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[RP]De la mort d'un soldat, sans gloire ni bataille...

--Bonneducure
Voila ce que l'on trouve en caserne aujourd'hui....

Je perds plus qu'un ami aujourd'hui... Je perds un frère d'arme... Un être cher à mon cœur...

Skippy mon ami je respecte ta décision sans l'approuver.

Tu as toujours été là quand j'ai eu besoin de toi, tu m'a aidé et soutenu lorsque j'ai perdu mon tendre époux, tu m'a tendu la main quand j'avais faim, maintenant c'est a moi de t'aider même si l'espoir est mince de te voir guérir de ce mal qui te ronge.

Je t'avais pourtant prévenu il y a déjà bien longtemps lorsque tu es rentré au conseil de Loches, puis quand tu es devenu maire de la ville que tu chérissais tant... "La politique est un véritable panier de crabes, ou seul les plus fort ou les plus vicieux s'en sortent"

Tu aurais du m'écouter et rester là ou tes amis étaient à Loches et ne pas t'attaquer au conseil ducal... car même si tu as réussi à te faire une place au "soleil" et ce plusieurs fois, pour moi il était certain que tu finirais fou ou que tu finirais par tomber malade... (Tu vois que même si je ne suis plus là je veille encore et toujours et je suis ce que font mes amis)

Tu es trop honnête et trop droit, tu respecte trop ton prochain et tu es trop pour l'ordre et la justice... Mais la politique ce n'est pas ça, surtout dans un conseil ducal... Seul le pouvoir compte et ceux qui accèdent à ce pouvoir se prennent pour Aristote lui même... tu n'avais aucunes chances de t'en tirer mon ami.

Je pensais en voyant ta liste dont je trouve la composition bien équilibrée (tu as décidé de faire rentrer des jeunes "pousses"...) c'est que tu préparais l'avenir et que tu avais décidé de briguer le poste ultime... "Duc". J'ai eu quelques inquiétudes, mais te connaissant et vu ton équipe (je connais bien beaucoup de tes colistiers même si je ne les ai jamais rencontré) tu ne pouvais que faire du bon travail car tu respecterais l'avis de tes amis et conseillés...

Alors quand j'ai appris que tu cédais ta place et ce depuis le début à ton ami P3r3v3rt, j'ai su que tu n'allais pas bien... et après renseignements pris (oui skippy j'ai encore des amis haut placé) je ne me trompais pas.

Alors je ne sais pas si tu va mourir, je ne sais pas si les moines pourraient ou pas faire un miracle, mais une chose est sur mon ami, ne part pas, bat toi car sinon tu laisse la part belle aux incapables qui te pourrissent la vie et qui vont finir par te tuer et ils auront gagnés…

Tu as évolué depuis toutes ces années alors ne gâches pas tout ce que tu as pour des gents qui n’en valent pas la peine… Pense à tes amis, les anciens comme les nouveaux, vois ta famille qui même si elle est absente elle reste ta famille (et oui tu es comme moi hein mais bon on ne choisi pas)…

Pourquoi tu ne va pas voir Dragoon ? Je sais que c’est un "vieux dinosaure" un peu bourru (je l’ai bien connu dans mes jeunes année) mais il était ton ami non ? Il a toujours été de bons conseils non ? Et Kref (tien lui faut que je vois ce qu’il devient) tu lui as parlé ?

Ils ne t’ont pas fermé la porte quand tu as fais des conneries, ils t’ont fait confiance non ? (hé oui mon ami je sais tout même que ce n’était pas joli, joli hein !!! Mais bon tu es resté droit dans tes bottes) Alors tu dis rien tu rentre en caserne et tu reste tranquille… (Au fait ton bureau est bien chauffé là-bas j’ai appris que tu avais un belle cheminée… alors profite en tant que le duché a encore du bois)…

Tu attends les élections et tu vois… mais je suis sur que vous allez gagner... le bon sens l’emporte toujours tu verras…

Courage mon ami, souviens toi de ce que tu me disais quand j’étais au plus bas …

Ton amie fidèle à jamais…



Citation:
Bonjour Soldats, LineXIV, Donotach et le haut commandement.

Comme vous le savez ou comme vous avez pu le voir je quitte mes fonctions au sein de l’armée de Touraine sans bruits ni tapage.

En effet après pas mal de réflexions et de totales absences d’ordres pendant plusieurs jours, après m’être rendu compte que chacun faisait ce qui lui plaisait dans son coin au sein du conseil ducal sans tenir compte des autres…

J’ai décidé de partir et cette fois DEFINITIVEMENT… Certain m’ont encouragé il y a peu à rester et a monter une liste en vu de faire changer les choses… Mais en fait rien ne changera… les vieux dinosaures resteront dans l’ombre, continueront à donner des ordres, à ne tenir compte que du confort de leurs tentes et à mépriser la piétaille que nous sommes…

Vous me connaissez tous suffisamment pour savoir que je ne demande pas d’éloges ou de reconnaissance, que les honneurs ne sont pas pour moi… Mais j’aurais aimé un peu plus de considération pour tous ceux qui m’ont suivit et qui ont œuvré pour le bien de la Touraine et surtout ne pas nous laisser dans le flou le plus total…

L’armée fût une famille pour moi, elle ne l’est plus…

Bon courage à toi Donotach tu as l’étoffe d’un général (mais ne soit pas trop pressé et continu a donné beaucoup sans attendre rien en retour). Quand à toi LineXIV merci pour ces années de bons et loyaux services, pour ton aide sans failles et ton sens inné de l’organisation.

Quant à vous dirigeante de Touraine, oui VOUS duchesse vous auriez mieux fait de rester là ou vous étiez… Car à par de belles paroles vous êtes et rester pour moi une grande incapable… Vous ne savez écouter que vous… et quand vous commencez à vouloir entendre (et non écouter) les autres il trop tard le mal est fait… Mais c’est vrais ce n’est point votre faute…

Nous passerons également sur les capacités du capitaine des armées de Touraine… Qui a part vouloir dés son arrivée tout changer, a été le grand absent de la caserne. Elle aussi aurait mieux fait de rester dans sont bureau à la chancellerie… là bas au moins qu’elle soit présente ou non personne ne s’en rend compte…

Maintenant et pour finir juste un mot sur vous sénéchal Dragoond et sur vous vice-sénéchal Kref… Nous nous connaissons depuis combien de temps ? 1 an, 2 ans… 10 ans cela fait tellement longtemps que je ne compte plus… Comme je ne compte plus d’ailleurs mes coups de gueule ou mes coups de sang… mais nous avons en personnes raisonnables toujours su remettre les choses a plats et repartir d’un bon pied pour le bien de la Touraine…

Aujourd’hui cela n’est plus possible, même si l’armée fût pendant des années mon refuge quand dans ma vie civile cela n’allait pas, même si je sais pertinemment qu’il faut dissocier l’armée du conseil ou même de la vie hors de la caserne, je ne peux plus le faire…

Car en fait quand tout va bien être sous les ordres d’un ou d’une suprême incapable (comprendre duc ou duchesse) ne me dérange en rien, en temps de crise il en va tout autre, et on a vu le résultat….

Ensuite plus rien n’est respecté, ni hiérarchie, ni ordres… En effet l’ordre de commandement en principe est : duc/duchesse – Sénéchal – vice-sénéchal – Capitaine, etc ... etc … Bien que j’apprécie burin, Elz, hans et les autres, j’ai reçu des ordres de tout le monde, voir même un ordre et son contraire par deux personnes différentes dans la même journée… Déroutant et surtout usant à la fin…
(Moi le premier je ne respecte plus rien… la preuve je fais ce que je veux, je suis sur que demain je fonce en Anjou mettre une claque au maire de Saumur et je reviens on ne me fera même pas une remarque…)

Voilà ce que j’avais à dire, je ne me sens plus concerné par les problèmes de la Touraine et la Touraine me le rend bien…


Skippy18810245.
Linexiv
[Chinon, remparts encore des remparts, Dimanche 25 octobre 1457]

Nuit sur les remparts. Numéro, numéro… Ben elle s’en souvenait plus, faut dire que depuis plus d’un mois maintenant, elle avait le privilège de passer ses nuits à faire le pied de grue en attendant une éventuelle sortie. Ah non, elle exagérait, la dernière sortie lui avait permis de récolter une semaine de repos forcé et sa première cicatrice. Mais bon n’empêche qu’elle était toujours sur des remparts là ! Ok, fallait reconnaître que l’objectif avait changé, plus de berrichons mais parait-il des bretons. La ville aussi du coup. Chinon.

Les autres avaient eu « la chance » d’aller chasser du poussin et eux ils avaient hérité de Chinon… Enfin, fallait bien obéir et si jamais Chinon se faisait attaquer alors qu’ils crapahutaient en campagne berrichonne, ils auraient eu l’air fin… Alors…

Sauf que Line ne pouvait pas s’empêcher de regretter ceux de Loches, paraît qu’à Chinon, avec le fleuve l’air était meilleur… En été, pourquoi pas, mais en cette fin d’octobre, c’était surtout froid et humide…

Elle jeta un coup d’œil vers ses compagnons, apparemment guère de chance pour que quelqu’un ait emporté une bouteille… Depuis qu’Ellana partageait son coin de mur avec Mumbly, elle n’avait plus besoin d’y penser… Franchement, y’avait de quoi regretter Loches ! Barbe avait fait son tour et était retourné en caserne pour la paperasse en retard, ou pioncer, mais là, cette seule supposition risquait de se transformer en corvée topinambours.

Restait Donotach en pleine contemplation des ténèbres au cas où un inconscient oserait s’amener et Skippy perdu dans ses pensées un peu plus loin. Line soupira, si elle avait eu un peu moins la flemme, elle aurait pu accompagner Karl et Rhiana qui étaient partis en compagnie du reste des volontaires inspecter une poterne un peu plus loin et effectuer la liaison avec les Templiers en charge d’une autre portion. Au moins, elle aurait pu se dégourdir les jambes au lieu de fixer bêtement le noir à attendre de les voir revenir.

De longues minutes avant d’entendre le martèlement familier des bottes, dans un sourire, Line se redressa et se retourna pour annoncer le retour de la patrouille à son chef.

La phrase mourut sur ses lèvres. Si lent et si rapide, un instant qui en paraissait dix mais trop court, bien trop court pour avoir le temps de bouger ni même celui de crier. Skippy. Une seconde auparavant debout et maintenant la main tendue vers le mur cherchant un appui alors que le sol semblait se dérober sous lui. Pourquoi là, pourquoi précisément à cet endroit du parapet ? Il tomba en arrière. Un choc sourd suivit d’un bruit de dégringolade. Les escaliers.
Donotach
Donotach qui faisait le guet pas très loin au cas où des choses intéressante ce passerait entendit le vacarme sortie son épée et accourra sur les lieux.

Dame Line mais où est skippy, la voyant regarder l'escalier il cru à un attaque, prit Line et la fit couché parterre. Elle articula de peine et de misère, skippy, skippy là.

Donotach se précipita tout en restant bien sous les remparts pensant à une attaque de flèches et se rendit à skippy, son chef. Chef, vous m'entendez?

Rien, Donotach l'examine mais ne trouva aucune blessure apparente à part les échimoses due à la chute. Au moins Donotach était rassuré pas besoin de sonner l'alarme ce n'était pas une attaque.

Line, vite aller chercher le docteur, je ne sais pas ce qu'il à mais il semble respiré très faiblement. Si vous voyez sa soeur dite lui de venir aussi je crains le pire...

Puis en attendant le docteur Donotach plaça le chef dans une position plus confortable, lui enleva la partie supérieur de son armure pour qu'il puisse respirer un peu. Il lui pris le poux, il était faible mais au moins il était toujours présent.

Chef écoutez-moi, ce n'est pas le temps de partir, le docteur s'en vient et votre soeur à été appelé, aller resté avec moi. Il lui parla comme cela jusqu'à ce que le docteur arrive en fin...
Rhiana
[Chinon, remparts encore des remparts, Dimanche 25 octobre 1457]

Rhia, Karl, Lladrane et les autres faisaient leur ronde à l’opposé de la position de Line, skip et Donotach, la nuit était calme quand elle entendit courir vers eux une sentinelle
« Dame Rhiana, dame Rhiana ??? »
Il devait s’être passé quelque chose, grand Dieu pourvu que son frère et ses hommes n’est point été attaqué, elle regarda son époux
La sentinelle arrivée enfin à leur hauteur, haletant lâcha quelque mots indescriptible « Skippy, euh pardon, notre chef, votre frère.. malaise, chute je ne sais trop, venez vite Dame son état est grave, préoccupant, venez vite … »
Karl et Rhia se précipitèrent auprès de Skippy, elle s’accrocha au bras de son époux, quand elle vit son frère inanimée, étendu à terre, la respiration à peine perceptible , regard croisant celui de son époux, inquiétude se lisant , elle court auprès de son frère

Skip ? Réveille-toi, que t’arrive t-il ?

Pas de réponse, silence, elle examine son pauvre frère, la chute à du être dur, il faut l’évacuer, elle se tourne vers Donotach

Vite prenez deux hommes et conduisons le dans un lit , il est point seyant de le laisser ici agonisant , faite appelez un médicastre , qu’il vienne donner ses premier soin cite Donotach , vite de grâce, il faut le soigner

Elle se redresse et laisse les hommes le conduire à l’abri, elle rejoint Karl

Mon aimé, il faut soigner Skip, aidez moi, vous qui êtes habitué de voir les hommes blessés sur des champs de batailles, aidez moi mon aimé

Elle se blottit dans les bras de son époux, et regarde les hommes de son frère, le poser sur un brancard de fortune, Line les aidant

Vite dans la taverne la plus proche, allons pressons il a besoin de soins..
Ils prirent tous le chemin de l’auberge la plus proche ou ils laissèrent Skippy aux mains de sa sœur avant d’aller reprendre leur ronde

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Linexiv
Y’a des jours où on frisait le tragi-comique, avec plus de la moitié de ses amis soldats ou volontaires, lesquels directement embarqués pour le Berry, Line s’attendait chaque matin à recevoir des mauvaises nouvelles. Eux, après tout étaient sur un champ de bataille déclaré et pas à compter des pierres sur un mur nuit après nuit.

S’inquiéter pour P3, pour Titou, pour Hans, pour les autres ok. Elle avait fini par se faire à l’idée mais jamais elle n’aurait pu imaginer que la catastrophe viendrait à domicile.
Skippy tombé, Dono tout de suite à son chevet, s’y précipiter à son tour tout en faisant signe à l’un des volontaires de courir prévenir Rhiana.
Les paroles de Dono se voulaient rassurantes mais on manquait d’éclairage. Foutus escaliers.


Apportez une torche vite, et tant pis pour les bretons !

Euh, en fait, c’était mieux sans lumière. Livide, Line fut à deux doigts d’envoyer promener la torche en contemplant les dégâts, parce que là par exemple, elle n’aurait jamais pensé qu’il était possible d’avoir une jambe avec un angle pareil. Ce n’était absolument pas le moment de flancher mais elle ne put s’empêcher de fermer les yeux lorsque Dono se pencha pour vérifier son pouls.
La réponse de Dono lui sembla incohérente à moins que ce soit elle qui n’était plus en mesure de comprendre. Elle distingua quand même un « il respire ». Vivant. Il était vivant. Et il fallait qu’il le reste hein, un soldat ça meurt pas comme ça hein ?

Bouger. Agir. Comme moins d’un mois auparavant, d’autres remparts. C’était lui qui l’avait relevée. Situation similaire mais inversée. Pas de celles qu’elle aurait aimées vivre si vite. Pas le choix pourtant, pas de charge ennemie en face mais un résultat identique si elle ne se dépêchait pas.

Se reprenant Line orienta la torche de façon à permettre à Dono d’enlever la partie supérieure de l’armure de son chef pour l’aider à respirer. Bruits d’une course, Rhia et Karl. Son frère juste retrouvé… Cela ne pouvait pas se terminer comme ça…

Laissant Rhiana se porter au chevet de son frère, Line se releva et entrepris de chercher de quoi confectionner un brancard de fortune. Il fallait l’évacuer au plus vite, respecter le protocole même dans ce cas. Un bon moyen pour noyer son inquiétude, appliquer les ordres.
Le brancard fut rapidement constitué et le plus délicatement possible Skippy est allongé dessus.


Doucement, surtout. Direction la première taverne, la caserne est bien trop loin.

Un des soldats est envoyé quérir un médicastre sous les ordres de Rhiana tandis que lentement le cortège s’ébranla. L’aubergiste n’opposa aucune difficulté, habitué qu’il était à présent aux temps de guerre. Il fut rapidement rassuré, non les remparts n’avaient pas été attaqués, et mit sa meilleure chambre à la disposition des Val de Loire.

Et alors que Rhiana aidé de Karl s’attelaient aux premiers soins, il fallu reprendre son poste, retourner sur ces foutus remparts, la mort dans l’âme mais la défense de la Touraine passait en premier, quoiqu’il puisse arriver.

C’est en remontant les escaliers maudits que Line se rendit compte que dans l’affolement personne n’avait pensé à prévenir le Lieutenant Barbe-noir qui était surtout le frère de Skippy. Elle allait devoir s’en charger. P3 aussi.

Quelle serait sa réaction en lisant son pigeon avant l’assaut ? Il était à souhaiter qu’une si affreuse nouvelle n’arrive qu’après de crainte cela n’affecte la bonne conduite des opérations.
Rhiana
Arrivé à l’auberge Rhia appris par Efelina que le médicastre était partit, il fallait parer au plus urgent, et réduire les fracture de la jambe et du bras de skip

Efelina trouve de quoi faire des atèles, ainsi que des bandages, on va réduire ses fractures et immobilisé sa jambe et son bras

Elles se mirent à l’ouvrage toutes les deux, Rhia s’approcha du lit , uen chance Skip etait toujours dans les vap pas besoin de l’assommer quoique l’envie de le faire la tiraillait , elle avait horreur que ses frères lui fasses de tel frayeurs, pourvu que son état ne soit pas trop grave, une fois soigner elle organiserait son rapatriement à loches chez lui, là il serait mieux et bien soigner par les médicastres .
Elle regarda Efelina, le moment était venu de remettre tout en place qu’Aristote les aides, Efelina d’un côté, elle de l’autre, elles remirent pour commencer la jambe en place, un énorme crac se fit entendre et Rhia eu une douleur au cœur à ce bruit, elle attrapa les atèles et bandages et bloqua sa jambe. Il fallait s’occuper de l’épaule mais d’abord regarder que rien d’autre n’était cassé. Elle s’aperçut que des contusions important était au niveau des côtes de son frères, il devait avoir des dégâts, elle serra le torse de Skip avec des bandages pour qu’il ne souffre pas de trop et s’attela à son épaule
Elle allait avoir du mal, elle regarda, plus attentivement et par chance l’épaule était démise pas cassée, regard à son suivante, pied et main placé , un coup sec , bruit horrible mais l’épaule était en place , le pauvre heureusement qu’il était inconscient, elle ramena le bras sur son torse et lui bloqua, le pauvre à son réveil en pourrait pas bouger d’un poil, elle sourit , ça le changerait tient .

Elle remit une couverture sur son frère et alla prendre une tisane avant d’organiser le retour

Efelina , va prévenir Karl que l’on ramène Skippy avec nous, ensuite trouve un chariot et fait attelé, tu feras installé un lit de paille dès que c’est fait tu me préviendra on installera Skip et on partira pour Loches

Karl avait reprit ses ronde et elle, elle était auprès de son frère à le soigner

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