse.

Cela faisait déjà un moment qu’elle observait la jeune femme qui se baladait dans les couloirs,qui assistait aux offices ... Elle l’avait aperçue avec ses deux enfants au début elle c’était demandé ce que cette femme était bien venue faire ici ...

Elle avait apprit par la suite que la jeune femme y était venue s’y reposer ses enfants venaient lors dés visites autorisés.
Car les enfants n’étaient pas les bienvenus beaucoup trop bruyants pour le repos et la prière.
Mais, étaient autorisés à certaines heures.
Elle l’avait observé et depuis quelques temps la jeune femme se trainait elle avait beaucoup maigrit depuis son arrivés, pourtant elle avait l’air de mangé correctement.
Soeur Colette en bonne observatrice avait remarquer que la jeune femme était bien pâle ,les joues légèrement creusés et l'avait entendu tousser de temps à autres mais sans plus.
Jusqu’au jour où celle-ci était venue la voir pour lui demandé un remède contre la toux, elle avait également quelques difficultés respiratoires.
Elle lui avait donné avec l’accord de la Sœur Herboriste des tisanes pectorales et des juleps.
(Potion adoucissante ou calmante dans laquelle il n'entre ni huile, ni substances purgatives, ni poudres ou substances extractives, mais qui est composée simplement d'eau distillée et de sirops.)

Cela l’avait un peu calmé un certain temps mais, la toux était revenu pas très souvent il est vrai .Un soir elle était intervenu dans sa cellule car la jeune femme n'était pas très bien quelque frissons,une fièvre qui persistait un peu mais, ce qui l’inquiéta Soeur Colette c’était les quelques difficultés respiratoires de la jeunes femme.
Elle lui en fit pars.


Dame Ayla j’ai l’impression que les tisanes et les juleps que nous vous prodiguons ne sont pas assez efficace vous êtes faible. Nous devrions faire appel un médicastre. Nous en avons un qui passe de temps à autres je lui demanderais de passer vous voir.

Ayla refusa elle lui dit que cela allait passer qu’elle n’avait juste besoin que de repos .Elle n’aimait pas trop tout ce qui se rapprochait de la médecine.
Elle resterait au lit un ou deux jours et voilà tout irait bien.

Sœur Colette laissa faire les choses elle revit la jeune femme dans la cour elle allait mieux après tout c’était peut être elle qui avait raison se dit ‘elle...
--Petite_lilya
Les jours passant, Ayla se remit doucement, enfin en apparence, elle se promenait avec ses enfants, grâce aux soins des sœurs, elle arrivait mieux à respirer

Assise à l’ombre d’un arbre, la jeune femme écoutait sa fille lire une histoire, sa diction était beaucoup mieux, et Ayla en profita pour écrire une lettre

- Maman tu écris à qui ? Demanda Chinon

- c’est une surprise les enfants, vous verrez le temps venu


La jeune femme ne fini pas sa phrase quand une quinte de toux la prit, la jeune femme ne pouvait plus reprendre sa respiration et quand elle se fut calmer, elle était bien pale et Lilya leva sa tête et vit que sa mère cachait son mouchoir, elle y vit du rouge et prit peur

- Maman je reviens, chinon reste avec elle tu la surveille hein

Le petit garçon prit l’air d’un homme, la posture lui fit penser a son père la même façon de se tenir, Lilya regarda sa maman et son petit frère et parti en courant

Elle traversa tout le couvent comme ci le diable était à ses trousses, puis arriva devant l’infirmerie, elle tapa à la porte et n’attendit pas qu’on lui réponde


- Ma sœur ? C’est…c’est

La sœur la regarda

- Calme toi ma fille et respire à fond et explique moi tout

- C’est maman elle…elle s’est mise à tousser et à cracher du sang et maintenant elle est toute pale dans le parc…Venez vite !!!

- Calme toi tu vas aller la rejoindre et rester auprès de ton petit frère, j’arrive j’ai un pigeon à écrire

La petite fille ressorti, et se cacha dans un coin pour pleurer, car du sang qui sors de la bouche ce n’est pas normal, sa mère allait mieux, mais on lui avait l’avais vue avec sa tante Melodya, que des fois ca réapparait plus tard, et on meurt Lilya renifla s’essuya le nez sur sa manche et retourna dehors

- A ma chérie tu es allée ou ?

- Maman j’ai…eu une envie pressente

- tu aurais pu me le dire, j’avaaaaaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii envieeeeeeeeeeeeeeee


Lilya regarda son frère et lui intima de se taire

- Maman tu vas mieux ? demanda Lilya

Difficilement Ayla hocha la tète et prit la lettre et attacha a la patte d’un pigeon sa lettre et le fit partir


- Maman tu as écris a qui ?

- A ma mère…

Ayla eut le visage qui se ferma pale et essayant de reprendre sa respiration quand la sœur de l’infirmerie arriva et Lilya eut l’air soulagée
--Soeurcolette

Sœur Colette s’interrompit en apercevant une petite fille arriver en criant.

Citation:
C’est maman elle…elle s’est mise à tousser et à cracher du sang et maintenant elle est toute pale dans le parc…Venez vite !!!

Sœur Colette regarda la gamine calme toi ma petite ! Calme-toi !
Tu dis du sang dans le mouchoir par Aristote !


Elle laissa ce qu’elle était entrain de faire puis se rendit à la cellule de la jeune femme en question.
Elle l’aperçue au loin dans le jardin.se dirigea vers elle.


Alors Dame Ayla que ce passe t’il votre fille est venue me voir affolée, vous s’avez également que les enfants ne sont pas autorisés ici ils sont tolérés durant certaine heures et c'est tout ,alors de les voir en plus courrir dans les couloirs...
Elle m’a dit que vous crachiez du sang ?
Il y a longtemps ?


Non, non ce n’est rien elle jeta un regard sévère à sa fille, je vous dis que ce n’ai rien du tout juste une irritation du à la toux. Elle s’est affolée pour rien.
Pourquoi a tu été dérangé Sœur Colette ! Je vais bien, je vous l’ai dis.


C’est ce que vous dites mais je vois bien que non !
Vous avez maigrit, vous êtes toute pâle, vous avez peu appétit et la vous…


Ayla soupira j’ai l’impression d’entendre Asterie décidément…

Asterie vous dites c’est un nom qui me dit quelques chose.

Oui c’est le médecin de Saint Aignan.

Tu devrais lui dire maman.

Oh non !Tu ne la connais pas elle va venir de suite et me faire avaler je ne sais quoi et surtout m’interdire de sortir du lit …

Asterie oui je me souviens maintenant elle est un dés professeur de Noirlac elle à enseigner la folie. Vous devriez lui …

Ma sœur vous ne la connaissez pas elle va ma persécutez.

Vous persécutez voilà un bien grand mot.

Je vous le dis ma sœur vous la connaissez pas elle va m’obliger à rester au lit et je ne pourrais plus sortir de la chambre c’est qu’elle a un grand pouvoir de persuasion et en plus elle est aider. Je me souviens quand j’étais enceinte pas moyen de lui échapper !


Sœur Colette regardait la jeune femme et ne pu s’empêcher de sourire en entendant la description faites par Ayla du Médecin de Saint Aignan.


En effet vous avez raison c’est terrible un médecin qui oblige ses patients à se soigner. Va falloir la dénoncer à l’église vous ne trouver pas ?
En attendant c’est moi qui vais prendre le relais vous aller allez vous reposer dans votre cellule ici l’air est un peu frais.
Je vais vous apporter une tisane et si ça ne va pas vous viendrez à l’infirmerie.
Asterie
Asterie état au dispensaire entrain de préparer quelques onguents et préparation. Elle fît également l’inventaire de ce qu’il lui fallait en plantes pour les commander à Maitre Pharmacien.
Maintenant qu’elle avait de l’aide de Mathis cela la soulageais un peu.
Une jeune novice frappa à la porte et lui remit une missive.
Elle l’as prit et la lu.


Citation:
Maître Asterie d’Ambparé,

Je me permets de vous envoyer cette missive pour vous demander conseil.
Je suis Sœur Colette de l’abbaye de Noirlac je m’occupe de l’infirmerie.
Nous avons un Médecin qui passe de temps en temps sinon nous avons Sœur Marie qui est notre apothicaire en chef qui s’occupe de tout ce qui est des traitements aux différents malades aider de Sœur Elise et de Frère Pierre herboristes.
Pourriez –vous passer à Noirlac pour une visite. Nous avons plusieurs malades et puis également une de vos amie Dame Ayla qui n’est pas bien du tout malgré ses dires.

Je vous pris accepter Maitre Asterie d’Ambparé mes sincères salutations.

Sœur Colette de l’Abbaye de Noirlac.


Asterie sortit de la pièce s’occupa des patients qui attendaient dans la salle attente. Puis donna des directives pour le lendemain.
Elle envoya un courrier pour annoncer son arrivée le lendemain matin.

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La loyauté envers une personne ne s'achète pas, elle se mérite.
--Soeurcolette
Sœur Colette reçue la missive d’Asterie .Elle demanda au frère portier de la conduire à l’infirmerie lorsqu’elle arrivra.

Bonjour Maître Asterie d’Ambparé comment allez vous ? Je vous remercie pour vous êtes déplacer si vite .
Venez je vais vous montrer l’infirmerie. Voilà je suis inquiète Maître pour certain malades et aussi pour une Dame que vous connaissez bien Dame Ayla ce n’est pas que je ne veuille pas qu’elle reste ici mais hum comment vous dire Dame Ayla est très…


Asterie la regarda elle est très têtue et refuse de venir à l’infirmerie et je suis sûr qu’elle ne sait pas que je suis ici.

La Sœur lui montra les différents malades.
La médicastre fît le tour des différents malades, donna des instructions.
Une fois terminer Sœur Colette lui indiqua le réfectoire puis lui expliqua le cas de Dame Ayla. Qui bien entendu n’avait absolument pas voulu venir à l’infirmerie elle était resté dans sa cellule.

Asterie écouta Sœur Colette elle lui décrit qu'elle avait remarquer la fatigue sur le visage d’Ayla , sont amaigrissement depuis qu’elle était ici , ses différentes quintes de toux ,elle lui avait dit quelle avait mal aux niveau des omoplates et sous la clavicule droite .
La jeune femme crachait quelques stries sanguinolentes mais, surtout sa voix devenait de plus en plus enrouée. La sœur Apothicaire lui avait prescrit des tisanes pectorales et des juleps mais rien n’y faisait la fièvre venait et repartait grâce aux décoctions.


Je vois que c’est assez important je vais aller la voir merci Sœur Colette.
Ayla83
Ayla ne voulait affolé personne, ses quintes de toux elle les cacha...

Mais c'était sans compter sa fille, qui avait vue et qui avez été cherché la sœur de l'infirmerie, norf de norf, on n'a pas idée de se faire gronder pour si peu....

Et maintenant la sœur lui disait qu'elle connaissait Astérie, ben là elle savait ce qu'il l'attendait...

Elle raccompagna ses enfants, les embrassa leur répéta d'être sage, puis aller taper au bureau de la révérende mère

- Ma mère? excusez moi de vous déranger, mais...

La mère quitta sa lecture un peu agacée mais quand elle vit Ayla, elle laissa sa lecture et lui fit signe de s'assoir

- que se passe t'il ma fille?

- J'ai écris à ma famille, je veux que cette conversation reste entre nous, je compte sur vous, La mère lui fit que oui et Ayla repris, Ma famille va venir chercher mes enfants, je leur ai écrit, c'est pas une vie pour eux je les aime, mais je ne veuille pas qu'ils me voient comme cela...

- Je comprends, ma fille, ils vont arriver quand?

- Je ne sais pas ma Mère, mais dès qu'ils seront là dites le moi, on sera discret je vous le promet on en dérangeras pas

- Ma fille, on vous préviendra maintenant retourner dans votre chambre et allez vous reposer vous êtes pale comme la mort

Ayla la remercia chaleureusement et retourna lentement à sa chambre, sans se douter qui l'attendais là bas.....
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Asterie
Asterie se rendit avec Sœur Colette à la cellule d’Ayla elle frappa attendit et entra.
Quel ne fût pas sa surprise en voyant son amie sur sa couche en position semai assise elle était d’une pâleur à faire peur et ses traits étaient marqués par la fatigue.
Elle fît comme –ci de rien était et s’approcha .Alors encore au lit


Je vois que tu te repose ta retraite se passe bien, tu as raison c’est assez calme ici ?


Ayla lui sourit elle connaissait suffisamment son amie pour s’avoir que cette boutade n’était qu’un prétexte et qu’elle s’avait qu’elle n’était pas en bonne santé il n’avait pas fallu longtemps au médicastre pour s’avoir et se rendre compte qu’elle ne gardait pas le lit par plaisir.

Asterie je te connais tu n’es pas là pour me rendre visite.

Ah bon et pourquoi suis-je là ma chère Ayla . Il y a longtemps que je n’ai eu de tes nouvelles alors.

Ayla se mit à tousser et s’essuya la bouche discrètement pas assez pour l’œil aguerri d’Asterie.

Je vais bien juste un peu fatiguée. Sa voix était de plus en plus prononcée. Elle cherchait sa respiration. Cracha quelques glaires.

Oui bien sur Ayla comme d’habitude tu es un peu malade comme tu étais un peu enceinte de 6 mois.
Laisse-moi d’examiner.


Mais nonnnn ce n’est qu’une petite toux avec un peu de fatigue c’est tout pourquoi te déplacé pour si peu.

Tu as raison mais comme je suis là profites-en.

Elle s’approcha d’Ayla ne discute pas tu sais que tu n’aura pas le dernier mot …

Ayla se laissa faire de tout de façon fasse à Asterie aucune chance.
Asterie l’examina constata une gène respiratoire.


Tu as mal à la poitrine quand tu respire ?


Non pas très peu j’ai juste parfois un peu de mal à respirer, j’ai mal au cou, j’ai du mal à mangé.
Je crache un peu de sang mais pas toujours dis moi Asterie c’est grave?.


Asterie constata un amaigrissement important la peau était sèche elle posa une espèce d’entonnoir sur la poitrine d’Ayla et écouta.

Et bien oui ce n’est pas rien en effet tu as une toux qui c’est compliqué, j’ai bien l’impression que tu as le mal de la poitrine mais je vais arranger ça. On t’a donné des tisanes et des juleps tu vas continuer à en prendre te mettre un vésicatoire sur la nuque et sur à poitrine également ça te soulagera.
Mais il va falloir que tu garde le lit et le mieux c’est que tu reste ici.
Je passerais te voir.
Ne t’inquiète pas je vais tout faire pour que cela aille mieux.

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La loyauté envers une personne ne s'achète pas, elle se mérite.
Ayla83
Ayla vit son amie rentrer dans sa chambre, elle retint une quinte de tous, et voyant son amie rentrait un sentiment de soulagement et de peur la saisir, mais ne montra rien. Astérie eu l'air de faire la même tête qu'elle, elles se regardèrent puis Astérie repris la parole, Ayla eu du mal à la suivre, mais fit un effort pour essayer de la comprendre, quand une quinte de toux la saisi. Elle mit devant son sa bouche un mouchoir et tentant de le cacher, mais son amie plus rapide le vit, et commença son examen...

A la fin de celui ci Astérie lui promis de repasser, Ayla la remercia chaleureusement, et ferma les yeux, en priant que sa famille arriverai vite...

Un jour Ayla voulu prendre l'air avec ses enfants en profiter du beau de cette fin d'été, elle parti dans le jardin, ses forces diminuaient un peu tous les jours, Chinon vint se serrer contre sa maman et Lilya fit de même et quand une sœur arriva en courant


- Dame Ayla, Dame Ayla..
.

Ayla se redressa doucement et difficilement, la respiration coupée d'avoir juste d'essayer de se lever, derrière la sœur, Ayla vit une dame, grande brune, qui lui ressemblait la même démarche, le même port de tète fier, Ayla s'assit au ralenti

- Maman la dame te ressemble

La dame s'approcha et regarda Ayla en face et embrassa la jeune femme sur le front

- Bonjour ma chérie...

Des larmes coulèrent des joues des deux femmes

- bonjour Mère...

Les deux femmes se regardèrent, des années était passées plus de 10 ans

- J'ai reçu ton pigeon

Ayla la regarda

- Donc vous acceptez mère ?

La mère hocha la tête affirmativement et lui répondit

- Moi je voudrais connaitre mes petits enfants


Ayla fit les présentations, et la Mère prit les enfants dans ses bras pour les embrasser

- Lilya te ressemble et ressemble à Melodya, les même yeux, que les femmes de la famille pour le reste, ton fils ne te ressemble pas j'aurai aimé connaitre ton époux

Ayla ferma les poings

- Je lui ai écrit mais...il ne m’a jamais répondu

Ayla laissa couler ses larmes. La mère prit sa fille dans ses bras et la serra contre elle

- Tu as toujours eu un caractère bien trempée, ta sœur été plus modéré...

- Tu vas repartir quand ?

- Demain je souhaite passer du temps avec toi, et apprendre à connaitre est enfants, ils savent ?

- Oui mère je leur ai dis qu'ils partiraient peut être avec vous...Et pourriez vous leur dire plus tard pour moi...


La mère fit signe que oui et serra sa fille dans ses bras trop de non dit entre elles deux mais pour l'instant la mère et la fille savouraient leur moment de retrouvailles....

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Ayla83
Ayla passa la nuit à parler avec sa mère. Elle lui raconta ce qu’avait été sa vie depuis son départ de la maison familiale. Elle lui parla de son poste de chef maréchal, puis de son poste de douanière où son caractère avait été on ne peut plus coriace. Et son plus beau role avoir été la mairesse de SA, elle aimait sa ville et avait essayé jusqu'au bout de lui rendre hommage.

La mère sourit en l’entendant parler avec entrain de cette vie qu’elle s’était construite. Elle lui demanda pour Melodya, ce qu’il lui été arrivé, Ayla lui expliqua que Melodya avait été CAC ducal en Touraine, et comment elle s’était retrouvé, qu’elle avait été présente a son mariage et à chacun de ses accouchements, et qu’a la fin elle était restée avec elle, la mort de son ami l’avait achevée…

La mère pleura, en disant à Ayla se qui était advenu de ses filles, Ayla la rassura en lui disant, entre deux quinte de toux, que leur vie avait été bien remplie.

Elle lui parla de tous ses amis si cher à ses yeux, Ysandre la belle et douce duchesse, Renlie le blondinet qui l’avait toujours soutenu, Le Duc George qui l’avait aidé bien des fois, Astérie la femme médecin accoucheuse à qui elle rendait folle avec ses je suis un « peu » malade ou légèrement enceinte. La mère éclata de rire, et regarda sa fille ente deux quinte.

Elle se leva et lui appliqua sur la poitrine les onguents que lui avait donnés Astérie et les sœurs. Puis elle lui donna à boire

- Ma fille tu vas mal, ne me dis pas le sens contraire

- Oui mère je vais mal, très mal, mais tant que Lilya et chinon seront la, je ne pourrais pas partir tranquillement, je voulais les savoir loin de tout ca.

La mère baissa la tête, puis regarda sa fille

- Quand tu étais petite, je te chantais une berceuse, dors petite étoile tu t’en rappel

- Oui mère, je la chante à mes enfants pour les endormir

- Je leur chanterai tout les soirs je te le promets, ne t’inquiète pas ma puce, je m’occuperais d’eux


Ayla laissa échappait une larme, et serra la main de sa mère

De longue minutes s’écoulèrent et Ayla repris la porale plus doucement le souffle lui manquant par moment, elle lui raconta ses aventures sur les chemins, les soirées en taverne, les épilations au miel, les menace de morsure…

La mère et Ayla s’endormirent tard, dans la nuit et ce fut le rire des enfants qui les réveilla, Ayla serra ses enfants contre elle, et leur expliqua qu’ils iraient vire chez leur grand parent, et qu’elle les aimé plus que tout

Chinon pleura, la mère tenta de calmer le petit mais voyant que ca ne marchait pas, Ayla se leva et prit son fils sur ses genoux


- Mon chéri pleure pas, Maman est pas bien et la ce n’est pas votre place à ta sœur et toi, la ou tu vas aller j’y ai grandi, alors soit fort et montre toi courageux

Elle prit ensuite sa fille dans ses bras et lui répéta la même chose, mais avant cela Ayla enleva son collier un pendentif offert par son père et lui tendit

- Ma puce voila ton père m’a offert ceci, je te le donne il est pour toi, rappelle toi toujours que je t’aime et que je serais avec toi

Lilya se jeta au cou de sa maman, et Chinon les rejoignit, et tous les trois se serrèrent une dernière fois, Ayla enlaça sa mère, puis les embrassa une dernière fois, et les regarda parti

La jeune femme retourna s’allonger le cœur soulagée et serein ses enfants à l’abri, elle pouvait commencer vraiment à se soigner et a garde vraiment le lit, Elle fera les yeux et s’endormi….

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Asterie
Asterie revient de temps en temps à l’abbaye pour voir son amie et lui donner quelques soins. Elle était à chaque fois plus fatiguée que les jours précédents. Le thorax était distendu (en forme de tonneau), la respiration rapide et superficielle, l'expiration prolongée.
Il n’était plus question qu’elle quitte le lit le moindre mouvement lui demandait un effort important.
Elle était presque assise, la figure toujours aussi pâle...
Asterie lui apporta du bouillon seul aliment qui pouvait passer et encore de moins en moins.
En tant que médecin elle s’avait très bien l’issus de la maladie mais, elle ne voulait pas laisser son amie il y avait tant de choses qu’elle voulait lui dire …
Alors elle décidait de parler d’être là non comme le médecin qui la poursuivait car elle ne voulait pas l’écouter et quelle se disait être un peu malade.

Parfois ont pouvait voir sur les lèvres d’Ayla qui devenait de plus en plus violacés un sourire …
Elle avait su que ses enfants étaient entre de bonnes mains avec leurs grand-mère c’était le principal .
Une autre quinte de toux
respire doucement, doucement reprends ton souffle voilà calme toi très bien.
Je vais te donner quelque plantes pour te soulagée un peu.


Asterie l’embrassa sur le front.

Je te laisse ma belle je repasserais un peu plus tard dans la soirée attend moi j’ai encore à te dire une ou deux choses.

D’aaacooord je ta ta tends.

La fin était proche Asterie se leva et se dirigea à l’infirmerie de Sœur Colette elle lui demanda s’il était possible d’avoir un curé car la fin était imminent e au cas où.
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La loyauté envers une personne ne s'achète pas, elle se mérite.
Ayla83
Ayla senti quelqu’un lui poser sur sa poitrine du cataplasme pour qu’elle puisse respirer. Elle vit Astérie depuis combien de temps son amie était là, elle se le demanda, elle senti qu’astérie lui soulever la tête pour la faire manger

- respire doucement, doucement reprends ton souffle voilà calme toi très bien.
Je vais te donner quelque plantes pour te soulagée un peu.


Ayla senti son amie l’embrasser sur le front et lui dit

- Je te laisse ma belle je repasserais un peu plus tard dans la soirée attend moi j’ai encore à te dire une ou deux choses.

- D’aaacooord je ta ta tends.


Ayla senti son amie partir. Ayla souhaitait qu’une chose dormir, quand une voie lui dit

- Et Marmotte debout tu ne vas pas dormir toute la journée quand même

Ayla ouvrit les yeux et pali en voyant ce qu’elle vue….
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--Melodya
[Entre réalité et la mort]

Ayla ouvrit les yeux, et vit assise prêt d’elle…sa sœur

- Alors ma puce, tu me fais quoi ? Tu n’as pas le droit de te laisser aller

- Norf mélo, Ayla eut les larmes aux yeux, tu…es

- Morte et oui et toi bientôt aussi mais avant il faut que tu parles a Astérie une promesse est une promesse

Ayla sourit

- Ma puce tu sais que ca fias des jours que je te parle et tu ne m’entendais pas, sauf un sourire sur tes lèvres, et la tu me vois enfin

- Ben que veux tu, tu n’as pas du hurler assez fort


Ayla s’aperçu qu’elle arrivait à respirer sans difficulté, elle s’assit sur son lit sans aide du coup en profita pour se lever

- Astérie rentre et me voit debout elle va me gronder

Melodya lui montra le lit, et Ayla retourna la tête, sur le lit elle était couchée et respirer difficilement


- Je ne suis pas morte ?

- Non ma puce pas encore, mais ca te dis d’aller faire un dernier coucou à tes amis ?

- Comment ca ?

- On passe chez les uns et les autres, alors tu en penses quoi ?

- Oui je veux bien


Et d’un seul coup, elles se retrouvèrent dans un bureau, une femme était en train d’écrire des pigeons des tonnes de livre jonché son bureau

- C’est Néphé ma déesse, elle va me manquer, elle est gentille si tu savais…

Elles se sourirent et Ayla passa derrière le bureau et embrassa son amie sur la tête, puis après un nouveau changement

- On est ou ?

- Regarde bien tu vas reconnaitre


Ayla écarquilla les yeux la devant elle se tenait Babar dans son moulin, elle l’avait prévenue mais lui ne lui avait jamais répondu, elle s’approcha et doucement posa sa main sur la sienne

- Nos enfants sont entre de bonne main ne t’inquiète pas

Puis un nouveau bond et elles se retrouvèrent dans un bureau un homme entrain de lire

- Eeeeeeeeeeeeeeeettttttttttttt c’est mon blondinet

La jeune femme se pencha sur lui et l’embrassa sur la joue

- Dommage je ne lui aurais jamais enlevé la dernière plume sur son torse, mon cadeau il aura un souvenir de moi

Ayla lui chuchota soit heureux blondinet et continue à protéger tous les berrichons comme tu le fais

Un nouveau bond et la elles retrouvèrent dans un jardin, une femme entrain de donner à manger…à un poulpe

- Ysandre ma duchessssssssssssseeeeeeeeeeeeeeeee

Ayla sourit la sérénité qui se dégage de la belle duchesse la fit presque pleurer, elle s’approcha et lui caressa les cheveux et lui chuchota tu vas me manquer beaucoup

Puis un autre bond

Dans un champ une jeune femme chevauchée


- et c’est ma déesse enfin mon autre déesse, elle aussi me manquera beaucoup

Sherri était entrain de galoper vers une destination, elle était pas seule mais avait l’air d’aller bien

Encore un saut

- Heyyyyyyyyyyy mélo arrête tu ne me laisse pas les voir une dernière fois

- on n’a pas le temps astérie va revenir et il va falloir que tu lui parle aussi


Ayla hocha la tête et vit uen autre jeune femme qui était entrain de…ramasser des fleurs

- norf C’est gari ma sœur de cœur

Ayla s’approcha d’elle, elle savait que la jeune femme le prendrai mal sa disparition, elle se pencha vers elle et lui chuchota je ne t’oublierai jamais ma chérie merci pour tout, d’être une sœur, une amie….

Un nouveau bond elles se retrouvèrent au milieu d’une place de village Ayla regarda autour d’elle


- On est ou ?

- Tu reconnais pas?


Ayla sourit elle reconnu Bourges la ou tout avait commencé, sur un banc un messire respirer comme pour échapper a pas mal de truc elle s’assit et s’aperçu que c’était Georges, le duc du Berry elle s’assit à ses cotes

- Merci de m’avoir conseillée tout au long de toutes ses années

Puis la jeune femme se retrouva dans un lieu plus connu d’elle

- Ho chez les gueuses

Ayla sourit et dans un coin elle vit Saturnin entrain de pleurer, elle haussa les épaules et se dis qu’il s’ne sortirai c’était plus qu’un portier, un ami une nounou pour ses enfants

- Allez on y retourne Astérie va venir te rejoindre, et il faut que tu sois la

Ayla acquiesça et parti avec Melodya
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