[RP] Campement et Hopital de campagne BA & PA

Sheltie

Des cris……venant de toute part, cris de victoire, cris de douleur, il faut continuer a se battre, a feinté à gauche, a droite …… je m’épuise, je sens que j’ai de plus en plus de mal à éviter les coups…….soudain une douleur fulgurante du côté droit…….je me sens glissée, tombée on me regarde avec haine,……..j’ai mal, très mal………tout devient noir ………… la prairie …de l’herbe……..le soleil….
Que se passe t’ il ……………..on m’appelle …………
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Pascale33

pas de répit...
Les blessés commencent a arriver...
la blonde voit approcher un soldat qui se tient l abdomen..
Le faire s allonger sur l un des lits...
A peine le temps qu ils arrivent les uns derrière les autres , certains en soutenant d autres...visages inconnus ou aimés, il faut retrousser les manches...
L examen de Phoenyx est fait rapidement...

Pas vraiment le temps de pallier à sa douleur, Pascale lui donne une bouteille d eau de vie qu il ingurgite rapidement..

Rapidement , elle nettoie sa plaie et le recoud d un geste sur...
Un pansement et un bandage....

Ca va allez mon gars...Reposes toi..

Une caresse sur sa joue et un sourire, elle repart voir le suivant..

Elle poursuit vers le lit prés duquel se trouve Damisella et un autre soldat..

Bousculant un peu ceux-ci elle s approche de la jeune femme allongée sur le lit est inconsciente.
la blonde la manipule précautionneusement, aperçoit la blessure dans son dos..l entaille à la cuisse..
Avec l aide de Dami , elle la fait mettre sur le coté...

Il faut la maintenir ainsi..
Un regard soudain interrogateur sur Dami..

Enceinte??
sans attendre de réponse , elle s active...
La blessure est trés sérieuse..

la tente commence a se remplir, les lits a être occupés au fur et a mesure..
L inquiétude se lit sur son visage...
Seule, elle ne pourra jamais soigner tout le monde...

Ou sont donc les autres soignants?...

L arrivée de Pitchoun la conforte un peu..Elle lui fait signe de déposer le SC sur un lit et de venir au plus vite..

Pitch, je recoud , tu finis derrière moi.., il y a le soldat Phoenyx la bas a surveiller..

Tout en parlant , elle nettoie doucement la blessure profonde et commence les points..
Puis laisse terminer Pitch

Occupes toi de l entaille a la cuisse, je vais voir les autres..

C est au tour du SC...
Il semble dans une semi-conscience.
Elle cherche son souffle en se penchant sur lui...Vivant!

Encore un qui arrive...Elle laisse quelques instant s le blessé et va voir le nouveau que l on allonge sur un autre lit...
Elle réitère le mouvement en se penchant sur lui...Fait un signe aux soldats qui l on ammené qu ils peuvent le sortir, elle ne peut plus rien faire pour lui...

Lit suivant...Un grand gaillard....Vivant mais inconscient....

La journée ne fait que commencer...

Elle fait un tri..morts..blessés.. entaillés...

A chaque vivant elle donne les premiers soins, et s approche du suivant...Ne regarde plus qui est qui...Revient auprés de tous , l un aprés l autre ...

Pour qui une parole rassurante et un sourire, une legère caresse apaisante sur la joue...

Pour qui , elle ferme les yeux, fait emporter a l extèrieur celui qui n est plus...

surveiller un signe d éveil, vérifier les sutures...entendre les gémissements de douleur et les appels.....
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Jiao

La guerre était commençée, les combats et les coups pleuvaient toutes les nuits....

Les blessaient seraient surement nombreux....elle se devait d'aider.

Jiao, toujours en vie, toujours sur ses deux jambes, toujours entières, se dêpecha d'arriver à l'hôpital qui avait été amménagé pour la COBA....

Sa sacoche passant autour des épaules, sa trousse de soin à la main, se dépêcha d'entrer dans la tente.

Elle vit tous les blessés...et s'approcha.

Pascale, je suis là pour aider.

Sans perdre de temps, elle déposa ses affaires, prête à acceuillir les blessés...

Titan34

Une nouvelle fois la lune s'était levé éclairant un spectacle apocalyptique, des corps allongés un peu partout, des gémissements et des cris de douleurs submergeant parfois le bruit des combats.
Il fallait a tout prix forcer cette défense, il fallait a tout prix délivrer le Berry de ces décennies de règne dictatorial sous la direction d'un seul homme, sous la direction du poilu.
Malgré que celui ci fût tombé hier sous les coups des forces alliés, la résistance berrichonne galvanisée par la peur et la volonté de défendre leurs terres semblait être inépuisable.
Soudain le regard de titan vira vers sa droite, Sheltie se battait là à ses cotés courageusement, se défendant avec force contre trois ennemis, titan tenta une ultime fois de repousser ses vis a vis, y parvenant avec du mal, il commença a faire mouvement vers Sheltie pour lui prêter main forte, trop tard, la lame d'un des assaillants venait de pénétrer les chairs, alors qu'ils se ruait sur l'ennemi, il vit Sheltie glisser lentement et s'effondrer sur les corps qui jonchaient le sol

Nonnnnnnnn!!!! Sheltie!!! Résiste!!!! J’arrive!!!

Décrivant des moulinets avec son fléau, fracassant ça et là des cranes, il réussit non sans mal a repousser les assaillants.
Il s'approcha de Sheltie, sauta au sol, se penchant sur elle, il s'aperçut que celle ci quoique très grièvement blessée était toujours en vie, il la hissa sur son cheval et s'éloigna rapidement du champ de bataille en direction de l'hôpital de campagne qui avait été dressé non loin de là.
à peine arrivée, il sauta en bas de sa monture, prenant Sheltie dans ses bras, il la déposa doucement sur un lit encore libre puis il hurla presque.

S'IL VOUS PLAIT!!! UN MEDICASTRE D'URGENCE PAR ICI!!! ELLE A BESOIN DE SOINS IMMEDIAT.

Il s'accroupit alors prés du lit, cherchant a rassurer la blessée, tout en maintenant son poing fortement appuyé sur la plaie afin d'éviter l'hémorragie.
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Tiamarys

C'est froid, c'est dur...Elle n'est plus allongée sur l'herbe. Son corps n'est que douleur, mais le bébé vit, il bouge.
Ebauche d'un sourire crispé, leur bébé est fort, il vivra, elle aussi vivra, pour Pail, pour le bébé.

Par ici, du secours ! Ma femme est touchée, du monde, vite !

La voix de son époux lui parvient estompée, flou, mais il est là près d'elle.
Elle a envie de lui dire de rester, mais les mots ne franchissent pas ses lèvres.

Une douleur fulgurante lui fait ouvrir les yeux, un cri jaillit de ses lèvres.
Le médecin a été doux pourtant, mais sa peau se tend, ca tire, elle frissonne, se raidit sous le mal.

Elle sent le linge humide dans sa semi inconscience, son mari, son bébé...Penser à eux pour tenir.
Tia frémit à chaque coup d'aiguille qui entame ses chairs, elle grogne, gémit...Que ça cesse...

Elle murmure dans un souffle

J'ai mal

La douleur est insoutenable, elle ouvre les yeux, regard suppliant vers Paillard, panique, incompréhension...
Que lui est il donc arrivée?
Elle l'a frappé la berrichonne et après, après...Ah oui le coup dans son dos...
L'aiguille mord encore une fois sa peau, une fois de trop elle s'évanouit.
Evanouissement salvateur.
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Jiao

Jiao s'occupait de recoudre des blessés lorsqu'elle vit un homme entrer portant une jeune femme qu'il déposa sur un lit. Celle-ci était mal en point. Avec tout ce sang, elle ne reconnut pas qui c’était, mais peu importe, elle serait là pour tout blessés ayant besoin de soin, qu’ils soient connus ou non.

Sans attendre Jiao s'approcha et prit en charge la jeune femme.
Elle défit les vêtements afin de laisser la plaie à l'air libre, puis elle se dépêcha de prendre une serviette humide afin de nettoyer la blessure, et regarda la gravité. C'était pas bon...non....ca ne l'était pas...il fallait agir vite. Sans perdre de temps, Jiao sortit de quoi la recoudre rapidement, et s’y attela, il ne fallait pas perdre de temps, de toute façon, du temps, il n’y en avait pas…..c’est pourquoi, désinfectant la plaie le plus souvent possible, Jiao, d’une main sure malgré tout ce qu’il se passait, recousu la blessure, rapide, mais consciencieuse, il ne fallait pas faire d’erreur, il ne fallait en faire aucune.

Demandant à Titan de rester près d’elle, et de la rassurer au mieux, Jiao alla chercher des serviettes propres, courant presque, mais évitant de bousculer quelqu’un….Elle revint rapidement vers la jeune femme qu’elle soignait et reprit rapidement ses soins, terminant rapidement de la recoudre…

Elle voulait qu’elle souffre le moins possible, et qu’elle puisse se reposer le plus rapidement possible.

Jiao coupa rapidement les fils, puis désinfecta à nouveau la plaie recousue…Avant d’y faire un pansement et de voir si ça allait.
Elle se retourne vers l’homme qui était toujours là.

Bien, restez près d’elle…Veillez à ce qu’elle se repose, et faites lui boire cela si les douleurs la prennent.

Elle se redressa et ramena une tisane, qu’elle lui tendit.

Je vous laisse un moment, je repasserais plus tard voir comment elle va.

Toujours debout, elle s’empressa d’aller voir les autres blessés…Il y en avait tant….Où donner de la tête ?

Elle remarqua d’un côté Weylin qui appelait au secours et s’en approcha.
Jiao regarda Merenween et s’agenouilla près d’elle.

Weylin, reste près d’elle, si jamais elle se réveille, fais attention à elle.

Elle se leva, se lava les mains, et revint rapidement, draps propres et serviettes désinfectées en mains. Jiao se reposa près d’elle, et regarda ses blessures, les désinfectants.

Ça va aller…

Elle regarda toutes ses plaies….plaies qu’elle désinfecta et recousu rapidement, gardant toujours son calme, et restant toujours concentrée. Il fallait faire vite et bien. Jiao fit attention à ce qu’elle n’oublie rien, tout devait aller.
Elle continua ses soins, voulant que tout se passe bien. Lorsque toutes les plaies furent recousues et désinfectées, Jiao s'empressa de faire des pansements et bandages.

Weylin, reste avec elle, et fais lui aussi boire cette tisane si les douleurs la prennent. Je reviendrais toute à l'heure.

Elle se leva et lui tendit la même tisane que celle donnée un peu plus tôt à Titan.

Elle alla se laver les mains, puis regarda les autres blessés, pas le temps d'attendre ni de se poser, il fallait agir vite.
Jiao remarqua Lga blessé...et ce dépêcha d'aller le voir. Il était inconscient...

Elle regarda Dame Cahuete, et lui fit signe de rester aussi auprès de lui, pendant qu'elle s'occupait de ses blessures. Elle se dépêcha d'en premier temps désinfecter sa plaie, et de la nettoyer.

Elle regardait son frère… inquiète pour lui, et le soignait
consciencieusement, rapidement, sans perdre de temps.

Jiao recousu les plaies ayant besoin de soin, et désinfectait, nettoyait…elle faisait au mieux pour arrêter le sang. Lui, il mourait pas, ça, c’était sur.
Elle travaillait rapidement, et calmement. Jiao surveillait à ce qu’il ne respire toujours, à ce qu’elle sente toujours un poul, à ce que ses blessures soient toutes soignées sans en oublier une.

Elle vérifia qu’aucunes plaies n’étaient omises, puis déposa doucement une serviette humide sur le front d’Lga, le laissant dormir à présent. Elle regarda Cahuete.

Surveillez qu’il se repose s’il vous plait.

Elle se redressa….et partit soigner d’autres blessés…

Merenwenn

Merenwenn se réveilla sur un lit plus ou moins confortable, une douleur vive dans le dos... elle ouvrit doucement les yeux et essaya de dire quelque chose : tak... elle tourna la tête délicatement et vit Weylin... elle essaya de dire quelque chose mais elle n'y arrivait, elle lui sourit pour le remercier... elle savait que c'était lui qu'il l'avait transporter ici du lieu de champs de bataille... elle était a ce moment la dans une phase semi consciente...

Elle tenta de regarder autour d'elle afin de savoir ou elle était... elle vit des lit prêt d'elle avec d'autre soldat blessé... aperçut des gens qui courait dans tout les sens...

Merenwenn ferma les yeux....

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Pitchoun

Pitchoun veillait sur Vincentte quand Pascale l'appela .
Elle se leva douloureusement , la blessure qu'elle avait la gênait un peu mais elle ne sentait pas la douleur .
Elle s'approcha pour prendre la suite de Pascale et vit Paillard prés du lit . La blessée était sur le ventre , une large entaille lui prenait tout le dos ; Pascale l'avait entièrement recousue .
Elle s'approcha davantage et reconnut Tia . Son coeur s'arrêta un instant en voyant son amie ainsi .

Tia , tiens bon ma belle , on va te sortir de là .

Pitch sortit son matériel de sa besace . Aprés avoir nettoyé la plaie de la cuisse , elle la recousut avec le plus grand soin possible .
Farfouillant dans sa trousse , elle trouva un pot d'onguent cicatrisant . Elle en appliqua sur les deux cicatrices et les recouvrit d'un pansement .
Elle passa sa main sur le front de son amie , lui dégagea quelques mèches ; elle n'avait pas de fièvre , c'était déjà bon signe .

Courage ma belle , tu es forte et tu vas guérir .

Elle regarda Paillard en lui souriant , sourire qui se voulait réconfortant Je te la confie , veille sur elle et si tu vois le moindre changement appelle , je viendrai de suite .

Pas le temps de s'attarder , ni de veiller sur son amie , elle partit voir comment allait Phoenyx sur le lit d'à côté .

Legrandalsacien

Je reprends peu à peu mon esprit , la tonnelle est emplie de couchages .Je ne peux que distinguer des visages floutés, mais j'entends ... j'entends les cris de douleurs , les cris des proches.
Je perçois l'amas de linge ensanglanté posé à même le sol, soudain la toile s'ouvre un nouveau .. un nouveau cri de douleur .. un nouveau blessé.
Je repose ma tête en arrière , je ferme les yeux ...
Je me concentre , je reconnais les voix puis les visages floutés se mettent à vasciller dans mon esprit pour devenir plus net.

Jiao , ma soeur , Damisella , Paillard, Merennwenn , Tiamarys cette femme venu prendre les armes au courageusement ...

Je doit me reposer ...
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Sofio51

pas la même armée même coté

Après la bataille, on l'avait avertit qu'ils étaient la enfin venu, enfin combattu, le messager avait même dit ca sur un ton noir et profond, comme si le fait de prononcer le mot COBA faisait ressortir des silences les plus profonds des cris, tombés qui était tombés??

Prenant un cheval juste pour un aller retour, être si prés et si loin, juste une petite visite pendant la nuit, personne s'en apercevrait, avoir d'elle même le cœur net, sa blessure la tiraillant encore un peu, peut être que pascale serait la pour y jeter un oeil.

Pendant cette nuit le cheval avait couru, et ses pensées a elle avaient divagué, c'etait pas vraiment la bonne nuit, pour avoir appris qu'ils étaient la, pas la bonne nuit pour tout remuer dans ce passé si proche.

Camp de fortune

quelques tentes, c'est bien la, elle reconnaîtrait même l'odeur, quelques visages déjà au loin de connu, puis la grosse tente, celle des blessés déja elle entre pas le temps pour rien, faut qu'elle sache.

des paillasses au sol des gens couchés, pascale est la, parmis tous le monde, pas voir les gens couchés qui ne bougent pas, que faire sourire? pourquoi sont tombés bordel c'est la COBA bon sang on tombe pas quand on est Auvergnat on se repose.

Le premier qu'elle verrait a tirer au flanc celui la elle le.......

Purée sont blesses arrête de déconner, par l'entrainement la.

Pascale explique qui??morts??explique

l'inquiétude, elle s'attend a des noms, de la douleur.
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Takezo

Takezo arriva dans l'hopital afin de se rendre compte par lui même de la situation actuelle, en entrant il vit plusieurs visages,dont certains lui étaient inconnus, et d'autres un peu plus connus,mais il cherche d'abord une blessée en particulier, il s'approcha du lit de Merenwenn, il la vit en train de dormir, il savait que ses blessures n'étaient pas graves,mais il était tout de même en colère de voir son amour allongée sur un lit. Il s'approcha d'elle doucement et déposa un baiser sur son front

Reposes toi mon amour, j'aurai été blessé à ta place si j'avais pu être plus près de toi pendant la bataille...

Il chercha ensuite Pascale, quand il l'aperçut avec Sofio il s'approcha,fit un signe de tête à cette dernière et dit :

Bonjour Pascale, as tu besoin d'aide pour les blessés ? je ne suis pas médecin, mais je sais m'occuper de blessures de guerre, c'est tout ce que je peux faire, les maladies ce n'est pas un domaine où je suis un grand connaisseur, puis-je t'être utile ?
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Takezo,forgeron à Murat
Cultivateur de légumes
Soldat actif de la COBA

Pierre_de_roanne

Voilà bientôt trois nuit que l'armure de Pierre ne subit aucunes éraflures, pas la moindre saletés, rien, le néant complet.

Il y a trois jour, personne n'est venu à lui, personne n'a dénier le titiller de sa lame, pourtant il était prêt, son armure brillait pour que les ennemis ne le manque pas, mais bon, les berrichons sont aveuglent, où bien aveuglés par le reflet de la lueur de la lune. Il ne sait pas, toujours est il qu'il se jure le lendemain de la salir un peu, on verra bien.

Il y a deux jours, il avait prit soin de salir son armure afin de ne pas éblouir les adversaires, précautions vaines, toujours personne pour combattre avec lui, sa douce et lui s'était séparé pour mieux trouver, elle avait trouvé, mais pas lui, et c'est en ronchonnant que Pierre était revenu au campement.

Après deux ou trois verres de poire, il avait pensé que les berrichons n'avait peut être jamais vu Duc avec un pavois aussi puissant, le pavois de son père, feu Barbu dict le terrible, ça devait être ça, il devait changer de pavois, foi de lui, le lendemain il irait sans couleurs et sans signe distinctifs de son rang.

Hier, une nouvelle bataille, un espoir fou de se battre, de corriger ceux qui avaient blessés sa mie, son amour, sa vie. il cherche de partout, va dans tout les sens, s'épuise à chercher un adversaire, tout ce qui pourrait lui tomber sous l'épée serait le bienvenue, mais encore une fois, personne. Il se pose sur une souche, se prend la tête dans ses gants de métal. Mais qu'est qui cloche avec moi !!!

De nouveau en rage, il rentre auprès de sa douce qui dort, après deux ou trois bouteilles de poire il n'a plus la force de chercher pourquoi, il se dit que le très haut le punit d'avoir tant espéré les bottes du poilu, saouls comme un cochon il se met à chanter

Le poilu, gentil petit poilu, le poilu on t'a botté le cul
et le cul
et le cul
ahhhhhhhhhhhhhhhhhh
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La bravoure n'attend pas le nombre des années.

Merenwenn

Merenwenn avait passer une nuit difficile, impossible de dormir, savait pas comment se foutre sur ce lit... La blessure était douloureuse et lui tirer...

Oh doc jpeu avoir une piqure j'ai malllll !!!

Merenwenn regarder les médécins qui courrait dans tous les sens, quand elle vu Sofio rentrer dans la tente !

Eh Capi c'est vous ?! Vous vla pour la bataille, pas trop tôt dit donc

Elle sourit, puis tenta de se redresses comme elle le pouvait pour mieux l'apercevoir.

AIEEEEEE !! Peut même pas bouger ste lit...

Elle vit tak arriver a son tour mon ange je suis contente de te voir
Elle lui sourit...
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Sheltie

Elle entend des murmures………..il lui semble qu’elle connaît, …..sur quoi est elle,……….. c’est dur et elle a mal,….. un petit enfant cours…… il rit aux éclats,…… Shel sourit, ……il se dirige vers la piscine, ……..non ,….. non [/size[size=18]]…….Tristan ,……Non, ………
elle voudrait se réveiller …….elle se débat, frappe …….tout est flou, ….des cris toujours des cris, ……..ne plus rien entendre......se réveiller.......quitter ce cauchemar......

Pourquoi à t'elle mal, si mal ……..encore des murmure s, elle voudrait demander……..aidé moi… svp…. j’ai si mal
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Damisella

Elle entre appuyée sur un bâton dans la tente, sa cheville a été enveloppée dans des bandes de toile tartinées d'argile. El sêchant, cela fait une coque qui l'enserre et la douleur est déjà légère. Dami ne pouvant combattre pense pouvoir être utile auprès des blessés.

Elle se dirige vers la couche de Sheltie, lui passe un linge humide sur le front

Là Sheltie, on est là, t'en fais pas, on va te guérir, je vais te faire une tisane, ça calmera la douleur.

Doucement elle la fait boire, la regarde, pleine de compassion. Elle est épuisée par le simple effort de boire la vaillante auvergnate.
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Campement et Hopital de campagne BA & PA

Pascale33

La veille

Sans un bruit ..Dans un silence presque total, ils ont démonté le campement
Quelques mots couverts... quelques cliquetis d armes...
Seul, le galop de leur monture à leur départ auraient pu attirer l attention...
Au lever du soleil...Nulle trace de leur passage...Peut être un feu qui s éteint doucement...

A travers bois, la chevauchée s est engagée dans une course effrénée..
Ils veulent en découdre pour de bon!!
Etendard et oriflamme en verve, les regards sont courroucés et appellent à l affrontement!
Droit devant..sans discontinuer...Ils chevauchent fiers et arrogants, la puissance de leur duché présent au bout de leur lame!

A quand l arrivée a destination...A quand pourront ils tremper leur épée dans les corps ennemis...A quand le visage apaisé du devoir accompli...

L appel , ils l avaient tous entendu ...
Des quatre coins du Bourbonnais Auvergne ils s étaient retrouvés...
Les fidèles de la COBA, avaient été rejoints par d autres valeureux...
fiers d être du BA, heureux si ils en reviennent de pouvoir le raconter...

L oriflamme haut dans le ciel, les sabots de leur monture frappant le sol avec force, tête haute, Les Terribles, Lanciers , Nuées Ardentes parcourent les routes pour rejoindre leurs alliés et faire face a l ennemi

Dans leur yeux, courage et honneur de porter au bout de leur bras les couleurs de leur armée , de leur Duché.

Sur leur passage, les paysans travaillant dans leur champ , relèvent la tête...Admiratifs ou craintifs....

Les rayons du soleil matinal se reflète sur les armures, au loin , les remparts ...

Hommes et femmes sans d autre peur que de ne pas honorer leur drapeau....
Le galop des chevaux devient moins cadencés...Ils approchent de l entrée de la ville....

Capitale du Berry, sois prête! les valeureux du BA arrivent!!

Ils sont arrivés , dans la fraîcheur de la nuit....
Naseaux des montures formant un nuage blanc, sabots foulant le sol devenu berrichon,non loin les remparts de Bourges...

Devant ces murailles des centaines de soldats prêts a combattre....
Fiers guerriers, dont la valeur n est plus a prouver, jeunes qui veulent montrer leur courage...
Leur regard se dirigent vers les hauteurs de l enceinte...
Présents , ils le sont ...Prêts, comment ne pas l être....
Déception sur les visages.....
Le couard berrichon s est retranché dans la ville...

Le BA fait donc peur à ce point...

Au petit matin

Les premiers arrivés montent haut les drapeaux et oriflammes , bien en vue de Bourges.
Les toiles se montent...

Non loin des portes, elle met pied à terre avec ses compagnons d armes.
Chacun s affaire pour monter le campement.
Pas de gestes ni de mots inutiles, comme ses frères d armes, la blonde sait ce qu elle doit faire.
Une fois que sa monture est dessellée, elle la mène au point d eau...
Le camarguais se désaltère...Du coin de l oeil , elle voit le bas-rouge , fidèle d entre les fidèles, partir a l aventure.
Le chien, museau vers le sol, disparait bien vite...
Pascale retourne vers le campement qui commence à prendre forme...
Ses yeux se lèvent vers le ciel ou flottent les drapeaux qui font battre son coeur et lui donne courage et fierté....

Affûter les lames...Vérifier l harnachement des chevaux...Les tentes sont montées...

En attendant l heure de se réunir , la jeune femme va vers l enclos des chevaux...
Après avoir étrillé le camarguais, chose qu elle ne laissera faire à personne, et flatté l animal, elle repère sa tente...
Un peu de repos semblerait être le bienvenu.
Le camp semble moins agité...L heure est à la détente pour la plupart, en attendant le rassemblement

Rêves de bataille..de cris ...de sang...chevauchées et bruits de lames qui s entrechoquent...

Allongée sous la toile, elle ferme les yeux, avec un léger sourire...

BALISAGE
{La_Cisaille}
Mercredi : Fusion topic Ange et démons + hôpital de la COBA
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Angel.

la brume matinale de cette automne descendait au petit matin,
le campement s'affère aux tâches quotidiennes, des bruits légèrement inhabituels viennent troublés cette rosée, Angel avait observé pas mal de muraille durant ses voyages, vu pas mal d'ennemis aussi mais ici, il avait comme un goût amer dans la bouche, il avait des comptes a réglés comme tous ceux qui sont ici...

Ils ont fait coulé du sang Auvergnat et ça, ils vont devoir nous le rendre à la goutte près...

Le vent caressent son visage frais, il sait que les lâches se cachant sur ses hauteurs et essai de sa place contre un arbre d'en apercevoir un...
Que de la pierre, parfois, il cru voir des ombres passés mais le jeu du soleil montant est parfois moqueur, le sourire aux lèvres et encore engourdit part la nuit, il se leva pour aller faire ses exercices matinal suivit d'une toilette...

Peut être se dit il, qu'ils me regarderont dans les yeux que je fendrais sur eux... Avec motivation et sans empressement, il se dirigea vers les siens qui s'activaient déjà avec vigueur ...
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Tiamarys

Le brouillard était tombé pendant la nuit, leur marche avait été lente, telle une armée fantomatique, les troupes auvergnates s'étaient avancées dans le silence de la nuit en direction de Bourges.
Les rayons pâles et froid du soleil d'octobre sur les remparts de la cité les avaient accueillis, frigorifiés, mais fiers.

Les tentes avaient été installées, jolies tâches de couleurs au milieu d'un pré tapissé de feuilles mortes.
Deux tentes "tavernes" regroupaient les soudards autour d'une choppe et de cochonnailles.

Chacun vaquait à ses occupations, jetant par moment un regard en direction des lourdes murailles protégeant Bourges.
Tiamarys regarda le haut mur d'enceinte en soupirant, rien ne serait simple quand l'ordre d'attaquer tomberait.

Elle s'occupa de son cheval, lui donna une bonne ration d'avoine puis le brossa.
Geste machinal, maintes fois répétés, en tout temps et en tous lieux et pourtant...

Elle alla rejoindre Paillard qui donnait ses consignes à la section des 45, y en avait marre d'attendre...
Des échos des combats de Châteauroux leurs parvenaient, quand allaient ils attaquer eux?

Elle s'installa et écouta, les yeux rivés sur la muraille...

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Cortina

Corti avait fait le chemin en compagnie de son armée jusqu'aux portes de la capitale Berrichonne, Bourges.

Il était équipé de son arc et de ses flèches, récemment faites et testées sur le terrain d'entrainement. Sa chienne, Radja, fidèle compagnon de son maitre se postait toujours à côté de lui, prête à l'aider s'il le fallait.

Aujourd'hui, il alla s'entrainer sur les cibles en paille installées spécialement sur une partie du campement, à côté des combattants à l'épée et des essais des machines de guerres.

Il pris une de ses meilleures flèches, avec des plumes spécialement choisies pour rendre à la flèche une bonne pénétration dans l'air. Arc tendu, il tira sa flèche et transperça la tête du mannequin.

Sourire en imaginant le jour des combats, fierté d'être ici au côté des siens pour mener une juste bataille, il rejoignit sa tente où il partagea un copieux repas avec ses compagnons d'armes.
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Cahuete

Des jours d'attente, des nuits sans sommeil a scruter l'horizon, la campagne berrichonne sous ses pas ou les sabots de son cheval... patience, maitre mot de toute chose... La demoiselle avait bien du mal a mettre en pratique ce precepte, de la patience elle en avait mais pas maintenant, pas pour cette guerre en cours... Elle oscillait entre envie de bruler le chateau de Bourges et desespoir, ce combat n'etait pas le sien, la Dauphinoise dans les rangs Auvergnats... Le B.A: son deuxieme duché... La ou elle posait ses affaires aupres de ses amis, berceau de la plupart de ses freres d'armes...

45! Elle l'etait dans les rires et dans les combats, sa famille... Elle etait la pour les aider, les soutenir... defendre un de ses Duchés... Elle enrageait, haine envers ce maudit poussin qui ennuyait le monde depuis trop longtemps, la demoiselle ne voulait pas du sang des innocents sur ses mains ou sa lame... Elle etait triste, triste de voir sur les remparts de Bourges des gens avec qui elle avait partagé des choppes en taverne en d'autre temps... temps de paix...

Qu'en serait il demain? Chateauroux avait souffert de cette guerre... Ville ou elle avait partagé les rires de ses amis, amis qui se trouvaient maintenant sur un autre front mais dans un meme combat...

Cah se baladait au camps, portant fièrement son uniforme et prete a se battre sous l'oriflamme auvergnat... Combien paieront la folie d'un seul homme? Elle le maudissait le Poilu! Son bras ne faiblira pas, elle se battra pour ses idées, le temps du deuil et des larmes viendra ensuite, le petit hérisson durcit son coeur, dans cette situation pas de place pour les souvenirs et les regrets...

Elle sera la et quand résonnera le cri des auvergnats et celui de la garde elle le reprendra, il sera sien...

Elle partit pour ecouter les dernieres recommandations de Paill, s'installa pres de Tia, silencieuse et attentive...
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Legrandalsacien

J'avais suivi quelques visages familiers pour me retrouver dans le dédale des tentes qui entouraient à présent la cité de Bourges.
Mon regard se posait à chaque pas dans une autre direction et à chaque fois la même vision ... des hommes et des femmes en armes tentant de trouver le repos après plusieurs jours de marche.
De petits regroupements se formaient autour d'un fagot de bois tout juste allumé. Dans la fumée grisâtre et l'odeur acre qui s'y dégageait certains avait trouver la force de prendre la plume pour donner des nouvelles du siège.
Enfin j'apperçu mon frère d'arme Zwitt qui venait tout juste de terminer le montage de notre couchage.

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Merenwenn

[Quelques jours plutôt]

Plusieurs jours qu'elle avait quitté murat, elle et ses hommes pour rejoindre le Nord. L'automne se faisait sentir, les matinées étaient fraiche et humide. Les chemins étaient de plus en plus difficile à distinguer, recouvert par les feuilles.
L'avancé était longue, mais ils arrivèrent au point de rendez vous.

[Berry]

La progression était lente et difficile, ils se devaient être discret, et aux aguets. Les nuits étaient courtes, quelques heures de sommeil, couper de ronde. La sécurité du camps étaient primordiale. Plus ils avançaient vers la capitale, plus le territoire berrichons rapetissait.

[Bourges, Aux portes de la Ville]

Les armées arrivaient, tous en rang, ils apercevaient au loin les remparts de Bourges qui grandissait au fur et a mesure qu'ils s'approchaient de la capitale.
Les chefs d'armées donné ordres de s'arrêter, on était enfin arrivé.

Merenwenn fit signe à sa section d'installer le campement prêt des autres. Pendant ce temps la, elle amena sont cheval au campement du palfrenier afin qu'il soit nourrit et soigner.

Merenwenn s'en retourna au campement afin d'aider ses soldats à l'organisation du campement. Elle apporta ses affaires dans sa tente, et s'installa. Elle sortit d'un des coffres un grand drapeau du BA. Elle fit monter l'étendard au campement.

Une fois le camps monté elle décida de faire le tour des camps et de repérer les lieux, puis alla prendre nouvelle de la situation actuelle.

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Xelia69

Un soir de plus à proximité des remparts de Bourges...Xelia longeait le campement, les lames s'affutaîent, les hommes se préparaient...Les soldats de la COBA étaient toujours prêt...

Le Poilu s'était retranché dans sa forteresse bien trop peureux, et à ces portes ils pouvaient sûrement aperçevoir les nombreuses tentes qui s'étaient érigées, et les flambeaux éclairant ce grand campement...

Un étendard flottait, celui de la COBA, le fier et majestueux drapeau resplendissait...

Xelia continua à longer les tentes, regarda les hommes...certains prenaient des forces, d'autres s'entraînaient...
Elle prit la décision de s'assoeir sur un petit rocher, et fixa, comme beaucoup d'autres la muraille...

Tixlu

Au pied des remparts de Bourges, sous un étendard de la COBA, et un de l'armée Nuées Ardentes, la tente de commandement du duc de Lapalisse.

Celui-ci se tient devant l'entrée de sa tente, et regarde vers le haut des remparts, aiguisant la lame de son épée d'un geste machinal.

Il sent le poids d'un regard posé sur lui... Ce regard... Le poilu l'observe, il en mettrait sa main à couper. Toute cette campagne pour lui. Le poilu ne pouvait ignorer en agressant la Touraine qu'il déclencherait un conflit dont l'ampleur ne pouvait que le dépasser. Tous ses voisins n'avaient attendu que cela. Le poilu avait enfin offert l'occasion.

Contrairement à son action à Fougères, le duc de Lapalisse commandait cette fois une grande armée, forte et fière, et du sang berrichon, il s'apprètait à en faire couler par galons...
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Paillard

Elle était belle, la campagne berrichonne. Belle sous ses parures d'automne, certes, mais morne pourtant, sans une cuirasse à l'horizon, hors les leurs. Terrées derrière leurs remparts, les armées indigènes semblaient se desinteresser de leurs routes, de leurs villages, laissant les Auvergnats s'y promener tranquillement. Les laissant couper leurs voies, prendre leurs mines. Et les alliés faire de même, un peu plus loin.

Il grimaça, en regardant les murailles. Le Poilu aurait-il assez d'honneur, de courage, pour leur proposer une belle charge, lances contre lances, dans la plaine ? Il en doutait. Il préférait, tel un rat embusqué, se laisser affamer. Grand bien lui fasse, ils avaient du temps, tout leur temps. et les rigueurs de l'hiver à venir ne pouvaient que faire sourire les montagnards qu'ils étaient. Si l'ennemi comptait là-dessus...

Il se tourna vers sa section. Chacun vaquait à ses occupations, mécanique bien huilée, silencieuse pour une fois. Mais il ne s'y trompait pas. Un geste, un mot, et ils rugiraient, aux premiers rangs. Parce que le combat était leur vie, et le BA leur duché.

L'étendart au lys des Quarante-Cinq était rangé, plié dans son fourreau de cuir. Pas question de le déployer ici, ils n'étaient que des volontaires engagés pour l'honneur. Pas le bras armé d'une quelconque instance supérieure, pas ici. Mais le lys restait, sur leurs tuniques, et surtout dans leurs coeurs. Peu importait leur nombre, ils étaient toujours un. Un qui grognait, d'ailleurs, en attendant les combats. Mais la patience gagne bien des guerres,et chacun prenait son mal en patience.

Au-delà de l'apparente indiscipline du groupe, s'étendaient les armées alliées, sous ses yeux. Tentes serrées, faisceaux formés, eux aussi attendaient l'ordre, celui qui libère, celui qui accélère le coeur et durcit le bras.

Un vague sourire flottait sur ses lèvres. Ce serait la première bataille de son enfant. Une bonne école. Il allait falloir, bientôt, trouver un armurier. Et élargir la cuirasse de Tia. Elle allait finir par étouffer, là-dedans.
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Naudeas

Ceci est le camps des soldats et volontaires qui sont hors des remparts, seuls, ces personnes là sont habilitées à poster. Merci

Camps du BA

Naud venait d'arriver, les camps avaient déjà été installés, elle était arrivée avec dix jours de retard par rapport à ses hommes mais ca par contre, ce n'était pas de son gré. Les troupes s'étaient alignées d'ailleurs, peut habituer à voir ce genre de rassemblement pour elle. D'habitude, elle était plutot au fond en train de regarder ailleurs, se moquant plus ou moins d'eux. Ils étaient aux pieds des remparts, les berrichons les regardaient se former, mais rien de plus.

Elle prit la direction de sa tente. Sa tente avait été préparée avec soin par ses hommes, la aussi se réunirait le conseil de guerre, on verrait bien l'issue finale ou fatale, mais après tout, personnes n'étaient là pour repartir sans victoire.

Elle jeta ses armes pèle-mêle sur sa couche, il faisait sombre la dedans, et ca continuerait avec les jours suivant.
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Legrandalsacien

Ville étrange ... Climat d'incertitude.
Je m'étais allongé quelques instants sur mon couchage de fortune .
Le crépitement de l'averse que nous avions essuyé cette nuit m'avais empêché de fermer l'oeil. Toujours aux aguêts , prêt à me lever pour l'assaut , les nuits étaient encore plus pénibles que les journées.
Dans mon léger sommeil je percevais pourtant les bruits des carioles , de sferrures qui s'entrechoquent , des harnois et des mailles que l'on déposent , le choc des épées que chacun engage dans un ratelier tout près de ma toile.
Certains de ses bruits retentissent a fréquences régulières , sans doute une nouvelle colonne armée qui s'installe.
Soupir des chevaux eux aussi amenés en grand nombre ... impossible de fermer l'oeil

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Titan34

ils venaient de sortir des murs de la capitale en empruntant la grand porte, à la tête de ses hommes, Titan avec à ses cotés Naudeas le Capitaine du B-A regagnaient maintenant l'armée des nuées ardentes, l'attaque finale semblait imminente, en pénétrant sur le camp, de droite à gauche et ou que se pose son regard, des soldats affûtaient leurs lames, on pouvait lire dans leurs yeux une froide détermination d'en finir une fois pour toute.
Le tyran qui dirigeait le Berry devrait rendre des comptes cette fois.
L’espace d'un instant il pensa à ces pauvres paysans berrichons entrainés dans la spirale infernale de la guerre et de la mort par un régnant orgueilleux et avide de pouvoir.
Il en serait bientôt fini, les armées alliées avaient aussi pris position autour de la capitale.
Chacun attendait patiemment que sonne le glas d'un règne de dictature, de tyrannie et de mensonges berrichon.
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Riggins

Tim, comme les jours précédents alla chercher les legumes sur le marché parallèle, il soudoyait quelques garcons du coin qui connaissait des trous dans les remparts pour acceder au marché. Après avoir échangé un pain contre une pomme, il alla s'entrainer comme chaque jour. La patience est une vertue se recitai t'il chaque jour. C'est pas nous les pleutres a l'interieur des remparts qui allont mourir de faim.
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Pierre_de_roanne

En ce doux matin d'automne, Pierre se réveille tranquillement, quelques bruits sourds de martellement se faisaient entendre.
Ca et là, des soldats prépraient leurs armes, nettoyage, affûtage, soin approtés à leurs armures.

La nuit avait vu Titan, son ami, arrivé parmis eux. La fin était proche, cet assaut final tant désirét par tout les soldats.

Un espoir pour l'avenir, un espoir pour les Berrichons qui allaient être débarassés du dictateur qui les avaient mené vers un affrontement provoqué par lui et lui seul.

Son entêtement, ses mensonges, cette fois ci, ne lui avaient servi à rien. Les alliés semblaient déterminés cette fois ci à avoir sa peau.

Rêve secret de chacun, avoir au bout de sa lame, ce Duc poussin, rêve non secret de Pierre, avoir les bottes du Poilu. Pour sa collection, et puis les bottes d'un poilu ca doit être fourrée non ?

Il chantone doucement

Le Poilu, gentil petit poilu, le poilu, on va te botter l'cul
et le cul
et le cul
ahhhhhhhhhhhhhh

Le poilu, gentil petit poilu, le poilu, tes bottes nous aurons eu
et tes bottes
et tes bottes
ahhhhhhhhhhhhhh

Le poilu, gentit petit poilu, le poilu, tu vas t'trouver tout nu
et tout nu
et tout nu
ahhhhhhhhhhhhhh

Il resta devant sa tente à boire quelque chose de chaud. La patience de chacun allait être, il l'espérait, enfin récompensée.
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La bravoure n'attend pas le nombre des années.

Legrandalsacien

Je ne me souviens pas avoir ressenti autant d'impatience parmi des hommes d'armes que ce jour.
Comme épris par le même sentiment , la même détermination , je ne pouvais que me laisser prendre dans ce tourbillon ...
Mon frère Zwitt dont c'était le premier engagement armée m'avait longuement fait part de ses craintes et de ses sentiments .
En ce jour si particulier et afin de protéger nos âmes , je lui proposa de prier le Très Haut .. lui seul qui est tout sera nous protéger; et nos frères et nos soeurs prieront dans notre Chapelle St François pour nous.
Deus lo Vult
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Merenwenn

Jour de trêve, le camp était calme, il n'a jamais été aussi silencieux, malgré qu'il était de plus en plus nombreux aux portes de Bourges.

Plusieurs prairie accueillait les différentes armée allié. Elle prit la place d'un des gardes en haut des arbres pour admirer une vue impressionnante.
Le camp se tenait sur plusieurs kilomètres, elle n'aurait pas imaginer sa d'en bas. Cela lui faisait chaud au coeur de voir tous ses alliés rassemblé, les différents drapeau flotté dans les airs.

Elle redescendit et se dirigea vers sa tente, fit quelque prière et pensa a son fils loin d'elle.
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Rv007

Devant les remparts de Bourges, Campement Auvergnat :

Cela faisait déjà plusieurs jours qu'ils étaient arrivés, ils avaient longtemps attendu ce moment et une fois sur place... encore l'attente...
l'attente de l'ordre qui les délivrera de cette léthargie.

RV faisait le tour du campement et vérifiait l'état de ses hommes et de leur matériel.
Tous étaient las d'attendre de la sorte, mais le moment venu ils seront prêt et même plus que prêt.
Toute cette rage emmagasinée pourra se déchainer en partant a l'assaut de la Citadelle.

Mais en attendant ce jour, il retourna dans sa tente où il avait improvisé une taverne qui accueillait tout membre d'une armée Alliée histoire de s'occuper, de faire de nouvelles connaissance et de retrouver de vieux amis, le matériel étant plus que prêt...
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Commandant de la Garnison de Montbrison
Conseiller Militaire pour la mairie de Montbrison
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SEMPER FIDELIS
depuis le 02/11/1454

Merenwenn

Réveil au petit matin, la nuit à été courte... de belle rencontre pendant cette nuit... tout compte fait elle aimait cette guerre.

Comme tout les matins elle alla à la tente du chef d'armée pour connaitre l'état actuelle des choses. une heures plus tard elle sorti en furie...

GRRR !!! Bande de lâche ! je vais le tuer...

Elle jeta un regard noir en haut de la muraille qui s'étendait devant eux.
Elle fila droit en taverne pour se détendre un peu... fallait pas qu'elle face de bêtise.
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--Narim

[Sur le dernier champ de Bataille]

Narim avait entendu l'alerte de cette nuit, les armées s'étaient rencontré non loin des murailles, ainsi il décida d'aller y faire un tour après la fin des hostilités. Dans l'agitation des caravanes médicales il put ramasser quelques objets appartenant certainement à des soldats morts.Il trouva quelques écus, une miche de pain et même un morceau d'épée encore tranchant.
Me voilà avec un beau petit butin mais me faudrai plus de nourriture pour nourrir ma famille à l'intérieur des murs... j'ai déjà chercher dans la ville, allons donc voir chez nos ennemis.

[Campement Auvergnat]

Il y régnait un bordel monstre, ce qui était normal après une bataille, surtout que ces auvergnats étaient nombreux. Narim cracha par terre.
Bien planqué derrière un arbre Narim avait en vu le camp Auvergnat et chercha des yeux de la nourriture.Il en aperçu prêt d'une tente en bordure du camp. Il couru jusqu'à celle-ci, ouvrit le sac qu'il avait eu le soin de prendre et y mit les offrements de ces bons vieux soldats Auvergnats.Pour Narim c'était Noël, il y avait des fruits, un gros morceaux de viande et du maïs. Après avoir fait le plein il reparti se cachait derrière son arbre.
A bientôt les gars
Narim quitta au plus vite son arbre pour retourner auprès de sa famille et festoyer avec les vivres des soldats Auvergnats.

Pascale33

[Hopital de campagne COBA]

La nuit et le petit matin ont été rudes...

Un peu a l ecart de l immense campement réunissant les armées du BA, une immense tente est dressée...

La jeune femme l épée toujours au poing, s avance vers ce lieu ou l on allait acceuillir blessés et mourants de tout bord...

A l entrée, elle dépose négligemment sont arme au sol et va se préparer a recevoir ceux qui ont luttés avec courage

Quelques cris encore au loin..

La blonde soupire...IL ne lui reste plus qu a attendre les premiers blessés...

[Balise RP ajoutée par {Lore}]
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Phoenyx92

Phoenyx erra un long moment sur le champs de bataille, son ventre le bruler sa tempe le bruler mais il n'osait pas regarder son abdomen de peur de voir la blessure, la main sur le ventre, il se releva tant bien que mal.

Il se concentrait plutôt à chercher ses hommes pour voir si ils n'étaient pas blessés,

Section, Section ou êtes vous ? Wey es tu la?

Aucune réponse il n'en trouva aucun parmi les morts qui jonchaient cette terre rouge et soupira de satisfaction.

Il allait se laisser mourir et attendre son dernier souffle quand une lueur vint devant ses yeux, celle d'une promesse faite à une femme de rester en vie,

Des forces lui revinrent et il se dirigea vers des bruits qu'il entendait au loin, amis ou ennemis peut lui importait tant qu'une bonne âme puisse le soigner.

Une taverne et Ninon voila son salut.

Bonjour Ninon, je crois que je ne vais pas vous embêter les dix prochains jours.

Il lui montra sa plaie béante et sanguinolente sur l'abdomen et sa large estafilade sur la tempe gauche.
Comble de chance Pascale médecin en chef de la COBA était présente elle aussi et l'emmena voir dans l'hôpital de campagne si il pouvait encore recevoir des soins.
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Phoenyx92 dit Phoe

Je reviendrai toujours

Damisella

Poussière, hurlements se mêlant aux cris de guerre, les45 regroupés avaient combattu à l'assaut des murailles de Bourges. La mêlée était indescriptible, elle combattait à côté de Pierre, tous tachant de protégerTiamarys qui avait voulu venir se battre bien qu'étant enceinte de son tendre époux.

Elle eut fort à faire avec deux berrichons, l'affaire réglée elle se retourna soudain au hurlement de rage et de désespoir de Paillard.

Mon dieu Pierre, Tiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa! Nooooooooooooon!

Ensemble ils transportèrent la blessée à l'écart la portant sur un grand bouclier.

Là! la tente !

Délicatement ils déposèrent Tia sur un des lits de fortune

Un médecin vite, elle est très grièvement blessée.
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Tiamarys

Elle flottait dans une douce léthargie, entre réalité et inconscience.
Son corps semblait léger.
Divine inconscience qui ne diffusait pas de douleurs...

Son dos n'était qu'une plaie sanglante, sa cuisse...
Le berrichon l'avait frappé dans le dos, entaillant sa peau tendre par le glaive tranchant et froid, avant d'entamer l'arrière de sa cuisse.

Elle avait perdu du sang, mais c'est surtout son bébé qui lui avait fait peur.
Heureusement elle l'avait sentit bouger avant de tomber dans une bienveillante inconscience.

Etait elle morte?
Elle pensa à son amour, où était il...

Un son presque inaudible franchit ses lèvres

Pail...
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Paillard

Ils avaient trouvé un grand pavois, une fois que les troupes eurent reflué.

Tia allongée dessus, il préférait ne pas voir trop en détail où elle était touchée. Il avait une pensée pour l'enfant, evidemment. Mais il n'était pas sa priorité. Un enfant, ça se refait. Une mère, c'est plus dur.

Dents serrées, il suivait, tête basse, mû par une sourde colère. Pas tellement après les berrichons, la guerre est la guerre, mais surtout après lui. Incapable de la protèger. Premier contact, premier choc, et il n'avait rien su faire.

La tente médicale se dressait devant eux. Il hésita. Il hésita à aller chercher un medecin, à lui poser la pointe d'une dague sur la gorge, et à ne plus le lacher d'une semelle, des jours durant, jusqu'à ce qu'elle guérisse. Mais un vieux fond de civilisation le retint, et se contenta de crier en entrant :

Par ici, du secours ! Ma femme est touchée, du monde, vite !
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Pitchoun

Ils étaient aux portes de Bourges , gagnant du terrain , centimètre par centimètre , luttant contre des adversaires aux lames acérées .
Les épées s'entrechoquaient dans un bruit atroce .
Elle essayait de garder un oeil sur ses compagnons quand elle sentit une forte douleur dans le bras droit et la cuisse gauche . Elle tourna suffisament la tête pour voir l'épée de son ennemi finir de lui entailler la chair .

Dans le même temps , elle aperçut son Sergent Chef s'écrouler au sol .
Se protégeant de son bouclier , elle courut jusqu'à lui . Il était à demi inconscient , son souffle se faisait court et rapide . Vite , il fallait le sortir de là .

Tiens bon barbu , on va te soigner .

Sans aucune hésitation et avec l'énergie du désespoir , elle essaya de le relever ; elle réussit tant bien que mal à le mettre sur son dos .
Elle savait bien qu'il n'était pas prudent de transporter aini un blessé mais elle n'avait pas le choix .
Il était plus grand qu'elle et ses pieds trainant au sol ne facilitaient pas la marche . Ils faillirent tomber plusieurs fois et finalement elle aperçut une tente et s'y dirigea , espérant pouvoir trouver un médecin capable de soigner les blessures de Vincentte .

Vincentte

Une guerre plutot inhabituelle ... fallait le dire ... des remparts protégés par toute une population engagés pour un même but ... plusieurs armées au bas de celle ci ... réunit pour une même personne ... Le Poilu ...

Un combat difficile ... mené difficilement ... peu d'homme a terre ... peu de blessés alors que le combat battait son plein ... Vincentte fut surpris par des berrichons assoifés de vengeance ... Ils le rouèrent de coup et le blessèrent profondément dans sa chaire ...

Vincentte tomba au sol le souffle court ... son esprit divaguant dans l'au dela ...

Il ne senti pas que quelqu'un le transportait jusqu'a l'hopital de campagne ...

Legrandalsacien

La chevauchée fut rude , ma plaie sanglante ...
Je n'avais pas encore entièrement perdu connaissance et je pu entendre le nom de celle qui pris l'attention de me ramener sous la tonnelle du médicastre.
Cahuète...
Elle s'approcha au plus près de l'entrée en me soutenant par le bras.
Cette fois arraché de la selle de sa monture je perdis connaissance
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Weylin56

Weylin arriva à la tonnelle du médicastre dans les bras il tenait Merenwenn, Wey lui parlait constamment pour la garder éveillée elle vnait d'être sérieusement blessé par un Berrichons!

un médecin vite s'il vous plait
il continuait de parler à Merenwenn ne t'inquiéte pas on va s'occuper de toi ici je suis là allé sert ma main encore un peu plus elle ne serrait guère beaucoup sa main juste assez pour pas lui lacher sa main sans plus

s'il vous plait venait m'aider ...

en attendant quelqu'un Wey pose Merenwenn sur un brancard qui se trouvait là par terre et il restait à genoux près d'elle.

Cahuete

Agacée de ne pas avoir trouver d'endroit ou afficher sa lettre a Monseigneur Ivrel la demoiselle l'afficha au campement auvergnats, vu qu'il etait principal interessé:

Citation:

Monseigneur,

Veuillez pardonner le dérangement que je vous cause, je me presente, demoiselle Cahuete, Dauphinoise, combattante des 45 dans les rangs Auvergnats et ce dans la guerre contre le Berry.

Il est ici un sieur, nommé Horvy qui hante les tavernes du campement assiègant la ville de Bourges et qui prétend agir sur vostre demande afin d'enqueter sur la morale des soldats, il a sorti des chefs d'accusations envers les armées auvergnates que voici:

-aveux d'athéisme
-moquerie envers un Archange
-Reniement du Pape et des Cardinaux.
-Reniement de Dieu et de notre religion,
-aveux de combattre avec haine contrairement a ce qu'enseigne le Dogme,
-tentative de violence et menace de mort envers un membre du clergé,
-menace d'émasculer un clerc
-aveux de propagande mensongère
-aveux de prière envers un autre Dieu pour certain

Ceci porté a l'encontre des soldats qui se battent pour l'Auvergne, le sieur a une attitude des plus déplorable et méprisante envers les soldats et leur porte sur les nerfs, je pense sciement, de par des remarques et des gestes il provoque l'ire du campement ou tant que Berruyer il n'a pas a y faire.

je vous demande, et posterais copie de ce courrier ainsi que de sa reponse en gargotte berrichonne, qu'en est il? le sieur est il vraiment mandaté par l'inquisition et par vous meme afin de comme il le dit lui meme: "espionner pour le compte de Rome" ou ment il? il est plusieurs témoins en taverne pour appuyer mes dires au besoin

je vous écris ceci en bonne croyante et ayant la foy en Aristote et en son église, esperant une réponse qui apaiserais bien des tensions naissantes,

respectueusement,

demoiselle Cahuete

censeurs, si l'endroit n'est pas le bon merci de m'indiquer ou mettre cette annonce et j'espere sa reponse et de l'y deplacer, merci

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Sheltie

Pascale33

Jiao

Titan34

Tiamarys

Jiao

Merenwenn

Pitchoun

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Sofio51

Takezo

Takezo,forgeron à Murat
Cultivateur de légumes
Soldat actif de la COBA

Pierre_de_roanne

Merenwenn

Sheltie

Damisella

Titan34

[La veille à l'hôpital]

Il avait conduit Sheltie à l'hôpital, à peine l'avait-il déposée sur le lit de fortune qu’un médicastre s'approcha et commença à prodiguer les premiers soins.
Titan la regarda avec compassion et s'écarta pour lui laisser de la place, elle nettoya la plaie avec soin, puis entrepris de coudre les chairs afin d'arrêter l'hémorragie.
Elle lui demanda de rester là, pendant qu'elle s'éloignait rapidement à la recherche d'autres linges.
Une fois la plaie recousue, elle désinfecta une dernière fois la plaie, puis fit un bandage avec grand soin.
Elle lui tendit une tisane et lui demanda de veiller sur elle.
Titan leva les yeux sur la médicastre.

Ne vous inquiétez pas, je veillerais sur elle!!! Je ne sais comment vous remercier!!!!

Il baissa les yeux sur Sheltie qui venait de laisser échapper un gémissement.
Il lui prit la main et lui murmura

Repose-toi!!! Ne bouge pas!!! Ça va aller maintenant, je reste prés de toi!!!

Les heures s'égrenèrent lentement, Titan s’assoupissait, mais il ne quittait pas le chevet de son amie, c'était un membre de sa troupe qui était là.

[ A nouveau jour, nouveaux combats]

Les heures avaient tournées et bientôt une corne sonna le rassemblement général, un nouvel assaut allait être donné.
Il déposa délicatement la main de Sheltie sur la couche, puis, serrant les dents, il se leva et rejoint son armée pour un nouvel assaut.
Des cris, des ombres qui courraient dans tout les sens, Titan faisait tournoyer son fléau, mais étrangement les ennemis ne semblait pas vouloir s'approcher, il regardait de temps à autre à sa droite, son suzerain était là tout proche, il devait veiller sur lui.
après un temps qui parut interminable, la corne sonna le repli, il se dirigea alors vers l'hôpital.

[Retour a l'hôpital après la bataille]

Tia, Merenwenn, LGA, étaient là blessés, Pierre, même Sofio étaient venue, il s'approcha de Sheltie, lorsqu'il vit une personne s'avancer en s'appuyant sur un bâton.
Il reconnut de suite Dami qui avait aussi été blessée.[/i]

Dami!!! Ils t’ont eu toi aussi!!! Sheltie à été grièvement blessée, j'espère l'avoir ramenée à temps, un médicastre à pris soin d'elle, je vais rester à ses cotés.
Tia aussi est salement touchée, je l'ai vue tout à l'heure en passant, si un lit se libère prés d'elle j'y amènerais Sheltie.

Titan s'accroupi prés de Sheltie et lui pris la main.

Nous sommes là shel, ne bouge pas repose toi, je reste prés de toi.

Demeurant là immobile, il sentait la fatigue et le sommeil le gagner, mais il ne pouvait pas l'abandonner.
Sa tête devint de plus en plus lourde, et , lentement il s'appuya sur le bord du lit et sombra dans le sommeil
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Jiao

Partagées entre les combats presques inexistants et les heures passées sous la tente médicale, les journées de Jiao n'étaient pas de tous repos.
Elle était là pour les blessés, et elle ne les laisserais pas tomber.

Pendant qu'elle le pouvait encore, Jiao soignait ses amis, compagnons d'armes, proches, connaissances.

Revenant sous la tente après la nuit de combats de ce mercredi, Jiao entra, et regarda les blessés...tant étaient encore là. Cette fois, elle était revenue les bras chargés de couvertures chaudes et épaisses....L'hiver était là...Il faisait froid...

Elle se dépêcha de faire un tour de tente, regardant sur les couches. Elle revint voir les blessés qu'elle avait soignés déjà, Sheltie..Lga....Meren....
Jiao revint tous les voir....

Elle entendit Meren crier après un medicastre et s'approcha d'elle.
Jiao lui sourit.

Merenwenn, tu dois te reposer ! Et rester allongée, tes blessures ne te permettent pas encore de courir dans tous les sens.
Allez bois cela.

Elle lui ramena une tisane qui ferait passer la douleurs, et qui la ferait dormir....au moins un peu, tisane qu'elle lui fit boire. Jiao ne lui laissa pas le temps de se plaindre sur le fait qu'elle devait boire une tisane et sourit.

Allé, je te laisse entre de bonnes mains, mais, Dors !

Elle sourit à Tazeko qui était là, et retourna son sourire à Meren, puis lui donna une couverture, avant de filer voir les autres patients.
Jiao s'approcha d'Lga...Il dormait...Elle vint à la hauteur de sa couche, et passa doucement sa main sur son front. Il n'avait pas de fièvre, c'était bon signe.
Souriant, elle le laissa dormir..Il en avait besoin..
Prenant une couverture, Jiao le couvra doucement, faisant attention à ses pensements.

Puis, elle s'approcha de la couche de Sheltie. Son sommeille paraissait agité. Elle avait besoin de se reposer elle aussi...
Elle vit Titan endormi auprès d'elle....
S'approchant doucement, elle couvrit d'abord Sheltie, en faisant attention à ne pas défaire les pensementa ou lui faire mal, puis, elle couvrit également Titan....qui avait passé sa journée à veiller la jeune femme....Le repos lui était mérité.
Venant avec une serviette fraiche, et légèrement humide, Jiao vint la déposer sur son front....véifiant qu'elle n'avait pas de fièvre.

Le silence qu'émettait le souffle endormis de certains étaient troublés par des soupires douloureux des autres...

Les medicastres travaillaient sans relâche pour soigner et soulager les blessés....

Le temps passait, les blessés arrvivaient...repartaient...dormaient...

Pas le temps de se reposer, d'abord passaient les blessés....

Paillard

Longues et angoissantes, les heures à veiller, à la chiche lueur des chandelles.
Des heures passées a tenir la main de Tia, à essuyer son front perlé de sueur. Il n'aimait pas ça. Elle allait mieux, mais de rester ainsi dans ce nid à miasmes... Enfin, ils n'avaient pas le choix, de toute façon.

Heures coupées par quelques arrivées, certaines inquietantes, comme Sheltie ou LGA, d'autres plus amusantes, comme Dami et ses béquilles. Il ne put résister, en la voyant :

Alors, Island ? On ne tient plus àcheval ? Il est trop haut pour toi ?

La routine, veille entrecoupée de la sortie quotidienne pour aller frapper quelques ennemis. Ennemis rompus à l'art de la fuite, son épée sifflait dans le vide, en les gouttelettes de sang, sur sa tunique, venaient de loin, une tête écrasée, à quelques coudées, qui avait explosé comme un fruit mûr.
Et ce soir, rentrant du champ à coté de Titan tout aussi frustré, il revenait avec quelques douceurs pour les blessées. Poires et pommes chipées dans un verger.

Pour Tia, excusez-le, il garda les meilleures, distribuant à la ronde le reste du panier.
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Tiamarys

Tiamarys ouvrit un oeil. Son mari était près d'elle, lui tenant la main tendrement; un panier contentant de beaux fruits posé près de lui.
Elle lui adressa un sourire, tirant un peu de la grimace.

Allongée sur le ventre, dans une position peu confortable elle gigota légèrement tentant de se rapprocher de son amour.

J'aime pas être dans cette position mon ange...Enfin ...Euh...

Elle rougit

Pourée ça fait mal...Je sens notre fille remarque.

Tiamarys attira la main de son mari sous son ventre.

Ne me laisse pas mon chéri...Ca sent la mort ici. J'aime pas!

Elle serra l'autre main, se disant que dans quelques heures il risquerait à nouveau sa vie.

Merci pour les fruits amour, j'ai faim, mais...

Se taire, arrêter de se plaindre. Elle sourit pour faire bonne figure.
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Pascale33

Sang et sueur...Cris et gémissements
Elle va d un blessé a l autre...Est reconnaissante a ses infirmières de la COBA qui font un travail titanesque...

Pascale n est pas en reste...
Elle retourne voir Vincentte...Un examen un peu plus approfondi ..
Le regard vert s attarde sur l oreiller marqué de rouge
la blonde se maudit intérieurement.
Comment a t elle pu passer a coté?
Elle soulève délicatement la tête de l homme toujours inconscient.
Ses doigts sentent la poisseur du sang.
La jeune femme lui fait doucement tourner la tête...
Elle fait signe a un brancardier de lui amener le nécessaire .
Le soldat semble fébrile en lui donnant le matériel..
La blonde lui sourit et commence a passer la lame du rasoir sur le crane de Vincentte.
Avec une lenteur calculée elle en termine.
L entaille sur le crane part de la tempe et remonte derrière l oreille droite..
Le blessé a eu de la chance ..A quelques centimètres prés..il aurait eu la tête fendue en deux

Avec soin elle nettoie le sang séché et commence sa couture avec application..compte les points au fur et a mesure...5....12..17...
Des perles de sueurs coulent sur son front...
Elle en a enfin terminé...Donne les instruction au jeune brancardier qui est resté à ses cotés..lui sourit..il semble bien palot...

Une voix bien connue la fait se retourner..

Sofio??

D un geste rapide elle passe le bras sur son front et s essuie rapidement les mains sur son tablier de chirurgien..

Pascale explique qui??morts??explique

Un regard appuyé sur son amie, la maitrise semble disparaitre..
Pascale serre légèrement les machoires...Commence à énumérer les noms de ces soldats qu elle suit depuis le début du conflit...
Ses poings se serrent au fur et a mesure qu elle prononce le mot " mort au combat"..
Puis vient la liste des mourants , dont elle ne sait pas si elle pourra les sauver...
Enfin, les blessés...
Elle baisse le regard...Déjà tant de noms...

Elle relève la tête et fixe Sofio le regard fier a nouveau maitre d elle même

Nous vaincrons! et je les sauverais ! tous!

Une accolade à son ancien Capitaine..Elle lui serre les épaules..

Je dois y retourner maintenant..

Leur yeux se croisent..Elles se comprennent...

Son attention est détourné par encore des arrivées..
Il faut réparer, soigner, couper...fermer les regards de ceux qui sont partis...
Un signe de tête qui en dit long

Je regarde toujours vers le ciel Soso..

Derniers mots.. Leger sourire sur le visage de la blonde...Peut être la dernière fois qu elles se croisent ici bas...
Pascale fait demi tour et retourne voir les nombreux soldats qui attendent
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Vincentte

Allongé on ne sait ou ... Vincentte blessé a la tête et entaillé plusieurs fois au niveau du ventre ... il savait même pas si il était en train de se faire soigné par quelqu'un ... ou si il était en train de mourir sur le champ de bataille ...

Son esprit le faisait passé, porte après porte ... revisitant chaque instant important de sa vie ...

Sa première vision ...

... il revoyait ses parents ... entourant un petit être .. c'était la naissance de sa dernière soeur ... Linoa ... il était au coté de son grand frêre et de son autre soeur ... a regardé ses parents rayonnés de bonheur ...

...

... nouvelle porte qu'il ouvrit dans son esprit ... il avait a peine une quinzaine d'années ... sa dernière soeur suivant les trois plus grand avec difficulté dans les bois bordant le chateau ... il s'amusait a jouer entre les arbres avec de petites épées en bois ...

...

Son esprit revint rapidement a ce qu'il se passait autour de lui ... toujours inconscient ... son esprit analysait rapidement les sons et les voies qui l'entouraient ... il était bien dans un campement ... mais lequel ... de quel coté il avait atterris ...

Peu importe pour l'instant ... son esprit replongea dans son passé ...

Sofio51

des noms des amis ca défile ca s'arrête pas derrière ces noms des visages des histoires, chaque personne qu'elle a connu aimé apprécié, tombés au combat, tombés au combat pour ca elle se le répète c'etait leur rôles leurs destins a chacun.

Ca rentre ca en finit pas, la douleur est la présente, ca sent la mort et le sang partout elle sert a rien ici même vince bordel tu fous quoi.......

Elle s'approche de lui, prend sa main la serre, il est blanc comme le drap, il est inerte comme l'eau, il reprendra du souffle, de l'auvergne , bon sang!!!il est auvergnat merdum pas de la chochotte.

A son oreille quelques mots susurrés

vince si tu t'en remet pas, je te suivrais aux enfers pour te faire remonter de la tu penses pas tirer aux flancs comme ca releve toi et marche!!!!

Partir de la partir pour son destin, regard autour d'elle ce soir aura d'autres morts, partout ca va se remplir saleté.

Elle serre la main sur son pommeau il est temps pour elle se repartir, temps d'aller faire payer ca,ce sera un grand moment dernier regard et salut a tous, ses yeux se voilent, adieu mes amis, adieu ma famille, c'est pas comme une bataille qui se profile la, c'est comme un silence qui lui pèsera pour longtemps.

Je regarde toujours vers le ciel Soso..

Dernier sourire esquissé, elle lui répond

les oies sauvages sont déroutantes parfois

Une main au passage sur l'épaule de titan, un geste sans plus, il sait, elle le reverra peut être, ils auront tous deux a faire leurs actes, ce jour la, il est temps il est l'heure de repartir pour le campement .
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Cahuete

La demoiselle avait recu reponsde de SE Verty aussi comme annoncé l'afficha t'elle au campement, elle n'irait porter plainte a Rome que si le sieur revenait en taverne pour embeter les soldats auvergnats... elle n'avait pour l'instant pas que cela a faire et bien autre chose en tete!

Citation:

Expéditeur : Ivrel de Tourno�/a>
Date d'envoi : 2009-10-30 09:21:02

Frère Horvy est diacre de Sancerre. il est aussi nonce apostolique pour le Berry, c'est à dire ambassadeur de Rome en terre berrichonne et à ce titre il est de son devoir de s'informer de ce qui se passe en Berry et qui concerne l'église (rupture de trève dominicale, hérésies etc...) et d'en faire part à son eminence Aaron, responsable de la congrégation des Affaires du Siècle dont dépend la Nonciature.

C'est à la nonciature que lui et moi nous nous rencontrons parfois pour échanger des informations sur la foy dans les provinces. Et en ce moment bien que nos échanges soient parfois vifs, ils restent courtois, et mon opinion au sujet de la guerre berrichonne est que toute lumière soit faite d'un côté comme de l'autre quand aux manquements des soldats aux principes de la vrai foy.

Ce dernier en temps que diacre de Sancerre doit obéissance à Monseigneur Verty, évêque de Bourges et en temps que nonce apostolique doit obéissance à son Eminence Aaron.

Bien sur étant cardinal de l'église, il me doit le respect, mais il n'est pas directement sous mes ordres, je ne gère que les clercs du diocèse de Clermont et les frères travaillant à la congrégation pour la diffusion de la foy dont il ne fait pas parti.

Quand au titre d'inquisiteur, je ne sais pas, le mieux serait que vous demandiez à la personne qui gère cette institution : Son Eminence Clodeweck ou à défaut, ce dernier étant fort occupé, à Monseigneur Verty qui est surement à même de connaître plus que moi les attributions des clercs de son diocèse.
Je crois qu'il s'occupe de l'officialité de Bourges et à ce titre dépend bien de l'inquisition en temps que procureur éclésiastique, il est habilité à enquêter sur les hérétiques et apostats, par contre je ne suis pas sure qu'il soit un missus inquisitori (ce sont des inquisiteurs envoyés en mission directement par Rome, avec tout pouvoir de justice).

Pour répondre à votre question, je ne l'ai envoyé nulle part, mais si il enquête sur ce qui se passe à Bourges, c'est de son devoir de nonce et de procureur éclésiastique, donc il fait juste son travail. Je ne puis que le soutenir dans cette action. Quand à sa manière d'agir, n'étant pas sur place, je ne peux juger et n'étant pas mon subordonné, ce n'est pas à moi de le sanctionner si besoin, je peux tout au plus lui rapeller des règles de diplomatie ou de politesse et si il y a vraiment un manquement caractéristique à son devoir, je peux simplement venir vous accompagner à Rome pour déposer un dossier de plainte auprès du tribunal interne de l'église.

Amicalement
SE Ivrel

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Ninon914

Samedi soir, à Bourges

La soirée est calme, les gens papotent en taverne, de moins en moins agressifs les uns envers les autres, commençant à faire connaissance, doucement. Les soldats de l'ADC envisagent un retour chez eux, font des projets. Ils sont partis depuis si longtemps qu'ils en ont oublié à quoi ressemble la vie sereine qu'ils menaient avant que le Poilu ne les jette tous les uns contre les autres dans le seul but de satisfaire sa mégalomanie pathologique.

Beaucoup se demandent ce qu'il se passe au sein des discussions inter duchés. La paix est-elle être signée ou en bonne voie de l'être ? Ils ne sont au courant de rien, les soldats qui arpentent les ruelles de la capitale, désœuvrés, perdu dans un conflit auquel ils ne comprennent plus grand chose. Alors, ils attendent...
Ninon cause et plaisante à voix basse avec les quelques compagnons encore installés au coin du feu, à veiller leur chef et maire, Rasta.

Soudain, un ordre déchire la nuit, éclatant la douceur feutrée en mille parcelles d'énergie, les sortant de leur apathie somnolente !

A l'ordre ! Préparez vos paquetage, nous partons ! Officiers, rassemblez vos hommes, que tout le monde soit prêt à partir avant l'aurore !

D'un bond elle est sur ses jambes, réajuste son épée au foureau et regarde ses compagnons d'armes d'un air entendu. Ils feront ce qu'ils ont à faire, elle en est certaine.
Elle court rassembler son petit monde. elle ignore où ils iront, vers quel destin, mais qu'importe ? Elle passe dans toutes les tentes, secoue les uns, invective les autres...

Debout, préparez vous ! Allez, allez, bougez vous ! Préparez vos besaces, nous partons !

Elle avise un groupe fort occupé à vider consciencieusement un tonneau dont elle préfère ignorer le contenu.

Et alors ! Z'êtes sourds ? Magnez vous ! Rassemblement dans un petit moment. Prenez vos affaires personnels, laissez ce tonneau là où il est, il trouvera d'autres amateur après votre départ !

Un sourire en coin et elle continue sa tournée, ameutant les membres de son armée, pas fâchée finalement que quelque chose se passe enfin. La sédentarisation, c'est pas son truc.

Enfin, elle rejoint sa propre tente, siffle ses furets sans doute partis chercher de quoi croquer un morceau, ferme son maigre bagage et se plante au lieu de rassemblement, les mains sur les hanches, l'œil aux aguets, prête à invectiver les retardataires.
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