Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[rp]En allant en touraine avec nos sabots

Kiiara
Une voyage plutôt rapide, demain elle serait a bon port …une compagnie des plus amusante..
Faut dire que la chiquette était une chic chic compagnie, avec elle, fallait faire gros pour pas s’amuser
Et la gamine avait plus d’un tour dans son sac d’espièglerie pour passer le temps, sa nouvelle trouvaille durant le trajet fut des plus marrante, durant leur pose déjeuné elles avaient creusé de ci de là des nids de poule sur le chemin les recouvrant de feuille morte et de brindille ,puis s’étaient cachaient derrière attendant qu’un voyageur se prenne les pieds dedans, la plupart s’étalait lamentablement pestant des injure qui arracher des soubressaut de rire que kiki retenait en mettant sa main devant sa bouche
Ses yeux azure n’était que lueur de bonheur en compagnie de chic et de sa mère et cela faisait vraiment plaisir a voir

il faut dire que rien n’avait était simple depuis que son père avait était placer au rang de comte du Poitou et que celui-ci avait prit le gros melon, déteignant un peu sur la gamine qui un temps s’était prit pour se qu’elle n’était pas une princesse qui avait le droit de faire marcher tout le monde a la baguette, alors que sur le papier ce n’était qu’une enfant illégitime qu’on appeler dans le langage de la mini chieuse « une bâtarde »
bâtarde qui avait était récupérait par sa mère le soir ou le château avait était prit pas sa tante, ( histoire compliqué je sais ^^) , tout ca pour dire que sa mère n'avait rien a voir avec cette histoire et que c'était tata qui avait fait le coup car pour sur sa maman n'aurait jamais mit sa vie en danger et si la tiote n’avait pas tout bien comprit, la seule chose qu’elle avait vraiment réaliser c’est que cette insident avait faillit lui couter la vie…
en effet les armée du poitou soupçonnant sa mère de trahison n’avait pas hésiter a attaquer la mère et la fille sur les chemin alors qu’elles prirent la route pour un village voisin ! Entrainant la gamine haute comme trois pomme a se battre pour sortir du monde des limbes qui avait bien faillit avoir raison d’elle

mais tout cela était du passé grace a son papy … a non pas son papy car ça aussi c’était que des mensonge de grand, mensonge aussi grand que celui de lui faire croire qu’elle était une princesse, et une fois le topo découvert elle n’avait vu qu’un imposteur violent qui avait essayé de tuer la seule personne en qui kiki pouvait encore avoir confiance … la seul qui avait droit a tout l’amour que son cœur puisse donner,sa mère…
heureusement il avait rater son coup, et c’était heureusement pour lui car il aurait peu gouter a la fureur d’une mini succube et c’était pas peu dire…

enfin bref… ce voygage s’annonçait des plus marrant et des plus diversifiant pour l’enfant, qui en profiter pour assouvir sa curiosité intarisable


dit m’man … pour qu’il porte une robe lui … croyais qu’c’était que pour les filles…
chic chic régarde comme il est grand l’au’te tu crois qu’il manze beaucoup de soupe lui ?


puis de courir d’un coté a l’autre du chemin regardant tout les insectes qui trainait dans le coin, pourquoi pas de la écraser au passage ( ben oui comme dans la jungle la loi du plus fort )
tout a coup elle s’arrête devant un truc qu’elle a du mal a identifier
prendre un bâton et le toucher de loin …des milier de s’asticot qui se mettent a dansaient …
humer et grimaçait c’est que ça sent pas la rose ce cruc

tirer les braie de sa mère


m’man !! mm’man viens voir !!!

C’est quoi ce cric là !!?? et de lui montré du doigt un hérisson qui semble avoir prit la roue d’un carosse …..
_________________
Kissiou
[Arrivée en Tourraine, Gourmandises et évasion en attente.]

Elle avance, les yeux grands ouverts.
Les derniers villageois ou du moins les seuls s'agitent sur'ment pour aussitôt aller s'enfermer dans leurs masure... Elle connais personnes et les scrutes sans aucune retenue. "Mah qu'est ce que j'suis venue donc faire dans cette galère..." marmonnait-elle apeurée de ternir par l'ennui qu'risquait d'lui causer la Touraine si ca continuait.. Elle espérait que Tours serait plus animé..


Chinon. Comment qu'il pouvait v'nir d'là l'nobliau? Papotib! Un si bel homme avec autant d'prestance sortant d'un village si.. si... ennuyeux qu'il en ferait pas revivre un mort.. Pis.. Chinon! Sinon? T'parles d'un nom d'village...te jure..Pis les habitants on les appelait comment d'abord? hein? Chinongeois? Les Chignons? Pff... rha lalaa.. Faut vraiment qu'ils fassent que'que chose pour s'pauv' trou hein.. et l'aut' là nan mais franch'ment j'sais pas comment qui survit ici didiou..


V'là que tout l'long la chieuse râlait.. râlait encore.. et encore comme toujours faisant profiter ses compagnons. T'a dire sa mioche et son acolyte d'ivrogne Chiquette, jusqu'à Tours. Puis normal'ment la bas l'équipe Pot a vin, Poitevin padon s'agrandirait.. 'fin elle savait pas si elle d'vait s'en réjouir ou pas.. Pendant un moment les trois greluches avaient r'montée l'temps étant autant gamine que la gamine pour faire des conneries d'se genre a faire en sortes que les voyageurs se vautre comme des galettes d'vant leurs truffes par des piéges a la mord moi le nœud fait juste avant. Peut être stupide, mais peu importe elles rigolaient, puis y avait ppas d'âge hein pour être stupide, et, et le rire cristallin d'sa fille était revenue et ca vallait bien ça. Bref.. un peu plus tard, temps mort, sa mini chose court et recourt, pose des questions à tout va, par ci et là, un coup à chic qui cuve dans la brouette et la chieuse qui perdu dans ses pensées et qui s'cause a elle même n'répond à sa fille que par des oui entre deux mots.


C'est alors qu'aprés l'passage d'Kiiara en mode écrasage de bêbête, que ses billes azurée bloquèrent sur une rescapée.. Une fourmi, qui d'vait être dans un état s'cond pour sur vu comment qu'elle zigzaguait. La chieuse s"pencha d'sus et se surprit à la suivre son déplacement un petit moment se disant qu'au moins ces bestioles là elles savaient où elles en étaient d'leur misérable vie et pourquoi elles étaient nées... mais elles étaient si vulnérable.. d'mage pour elle, si la chieuse se serait pas rendu qu'elle matait une fourmi son pied n'serait pas venu s'écraser sur elle mettant fin à sa vie de travailleuse et elle d'se rendre ridicule avant s'entir ses braies se faire s'couer.


m’man !! mm’man viens voir !!!

C’est quoi ce cric là !!??


Son regard se posa alors sur la décomposition du dit hérisson, Eurk, une grimace se dessina sur son visage c'était pas s'qu'elle voyait mais l'odeur qu'il en dégageait quand sa truffe elle posa au d'sus..


Ça.. Ahem.. ouai ca a l'air appétissant tiens.. C'était un "cric" a quatre patte qui piquait et maint'nant qu'il est mort bé y s'décompose en asticot pour qu'on les manges.

Hein Chichi que ca s'mange s'truc! Vas y montre à la gamine comment qu'c'est bon! Vas y sort ton cul d'la brouette et viens lui monter te dis!!

_________________
Kiiara
[explication vaseuses!]

Yeux azure qui se plante dans ceux de sa mère … elle la bade … l’idolâtre, elle est trop forte sa mère, elle sait tout !!! elle peux être violente comme douce mais ça personne ne le sais a par elle car elle est l’une des seule a recevoir de la tendresse de sa part, mais chut faut pas le dire hein !
Kiki sais que si un jour on lui fait du mal, sa mère n’aurait de cesse de la venger … la protéger. Son regard s’arrête un instant sur les muscles visible de l’ancienne soldat, son épée luit dans le soleil hivernal, qui sais se quelle arme se cache derrière le tissus de ses vêtements. A l’œil nue on ne peu que distinguer une poitrine charnu et de jolie hanche sur lesquelle les hommes ne cesse de loucher… se qui exaspère la petite qui comprend vraiment pas pourquoi ils font ça et termine toujours par lever les yeux au ciel et aller jouer plus loin…
Si un jours elle grandissait c’est comme ça qu’elle voudrait être, forte mais féminine, hargneuse mais envoutante…. Enfin bref cela n’arrivera jamais vu qu’elle grandirait pas… elle ce l’était promis les adulte ça servait a rien et hors de question d’en devenir un !

Battement de cils tout en écoutant les explications de sa mère, elle fronce ses sourcils comme a chaque fois que son cerveaux bouillonne
Elle baisse doucement les yeux dessus la chose qui grouille de vers … ça se mange ça alors ???
Elle relève ses yeux pour chercher une explication plus plausible du coté de chic chic mais celle-ci n’était pas du genre a cafter la blagounette de kissiou
La petite s’accroupit pour observer de plus prêt, il fallait toujours gouter avant de dire que c’tait pas bon, voilà se que sa mère disait toujours , mais la tout de même c’est que ça puait ce machin cruc !!!
Elle fronce le nez et reprend le bâton pour triturer l’animal façon crêpe, oui c’est ça crêpe !! heuréca !!!une crêpe de viande !!! bon certe ,la viande bougeait encore mais c’était peut être meilleurs vivant …
Elle jète une œil a son matou qui ne s’approche pas et hume de loin l’animal creuvé, c’était bizarre qu’il ne s’intéresse pas a cette nourriture toute offerte. C’était encore plus bizarre que son animal de compagnie soit toujours vivant.. ben oui avec un mère qui pouvait pas se blairait les animaux, la gamine pensait vraiment que deux jours après que celui-ci les choisit comme maitre il finirait en ragout ou un truc du genre
Mais non il était bien là, la suivant toujours quelque mètre derrière !! n’hésitant pas a sauter sur tous ceux qui osait s’en prendre a la mini peste

Prenant un morceau elle le mit devant le nez du matou qui recula rapidement sans demander son reste
Elle jète a sa mère un regard suspicieux, approche le bâton de sa bouche et sort la langue pour le mettre en contacte avec la chose visqueuse et mouvante..
Des le contacte fut fait elle crache bruyament sur le sol

Yeuuurrkkkk c’est dégeuu !!!!

Elle prend sa manche et essuie sa langue en la frottant très très fort !
Et de colère elle se met a sauter a pieds joint sur la crêpe de viande jusqu'à se que celle si ne bouge plus d’un asticots !

_________________
Chiquette
[La Touraine ,tout le monde descend]


La route avait était longue mais loin d'être ennuyeuse,du moins ,moins que la chieuse Kiss qui n'avait pas arrêté d'se plaindre .L'idée de l'assommer etait venu à l'esprit de Chiquette mais il aurait fallut ,aprés ,la pousser dans la brouette et ça c'etait impensable vu comme elle s'est empatée.
Chi etait ravie d'avoir retrouvé sa Kiki en pleine forme,les petites blagues etaient inombrables mais toujours aussi amusantes,elle se marrait à chaque bêtise de Kiiara et ne pouvait s'empêcher de rire en voyant les passants se vautrer et les regarder se relever .

chic chic régarde comme il est grand l’au’te tu crois qu’il manze beaucoup de soupe lui ?

Chi riait tout en répondant à Kiki

Non Kiki ,c'est parce qu'il a trop reçu de coups de pieds aux fesses

Au bout d'un certain temps,la soif se faisait ressentir,Chi se posa dans la brouette pour mieux apprécier son breuvage loin de la Kiss qui l'aurait ,pour sûr, piqué quelques gorgées.Elle se mit à contempler le paysage jusqu'à c'que Kiss l'interpella

Hein Chichi que ca s'mange s'truc! Vas y montre à la gamine comment qu'c'est bon! Vas y sort ton cul d'la brouette et viens lui monter te dis!!

regard fixé sur Kiss et Kiiara

Pas possible ça ,pas moyen d'être tranquille,deux minutes et j'lui manque déjà...

Heum? quoi?

Elle se leva de la brouette et alla voir de quoi elle parlait,regard ecoeuré vers l'animal.

Hummmm...vas y Kiss,montres lui toi c'est toi la mère,c'est toi qui doit lui montrer l'exemple hein...

Elle haussa les epaules et retourna dans la brouette...
_________________
Kissiou
La Chiquette, humpf celle là alors pouvait pas compter sur elle. Pire qu'une alcoolique, pire qu'elle.. Elles avaient une seule et même amie en commun, la bouteille. Elle haussa aussi les épaules avant d'entendre la voix dégoutée de Kiiara. Un rire aux éclats alors résonna dans la plaine voyant la gamine toute grimaçante mettre en bouilli le reste d'la bête et de ses amis les asticots..

Bon s'pas que.. mais s'pas vous qu'allez assouvir les envies d'mon corps hein 'lors on s'bouge.

Elle scrute l'horizon. En même temps elle scrute pas loin se rendant compte a cet instant qu'elles étaient dans les bois qui ornait les rempart de la ville de Tours. Ses remparts à la fois espérés et redoutés. Elle eut un instant un soupçons d'adrénaline pensant à ce qui pouvait l'attendre. Mais elle s'demandait aussi s'qu'elle venait ram'ner ses miches dans ce trou si bizarre.. Mordiou, après Chinon elle pensait au pire s'enfonçant plus loin en Tourraine. L'était encore temps d'faire d'mi tours pourtant mais l'enveloppe de chair d'un bellâtre lui raviver aussitôt son esprit et son corps. Elle n'aurait jamais cru que c'était a s'point tentant, et qu'elle avait s'besoin de voir plus loin et plus longtemps, mais ça il faudrait lui arracher une côté a vif pour qu'elle reconnaisse que oui il lui faisait son effet différemment des autres mais a la maniére d'un vénérable vieux con. D'ailleurs elle s'était plusieurs fois d'mandait comment cela se faisait il qu'aucune greluche avait su reconquérir cet être grincheux après sa défunte épouse? Mais après réflexion et une petite moue elle pouvait trouver ça normal. Qu'elle femme sensée voudrait d'un homme avec tant d'audace et qui passe son temps à râler ou plus bizarrement qui tue l'temps en ramassant des miettes.. mise a part quelqu'un comme lui? Ou pour une nuit, ou deux.. voir plusieurs mais juste pour ça alors..


Halte!.. nan? Regard à droite, à gauche au momeny où elles passèrent les grandes portes. Rien. Déjà pas de courrier a Chinon, aucun douanier croisé.. et là rebelote. Décidément était-ce un duché désert ici? Elle s'arrête un peu plus dans le village. Pose ses mains sur ses hanches scrutant d'un regard circulaire les quelques villageois présent.

Bon Kiiara d'jà tu attaques personnes, on fait bonne impression pour commencer, après on avis'ra. Faut trouver l'vénérable vieux con y doit être ici, et si vous l'croisez vous lui dites qu'belle plante a b'soin... d'se.. * tapotement sur son bras* ..faire arroser..

Ses yeux lentement se posèrent a une pomme et demi sous son visage avec mépris

B'jour m'dame, bien'vnue ici, j'peut faire quelqu'chose pour vous?

C'était lui l'douanier? Il était entrain de lui causer a elle? C'était quoi s'truc?? Il était là posté d'vant elle tout penaud avec son air enjôleur, enfin qui s'voulait?? Elle lève ses yeux plissé tentant de découvrir un coupable, c'était quoi c'te blague? Nan mais c'est qui la r'luquer en plus! Là d'vant sa truffe! La chieuse en roula des yeux avant d'secouer sa main devant son visage lui faisant comprendre d'aller voir ailleurs.


R'vient m'voir quand t'auras du poil au menton et qu'ta mére t'ras mouché la morve qui t'pends au nez.

Nan mais l'allait pas aller jusqu'à faire perdre la virginité de ses demi homme nan plus, l'avait mieux à faire. Bref.. quesqu'elle voulait dire encore a sa gamine...

Bon j'disait quoi moi d'jà..

HHAAAAAHHHAAA , PAR MA ZEZETTE !! LASSE MOI GROSSE LAIDE SINON ZE VAIS MORDRE !!!!


La chieuse lève les yeux aux ciel sa chieuse qui n'resterait décidément jamais en place. Ont vient d'arriver, maarrde quoi, pensa t-elle se dirigeant vers Kiiara, elle l'empoigne par son autre bras pour la ramener vers elle.

Madame, cet gamine cet peste était en train de boire a même la pie de ma chèvre! Il lui faut une bonne correction. Dit elle en tirant de son côté Kiiara.

Quoi 'sont pas en libre service vos bestiaux? regardant les chèvres en questions avant de retirer Kiiara vers elle
Bon vous la lâchez oui ou s'moi qui vous la met la correction!

La femme lâcha la alors la gamine outrée regarda la chieuse à cet instant lui tourner le dos.

Malpropre! Vous méritez la corde!! Répliqua t-elle. Mauvaise attitude se dit elle.. Et dans un grand mouvement du corps qui fit voler sa cape autour d'elle, une gifle partit et vint s'écraser sur la joue de la vieille paysanne y laissant la trace bien nette de ses doigts. Puis sans plus de formalité elle lui tourna à nouveau le dos, la vieille elle ne pipa davantage mot et ne demanda pas son reste sa propre main sur sa joue

M'enfin...mais.. Houlalaa quand Le Lu va savoir ça..


Alors qu'elle chercha du regard sa vilaine, elle avait de nouveaux disparue. Papotib ça! Aucune reconnaissance ces gosses, vous jures.. Et Chiquette alors? Humpf, la brouette était vide. Ah ben ouai perdait pas d'temps elle aussi.. tss di diou.. quel histoire.. Elles avaient écoutées au moins s'qu'elle avait dit?.. soupire de la chieuse, on est jamais mieux servit que par soit même se dit-elle emboitant l'pas.

Allez hop à la recherche de l'extase perdue, elle, son corps un jardin et sa volonté veut un jardinier! Mais pas trop vite, rien ne pressait, fallait se faire attendre, le revoir pour reprendre les joutes verbales.
Le nez au vent et l'œil aux aguets, passant devant l'église dans un premier temps, elle se promit d'y revenir une nuit pour y farfouiller à son aise. Mairie.. Boulangerie.. Boucher.. Petite visite à Tours avant d'aller visiter tout court quelqu'un..

_________________
Chiquette
[Aller en prison sans passer par les tavernes]


Alors que Kiiara massacrait les restes de l'herisson en sautant dessus ,la Kiss profondément perdue dans ses pensées ,la bouteille de Chiquette s'etait vidée ,comment? ça elle cherchait encore ,persuadée qu'elle n'avait bu qu'une rinçade...Il lui fallait donc aller se rapprovisionner en taverne,elle zieuta la grande et la mini chieuse toutes deux occupées et se dit que le temps que les deux demoiselles reprennent leur esprit ,elle serait revenue...
La vlà partie ,direction taverne la plus proche...Arrivée devant les portes de la ville ,Chiquette se fait intercepter par le douanier de service

"Hep vous?d'où venez vous? vos papiers?"

Euh b'jour m'ssieur le douanier je viens de Thouars,mes papiers ,euh...c'est mon amie Kiss qui les a

Sourire aux lèvres ,Chi s'trémoussait devant lui,le douanier la regardait avec un air hautain

Moui,vous n'avez donc pas de papiers et vous vagabondez?

Elle s'arrêta de s'tremoussait et posa sa main sur la hanche

Quoi? moi ? vagabonde? non mais vous m'avez regardez??

Le douanier la relooka du haut en bas

Oui justement ,pas de braies,pas de robe ni jupe...cela dit ça vous va trés bien...petit moment d'egarement il se reprit
Je ne peux vous laisser errer ,je dois vous emmener ,il l'attrapa par le bras

Chi se debattait

Namého,puisque j'vous dit que j'suis pas une vagabonde!!lachez moi ,j'veux pas vous suivre! pis pour aller où dabord??j'ai soif moi je dois passer en taverneeeeuuuh

Le douanier se mit à rire tout en lui tenant le bras

Mouahaha,les tavernes seront pour un autre jour ,là vous allez dormir en geôle ,aller faites moi pas perdre mon temps

Chiquette essayait de sortir des griffes de l'homme mais il avait une telle poigne qu'elle ne pouvait rien faire ,elle se mit à crier pour que Kiss l'entende mais le bougre la traina jusqu'à la geôle , l'enferma sans remord et reparti ,sans même se retourner, jusqu'à son poste

Chi se tenait aux barreaux en hurlant

Ouvrez moi,m'laissez pas làààààà!!!Kisssss,Kiiaraaaaaaa
_________________
Kiiara
[ une boisson chaude et un m’siou qui l’interpelle]

Voilà que sa mère lui fait les recommandations habituelle « te tien tranquille patati patata… » Elle n’écoutait déjà plus, c’est que quelque chose la distillai, une chèvre qui avec ses pies toute gonflées et dieu que comme c’était bon de boire le lait de ses bête là …
Sans demander son reste elle se met a 4 patte et prend le mamelon dans sa bouche et tète goulument
Hum trop bon le breuvage chaud qui rentre dans son estomac vide et creux qui demander pitence depuis déjà quelque temps
Mais pas le temps d’en apprécier plus que v’la qu’on la tire pas le fond de sa culotte…


HHAAAAAHHHAAA , PAR MA ZEZETTE !! LASSE MOI GROSSE LAIDE SINON ZE VAIS MORDRE !!!!


Elle se tien prête a sautait sur la femme qi a oser la priver de son gouter … quand sa mère se précipite pour aller a son sécours… trop forte maman et c’est pas peut dire …

La femme a lâche normale on ne peut que tremblait devant la mine renfrogner de la Kissiou
Mais un cris alerte la gamine qui reconnaît de suite sa chic chic d’amour … laissant sa mère se charger de ça elle court rapidement en sa direction
Ses petit pieds raisonnent sur les pavé et le froid lui pique les joue qui sont aussi rosée que ses fesses du temps des bonne sœurs quand, aprés ses farce les dame du bon dieu n’hésitaient pas a la cogner avec toutes sorte de matériel … e faite se qui leur tomber sous la main, règle, bâton, ceinture, balai. Mais la pire punition ça avait était le jour ou il l’avais laissée des jours a la cave … enfin des jours c’est se que ça lui avait parut … dans le noir on perdait très vite ses repère de temps
Il faut dire que durant ces longues punitions
( parce qu’il n’y avait pas eu qu’une fois) elle avait comme préoccupation premier d’écouter les pas des rat qui marchait autour d’elle…
Un frisson parcours son dos a cette pensait, peu de chose effrayer la gamine mais la cave …. Arg quel horreur !!!
Elle tourne a l’angle de la rue et la voit chic chic se faire trainer de force dans une bâtisse au vitre a barreau. Cela lui fit de suite penser au geôles du château quand elle avait surpris son père mettre un homme dedans


HO ! mais on n’a mit chicchic dans une geoles arg z’espère qu’il vont pas la torturer …

Sur ses mots elle remonte ses manche et se dirige d’un pas décidé vers la prison, bien décider a mettre une correction a celui qui s’en prend a sa chic chic d’amour
Mais juste quand elle arrive devant la GEOLE l’homme en sort et la toise du regard


Que fais tu la gamine… ou sont tes parents ? j’tais jamais vu par ici tu vis ou ?

La gamine ravale un peu sa fierté fallait se tenir tranquille pour le moment qu’elle avait dit m’man

Ma m’man parle a la dame a la sèvre la bas… heu non z’habite pas là ze suis une podevin, tu connais les podevin ?

L’homme reste perplexe par les dire de la gamine mais ne voulant pas passer pour un illétré lui répond …

Bien sur que je connais.. donc tu viens pas d’ici ? le village est interdit au étranger t’a interet de déguerpir et vite !!

Ne tenant pas a finir dans le geole avec chic chic .. ( ben quoi faut bien prévenir kiss :p) elle par sans demander son reste et court jusqu'à sa mère qui déjà s’éloigne vers un autre lieu…

MAMAN !!! on n’a enlever chic !!! et pis on veux pas de nous ici parce que on n’être des nécranzer, s’quoi des nécranzé ?

Posant la question elle tire sa mère par la main la forçant a se déplacer jusqu'à la prison ….
_________________
Kissiou
[Quand le bordel dépasse son chignon]

Des jours.. voir des mois avaient passés pensait la chieuse.. Malgré les peu de lettres échangé. Ca s'trouve ce jeu ne l'intéresse plus, ou bien elle tout simplement, et si l'était tombée raide dingue d'une femme entre temps? Mardeuuuh elle aurait même pas profité d'lui, pas à son goût en tout cas. Ou si il avait changé de voie soudainement? Du genre la voie de la croyance et du respect sur la valeur d'une femme? La chieuse en faisait toute sortes de grimace se posant milles et une sortes de question les unes plus stupides que les autres.. "Tachonne si son invitation a toujours tenu c'est qu'il veut toujours de toi" (Ça c'était la petite voix de la raison qui parlé dans sa caboche) "Ou alors.. il sait l'effet qu'il fait et se joue de toi mouahah, idiote!" (Celle là c'est celle de l'absurdité, celle qui occupe 98% de son esprit) Elle secoua son chignon chassant tout se brouhaha de sa tête. Quoi qu’il en soit, elle y prenait un malin plaisir à l’aguicher de toutes les façons possible. Et puis lui il ne manquait pas à l'appel en posant ses yeux pétillant sur elle, tandis qu'elle, simulant l’ignorance, elle s’en délectait au plus haut point esquissant ses sourire en coin pleins de satisfaction. Aucune raison qu'elle doute.

Donc non rien ne pressait, l'allait pas s'envoler comme ça le bel oiseau sans qu'elle ai eu ce pourquoi elle était venue, ou peut être pas que pour ça.. Le faire attendre, languir et désirer.. Un amusement qui devait la faire frémir plus elle que lui d'ailleurs.

C'est avec un sourire niais qu'elle se stoppa a l'angle d'une rue, elle venait d'jà de faire le patté de la place. Son regard cherchant a tout prix quelques chose pour s'occuper tomba sur le jeune homme qui l'avait précédemment accosté. Ce dernier semblait faire triste mine cet fois ci, surement parce qu'il n'avait pas encore jeune dinde se trémoussant à ses pieds, pensa t-elle en ricanant. La belle brune vira ses mirettes un peu plus à côté vers la forge. Un sourire sadique éclaira alors son visage quand son regard tomba en arrêt devant la grande cuvette remplie d'eau, qui devait servir à refroidir les métaux. Mais elle n'avait pas eu le temps de faire un pas pour mettre en œuvre son plan machiavélique que la douce et mélodieuse voix de sa fille revint tinter à ses oreilles se faisant sans perdre de temps empoigner par le bras et tirer vers la Chiquette.

Pas une pour rattraper l'aut' moi j'vous l'dit... Z'êtes pas sortable franch'ment... J'avait pourtant dit d'faire bonne impression grrr vais passer pour quoi moi encore.... nan mais... Humpf.... pfouuu.. Tu disais quoi toi au faite? des nécranzé? 'squoi? C'est des personnes qui sont étrangers à ici.

Alors que la gamine continuait de tirer la mère, elle la regarda exprimant encore moins de compréhension.

Bah Quoi?

Elle haussa les épaules continuant à marmonner jusqu'à arriver là où les cages à poule avait été creusé pour les prisonnier, comme sa chic à cet instant enfermée derrière les barreaux, dans une geôle froide, humide, puante.. Et si elle l'a laissée là quelques jours? elle aura pas à s'en soucier comme ça. Mauvaise pensée, encore. Nan même si l'idée était pas si mauvaise au final, pouvait pas faire ca a son acolyte tout d'même. Mais bon.. quel perte de temps là!! Pouvait pas mieux trouver, pour sure!
D'façon c'était une chieuse des excuses à la mord moi-le-nœud pas crédible pour un écus elle en avait à la pelle si l'autre râlé d'trop. Et pour un peu elle en rajoutera une couche avec du genre une excuse qui dure des heures à raconter rien pour le faire grogner un peu plus fort. L'excuse impliquerai "une amie d’une amie, mais s' pas une amie directe, mais j'la connais un peu parsqu’on avait bataillées un peu ensemble, mais j’ai arrêtée tout ça maintenant, la guerre et tout et tout. Mais si ça m'manque, je pense que j' me réengagerai, mais pas dans la même armée hein.. Oaui pars'que l'autre blondinet moustachu peut plus m'voir.. et donc oui, la copine d'la copine, elle était restée coincée dans l'entrebâillement d'une porte, non pas pars'qu'elle était grosse, non, oui bon un peu ronde par ci et là mais bon, non c'était à cause d’un homme qui était vraiment collant, mais en fait c’est pas vraiment son compagnon t'comprend. Juste un homme qu’elle avait rencontrée au détour d'une taverne, et qui l’a charmée parsqu’il connaît des tas de choses, genre il est Commandant ou boulanger, ou les deux en même temps, j'sais plus, mais ça c’est d'la mytho, j’suis sûre, pars'que s’il était boulanger, il ne serait pas sorti le soir, t'vois, ça se lève tôt.. un boulanger! Mais il y en a beaucoup d'hommes comme ça, t'sais.. Et la plupart du temps, y z'ont l’air bien au début mais y font pas illusion, enfin, pas longtemps. D'quoi on parlait, déjà ? Ah oui, et donc… " ( Y en a qui lises encore là?)

Ah oui Chiquette, géôle.. une silhouette qui lui fait face, elle le scrute, arque un sourcil.. laisse un rictus lui échapper au coin d'ses lèvres la gamine au bout d'son bras attendant que la chieuse dise quelqu'chose; mais avant ça, elle balança quelques pièce sur l'torse de l'homme tandis que son regard erra sur le côté du géolier pour tenter d'y voir son amie.


J'viens chercher ma brunette que vous v'nez d'ramasser. Vous m'la ram'nez?

Mais le rustre qui la reluquait n'ayant pas manqué de ramasser les écus au sol, lui faisait chantage ses yeux dans son décolleté. Non mais... Les hommes, tsssss... Pas un foutu de racheter les autres... Bien de l'eau pourrait couler sous tous les ponts de cette terre avant que il y ait seulement l'ombre d'un qui soit à peu près correct..

Bref, on passe.. une fois sortit ses deux mains agrippant les bras de chacune les 'emmenant un peu plus à l'écart en râlant.


Z'arrêtez mint'nant d'faire vos greluches hein, j'ai mes miches qu'attende moi alors siouplait mert quoi.. Puis toi Chic si tu t'affiches avec tes cuissot a l'air t'pouvait pas lui conter fleurette au porc là? tss... ahlalaaa...

Elle les zieuta se voulant sévère chacune successivement avant de leur proposer d'aller enfin partager quelques chopines en taverne. Et puis qui sait peut être tomber sur LE mec de sa vie. Ouai pars'que en revenant a sa chiantiserie y a que ça qui pourrait la faire arrêter. Elle tombera sur un homme qui la remettra à sa place, poliment mais fermement et avec élégance aussi (ouai parce que sinon elle risque de crucher), mais en vrai homme. Un homme qui ne cédera pas à ses caprices. Ouaip ce jour-là, elle arrêtera d’être chiante parce que cet homme là, il sera parfait pour elle.

Mais entre nous... Cet homme là n'existe pas donc ne rêvez pas elle continuera à faire sa chieuse pour votre plus grand bonheur. Mouahahaa

_________________
Hijikata
[ La chieuze et le maladroit... ]


Les missives s'étaient faites rares... mais il les avait gardé... il n'avait fait qu'un passage rapide dans un duché inconnu... mais il en était ressortie avec une haine des ficelles... haine qu'il n'avait pu oublier si facilement... quelques mots glissé sur le velin... les réponses restaient espacées dans le temps... et le brin de ficelle tant haït s'était mis en route pour le duché... des mots qui restaient sur les missives qui étaient si differents de ce qu'il avait pu entrevoir...

Ses réponses faisaient echo a la joie de revoir la ficelle toujours de trop... oubliant légérement une partie de sa vie... a quoi bon lui raconter ce genre de choses... elle venait pour jouer de la ficelle... rien de plus... l'était venu a Tours... lieu du rendez vous... il était venu avec sa fille... elle était venu avec sa peste... grognement repondant a un ralement...

Etrange retrouvaille des la premiere seconde... les mioches se chamaillant aux alentours... il n'avait eu le temps de haïr cette ficelle tellement les mioches étaient envahissantes et penibles en cette fin de soirée... sentaient la neige surement... ils n'avaient pu delirer comme il avait esperé...
Autant la premiere rencontre fut étrange... autant la deuxieme fut fort deplaisante... la grande langue de sa fille avait debité toute sorte de chose dont ce qu'il avait tres legerement oublié de dire a la chieuze... et pour le peu qu'il la connait... il ne pensait pas qu'elle prendrait cela pour une trahison... deux soirées de longues explications... elle lui disait sa haine qu'elle eprouve pour lui pendant qu'il tente de lui dire qu'il n'avait pas de raison de lui dire ce genre de chose... elle n'avait jamais demandé...

Ca n'empeche en rien qu'emerge en lui un sentiment de culpabilité... ouais l'aurait du la prevenir mais il le savait... la ficelle n'aurait pas trainé son decoletté jusque la... et il avait envie de la revoir et de se marrer de nouveau avec elle... elle commence par le tester... lui offrant son corps... avant qu'il n'ose demander le pourquoi du comment... un leger froid... presque glacial qui s'installe... peu importe la conversation... elle revient tous le temps dessus... au plus grand desespoir du médicastre... ne sachant comment exprimer ses regrets... son corps qui parle a tort et a travers pour changer... compenser le mal etre du muscle par un autre mal plus physique...

De pire en pire... le lendemain...elle revient encore dessus... un mot qui blesse plus que tout... “pitoyable”... entre le caractere de la chieuze qui n'usurpe pas son sobriquet et le mutisme du vieux con... ça clash... ça explose... il lui deverse tellement de choses... pourquoi à elle? Il n'en sait rien... il est rare qu'il sorte de ses chausses ainsi... mais quand il le fait il ne le fait pas a moitié... une silouhette qui s'éloigne.. lentement...

Une immersion de plusieurs jours dans son Qliptoh... loin de tout ça... loin des reproches... enchainé aupres des ames errantes... l'enveloppe physique reste la... mais le corps astral s'éloigne le replongeant encore plus profondemment... il ne mérite pas de vivre en société... rester avec le dechet des ames... il ne me merite pas mieux... égoiste pour une fois l'Doc... ouais surement... il avait envie de la voir... et tout cela venait de se retourner contre lui...

Rester cloitrer dans sa bibliotheque... se remplissant la tete avec l'art de la marine plutot qu'avec son art de la connerie... mais il ne peut, a son grand regret, rester eternellement en ces lieux... finit par la recroiser... terminé la grande gueule... place au gene... les mots se cherchent... les vident dans la conversation aussi... il lui promet un homme pour la nuit qu'il allait payer pour la decoincer un peu... elle avait accepté... il avait accompagné ce beau monde dans sa demeure... donnant quelques ecus a un mendiant pour qu'il aille faire plaisir a la chieuze... il s'en était allé a sa bibliotheque comme a chaque fin de soirée... ne voulant pas entendre la chieuze hurler de plaisir dans sa demeure... un legere reconciliation... mais ce n'est pas celle qu'il a connu dans le Poitou... grande gueule au large decoletté fermé par cette maudite ficelle...

_________________
Kissiou
Entre attirance intense et raison ça donne une chieuse furibonde

Une rencontre, un premiers regard échangés commençant un jeu amer. Jeu de la séduction. Ou peut-être celui de la destruction. Leurs peaux se frôlent, se cherchent, ils s'attirent, se jaugent, se détaillent, leurs yeux s'interrogent, se désirent.. Il lui est attirant, trop même. Ils cherchent le charnel sur'ment comme elle, les folies du moment, l'attirance.
Elle refoule avec difficulté ses envies ardente a son égard pendant sa visite et pourtant quelques mois plus tard revient a sa rencontre. Une idée en tête: se laisser entrainer dans une danse primitive et ne faire qu'un avec lui pour une nuit, remonter le temps afin d'arranger ce qu'il n'avait été fait.

Arrivée a Tours, Regard qui se croisent depuis un bout d'temps. Troublée la chieuse ne s'rappelant plus qu'il était aussi séduisant même si des p'tits bout d'lui elle avait tenté de garder en son peu d'esprit.
Son corps s'agite mais son esprit l'a rappel à l'ordre se sentant soudain gauche et pataude bras ballant limite l'attitude d'une pucelle devant son premier n'amoureux, les zygomatiques figé, la ficelle entortillait autour d'un doigt de bouge plus, ca n'lui ressemble pas ça la chieuse.
Mais elle finit vite par être elle même, à détester l'ambiance, les mioches et l'trou. Puis la seconde rencontre, lui. La règle qu'elle s"était toujours fixé est là, une greluche il a, sans qu'elle soit pourtant présente dans sa vie d'tout les jours. Il lui fait une révélation, quelque chose qu'apparemment il n'avait jamais dit à personnes, mais pourquoi le lui dire? A elle? Quel intérêt? Cela l'avait animé et ses mots à elle avait dépassé sa pensée.. Mais lui.. n'en démorda pas pour autant sur l'fait qu'il l'a voulait, point final. Tel un homme, un vrai hein (ceux qui fonctionne qu'avec l'étage inférieur de leurs anatomie), il l'a voulait oui, il désirait s'approprier son corps pour quelques instant échangé, étancher sa soif qu'il avait d'elle depuis leurs rencontres et vise versa pour elle..

Et.. si au fond d'elle, elle voulait réellement lui plaire? Avait il un cœur aussi froid que le sien? Il n'avait pas l'air de rester insensible a ses charmes certes mais ils se laissaient tout deux convaincre par une histoire de plaisir physique, même si une pseudo.. étrange.. et ambiguë.. amitié entre eux avait été crée.
Elle avait du mal a le cerner, il avait sa part de mystère qu'elle ne décelait pas. Elle aimerait lire pourtant dans ses yeux, rare quand elle prêtait attention a la vie d'quelqu'un l'enchignonnée, vouloir l'comprendre l'Chinonais mais il n'laisse rien deviner de ce qui se passe dans sa caboche l'bougre.. Et puis d'toute manière elle a trop d'caractère pour l'laisser s'exprimer, et lui l'est trop énigmatique pour la laisser croire..

C'est donc vexée qu'elle prend racine, jusqu'au soir où sa greluche ramène ses miches, pouarf manquait plus qu'ça, pas d'crêpage de chignon (ouai parce que l'Doc craque pour les enchignonnées) pas d'membre en moins, toujours deux yeux en face des trous pour les donzelles. En même temps y'avait pas d'raison mah bon. Un peu plus tard un pli, des nouvelles.. mauvaise nouvelle.. l'exécution du Chian, de son chian.. il n'était plus de s'monde. Son estomac se tordit comme si on l'avait battue au fur et a mesure des lignes, finit les regard pleins de malice, les sourire taquin, les joutes verbales de je t'aime moi non plus, terminé.. Elle n'veut pourtant le croire.
Autre nouvelle. Battue.. sa sœur l'avait été par des tourangeaux en plus. Malpeste! Alors qu'elle, elle était là attendre que les poules aient des dents. Pendant quelques seconde elle eut peur de vomir. Voulu laisser échapper sa colère mais ne put bouger, voulu hurler mais elle n'put émettre un son.. Alors l'alcool fut sa seule amie pour sa fin de soirée avant d'rejoindre la demeure du vénérable vieux con. A savoir la suite elle aurait préférait finir sa nuit ici. Sortant de la taverne titubant elle agita ses mèches brunes dans un soupir et se retint à l'angle d'un volet pour pas verser sur le pavé humide de la rue.


Fiiiich *hips* tre, mais *hips* c'est que j'tiens 'core ! *hips*

Mouai, pour le coup, elle n'tenait plus grand chose en effet. Mais un bon bain et en bonne compagnie en plus, bon pas celle de l'hôte mais bon ca la remettrait d'aplomb quand même, ouaip l'Doc lui avait presque promit, il disait que c'était pour la décoincer, pfff elle allait lui en décoincer une a lui voir.

A bon port. Chez la vénérable chose
Elle s'étend a son aise dans un baquet d'eau chaude super trop agréable, un verre d'vin en main. Elle refoule encore difficilement s'goût d'amertume qu'elle a envers l'Chian, le souvenirs de plusieurs moment défilent sans son esprit, sa gorge inondée par les larmes qu’elle n'voudrait pour rien au monde laisser couler, tragique espoir qu’il puisse la voir de là-bas. Adieu.. *hips* Adieu ma trombine.. Souffla t-elle avant de contempler le regard dans le vague les murs de son esprit. C'était pas beau. Poussiéreux et sales. Ils en disent long sur le sens d'sa vie. Toutes les mauvaises épreuves sont tout là-haut, il n’y a que de la rancœur, c'est le bordel dans sa tête. Les frustrations à gauche, ses rêves perdus à droite, ses souffrances aux oubliettes, ses amours en suspension. Et son bonheur, qu'en faisait elle? Ça bourdonne dur dans sa tête, elle réfléchis.. elle réfléchis trop, beaucoup trop pour une chieuse. Mais une porte qui s'ouvre la fit sortir de ses pensées laissant apparaître un homme puis un autre. Elle rendit son regard plus noir que l’ébène lorsqu’elle comprit ce qu'on lui amenait, elle détourna son visage sur l'vieux con afin de le fusiller du regard. Le bougre! Un mendiant, le déchet! Il a osé! Pourriture!

Le moindre mots, la moindre injures se mouraient dans sa gorge médusée, un verre qui s'brise en éclat par la pression d'sa main, mais la porte se referme, il n'est déjà plus là.. Décidément tout lui échappait ce soir, une moue désespérée sur son visage, une colère grandissante en elle.. Avant d'sentir une main glisser dans sa nuque, grognement de la chieuse avant de lui talocher sa paluche. Brr..ah!

Heyy!! Bas les pattes *hips* face de têtard

-'tend s'tu veux j'te r'joint j'retire mes braies, 'tend ca ira mieux, zut coincé,
...T'veux pas m'aider? héhé.


Vin diou mais *hips* qu'es'que tu chiote dur!... Oh mon dieu! *hips* mais qu'tes laid aussi, t'sors direct d'cul d'malin ou quoi?...Humpf. Avise d'me retoucher!


-Ouai ba on y va? S'que s'pas tout les jours qu'on m'paye pour.. On y va? Le sourire édenté du mendiant la dégouta de plus belle, elle maudissait l'vieux con.
Bon, j'ai pas deux heures non plus hein, pis ca chatouille méchant en d'sous.

'Tain, mais *hips* fait pas chier toi.. J'ai la *hips* trouillométre au maximum là t'vois. Vire moi tes doigts d'ton nez d'jà et *hips* oust, dégage, remballe ta saucisse et vire d'ma vue pauv' *hips* type, même l'odeur d'ma gerbe n'arriv'rai pas *hips* a masquer ton odeur.

A l'université en mode tornade
Trop! s'en était trop! Il avait l'art et la manière d'la mettre dans tout ses états l'vieux con. Autant deux façon de lui mettre sa main au visage était de la partie. C'est donc une chieuse a peine vêtue d'une chemise lui tombant sur les cuisses et de ses bottes trempés jusqu'au os qui traversa les ruelles dans le froid comme une furie sans préter attention a quoique ce soit jusqu'à la tanière de celui qui était la cause de son état. [Avance rapide sur la volé des diverses portes avant de trouver la bonne.. hum] Elle pénétra dans l'bureau avec frénésie refermant la porte derrière elle dans un geste fulgurant. Vlam! Elle fixa aussitôt l'Doc. Pas de visite de courtoisie, ni v'nue pour s'faire soigner, l'avait bobo a la main mais elle l'savait pas encore ça. Bref,Il était droit devant dans sa ligne de mire entrain de bouquiner dans un silence morbide.

Délicatesse, patience, et subtilité sont avec le respect la clé du paradis pour une nuit. Elle se rapprocha du bureau avec une démarche lente jouant avec cette fameuse ficelle de sa chemise, elle s'entortille au fur et a mesure de ses pas autour de son doigt, le nœud se défaisant doucement. Ah non! y avait pas d'noeud pas eu l'temps de l'faire.. Elle arbora ce petit sourire malicieux qu'elle savait irrésistible.

[Reset...]
*Lecture*
Il était droit devant dans sa ligne d'mire entrain de bouquiner dans un silence morbide. missile lancé! Finit la patiente et le respect, place a l'action. D'un pas vif et décidé elle fonce droit sur lui sans vergogne ni formalité, la peau blanche et frissonnante, plus d'chignon, un accoutrements indécent, mais quesqu'elle s'en foutait franch'ment?
La chieuse vint donc s'appuyer face au bellâtre sur la table avec ses deux mains puis ne le quitta plus des yeux. Elle papillonna les cils, mine de rien alors que son buste se pencha délicatement lui laissant une vue plutôt plaisante, la bouche en cœur..

[Reset..]
*Lecture*
La chieuse.. arriva devant lui, elle fit table rase de tout ce qui faisait obstacle sur son bureau, mais surtout pour exprimer son mécontentement (surtout pour ça enfaite).. Dégringolade de dossiers qui fit élaborer sur son visage un léger plissement de sourcil qui ne fit qu'accentuer la lueur arrogante qui pétillait dans son regard, Maarrde quoi!

Ses mains se plaquèrent fermement sur la table tandis que ses yeux se soudèrent dans les siens, aucun battement de cil, seule la veine près de la tempe tressaillit. Un silence de plomb entourait. Elle fut partagée une fraction de seconde entre lui aligner une droite en pleine face et celle d'un désir violent de l'embrasser, lui retirer tout ce qu'il portait afin se glisser contre sa céleste source de chaleur qu'était son corps.
Simple jeu érotique, ou véritable amour sadique? Peu importe tout deux rendait ça. Jusqu'à maintenant elle voulait lui donner l'impression qu'il n'était ni plus ni moins désirable a ses yeux. Suffit maintenant, ne plus tortiller du cul pour chier droit, en avait marre la chieuse, fallait pas pousser l'bouchon trop loin nan plus Maurice!

Z'êtes idiot ou vous l'faites exprès?! Vot' pauv' type j'vous l'ferez bouffer par les trous d'nez moi! Au diable mes règles, comprit?! J'suis v'nue ici pour une chose et j'vais pas r'partir avec s'goût d'inachevé sur mes lèvres!

Là pour sur l'avait décuvée en deux temps trois mouvement avec cet histoire. L'était bien la chieuse là, nan?

Félicitation a ceux qui ont lu jusqu'à la fin, même en travers! J'ai moi même eu peur de mon pavé.. Z'avez le droit a un bonbon!

_________________
Hijikata
[ Irruption volcanique dans un bureau ]


L’Doc replongeait sans s’en apercevoir dans son lieu de prédilection... la Qlipoth... le corps astral s’installe confortablement... le dos appuyé sur le vide sans fond... les genoux se plient... les bras retiennent le tout... et le menton prend appui sur ses jambes... les yeux se ferment pour ne plus voir cette rivière d’âme égarées... les écoutilles se bouchent pour ne plus entendre ces hurlements silencieux... en mode carapace l’vénérable vieux con... un b’soin d’être seul dans son monde parallèle... envie de faire le point... de tout reprendre...

Faire l’état des lieux actuels... la missive à destination du plus beau chignon du royaume venait de partir... sa Norf devait dormir chez elle en ruminant les paroles blessantes de la chieuze... et Kiss devait être en train de prendre son pied avec le bouseux qu’il lui avait trouvé... non... elle devait râler fortement de voir qui il avait payé pour la décoincer... il l’avait vu a son regard... mais une promesse est une promesse... son corps avait besoin d’un petit ramonage en règle... et esprit de contradiction oblige il s’était proposé de lui emmener quelqu’un... mais il n’avait jamais dit qu’il lui emmènerait un homme des plus attirants... faut pas pousser non plus... elle aurait du s’en douter... puis l’a bien le droit d’être égoïste pour une fois nameho!

Autant il n’avait pas entendu le livreur de missive arriver et s’était retrouvé comme par magie avec une missive devant... autant l’arrivé de la chieuze dans son bureau avait fait l’effet d’une tornade... ramenant brusquement son corps astral dans la pièce...


VLAM!

Une furie était devant lui... il plissa les yeux... elle le dévisageait... elle était dans une drôle de tenue... juste des bottes presque crasseuses... les gambettes a l’air... sa fameuse chemise mais déjà a moitié ouverte... Kiss sans ficelle attachée c’est comme une bibliothèque avec des livres déjà tous ouvert... il n’y a plus le plaisir de le faire soi même... de découvrir... impensable... mais bon elle n’avait qu’a devenir gentille et prévenante tant qu’elle y était... il se mordait la joue sans la lâcher du regard... il ne devait pas rire... elle semblait furax... il pouvait la comprendre... mais tel est pris qui croyais prendre comme on dit du coté des abrutis...

Pour le moment il la laisse faire... mais elle prend d’énorme risque... tous le monde sait qu’il ne faut jamais déranger un Vénérable vieux con plongé dans ses études... elle a beau jouer comme a son habitude avec le nœud de son décolleté il y a un léger soucis... il la laisse faire... attendant son heure... la laissant faire son petit théâtre devant lui... pièce presque comique durant un temps... elle en oublie même qu’elle est a moitié a poil... forcement sans son légendaire nœud de cordon...

D'un geste elle balaille son bureau des dossiers... la derniere qui a fait ça avait du lustrer le bureau avec ses fesses nues... mais a ce moment la il n'était pas en train de travailler... ses yeux se plisserent d'enervement...l es mirettes dans les mirettes... la pente devient fort glissantes... le manque de lacet lui offre une vue interessante... mais pour une fois le regard ne se porte pas a cet endroit... yeux contre yeux... ça ne plaisante plus... ils se sondent mutuellement... elle avait interet a sortir quelque chose d'interessant... parce que la... dépasse legerement les borne des limites... sa voix brise le silence de la piece...

Bon d'accord... legerement abusé pour le clochard qui devait la tringler... mais cela justifit-il de venir toucher a quelque chose de precieux a ses yeux... les coudes se posent sur la table... une main enserrant son poing... la respiration se fait forte... mais aucun mot ne sort... il la regarde juste... tiraillé... haute lutte en lui... primaire... voulant de suite laver cet affront d'une maniere quelque peu original... et la raison... lui disant de ne pas aller au dela... et puis en plus on vient pas deranger un vieux con!

Son regard lache le sien... toujours sans réponse... mais son regard quitte le sien... glissant entre ses monts... le long de son bras... ses mains... dont une ensanglantée...


Heyyyyy

La il rale pour de vrai... elle va tacher son bureau nameho! Recupere sa besace de besace rapidement... recuperant un linge et lui prend la main... la faisant se pencher bien plus vers lui... enroule sa main blessée dedans... fulmine malgré la vue qui laisse quasiment entrevoir la pointe des jolies monts...

Z'etes completement saoule vous...
_________________
Kissiou
L’ivresse des sens donnera t-elle naissance à la quintessence? Silence.

Les choses sont dites, l'es pas passé par quatre chemin la chieuse là nan? Que lui vaut le silence du vénérable vieux con dans s'cas? Leurs regards ne se lâche pas, défis? attirance? provocation? Il s'accoude sans piper mot, le silence se fait lourd et les peu de secondes qui viennent de s'écouler paraissent des minutes. Quoi? l'aurait du lui aligner son poing dans la figure pour le faire réagir avant? Ah! ses yeux bouges.. se glisse vers son décolleté bien large.. elle sourcille légèrement, va continuer a la mater longtemps en silence? Enfin il s'exclame! "Heyyy" quoi encore? Il râle récupérant aussitôt sa besace. Mah quesqu'il fait ?? Pas l'temps de comprendre qu'elle se retrouve davantage penché sur lui, sa main se faisant prendre pour être soigner.. L' a l'air encore moins commode qu'elle l'Doc là, tantôt il avait une mine amusé et un tantinet agacé tantôt maint'nant il râler d'la voir blessée? Mais non l'idiot, s'pas ça qu'il faut qu'tu fasses, tss, tu rajoutes du tissus sur son corps alors qu't'es sensé lui retirer s'qu'elle a d'jà. Elle le regarde, écoute ses râlement a son tour amusée, elle se lassait pas d'le voir aussi imprévisible qu'elle. Elle le détaille dans un silencieux plaisir...

Saoule? marrt ca s'voit? ca s'sent? pourtant elle avait retenue tout hoquet. Dommage. Mais elle se demandait bien qu'elle importance ça faisait, son corps était apte pour n'importe quel sorte de chevauché, voit pas l'probléme la chieuse, pfeu. Mais un sourire tout ce qu'il y a d'plus discret s'esquissa sur son visage a ses mots tandis que ses pupilles, elles qui étaient noir de fureur se ranimèrent joyeusement de cette couleur azur excessivement enivrante.
Il avait a cet instant une belle vue dans son décolleté laissant apparaitre une des parties de chez une femme des plus attrayant alors qu'elle, si proche de lui s'efforçait de n'pas être s'enivrer par le parfum de sa peau qui, qu'elle le veuille ou non la submergeait dans une profonde émotion. N'pas si attarder dessus... n'pas l'embrasser non. Hors d'question, l'était en colère après tout! Elle entrouvrir son caquet pour grogner..


Laissez.. souffla t-elle mielleusement ses lèvres se rapprochant dangereusement des siennes pour ensuite s'emparer de sa bouche et l'étreindre d'un baiser avide et audacieux.

Elle aurait voulu a ce moment même s'abandonner a ses caresses, a une étreinte pleine de tendresse et a la fois ardente. Oublier quelques minutes son coup de gueule et l'aimer un instant, le temps d'un jeu sensuel de deux corps frémissant. Mais tentant de reprendre vainement contenance elle se détacha de lui non sans mal. Forte et certaine, c'est l'apparence qu'elle voulait toujours rendre d'elle. Sauf qu'elle était constamment en contradiction avec elle même, elle dit, pense, agit, se ravise, une éternelle opposition. Certains pourrait penser a un jeu même si la plupart du temps c'était le cas mais.. hélas parfois non, se prenant a son propre jeu. Comme pour mieux se torturer. En complet déséquilibre. Elle montre aussi parfois, (Comme nous venons de voir un peu plus haut) l'air de rien, quand elle peut être pile poil en train de faire le contraire de ce qu'elle pense ou mieux encore, dire l'inverse de ce qu'elle fait. Paradoxe d'une Chieuse fascinant quand même nan?

Corps qui se redresse devant le bureau qui les sépares, lèvres qui se pincent comme pour chercher ses mots, regard fuyant pour une fois.


J'crois qu'j'ai .. que je... hum.. 'fin.. désolée.. s'couage de crinière folle, l'allait pas s'excuser pour l'avoir dérangé la chieuse quand même! Bonne nuit.

Houuu, v'là qu'elle en perdait son bagou, chose a laquelle elle était peu coutumière, ayant toujours son mot a dire, quitte a être hors sujet, manière d'essayer d'avoir toujours le dernier mot. Râlement, insulte.. non même pas, limite penaud. Tsss vaut pas mieux qu'une Vilaine là. Quoique ne pas comparer ce qui n'est point comparable quand même, là c'est la joueuse qui vrille *mouuaah*
C'est donc sur ses dernières paroles qu'elle prit une légère inspiration comme pour se donner de l'assurance de pouvoir tourner les talons et de se persuader qu'elle quittait cette pièce sans regret.

On croit que l'expérience et nos blessures sont des forces. Loin de là. Elles la rendent vulnérables, fragile face aux espoirs d'un soir et à la réalité d'un jour naissant. On croit avoir le contrôle d'un moment présent intense. Et encore loin de là. Elle oubliait à quel point passer du temps avec quelqu'un qui était attirant et qui émanait en elle une tentation indéfinissable qu'elle se torturait a repousser n'était pas sans conséquence, l'air de rien. La souffrance, le manque, et l'impuissance font partie d'elle comme ils font partie de chaque être vivant, mais elle, s'est entrainée et entêtée a ne vouloir les rendre le moins perceptible qu'il soit. Mais pourquoi alors ces mouvements inattendus? Pourquoi ces regards, ces gestes remplis d'une part d'ombre et de vie? Une fois derrière la porte elle tourne en rond dans un cercle enflammé de l'incompréhension, elle n'a comme toujours aucune réponse, sa caboche étant toujours un champs de bataille. Son coeur reste silencieux, sa raison lui crie "Non" son corps lui comme toujours s'ouvre à l'envie, sa tête elle trop occupé aux "questions". Sa main se repose sur la poignée pour ouvrir a nouveau la porte, mais se ravise a nouveau repliant ses doigts sur eux même, pivotant sur place pour s'en retourner vers la sortie.

_________________
Kissiou
Entre lâcheté ou courage? Chute libre d'un chignon car Cupidon a été bidon avec ses flèches a la con.
Le soir du 16 Décembre 1457.


Peut on n'aimer jamais ou aimer un jour? rester enfermer sur sois et ne jamais oublier? ne pas arriver a faire passer le passé. Un sentiment, une tendresse sincère, qu'elle déteste ressentir, est-ce une métamorphose de l'âme? est-ce un mal? un bien? pour qui et a quoi bon? Peut on se résoudre a effacer un moment, un instant dépassé, un regard attendrit, des bras qui nous enlacent? Lui était il possible? effacer un regard qui la traverse de part en part, un regard qui lit sa complexité, et épouse la moindre de ses sensibilités, ce regard doux a la fois perçant et pourtant vide de sens par moment. Peut elle oublier? Le voulait elle réellement au fond?

Debout face a une porte, devant la chambre de la vénérable chose, main en l'air hésitante, le doigt a demi replié, l'oreille aux aguets ne sachant pas s'il était présent ou non arrivant seulement tard dans la soirée. Mais elle ne le saura pas se résignant a frapper et s'en retourner dans sa chambre voir sa fille qui dormait a poings fermés. Une porte qui s'ouvre, elle pose ses yeux sur elle, endormie, illuminée par la lumière d'une bougie sur le chevet. Son petit corps fragile souffrait depuis la mort de son paternel et l'ignorance que sa mère avait porter a l'informer pensant qu'il serait mieux pour elle d'espérer un jour le revoir plutôt que de l'avoir perdu a jamais après ce qu'il s'était passé en Poitou. Elle vint s'assoir prés d'elle sur le bord du lit replaçant quelques-unes de ses mèches qui lui brouillait son visage pure. La chieuse qu'elle été avait posé son masque de l'indifférence laissant place au visage d'une mère attendrit et atteint, un faible sourire sur son visage s'imprégnant de souvenirs des plus drôles avec sa mini succube. Son regard se voile.. La douleur pénètre peu à peu son âme voyant dans quel genre de vie elle l'entrainait. A cet pensée, elle tente d'étouffer la colère de son cœur malmené, qu'elle voulait solitaire.
Les gens avaient raison.. La vérité est si amère a admettre, elle faisait une mère piteuse malgré l'envie de vouloir le bonheur pour sa fille, sa chair et son sang et celle du Chian..

Elle avait l'air si calme la tiote et pourtant était si en colère. La beauté de son visage qu'éclairait son cœur d'enfant, avait su apaisait les mœurs et le sang de la brunette qui bouillait sans cesse de rage pour tout et n'importe quoi. En sa présence, elle trouvait parfois la paix d'elle même, mais depuis leurs départ, la lueur de ses yeux d'enfant n'y était plus. Son rire cristallin avait lui aussi disparu, elle ne voulait plus trop lui parler, ne faisant que porter de ses prunelles azurée des regards vide sur une mère désemparait la laissant seule dans ces tourments tortueux, aussi froid, que la lame d'une épée lui transperçant l'estomac. Ses derniers mots résonnais encore en tête "j'aurai préférée mourir avec papa.." Ce soir là, elle l'avait regardé et pouvait voir que son beau visage était perdu dans le noir.

Elle avait eu tort d'avoir éternisé son passage ici mais d'avoir surtout penser qu'elle était différente, qu'elle avait ce petit truc pas comme toutes les autres. Elle se lève quittant la pièce en direction du bureau quelques chose en main, ses doigts pianote la table un instant devant ses propres réflexions, ses yeux rivés sur une page blanche qui attendait qu'on la noircisse de mots. La plume glisse ensuite entre ses doigts tentée de lui écrire ce qui l'anime bon et mauvaises chose. Mais se résigne encore, elle lui a consacrer déjà trop de temps, qu'elle regrette en plus vu où elle en était arrivée. Elle était devenue beaucoup trop dure, il devenait impossible de converser avec elle, trop complexe à supporter, elle ne supporte et ne veut plus subir aucune défaite. Elle fini alors par abandonner ses idées, ses envies. Et puis la facilité lui a toujours était plus tentante. Partir. Fuir la réalité, incapable de l'accepter comme a son habitudes. Elle hais pourtant cet impuissance chez elle semblable a un mur inébranlable l'empêchant ainsi de raisonner.
Un jeu au départ amusant au regard taquin, plein d'espoir, d'envie.. ont laissé place a des regards noirs d'amertume et d'incompréhension. Mais d'où cela était partit? Elle ne parvenait a aucune explication.

La plume glisse pour y écrire alors simplement et rien d'autre qu'un "Au revoir", un au revoir pour un adieu temporaire, avant d'y déposer dessus une ficelle .. un petit bout d'elle, de ce qu'elle était.. la seule chose qu'elle laissait.
Quoi qu'elle fasse, quoiqu'elle pense elle ne pouvait renier qu'il y avait tout de même ce "elle ne sais quoi, ce presque rien" qui l'attirait; a la fois pour ce qu'il était et pour tout ce qu'il n'était pas non plus, pour leurs conversations, pour le reste qui se devinait dans leurs silences, pour leurs regards qui en disaient long.
Pour ses coups de gueule devant son indifférence qu'il laissait parfois paraitre.. Mais peu importe, elle avait trouvée malgré le tournent qu'avait pris cette visite son petit bonheur qu'elle était venue chercher a ses cotés, dans ses bras durant un instant et elle espérait lui avoir elle aussi apporter un petit rien..

...

Affaires remballer. Elle déserta la demeure du seigneur en direction du monastère d'un pas décidé.. Sa fille endormit sous sa cape serré au possible contre sa poitrine..
La lune, triste luminaire, la regarde méprisante. Et sa peine a elle saisissante se fait plus pesante se rapprochant du lieu.. ses tourments, douce sirène qui chante sa caboche sans cesse font que ses pensées vont en peine reniant la raison, mais ne cède pas face a sa décision, convaincu que c'était la meilleure chose a faire pour Kiiara. Cette certitude lui était insupportable. Elle était en train de l'abandonner, une décision de plus prise lâchement. Mais c'était pour mieux la préserver car elle lui offrait sans le vouloir en pâture à de terrible lendemain. Elle ne le méritait pas.

Une dernière étreinte atroce, un dernier baiser sur son visage de velours ne voulant détacher ses lèvres de son front; éterniser ce moment, un murmure au creux de son oreille:
J'te pardonnerai d'me détester.. tu auras ce droit.. je t'aime ma fille.. j't'aime.. n'l'oublie pas..
Avant de la confier a une religieuse. Yeux larmoyant, gorge serrer elle lui laissa une seule recommandation:

Prenez soin d'elle comme s'il s'agissait d'votre propre vie, sinon j'me verrai obligée d'venir vous faire gouter ma lame... Illuminé du bon Dieu ou non.

Un dernier regard sur Kiiara, vision déchirante et douloureuse avant de tourner les talons.
S'éloignant ensuite, "c'est un chauchemard" songea t-elle affectée, portant sa main a son front en proie d'une émotion violente qu'elle en chancellerai presque de ce qu'elle venait de faire. Piètre existence..Existence semblable a un cauchemars. Elle venait de laisser la seul personne qui lui restait d'important dans sa vie, sa joie, son oxygène. Une larme brille au coin de ses yeux qu'elle tente vainement de retenir. Elle avait eu l'impression d'avoir déjà tout vu de s'monde, mais sans rien avoir vaincu, au contraire.. Elle se noie dans une mer de dégout. Son ventre se noue, son souffle expire puis se coupe dans sa poitrine pour se contenir. Trop de maux se bousculent a cet instant. Une haine sourde, une aversion profonde, de l'hostilité, l'envahissent. Elle est telle qu'elle pourrait déclencher un incendie. Intentions mauvaises comme celles d'une tornade.


Au porte de la ville:
La Touraine au revoir, et a jamais. Un dernier regard circulaire.
Une pensée. Un simple au revoir, sans colère, qu'elle lui avait répondu, comme chaque soir l'air de rien le laissant penser que le lendemain ils se retrouveraient comme chaque jours. Sauf que le lendemain elle ne sera plus là. Mais ça il ne le savait pas...
La flèche de Cupidon n'est que venimeuse. Si il lui avait demandait de rester elle se serait remise en question, peut être, mais il ne faisait pas partit de ceux qui allait a l'encontre d'une décision. Acquiesçant comme toujours l'air de rien, jamais contredire. Elle pouvait le comprendre après tout, fierté quand tu nous tiens. Et puis si elle devait revenir sur sa décision ca aurait été lui accorder trop d'importance. Tout deux planté sur leurs positions, leurs idées, leurs caractères a la con.

Tout a son temps..

En directions de d'autres horizons. Alors elle part, comme prévue depuis son Poitou, elle part à l'aventure, un bout d'elle en moins. Re découvrir l'ivresse de sa liberté et de son passé délaissé refermant ce livre qu'elle avait à moitié ouvert, ne plus confier sa vie a une oreille qui se veut attentif, reconstruire sa carapace, et... reprendre ses armes, afin de soulager ses colères accumulés en elle, même si elle sait que cela n'apaiserai grand chose, mais plutôt qu'elle s'engouffrera a nouveau dans sa rage de vivre.

_________________
--Soeur_bazouka



[Arrivée de Kiiara au couvent]

Une femme venait déposer sa petite fille de 5 ans au couvent dans la nuit du 16 au 17 décembre 1457.

Prenez soin d'elle comme s'il s'agissait d'votre propre vie, ...

Aristote veillera sur elle comme sur nous tous, chère dame !

La nonne avait répondu fort sèchement, sans aucun égard pour la femme au regard perdu. Elle écouta l'histoire de l'enfant endormie, la serra contre elle prise d'en élan de compassion et s'en retourna à ses occupations une fois la lourde porte du couvent claquée dans le dos de Kissiou.

Elle fera une bonne servante du Très Haut celle là car c'est en les prenant le plus tôt possible qu'on évite les écervelées comme cette mère indigne. Dit elle en déposant la petite sur une paillasse dans une cellule plus qu'austère.


[Quelques jours plus tard...]



Procès opposant 2009-12-20, Kiiara au Duché de Touraine
Kiiara est accusé de trouble à l'ordre public.
Le juge attend la première plaidoirie de la défense
(à déposer sous deux jours ouvrables après l'accusation)


Citation:
Acte d'accusation

Votre Honneur, moi, SentinelTemplar, Procureur de Touraine porte à votre connaissance une affaire de Trouble à l'Ordre Public.

En ce 20 décembre 1457, le service des douanes nous a signalé que le susnommé Kiiara originaire de Thouars se trouve encore sur nos terres, plus précisément en la ville de Tours et ce en dépit de l'expiration du délai dit des 48 heures accordé par le douanier en fonction.
En effet, en vertu de l'application de la Loi Martiale depuis le 23 septembre 1457 par la Duchesse Bitterly, la présence d'étrangers non munis d'un laissez-passer est interdite en Touraine et de ce fait, nous nous retrouvons en présence d'une situation telle que décrite par l'arrêté Senctus II.
Nous citons :
« Article 4 : Dans une situation jugée périlleuse ou risquée pour les intérêts tourangeaux d'après son intime conviction, le Prévôt des maréchaux peut demander au Duc ou au Régnant de suspendre le libre passage en notre territoire d'un non-tourangeau. A partir de ce moment, le suspect doit obtempérer à des demandes réalistes émanant du Service des Douanes dès l'affichage de son nom en gargote et dès réception de la missive entre ses mains [HRP : connexion IG]. Le refus d'obtempérer ou l'absence de réponse constituera un motif d'arrestation ou d'exécution du suspect par les forces armées de Touraine.

Article 5 : Dans le cas où un étranger se retrouverait dans la situation mentionnée par l'Article 4, le Duc peut demander à ce que le Procureur lance un procès préventif, pour Trouble à l'Ordre Public, qui sera considéré comme une mise aux arrêts de la personne. Toute action hostile du suspect entre le lancement de ce procès et son départ de Touraine pourra être utilisée au sein de ce procès.
De même, en cas de présence sur nos terres à l'expiration du délai des 48 heures signifié par le service des Douanes, un étranger s'expose à un procès pour Trouble à l'Ordre Public selon les conditions détaillées précédemment.
A ce titre, exceptionnellement, le Procureur pourra user de son réquisitoire comme d'un acte d'accusation. Le Juge rendra un verdict en son âme et conscience en prenant uniquement compte de la loi royale. »
Les registres des douanes faisant mention de l'arrivée du dénommé Kiiara à Chinon le 19 novembre 1457, de l'enclenchement immédiat de la procédure des 48 h le 21 novembre 1457 et de la présence de l'accusé à Tours le 20 décembre 1457, nous considérons que toutes les conditions sont remplies dans le cadre du Trouble à l'Ordre Public, soit comme nous le rappelons :
« Art. 2.3.3 :

* le Trouble à l'Ordre Public : Toute atteinte à l'ordre civil, à la tranquillité publique, aux institutions, aux personnes, toute transgression de Loi, de décret ou d'arrêté, est un trouble à l'ordre public, le cas échéant »

Enfin, nous tenons à rappeler que nul n'est sensé ignorer la Loi.
En conséquence, nous demandons également l'interpellation de l'accusé le temps que la justice statue sur son sort.
Afin de confirmer la véracité de ces faits, nous appelons à la barre le chef des Douanes et Prévôt des Maréchaux, Dame Kiboki.


La religieuse avait eu le courrier adressé par la cour de justice à Kiiara, gamine de 5 ans orpheline de père depuis peu et abandonnée par sa mère 4 jours plus tôt. Elle se rendit au tribunal pour écouter. Ne pouvant s'approcher de la barre pour témoigner son indignation, elle se rongea les ongles.

Citation:
L'accusation a appelé Kiboki à la barre

Voici son témoignage :
*Kiboki arriva à la barre et dit assez simplement :*

Votre Honneur, je confirme en tout point les dires de notre procureur, Sieur SentinelTemplar. Dame Kiiara a bien séjourné en toute illégalité en Touraine.

*Kiboki retourna s'asseoir après son petit discours.*


Ce fut de trop ! La bonne soeur avait écouté le très petit palabre du prévôt qu'elle savait habiter et ne jamais quitter Vendôme. Elle se leva en se signant.

Qu'Aristote pardonne à cette femme de mentir devant tous de la sorte ! Comme peut elle appeler dame une enfant de 5 ans et prétendre l'avoir vu alors qu'elle est au couvent depuis des jours déjà ?

C'est une honte ! Faire cela à la fille d'un comte poitevin ! Faire cela à une orpheline ! Faire cela à une innocente créature du Très Haut !


La bonne soeur se signa encore et joignit ses mains pour entamer une prière afin qu'Aristote rende un peu de lucidité à ces gens car cette enfant ne pouvait pas se défendre.
--Soeur_bazouka



[Dans le mutisme général]

La religieuse eut beau hurler et implorer le Très Haut, personne ne se donna la peine si ce n'est la politesse de lui répondre. Elle était dégoutée par le mensonge de dame Kiboki, le prévôt, et par le manque d'humanité de la part de Sentineltemplar, le procureur.

La nativité était passée par là, tout le monde avait eu l'esprit ailleurs et un vent de compassion avait plané dans le royaume entier, sauf au dessus de la cour de justice tourangelle à en entendre le dernier réquisitoire du procureur, moins de 10 jours après l'ouverture du procès de la jeune Kiiara.


Citation:
Réquisitoire de l'accusation

Votre Honneur,

La nommée Kiiara ne souhaite apparemment pas s'exprimer sur le sujet devant ce Tribunal.
Ceci est inacceptable !
Ce silence vaut pour reconnaissance de sa culpabilité.

Je demande donc, moi, SentinelTemplar, Procureur de Touraine, en ce jour du 30 décembre 1457, à ce que Kiiara soit condamnée à une peine de deux jours de prison, verse une amende de 40 écus et soit expulsée à l'issue de sa peine.

Merci de m'avoir écouté.


Soeur Bazouka se signa en entendant ceci lui marteler la tête :

La nommée Kiiara ne souhaite apparemment pas s'exprimer sur le sujet devant ce Tribunal... La nommée Kiiara ne souhaite apparemment pas s'exprimer sur le sujet devant ce Tribunal... La nommée Kiiara ne souhaite apparemment pas s'exprimer sur le sujet devant ce Tribunal... La nommée Kiiara ne souhaite apparemment pas s'exprimer sur le sujet devant ce Tribunal... La nommée Kiiara ne souhaite apparemment pas s'exprimer sur le sujet devant ce Tribunal... La nommée Kiiara ne souhaite apparemment pas s'exprimer sur le sujet devant ce Tribunal... La nommée Kiiara ne souhaite apparemment pas s'exprimer sur le sujet devant ce Tribunal... La nommée Kiiara ne souhaite apparemment pas s'exprimer sur le sujet devant ce Tribunal... La nommée Kiiara ne souhaite apparemment pas s'exprimer sur le sujet devant ce Tribunal...

Elle se leva à nouveau, toujours en se signant pour faire par de son mécontentement.

Mais ces gens là n'ont donc ni famille ni coeur au temps de la nativité ?

Oser prétendre qu'une gamine de 5 ans refuse de se présenter devant un tribunal alors qu'elle est toujours et encore en retraite, et ce pour des mois si ce n'est jusqu'à la fin de sa vie !


La bonne soeur se mit à genoux pour implorer le Très Haut, une fois encore, pour qu'il accorde un minimum de compréhension à ce benêt procédurier pour qui le malheur des autres semblait être un jeu et, surtout, pour que le verdict rendu envers cette innocente enfant soit moins falacieux.


Rp ouvert prioritairement aux joueurs de Kiboki et Sentineltemplar suite à l'invitation du 23/12/09. Les autres joueurs sont les bienvenus pour faire part de leur réaction.
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)