Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Visite de la Comtesse de Provence, Dame Ledzeppelin en Arles

(RP) Deux Comtesses en ballade

Ledzeppelin
[Chateau d'Aix il y a trois jours]

La Comtesse de Provence avait du travail par-dessus tout ce qu'on pouvait imaginer. Mais une fois les brigands hors des frontières, ceux du dedans sous surveillance et les frontières fermées, elle pouvait s'accorder un répit.

La Comtesse de Valréas, le prévôt, autrement dit Dame Hersende entre dans la pièce. Elle vient par deux fois grâce à sa vivacité et surtout sa ténacité à sauver une Mairie du pillage.


- Je vais partir quelques jours en Arles Led. Le Lieutenant de police a démissionné et je vais aider le sergent Doriane.

La Comtesse eut de la peine à cacher son envie. Toujours enfermée dans ces bureaux, les rares fois ou elle met le nez dehors c'est pour des pourparlers qui tournent en rond avec des ambassadeurs. Elle se souvient du bon vieux temps de la mobilisation. Formée dans la lance du Maire de Brignoles elle chevauchait avec le autres, cheveux au vent pour rejoindre l'armée "Liberta" aux frontières.

Quand donc aurait-elle le temps de connaître un peu SA Provence. Elle se met à rêver des champs d'oliviers, d'un autre chant encore, celui des cigales. Arles est aussi la ville ou elle a plein d'amis. Il y a son amie Maitwess bien sûr, son parrain Castel, leur collègue du Conseil et Mairesse Dame 4Vi, son autre amie la boulasseuse de première Archy. Et puis il y a surtout tous ces jeunes nouveaux arlésiens avec lesquels elle a eu des contacts par écrit pour les cartes du verger. Il y a d'abord Messire Reiner et aussi Dame Sucetteaunutella. L'ancien Brignolais venu tout exprès en Arles pour y tenir la douane, Cabalero.


- Tu as envie de venir ?

Hersende en souriant lui a posé la question .... dont elle connaissait d'avance la réponse.

- Tu me demandes si j'ai envie de venir ? Mais bien sûr que j'ai envie de venir ! Plutôt deux fois qu'une.

Après un voyage durant lequel elles essayèrent, sans résultat, de débusquer le brigand qui sévit sur le noeud d'Avignon, elles arrivèrent cheveux au vent en vue des fortifications d'Arles. Un homme à cheval donnait de l'exercice à sa monture près de la grand'porte de la ville.
_________________


plus jeune, plus fougueuse, plus dynamique, plus emportée aussi; son moteur est la passion, et "elle en a sous le capot" [Thranduill]
Reiner
Débouchant des remparts et atteignant la porte, le jeune cavalier fit halte en découvrant l'approche des nobles dames.
Il sauta prestement de sa monture, ramena les rênes à lui et mit respectueusement genou au sol.


"Dames, c'est un grand honneur et un véritable bonheur que de vous voir ici.
Rien ne nous avait laissé présager... par mesure de sécurité, j'imagine.

Je suppose que vous devez être attendues par notre mairesse, je ne vais donc pas vous bloquer le passage plus longtemps.
Permettez que je suive votre cortège pour pénétrer en nos murs, non pas qu'il y ait danger mais je ne pourrais guère me dévouer à plus noble cause aujourd'hui."


Le jeune homme s'incline avant de se relever et d'apostropher un manant aux abords.

"Toi, cours vite prévenir, que les cloches retentissent. Et annonce la nouvelle, notre comtesse et dame Hersende sont en Arles. Va vite."

Reportant son attention vers les noles dames, il se recule légèrement pour leur céder passage et prendre leur suite.

_________________

Rêveur de Noves - Entre Rhône et Durance
Vivivivi
Viviane del Pegasus qui trainait encore dans les bureaux du chateau d'Aix une foule de documents à la main pour la comtesse rentra, sans frappé étant donné que ces mains étaient pleine dans le bureau de la comtesse.

Elle entendit la fin de la conversation et se permit de réagir :


Ledz, Hersende, ca me ferait vraiment plaisir de vous voir dans mon "fief".
Cette petite terre de Provence plus proche du Languedoc que des autres villes de Provence.
Cette terre où, chaque habitant vie pour sa patrie, où l'entraide à permis en moins d'un mois de rétablir l'équilibre sur le marché.

Une ville PROVENCALE où il fait simplement bon vivre.

Juste une petite correction par rapport à vos dires mes comtesses, Doriane n'est plus à son poste de sergent.
Néanmoins, c'est avec force que les Arlésiens ont réagit aux postes vacants et j'espère que le plus possible arriveront à devenir policier.
Sucetteaunutella
La nouvelle de l'arrivée de la Comtesse et de Dame Hersende se répandit comme une trainée de poudre dans le village.
Su, qui était à ses fourneaux, abandonna prestement ses miches de pain, enleva son tablier, s'essuya les mains car elles étaient pleines de farine, se repeigna rapidement, attrapa un épais châle bien chaud et sortit en courant.

Elle repéra facilement l'imposant cortège et aussi Reiner, juste derrière la Comtesse. Su s'avança plus près et fit une petite révérence, les yeux baissés, intimidée par les deux femmes.


- Madame la Comtesse ! Dame Hersende ! Je suis enchantée de vous rencontrer. Je me présente, je m'appelle Sucette au Nutella, dite Sucette ou encore Su. Je suis Responsable du verger.
Je vous souhaite la bienvenue dans notre belle ville, j'espère que vous avez fait bon voyage.


Su se releva et se poussa pour les laisser passer.
Reiner
Reiner sourit en voyant arriver Su. Son savoir-vivre ne le surprit guère mais il en fut très fier.
Aussi fier que d'être dans le cortège des nobles dames.
Discrètement, il envoya un sourire et un petit baiser à sa belle au passage.
Nul doute que tous deux se plieraient en quatre pour marquer cet événement.
Se ravisant, puisque la mairesse accueillait ces dames, il prit un tout petit peu de recul et revint vers Su.
_________________

Rêveur de Noves - Entre Rhône et Durance
Suniva
Elle avait quartier-libre. Son service de milicienne était terminée pour ce jour-ci.
Elle courrait, courrait... Main posée sur le pommeau de son épée, son bouclier passé à l'épaule lui battant le dos, elle courrait...


" - Edwald... Faut que je prévienne mon tendre... Nettoyer la taverne, tout préparer pour le cas... Pourvu qu'il soit derrière son comptoir... pfffuuuu, pfuuuuu... "


Elle rejoignit le cortège, le longea tant bien que mal toujours courant. Aperçut du coin de l'oeil Reiner et non loin de lui Su.
Suniva ralentit sa course afin de les saluer, la tête tournée vers eux. Et c'est l'incident. De ceux qui vous marquent toute votre vie pour la honte qu'ils génèrent. Un corniaud, langue pendante passait par là se trouvant sur la route de la jeune femme et inévitablement, la fit tomber...

Bras qui s'élèvent tentant de rétablir un équilibre très compromis et c'est la chute, glissade comprise jusqu'aux pieds de la Comtesse. Résultat : Une Suniva allongée sur le ventre, son bouclier la recouvrant en partie. Qui prête l'oreille pourra entendre...


" - Grmmmbbbllffffff... Qu'est ce qui s'est passé par les chausses de mon père !! Palsambleu !!"


Tête couverte de boucles auburn émerge lentement du bouclier. Les prunelles noisette remontent lentement, la bouche se crispe en une grimace qui se veut sourire...


" - Argggghhhh... Pardon noble Dame... Je crois que j'ai... hum... un peu trébuché..."

_________________

Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
Ledzeppelin
A peine les tentes montées à l'orée de la ville que le cavalier entraperçu vers les remparts galope dans leur direction. Les étendards claquent au vent du matin.

La Comtesse de Provence s'abritant les yeux derrière sa main en visière admira les abords de la ville.



- Ainsi donc nous voici en Arles. Quelle belle ville que voici ! Tu sais Hersende ! Je suis bien contente d'être venue. Je sais que tu n'avais pas forcément besoin de moi içi, mais je ne veux plus être cette Comtesse-potiche qu'on sort juste pour la montrer quand c'est Fête. J'avais besoin de venir parler avec les gens.

Mais regarde qui vient à notre rencontre ! C'est Messire Reiner, une charmante personne rencontrés durant son séjour à Aix


Avec un grand sourire la Comtesse de Provence incline la tête devant lui.

Reiner a écrit:
"Dames, c'est un grand honneur et un véritable bonheur que de vous voir ici.
Rien ne nous avait laissé présager... par mesure de sécurité, j'imagine.

Je suppose que vous devez être attendues par notre mairesse, je ne vais donc pas vous bloquer le passage plus longtemps.
Permettez que je suive votre cortège pour pénétrer en nos murs, non pas qu'il y ait danger mais je ne pourrais guère me dévouer à plus noble cause aujourd'hui."


Messire Reiner ! je vous remercie de votre accueil chaleureux. Nous ne voulions en effet pas venir avec une trop grosse escorte, ce qui nous a obligées à ne pas crier notre déplacement sur les toits.

Suivie de la Comtesse Hersende, de Messire Reiner heureux de galoper avec eux et de l'escorte qui les accompagne elle se dirige vers l'entrée de la ville. Les cloches se mettent à carilloner à leur entrée.

Une très jolie femme se tient à l'entrée et les salue


Sucetteaunutella a écrit:
- Madame la Comtesse ! Dame Hersende ! Je suis enchantée de vous rencontrer. Je me présente, je m'appelle Sucette au Nutella, dite Sucette ou encore Su. Je suis Responsable du verger.
Je vous souhaite la bienvenue dans notre belle ville, j'espère que vous avez fait bon voyage.


Ho ! C'est donc vous ! Nous avons échangé quelques courriers très sympathiques et j'espérais bien vous rencontrer, je suis ra-vie. Nous avons fait un excellent voyage, je vous remercie. Nous sommes très heureuses, la Comtesse de Valréas et moi-même de venir dans votre ville. Votre Mairesse nous en parle souvent et si Dame Hersende a le privilège d'être déja venue, je n'ai pas encore eu ce privilège pour ma part. Joignez-vous au reste du cortège voulez-vous ?

dit-elle après avoir remarqué le sourire complice que lui a lancé Messire Reiner.

Le cortège redémarre quand soudain un ... corniaud fit tomber une personne qui approchait pour les saluer. Ce fut un tintamarre d'acier entrechoqué et de cris :


Suniva a écrit:
" - Grmmmbbbllffffff... Qu'est ce qui s'est passé par les chausses de mon père !! Palsambleu !!"


Led saute de son cheval et s'approche, de sous un bouclier tout cabossé apparait une masse de longs cheveux auburn.

Suniva a écrit:
" - Argggghhhh... Pardon noble Dame... Je crois que j'ai... hum... un peu trébuché..."


- Hum ! Vous avez même beaucoup trébuché ce me semble ... dit la Comtesse en souriant et en l'aidant à se remettre sur pieds. Dame Hersende sur son cheval riait en voyant cette jeune dame toute confuse et ... à la langue si bien pendue.

- Vous ne vous êtes pas fait mal au moins ?
_________________


plus jeune, plus fougueuse, plus dynamique, plus emportée aussi; son moteur est la passion, et "elle en a sous le capot" [Thranduill]
Suniva
Une des nobles Dames saute de sa haquenée et vient au secours de Suniva qui s'empourpre, honteuse tout à coup, de sa situation. Regard implorant va vers Reiner et Su, alors que Ledzeppelin s'adresse à elle et l'aide...

- Hum ! Vous avez même beaucoup trébuché ce me semble ...
- Vous ne vous êtes pas fait mal au moins ?


" - Mal ? Nan. Nan... je ne crois pas...."


Tout en se relevant, la jeune milicienne réajusta tant bien que mal cuirasse, et baudrier et remit à sa place son bouclier qui avait mauvaise mine pour l'heure. Tout en s'activant, elle ne put empêcher son regard de se poser sur les montures des voyageuses. Elle avait devant les yeux de magnifiques bêtes et c'est alors que ses yeux tombèrent sur des armes qui ne permettaient aucun doute. Cette couronne...


" - Arrrrhhhhhh.... Cré nom ! Par tous les pommiers normands vous êtes notre Comtesse !!! "


Se rendant compte en le disant de l'importance de la personne à laquelle elle s'adressait, Suniva plongea dans une révérence maladroite du fait de ses armes. Spectacle cocasse s'il en est de voir ainsi altière jeune femme en armes rendre hommage à la Régnante de Provence comme si elle était vêtue des atours d'une des Damoiselles de la Cour... La grâce en moins.


" - Je... Je.... J'suis confuse, votre heu... humm... Grâce ? Chez nous, c'est c'qu'on dit quand on s'adresse au Grand Chef de Normandie... Chais pas, si c'est comme ça, ici... Pardonnez-moi si je me suis trompée.. Mais acceptez mes humbles excuses... Et, hum... La bienvenue en Arles, Dame Comtesse."


La jeune expatriée, cherchait un trou de souris et n'osait plus relever les mirettes vers celle qui semblait s'amuser de la situation.

_________________

Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
Castelorazur
Enfermé au premier étage de ‘La Gnole’, Cast griffonnait divers papiers. Ce n’était pas l’occupation qui manquait, entre ses activités au Conseil Comtal et à l’Ordre Teutonique. Sans oublier sa tâche de Diacre, à laquelle il revenait de temps à autres…

Alors qu’il était en plein effort calligraphique, il fut déranger par un tambourinement, qui fit trembler la porte de la chambre transformée en bureau.


Qu’est-ce qu… ?!

Messire Mateù ! Messire Baron ! Elle est arrivée !!

Elle ? Qui donc pouvait bien … Ahhh, elle !


Il bondit alors de son siège, et attrapa au vol un vêtement plus habillé. Il manqua d’expédier le messager dans les escaliers en ouvrant la porte.

Sans ralentir l’allure, il envoya une pièce au gamin, en remerciement de la course.

Arrivé au rez-de-chaussée, il beugla un ordre à Aliénore, planquée derrière son comptoir. Elle serait chargée de faire part de la sortie de Mateù à la patronne.

Une fois sur le seuil de l’établissement, Cast se rendit compte qu’il ne s’était même pas renseigné quant à l’endroit où la Comtesse était apparue…


Bah… Une petite promenade jusqu’à la place de la ville ne fera pas de mal, je suppose que le cortège comtal passera dans les parages…
_________________
Rixende
Rixende s'était aventurée au coeur du village, cherchant désespérément âme qui vive.

Mais c'est pas possible où sont ils donc tous passés?
Je sais que le village est un peu vide mais quand même y'a toujours un peu de monde quand même
.

Elle marchait tête baissée en tapant dans un cailloux elle passait le temps ainsi.
Après tout quand il n'y a personne on s'amuse de peux.
Un coup, elle rattrape le cailloux, deux coup, elle rattrape le cailloux, trois coups, elle rattrape....

Elle lève la tête le cailloux venait de percuter le mollet d'une femme qui se trouvait devant elle
.

Oh j'ai trouvé quelqu'un...

Regard de droite et de gauche elle devient rouge écarlate.
Elle n'avait pas trouvé quelqu'un mais plein de monde qui entouré une femme qui en relevait une autre.
Elle fixe la femme de dos la même qui venait de manger son cailloux.
Cheveux auburn, bouclé qui voletait au vent
.

Oh diantre, je vais encore passé un sale quart d'heure.

Tête baissé elle s'approche.

Scuse moi Suni, pour le cailloux, j'ai pas fait exprès, je cherchais....
C'est qui tout ces gens?


Elle fixe la dame qui se trouvait devant Suni et celle qui se tenait juste derrière toujours grimpé sur son cheval et d'un hochement de tête montre à Suni de qui elle parlait par tout ces gens.
Après tout elle les connaissait tous sauf elles
.
_________________
Vivivivi
4VI, du haut de son perchoir à la mairie, elle pouvait suivre l'avancé de la comtesse illustre.

Elle se remémora l'époque au dame Ledz était mairesse d'Aix et où 4VI lui avait proposé son aide dans la gestion de la (à l'époque) nouvelle capitale de la Provence.

Elles avaient toutes les deux fait du chemin depuis lors et, sans le vouloir, chacune de leur coté elles avaient fini par arriver au conseil comtal.
L'une chez PURE, l'autre à l'AP,... mais le maitre mot restait la Provence.
Encore et toujours pour cette magnifique Provence libre que nul François et encore moins le Roy, sa majesté Levan ne pouvait prétendre.
Après plus de deux ans de liberté, cette Provence là était devenue bien autonome. Avec des alliés, des traités avec d'autre comté/duché.
Des aides militaires avec d'autre pays et même financière lorsque le chateau de Languedoc était tombé.

Cette Provence qui aujourd'hui dressait fièrement la tête malgré que de fourbes brigands usaient la patiance des membres du conseil comtal en attaquants différentes les unes après les autres,...
Ces même brigands qui se trouvaient en Languedoc, en Italie,... ceux la même que l'armée avait déjà rencontré et vaincu, ceux là même qui criait au loup pour capté notre attention peut-être dans l'espoir d'une fourberie,....
Mais nos Armées, nos maréchaux, nos miliciens, nos Hérauts, tous étaient là pour défendre cette belle contré. Tous étaient là pour la Provence et aujourd'hui, il était heureux de pouvoir croisé la comtesse dans les belles rue d'Arles.
Là où le sang avait déjà coulé, là où des discours politique avait fait se vider multitude de tonneaux de bière, là où, un soir le chef de la police Arlésienne avait usé de fourberie pour destituer le vi-comte Snake de son poste de maire à l'aide de son complice Barbebleu.
Cette ville avait une histoire. Si ces rue pouvait parler, nombre d'enfant manqueraient l'école pour venir les écouter,....

4VI sorti de sa rêverie lorsqu'elle vit un COA sortir en trombe de chef lui,... Il avait du être prévenu de l'arrivé de la comtesse.
Elle pouffa de rire en le voyant regarder à gauche et à droite. Visiblement, il ne savait pas où il devait se rendre.

4VI bu une dernière gorgé de ce magnifique rosé de Provence, une bouteille qu'elle avait dérobé dans les réserves de la mairie.
Elle alla mettre sa nouvelle houppellande et se diriga vers la porte de la mairie.
Elle était certaine que la comtesse s'arrêterait devant se magnifique bâtiment qui faisait notamment la fièré de sa belle ville.

s'adressent à son pelefrenier :

Fits, va guérir de l'aide et monte 4 tonneaux de vins de la cave de la mairie.
Va chercher 2 taverniers qu'ils viennent aider à servir les Arlésiens.
Vous mettrez les tonneaux devant la mairie.
4VI lanca une bourse d'Or à l'enfant. Et après ca, file à l'école !
_________________


Nouveau membre de l'AP
Ex membre de la Féolig, le MRP et PURE
Suniva
"AiiiieuuuHHHHhhhh !!!"

La confusion qui empourprait les joues normandes de Suniva fit place soudain à une expression de douleur surprise. La jeune femme en oublia à qui elle parlait pour se tourner vivement, tombant nez à nez avec Rixende qui affichait sa mine niaise des grands jours.

Baissant les yeux vers son mollet, la milicienne se rendit compte qu'une petite plaie saignait. A ses pieds un caillou de bonne taille semblait la narguer.

Froncement de sourcil. Regard interrogateur et courroucé vers Rixende. Les mots colère fusent.


" - Nan mais !!! Ça ne te suffit pas de m'empêcher de dormir, faut aussi que tu essaies de me blesser ?!! Je te croyais au marché !!!"


Se souvenant soudain de qui lui faisait face un instant plus tôt, Suniva se tourna à nouveau vers la Comtesse. Tout en baissant humblement les yeux... et le ton, elle tenta une explication...


" - C'est Rixende, Noble Dame... La sœur de mon compagnon... Faut pas faire attention, elle passe son temps à nous rendre la vie impossible... "

_________________

Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
Hersende
Hersende après ce voyage au cours duquel elle avait pu contempler avec délices les paysages provençaux, même empêtrée dans sa tenue de chef d'armée qu'elle trouvait parfois lourde à porter, appréciait d'avoir atteint le but de leur voyage.

Une fois de plus, elle avait pris la route sans escorte, malgré les froncements de sourcis des gardes. Mais son amie la Comtesse Ledzeppelin partageait son point de vue : elles se refusaient à vivre toutes deux cloîtrées et aimaient leur liberté de mouvement. Et puis à deux, elles composaient une mini-armée...

Preuve qu'Aristote les avait protégées : elles n'avaient fait aucune mauvaise rencontre et se trouvaient aujourd'hui dans les rues d'Arles, beaucoup plus animées qu'Hersende se les rappelait depuis sa dernière visite.
Elle était pourtant restée plus d'un mois en Arles mais avait rencontré très peu de monde. Les tavernes en mai-juin étaient souvent vides et elle avait eu l'impression de ne pas être la bienvenue quoiqu'elle fût venue pour les mêmes raisons qu'aujourd'hui : essayer de remonter le poste de police d'Arles.

L'accueil d'aujourd'hui était beaucoup plus agréable. Messire Reiner les avait salué fort aimablement dès leur arrivée aux portes de la ville et Sucetteaunutella qu'elle n'avait eu l'occasion que de croiser auparavant se montrait très chaleureuse. Ledzeppelin avait même aidé à se relever une jeune femme tombée aux pieds de sa monture, et dont la confusion en comprenant qui était venue à son secours avait fait sourire Hersende.

La scène qui suivit entre la jeune femme et celle qu'elle leur présenta comme sa belle-soeur détendit un peu plus l'atmosphère.

Bonjorn à vous! dit Hersende en saluant Messire Reiner et les trois jeunes Arlésiennes. Nous sommes bien heureuses d'arriver en Arles, mais un peu lasses, en vérité. Cette armure n'est pas des plus confortable pour bivouaquer et j'avoue que j'apprécierais de m'en défaire. Pourriez-vous nous indiquer une bonne auberge?
_________________
Hersende de Brotel, Còmtessa de Valréas
Reiner
Reiner lança un clin d'oeil complice à Suniva et Rixende.
C'était peut-être le moment d'offrir une renommée à la nouvelle auberge d'Edwald.
Il irait lui-même volontiers y dîner, la faim commençait à se faire sentir.
Bien sûr, il emmènerait Su. A son regard, il comprit qu'elle serait d'accord.
Tout ceci ne lui fit tout de même pas perdre de vue la sécurité des nobles dames.
Son regard se portait partout aux alentours. Sa main demeurait proche de son épée.

_________________

Rêveur de Noves - Entre Rhône et Durance
Suniva
Et voila que la seconde Dame s'adressait à son tour à elle. Suniva l'observa un court instant. Reluqua les armes et le tabar. Hum... Un Prévost... Le Prévost. La jeune femme se remit à penser à l'objet premier de sa course : Prévenir Edwald. Surtout qu'on lui demandait conseil pour indiquer une auberge...
Abandonnant un instant Rixende et la Comtesse de Provence, Suniva se tourna vers Hersende. Affichant un sourire engageant, elle lui annonça...


" - Et bien !!! Par la Malemort... Je crois bien avoir à dire merci à ce chien qui arrêta ma course à vos pieds, Noble Dame... Vous voulez une taverne bien tenue, j'en connais une. C'est la mienne... Enfin celle de mon Compagnon... mais comme c'est mon compagnon c'est aussi la mien... Humm.. Pardon, je m'égare... Elle s'appelle "Le tas de Coquilles" et nous venons juste de l'ouvrir aux voyageurs. Alors si le coeur vous en dit... J'ai fait de la tarte aux pommes juste avant d'aller prendre ma garde sur les murs. Si vous voulez me suivre, je vous y emmène bien volontiers."


Suniva termina sa tirade sur une inclinaison déférente du buste plus en rapport avec sa tenue de milicienne et surtout moins ridicule. Adressa un sourire qui aurait pu passer pour du triomphe à Reiner et se tourna vers Rixende.


" - File en courant prévenir Ed que je lui amène du monde. Qu'il vire les pochtrons et donne un coup de chiffon. J'aimerai quand même que la Coum de Provence garde un bon souvenir d'Arles. Allez file, boudiou !!"

_________________

Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)