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[RP]Anges et démons, terribles lanciers des nuées ardentes.

Pascale33
La veille

Sans un bruit ..Dans un silence presque total, ils ont démonté le campement
Quelques mots couverts... quelques cliquetis d armes...
Seul, le galop de leur monture à leur départ auraient pu attirer l attention...
Au lever du soleil...Nulle trace de leur passage...Peut être un feu qui s éteint doucement...

A travers bois, la chevauchée s est engagée dans une course effrénée..
Ils veulent en découdre pour de bon!!
Etendard et oriflamme en verve, les regards sont courroucés et appellent à l affrontement!
Droit devant..sans discontinuer...Ils chevauchent fiers et arrogants, la puissance de leur duché présent au bout de leur lame!

A quand l arrivée a destination...A quand pourront ils tremper leur épée dans les corps ennemis...A quand le visage apaisé du devoir accompli...

L appel , ils l avaient tous entendu ...
Des quatre coins du Bourbonnais Auvergne ils s étaient retrouvés...
Les fidèles de la COBA, avaient été rejoints par d autres valeureux...
fiers d être du BA, heureux si ils en reviennent de pouvoir le raconter...

L oriflamme haut dans le ciel, les sabots de leur monture frappant le sol avec force, tête haute, Les Terribles, Lanciers , Nuées Ardentes parcourent les routes pour rejoindre leurs alliés et faire face a l ennemi

Dans leur yeux, courage et honneur de porter au bout de leur bras les couleurs de leur armée , de leur Duché.

Sur leur passage, les paysans travaillant dans leur champ , relèvent la tête...Admiratifs ou craintifs....

Les rayons du soleil matinal se reflète sur les armures, au loin , les remparts ...

Hommes et femmes sans d autre peur que de ne pas honorer leur drapeau....
Le galop des chevaux devient moins cadencés...Ils approchent de l entrée de la ville....

Capitale du Berry, sois prête! les valeureux du BA arrivent!!


Ils sont arrivés , dans la fraîcheur de la nuit....
Naseaux des montures formant un nuage blanc, sabots foulant le sol devenu berrichon,non loin les remparts de Bourges...

Devant ces murailles des centaines de soldats prêts a combattre....
Fiers guerriers, dont la valeur n est plus a prouver, jeunes qui veulent montrer leur courage...
Leur regard se dirigent vers les hauteurs de l enceinte...
Présents , ils le sont ...Prêts, comment ne pas l être....
Déception sur les visages.....
Le couard berrichon s est retranché dans la ville...

Le BA fait donc peur à ce point...


Au petit matin

Les premiers arrivés montent haut les drapeaux et oriflammes , bien en vue de Bourges.
Les toiles se montent...


Non loin des portes, elle met pied à terre avec ses compagnons d armes.
Chacun s affaire pour monter le campement.
Pas de gestes ni de mots inutiles, comme ses frères d armes, la blonde sait ce qu elle doit faire.
Une fois que sa monture est dessellée, elle la mène au point d eau...
Le camarguais se désaltère...Du coin de l oeil , elle voit le bas-rouge , fidèle d entre les fidèles, partir a l aventure.
Le chien, museau vers le sol, disparait bien vite...
Pascale retourne vers le campement qui commence à prendre forme...
Ses yeux se lèvent vers le ciel ou flottent les drapeaux qui font battre son coeur et lui donne courage et fierté....

Affûter les lames...Vérifier l harnachement des chevaux...Les tentes sont montées...

En attendant l heure de se réunir , la jeune femme va vers l enclos des chevaux...
Après avoir étrillé le camarguais, chose qu elle ne laissera faire à personne, et flatté l animal, elle repère sa tente...
Un peu de repos semblerait être le bienvenu.
Le camp semble moins agité...L heure est à la détente pour la plupart, en attendant le rassemblement

Rêves de bataille..de cris ...de sang...chevauchées et bruits de lames qui s entrechoquent...

Allongée sous la toile, elle ferme les yeux, avec un léger sourire...





BALISAGE
{La_Cisaille}

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Angel.
la brume matinale de cette automne descendait au petit matin,
le campement s'affère aux tâches quotidiennes, des bruits légèrement inhabituels viennent troublés cette rosée, Angel avait observé pas mal de muraille durant ses voyages, vu pas mal d'ennemis aussi mais ici, il avait comme un goût amer dans la bouche, il avait des comptes a réglés comme tous ceux qui sont ici...

Ils ont fait coulé du sang Auvergnat et ça, ils vont devoir nous le rendre à la goutte près...

Le vent caressent son visage frais, il sait que les lâches se cachant sur ses hauteurs et essai de sa place contre un arbre d'en apercevoir un...
Que de la pierre, parfois, il cru voir des ombres passés mais le jeu du soleil montant est parfois moqueur, le sourire aux lèvres et encore engourdit part la nuit, il se leva pour aller faire ses exercices matinal suivit d'une toilette...

Peut être se dit il, qu'ils me regarderont dans les yeux que je fendrais sur eux... Avec motivation et sans empressement, il se dirigea vers les siens qui s'activaient déjà avec vigueur ...

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Tiamarys
Le brouillard était tombé pendant la nuit, leur marche avait été lente, telle une armée fantomatique, les troupes auvergnates s'étaient avancées dans le silence de la nuit en direction de Bourges.
Les rayons pâles et froid du soleil d'octobre sur les remparts de la cité les avaient accueillis, frigorifiés, mais fiers.

Les tentes avaient été installées, jolies tâches de couleurs au milieu d'un pré tapissé de feuilles mortes.
Deux tentes "tavernes" regroupaient les soudards autour d'une choppe et de cochonnailles.

Chacun vaquait à ses occupations, jetant par moment un regard en direction des lourdes murailles protégeant Bourges.
Tiamarys regarda le haut mur d'enceinte en soupirant, rien ne serait simple quand l'ordre d'attaquer tomberait.

Elle s'occupa de son cheval, lui donna une bonne ration d'avoine puis le brossa.
Geste machinal, maintes fois répétés, en tout temps et en tous lieux et pourtant...

Elle alla rejoindre Paillard qui donnait ses consignes à la section des 45, y en avait marre d'attendre...
Des échos des combats de Châteauroux leurs parvenaient, quand allaient ils attaquer eux?

Elle s'installa et écouta, les yeux rivés sur la muraille...

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Cortina
Corti avait fait le chemin en compagnie de son armée jusqu'aux portes de la capitale Berrichonne, Bourges.

Il était équipé de son arc et de ses flèches, récemment faites et testées sur le terrain d'entrainement. Sa chienne, Radja, fidèle compagnon de son maitre se postait toujours à côté de lui, prête à l'aider s'il le fallait.

Aujourd'hui, il alla s'entrainer sur les cibles en paille installées spécialement sur une partie du campement, à côté des combattants à l'épée et des essais des machines de guerres.

Il pris une de ses meilleures flèches, avec des plumes spécialement choisies pour rendre à la flèche une bonne pénétration dans l'air. Arc tendu, il tira sa flèche et transperça la tête du mannequin.

Sourire en imaginant le jour des combats, fierté d'être ici au côté des siens pour mener une juste bataille, il rejoignit sa tente où il partagea un copieux repas avec ses compagnons d'armes.

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Cahuete
Des jours d'attente, des nuits sans sommeil a scruter l'horizon, la campagne berrichonne sous ses pas ou les sabots de son cheval... patience, maitre mot de toute chose... La demoiselle avait bien du mal a mettre en pratique ce precepte, de la patience elle en avait mais pas maintenant, pas pour cette guerre en cours... Elle oscillait entre envie de bruler le chateau de Bourges et desespoir, ce combat n'etait pas le sien, la Dauphinoise dans les rangs Auvergnats... Le B.A: son deuxieme duché... La ou elle posait ses affaires aupres de ses amis, berceau de la plupart de ses freres d'armes...

45! Elle l'etait dans les rires et dans les combats, sa famille... Elle etait la pour les aider, les soutenir... defendre un de ses Duchés... Elle enrageait, haine envers ce maudit poussin qui ennuyait le monde depuis trop longtemps, la demoiselle ne voulait pas du sang des innocents sur ses mains ou sa lame... Elle etait triste, triste de voir sur les remparts de Bourges des gens avec qui elle avait partagé des choppes en taverne en d'autre temps... temps de paix...

Qu'en serait il demain? Chateauroux avait souffert de cette guerre... Ville ou elle avait partagé les rires de ses amis, amis qui se trouvaient maintenant sur un autre front mais dans un meme combat...

Cah se baladait au camps, portant fièrement son uniforme et prete a se battre sous l'oriflamme auvergnat... Combien paieront la folie d'un seul homme? Elle le maudissait le Poilu! Son bras ne faiblira pas, elle se battra pour ses idées, le temps du deuil et des larmes viendra ensuite, le petit hérisson durcit son coeur, dans cette situation pas de place pour les souvenirs et les regrets...

Elle sera la et quand résonnera le cri des auvergnats et celui de la garde elle le reprendra, il sera sien...

Elle partit pour ecouter les dernieres recommandations de Paill, s'installa pres de Tia, silencieuse et attentive...

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Legrandalsacien
J'avais suivi quelques visages familiers pour me retrouver dans le dédale des tentes qui entouraient à présent la cité de Bourges.
Mon regard se posait à chaque pas dans une autre direction et à chaque fois la même vision ... des hommes et des femmes en armes tentant de trouver le repos après plusieurs jours de marche.
De petits regroupements se formaient autour d'un fagot de bois tout juste allumé. Dans la fumée grisâtre et l'odeur acre qui s'y dégageait certains avait trouver la force de prendre la plume pour donner des nouvelles du siège.
Enfin j'apperçu mon frère d'arme Zwitt qui venait tout juste de terminer le montage de notre couchage.

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Merenwenn
[Quelques jours plutôt]

Plusieurs jours qu'elle avait quitté murat, elle et ses hommes pour rejoindre le Nord. L'automne se faisait sentir, les matinées étaient fraiche et humide. Les chemins étaient de plus en plus difficile à distinguer, recouvert par les feuilles.
L'avancé était longue, mais ils arrivèrent au point de rendez vous.


[Berry]


La progression était lente et difficile, ils se devaient être discret, et aux aguets. Les nuits étaient courtes, quelques heures de sommeil, couper de ronde. La sécurité du camps étaient primordiale. Plus ils avançaient vers la capitale, plus le territoire berrichons rapetissait.

[Bourges, Aux portes de la Ville]


Les armées arrivaient, tous en rang, ils apercevaient au loin les remparts de Bourges qui grandissait au fur et a mesure qu'ils s'approchaient de la capitale.
Les chefs d'armées donné ordres de s'arrêter, on était enfin arrivé.

Merenwenn fit signe à sa section d'installer le campement prêt des autres. Pendant ce temps la, elle amena sont cheval au campement du palfrenier afin qu'il soit nourrit et soigner.

Merenwenn s'en retourna au campement afin d'aider ses soldats à l'organisation du campement. Elle apporta ses affaires dans sa tente, et s'installa. Elle sortit d'un des coffres un grand drapeau du BA. Elle fit monter l'étendard au campement.

Une fois le camps monté elle décida de faire le tour des camps et de repérer les lieux, puis alla prendre nouvelle de la situation actuelle.

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Xelia69
Un soir de plus à proximité des remparts de Bourges...Xelia longeait le campement, les lames s'affutaîent, les hommes se préparaient...Les soldats de la COBA étaient toujours prêt...

Le Poilu s'était retranché dans sa forteresse bien trop peureux, et à ces portes ils pouvaient sûrement aperçevoir les nombreuses tentes qui s'étaient érigées, et les flambeaux éclairant ce grand campement...

Un étendard flottait, celui de la COBA, le fier et majestueux drapeau resplendissait...

Xelia continua à longer les tentes, regarda les hommes...certains prenaient des forces, d'autres s'entraînaient...
Elle prit la décision de s'assoeir sur un petit rocher, et fixa, comme beaucoup d'autres la muraille...
Tixlu
Au pied des remparts de Bourges, sous un étendard de la COBA, et un de l'armée Nuées Ardentes, la tente de commandement du duc de Lapalisse.

Celui-ci se tient devant l'entrée de sa tente, et regarde vers le haut des remparts, aiguisant la lame de son épée d'un geste machinal.

Il sent le poids d'un regard posé sur lui... Ce regard... Le poilu l'observe, il en mettrait sa main à couper. Toute cette campagne pour lui. Le poilu ne pouvait ignorer en agressant la Touraine qu'il déclencherait un conflit dont l'ampleur ne pouvait que le dépasser. Tous ses voisins n'avaient attendu que cela. Le poilu avait enfin offert l'occasion.

Contrairement à son action à Fougères, le duc de Lapalisse commandait cette fois une grande armée, forte et fière, et du sang berrichon, il s'apprètait à en faire couler par galons...

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Paillard
Elle était belle, la campagne berrichonne. Belle sous ses parures d'automne, certes, mais morne pourtant, sans une cuirasse à l'horizon, hors les leurs. Terrées derrière leurs remparts, les armées indigènes semblaient se desinteresser de leurs routes, de leurs villages, laissant les Auvergnats s'y promener tranquillement. Les laissant couper leurs voies, prendre leurs mines. Et les alliés faire de même, un peu plus loin.

Il grimaça, en regardant les murailles. Le Poilu aurait-il assez d'honneur, de courage, pour leur proposer une belle charge, lances contre lances, dans la plaine ? Il en doutait. Il préférait, tel un rat embusqué, se laisser affamer. Grand bien lui fasse, ils avaient du temps, tout leur temps. et les rigueurs de l'hiver à venir ne pouvaient que faire sourire les montagnards qu'ils étaient. Si l'ennemi comptait là-dessus...


Il se tourna vers sa section. Chacun vaquait à ses occupations, mécanique bien huilée, silencieuse pour une fois. Mais il ne s'y trompait pas. Un geste, un mot, et ils rugiraient, aux premiers rangs. Parce que le combat était leur vie, et le BA leur duché.

L'étendart au lys des Quarante-Cinq était rangé, plié dans son fourreau de cuir. Pas question de le déployer ici, ils n'étaient que des volontaires engagés pour l'honneur. Pas le bras armé d'une quelconque instance supérieure, pas ici. Mais le lys restait, sur leurs tuniques, et surtout dans leurs coeurs. Peu importait leur nombre, ils étaient toujours un. Un qui grognait, d'ailleurs, en attendant les combats. Mais la patience gagne bien des guerres,et chacun prenait son mal en patience.

Au-delà de l'apparente indiscipline du groupe, s'étendaient les armées alliées, sous ses yeux. Tentes serrées, faisceaux formés, eux aussi attendaient l'ordre, celui qui libère, celui qui accélère le coeur et durcit le bras.

Un vague sourire flottait sur ses lèvres. Ce serait la première bataille de son enfant. Une bonne école. Il allait falloir, bientôt, trouver un armurier. Et élargir la cuirasse de Tia. Elle allait finir par étouffer, là-dedans.
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Legrandalsacien
Ville étrange ... Climat d'incertitude.
Je m'étais allongé quelques instants sur mon couchage de fortune .
Le crépitement de l'averse que nous avions essuyé cette nuit m'avais empêché de fermer l'oeil. Toujours aux aguêts , prêt à me lever pour l'assaut , les nuits étaient encore plus pénibles que les journées.
Dans mon léger sommeil je percevais pourtant les bruits des carioles , de sferrures qui s'entrechoquent , des harnois et des mailles que l'on déposent , le choc des épées que chacun engage dans un ratelier tout près de ma toile.
Certains de ses bruits retentissent a fréquences régulières , sans doute une nouvelle colonne armée qui s'installe.
Soupir des chevaux eux aussi amenés en grand nombre ... impossible de fermer l'oeil

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Titan34
ils venaient de sortir des murs de la capitale en empruntant la grand porte, à la tête de ses hommes, Titan avec à ses cotés Naudeas le Capitaine du B-A regagnaient maintenant l'armée des nuées ardentes, l'attaque finale semblait imminente, en pénétrant sur le camp, de droite à gauche et ou que se pose son regard, des soldats affûtaient leurs lames, on pouvait lire dans leurs yeux une froide détermination d'en finir une fois pour toute.
Le tyran qui dirigeait le Berry devrait rendre des comptes cette fois.
L’espace d'un instant il pensa à ces pauvres paysans berrichons entrainés dans la spirale infernale de la guerre et de la mort par un régnant orgueilleux et avide de pouvoir.
Il en serait bientôt fini, les armées alliées avaient aussi pris position autour de la capitale.
Chacun attendait patiemment que sonne le glas d'un règne de dictature, de tyrannie et de mensonges berrichon.

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Riggins
Tim, comme les jours précédents alla chercher les legumes sur le marché parallèle, il soudoyait quelques garcons du coin qui connaissait des trous dans les remparts pour acceder au marché. Après avoir échangé un pain contre une pomme, il alla s'entrainer comme chaque jour. La patience est une vertue se recitai t'il chaque jour. C'est pas nous les pleutres a l'interieur des remparts qui allont mourir de faim.
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Pierre_de_roanne
En ce doux matin d'automne, Pierre se réveille tranquillement, quelques bruits sourds de martellement se faisaient entendre.
Ca et là, des soldats prépraient leurs armes, nettoyage, affûtage, soin approtés à leurs armures.

La nuit avait vu Titan, son ami, arrivé parmis eux. La fin était proche, cet assaut final tant désirét par tout les soldats.

Un espoir pour l'avenir, un espoir pour les Berrichons qui allaient être débarassés du dictateur qui les avaient mené vers un affrontement provoqué par lui et lui seul.

Son entêtement, ses mensonges, cette fois ci, ne lui avaient servi à rien. Les alliés semblaient déterminés cette fois ci à avoir sa peau.

Rêve secret de chacun, avoir au bout de sa lame, ce Duc poussin, rêve non secret de Pierre, avoir les bottes du Poilu. Pour sa collection, et puis les bottes d'un poilu ca doit être fourrée non ?

Il chantone doucement

Le Poilu, gentil petit poilu, le poilu, on va te botter l'cul
et le cul
et le cul
ahhhhhhhhhhhhhh

Le poilu, gentil petit poilu, le poilu, tes bottes nous aurons eu
et tes bottes
et tes bottes
ahhhhhhhhhhhhhh

Le poilu, gentit petit poilu, le poilu, tu vas t'trouver tout nu
et tout nu
et tout nu
ahhhhhhhhhhhhhh


Il resta devant sa tente à boire quelque chose de chaud. La patience de chacun allait être, il l'espérait, enfin récompensée.
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La bravoure n'attend pas le nombre des années.

Legrandalsacien
Je ne me souviens pas avoir ressenti autant d'impatience parmi des hommes d'armes que ce jour.
Comme épris par le même sentiment , la même détermination , je ne pouvais que me laisser prendre dans ce tourbillon ...
Mon frère Zwitt dont c'était le premier engagement armée m'avait longuement fait part de ses craintes et de ses sentiments .
En ce jour si particulier et afin de protéger nos âmes , je lui proposa de prier le Très Haut .. lui seul qui est tout sera nous protéger; et nos frères et nos soeurs prieront dans notre Chapelle St François pour nous.
Deus lo Vult

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