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[RP] Memento Mori à la Braconne Baronne

Namaycush


D’une Provence décevante, ayant pourtant appelé, lassitude l’avait emporté de fièvre mauvaise. Dans de rares moments de lucidité, quelques mots, écrits d’une plume fébrile, quelques lignes à réveiller un mort, l’avait pourtant tiré de l’outretombe….
Revenu pour s’apercevoir que l’Ermy l’avait rejoint, sans retour possible, encore une fois ils n’avaient fait que se croiser…dans ce bout de chemin partagé en si grande ferveur…

Alors…

Encore une fois…

Comme un homme au cœur blessé,
Il avait pleuré,
L’Officier.

Puis la vie avait repris le dessus…En s’inquiétant pour Aelyce, sa fille, il avait contacté une étrange baronne qu’il avait croisée, observée et remarquée…Bien vite leur premier point commun se dévoilât…ils partageaient déjà le deuil !

Ni une, ni deux il prît la route….traversant un Languedoc empêtré dans la glue de ses lois absurdes et abracadabrantes. Il avait eu beau invoquer que la seule raison de son déplacement en lance n’était que la hâte de rencontrer une femme, rien n’y fit. Décidément douane et prévôté ne font pas bon ménage avec passion et romantisme…

Les femmes, il en avait besoin comme d’autres ont besoin de pain. Elles sont l’essence de son existence. Les femmes, pas les oies blanches et les pucelles de noblesse, les vraies, celles qui rendent fou un homme au lit, celles qui s’opposent, celles qui affrontent…

Enfin arrivât-il à Ventadour, lieu de jonction avec une lance gasconne de Memento Mori…
Son arrivée était prévue le lendemain, aussi la nuit se passât-elle au bord du lac, à la pêche, tout en observant l’île dont les anciens du village disait que le Léviathan, par les belles nuits de pleine lune d’été croquait tout cru les capitaines imprudents….

Aussi se mît-il soudain à la recherche d’une barque afin de faire mentir cette légende qui ne lui plaisait pas trop….point de barque à l’horizon…résigné se mît-il à chercher le sommeil, la tête perdue dans les étoiles, imaginant la couleur feue de celle du Limousin…

Azou serait là demain, il fallait paramétrer l’opération précisément…

Dans l’entretemps, parce que l’émeraude ne s’emprisonne pas, mais qu’elle s’offre, la couleur est résolument verte !

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Azoura



Etrange rêve....


Ouiii ...il y a quelques temps...toujours le même rêve,revenant sans cesse comme si il n'existait plus que celui là...comme revient chaques jours les vagues sur la plage,mouvement de la mer s'écrasant sans cesse sur le sable offert..union d'un liquide pénétrant les grains,disparaissant pour mieux revenir....

Azoura fit pâquetage...ohhh deux fois rien...il n'aimait pas s'encombrer...juste une besace contenant quelques miches de pain,une tite liqueur au reflet rouge presque transparente...son bouclier d'une incroyable résistance,haaa celui ci lui l'avait déja protégé à mainte reprise et était toujours aussi flambant neufffff...
L'homme qui lui avait légué,lui avait dit "prend fils,il te sera bien utile!"
Il savait de quoi il parlait en tous cas...
Sans oublier son épée qu'il ne quitte jamais...cette double lame en fait une arme deux fois plus dangereuse pour celui qui sait s'en servir...pour ça pas de soucci,les cours reçu pendant quelques année font de lui un maitre d'arme...gare à celui qui entrave son chemin....pas de pardon pour qui ose le défier...

Etant revenu en gascogne par amour et un passage rapide à Bayonne,là ou il épongea quelque larmes suite à une séparation de celle qui se disait son aimée...laissant au loin l'homme pour qui il remuerait ciel et terre,pour qui il descendrait au enfer chercher le feu eternel...cette homme qui venait dans ses songes...l'appelant d'une voix lointaine...comme si il quittait ce monde...

Azoura avait pris sa plume et missive lui avait adressé:""ne cesse pas de respirer,j'ai entendu ...je t'ai entendu...relève toi...ton heure à pas encore sonné...""

Voici donc le "gla " qui résonne en sa tête
Ouiiii son ami...son FRERE...l'attend...j'arrive!!!!!

C'est en direction du Limousin que lui et sa dernière conquète,femme d'une beauté inégalable,plus chaude que la braise d'un feu ardent,froide comme un iceberg pour les hommes s'aventurant à la charmer...ouiii passez votre chemin les sieurs,son coeur est mien..elle est mienne..

c'est tardivement qu'il arriva à destination,après de longues heures de chevauchées,enfin sa lance mémento,banière fièrement tenue , allait fusionner avec celle de cette homme..son "frère" NAMAYCUSH...


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Namaycush

Le coup avait été préparé minutieusement….
Lui savait qu’Elle serait à Ventadour le mercredi, elle le lui avait dit…

Azoura avait fait diligence..sur son ordre…embarquant avec lui une conquête du moment…

Azou, c’était une brute épaisse, force de la nature, imperturbable, mais qui avait une douceur tout aussi naturelle qui faisait fondre pas mal de femmes…Il était l’ami, le frère, fidèle, qui sans se poser de questions obéissait au Capitaine…Il l’étonnait, il était sans faille…

Aussi, quand il lui avait fait part de son projet d’enlèvement…la brute avait bien compris la mission…dérouiller l’escorte…et laisser le Capitan embarquer la Baronne de son esprit…

Néanmoins, un problème était survenu sans que Namay s’en rende compte…

Tous les soirs, il pêchait…enfin pas une pêche active, il laissait tout simplement une ligne dormante et filait aussi vite qu’il le pouvait rencontrer Alcyone dans une chaumière au milieu des bois…

Bien vite elle était tombée dans ses bras….Non faux, lui avait succombé à son charme et s’était laissé aller entre ses cuisses….sans besoin de la séquestrer….

De leur passion naissante les deux amants s’y étaient adonnés sans retenue…Lui ne dormait plus…ne pensait qu’à Elle..

Aussi, après une nuit particulièrement volcanique, quand le dos et le torse brûlaient de ses griffes, que les lèvres affichaient un carmin sanglant…provoqué par la morsure de son émail…se réveilla-t-il serein….mais trop tard….Azoura avait filé en position d’attaque et lui, comme l’imbécile qu’il est…se retrouvait seul….Elle l’avait épuisé, il lui avait tout donné…



Namay, tu es le roi des cons, l’empereur des couillons !



Avant de se frapper la tête contre un tronc…

De leur union naissante, ou affrontement de dominance, Alcyone et Namay l’avait déjà baptisée…..

De Feu, de Sang et d’Emeraudes !

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Kar1
C’est ironique comme les choses peuvent changer, évoluer, s’oublier, recommencer, de plus belles, pour enfin s’engouffrer dans un ravin sans fond. C’est justement et tout à fait ça. L’oubli. Il y a des choses qui ont pour seul but de s’installer dans un tiroir fermé à clé d’un coin de la tête. Et ceci, juste pour le bien de sa personne. Savoir être égoïste ne peut être que bénéfique parfois. Beaucoup de fois peut être.
Karine ne sait pas faire ces choses là. Trop fleur bleue peut être. Trop attirée par le passé surement. Mais être forte, elle apprend à l’être, pour de bon, finalement et à jamais. Le choix, elle n’en a plus, elle n’en veut plus. Vivre au jour le jour, et ne jamais se retourner et repenser au passé bien trop proche et douloureux parfois.
Elle aussi avait connu la cabane au fond du jardin, ou plutôt isolée entre les chênes entremêlés avec des bouleaux qui ne respirent plus ou presque. La jungle, comme dans sa tête. C’est brouillon, c’est fouillis, mais tant mieux ça n’en est que plus joli au final. Il l’avait fait vibrer, lui en avait promis des choses, et ce à deux reprises, ce sans aucun scrupule. Se sentir unique, puis se rendre compte que l'on ne fait face qu’au mensonge, perpétuel, comme toutes les autres femmes, qu’elles soient blondes, ou roussettes ou brunes.

Le Limousin, c’est aux cotés de Canasson qu’elle le quitte. Toute juste sortie de chez les nonnes, elle fonce vers son Noir qui semble continuellement l’attendre. Elle est squelettique Blondine, cela fait des jours qu’elle a oublié d’manger. Son corps déjà menu, se retrouve la peau sur les os, sans forme. Alors Karine marche, se met en mode exercice pour retrouver une once de ses courbes si sensuelles, à en fait craquer plus d’un. Heureusement, ses yeux pétillent encore, grâce au Noir qui lui montre respect et douceur, amour et tendresse surement aussi, même s’il lui faut souvent chercher loin pour le desceller. Mais ça y est, elle s’en fiche, la Blonde avance, tout droit vers Angoulême, sans s’arrêter. Pas de halte dans la capitale. Pas le temps, pas l’envie, juste y aller, au loin, devant elle, déterminée plus que jamais.

Lui, là, à l'horizon.. Possible? Namay..
Un rêve, c’est sur, ou plutôt un cauchemar. Que foutrait-il là, sur son passage. Non point non, juste impossible. Tant pis elle trace, pas le temps de l’écouter de toute façon. Karine se fait discrète, le contourne loin, très loin, enfile une cape, un tissu, quelque chose.. Ni vu ni connu je t’embrouille..

Angoulême, c’est tout ce qui compte pour elle.

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Karine de Pommières.
Mousse4480


Mousse était à Niort, chez lui, il allait recommencer une nouvelle vie.
C'était sans compter sur ce rêve, étrange.
Il avait entendu son ami Namaycush l'appeler dans ses songes.
Aussi, le matin, après avoir réfléchi sur les significations de son rêve, il se décida à envoyer missive à son Pitaine, car il n'avait rien compris.
Son Pitaine lui répondit, son rêve était réalité, c'était bien un appel d'urgence.
Aussitôt sa réponse obtenu, il prépara son paquetage, pas besoin de grand chose, si ce n'était son épée, son bouclier et son bourricot.
Il embarqua sa trésorière avec lui et se mit en route immédiatement.
Trois jours de route qui se passeront sans encombre, ils étaient aux portes de Limoges.
Comme toujours, il avait répondu présent à l'appel, il lui avait juré de toujours être des leurs, alors le voilà, prêt à servir Memento Mori, prêt à être son Lieutenant comme toujours.

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Nanius
[ Limoges…. ]

Limoges nous voila...

Son baluchon sur le dos, elle avait quittée Niort il y a de cela trois jours, laissant derrière elle Gilgalad, il avait fait son choix elle avait fait le sien, peut importe les circonstances à l’heure actuelle elle s’en moquait.
Elle avait promis de toujours être au côtés de Mousse, elle tiendrait sa promesse.
Elle allait donc rejoindre le capitaine Namaycush

Elle avait une confiance aveugle envers Mousse, elle l’avait aimer et l’aimer toujours mais différemment aujourd’hui et même si Gil tentait en vain de lui prouver le contraire, en lui rabâchant sans cesse que les deux hommes la conduirait à la fuite , chose qu’elle n’appréciait guère surtout venant d’un homme qui soit disant tenait à elle, et l’aimait.
Trop de bla bla à son gout
Apparemment tout deux étaient loin, très loin d’avoir la même conception de l’amour.

Qu’il reste avec son sac d’os de Falco, bon vent à lui
Quand à elle, elle n’avait qu’une hâte, rejoindre Memento Mori une seconde fois….

Elle le connaissait très peu le Namay, mais elle l’avait toujours considéré comme un grand homme, malgré tout les on-dit.
Elle s’en foutait royal de l’avis des gens.
Elle ne savait pas si il se souviendrait d’elle, mais une chose et certaine il pouvait compter sur elle.

Plus déterminée que jamais à offrir ses services, elle comptait bien s’amusait …....c'est pas tout mais faut la divertir la p’tite
Azoura
Azoura après avoir attendu à l"affût derrière un arbre,se demandait si il ne s'était pas trompé de lieu...non pourtant..Nam lui avait bien indiqué l'endroit..
Qu'a cela ne tienne...il y aura eu changement au dernier moment...Azou disparu dans ce décor ombrageux..Point de Baronne ni escorte en vue..il retrouverait la trace de son ami...

C'est à Limoge qu'il rejoind la lance de son "frêre",il apperçoit un ancien Gasgon qui a foulé Dax et Mimizan
C'est donc en compagnie de sa tendre qu'ils grossissent les rangs de Mémento Mori...fier de mettre son épée pour cette cause...
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Cymoril
[Quelque part sur un nœud frontalier en limousin…]


Une brunette, un étalon camarguais et un faucon se sont posés, campement de fortune pour un peu de repos. La route toujours appelle les apatrides. Tout comme l’appel à la guerre résonne dans les artères de tous ceux dont elle est source de vie.

Pour l’heure, elle se contente d’un déjeuner frugal, pensées concentrées sur la raison de sa venue en ces terres. Un demi sourire en coin se dessine lentement à ses lèvres pâles alors qu’elle envoie un mulot pris au collet à Hawk et le regarde avec un plaisir non dissimulé déchiqueter le rongeur et se repaître de sa chair encore chaude. Qu’il prenne des forces, il va bientôt s’affranchir d’une nouvelle mission postale.

La Fourmi sacrifie donc à l’exercice épistolaire de rigueur, non sans un certain cynisme. Le destinataire du courrier l’attend… Normalement. Vélin posé sur le nécessaire à courrier dont elle ne se défait jamais, la plume reste en suspens un instant alors qu’elle choisit ses mots avec soin…




Citation:
Neils,

Je m’approche de vous à l’allure toujours véloce qui me caractérise.
Demain il sera l’heure pour vous de tenir promesse faite.

Occasion pour vous de devenir un homme, et de vous soustraire à cette vile servitude rampante dans laquelle vous aimez à vous vautrer, piteuse excuse que vous expliquez par votre infirmité. Dérogez-y et je vous fais promesse de vous en défaire d’une toute autre manière.

Demain, petit écuyer…


Cym.



La missive est courte, froide. Aucune trace de la tendresse dont elle avait toujours fait montre à son égard ne subsistait dans ces quelques lignes. Il l’avait trahie une fois déjà, alors qu’elle l’avait appelée à l’aide. Aussi estime-t-elle être magnanime en lui offrant seconde et dernière chance de prouver sa valeur.

Une brise légère souffle sur le pli, achevant de sécher l’encre. Le pli est roulé, scellé, et lorsqu’enfin le faucon a fini son en-cas, un sifflement l’appelle, qu’il vienne à ses côtés chercher caresses et courrier. Des doigts fins parcourent son plumage soyeux, délicate attention de sa maîtresse qui lui pardonne toujours sa facétieuse manie qu’il a d’engloutir les volatiles qui viennent souvent lui porter missives. La Fourmi accroche à sa patte le rouleau avant de lui glisser un amusement certain dans la voix qu’il parte quand il voudra, la route des airs étant plus courte et rapide que celle qu’elle doit emprunter.

La toute jeune femme se lève, s’étire avant de se dévêtir sur ce coin en retrait de la route qu’elle a choisi. En contrebas, une rivière où elle dirige ses pas, afin de s’y rafraichir un instant. Toujours ce même défaut de vouloir être propre et fraîche, en toute circonstance. Elle offre ensuite sa peau albâtre aux rayons du soleil. Doux et caressants. Le temps de songer fugacement à celui appelé à des affaires importantes… Où qu’il soit il est toujours avec elle, il suffirait d’un rien pour qu’elle sente son souffle dans le creux de son cou, sa voix à son oreille, et le reste… Non, elle n’est jamais seule.

Un relent à son nez vient l’arracher à cette pause si… Quelque part non loin, un vieux poisson pourri au soleil, abandonné par quelque animal… Un léger haut le cœur, qu’elle s’empresse de faire passer d’une gorgée d’eau claire. Curieux comme elle peut aimer l’eau et détester le poisson. Tout comme les villes de pêche. Bordeaux et Genève, toutes deux avaient réussi à la rendre malade. Plus question pour elle de retoucher un jour à cette saleté d’engeance à nageoires.


Il est temps.

Elle revêt son apparat de route. Bientôt le soir tombera et, si elle ne craint plus désormais d’affronter les lumières du grand jour, la nuit conserve malgré tout ses faveurs. Chaude et enveloppante obscurité, elle est sa compagne par excellence, quand la robe de Bagual luit d’argent révélé sous la lune, lui aussi est encore plus beau sous ces rayons. L’étalon est sellé, les armes à portée, la barge en place.



Adelante mi guapo Bagual… Limoges esperanos
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Toute Vie dans cet univers n'est qu'un Jeu... J'te parie une bière que tu m'attrapes pas...
Mousse4480



Ils entamaient leurs troisièmes jours à Limoges. Triste ville au passage, très peu d'animation, les gens sont cloitrés chez eux, Mousse s'ennuyait.
Ils avaient été rejoint par deux personnes, ils en avaient croisé une des deux à Labrit, à Mimizan, en Gascogne.
Mousse avait eu une description sommaire de la mission qui les attendaient.
Il commençait à mourir d'impatience, il n'avait pas l'habitude de passer ses journées à rien faire.
Il s'était rendu à l'université par deux fois pour lire les bouquins sur la vertu et les différentes vertus, très peu intéressant à son goût, mais nécessaire à son développement intellectuel, si on lui avait dit un jour qu'il lirait de telles choses, il aurait bien rigolé. Mais comme on dit, il n'y a que les "cons" qui ne changent pas.
Lui, avait décidé de faire autre chose, c'était sans compter sur son passé qui le rattraper, il avait ressorti tout le matériel qu'il avait rangé dans un gros coffre en bois. Il avait passé deux jours à le nettoyer.
Il n'espérait qu'une chose, ne pas l'avoir nettoyé pour rien.

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