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[RP] Chantier naval de Trévière, quand un rêve prend forme.

Belissende
Y'a des pas dans mon dos mais je n'ai pas du tout envie de m'arracher à cette vision magique des bateaux qui se construisent sous mes yeux. Des paroles qui me font sourire, des pas qui s'éloignent, mais je suis sure que quelqu'un est resté alors je me retourne.

Pas tout de suite non, je mets du temps à défaire mon regard de ce que je vois. Mon regard se pose sur celui qui m'observe et je tente un bonjour... enfin il faut le dire le bonjour. Un gamin comme celui qui m'avait bousculée sur le port de Lyon, enfin port, il était en construction. Je lui souris.


Bonjour, je m'appelle Belissende et toi ?

Oh j'aurais peut être du dire vous, mais je connais pas vraiment les convenances, j'aime bien dire tu en plus, c'est toujours mieux le tu.
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--_darius


Le gamin n'a pas bougé, reste debout, le regard rivé sur la jeune fille. Mais quoi, elle s'approche. Son coeur s'emballe, même Sharpey reste tranquille, à l'affût de la suite. Il faut préciser que ce singe est doué d'une particularité que l'on pourrait assimiler à de la sorcellerie : il parle. Mais seulement à ceux capables de capter la quintessence de sa parole. Là, il ne connaît pas. Pas encore. Donc il reste coi, quoi!

Quant à notre mioche, il est un peu rougissant. Premiers émois. Il se dandine d'un pied sur l'autre, pose son doux regard sombre sur la jeune fille.


Moi être Darius. Etre un homme maintenant. Moi vouloir être Prince des Etoiles. Toi aussi?

Istanga a disparu de sa vue, il se sent plus assuré. Nul doute qu'elle n'aurait pas hésité une seconde à le ridiculiser devant Belissende.

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Les religions se dissipent comme le brouillard, les empires se démantèlent, mais les travaux des savants demeurent pour l'éternité
Ulugh Beg
Belissende
Je souris, l'accent de Darius me plait et la petite lueur qu'il a dans le fond des yeux m'attire. Il a quelque chose de magique avec son petit singe calé sur l'épaule.

Ben, c'est que je peux pas être prince des Etoiles, je suis une fille tu vois Darius, mais pourquoi pas ta princesse des Etoiles, ça me plait. Je suis enchantée de te connaitre.

Piouf ! je me suis rattrapée au dernier moment. Incroyable, j'ai faillit oublié de dire que j'étais enchantée. Ce serait dommage il est tellement mignon.

Tu as l'air d'un bel homme. Tu veux être mon ami ? J'ai pas d'ami, enfin je crois que j'en ai pas je sais pas vraiment. Je me suis réveillée un matin et je savais plus rien. Comment t'expliquer j'avais tout oublié de mon passé. Un mauvais coup sur la tête que m'a dit la dame qui m'a soignée elle était gentille et ... oh je parle peut être trop.

Ca y'est je m'emballe et je me sens rougir c'est dommage mais c'est la première personne qui me parle depuis que je suis arrivée en Provence. J'aimerai bien le connaitre mieux.
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--_darius


La jeune fille rougit aussi, légèrement, pas à la manière fondante du gâteau trempé dans le thé, et Darius est subjugué. En plus, elle veut bien être sa princesse des étoiles. Pourvu qu'Istanga n'arrive pas pour briser cet instant si fragile, qui ne tient qu'à quelques fils, judicieusement disposés, mais fragiles quand même.

Bon, Darius arrive quand même à répondre, ce serait dommage qu'il ne le fasse pas, ce nouvellement homme...


Oui. Moi vouloir être ton ami. Moi te protéger. Moi être arrière arrière arrière et encore beaucoup arrière petit fils de Darius. Lui grand roi, faire taire neuf rois menteurs. Moi persan, être avec Istanga. Moi lui demander elle s'occuper de toi. Si toi vouloir.


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Ulugh Beg
Belissende
Ben alors là si je m'étais attendue à ça. Est ce que la Provence est pleine de si jolies surprises ? Voilà qu'il me propose qu'on s'occupe de moi. C'est qui Instanga ? la dame que j'ai vu s'éloigner ? Surement. Mais ce que je comprend pas c'est qu'elle a l'air de lui faire peur ... alors je sais pas si je veux qu'une personne qui fait peur s'occupe de moi. Ou peut être qu'elle peut m'aider à retrouver les miens. Oui mais je sais rien du tout d'eux. Oh ce que ça peut m'énerver cette tête qui veut pas se souvenir. Y'a des jours où j'en pleurerais ! Mais non je ne peux pas pleurer pas devant ce bout d'homme. Alors je lui adresse un joli sourire.

Je veux bien qu'on m'aide. Je sais plus rien d'avant que je me réveille, peut être que des gens me connaissent ici. Je sais pas ce qui m'a poussé à venir ici mais je savais que je devais venir. Alors comme ça tu descends d'un roi ?

Je me rapproche et lui propose mon bras. Oh zut c'est pas le contraire qu'on fait d'habitude ? Heu je sais plus moi.

Tu veux bien me faire visiter un peu le chantier ? Hein c'est si beau ces bouts de bateau qui deviennent des vrais. Et après on ira la voir tu crois ? J'aimerai bien qu'elle m'aide oui, j'aimerai bien qu'on m'aide...

Je murmure à peine les derniers mots car je sais sinon qu'il entendra ma voix se troubler, se casser sous l'émotion qui m'envahit doucement, oh qu'est ce que j'ai envie de pleurer...
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--_darius


Mais... il rêve? Voilà qu'elle lui prend le bras, lui demande de lui faire visiter. Il fait appel alors à ses lointaines origines et, tel un paon, se pavane au bras de sa princesse, lui faisant l'éloge des futurs bateaux.

Ici être construits bateaux très rapides. Eux pouvoir gagner courses, beaucoup écus. Istanga être garde pêche à Marseille. Elle toujours crier, mais être gentille. Beaucoup colère dans Istanga. Pas faire attention, pas lui répondre alors.

Il la regarde, vérifiant qu'elle n'a pas peur. Il voit de l'eau dans ses yeux, alors il lui serre la main.

Moi être là maintenant. Istanga aider toi. Moi être sûr elle dire oui.

Il l'entraîne avec lui vers les bureaux de Samuel.


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Ulugh Beg
Belissende
Je l'écoute raconter les bateaux et je me demande si j'ai le mal de mer, je sais même pas si j'ai le mal de mer et je sens un flot de larmes monter. Il s'arrête, me regarde, parle de la colère d'Istanga. J'hoche la tête quand il me dit de pas avoir peur. Je voudrais lui sourire mieux que ça mais j'arrive pas. Oh que le contact de sa main sur la mienne me fait du bien.

Le réconfort, ça fait bien longtemps que je recherche du réconfort. C'est pas que les deux paysans qui m'ont recueillie aient été méchant non, mais le réconfort ils connaissaient pas. Ce contact si doux a l'effet d'un baume sur mon coeur inquiet et meurtri. Alors je lui souris vraiment. Alors qu'il m'entraine vers je ne sais ou je serre un peu plus son bras et le remercie.


Merci d'être là pour moi.

On arrive devant des batisses, et je peux pas m'en empêcher, mon coeur bat plus fort. Qu'est ce que ces rencontres vont me réserver ? Et si là dedans il y avait un de ceux qui m'ont agressée ? Pourquoi cette pensée, pourquoi maintenant alors qu'on me dit qu'on veut m'aider ? Et si ce n'était qu'un piège ... Il faut que j'aie confiance mais je n'arrive pas...
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Istanga
J'ai rejoint Flore et Samuel et, comme eux, j'ai compulsé cartes, documents. Je me suis surtout intéressée à la partie financière. Bon sang ne saurait mentir, j'ai quand même hérité quelque chose des parents. Tout me semble bien parti, quand je me rends compte de l'absence de Darius.

A peine cette pensée m'atteint-elle que le lascar entre, au bras de la demoiselle entraperçue tout à l'heure. Que va me pondre ce bandit, encore?

Grandiloquente, je lève les bras au ciel.


Vâï khâk bè sèrèm! Qu'as-tu encore inventé, bad pesar? tu ne m'écouteras donc jamais?

A peine me laisse-t-il finir ma phrase qu'il se lance dans une longue diatribe dans sa langue, d'où il ressort que la demoiselle a été assommée par un dangereux bandit, dépouillée de ses biens, et amnésique depuis. A la recherche du temps perdu, ou quelque chose dans le genre.

Bien, jeune fille. Belissende, c'est votre nom, c'est ça? Vous en avez souvenance, ou vous l'avez inventé?

Je lui parle doucement, car elle a l'air un peu effrayée.
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Belissende
Houlala, elle a l'air fâchée la dame, ne pas faire attention, c'est ce que Darius m'a dit mais c'est pas facile de ne pas faire attention. Alors je regarde les autres gens pendant que Darius parle dans une drôle de langue. Je comprend maintenant pourquoi il a un drôle d'accent.

Bien, jeune fille. Belissende, c'est votre nom, c'est ça? Vous en avez souvenance, ou vous l'avez inventé?


Je hoche la tête puis je la secoue. Ah ben comme ça elle va pas me comprendre. Oser parler. Je tourne mon regard vers elle. Elle a parlé avec douceur, mais elle reste impressionnante. Je tente un sourire timide, mais si à l'instant il y avait eu un trou de souris je suis sure que j'aurai pu y disparaitre !


Non Dame, enfin si c'est mon nom. Mais non je m'en souviens pas. C'est grâce à lui que je sais je peux vous montrer ? Ne craignez rien je sais pas l'utiliser. Enfin si mais non.

J'ôte mon arc que j'avais en bandoulière et le montre à la dame.

Vous voyez, c'est écrit là Bélissende.

Je rougis, elle sait surement lire j'essaie d'anticiper sa question, l'avoir en main mon arc me donne confiance et courage, même si je sais pas pourquoi.

Je sais que c'est le miens parce que vous voyez, ma main va juste là. Enfin pas si bien parce qu'elle a été cassée, mais il est fait pour ma main. Mais je sais plus l'utiliser.

Je baisse le regard vers l'arc, mes doigts qui se serrent autour avec difficulté. Même si c'est dur, l'emplacement est juste fait pour eux. Je soupire, je lève pas mon regard de ma main et de mon arc, j'ai l'impression que tout le monde me regarde et plus je m'en rends compte, plus mes joues passent du rose au rouge vif.
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Flore
Je devrais transmettre l’idée au chef du chantier. Car nous pourrions arrêter la fabrication du dernier là-bas pour faire avancer le tien.

Flore accueille cette nouvelle avec un large sourire. Ses 22 ans ne lui permettent plus de sauter sur place en tapant dans les mains et en criant "Waaaaaaaai" alors pour exprimer sa joie, elle choisit une attitude plus digne bien que peu convenable. Elle saute au cou de son cousin et lui dépose un sonore bisou sur la joue Oh merci, Samuel ! Mon cousin préféré !

Eclate de rire

Pour revenir aux festivités, l’on peut faire construire des brigantins et des embarcations à voile triangulaires pour presque rien. Donc c’est tout à fait réalisable cousine…

Wouhou ! On va s'amuser. J'envisage un événement grandiose dont l'écho traversera les frontières. La régate peut être organisée début 1458. Ce sera une excellent occasion de fêter l'année nouvelle;
Réflechit Pas des invitations personnalisées, ou alors en nombre limité. Annonçons ces festivités publiquement, à l'étranger également !

Regarde par la fenêtre et voit Darius en discussion avec une demoiselle.
Tiens Istanga arrive. Réunion familiale improvisée. Ton protégé s'est trouvé une fiancée apparemment annonce-t-elle en accueillant sa soeur.

Peu de temps après, la jeune dame répondant au nom de Belissende les rejoint.


Bonjour jeune dame. Je suis Flore. Vous pouvez déposer votre arc sans crainte. Vous êtes en sécurité ici. Vous venez d'arriver en Provence ?
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Dahut
Samuel etait satisfait de voir Flore aussi impatiente et heureuse. A peine un bisous spontané d'un cousine que la seconde entra avec une petite troupe.
Tous entrerent et d'un geste de la tete Dahut signifia a Igniacio qu'il pouvait refermer la porte. Ce dernier s'executa et resta dehors.

Flore avanca donc pour saluer. Samuel se leva avec le sourire et s'approcha d'Istanga. Il lui fit la bise et lui glissa a l'oreille.
Tu commencais a me manquer cousine.

Puis il tendit la main a Darius avec malice avant de se tourner vers la jeune fille apercu en ville mais encore inconnu.

Damoiselle je suis Samuel Alexandre de Trévière, seigneur de Vitrolles. Bienvenue sur mes terres.

Presque détaché il s'assit au coin du bureau, regardant Istanga penché sur les cartes. Puis prit la parole apres un petit blanc ou un ange eu trouvé le moyen de passer...

Bien !!
Avec Flore nous venons de convenir de festivités icelieu pour cette hiver...
J'espere vous y voir !

Sinon que fait t'on ? On peut sortir si vous n'avez pas peur de vous faire arroser ou bien rester ici ...


Le seigneur jetait régulièrement un coup d'oeil a la nouvelle pour essayer d'en savoir plus.
Belissende
Je me sens un peu mal à l'aise, je crois que je viens d'atterrir dans une grande famille. Ils se connaissent tous. Ben oui normal, c'est une famille, mais quelle andouille je suis.

Bonjour jeune dame. Je suis Flore. Vous pouvez déposer votre arc sans crainte. Vous êtes en sécurité ici. Vous venez d'arriver en Provence ?

Flore, c'est marrant comme nom. Je l'observe, est ce que j'ai tellement l'air effrayée ? En sécurité ... comment me sentir en sécurité alors que quelqu'un m'a agressée sans que je sache pourquoi ... enfin sans savoir ... je l'ai peut être cherché. Les images qui me reviennent sont étranges. Bref, je hoche la tête.


Je suis arrivée il y a quelques jours oui et je visite le coin.

Je vais pas en dire plus pour le moment je ne sais pas vraiment à qui j'ai affaire.

Damoiselle je suis Samuel Alexandre de Trévière, seigneur de Vitrolles. Bienvenue sur mes terres.

Sur ses terres ? Involontairement j'ouvre de grand yeux. Un seigneur. Peut-être qu'il pourra me protéger lui. C'est pas si mal ça ... Par réflexe, je fais une révérence. J'ai appris ça où moi ? Je rougie légèrement comme pour m'excuser. Je le regarde s'installer sur le coin de son bureau.

Bien !! Avec Flore nous venons de convenir de festivités icelieu pour cette hiver...
J'espere vous y voir !


Je hoche la tête sans cesser de le fixer, pourquoi pas s'ils m'accueillent si gentiment, je vais m'incruster moi. C'est étrange, ce regard me dit quelque chose.


Je viendrais avec plaisir, même si je sais pas si j'aime la mer ou pas. Des festivités me changeront les idées.

Oh, mais ça m'agace cette mémoire qui me fait défaut. Et puis pourquoi il me regarde comme ça tout le temps. Je peux pas m'empêcher de croiser son regard. J'ai besoin de quelqu'un pour me protéger de ce que j'entrevois de mon passé, pourquoi pas lui. Alors, pour la première fois que je suis entrée dans cette baraque, je lui souris. Un sourire franc et en même temps plein de sous entendus. C'est qu'il est séduisant le bougre, enfin le seigneur de Vitrolles. Heu est ce que je me suis présentée moi ? Je sais même plus, peut être en entrant quoique ...

Dames Istanga et Flore, Messire Samuel, je suis enchantée de faire votre connaissance. Je vous remercie de votre accueil. Je me nomme Bélissende et heu ... enfin je crois.

Je me rappelle de la question et je regarde les personnes présentes.
Sinon que fait t'on ? On peut sortir si vous n'avez pas peur de vous faire arroser ou bien rester ici ... bon, ils répondent pas donc je vais le faire.


Je suis sortie de la petite maison que je loue pour visiter, alors pourquoi pas continuer surtout en si charmante compagnie.

Sourire appuyé vers le beau brun, zut, je suis censée être timide moi, pffff chassez le naturel il revient au galop. Quelque chose me dit de faire attention, comme si ma dernière aventure m'avait attiré des ennuis...
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Istanga
Diantre! Mes pensées vagabondes m'ont menée bien loin. Silence qui plane, l'ombre d'un instant, l'instant étant, comme chacun le sait, d'une durée toute subjective...

Relais bien vite attrapé par ma florette, Soeur et par l'inénarrable cousin joli qui me supporte. Un sourire incongru pointe sur mon visage, lorsque j'entrevois les pensées de la petite Bélissende au travers de son regard admiratif. Mon pauvre Darius... Il va falloir que je songe à faire son éducation, avant qu'il ne meure de chagrin.

Lui expliquer ce qu'attendent les femmes, voila ma prochaine mission. Quoique, si l'on y réfléchit, je ne sais absolument pas ce que j'attends des hommes. Rien sans doute. Je me dis que, pour aimer, il faut admirer. Et je n'ai jusqu'ici rencontré personne d'admirable. Enfin, depuis bien longtemps en tout cas.

Bref, ça tourneboule dans ma cervelle, puis je me rends compte que, sûrement, Samuel prendra en charge la demoiselle, ce qui m'arrange. Parce que je me vois mal gérer mon chiard, auquel je me suis habituée, et une donzelle dont il s'amourachera.

Bon, je m'arrache à mes pensées, arrache à mon indéfectible volonté d'être socialement fréquentable un sourire éclatant, et exprimant dans un élan de joie indescriptible ma joie de participer à des festivités. Livrées pieds dans l'eau en plus, je crache pas dessus...

Dans un élan de joie, disais-je, je me mets à danser, chantant sans vergogne un air pompé je ne sais où :


Youpiiiiiiie ! Dansons la carioooooca!

avant de revenir plus prosaïquement à la question qui me préoccupe.

Quand?
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Flore
Quand ? Je propose de passer la période de fin d'année.

Le mois de janvier, au pire février, est à mes yeux le moment idéal. Je vais, de mon côté, dresser une liste d'invités hors Provence.

Au fait, cela nécessitera un contact avec le connétable. Les inutiles laisser-passer sont toujours d'actualité je crois. Autant effectuer les formalités au plus tôt, dès que les confirmations arriveront.

En interne, une annonce en gargote dès que la date sera fixée suffira. L'événement sera ouvert à tous !

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Dahut
Samuel regarda Flore avec un sourire... il pensait qu'elle etait toujours aussi bien organisée...

Pour ma part je vais m'occuper des animations pure et dure icelieu... Je pourrais produire les invitations une fois le tout regler avec le connetable.

Mais je ne me fait pas de soucis. C'est pour la bonne cause. Il ne faut pas baisser les bras, on peu trouver des chose a faire en Provence avec des idées comme ca...

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