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[RP] Les lames s'entrechoquent et merdita se heurte au sol.

Merdita
Des cris se firent entendre de toutes parts...Mais lointain. Merdita n'avait plus le choix ! elle devait partir au sinon, elle resterait ici, entre Peronnes et Compiegne. Elle ne pouvait point suivre une nouvelle fois l'armée.
Certains soldats se préparaient au combat, d'autres somnalaient.

Elle, était dans les bras de son homme à se faire chouchouter par celui-ci. Quel bonheur!

La nuit survint assez vite et tous les soldats se mirent en marche. Elle, resta dans sa tente. Elle avait dit qu'elle ne se sentait pas très bien et ils la quittèrent. Une fois hors de vue, elle empaquetta ses affaires, pris son épée, son arc et avanca en direction de Peronnes.

Un silence ! Calme, trop calme pour être normal !

Merdita croisa un groupe de personne qui joignaient eux aussi la ville...Elle s'y incrusta.

Ensuite, tout a été très vite !Les soldats attaquèrent, personne ne la reconnaissait...Elle essayait de dire son identité mais le brouhaha dse épées empechait quiconque d'entendre son appel.

Des coups d'épées, elle ne put les compter mais son sang ne fit qu'un tour, sa vie défiler sous ses yeux...Alors c'est ca la mort? Mais l'était-elle vraiment? Elle n'en savait rien. Pourquoi?

Elle essayait d'ouvrir les yeux, d'ouvrir la bouche mais du sang la gênait.
Un seul mot : "Odas


Elle ne sentit plus rien et se laissa aller...jusqu'à ce qu'elle sentit des mains la toucher ou bien était-ce des anges qui venaient la chercher? Qu'allait-on faire d'elle? et le bébé? son bébé, celui d'Odas? elle se laissa aller en pensant à "Succès", ce nom d'emprunt pour le bébé ...

oooh...mon dieu ! Aristote aide moi, je t'en supplie !


je profite de ce poste pour raconter l'histoire...a votre tour^^suis en retraite quelque temps, quand je reviens, je veux que Mémé sois entre de bonnes mains..sinon gare hein
A très vite

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Ombeline
[Aux frontières...]

Des jours que l’Artesiae tecapedienne sous la houlette du Vicomte Lndil faisait ses patrouilles autour de la mine afin de cueillir toute intrusion champi ou autre … Personne ne devait passer sans le laissez passer fourni par la grande prévôté artésienne. Tous les matins, une liste des personnes recherchées et celles des autorisées étaient fournies ainsi qu’une description plus ou moins exacte des individus.

Le campement bien que petit semblait se diviser en plusieurs secteurs. Le chef d’armée et les officiers, les soldats et les volontaires. Les tentes avaient été rapidement montées, feu et chaudron pour la potée, une tente affraitée pour les armes où épées, pics, glaives, dagues s’entassèrent ; deux trois ribaudes couinant non loin de là pour le moral des troupes assurément...Bref, tout était en ordre pour tenir la position quelques jours ou semaines. Chaque journée semblait se ressembler… et bien vite la routine s’installa… Peu de grande échauffourée… Plus de champipi en vue… L’attente était souvent le lot quotidien de l’Ost…

Quelques éclaireurs avaient eu vent de mouvement étrange au-delà des collines…. Des « migrants » s’entasseraient apparemment prêts à tenter leur chance au péril de leurs vies. Déjà, en début de semaine, la dernière patrouille avait pris dans ses filets l’un deux… clamant à qui voulait l’entendre qu’elle n’était pas champipi et avait un laissez passer… Enfin elle^^, plutôt il après avoir perdu sa perruque dans l’échafourré et soulever un peu les jupons colorés, plus eu de doutes sur le « il »… L’affaire fut vite réglée, odieux mensonge du bonhomme qui piailla après quelques temps passer à la question, avouer vouloir visiter le Comté pour le bon plaisir et jouer les espions pour quelques piécettes … Afin de satisfaire ce dernier sur la découverte des monuments et traditions, il put tout à loisir découvrir l’hospitalité et le service hôtelier dans les geôles artésiennes.

Comme tous les soirs, un groupe fut formé afin de partir en patrouille fin de chopper tout resquilleur. Les autres membres restèrent au campement. La Capitaine fit parmi du lot ce soir là et armée de Saint Ange, elle suivit le mouvement. La lune était dissimulée par les nuages, on n’y voyait goutte. Les sens de chacun étaient à l’affut, la parlotte était passée au stade des chuchotements.


La tension était palpable au sein des hommes certes bien différente de celle sur un champ de bataille mais l’on pouvait ne point dire que la zen attitude régnait … De surcroît, les ventres gargouillaient quelque peu… Le repas déjà bien maigre avait fini cramé sous les braises par manque de vigilance du cuisto trop perturbé par la ritournelle d’une des ribaudes … Dissimulés dans les fourrés, ils attendaient donc …


Enfin, des bruits de pas et quelques cliquetis retentirent… Des mouvements furtifs dans l’ombre apparurent … Un petit groupe d'une dizaine tentait de passer incognito et avait pour cela contourné le pôle de contrôle … Que nenni, l’Artois n’était point un gruyère si facilement perméable… L’assaut fut lancé… D’un même bloc, ils fondirent sur eux tentant tout de même avant un cri pour laisser une petite chance à ces derniers de se rendre … mais dans le noir absolu, de nouveaux cliquetis furent entendus … pas de doute les lames furent réponse à leurs paroles … Le brouhaha ha de cris, et choc des armes prirent place.


Les combats ne durèrent guère longtemps … Certains eurent tout de même le temps de prendre la fuite... La jeune femme aperçut sur le bas côté l’un des resquilleurs blessés, levant une main en l’air… Ombeline s’approcha de plus près …. Son sang ne fit qu’un tour… Par Aristote, l’un des leurs… Merdita était terre…. Mais que faisait-elle là, elle devait rester sous sa tente…. Prenant la main de la soldate, elle se tourna vers les autres qui rassemblaient les resquilleurs blessés…


Vite, vite, de l’aide, la soldate Merdita est blessée !!! Odas !!! Odas !!!
Qu’on la ramène d’urgence au campement, pas de temps à perdre….


Elle se pencha près de son visage, et lui murmura…

On va prendre soin de toi…. Odas ne va pas tarder à arriver. Je vais faire mander d’urgence médicastre ou soigneur de l’équipe.

Bien, vite des mains l’agrippèrent afin de la transporter. Ils firent de même pour un autre des leurs qui avait lui aussi été gravement touché...le jeune aspirant Metrixx.
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Ezequiel
ezequiel était sous la tente des soins a faire un petit inventaire du matériel,c'était dans sa nature quand il n'était pas au front,ou a étudier il fallait toujours qu'il s'occupe,et se disait il c'est toujours utile de savoir ce que l'on as ca permet de réagir au mieux

il s arrêta un moment pour prendre une pause et se dirigea vers la porte de la tente il regarda alors le campement qui grouiller comme une fourmilière,tout le monde savait quoi faire et le faisait bien,malgré les conditions le froid commencer a arriver mais pas la pluie c'est déjà ça.
mais soudain comme si quelq'un avait donner un coup de pied dans cette fourmiliere il sentit un vent de panique et d agitation.
il y avait des cris, et des appels malgré tout le bruit il entendit


Vite, vite, de l’aide, la soldate Merdita est blessée !!! Odas !!! Odas !!!
Qu’on la ramène d’urgence au campement, pas de temps à perdre….


comme pris de stupeur il bondit sur sa trousse de premier secours et pris son sac a dos,puis il se dirigea vers les bruits en essayant de se frayer un chemin

j'arrive cria t il sans savoir ce qu'il allait y trouver!!!!
Odas
[Quelque part au sud de Péronne ....]



Odas ne possèdait point l'âme d'un soldat, il s'en était toujours défendu. Malgré tout, en certaines occasions, il ressortait son épée et son bouclier pour prêter mains fortes à l'Artois, enfin surtout pour protéger le Comté des envahisseurs la plupart du temps Champenois d'ailleurs, maudits champipis.

En cette nuit noire, il montait la garde et avait laissé à regrets Merdita derrière elle, souffrante, qui avait besoin de repos. Elle lui murmura son envie de retourner à Péronne pour qu'elle prenne soin d'elle et du bébé. Il lui promit de la rejoindre au plus vite et l'embrassa tendrement, non sans une pointe de tristesse et d'amertume.

Il devait rester aux aguets, de nombreuses personnes tentant de passer la frontière sans autorisations et les ordres s'avéraient être fermes et très claires. Ils allaient faucher tout contrevenants ..... Odas n'en avait point l'habitude, et il suivit le mouvement non sans se poser certaines questions.

Tout se passa vite, trop vite même surement, ils repérerent un groupe tentant de passer illégalement. A peine le temps de comprendre ce qui se déroulait, on entendait le bruit des épées et des boucliers. Odas ne s'en laissa pas compter et se battit brillamment, blessant grièvement et tuant même surement un bon nombre de personnes. Le souçis étant que dans la nuit noire, il ne distinguait strictement rien.


Après quelques minutes, semblant durer une éternité, il rejoignit le reste de l'armée.

Il se décomposa entendant les cris affolés d'Omby, quoi !!! Merdita, sa Mémé, ce n'était pas possible .... quelle était donc cette diablerie ?????

Odas arriva en tout hâte se jettant sur Mémé, c'était malheureusement bien elle ...... salement amochée, elle aussi sans réactions ...

Mais ..... mais .. que s'est-il donc passé ???? Dites-moi que je fais un cauchemar .. ce n'est pas possible ......

Le Cambrésien abattu, suffoquait, ne savait que faire, il se sentait anéanti et complètement désemparé. Il essaya de réveiller sa louve, en vain ....... Au bord des larmes, il tremblait de tout son être, heureusement la Capitaine Omby avait déjà pris les devant et organisait déjà les secours .......

Il va nous falloir des bras, nous avons déjà plusieurs blessés graves ici-même, il faut faire vite, chaque seconde est cruciale ..... Filons au campement et vite !!

Préparant des brancard de fortune, ils se hatèrent ..... Odas sentait son coeur battre à une vitesse folle ..... il avait tellement peur .....


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Orick95
prêt des frontière sud

orick qui avait était désigné parmis les hommes devant suivre le capitaine omby en patrouille tenait serrer sa hache devant lui, si il préféré un terrain de bataille aux interminable patrouille, ces dernierès en ce moment lui convenait plus, car après la reprise en mains de calais, ou beaucoup de sang avait coulé, la simple pensée de devoir encore levé l'épée sur quelqu'un lui faisait remonté comme un vieu gout de rouille dans la bouche.

la patrouille se passer sans inconvénient quand il tombèerent sur un groupe de personne cherchant a pénétré en artois par de vil truchement, la capitaine leurs donna l'ordre de s'arrêter et de s'identifier mais leurs seul réponse a cette injonction fut de prende leur armes.

se trouvant dans les hommes de tête, d'un violent coup de hache orick décapita un homme qui venait de bléssé l'aspirant metrixx.

le combat fut apre mais bref des cris des os qui se brisse et le silence qui retombe.

le silence brissé par les cri du capitaine qui donnée ses ordres pour assuré le transports des bléssées, suivit bientôt par ceux d'odas qui avait découvert une jeune femme sur son cheval inconsiente.

ne perdant pas une minute orick partis avec quelques hommes pour cherchers des branchages afin de fabriqué des branquards de fortune


mon capitaine les bléssées sont installé sur les brancards on peut y aller
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Merdita
Dans l'inconscience, elle se sentait comme dans un rêve...ou etait-ce un cauchemar? Oui c'était plutot ca...Elle ne savait plus rien bouger. ni ses bras, ni ses jambes...Rien du tout !

Elle entendait tout ce qu'il se passait autour d'elle , ses voix crier ds ordres à une vitesse folle, des cris de désespoirs...

Elle se sentit se soulever et apercut enfin son corp allonger sur un brancard...elle était effarée..Que se passait-il? Comment se fait-il qu'elle puisse se voir? et voir les soldats grouiller de partout.

D'un côté, apparut une lumière, très blanche, de l'autre, son homme, ses amis et ?? son bébé? Elle recula, ne voulant pas toucher cette lumière...Non ! Elle ne pouvait pas...Elle savait qu'elle devait se battre.


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Odas


A l'appel de la Capitaine, fort heureusement de nombreux soldats avaient accouru, ils chargèrent donc avec minutie et précaution les différents blessés sur les brancards et se mirent en route.

Odas, tenant la main de Mémé, lui murmurait des paroles qu'il espérait qu'elle entende, quelques larmes dévalant son propre visage devant l'aspect peu reluisant de sa fiançée. Ses vêtements étaient en lambeaux, souillés de sang, ses blessures encore ouvertes, malgré tout son visage marquait une expression étonnamment sereine, mais cela avait bien du mal à rassurer le Cambrésien.

Arrivé au campement, Odas se retourna vers la Capitaine et les soldats :

Vite, indiquez-moi les tentes afin que l'on prodique les premiers soins. Si vous connaissez des médeçins, appelez-les, ils ne seront pas de trop !! Et si vous pouviez m'indiquer également ou vous entreposez tous vos onguents, bandelettes, compresses, je vous en serai reconnaissant.

Tranvasant Merdita sur un lit de fortune, constatant aucune fracture au premier abord, il grimaça à la vue d'une vilaine plaie à l'épaule et sentit une belle bosse sur l'arrière du crane. S'empressant d'aller chercher un seau d'eau et un linge propre il entreprit de laver son visage et d'effaçer toute traçe de sang. Il continuait de lui parler .....

Tiens bon mon ange ......

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Ombeline

j'arrive
scanda l'infirmier militaire Ezequiel dans la nuit.

Par ici infirmier Ezequiel, deux blessés chez nous et cinq, six à côté mais certains ont réussi à resquiller et retourner en Champagne. La soldate Merdita semble avoir besoin en priorité, cela a l'air plus grave pour elle. Venez, elle est près d'Odas.

Elle lui indiqua l'endroit. Les soldats installèrent les victimes sur les brancards faits sur place. Le soldat Orick s'approcha d'elle afin de l'en informer.

mon capitaine les blessées sont installé sur les brancards on peut y aller


La Capitaine acquiesça de la tête, puis balaya les lieux une dernière fois afin de vérifier qu'ils n'oubliaient personne sur place et se tourna vers les soldats Orick et le conjoint de la soldate Merdita.

On y va. Retournons dans le campement.
Concernant Merdita, doucement, ne la secouez pas.... Elle est enceinte... Je vais faire envoyer un pigeon pour demander du renfort pour les blessés afin de vous donner un coup de main, infirmier Ezequiel.


Le petit groupe prit donc la direction du campement.
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Liptis
A Arras.

Liptis vit un pigeon se poser non loin de lui. Il eut le regard attirer vers le volatile lorsqu'il vit un étui à messages en forme de cravache attaché à l'une de ses pattes.
L'animal se laissa prendre docilement et l'Arrageois retira le message.
Horreur, sa filleule était gravement blessée. Ni une, ni deux, il écrit une réponse indiquant qu'il prenait à l'instant la route afin de venir aider à soigner les blessés.

Une fois le pigeon parti, Liptis alla chercher ses affaires et prit la direction du campement où son aide pourrait être utile...

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Orick95
une fois les blessés ramener au campement et installé dans les lits en attendant leurs soins orick s'approcha du capitaine

excusé moi mon capitaine mais pour les hommes sui on fuit voulez vous que l'on les poursuivre ou devont nous continuer la patrouille
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Ombeline
excusé moi mon capitaine mais pour les hommes qui on fuit voulez-vous que l'on les poursuivre ou devons-nous continuer la patrouille

La Capitaine se tourna vers Orick.

Hum, nan guère la peine, ils doivent être loin maintenant et sans doute retourné en terres champenoises.
Toutefois, vous pouvez prendre deux hommes avec vous, et faire une dernière patrouille, tentez de prendre un gibier, pour avoir de quoi souper demain, ensuite rentrez.


D'un petit claquement de bottines, elle s'en retourna bien vite vers les brancards en direction du soigneur Ezequiel.
Une fois arrivée, elle fila sous sa tente et prit plume et parchemin afin de requérir une aide d'un des membres de l'équipe médicale. Son pigeon s'envola dans la nuit vers la Capitale artésienne.

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Orick95
Hum, nan guère la peine, ils doivent être loin maintenant et sans doute retourné en terres champenoises.
Toutefois, vous pouvez prendre deux hommes avec vous, et faire une dernière patrouille, tentez de prendre un gibier, pour avoir de quoi souper demain, ensuite rentrez.


très bien mon capitaine a vos ordres

orick fit signe a deux des soldats de cambrai de l'accompagner, ce n'est pas qu'il n'avait pas confiance dans les autres hommes mais en patrouille restreinte il préféré se trouvé avec des hommes dont il connaisait les réactions par coeur, enfin de deux hommes il s'agissait des soldates dark et crista. il savait que l'une comme l'autre exellé dans la traque du gibier a poil ou autre

bon les filles vous avez entendu ce qu'a dit le capitaine, on fait un dernier tours et l'on essaye de ramener du gibier pour nourrire le camps.

vous avez une idées sur la directions a suivre pour en trouver

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Liptis
Liptis arriva enfin en vue du campement, au petit matin. Il se dirigea prestement vers la tente infirmerie et chercha du regard le responsable des lieux.

Y a quelqu'un ?

Liptis regarda les blessés et chercha où pouvait se trouver sa filleule, Merdita.
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Odas


Toujours auprès de Merdita, lui tenant la main, lui susurrant mots doux, paroles réconfortantes et de courage. Il releva la tête alors qu'il lui semblait bien avoir entendu la voix familière de son parrain Liptis.

Par ici Liptis, au fond de la tente ......

Odas se trouvait soulager, il trouvait vraiment Mémé dans un triste étét et il ne serait aps trop de deux pour le soigner, il avait aussi besoin d'un avis objectif. Il attendit qu'il s'approche pour lui faire part de la situation ...

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Merdita
Quelle étrange sensation !
Savoir que son corps est entre de bonnes mains
et pourtant, rester couchée sans émotion
Quelle surprise si elle se reveille demain

Sachant que cela est impossible,
elle essaye de se souvenir
de toute les manières possibles
quels seront les mots à dire

Comme un rêve,
encore et toujours
pendant cette trêve,
elle connait vraiment l'amour

De sa famille, de ses amis
de son cambrésien,
l'amour de sa vie
Elle sait que tout ira bien...


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