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[RP] Le marché ....

Zely
Zély revenait se faire un tour sur le marché pour y acheter un seau .

Le marché regorgeait de maïs, de blé, d'habits, de lait, d'armes de guerre ....mais pas un seau !!!!!!!!

Qu'allait devenir mes vaches dont les mamelles étaient si énormes ... !!!

Elle ne pouvait même pas embaucher "un humble" en cette journée ... le matériel manquait !


Si seulement il y avait eu un simple seau !!!

[b]Pas de seau, pas d'embauche pour traire, pas de fabrication de fromage, donc en plus elle allait semer mon champ de maïs ...


2 embauches de perdues pour un simple seau !!!!!!!!!!!!![/b]

C'est dommage ... d'avoir pénurie et surplus pour certains produits


Balise ajoutée, merci de ne pas oublier les règles la prochaine fois.
Censurément,

{Pharnakes}

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Alienor.1
Alienor revenue du marché elle apperçu une dame comme qui dirait agacer, elle l'entendait parler de seaux...

Bonjour Dame je me permet déjà de me présenter. Je suis Alienor de Proisy Fortunat Louvain, j'arrive de Thouars mais je viens de m'installer ici.
Je suis une ancienne fromagère. Si cela peut vous dépanner j'ai un seau qui n'a jamais servi et du lait.


Elle attendit patiement.
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Allydou
La balise RP ... sinon le cenceur va être faché



Ally sortait seulement de son bureau ou elle était enfermée depuis la veille.
Des missives étaient prêtes à partir vers les forgerons du village pour les secouer un peu. En chemin vers le pigeonnier, elle croise Zely, de retour du marché semble t'il, ainsi qu' Alie qui se proposait déja de la depanner.

Elle écoute, hochant la tête. A la fin de sa tirade, elle profite d'une pause pour ajouter à son tour.


Je viens de déposer, par la mairie, 4 seaux ... chers je le sais, mais je n'ai pas pu faire mieux. Je les ai eu de nos voisins poitevins, qui ont bien voulu nous depanner, dans l'urgence.

Je ne comprend pas plus que vous Zely, le manque actuel, pour tout vous dire, je serai moi même propriétaire d'une forge, je saisirai l'opportunité du manque pour faire mon commerce ...

Mais ... je ne suis pas forgeron.

Par contre, ce que je suis c'est maire et à ce titre, vous voyez ces courriers que j'ai encore à la main, sont en quelque sorte des ... rappels à l'ordre, que je vais leur envoyer de ce pas.

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Davor
Aaaaah... Le marché... Coeur de la vie trémouilloise, c'était le seul lieu où l'on était sûr de pouvoir croiser tous les autres villageois, à un moment ou à un autre, même les plus timides qui ne sortaient presque jamais de chez eux hormis pour travailler et gagner leur maigre pitance. Davor aimait circuler entre les étals, vérifiant rapidement la qualité des produits que ses domestiques vendaient pour son compte, écoutant distraitement les discussions des trémouillois, les plaintes, récriminations, et autres joyeusetés en tout genre.

Passant à proximité d'Ally qui répondait à une trémouilloise illustrant parfaitement sa pensée précédente, il lui adressa un sourire encourageant puis se dirigea du côté des vendeurs de carcasses. Pas de chèvres à proximité, mais des demi-quintaux de carcasses de cochon, à prix correct en plus, et assez pour faire tourner sa boucherie à plein régime pendant une journée. Le Baron hésita un instant, puis poursuivit sa route encore un peu pour s'intéresser aux carcasses de vaches.

Cela lui arrivait assez peu d'utiliser des vaches pour produire de la viande, cette habitude datant de l'époque où il possédait un élevage de cochons, qu'il avait fini par vendre car il n'était pas vraiment rentable. Apercevant Kykyne devant un étal, il s'approcha rapidement.


Alors, les affaires vont bien ?

Il observa les carcasses quelques instants en prenant une fausse moue dédaigneuse.

Hum... Z'ont pas l'air en excellent état tes carcasses...
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Kykyne
Fraîchement arrivée au marché, Kyky installa les carcasses bovines qu’elle avait fait préparer dernièrement. De tout leur poids, elles se laissaient portées par les petits bras de l’éleveuse. Des gouttelettes, prouvant l’effort qu’elle effectuait, s’installaient sur ses tempes. Chaque fois qu’une ossature était placée sur l’étal, du revers de son poignet, elle repoussait les mèches qui tombaient sur son visage, accompagné d’un petit soupire qui s’échappait de ses lèvres. Les passants regardaient avec un certain dédain l’étalage, mais fallait bien passer par là pour se nourrir de viande.

Le doux parfum de l’étal voisin sur lequel reposaient d’odorantes miches venait titiller ses narines. Toujours rien mangé depuis son levé, elle se devait de vendre ses carcasses et ensuite, elle pourrait s’occuper de sa panse. Bon nombre de charpentes porcines se trouvaient au marché, mais très peu de bovines. C’est pourquoi elle était convaincue qu’elle ferait de bonnes affaires en cette journée. Habituellement, elle n’avait aucune difficulté à vendre, jusqu’à ce qu’elle vit Davor s’approcher. "Tiens tiens !" pensa-t-elle. Lui qui l’avait jadis enfermée dans une réserve, c’était l’occasion de l’embêter un peu et de le faire payer. "C’est riche un baron !" se dit-elle. Il s’approcha rapidement vers elle, pendant qu’elle arborait un petit sourire malicieux.


Les affaires vont merveilleusement bien ! Je viens à peine de m’installer et j’ai nul doute que je ne verrai pas le zénith du marché !

La moue qu’affichait Davor pendant qu’il regardait ses carcasses, fit hausser un sourcil de Kyky. "Mais… Il se fou de ma gueule celui là !?" pensa-t-elle. Il venait de piquer son caractère ! Sans plus attendre, elle lui répliqua.

Namého ! Si t’étais un véritable boucher qui sait reconnaître la bonne viande, tu changerais d’air face à mon étal. J’ai deux boucheries à mon actif tu sauras… Je sais reconnaître une bonne, d’une mauvaise carcasse ! Y’a pas plus fraiche et saine carcasse que les miennes. Si t’es pas content de ça, je te force pas hein ! Passe ton chemin !

Se doutant qu’il disait ça pour faire baisser ses prix, elle n'était pas née de la dernière pluie. Elle le laissa mariner un peu en faisant semblant de l’ignorer. Intérieurement, elle se marrait bien. C’était une douce vengeance qui se présentait !
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Davor
Davor fit mine de ne pas écouter ce que lui disait Kykyne, continuant de scruter ses carcasses d'un air qu'il voulait, hum, comment dire, professionnel, ou au moins, connaisseur. Relevant enfin le regard vers son interlocutrice, il esquissa un sourire narquois, qu'il réprima difficilement, sans doute trop tard.

Ma chère Kykyne... J'ai une boucherie depuis si longtemps que tu devais encore faire dans tes langes à cette époque. Alors je connais mon affaire, tu peux me croire.

Bon d'accord, il exagérait peut-être un peu, et on allait sûrement encore le traiter de vieux crouton mais si ça pouvait faire baisser le prix des carcasses de quelques écus, ou deniers à la rigueur... Oui, on pouvait être Baron sans être forcément très dépensier. D'ailleurs, c'était bien connu que Davor ne roulait pas sur l'or, tout le monde le savait à La Trémouille.

Si t’es pas content de ça, je te force pas hein ! Passe ton chemin !

Tsssss... Ne me tente pas Kyky, surtout que je vois de belles carcasses de cochons non loin, et apparemment leur prix reste tout à fait correct.


Hochant la tête, le Baron réfléchit, ou fit mine de réfléchir, quelques instants, puis reprit.

Bon... Cela fait quand même longtemps que je n'ai pas fait de viande à partir de carcasses de vaches, donc quel est ton prix ? Que je voie si ça reste dans mes possibilités.


Davor tâta sa bourse dans la doublure de sa chemise, bourse qui ne contenait que peu d'écus au final, car c'était parfaitement imprudent de se promener dans les rues, et au marché en particulier, avec des centaines d'écus sur soi, vu tous les chapardeurs que l'on pouvait croiser, moins dangereux pour l'intégrité physique que les bandits de grand chemin, mais tout aussi néfaste pour la santé financière de leurs cibles.
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Zely
Que se passe t-il ?

On nous augmente les impôts alors que l'on ne vend même pas notre production !!!
Quelle est cette gestion ?
Les poèmes , c'est joli ... Mais ce n'est pas du boulot

A quand un nettoyage du marché ?????????????????

Que l'on nous achète nos produits ...

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Kykyne
Tentant de l’ignorer toujours, voilà qu’il lui ouvrit une porte qu’elle ne pu s’empêcher d’y mettre le pied. Jouant sur les années qu’il portait fièrement sur son visage, un sourire en coin s’affichait doucement sur ses lèvres. La petite allait évidemment sauter sur l’occasion. Le plaisir qu’elle prenait à l’embêter valait beaucoup, et c’est pourquoi, calmement elle lui répliqua.

Tu sais, s’pas tant les années qui font qu’on acquiert de l’expérience, c’est la pratique. Vu le nombre de fois où t’en achète, s’pas toi qui use tes couteaux le plus rapidement avoue ! Et de plus, tout l’monde sait qu’avec les années, la faculté de nos sens diminue… C’est pt’être ta vue qui commence à faire des siennes !

Amusée, elle sifflota tout en soutenant le regard du vieux baron grincheux. Quand on s’attaque à ses carcasses, faut s’attendre à en payer le prix ! Au même moment qu’elle le laissait mariner, il lui confia avoir vu de belles carcasses porcines. Ses sourcils se froncèrent pendant que ses p’tits poings vinrent se positionner sur ses hanches. Le toisant du regard, elle s’apprêta à l’envoyer balader quand il lui avoua être intéressé de retravailler avec des carcasses bovines. Son regard s’adoucit, ses traits devinrent moins sévère mais ses p’tits poings restèrent sur ses hanches.

Ça fait longtemps que tu n’as pas travailler avec la charpente d’une vache ? Hum… J’ai pas envie que tu gaspilles… Vaut pt’être mieux que je vende au prochain boucher qui lui, sera surement plus d’expérience que toi !

Un large sourire traversa son visage toujours en le regardant. Quel prix lui demandait-il. Pendant les quelques secondes qui s’écoulaient, elle réfléchissait à son prix. Un prix spécial pour celui qui s’amusait à dénigrer son bétail. Juste pour ça, il en payerait le prix… Et de plus, il avait la chance ou la malchance, tout dépend des circonstances, d’être baron. La noblesse était réputée pour être bien douillette monétairement. Elle hésita… 35 écus la carcasse… Surement qu’il n’accepterait pas, mais elle tenta le coup. Histoire de l’embêter un peu…

Bah mon prix ? Je t’en fais un spécial… Juste pour toi… Comme elles ont été abattues hier, tu ne peux donc avoir plus frais… 35 écus par carcasses !

Étonnement, elle réussit à contenir son fou rire. Jamais elle ne vendait à un prix si exagéré, mais cette fois, elle avait une occasion en or de l’embêter. Elle qui vendait toujours à 30 écus, elle s’était donné une bonne marge pour la négociation qui s’entamait.
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Domdom
Comme chaque fois qu'il arrivait dans une nouvelle cité , Domdom , après avoir rendu sa monture au relais de postes , aimait à se promener parmi les étals du marché.
Il se sentait en pleine forme, malgré une nuit de chevauchée et , pour l'instant, ne ressentait pas le besoin d'aller dormir en auberge.
Le marché de La Tremouille ressemblait aux autres marchés du pays d'oc : mêmes paysans taiseux vendant leur production, mêmes femmes echevelées piaillant comme des pies, mêmes enfants chapardeurs...
Dom flânait dans les allées , qu'aurait il pû acheter ? Il n'avait plus un écu vaillant en poche et la faim , sa vieille compagne , commençait à le rappeler à l'ordre.
Dom aperçut tout à coup un attroupement de marmots dépenaillés , guère plus de dix ans...
Cà vociférait dans tous les sens autour de deux gosses qui se battaient..

Domdom s'arrêta auprès d'eux , s'assit par terre , le dos calé contre un muret , déposa sa besace et son bâton , puis regarda les gamins tapageurs .
Puis d'une voix douce et mélodieuse , commença à déclamer :


" On raconte de bien belles histoires , les soirs à la veillée , en Normandie , pays d'où je viens .
Par exemple , il y si longtemps , que les anciens ne se souviennent plus quand, vivait dans un village une vieille femme ..."

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Domdom
Domdom , bien calé cotre son muret continua :

Cette vieille dame possédait deux grands pots , chacun suspendu au bout d' une perche , qu' elle transportait appuyée derrière son cou.
Un des pots était fêlé , alors que l'autre état en parfait état et rapportait toujours sa pleine ration d' eau.
A la fin de la longue marche du ruisseau vers la maison , le pot fêlé n' était plus qu' à moitié rempli.
Tout ceci se déroula chaque jour pendant deux ans alors que la vieille ne rapportait chez elle qu' un pot et demie d'eau.

Bien sûr , le pot intact était très fier , alors que le pauvre pot fêlé avait honte de ses propres imperfections et se sentait triste , car il ne pouvait faire que la moitié du travail pour lequel il avait été créé


Petit à petit , l'attention des gamins se trouva captée par la voix du conteur.
Un à un , les gosses s'asseyaient en tailleur en arc de cercle autour de Domdom .
Ils ne faisaient plus de bruit , buvant littéralement ses paroles ,inclinant la tête à l'occasion , hochant gravement du menton quand ils estimaient que la situation en valait la peine.
Domdom , imperturbable , continuait le déroulement de son histoire , de sa voix chaleureuse mais qui portait loin cependant.

Après ces deux années de ce qu' il considérait comme un échec , il s'adressa un jour à la vieille dame , alors qu'ils ilsétaient près du ruisseau.
« J'ai honte de moi-même , parce que la fêlure sur mon côté laisse l'eau s'échapper tout le long du chemin du retour vers la maison »


Dom fait alors une pause... observant les alentours...
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Allydou
Tour quotidien au marché, commande de blé, de maïs, de fruits ou de légumes quand elle en trouve.

Attentive à la qualité, on ne vend pas n’importe quoi pour le Comté, elle inspecte, détaille, scrute, tâte puis repose, avant de faire son choix.
Le carnet de commande bien rempli, elle peut enfin profiter des étals pour faire ses propres courses.

Prenant plus le temps de flâner, elle s’arrête près des tisserands, admire les jupes et les bustiers … Se prend pour quelques minutes, pour une fille, oubliant la policière et son uniforme, la maire et sa tenue confortable, redevient pour un instant, juste une dame.

Au détour d’une allée, un attroupement d’enfants, pour une fois ils ne chapardent pas, ne regardent pas de trop près les paniers des ménagères … Non, ils sont sages et attentifs !

Chose assez étonnante pour qu’elle s’arrête un instant, satisfaire sa curiosité, qu’est ce qui peut bien capter leur attention à ce point ?

Un homme à lui seul à su les retenir.
Un peu à l’écart, appuyée contre le muret Ally écoute elle aussi, prise par l’histoire de la vieille dame et de ses seaux.

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Domdom
De plus en plus de monde s'approchait du demi cercle qui commençait à s'agrandir : tous les enfants étaient là , sagement assis, bercés par cette voix qui leur traversait le coeur , oubliant les chamailleries de tout à l'heure.
Des femmes avec leurs cabas étaient restées debout , pensant ne pas rester mais finalement , elles étaient restées plantées là, comme hypnotisées.
Plus loin , cette femme, accoudée au muret...

Dom reprit son souffle et poursuivit son histoire :



La vieille dame sourit :

« As-tu remarqué qu’il y a des fleurs sur ton côté de chemin et pas de l’autre côté ?
J’ai toujours su à propos de ta fêlure , donc j’ai semé des graines de fleurs de ton côté du chemin et chaque jour , lors du retour à la maison , tu les arrosais.
Pendant deux ans , j’ai pu ainsi cueillir de superbes fleurs pour décorer la table .
Sans toi , étant simplement tel que tu es, il n’y aurait pu avoir cette beauté pour agrémenter la maison"


Dom sentit quelques gouttes de pluie commencer à tomber : pas de quoi faire fuir un Normand...non, vraiment !
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Magalye
Les cageots remplis de mais que la jolie blondinette voulait vendre au marché, possiblement pour la mairie, elle s’était rendue parmi les étalages, cherchant la mairesse partout sans la trouver. Il ne faisait pas très chaud, l’hiver ne tarderait pas et à tenir sa caisse de bois, elle en avait les mains gelées. Elle aurait du porter des gants ! Elle pestait tout contre elle, trouvant ainsi la force d’avancer, bousculant quelques badauds rassembler là, étrangement.

Pfff…. Qu’est-ce qui se passe ici encore ?!!

De simple pensées mais qui avait traversé ses lèvres bien que presque inaudiblement. Elle repéra une chevelure qu’elle connaissait bien près du muret et se dirigea vers Ally, posée là, écoutant… Mais quoi ?! C’est là qu’elle remarqua un inconnu, assis au milieu d’une bande de gamins subjugués par les paroles qui émanait de lui.

La belle blonde s’approcha de la Bourgmestre et déposa sa caisse à ses pieds et murmura doucement vers la femme la plus dévouée de la ville, un charmant sourire sur les lèvres de Magalye.

Qui est-ce le compteur ? Un nouvel arrivant ?

Elle avait parlé très doucement, ne voulant aucunement interrompre son histoire, y prenant part également à l’écoute. Elle portant ses mains vers sa bouche, attentive au conte, soufflant sur ses mains pour se réchauffer. Elle devait bien reconnaitre que ce genre de visiteurs étaient toujours appréciables. A voir les yeux illuminés de ses enfants, écoutant religieusement les paroles de l'homme, l'espiègle petit ange en était enchantée. Il n'y avait certainement rien de plus beau au monde qu'un enfant souriant et lui en avait plusieurs rien qu'à lui en cet instant.

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Domdom
La pluie tombait maintenant plus fort et plus dru.
Dom avait rabattu sa capuche sur sa tête , mais n'avait pas pour autant changé de position.
En face de lui , l'assistance était toujours aussi attentive , enfants et adultes buvaient ses paroles , le visage et les vêtements ruisselant de pluie.
Au bord du muret, la jeune femme était maintenant accompagnée d'une autre , jolie blondinette , qui semblait vivement interessée par le conte.


La vieille dame continua : "Chacun de nous a ses propres manques , ses propres fêlures , mais ce sont ces craques et chacun de ces manques qui rendent los vies si interessates et enrichissantes ".
Le pot fêlé sourit : la vieille dame l'avait aidé à trouver un sens à sa vie.
"Nous sommes tous un morceau de la vie des autres , nous sommes tous utiles à notre prochain, rappelle toi bien de celà " finit par dire la vieille dame.


Après quelques instants de silence , Dom reprit la parole devant une assistance un pau plus clairsemée :

Chacun peut tirer les enseignements qu'il veut de cette vieille histoire , mais sachez qu'elle est universelle et qu'elle parle de l'homme , parmi les hommes.

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d'ici....et d'ailleurs !
Domdom
La pluie avait cessé.
Le conteur , un énigmatique sourire se dessinant sur son visage , regardait la vingtaine de personnes qui restaient devant lui.
Personne ne parlait , pas un bruit , seules les exclamations des camelots et de la foule qui arpentait le marché voisin troublaient la quiétude du moment.
Dom aurait voulu que quelqu'un prenne la parole , adulte, enfant , qu'importe...
Après avoir lancé un dernier regard à l'assemblée , il se leva , rabattit sa capuche sur ses épaules tout en essayant de décoller les vêtements collés par la pluie , puis récupéra sa besace et son bâton.
Avant de s'éloigner, il s'exclama :


Merci de m'avoir écouté, gens de La Tremouille , mais je dois dejà reprendre la route

Puis il ajouta :

Peut être reviendrai je en votre cité , alors, si vous voulez toujours m'écouter , je me ferai une joie de conter de nouvelles histoires

Il s'éloigna alors vers la place de la mairie d'un pas traînant...
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