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[RP] Salle du trône

Fitzounette
Arf ! Elle avait perdu la salle du trône... Comment est ce possible me direz vous ? Le sens de l'orientation légendaire des buses ? Une farce de la domesticité ? Un effondrement soudain ? Une rupture du continuum espace-temps ? Aucune idée !

Toujours est il qu'une salle du trône de fortune avait été montée pour les annoblissements par de beaux éphèbes Angevins aux muscles saillants, et à la sueur perlant le long de leurs corps de demi-dieux, sous le regard avide... enfin non, bienveillant de la môme.



Et ainsi, une fois la salle prête, la petite Duchesse, bien installée sur son trône de fortune patientait.
Elle attendait la Grande Chieuse, le futur Baron Pandatesque, et les deux Seigneurs Chefs d'Armées...

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Jeanpolc
Rien ni personne n'aurait pu empêcher l'homme de venir en cette salle. Ses pas brisent la glace dans les rues, il arrive lentement, les pieds gelés mais chaud au cœur. Il pousse la porte le voici dans le grand hall d'entrée, il connait le chemin, il monte prend le troisième couloir à gauche, ses pas laissent sur le sol des taches mouillées de neige. Ses pas résonnent dans le couloir. Il pousse la porte. La Duchesse est là, assise, sereine, lui ne sait ce qu'il doit faire. Il s'agenouille devant la Duchesse ; une fois de plus il donnerait sa vie pour elle et ce et ceux qu'elle représente.
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Fifounijoli
Fifou avait reçue une petite note de sa jeune nièce et ravissante Duchesse il y a quelques jours déjà lui demandant de se rendre en salle du trône… Après plusieurs visites au château et s’être perdue dans les couloirs elle était rentrée chez elle ayant abandonnée cette idée farfelue pensant à une farce de celle-ci, la salle n’existait pas à priori… La conseillère avait d’autres préoccupations pour le moment elle devait rendre visite à son cher père ainsi qu’à un ami à Saumur et après avoir retourné sa garde robe elle s’était enfin décidée à choisir une petite robe aux couleurs claires, avait relevé ses cheveux avant de changé d’avis pour la énième fois, roooo mais pourquoi être si nerveuse aujourd’hui cela ne lui ressemblait pas, elle retrouva sa jument aux écuries et prit la route pour Saumur lorsque enfin on lui confirma qu’elle devait bien se rendre voir la duchesse. La salle du trône était fermée pour subir un rafraîchissement et une autre salle était a disposition durant les semaines à venir, voilà pourquoi celle-ci était fermée et qu’elle ne l’avait pas trouvé plus tôt… un soupire, puis passant devant un miroir vit son joli minois et sourit, elle accéléra le pas, poussa la porte de la salle et aperçue la plus ravissante des duchesse, précieuse installée dans son fauteuil. Jeanpolc était présent. Elle le salua et s’avança vers sa nièce pour la bisouiller après tout, la duchesse était avant tout sa nièce et aussi une chieuse de première et la salle était encore vide pourquoi se priver.

Bonjour très chère duchesse je suis heureuse d’être ici, même si j’ai eu du mal a trouvé mon chemin. Jeanpolc ravit de vous revoir.
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Lambertine
[Craon]

Lambertine avait reçu missive de la part de sa duchesse, le convoquant en salle du trône, et précisant que l'habit de cérémonie était de mise. Pour une fois chez lui, ayant plus de temps libres depuis la remontée du prestige de l'Anjou, il se dirigea vers sa maigre garde-robe. Trifouillant dans ses armoires, il trouva enfin la belle tenue de cérémonie qu'il utilisait lors des grandes occasions.

Oh non... grogna le Bailli, devant les habits couverts de tâches. Bon, je vais passer au marché, j'ai pas trop le choix...

Quelques emplettes plus tard, Lambertine chevauchait vers Angers.


[Angers]

Alors qu'au loin se dressait l'immense masse de pierre qu'était le Castel d'Angers, il se demanda quels pouvaient bien être les motifs de sa convocation. Renvoi du conseil? Cela lui semblait plus qu'improbable. Il avait surpris quelques jours plutôt, quelques conversations entres des gardes, ou mêmes ses collègues, qui semblaient s'arrêter à son approche. Il avait entendu au détour d'un couloir le mot "Hérauderie" et son nom, avant que les deux gardes ayant prononcé ces mots ne se tussent précipitemment à son approche. Il se doutait bien que quelque chose se tramait. Mais, les rares fois où il avait osé questionné la Petite Reyne d'Anjou, il ne reçut qu'un sourire malicieux en retour.

Alors qu'il été plongé dans ses pensées, il se rendit compte qu'il s'était rendu machinalement devant la salle du trône. Du moins, il le croyait. La porte était bel et bien close. Sortant le pli qu'il avait reçu plus tôt, il vérifia la date. C'était bien ce jour là. Croisant un domestique, il lui demanda:

- Mon brave, dîtes moi, pourquoi la salle du trône est-elle fermée?
- Messire ne sait donc pas? Elle a été déplacée. Prenez ce couloir, tournez à gauche, montez les esclaiers, et vous la trouverez quelques pas plus loin.
- Merci bien!


Donnant une piécette au domestique, il suivit le chemin indiqué, jusqu'à entrer dans la salle du trône. Fitzounette, vêtue de ses plus beaux atours, portait la couronne d'Anjou sur sa tête. Il s'agissait donc vraiment d'une cérémonie officielle. Il aperçut ses amis Jeanpolc et Fifounijoli, eux aussi sur leur trente-et-un, à ses côtés.

Bonjour à tous! dit-il, se dirigeant vers les seules personnes présentes dans la salle. Quelqu'un aurait-il l'amabilité de m'informer de la raison de notre présence en ce lieu?
Nebisa
Place, place ! Mais dégagez ! Je suis en retard ! Poussez vous ! La salle du trône elle est ou la salle du Trone ? Ecartez vous !

Un pied écrasé, un valet bousculé, trois couloirs de traversé et la Chieuse se présente enfin...

Inspiration, poumons comtaux en avant, expiration, poumons comtaux qui reprennent leur place, inspiration... et ainsi de suite... Jusqu'à ce que sa respiration retrouve un rythme normal et qu'elle puisse pénétrer en souriant aimablement jusqu'à la Duchesse.

Patentes sous le bras, pages sur les talons, la Malemort s'incline avec grasce, il lui a fallut des années de pratique pour parvenir à frôler de son front d'albâtre le tapis sans choir sur les fesses.


Duchesse, me voici, presque ponctuelle... Nous pourrons débuter lorsque vous en exprimerez le désir et faire appeler ceux que vous désirer honorer ce jour.

Et la Chieuse de se redresser, évaluant d'un œil les vêtures des Dames présentes pour s'assurer que sa tenue de brocart ocre piquée de points de dentelles ne dénote point. Les perles d'ambre ornant sa gorge et ses oreilles cliquetant avec douceur tandis qu'elle hoche la tête... assurément, elle a fait le bon choix...
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Fitzounette
Sourire entendu à l'amoureuse de prune :

Il est certain que vous faites des grands progrès...

Murmure :

Allez, encore quelques bons points, et je vous offre un de mes merveilleux serviteurs, vous savez ceux au corps sculpté et aux traits virils...

Elle s'évente un instant puis se tournant vers la salle, elle cherche Jeanpolc du regard. Quand enfin elle accroche les prunelles foncées, elle sourit et demande :

Cher Jeanpolc, approchez.
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Jeanpolc
- Bonjour Dame Fifou, je suis également très heureux de vous revoir en un lieu bien mieux chauffé que les tentes des campements de nos armées.

Arrivent alors Lambertine.

- Bonjour l’ami, comment vas-tu ? Je ne sais la raison de notre présence ici, mais nous ne tarderons pas à la découvrir je crois.


Puis une femme qu’il ne connait arrive, visiblement essoufflée.

- Bonjour Dame, mes respects. Jeanpolc de Kreneg-Montfort.

A peine eu t il salué les gens présents que la Duchesse l’appel, il se tourne vers le trône.

- Duchesse, je suis à votre service.
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Lambertine
- Bonjour l’ami, comment vas-tu ? Je ne sais la raison de notre présence ici, mais nous ne tarderons pas à la découvrir je crois.

Je vais bien, et t...? répondit Lambertine, coupé par l'entrée d'une jeune femme

Celle qu'il connaissait comme portant le nom de "la Malemort", ou "La Marche" selon les institutions héraldiques, s'inclina devant la Duchesse. Il avait aperçu cette dernière lors de la cérémonie d'allégeance ducale, en sa qualité d'Héraut d'Anjou. A peine eût-elle le temps de chuchoter quelques mots à la Duchesse que cette dernière appelait Jeanpolc.

Il avait compris la raison de leur présence en ces lieux. C'était une cérémonie d'annoblissement.
Fitzounette
Elle lui sourit. Jeanpolc elle le connait bien maintenant. Des discutions quotidiennes. Le Secrétaire du conseil et chef d’armée est devenu bien plus qu’un collègue. Il est un conseiller, un ami. Elle dit d’une voix forte.

Jeanpolc, mettez genou à terre.

Car en ce jour, de nostre grâce spéciale, pleine puissance, et autorité ducale, Nous, la Duchesse d'Anjou, vous donnons les marques publiques de la reconnaissance nostre Duché.

Vous servez fidèlement l’Anjou depuis plus d’une année, ayant mis vostre vie en danger pour en assurer la souveraineté, et vous sacrifiant chaque jour, menant d’un bras juste et volontaire l’armée Libertatis, et nourrissant parfois même sur vos deniers, les valeureux soldats. Que dire de vostre engagement, mon ami, si ce n’est qu’il est constant et entier.

Nous Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d’Anjou, Vous remettons donc le fief de Bouillé-Ménard, ainsi que les titres, honneurs, autorités, prérogatives et préséances qu’il confère. Que vous soyez loisible d'en jouir, car tel est nostre bon plaisir.

Jeanpolc, jurez vous de servir loyalement et fidèlement l’Anjou, et de prendre soin de ces terres et gens que nous plaçons sous vostre protection ?

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Jeanpolc
Il regarde la Duchesse étonné, lui qui n’a fait que faire ce que sa conscience lui ordonnait, pour un duché dont les habitants l’ont si rapidement admit comme des leurs. Il s’agenouille aux pieds de la Duchesse et la regarde avec respect, puis prononce le serment qu’il sait tenir pour toujours.

- Moi Jeanpolc de Kreneg-Montfort, je jure de servir loyalement et fidèlement l’Anjou, et de prendre soin de ces terres et gens que vous placez sous ma protection.

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Fitzounette
Et ainsi elle se lève, tend la main à Jeanpolc pour l'encourager à se relever, et lui donne le baiser vassalique, se hissant sur la pointe de ses petits pieds, et pressant ses lèvres pudiquement contre les siennes. Enfin, elle retourne s'assoire, attendant la bénédiction de "La Marche".
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Nebisa
Corps musclé, traits virils... une image précise défile dans l'esprit de la Chieuse qui pique un fard avant de se ressaisir, une cérémonie d'allégeance n'est pas le lieux pour s'abandonner aux fantasmes qu'elle nourrit sur un représentant de la gente angevine.

Par chance, la cérémonie débute et la Duchesse fait venir à elle le premier de ceux qu'elle met à l'honneur ce jour là... La Chieuse fixe son attention sur l'échange, esquisse un sourrire amusé devant le baiser vassalique et s'avance pour finir...


Messire Jeanpolc, vous voici à présent Seigneur et vassal d'Anjou, afin de sceller cet octroi, nous vous remettons vos armes et faisons lecture de la suivante patente.

Nebisa a écrit:
Par la présente, Nous Nebisa de Malemort, Comtesse de Ségur, Vicomtesse de Chabrières, Maréchal d'armes Royal en l'absence du Roy d'Armes de France, et avec la jouissance de son blanc seing, faisons acte de la demande de Sa Grasce Fitzounette de Dénéré Duchesse d'Anjou quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres d'Anjou, fief nommé Bouillé-Ménard , à Messire Jeanpolc de Kreneg-Montfort.

Après consultation du collège héraldique, nous validons et contresignons la procédure d'anoblissement de Messire Jeanpolc de Kreneg-Montfort.

Apres recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Bouillé-Ménard est bien Seigneurie du Duché d'Anjou.

Après consultation des registres, il est avéré que le seigneur de Bouillé-Ménard porte D'argent à la fasce de gueules frettée d'or, accompagnée de deux burelles de gueules, soit, après dessin :




Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux réglements Héraldiques .

Faict le 07eme jour du Mois de Janvier 1457 sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Levan le troisième de Normandie.







Seigneur de Bouillé Ménard, voici vos armes.


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Geulederat
GdR était entré discrètement dans la salle .
Dès que JPC fut anobli , il frappa dans ses mains, et dit :


Vive le seigneur de Bouillé-Ménard !
JPc , bienvenue au club !
Ca s'arrose !

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Gaultier de Ravart, dit GdR ou Geulederat
Procureur Adjoint de la Cour d'Appel
Avocat du Dragon
Fitzounette
Elle sourit au viva de Gdr. Laissant un peu l'ambiance retomber, elle se tourne alors vers la rousse Penthièvre.

Ma tante, je vous en prie, approchez.
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Lambertine
Alors que Jeanpolc se levait et s'approchait de Geulderat et Lambertine, Fitz appela Fifounijoli à recevoir son fief. Baronnie? Seigneurie? Lambertine félicita le nouveau seigneur de Bouillé Ménard, avant de se reconcentrer sur la cérémonie.
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