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[RP] L'auberge du lapin à trois pattes

Hans
La bâtisse était imposante, dominant les maisons alentours. Avantageusement située près des portes de la ville, sur la route menant au marché et à la place principale, l'auberge permettait de garder un oeil sur les arrivées et de capter les éventuels voyageurs et visiteurs de passage.
Une large et massive porte, surplombant un escalier en pierre de quelques marches, donnait directement accès à l'établissement depuis la rue, alors que quelques mètres plus loin une autre ouverture permettait d'accéder à une cour intérieure et aux écuries, nécessaires pour accueillir montures et attelages des personnes souhaitant faire halte dans ce relais.
L'enseigne arborant un lapereau à la patte manquante rappelait le nom qui lui avait été donné.

Le corps du bâtiment s'échelonnait lui sur trois niveaux.
Le rez-de-chaussée était essentiellement composé d'une vaste salle, où l'on retrouvait plusieurs tables, un long comptoir en bois précieux, et une cheminée dans le fond. Bientôt les étagères seraient remplies de divers breuvages alcoolisés, aptes à satisfaire les goûts et les exigences de tous. Bière et vin locaux, liqueurs variées, comme la poire de Sancerre, la prune du Limousin, ou même quelques bouteilles de schnaps ramenées du Saint-Empire. Le nouveau propriétaire étant un amateur éclairé, doublé d'un infatigable voyageur.
Les cuisines attenantes restaient cachées à la vue des clients, et une autre porte conduisait à une petite pièce discrète, sorte d'arrière-salle qui deviendrait sans doute un bureau improvisé où un lieu de réception privé pour le maître des lieux.
Un grand escalier en bois menait à l'étage, et à plusieurs chambres confortables, alors qu'un plus étroit, semblant avoir été taillé directement dans la roche, conduisait aux caves et au cellier.

Quelques travaux de rénovation ou d'embellissement seraient sans doute nécessaires, mais tout était déjà en place pour accueillir les premiers hôtes de marque.
Ayant programmé un départ pour la capitale du duché le soir même, Hans savait bien que le moment n'était pas idéal pour une inauguration, mais l'acquisition de ce nouveau bien s'était faite rapidement, presque sur un coup de tête. Sans doute était-il légèrement nostalgique de l'époque où il avait ouvert sa première taverne avec son épouse, "Les vieux râleurs", mais il s'était surtout retrouvé devant une opportunité à saisir. Avec la crise économique, et la morosité ambiante installée dans le village, il avait pu racheter le complexe pour un prix très attractif, presque une bouchée de pain.

Pas le temps de beaucoup s'en occuper dans l'immédiat donc, mais le vieux guerrier espérait que l'endroit serait attrayant, et participerait à son modeste niveau à faire revivre un peu plus intensément sa bonne ville de Loches.
--_benoit_
L'patron étant en train de préparer son futur déplacement, ou de courir encore après les miches de sa sculpturale épouse, allez savoir, la corvée lui revenait une fois de plus.
Le seigneur n'avait rien trouvé de mieux à faire que de rouvrir une taverne, qui faisait auberge en plus! Et comme le vieux lui avait dit en le prenant à part et en lui écrasant à moitié la nuque à force de trop serrer avec sa grosse paluche: "mon p'tit Benoit, va falloir trouver du monde pour faire tourner la boutique en mon absence, alors au boulot!".
Le soupir trop bruyant avait immédiatement été suivi une taloche derrière le crâne, et le jeune blondinet avait du promettre de s'exécuter sans tarder.
Fini les vacances alors? 'tain, il aurait pas pu rester un plus longtemps dans le sud celui la...

Un large panneau en bois jouxtait l'entrée, il était destinait aux affichages divers, annonces de célébrations ou de festivités, avis de recherche et informations sur la vie du village ou du propriétaire des lieux.
Le jeune assistant, au service de messire Hoggendaffen depuis plusieurs années à présent, commença donc son placardage directement devant l'auberge.





    ON RECHERCHE

    Personnel qualifié:

    - Tavernier(e)
    - Tenancier(e)
    - Cuisinière
    - Palefrenier
    - Femmes de chambre
    - Serveuses


    Sérieux, bonne tenue et respect des règles élémentaires de courtoisie envers la clientèle exigés.
    Débutant(e)s accepté(e)s même si une expérience dans le domaine serait appréciée.
    Les serveuses peuvent quant à elles tout à fait postuler sur la base d'un physique avantageux et d'un joli sourire.

    Si vous êtes intéressé(e)s, présentez-vous au lapin à trois pattes, ou contactez directement le seigneur Hans Hoggendaffen par missive privée.




L'emploi de tavernier est bien sur le plus important, puisque qu'il faudrait assurer une présence relativement régulière lorsque je ne suis pas présent à Loches.
Les postes sont cumulables également (la tavernière peut être tenancière, voire cuisinière en même temps par exemple) et les autres charges sont uniquement rp.
Le but est d'essayer de faire revivre un peu la halle, et de faire participer un maximum de gens.
Bien sur il est légitime pour certains d'espérer plus qu'on rôle d'employé pour leur personnage, donc les pnj seront les bienvenus si vous voulez vous essayer à cet exercice. Le but est simplement d'explorer des situations différentes et d'essayer de s'amuser de manière détendue.
Tayabrina
Elle avait promit, mais nullement obligée, c’était par plaisir que la jeune Taya s’en alla à l’auberge du seigneur de son père. Oui, car les propriétaire dame Titou et messire Hans l’avait accueillie le jour de l’inauguration, avec respect et lors de leur soirée, ils avaient racontés bon nombres des récits de ses parents à la Taya. Souvent choquée par l’attitude qu’avait sa mère mais heureuse de savoir que ses parents était très apprecier du couple.

Elle ouvra la porte de l’auberge, qui n’avait pas encore des serviteurs comme le voulait messire Hans, mais, départ presser de Loches, il n’avait pas le choix que de laisser la taverne.

Ne voulant pas que l’établissement prenne poussière, la Lochoise se mit donc à tout dépoussiérer, cirer les tables et le sol et ouvrit les fenêtres. Si les clients venait à y entrer ils auraient que de la bière, car n’ayant pas de cuisinière dans la taverne, le menu était absent.

Le nettoyage et l’aération de la taverne effectuer, elle se dirigea vers la cave qui était ouvert, oubli de la part du propriétaire qui fit le bonheur de Taya. Elle prit une grosse choppe et la plongea dans le tonneau qui venait de s’ouvrir facilement sous son commandement.

Le succulent breuvage posé sur une tablée, elle s’y installa, dégustant sa bière à petite gorgée. Pensant au soir de l’ouverture de la taverne qu’elle était présente, elle attendra que les couples reviennent pour lui narrer d’autres récits palpitants qui éveillée de plus en plus sa curiosité. Elle se dit que les écrire serai bien c’est ainsi qu’elle farfouilla un peu partout dans l’auberge et trouva une plume et un pot d’encre. Elle entreprit de suite son écriture.



Citation:
Messire Hans, Dame Titou.

A cette instant même je suis dans votre auberge ,j’ai un peu dépoussièrée et enlever les crasses du soir de l’ouverture. Je me suis permise de prendre une choppe et de le consommer sur place. Des nouvelles de Loches en brève, Le soir c’est un peu plus animée que d’habitude, dans nos habitué nous avons un fantôme, un politicien, une sourde, une muette , un chauve, ma reine(Babak),Un adorable, un chanteur et une maladroite qui glisse tout le temps. J’espère que votre voyage se passe très bien et que le vent vous redirigeront bien vite parmi nous.

J’ai aussi hâte que vous me racontiez encore d’autres choses sur mes parents. Le mannequin de Valzan va bientôt être brûlé et beaucoup ont commencé à s’activer autour du pilori, quand je vous dit beaucoup c’est le politicien, la maladroite, et le chanteur.

Messire Agesisel sera bientôt candidat à la mairie. Et tant a moi je ne sais pas ce que l’avenir me réserve, juste que je sais que je dois accomplir ma mission à Loches.

Marraine ce joint à moi pour vous salués tout les deux.


Elle demandera peut être à dame Fortunat, d’aller déposer la missive en main propre. Même si elle savait que la dame Fortunat ne l’aimait pas, peut être bien que avec la permission de son vagabond elle le fera.
_________________
Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....
Hans
Après une énième escapade vers la capitale, Hans était enfin de retour à Loches. Ses pas l'avaient conduit prioritairement vers sa demeure, pour y retrouver ses enfants, mais il se dirigea ensuite vers l'auberge nouvellement acquise.
Les lieux avaient l'avantage d'être calmes et de de pouvoir offrir des boissons à volonté en cas de grande soif. L'endroit était désert, comme souvent, même si le propriétaire avait appris que la petite Tayabrina avait pris le temps de passer ici. Bien que la coquine se soit permis de légèrement piocher dans les réserves, il faudrait penser à la remercier pour son aimable attention.
Nul besoin de lui écrire tout de suite cela dit, si pour une fois il parvenait à rester quelques jours en ville, il ne tarderait sans doute pas à la croiser.

Aucune candidature en vue pour devenir sa tavernière par contre. Il faudrait s'occuper du recrutement plus activement, afin que l'auberge ne soit pas laissée à l'abandon en cas de nouveau départ.

Mais pour le moment, Hans partit se réfugier dans l'arrière salle. Un peu de rangement à y faire, et puis la pièce était propice aux intenses réflexions. Le duché et le village semblaient retrouver un peu de vie, même si les choses étaient encore très fragiles et l'avenir incertain, mais le vieux guerrier était rapidement sujet à l'ennui, et l'inactivité lui pesait facilement, plombant son moral et le rendant plus taciturne ou mélancolique. Heureusement sa sublime épouse était toujours là pour lui proposer une saine distraction, mais il s'enferma tout de même dans son bureau improvisé, espérant sans doute y trouver l'idée lumineuse, ou le plan foireux, qui lui permettrait de s'occuper un peu...
Titoukiki
l'enseigne ne cessait de l'intriguer, pourquoi donner un tel nom a cet etablissement? une chose certaine, son bien aimé avait bien fait de conserver ce nom, apres tout il sonnait bien et changeait assurement de tous ceux qu'elle avait vu au cours de ses voyages

titou passa la tete dans l'embrasure et n'y vit pas ame qui vive, ni client et surtout pas de patron
oserait elle en profiter pour fureter dans tous les recoins pour, eventuellement, donner son avis sur la decoration? oh mais biensur qu'elle allait le faire et de ce pas

la curieuse epouse avanca donc, le pas leger, passant,en chantonnant autour des tables

elle devait avouer que l'endroit se pretait a la detente bien qu'il fut encore un peu austere et aurait bien besoin d'un bon raffraichissement mais titou s'y sentait comme chez elle

la chanson touchant a sa fin, elle continua sa visite...
Hans
Peu de temps après son arrivée, Hans avait reçu un pli en provenance du château. Voilà une nouvelle manière, plutôt étonnante, de tenter de tromper son ennui, même si "l'invitation" ne constituait pas réellement une charge à proprement parler. Il rédigea immédiatement une courte réponse qu'il confierait ensuite aux bons soins de Benoît, mais à peine eut-il posé sa plume que son attention fut captée par une voix mélodieuse résonnant doucement dans la salle principale.

Intrigué, le nouveau patron se leva et quitta sans bruit son bureau de fortune, déjà encombré de caisses et de parchemins divers.
Découvrant sa belle visiteuse, il s'en approcha en dévoilant un sourire ravi.


Bonjour damoiselle, et bienvenue au Lapin à trois pattes.
Puis-je vous être utile?


Sans attendre la réponse il poursuivit son mouvement et vint enlacer sa bien aimée avant de déposer un tendre baiser sur ses lèvres.

C'est gentil de passer me voir, mais dis moi, tu es seulement poussée par la curiosité, ou bien ta visite est plus... hum... intéressée?

Puisque tu es la première à te présenter ici, je dois aussi t'informer que tu es nommée d'office tavernière intérimaire, le temps que d'éventuels candidats se fassent connaître.
Salaire et avantages en nature seront à négocier directement avec la direction...
Sa bouche se plaqua une nouvelle fois sur la sienne, et il l'embrassa langoureusement. Hummmm... c'est à dire moi.
Titoukiki
pensant etre seule en ces lieux, titou sursauta en entendant la voix masculine si familière
le sourire qu'elle lisait sur son visage fut communicatif et lui en offrit un en retour
son coeur battait la chamade, comme a chaque fois qu'elle posait les yeux sur sa moitié et le baiser qui suivit l'enlacement lui coupa litteralement le souffle
toute etourdie par ce brulant contact, elle chancela legerement avant de reprendre contenance

oh vous ici mon bel amour, je me pensais seule céans mais il n'en est point cas
je dois avouer que ma visite fut poussée par la curiosité mais avec le timide espoir de t'y trouver...

elle argumenta ses paroles d'une caresse sur la joue rapeuse avant d'y deposer un tendre baiser

alors en plus d'etre une epouse aimante, fidele, tendre, caline et obeissante, je devrais servir des pintes et faire la plonge en plus de nettoyer les tables en faisant de l'oeil aux clients pour les inciter a consommer?
le commentaire du patron, quant a lui, ne fut pas du tout a son gout surtout si les avantages en nature dont il avait parlé etait la carotte mise sous le nez des postulantes

hum ceci est une condition que je ne puis accepter et donc je me verrais dans l'obligation de garder ce poste et biensur de beneficier de cela sauf biensur si la candidate s'avererait etre un candidat


un sourire entendu sur le visage, elle bomba la poitrine fierement
Hans
Une épouse aimante, fidèle, tendre, câline et obéissante... le rêve!
Enfin Hans avait bien tout ça à disposition, sauf peut-être le dernier point, sur lequel sa bien aimée avait, parfois, encore quelques progrès à faire pour se révéler parfaite.
L'exigeant patron se racla tout de même légèrement la gorge en signe de désapprobation alors que la belle détaillait les moyens de pousser les hypothétiques clients à consommer d'avantage.


Hum... ta simple présence derrière le comptoir devrait attirer du monde, mais abstiens toi par contre de lancer des oeillades aux mâles de passage.
Je préfère qu'ils boivent moins mais qu'ils ne se fassent pas d'idée sur la tavernière...

Quant aux avantages en nature que j'évoquais, ceux auxquels tu peux prétendre seront bien sur différents par rapport à une personne extérieure venant postuler ici, ne t'en fais pas.


Laissant glisser ses mains sur le corps de sa sublime épouse, jusqu'à ce qu'elles viennent prendre possession de ses hanches et exercer une légère pression afin de maintenir une étreinte serrée entre les deux amoureux, Hans continuait d'admirer sa nouvelle employée en arborant un franc sourire.

Alors au fait, est-ce que les lieux te plaisent?
Tu penses que nous pourrons passer quelques soirées agréables ici?


Se rapprochant encore un peu, pour appuyer son torse contre cette poitrine un peu trop fière et arrogante, le mari de plus en plus heureux de recevoir la visite de sa moitié en profita pour lui souffler quelques mots supplémentaires au creux de l'oreille.
ET puis tu n'es pas encore passée dans mon bureau ou dans la chambre spécialement aménagée pour nous à l'étage...
Titoukiki
titou regardait son homme avec une touche d'espieglerie tout en collant son corps contre le sien
je pense que toutes les soirées que nous passerons en ces lieux seront agreables mon coeur

sur la pointe des pieds elle avanca pour offrir un baiser langoureux au plus merveilleux des hommes

il faudra tout de meme que j'y mette ma touche car la decoration est encore un peu ...hum...disons qu'il faudrait donner un coup de renouveau et tout sera parfait

elle continua sur le ton de la confidence et bien qu'ils soient les seuls dans la piece, elle chuchota
si mon patron veut bien me faire faire le tour du propriétaire et me montrer les pieces les plus ...hum..importantes, je me ferai un devoir de lui prouver que je suis une employée modéle et que je ferai de mon mieux pour qu'il soit fier et qu'il m'accorde une petite prime............je lui laisse le choix sur la maniere dont il voudra me payer
ses yeux brillaient et ne laissait en rien le doute sur ses pensées quant au paiement qu'elle voudrait recevoir
comme pour appuyer l'alusion, elle fit courir une main le long de son tour et la fit contourner pour venir pincer le fessier rebondi

elle avait eludé volontairement le passage des oeillades pour attirer du monde et laissait sa reponse pour plus tard, peut etre lorsqu'une candidate se presenterait..............
Hans
Avec sa déesse dans les bras, ondulant légèrement sous l'effet de ses premières caresses, et ne se privant pas elle même de laisser ses mains se balader, il devenait difficile de rester concentré et de ne pas perdre le fil de la conversation.

Heureusement, la foule n'était pas au rendez-vous, comme souvent depuis l'ouverture récente de l'établissement, et les propriétaires pourraient bien s'éclipser quelques heures, le temps de visiter les lieux de manière beaucoup plus approfondie...

Une lueur de désir éclairant son regard, Hans ne rajouta pas un mot, mais il saisit la main de sa bien aimée et l'entraîna à sa suite, vers un endroit plus discret.

Le reste fait parti des tractations entre un patron et son employée préférée, et de l'intimité d'un couple d'amoureux.
Ne vous inquiétez pas, les murs sont épais, et les chambres bien insonorisées, bande de curieux!
Tayabrina
hips* Buvons un coup, buvons-en deux !A *hips* la *hips* santé d'nos amoureux.
Et moi qui suis dedans le bois seulette Je n'ai que Dieu pour parler amourette

Des choppes qui portaient des robes et des tonneaux qui s’arrêtaient a sa hauteur pour lui dire bonsoir à la Lochoise. zigzaguant sur la route qui menait à l’auberge du couple lapin. Non à lapin qui menait au couple de l’auberge. Dans son esprit, elle savait qu’elle devait aller rendre visite au vieux couple de Loches, mais n’arriver pas à situer dans son esprit noyer d’alcool comment ils se nomment.

Pattes sur lapin, le couple Auberge !!! Ben voila ! je sais .

Sourcilleuse, elle vit devant elle déambuler des tonneaux, qui marchaient à vive allure. Elle venait de prendre une cuite d’enfer. Ne voulant pas se faire gronder par son impitoyable frère elle feignit une balade pour aller se souler encore plus. Elle avait de la tristesse à noyer, en chantant à tue tête, Taya laissait les tonneaux s’en allaient, elle entendait les fûts lui dire :

Agréable soirée damoiselle.

Ne voulant pas répondre à des objets de charpente, elle préféra ignorer et continua à chanter pour ne pas tomber dans les pommes.


*hips* Buvons un coup, buvons-en deux *hips* !A la santé *hips* d'nos amoureux.

Au Loin l’auberge semblait se fondre sur son terrain, ses genoux ne pouvait plus contenir ce corps qui vaciller a chaque fois.

Hey Bande de tonneaux *hips* où allaient vous? Retournez sur la patte de l’auberge. Je dirai au *hips* lapin que vous fuyez *hips* son couple. !!

Pas zolies à voir une donzelle soiffarde, résultat de deux cents verres engloutit, la voilà qui erre seule dans la nuitée.
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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....
Waneuguen
Citation:
hips* Buvons un coup, buvons-en deux !A *hips* la *hips* santé d'nos amoureux.
Et moi qui suis dedans le bois seulette Je n'ai que Dieu pour parler amourette


Waneuguen, après un déchiffrage, finit par reconnaître cette chanson venue du Val de Loire.
Il lui avait fallu épurer les paroles de tous les « hips ».
Il fut moins étonné de voir que la chanteuse n'était autre que Dame Tayabrina. Peu de temps auparavant, il l 'avait croisé en taverne et celle ci avait déjà sa dose. Et comme la Belle avait « la Boulasse » un peu triste, le rouquin lui avait chanté cette chansonnette pour tenter de détendre l'atmosphère.

Çà, la tavernière l'avais bien retenue mais dans quel état était-elle! Des hips, des histoires de couple, de lapin, de pattes... Difficile de traduire tout çà!
Wan s'approcha de la dame, ne voulant pas la laisser toute seule dans la rue.
Citation:
Hey Bande de tonneaux *hips* où allaient vous? Retournez sur la patte de l’auberge. Je dirai au *hips* lapin que vous fuyez *hips* son couple. !!


Mais oui! Mais oui! Lui dit il en la soutenant, Et c'est Boulasse qui met la viande hachée sous un papier film! Allez, je vous accompagne jusqu'à chez vous.

Les bonnes intentions, c'est bien, mais, même si la dame n'avait rien d'une grosse dondon, la quantité de boissons ingurgitées la rendait aussi facile à manœuvrer qu'une besace sans sa courroie. Le rouquin fut heureux d'apercevoir l'entrée du « lapin à trois pattes »

Entrons ici! Je vous invite à boire force tisane!
Puis pour lui même:
Pourvu que ce truc là marche! Parce que là, on n'est pas rendu!
_________________
Hans
Le mauvais oeil est sur toi Hans!

Le baron Hoggendaffen en est encore à "admirer" ses nouvelles couleurs avec une certaine circonspection. Dire qu'à l'époque, il s'était allégrement moqué du précédent seigneur de Ligueil, à cause du symbole arboré sur son écu. C'est vrai que ce gros oeil mal dessiné perdu au milieu du bleu profond de l'océan a quelque chose d'un peu... dérangeant. Sans doute que le Très Haut a voulu prouver encore une fois qu'il peut se révéler farceur, ou alors c'est juste les gars de l'hérauderie qui ont une dent contre lui.
Et bien sur sa très chère épouse ne s'est pas gênée pour en rajouter une double couche, en précisant maintes fois qu'il s'agissait là du blason le plus laid et ridicule qui soit...

Assis au fond de la taverne, seul à une table, le vieux guerrier laisse échapper un profond soupir avant de quitter un instant sa phase contemplative et de reprendre ses esprits. Pinaise c'est vrai qu'il peut avoir un effet hypnotique ce truc, mais heureusement, l'attention du néo-noble est attirée par une légèrement agitation devant l'auberge. Les yeux clairs scrutent la lourde porte en bois. Les visiteurs, et les clients surtout, se font plutôt rares en général, mais on ne sait jamais, il arrive parfois à quelques pauvres hères égarés de s'arrêter...
Waneuguen
Retenant Taya, parfois la poussant, la soutenant tout le temps, Wan parvint à la porte de la taverne. Il réussit l'exploit d'ouvrir la porte sans laisser choir la dame.

Maintenant, schuttt!!! Sérieux! Ordonna-t-il en espérant que la tavernière parviendrait à bien se tenir.

Bien le bonsoir! Messire! On peut boire quelque chose? Lança le rouquin au tavernier
Puis, le regardant, il lui murmura en articulant bien et s'accompagnant d'un geste du bras:

De la ti sa ne.... Beau coup de ti sa ne!!! Avec du sel.... Beaucoup de sel!!!
La tisane, il n'était pas sur, mais le sel, çà il savait! Il l'avait expérimenté plusieurs fois sur lui même. C'était terriblement horrible à avaler mais çà remettait un bonhomme debout. alors que dire d'une bonne femme...

Toujours de sa main libre, il fit pivoter son poing fermé devant son nez puis désigna la dame pour bien faire comprendre que la belle était ronde comme une queue de pelle.

Tout doux Ma Dame! Tout doux!

Wan eut tout juste le temps de rattraper Taya qui allait s'affaler sur le carreau de la taverne.

Allons nous assoir à cette table! Il ne faudrait pas que vous glissiez!!!


Pourvu que le tavernier ne nous jette pas dehors! songea-t-il.
_________________
Tayabrina
Voilà que le tonneau la prenait en otage, pleine comme un vache elle ne distinguait plus vraiment la réalité de son rêve, elle se débattait dans son esprit pour sortir du griffes du tonneau qui avait des mains et qui, houuuuuuuu avait des braies et qui parlé, il lui disait de rentrer, de s’asseoir.

Oui ..meuhh ...euhhh gnéé Hips hips c’est loin la table ?


Tout tourné dans sa tête, le sol l’attirait, elle voulait vomir, pleurer, crier, esprit noyé dans l’alcool, Taya avait atteint sa limite, elle se laissai guider par un bois convertit en support de bière, le fût lui parler.

Mais lachez hips mouaahhh

Se débattre ne servit à rien, au fond un autre tonneau la regarder d’un drôle d’air, Oh y ‘ une belle choppe en robe au comptoir, dans son dénouement de vouloir attraper la choppe et se dirigea prestement vers la choppe qui laissa a son tonneau sauveur pas le temps de l’attraper.

Elle fit une belle chute tomba le nez à plat sur le parquet


Boufff !

Aieyueeeeeeee Laissez moi !! Je ne veux pas parler à des objets ! les objets ne parlent pas.. hips à Boireeeeeeeeeeeeeeuu

Taya ne pouvait ni se relever ni réagir son corps était collé au sol, elle essaya en vain mais retomber a chaque fois, son pauvre nez doit souffrir, heureusement que l’alcool l’anesthésié pour ce genre de bobos des beuveries. Elle ne savait plus où elle était

Hips …Boireeuu .hips hips encore…
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