Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2, 3   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

RP "La Prise du Chateau"

SanAntonio
Voilà, j'entre dans le chateau...venez vite me rejoindre, si je suis seul la révolte ne fera pas long feu. A Moiiiiiiiiii
Siva
Sort son épée et son écu

Père,je suis derriere vous! Pour le Roy!

[d'ailleurs au passage ca manque de RP tout ca...]

Edit: [HRP: "Vous vous révoltez contre l'Ordre établi,c'est tout a votre honneur!" Yeah...]
mirakira
Jusqu'ici, Mirakira était restée derrière Siva et devant les deux hommes du groupe. Elle se sentait en sureté. Pour la prise du château, elle pensait rester derrière, servir des petits fours pour les assaillants et panser les blessures. Quelle ne fut sa surprise de voir que tout le monde s'élançait épée en main vers le château.

Zut! Il va falloir que j y aille. Heureusement que j'ai pris mon épée en bois....

Bizaremment, cette idée ne la conforta pas le moins du monde....

Heureusement que j'ai mis cette robe bien décolletée....le gardien de la porte sud va être ravie de me voir...

Arrivée à la porte sud, le gardien la laissa entrer sans le moindre signe d'opposition. Elle croyait que c'était grâce à son décolletée mais la baronne avait oublié qu'elle était conseillère ducale depuis plus de 6 mois, qu'elle avait de luxueux appartements dans le château et que tout les gardiens la connaissaient et la laissaient aller à sa guise.

Je vais aller me préparer une bonne tisane en attendant que les autres arrivent.....

Elle se retourna vers les gardiens et leur dit:

Mes braves, je suis d'humeur généreuse ce soir, venez donc prendre un verre dans mes appartements.

2 heures plus tard, les gardiens dormaient à point fermé. Elle les attacha, les cacha sous le lit et alla en chercher 2 autres.
Siva
Siva chevauchait devant ses compagnons.La nuit etait encore présente quand ilsentrerent au trot dans la capitale,et qu'ils rejoignerent un groupe a un angle de rue qui avait ete fixé.
A peine arretés,le temps d'echanger les courtoisies de base,et le groupe reparti,accompagné des autres.

Certains a pieds,prenait une ruelle en parallele,tandis que les cavaliers,eux,continuaient sur leur lancées.Une fois arrivé aux abords du chateau,le groupe se dispersa sournoisement,et de petits groupes se formerent.

Siva apercut Mira partir en direction de la porte Sud,elle ,suivait son père,vers la porte Nord.

Quand ils arriverent devant celle ci,les gardes sursauterent,réveillés par le bruit des sabots sur les pavés.Montrant leurs armses d'Hast d'un air menacant,ils peinaient a reconaitre les ombres menacantes qui s'approchaient.
Pas le temps de lancer un "Qui va là" rituel que les cavaliers fondirent sur eux.
S'ecartant de justesse,les assayants passerent la porte,pour entre dans une Cour.

Siva mit pied a terre,l'épée a la main droite,sa dague dans la main gauche,elle arborait son écu portant ses armes dans le dos.
Laissant les premiers gardes a ses compagnons,elle se colla au mur du chateau et decida de trouver une porte dérobée.

Un garde en genait l'acces,il avait entendu le fracas de leur entrée,et tenait son poste,les genoux grelottant,mais tenant fermement sa Vouge.
La Baronne se faufila et profita d'un court instant ou il lui tourna le dos pour regarder alentour,pour se planter derriere lui,baissant sa capuche pour qu'on la reconnaisse,et passant son bras armé de l'épée autour du buste du pauvre garde,elle posa dans un geste rapide celui de sa dague sur sa gorge,lui murmurant a l'oreille,
d'une vois calme mais glaciale


Si tu tiens a servir dignement l'Honneur de ton Roy,et accessoirement a ta vie,gredin,je te conseille fortement de te laisser faire,et me laisser passer...

C'est que la Baronne avait du mal a contenir sa colere depuis qu'elle avait appris la nouvelle de laprise d'otage de son époux.Cette nuit,elle executait son devoir,et ne laisserais personne lui barrer la route.Quitte a faire payer de son Ire l'inconscient qui tenterait de le faire.
Le garde acquiessa febrilement,maissant tombant son arme.La Baronne de Montmirail l'attacha donc rapidement,et s'engouffra dans la batisse

Ylalang
Il y a des traitres de toutes sortes


Ding...

Les cloches sonnèrent minuit.

Ding...

Ce fut le signal. La tension qui avait regné toute la journée allait trouver son apothéose dans les prochaines minutes. Les derniers membres du complot venaient d'arriver, ils étaient au complet.

Ding...


Pendant que les mercenaires embauchés enfonçaient la porte du Chateau, Ylalang quitta furtivement le groupes des conjurés, s'éclipsant dans une petite ruelle attenante au Chateau.

Ding...

Arrivée devant une porte en bois, dissimulée des regards curieux, elle sortit un jeu de clefs et la porte s'ouvrit sans bruit.

Ding...

Escaliers, escaliers... A gauche il y aurait un soldat. Le garde salua l'ombre qu'il avait pris l'habitude de voir passer. La jeune femme lui parla d'une voix rauque.

Ding...

- J'ai vu quelqu'un près de la porte, vous devriez aller voir.
- Ah très bien Messire, j'y vais de ce pas.

Ding...

Il passa devant elle, et elle lui fit un bete croche-pied, l'homme plongeant la tête la première dans les escaliers.
Un peu trop bruyant, mais faudrait faire avec.

Ding...

Quelques secondes pour s'assurer du silence. Bien. Elle reprit sa route.

Ding...


Encore des couloirs. Cette fois-ci elle avait pris la peine de reperer le trajet pour ne pas se perdre.

Ding...

Elle arriva devant la dernière porte menant au Conseil. A première vue Mirakira avait bien oeuvré, il ne restait plus aucun garde valide.

Ding...

Elle sortit une clé, et déverrouilla la porte de chène, rempart bien dérisoire désormais. Elle s'adossa à un mur, les bras croisés, attendant désormais l'arrivée des conjurés.

Ding...

Les révoltés penètrerent dans le chateau. C'etait presque trop facile.
Ils y étaient. Ils l'avaient fait.

Le Chateau de Reims tombait pour la seconde fois.
oksana
Oksana, chevauchant son fidèle destrier, l'épée en l'air, les cheveux au vent, suivit ses compagnons au galop, ne prenant même pas le temps de piquer une tranche de saucisson au vicomte Melani.



Edit d'Yla : Je crois que c'est mon RP préféré

_________________
Lieutenant et ex-mairesse de Clermont
Ex-Prévost de Champagne
Catheolia
Elle avait répondu à l'appel d'Yla, sans faillir. Catheolia attendait que les cloches sonnent pour s'élancer, à la mesure de ses faibles moyens, vers le château en compagnie des autres conjurés.

Les portent s'ouvrirent... Et tous s'élancèrent dans un même élan...
Jesrad
Jesrad entendit des bruits de sabots et des murmures dans la rue. Il avait choisis de dormir dans un hôtel proche du lieu de rendez-vous des insurgés. Il avait passé une soirée agréable, en agréable compagnie, la nuit fut également agréable, et cette rémoise à ses côtés dans le lit … agréable aussi. Mais les bruits à l’extérieur le rappelèrent à la réalité.

Ah mince ! La révolte ! Non, encore 5 minutes maman !

Soudain, les pavés se mirent à raisonner sous le choc des sabots, les cavaliers avaient talonnés leur monture pour monter à l’assaut du château.


Et voilà ! j’suis en retard, je vais être obligé de courir.

Jesrad réunit ses guenilles éparpillés, les enfila, sauta dans ses chausses.

Au revoir ma belle, le devoir m’appelle.

Il dévala les escaliers de l’hôtel, croisa l’aubergiste à qui il lança un écu en paiement de la chambre, puis fonça au point de rendez-vous.
Les autres révoltés se dirigeaient déjà vers le château. Au pas de course, il rejoignit un petit groupe qui s’engouffra dans la porte nord derrière la brèche ouverte par la charge impressionnante des cavaliers.

Les voilà dans la cour, ces braves émeutiers. Déjà ils entendent les gardes accourir de tout côté, prêt à les encercler. Pendant que les meneurs cherchaient à se faufiler dans le château, Jesrad et d’autres mercenaires s’occupèrent des gardes à l’extérieur. Les coups d’arme d’hast pleuvaient sur son bouclier, et son bâton avait du mal à percer les défenses adverses ; la technique qu’il décida d’adopter : viser les genoux, plus d’un fut brisé ce jour-là.
mirakira
Bientot, il n y eut plus de place sous le lit et Mirakira était obligée de les cacher dans sa salle d'eau.

Elle avait triplé la dose de Millepertuis et Valeriane. Les soldes étaient assomés à peine 10 minutes après la première gorgée. Elle n'avait même plus le temps de faire joujou avec eux. Quel gâchis!

Le passage jusqu'en salle de réunion était à présent libre. Il fallait à présent s'occuper des conseillers....tisane? ou laisser les autres leur refaire le portrait? Quel cruel dilemme...
Melani
Les conjurés s'apprêtaient à prendre le château, et rien ne semblait pouvoir s'opposer à eux. Se retournant vers ses compagnons, le Vicomte leur adressa un sourire malsain.

Mes amis, cette nuit sera un grand jour !

Puis d'éclater d'un rire sinistre.

À l'intérieur du château.

Allant sur son propre chemin, comme chacun, Melani avançait prudemment dans les couloirs, préférant éviter un contact direct avec les gardes. C'est au détour d'un corridor qu'il en vit deux, posté un peu plus loin. Le Vicomte sourit, revint en arrière de quelques pas, puis ouvrit une petite remise. Il écarta la tenture qui cachait la parois du fond et poussa la partie basse du mur, qui pivota, laissant assez de place pour s'y glisser. L'Italien referma le faux mur, s'avança dans le passage secret, descendit quelques marches d'escalier, et remonta à une échelle surplombée par une trappe, qu'il ouvrit, pour arriver dans un tonneau vide, derrière une armoire.

*Chouette, les cuisines. Moi qui venait de terminer mon saucisson, ça tombe bien.*

Inspectant le garde-manger ducal, le Vicomte se fit une petite sélection, qu'il entassa dans un panier, avant de ressortir par la porte (officielle)... et de se souvenir de l'existence des deux gardes qu'il avait évité et qui se trouvaient maintenant devant lui, mais de dos. L'Italien déposa donc doucement ses victuailles, sortit silencieusement ses dagues et les assomma avec les pommeaux. Vérifiant qu'ils avaient leur compte, il les traina dans le garde-manger.

Bon, les gardes c'est fait, les vivres, c'est fait, ne reste plus qu'à se rendre à la salle du Conseil et retrouver les autres !
Jesrad
Furtivité, rapidité … Les assaillants profitaient des ombres de la nuit et de la légèreté de leur équipement pour prendre le dessus sur les gardes lourdement armés.

Il y en a eu bien peu, où se trouvent donc les autres ?

Quand l’aube se leva, la cour était nettoyée. Une estafilade sur l’épaule gauche
Qui a proposé de panser les blessures déjà ? Ah oui, ça me revient tracée dans la chair par la pointe d’une vouge, empêchait Jesrad de tenir correctement son bouclier, qui de toute façon avait subi trop de dégâts pour fournir une protection efficace. Abandonnant là cet inutile soutien, il pénétra dans le château, les couloirs du rez-de-chaussée étaient déserts, ou plutôt encombrés de gardes inanimés.

Le ménage laisse à désirer ici.

Jesrad savait que la prochaine étape était la salle du conseil, là il retrouverait sûrement quelques uns de ses rebelles compagnons.

Mais où donc qu’elle est s’te maudite salle.

D’instinct, Jesrad suivit la file de corps inertes qui jonchaient les couloirs et les pièces attenantes.

Pas de trace de combat, j’ai l’impression qu’il a des gens moins bourrin que moi pour éliminer les gardes.

Des sons métalliques et le bruit sourd de corps heurtant le sol résonnaient entre les murs, indiquant ainsi qu’on se battait encore quelque part.
Siva
[Interieur du Chateau: Perdue dans le dédale.]


Siva s'etait faufilée a travers les couloirs.Ce Chateau etait decidement un vrai labyrinthe,et son statut d'Ambassadeur Judiciaire,ne lui avait jamais permis l'acces a certains etage reservé a ce qu'on appelait les "Hauts Conseillers".Agacée d'ainsi se perdre dans le dedale d'escaliers et de couloirs,evitant en deviant sa route le plus de gardes possibles,elle fit une halte au bout d'un moment,posant les mains sur ses hanches quand elle se trouva face a un croisement de deux couloirs.

Bon sang! En d'autres circonstances,j'aurais chanté les louanges du genie de l'architecte de ce Chateau,mais là,ca en devient prodigieusement agacant!

Jetant un rapide coup d'oeil aux couloirs s'offrant à elle,elle decida de suivre son instinct qui la guida dans le plus sombre.
Ses pas se faisait le plus discret possible.Avantagé par son statut de femme,qui ne lui permettait pas de porter d'autres protection que celles en cuir,bien plus discrete,et demandant moins de soins,elle vit les lueurs de torches accorchées au mur.
Tapie dans l'ombre,elle apercut une silhouette qui lui etait familiere s'engouffrer dans une piece.Decidant de suivre un des conjurés qui venait d'y entrer,elle resta hebétée,en penetrant a son tour,de ne voir personne.
Grattant sa tête d'un air dépité,avec le pommeau de sa dague,elle soupira


Allons bon,si en plus on peut passer au travers des murs...me voila bien...

La Baronne ne cessait de raler,quand un bruit sourd se fit entendre dans le couloir.Passant la tete dans l'entrabaillement de la porte,elle vit deux gardes au sol.S'approchant doucement,elle observa les corps assomés,et haussa les epaules.Suffisait de suivre la piste du Vicomte,la tache ne serait pas aisé.

A peine reprit elle son chemin,enjambant les gardes,qu'elle entendit des bruits de pas lourd.Se collant au mur,elle apercut bientot un garde venir dans sa direction.Siva leva alors les yeux au plafond,en marmonnant de nouveau


Bon sang,elle ne les a donc pas tous neutralisé? La connaissant ,elle aurait du avoir la mains lourde sur la Valeriane et le Millepertuis pourtant...A moins que ses charmes fassent moins d'effet qu'elle ne le pensait...

Un sourire au coin des levres,elle resta un court moment songeuse.Ce qui eut bien failli lui couter la vie.Le temps d'entendre siffler une lame dans l'air,qu'elle eut le reflexe salvateur d'en devier la trajectoire par son épée.Profitant de l'elan du garde qui le destabilisa,Siva fit un pas de coté,et lui assena un coup avec la garde de son épée,laissant le garde plonger au sol,asommé.

Hochant la tête d'un air satisfait,n'ayant pas eu a oter une vie,mais ayant fait payé l'affront que le brave lui avait fait,elle passa sa main sur son épaule,dans un geste de dépoussierage imaginaire et repartit,le tête haute,en quête de la Salle du Conseil.
Ylalang
A l'entrée du Conseil Ducal, Ylalang commençait à s'impatienter. Ils s'étaient donc tous perdus en route ? Pour une fois que ce n'était pas elle...

Elle réprima un baillement, ce n'était pas le moment de faire le sieste. Elle alla s'installer tranquillement dans un fauteuil destiné aux invités en attente de rendez-vous, les pieds posés sur une petite table basse, et décida de se reposer les yeux en attendant que tout ce petit monde arrive.

Allez, quelques minutes de détente, rien de grave, ils n'y verront que du feu...
Ca ne posera auc... zzzzzzzzzzzzzzzz...
sevria de marbeuil
devant le chateau

Sevria arriva un peu après...les gardes de l'entrée étaient déjà partis..aussi elle rentra rapidement dans ce chateau qu'elle avait déjà fréquenté à trois reprise.

Sans trop de problème, elle suivi la piste tracée par les gardes assommés assurément le breuvage hypnotique de Dame Mirakira faisait des merveilles, certains ronflaient même.
Assurément le vicomte avait du vouloir se rendre dans le bureau du duc directement...

elle se demanda s'il ne serait pas bien d'aller voir du côté de la salle des conseils voir ce que cela donné.

elle vit une silhouette au loin...un allié surement Jesrad d'ailleur, mais prudente elle s'abstint de le héler et continua à avancer.

Elle été la seule à ne pas avoir été armée, en tant que Diaconesse, aussi pria t'elle tout le long et montra ostensiblement sa croix de diacre afin qu'on ne vienne pas la frapper.



Par arisote, pourvu que tout le monde arrive vivant...sinon je vais encore devoir faire des messes "aux morts"

Arrivé devant la salle du conseil, elle vit la vicomtesse de Beaurepaire, qui attendait les yeux clos
assurément elle aussi avait retrouvé son chemin sans trop de souçis...étonnant d'ailleurs quand on connait son légendaire sens de l'orientation
MasterJ
Le vicomte,qui s'était levé fort tôt, fit le trajet de sa demeure de Reims au chateau. Il n'alla même pas ouvrir les portes de la ville à ses confrères, sachant que les gardes n'étaient pas en poste en ce jour. Il avait habilement rusé, et le conseil était tombé dans le panneau, laissant ainsi au vicomte le droit de révolter. Bref, il entra rapidement dans le chateau, et avança en ces lieux bien connus, se dirigeant vers la salle du conseil.

Bon sang ! Mais où sont donc tous les gardes ? Ne m'en auraient-ils laissé aucun ?
Si c'est le cas, ça va barder pour eux ! Je ne me suis point levé si tôt pour autant d'inaction...
Ah des silouhettes devant la porte du conseil... Esperons qu'ils ne soient pas de mon bord, mon bras me démange grandement...
See the RP information <<   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)