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[RP] Au Plaisir d'Aphrodite

--Jeunehomme
À peine le jeune homme eut le temps de l'approcher que déjà la tapineuse lui tâtait les écus. Apparemment, malgré son jeune âge, elle savait y faire avec les hommes ... Ses mouvements lascifs le laissèrent pantois, lui qui déjà s'imagine monts et merveilles entre les bras de cette minime.

Puis elle lui murmura à son tour, après avoir évalué la somme qu'il était prêt à lui donner :


Citation:
"Je t'aime déjà"


Sur ce elle se détacha de lui, et commença l'ascension de l'escalier. Posture aguichante de celle qui sait ce qu'elle veut ... et elle n'en veut pas peu ... Il fut presque gêné de tant de volupté, et pourtant il en avait connu des femmes, elle était là, face à lui et déjà il souhaiterait la prendre tout de suite, dans l'escalier. Mais bon, il ne faut pas gêner les bien pensants et autres âmes bien tournées. Alors il la prit par les hanches, la souleva contre lui, les cuisses sur ses hanches viriles et grimpa vers l'atmosphère tamisée des mansardes et autres chambrées plus intimistes.

À mi parcours, alors qu'il la maintenait toujours contre son abdomen de ses bras puissants bien que peu volumineux, il se mit à lui embrasser la poitrine, la fille avait des formes déjà assez prononcées, mais pas pour autant généreuses non plus. Ses globes mammaires avaient la fermeté que le juvénilité lui offrait mais aussi la douceur de l'abondance dont il se gorgeait. Un clin d'œil complice à celle qui sera sa coquine compagne cette nuit, jusqu'à l'aube ... mais toujours en son cœur. Si elle savait le rendre fou, il remettra du liquide dans sa caisse une autre nuit.

Arrivé enfin à une chambre dont le lambris de la porte était entrouvert, permettant de comprendre que la pièce est inoccupée, l'adonis donna un coup de pied dans cette première, puis entra, sa catin toujours dans les bras, avant qu'il ne la jette sur le lit de petite taille. Il suffirait suffisamment à leurs ébats amoureux et nocturne, il le savait déjà. La contemplant l'œil avide, déjà plein de désir d'elle, il commença à ôter ses vêtements, la lèvre retroussée ...
--Lys


Le jeune homme ne fut pas long, il s'empara de Lys sans grande peine et monta les escaliers avec sa catin contre lui. Lys serrait ses jambes autour de la taille de son client, elle le regardait et se disait qu'elle était bien tombée cette fois ci. Plutôt pas mal, jeune... Il n'avait pas le profil du pauvre bougre qui repousse toutes les filles. La jeune femme, en habituée de la profession, déduit aussitôt que quelque chose devait clocher chez le jeune homme. Encore un taré se dit-elle. Elle y réfléchit durant la montée de l'escalier et dieu sait à quel point tout un tas de choses traversa son esprit. Au beau milieu de ses réflexions, son client lui embrassa la poitrine d'une façon gourmande. Elle sortit alors de son silence, renversant sa tête en arrière tout en riant d'un petit air espiègle. Elle répondit par un sourire coquin au clin d'oeil de son hôte d'une nuit.

Dans la chambre, Lys observait le jeune homme qui commençait à se déshabiller. Elle s'amusa de penser qu'ils n'avaient échanger que trois mots tous les deux. Visiblement il préférait les actes aux paroles. La jeune femme, se leva alors du lit et s'approcha de nouveau de son client. Elle l'aida à enlever ses vêtements quant à elle déjà peut vêtue elle se dit qu'il se chargerait bien de les lui enlever si l'envie lui prenait. Toujours debout, l'homme complètement nu désormais, Lys enroula une jambe autour de la taille de l'éphèbe, gardant l'autre au sol, l'enlaça puis l'embrassa langoureusement. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle mettait du coeur à l'ouvrage, jouant avec sa langue et ses mains n'étant pas en reste. Celles-ci parcouraient le torse du jeune homme avec douceur et sensualité. Elle lui prit alors la main et l'invita jusqu'au lit. Elle le laissa s'allonger et aussitôt lui grimpa dessus à califourchon. Elle le regarda alors droit dans les yeux et lui sourit. Elle se mit alors l'embrasser sur tout le corps prenant soin de ne pas oublier la moindre parcelle de peau. Jouant avec lui, elle bascula à côté de lui et le regardant d'une manière insolente.
--Hank_le_borgne


Citation:
Bienvenue au Plaisir d'Aphrodite Messire. Je me présente Aphrodite la propriétaire de ses lieux. C'est avec plaisir que j'espère pourvoir vous être utile. Voulez vous que je vous présentes les filles ?




Aphrodite. Cela laisse rêveur

Hank pose un regard qui déshabille l'hôtesse du lieu.

Vos filles? Hum moui mais voyez vous Il sort de sa poche un iris violet et magnifique qu'il tend à la belle

C'est plutôt avec vous que je désire parler. Je suis Hank, borgne de mon état comme vous pouvez le constater. Mais pas en reste avec les femmes...Les belles femmes.

Il pose un regard appuyé à Aphrodite.
Aphrodite.
Le sire posa un regard appuyé sur Aphrodite avant de lui répondre. Celle ci avait vu que Lys avait pris en main l'autre client et ainsi porta toute son attention au sire borgne devant elle.

Citation:
Vos filles? Hum moui mais voyez vous ...


Il sort de sa poche un iris violet et magnifique qu'il lui tendit. Aphrodite le pris et le regarda très rapidement. Des cailloux elle en avait vue deux ou trois dans sa vie, mais jamais des aussi gros, ni aussi beau... Elle ne doutaient pas de son authenticité. Elle fixa le sire en posant l'iris sur la comptoir, le laissant continuer.

Citation:
C'est plutôt avec vous que je désire parler. Je suis Hank, borgne de mon état comme vous pouvez le constater. Mais pas en reste avec les femmes...Les belles femmes.


Aphrodite le regarda sachant pertinemment qu'elle ne valait pas ce cailloux... Des questions lui affluèrent à l'esprit pendant le temps qu'elle essayait de deviner les attention de l'homme. Il avait utiliser le terme parler et c'était présenter ce qui n'était pas l'habitude des autres clients... Elle lui sourit, puis demanda avec sa franchise habituelle .

Pourrais-je savoir sce que vous comptez vous offrire avec cet iris ? Je ne pense pas qu'il ne s'agit que de moi...pas pour ce prix...
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A votre service...



"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."
--Jeunehomme
La coquine jouait avec lui, de ses doigts elle explorait son corps avec avidité. Puis elle roula sur le lit et s'allongea, alanguie et désirable, à ses côtés. Elle n'avait encore ôté aucun de ses habits .. il en était content. Son désir déjà au jour, le garçon entièrement nu vint passer une main délicate entre les cuisses de sa compagne, caressant ses bas en remontant vers son entrejambe. Arrivé à l'endroit qu'il visait, il crispa sa main sur son plus intime vêtement, le déchirant d'un habile et puissant mouvement du poignet alors qu'il penchait sa tête vers elle afin de lui mordiller le lobe.

Ayant découvert la partie la plus féminine du corps de la catin, il ne prit pas la peine de lui ôter le reste de sa parure... d'autant plus qu'il n'en avait pas l'envie, à tout le moins pour l'instant. Les préliminaires, ça n'était pas pour lui ...

Sans plus attendre il se plaça au dessus de son corps, de ses genoux il écartera les jambes de la belle, et de sa main il se guida en elle avant que de ne commencer à la besogner hardiment. Il plaça ses mains entre le lit et les épaules de son aimée d'un soir, planta ses ongles dans ses omoplates, s'y agrippant pour danser en elle avec d'autant plus de force. Il plongeait son regard azuré dans la profondeur de celui qui lui faisait face, envoyé par celle qui lui procurait déjà un plaisir frémissant, sans mot dire, contemplant sa beauté juvénile et un peu glacée.

Lèvres entrouvertes, il laissait s'échapper des soupirs déjà courts. De ses yeux il sait comment lui dire qu'il l'aime, qu'il la veut plus que tout au monde ce soir, en en oubliant toutes les autres et se faisant de plus en plus vaillant, jusqu'à remonter sa victime dans le lit à chaque assaut. Il posa ses mains sur la tête de lit et, de toute la puissance des muscles de ses membres supérieurs, il lui imposait impétueusement ses mouvements de balanciers. Il baissa la tête, prenant une position voutée et goûta à nouveau les lèvres de la donzelle avec une douceur infinie, qui tranchait de beaucoup avec la vigueur de ses contorsions.


Post soumis à la censure qui a trouvé qu'il était correct, même pour les âmes les plus "innocentes" ^^ Tant que ça reste dans ce ton, j'espère que l'on pourra continuer, avec la bénédiction du LJD d'Aphrodite.
Eliebertine
Apret que Dame Aphrodite est u fini de discuter avec dame Lys . Elle nous a dit d’aller chercher une chambre ,que d’ailleurs on a pas eu le temps de la chercher qu’un client est entrer. L’ambiance était chaude et les filles bien vêtues et pas trop sophistiqué pour avoir plus facile a ce dévêtir. Elie était prêt à aller chercher une chambre confortable, quand elle a vu un salon . De grands fauteuils avec une table basse au milieu, elle alla s’asseoir dans le plus grand et posât une jambe dénude sur la table basse et ce la caressa tout en regardent au tour d’elle.


P. s Désolée pour le dessin, je ne pensai pas que ça allai faire problème « pour sa que j’ai pris un dessin et pas photo. »
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux
Eliebertine
Toujours sur le grand fauteuil. Elie se leva et part enfin à la recherche de la chambre celle qui lui semblait être la plus chaleureuse que les autre. Elle entra dedans et enleva les dras du lit et le changea avec de nouveau. Ceux-ci sentait la lavande parce que dans l’armoire là où il se trouva. La patronne avait soigneusement mis un paquet fraîchement cueillir dans le jardin. Elle avait du goût pour ces filles et surtout pour les clients qui étais parfois grognon parce que les dras ne leur convenait pas et n’étai pas assez doux pour leur jolie fesse. Enfin comme dit le proverbe LE CLIENT ET ROI . elle regonfla les coussins et les replaces sur la tête du lit. Une foi le lit fait, elle ouvrit la fenêtre pour aérer la chambre qui sentait un peut le renfermer « déjà cette odeur me convient pas elle ferra de même pour les Client.» Elle plaça sur la commode de la chambre un bouquet de fleur quelconque pour mètre un peu plus de guetter bien que de la guetter pour le client y a pas beaucoup besoin on fait le reste pour le satisfaire...
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux
--Lys


Comme elle s'y attendait, Lys n'avait pas affaire à un tendre. Il ne prit même pas le temps de la parcourir préférant visiblement la bestialité. Lys serrait les dents, sentant les ongles du jeune homme lui transpercer la peau. Celui-ci la regardait dans les yeux, quant à elle, elle avait envie de les fermer et de tourner la tête en pensant à autre chose pour faire passer le temps plus vite. Mais en professionnelle qu'elle était, elle soutenait son regard. Elle enroulait ses cuisses autour de sa taille et ses bras autour de son torse subissant ces assauts du mieux qu'elle pouvait.

La catin avait bien du mal à supporter la violence de plus en plus accrue des mouvements de celui qui était au dessus d'elle, elle se forçait à rester impassible et à ne pas montrer la douleur des meurtrissures qu'elle subissait. Elle se laissa embrasser en y mettant de la conviction. Ses hanches bougeaient aux rythmes effrénés de son partenaire d'une nuit.... ses reins se cambrent afin d'offrir un spectacle inouï à la vue de son client. Elle espère secrètement lui amener le terme du plaisir. La voila aguichante, jouant de ses seins ondulant, se caressant la galbe, bouche entrouverte... sa sensualité vaut le prix de son pesant d'or.... Elle esquisse un frisson, à l'idée des écus elle cherche à coller sa bouche professionnelle à celle de son client.. Elle se déhanche de plus en plus, sa respiration devient de plus en plus saccadée. L'invitation de son corps suffit à exprimer le désir masculin. Le visage du client dessine un début de plaisir, satisfaite de son labeur, son féminin visage enfoui parmi ses long cheveux laisse une vision parfaite à son dominant mâle de se repaitre du spectacle de ses courbes exquises.
--Jeunehomme
La damoiselle jouait des hanches pour le faire plus vite grimper au septième ciel. Elle savait vraiment y faire pour le mettre en émoi, ses jambes contenant le corps du jeune homme dans la plus belle des prisons qui soient. Alors que le souffle du breton se faisait bien trop court et révélait son niveau d'excitation, leurs deux corps s'échauffaient et il sentait bien qu'il n'allait pas résister encore longtemps. C'est pourquoi il eut recours au remède que tous les hommes connaissent dans ce genre de situation, le changement de position. Après s'être enfoncé en elle profondément et y être resté un instant, il l'embrassa avec fougue puis se recula. Mettant fin à leur étreinte un instant, pour faire retomber le soufflet et espérant secrètement qu'elle ressentirait une légère frustration à sa sortie, il la pria de se retourner :

"Coquine, allonge toi sur le ventre, que je puisse admirer ta croupe"

Ce n'était pas le genre de position habituelle pour les dames de bonne extraction, néanmoins lui l'appréciait grandement... elle lui permettait encore plus de dominer sa proie ... Il la contempla, reprenant peu à peu son souffle et ses esprits.
--Lys


Lys espérait ne plus en avoir pour longtemps, elle ne voulait pas passer sa journée sur le même client. Elle le sentait plus frémissant et fébrile au fur et à mesure du balancier que faisaient leurs deux corps. Le moment n'allait pas tarder à venir selon elle quand il stoppa net leur rythme effréné.

Citation:
"Coquine, allonge toi sur le ventre, que je puisse admirer ta croupe"


Lys serra un peu les dents en prenant de soin que son client ne s'en aperçoive pas. Elle se mit alors sur le ventre. La catin se cambra pour inviter le jeune homme puis elle tourna se tête vers lui et lui fit un sourire évocateur.
Hardcor
HarDcor passait par là ..
Il voulait voir cette maison de plus près,arrivé non loin de là,il s'arrêta

Elle est comme je l'imaginé se dis t-il

Il s'asseye sur l'herbe en imaginant ce qu'il pouvait bien si passer,il était pensif..
HarD vit au loin un homme en sortir mais il ne le reconnu guère.
Il partit dans ses pensées pendant quelques instants.
La maison avait l'air plutôt calme de l'extérieur ,finalement une maison comme les autres...mais qui caché bien des mystères
Les minutes défilèrent,HarD repris ces esprits et vis que le soleil était sur le point de se coucher ...il se releva

Oups ! Ma douce m'attend

Il repasserais un autre jour ..pour observer les allées et venus des Flêchois
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--Hank_le_borgne



Hank regardait la belle.Elle ouvrit sa merveilleuse bouche et lui déclara:

Citation:
Pourrais-je savoir sce que vous comptez vous offrire avec cet iris ? Je ne pense pas qu'il ne s'agit que de moi...pas pour ce prix...


Vous???non...quoique...Voyez vous...

Il cherche du regard un endroit discret pour pouvoir discuter avec la tenancière.

J'ai beaucoup d'expérience dans le métier que vous exercez. Pouvons nous parler plus confortablement? Là où..nous serions à l'abri d'oreilles indiscrètes
Aphrodite.
Le borgne la regarda puis lui sourit avant de lui répondre ne baissant le ton :

Citation:
Vous???non...quoique...Voyez vous...

J'ai beaucoup d'expérience dans le métier que vous exercez. Pouvons nous parler plus confortablement? Là où..nous serions à l'abri d'oreilles indiscrètes


Aphrodite se doutais de sa réponse et commencer à regarder d'un mauvais oeil le Sire.

Hum...Suivez moi.

Aphrodite tourna la tête dehors ou elle vit Harcdor faire le guet devant son établissement part la fenêtre entrouverte elle lui lance un baiser avant d'amener le Sire derriere le comptoir ou l'on pouvait voir une petite porte en regardant de pres, elle l'ouvrit et s'y engouffra, elle mener à un salon particulier, plus trnaquille que celui dans la piece commune et surtout plus confortable. Une des ces filles, Roxane une belle rousse, s'y tenait avachit, elle la regarda d'un oeil noire et lui montra la porte avant de lui répondre sèchement:

Je ne te paie pas pour te prélasser toi ! Je veux pas te voir ici seule. Monte dans ta chambre, ou non remplace moi à l'accueille, il faut que je parle au Sire un instant .


Aphrodite regarda la catin partir et fit asseoir le Sire sur un des fauteuils moelleux et alla lui chercher à boire. Elle lui tendit un verre et s'assit en face de lui dans une position un peu aguichante, et lui répondit d'une voix un peu plus dure :


Je vous écoute.
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A votre service...



"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."
--Jeunehomme
Le jeune était tellement impatient de la posséder à nouveau qu'il se jeta sur elle avec empressement et de façon un peu désordonnée dès qu'elle se fut retournée. Il planta son nez dans sa masse de cheveux et huma à nouveau profondément le parfum de paradis qui s'échappait de cette dense et belle chevelure blonde. Il lui susurra alors à l'oreille ces mots d'amour qu'aiment à entendre les femmes, quelque soit la grandeur de leur vertu :

"Qu't'es belle coquine ... je t'aime ... j'te veux mienne ... rien qu'à moi."


Se guidant à nouveau en elle, il effleura sa croupe du bout de ses doigts baladeurs avec une lenteur exagérée. Puis il s'enfonça dans ses chairs avec force et s'apesantit sur elle de tout son poids afin de lui couper le souffle. Il ne levait plus que son bassin afin de s'abaisser en elle. Le breton, dont la fougue n'était égalée que par le désir qu'il éprouvait pour cette jeune damoiselle belle et douée, faisait jouer ses doigts sur ces flancs. Il passait parfois ses mains sous sa compagne et allait y palper les attributs féminins pectoraux qu'il commençait déjà à tant apprécier chez elle.

Malhabilement, il tentait de lui lécher le lobe de l'oreille à chaque fois que ses mouvements, rendus bestiaux par la position, lui permettaient de passer à portée. Il se plaisait aussi à remonter un peu plus les cuisses de la catin dans le lit, la forçant à s'écarteler alors que lui-même lui faisait subir de rudes assauts.

Le plaisir qu'il ressentait était autant dû au corps et aux mouvements de sa belle qu'à la position qu'il avaient adoptée, faite de contraintes et d'asservissement. À chaque instant il s'approchait de la délivrance .. Mais pour cela il fallait encore qu'elle lui fasse sentir son angoisse. Il déposa une main ferme sur le cou de son aimée d'une nuit comme s'il allait l'étrangler, bien qu'aucune pression n'était exercée par ses doigts.

Il reprit ses murmures :


'Je te f'rais crier..."
--Roxanelarousse


Une femme à la chevelure flamboyante et ondulée, quelques habits provocants et peu de rouge sur les lèvres de son visage poudre, plus vulgaire que les autres, le regard dur et ferme, sortit de la pièce ou venez d'entrée Aphrodite. Tout en elle est joli. Insolent peut-être, mais joli. Ses traits sont bien dessinés, ses yeux sont vifs et intelligents, et les courbes de son corps s'harmonisent parfaitement.


Citation:
Je ne te paie pas pour te prélasser toi ! Je veux pas te voir ici seule. Monte dans ta chambre, ou non remplace moi à l'accueille, il faut que je parle au Sire un instant .


Elle n'avait pas apprécier les paroles d'Aphrodite a sont égare c'était de sa faute peu être si les clients était timide! Elle marmonna quelque insulte a l'égard d'Aphrodite en passant près d'elle et fit un sourire charmeur au sire qui l'accompagnait, avant de sortir elle était passé très près de lui et lui avait caresser l'entre jambes d'un geste doux mais discret.

La voici maintenant au comptoir. Elle s'y accoua dans une position a la fois attirante et nonchalante. Elle attendit en rêvassant.
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