[rp] Une âme égarée qui part enfin ...

Ambiance

Alors que l'obscurité finissait de plonger les terres de Provence dans un voile opaque, un petit groupe de personne se réunissait au tour d'un hôtel funéraire peu commun. Cet hôtel avait la forme bien particulière d'une croix. Sur cet croix était crucifié une jeune femme pas bien grande, les cheveux bruns, le teint a la fois pal et rougeâtre, le visage de la défunte Bruissières était devenu boursouflé, des papules avait pris l'entière possession de son corps. Chaque boutons rougeâtres avaient visiblement était gratté et limé jusqu'au sang, laissant alors imaginer de grosses démangeaisons, sur les mains, les bras, mais aussi le visage, la poitrine, le dos, les jambes, les pieds et enfin sur son inimitée. Le corps inanimé avait était planté dans les poignet de tel façon a ce qu'il puisse être maintenue par deux énormes pointes, et surtout que les chairs de ne se déchire pas, comme il se serait passé si elles avaient été placé dans les mains, a fin d'éviter que le cadavre tombe alors à terre, gisant au sol tel une fiente de palombe. Alors que la dépouille était maintenu en lévitation par la force des pointroles, un certain nombre de fine brindille avait été parsemé tout autour de l'hôtel. Le jeune patriarche Domyos tenait dans sa main droite un flambeau. Alors que le jeune homme regardait ce qui lui avait servi de belle soeur pendant 9 long mois, la dame d'Ibigny ancien vicomtesse, promise au jeune Domyos, soeur jumelle de la défunte, Grenat de Chambray était présente a ses cotés, son regard portait sur ce même paysage, qui avait su dessiner sur les traits fins du jeune homme, des expressions marquants le dégoût et le mépris qu'il avait pour le macchabée tout boutonneux.

Dans un léger haut de coeur le visage de l'ex beau frère se tourna a fin de regarder si son beau cousin ainsi que sa belle cousine était bien présente, un dernier regard a sa douce, et il se lança alors enfin.
Nous sommes ici réuni devant la défunte Caly, a fin de lui rendre un dernier "hommage". Hommage qui je pense sera bien spécial, car a ma connaissance aucun de nous ne l'appréciais lors de sa mort, et si nous sommes ici c'est soit pour avoir le plaisir de la faire brûler, soit être sur et certain qu'elle soit bien partie dans l'autre monde et qu'elle ne pourra plus nous pourrir la vie ... Je ne vous ferez donc pas le discourt qu'elle va nous manquer, ou encore que cette une jeune femme bien, alors qu'elle n'était rien d'autres qu'une traînée, qui a porté autant de mômes qu'elle a eut d'amants, et qu'elle avait le dont de se mêler de ce qu'il ne l'a regarde pas et avec arrogance de sur croix. En regardant autour de nous, l'on peut observer qu'elle n'était vraiment bonne a rien, le fait qu'aucun de ces amants ne daignent être avec nous aujourd'hui ne peut que le confirmer, qu'elle ne savait pas même choisir de bon amant ... Ne l'ayant jamais eut comme maîtresse je n'irais pas n'aventurer sur ces dons naturels, bien que le fait qu'elle se soit fait largué une bonne 40ene de fois laisses a répondre a ce sujet ... Je ne peux donc dire qu'une seule chose, j'espère que ses mauvaises actions dans ce monde ne lui causera pas préjudice la ou elle est, et qu'elle repose enfin en paix, ainsi qu'elle nous foute la paix ! Amen.

Le jeune homme repris alors quelques peu son souffle avant de rajouter quelques mots.
Si quelqu'un veux s'avancer pour parler d'elle, lui dire a dieu ou même lui cracher a la figure une dernière fois, je ne pense pas que ça ne dérange personne ici présent, et vous conseil donc de profiter de ce dernier moment, a fin de lui dire a dieu chaqu'un a votre façon.
Le petit chef de famille arrêta enfin son discourt et fini par rejoindre sa douce, glissant ses mains son ventre, son torse blotti dans son dos, ses mains cherchant c'elle de sa promise.
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" Mieux vaut prendre la peine de s'assurer qu'il soit bien mort avant de parler sur un macabre "

Long voyage depuis l'Artois, elles avaient fait de la route, l'Anjou, l'Orléannais, la Champagne, la Guyenne, la Bourgogne aussi et bien d'autres. Voyage parfait avec sa soeur et les enfants, parfait jusqu'à ce séjour en Berry, elle se rappella ce fameux jour ou elle avait tenu tête à If. Elle lui avait dit d'arrêter mais non elle avait continuer, elle avait réussit à se qu'ils se disputent...

La jeune femme soupira, les ennuies avaient commencer à ce moment là, sa soeur, son inséparable qu'elle avait protégée envers et contre tous avait fini par montrer sa vraie nature. En LD d'autres ennuis, cette fois ci de taille une armée et paf 45 jours à ne pouvoir rien faire à part passer le temps, là encore elle avait continuer à cracher son venin sur son promis, par tout les moyens elle avait chercher à les séparer.

La blondinette commençait à s'ennuyer à cet enterrement elle aurait aimer être en taverne, boire, s'amuser rire et pourquoi pas chanter, au lieu de ça, fallait que sa soeur continue de lui pourrir la vie, elle l'aura fait jusqu'à la fin.

Grenat regarda sa cousine, leurs regards se croisèrent, la brune aussi aurait être ailleurs cela se voyait, nouveau soupir d'ennui. Elle écouta les propos du jeune homme, et lui souria tendrement, il avait bien résumé ce qu'il y avait à dire, que dire de plus, pas grand chose sans doute.

Elle ne regardait pas ce corps, pourquoi le regardait si ce n'était pour faire des cauchemards, Grenat avait assez de ses propres démons intérieurs, pas la peine d'en rajouter en regardant cette dépouille.

Le jeune patriarche se glissa derrière elle, il avait ses mains sur son ventre, elle posa ses mains sur les siennes, Grenat croisa le regard de sa cousine, la blondinette savait se qu'elle faisait. Grenat tourna le visage vers lui, elle l'embrassa sur la joue.

Je vais dire quelques mots, elle lui lacha les mains, s'avança vers l'autel, on aurait dit qu'elle accomplissait une corvée.

Toi ma soeur, mon iséparable fut une époque, je t'ai aimé et protéger envers et contre tous, me mettant à dos de nombreuses personnes... J'ai couvert nombre de tes erreurs, j'ai fermée les yeux sur ton comportement je t'es pas juger, mais Aristote te fera payer tes erreurs crois moi. Tu as essayer de foutre la défection dans ma vie, de m'éloigner de notre famille, de me séparer de mon futur époux mais cela s'est retourner contre toi!
Tu as essayer de te tuer sans succès de nombreuses fois, à chaque tentatives de suicides tu tentais de tuer ton fils, un être innocent honte à toi, qu'Aristote te fasses payer cela!
Heureusement pour cet enfant que son disant père lui sauver la vie, tant que vous étiez ensemble, cet enfant était en vie, tu te fait larguer encore et juste après ton fils décéde et toi tu nous fait une fausse couche, tu aimais trop qu'on soit derrière toi. Tu étais pas le centre du monde sache le, tu as tromper sans cesses tes amants et tu en a payer le prix, à présent tu ne pourrira plus la vie.

Adieux Caly.

La jeune Vicomtesse soupira, elle retourna prés de sa cousine, se blottit dans les bras du jeune homme, elle avait qu'une hâte c'était d'en finir.
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Harleme lui ne disait mots il regardez ses cousine en soupirant ,il sentait le vend froid qui lui foutait le visage.Ses yeux ne montrait aucune tristesse,peut être un sentiment de malaise.Il ne comprenait pas ses cousines c'était un enterrement et on ne devait pas attaqué la personne.On devais lui pardonné c'est pécher et penser au bon moment et le pleurer le défunt enfin il y avait que lui pour voir un enterrement de cette façon


Il écouta ifrit et il soupira de plus belle et quand cousine arriva il trouva qu'il y avait une petite amélioration dans se qu'elle disait.Puis vint surement son tour il leva les yeux et regarda le cadavre lui il voyait une Caly vivante ,une qui fut son amie il fut un temps.

Il s'approcha et prit doucement le flambeau des main de ifrit,c'était au patriarche d'incinérer le cadavre pourtant harleme prit le flambeau et il regarda grenat lui demanda l'autorisation qui fut accordé d'un signe de tète

Il avança doucement vers le corps de sa cousine et la regarda en face.et il prit la parole ,tous le monde l'entendait

_ Je voit que les cousine et ifrit nous ont rappelé ta fin de vie,je croit que maintenant c'est a moi de parler de toi.De me souvenir de toi.Il ont raconté des défaut ta tendance a la débauche et au mensonge.

Je me rappelle avant que tu soit ce que tu est devenue.Tu était une amie et une confidente.Tu m'a aidé toi et ton ancien amoureux gwerlibr. Tu a tout fait pour me sortir des griffe d'un juge qui était corrompu.Tu a tout fait et j'ai éviter la peine de mort.

Je n'ai pas oublié cousine;n con je n'ai pas oublié c'est pourquoi aujourd'hui c'est moi qui vais bruler ton corps en me souvenant de la caly qui m'a aidé.Qui tu étais a ce moment la je la regrette cette caly.

Il se tut un instant et d'un regard dans l'assemblé il demanda du silence car une de la Bruissière quitté ce monde,un personne de leur sang et pour cela il devait lui accordé le silence.Pendant ce silence harleme approchait son flambeau de la croie et quand elle prit feu il recula et se mit a coté de ses cousines et il fermât les yeux ont entendait que le bruit des flammes qui faisait crépitait le bois .

Une dernière pensé lui vient et il murmura pour briser le silence


_ Adieu demoiselle caly de la bruissière soeur jumelle de la Vicomtesse grenat de Chambrai

Elle avait écouter son cousin, pourquoi pleurait une soeur qui avait choisit de tout détruire autour d'elle? Les larmes, elle en avait que trop versées par le passé, les prochaines qu'elle verserait n'était pas prête d'arriver. On aurait pu dire qu'elle était sans coeur, après tout la vérité n'était pas loin.

La jeune femme regardait partout autour d'elle, un papillon voletait à plusieurs centimètres d'elle, lui était plus interressant que la trainée qui était sur la croix, pourtant cette catin était de son sang, cette pensée lui donna la nausée.

Il lui demanda à la bruler, elle n'y voyait aucune objection, après tout c'était son choix, elle s'y opposerait pas. Lorsqu'il parla du juge, elle sourit en coin, ah oui ce fameaux juge avec qui elle avait coucher encore.

Son cousin avait beau vouloir donner une belle image de Caly, la blondinette, elle ne revoyait que le côté négatif, trop de haine habitait son coeur, trop de rancoeur et d'amertume pour cette soeur qui avait tenter de détruire son bonheur.

Le vent se levait à présent, ce qui la décoiffa quelque peu, elle se recoiffa tant bien que mal, elle qui aimait être coquette, il était hors de question qu'elle ne le soit pas à cet instant même. Pendant qu'elle s'occupait de sa petite personne, son cousin prit la torche et la fit cramer.

Alleluia! dit elle, une odeur nauséabonde soudain se fit sentir, l'odeur d'une porcherie n'était rien comparer à celle ci, la jeune femme n'allait pas tarder à vomir.

Elle se dit que vomir sur la dépouille en feu ferait déplacer, elle s'éloigna et respira un bon coups, franchement même morte l'autre fallait qu'elle continue d'emmerder le monde et avec une odeur immonde de surcroit.
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