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Jamais deux sans trois !

Thomaslatapie
Thomas lui fit un sourire. Il ne c'était pas perdu. Pour une fois !!! Il se redressa et murmura a la dame blanche.

- Je suis Thomas un hospitalier je suis venu ici suite a l'invitation de la grande Amazone. Le problème c'est que j'en sais pas plus ...

Il fit un sourire a la dame blanche. Peu être que celle ci éclairerai sa lanterne

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Aux grands maux, les grands remèdes
ursin
Le vieux comte de Comborn avait reçu missive de sa grande Amie la grande Amazone de suite il avait fait route pour venir rendre visite à cet ordre ami
On lui avait promis de voir de belles choses et il pensait bien qu'il en serait ainsi connaissant bien son amie.
Il avança vers la pièce qui lui avait été indiqué par le parchemin.
Cela fait longtemps qu'il n'était pas venu en cet ordre et l'occasion était trop bonne.
En arrivant il vit un frère Hospitalier présent.
Il se tourna vers lui;


Bien le bonjour mon frère je suis aise de vous voir ici nous serons au moins deux de l'Hospital


Puis voyant l'ancien grand Escuyer de France

Dame Kirah j'ai le plaisir de vous présenter mes chevaleresques hommages

Puis se rangeant aux cotés de son frère attendit.
Baile
[She's my knight, my light in the night... yeah!]


On pénètre tous le Cénacle avec ses états d'âme et ses envies, frustrés ou assouvis. On pénètre tous le Cénacle avec ses désirs, réalisés ou en attente. Et quand on y entre, on a tous ce regard rétrospectif sur sa vie, des sentiments divers qui remontent et prennent possession de l'esprit et de l'âme, qu'on exprime ou que l'on garde en soi, pour soi. On a tous, dans un coin de sa tête, un rêve de gamin, une image de chevalier, blanc, rouge, noir ou bariolé. Un chevalier qui f'rait le bien, ou un qui s'rait de l'autre côté. Juste un chevalier, dans un coin de sa tête, qu'on tend à devenir, ou pas... Qu'on tend peut-être seulement à accompagner, sa vie durant, parce que c'est lui, ou elle.

C'est avec ces pensées, et des états d'âme qui lui sont propres, que la Baile pénètre à son tour le Cénacle, pour assister au deuxième adoubement depuis sa réintégration dans cet Ordre qui lui a tout donné. Elle sait. Elle sait cette fois que ça sera le tour de sa Cap', parce qu'il ne peut en être autrement de cette "cérémonie particulière". Parce que c'est le cours des choses. Parce qu'elle crève d'envie de la voir adoubée, en fait, rêve non pas de gamine, mais d'une femme qui ne croit en rien ni personne, sauf à la rédemption et à la paix qu'elle trouve en grande partie auprès de cet Ange.

La porte est poussée avec toute la retenue dont elle est capable, c'est-à-dire aucune pour cette occasion. Mais elle s'empresse de la fermer calmement quand même, par réflexe. Pas de Zya dans la pièce, mais bien Wen et Lulue, ce qui la confirme dans l'idée que c'est bien de sa Cap' qu'il s'agit. Elle s'attarde un peu sur les deux Esquires, se demandant ce qui pouvait bien se passer dans leur tête en ce jour où celle qu'elle sait faire partie du "trio infernal" se fait adouber... Mais elle n'est pas télépathe la Baile, et elle ne se pose pas trop de questions sur ce qu'elle ne peut qu'imaginer, parce qu'aujourd'hui, c'est fête pour elle aussi. Alors ses yeux balaient la salle, et remarquent qu'elle n'est ni la première ni la dernière, avant que deux personnes captent toute son attention, celle dont la présence en ces lieux donne une dimension magique à l'événement, et celle qui, visage radieux, dégage une énergie et une joie presque enfantine, à l'idée de la surprise qu'elle est en train de préparer pour tout l'monde et surtout Zya...

Parce qu'il ne faut pas se leurrer. La présence de Kirah, ici et maintenant, ne va pas de soi, non, puisqu'elle n'est plus maréchale d'armes. Nanny est forcément allée la chercher, même s'il n'a pas dû falloir beaucoup d'effort pour convaincre la Normande. Toutes deux savaient que ça serait le plus beau cadeau pour l'Ange en ce jour unique pour elle. Et la Baile connait sa Nanny aussi bien qu'elle connait sa Cap', et cette femme ne fait pas les choses à moitié quand elle les prend en main... Elle a envie d'aller vers elle, de lui dire des mots qu'elle seule comprendrait, mais ça n'se fait pas, même par elle qui envoie allègrement bouler toutes règles de bienséance. Alors elle sourit, comme un merci, de les faire toutes vivre cet instant.

Puis elle observe distraitement le va-et-vient des gens, salue Brad quand l'Ecuyère se tourne enfin vers elle, et sursaute presque à l'arrivée peu discrète d'un gamin qu'elle met un peu d'temps à resituer. Finalement, elle décide de prendre place, aussi près que possible de la scène, et, une main sur le manche de la dague offerte par Thea et qui ne la quitte plus, elle attend, les yeux dans l'vide, l'arrivée de celle qui acquerra une autre dimension, dans quelques heures. Pour le plus grand bonheur de la Baile.

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Wonderanny
Premières silhouettes, premiers visages qui se dessinent. Un moment la tension chute d’un cran, heureuse de les voir rejoindre le Cénacle. Un moment, elle a envie aussi de serrer le bras de sa complice en signe de remerciements, mais... le geste s’arrête, elle lui dira plus tard combien sa présence est importante à cet instant. Bientôt il sera l’heure de débuter, bientôt le futur chevalier fera elle aussi son entrée. Pour le moment sourire à chacune, incliner la tête en signe de bienvenue. A nouveau s’interroger… La GE ? Le maréchal d'armes ? Impératif pour débuter ! Sans compter sur la présence de la future adoubée. Celle ci a elle bien respectée l’ordre donné ?

A voir les visages tendus des Muses elle comprend. La question qu’elle s’est posée de nombreuses fois ces derniers temps lui revient alors à l’esprit, pourquoi ne pas leur faire à elles aussi la surprise ? Pourquoi les priver d’être pour une fois totalement disponible et libre de participer entièrement à cet évènement ? Et puis… comment fera-t-elle quand leur grand jour sera venu ? Au conseil elle expliquera, là n’est point le moment. Cesser ses réflexions pour répondre aux deux Dames qui proposent leur aide. Non, non, il n'y aura point d’ombres dans ce évènement là.


Kirah, Nanny. Y a-t-il quelque chose que je puisse faire ?
Est-ce que je puis être utile en quelque chose avant la cérémonie ?


En quasi simultané les deux questions… Répondre tout d’abord d’un sourire. Lancer silencieusement l'interrogation à Kirah d'un signe du menton. Sa complice aurait elle besoin de quelque chose ? Lui laisser la parole avant de saluer encore les nouveaux visages qui se présentent. Rendre les sourires tout en décelant de nouveaux sentiments dans les regards qui s’échangent. Honneur, fierté, remerciements… tant d'émotions finalement ! A chacun, chacune, sa façon d’exprimer ce que l’invitation révèle.
Apercevant quelques Hospitaliers devant l’entrée, elle se penche un peu tout en saluant du chef les deux hommes. Un consul qu’elle apprend à connaître depuis peu et, un ami, ancien GM de cet Ordre. Large sourire heureuse de leur présence à tous deux.


Merci mes sœurs, non, tout est prêt.
Kirah ? As tu besoin de quelque chose ?
Humm... Quoi que … plusieurs personnes sont attendues, veillez juste à ce que nos invités rejoignent bien cette salle, mais la garde devrait être suffisante, je pense. Par contre…veillez à ce que ce tout jeune homme…


Désigne le jeune Ael

En laisse pour tous !

Clin d’œil à ses deux sœurs.

Allons donc ! Assoyez-vous et profitez surtout de cet instant !

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{Mésange toujours à terre , me cherchez pas en HL !. Oui je sais ça doit faire quasi un mois et ça m'arrange point !
Que vive le MP... enfin pour le moment !}
azzera
Que de temps passé depuis qu'elle est tombée à Bourbon.
Que d'envie inassouvie de prendre le large depuis déja pas mal de temps.
Que d'angoisse intérieure maintes fois refoulée.

Et pourtant, il lui faut être présente ce jour.
Une annonce a été faite, l'écuyère, qui n'a plus d'écuyère que le nom, avance fébrilement dans le couloir qui va la mener au bon endroit. Entrer, saluer avec respect les personnes présentes, se poser à une place où l'on ne viendra pas lui parler, non qu'elle soit devenue taciturne, mais elle est parfaitement consciente que son absence prolongée va engendrer nombres de questions chez ses soeurs, mais ce n'est ni le lieux ni le moment d'entamer une conversation volubile... à bon entendeur!

Et puis, elle a changé, la Azz!
Quelqu'un s'en apercevra-t-il?
Ce matin, en voulant enfiler sa tenue de cérémonie, force lui est de constater qu'elle ne rentre plus dedans! **Mortecouille de foutre cul'... foutu Aengus!**
Voila ce qui lui avait traversé l'esprit à cet instant!
Bon, trouver une parade en s'affublant d'une capeline assez longue et "couvrante" pour que rien ne se remarque.

Prendre place, donc... et attendre sans broncher

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Thomaslatapie
Thomas fit un sourire a son frère hospitaliers. Il était un peu surpris de voir l'ancien grand maitre ici mais cela fessai plaisir de le voir. Il lui fit un sourire aimable et répondit.

- C'est mieux que rien ... il tourne la tête et regarde les dames blanches Et puis ce sont les dame blanche, qui rejetterais une invitation de leur part ???

Il lui fit un autre sourire et resta là. Il profita de sa solitude pour regardez autour de lui et s'imprégner de ses lieux et retenir les visages inconnue.

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Aux grands maux, les grands remèdes
Zya
[Une pièce contigüe, quelques temps après]


Une fois déposé le petit homme, elle était venue dans cette salle, préparée pour elle. Sur une chaise, la tenue de rigueur qu'elle porterait. Au fond de la pièce, un Homme d'Eglise semblait attendre.
Un vague sourire... Pas forcément la partie qu'elle préférait.

Le bain, il serait pris sans regard extérieur. Hors de question.
La messe de cérémonie, dès à présent. Après tout, l'ordre importait peu, tant que le tout était là.
Une nuit entière déjà qu'elle se recueillait, priait et qu'elle jeûnait...
Une nuit entière à se demander si, finalement, elle ne s'était pas trompée dans son engagement, dans son choix de vie. Il lui arrivait de douter, mais toujours, la conviction d'être dans le vrai revenait.
Une voix qu'elle avait embrasé jeune, très jeune... 9ans. Âge de son arrivée ici.
Une petite fille qui avait dit un jour à sa mère qu'elle voulait devenir comme Guillaume de Jeneffe, l'homme qu'elle idolâtrait alors. Vague sourire en y repensant. Son choix des Dames plutôt que la Licorne, où elle n'aurait pu d'ailleurs entrer de suite, mais attendre de grandir un peu... elle, fille de Comtes, mais surtout fille de soldats, de personnes de tous les combats et qui, à force de l'avoir emmené partout avec elle, en avaient forcément fait ce qu'elle était aujourd'hui.
Ses parents seraient-ils là? Les Flandres... bien trop loin certainement... Soupir discret, comme elle s'agenouille aux côtés du religieux.
Il était temps de mettre de côté ses reflexions et de se consacrer pleinement à ce pour quoi l'homme s'était dérangé, dans un souci de respecter son Aristotélisme...

Et le temps fila, rapidement. Pour la première fois depuis des lustres, elle re-priait. Une habitude qu'elle avait abandonné suite au décès de son époux... il y avait bientôt une année de cela. Dure réalité qu'elle avait eu du mal à occulter, elle qui revoyait encore fréquemment ce visage déchiqueté, elle qui sentait encore le goût de la mort sur ses lèvres quand elle repensait à ces derniers instants, avant qu'il ne rejoigne un catafalque.
Certains l'avaient probablement prise pour une folle, à embrasser ainsi la mort dégoulinante de sa putréfaction. Ca lui avait été nécessaire, sur l'instant. Inexpiquable.
Et à présent, elle était obligée de renouer avec Lui, ce Dieu qui parfois, s'acharnait trop sur elle, pour voir quand elle courberait enfin l'échine et cèderait. Il avait encore failli gagné, il y a peu. Et pourtant...

Redressement du corps, un Homme sort de la pièce... Un regard sur le baquet... Dernière étape, avant l'entrée en scène... avant le choix final...

Un lacet puis deux, les vêtements tomberont tous. Et avec le bain, les pensées se dirigeront vers tous ces imprévus, toutes ces rencontres qui avaient été décisives... Nachue, Aigle, Rose et tant d'autres...
Alors après, elle pourrait les rejoindre au Cénacle.

Mais pour ce faire, la purification de ce corps zebré de toutes parts, à l'instar de l'âme, était nécessaire...

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Absente Samedi 21/11 dès la fin d'aprem
andaine
Assister à la consacration d'un nouveau chevalier telle était sans doute la raison de cette invitation. La relève de la garde assurée, Andaine s'était précipitée au dortoir pour s'y changer. Cette fois ci la blonde ferait honneur à l'esquire adoubée. Ouvrir la penderie et tendre la main vers sa belle vesture. Une houppelande couleur gris perle assortie à ses yeux qui serait réhaussée par une ceinture cordelette d'un ton plus foncé. Et puis surtout lâcher la masse de ses cheveux blonds.

Rejoindre le cenacle. Constater que ses soeurs étaient presque toutes là. Manquait plus que... oh la capitaine ! Comprendre soudain et afficher un grand sourire, pourvu que... avant de s'installer pour le tout début de la cérémonie.

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Et Zya est ma marraine
Nerine
A nouveau une convocation pour se rendre au Cénacle. La poitevine se demanda qu'elle pouvait en être la raison. Mais de questions, il fallait parfois ne point trop s'en poser. Elle avait rencontré deux visiteurs. Peut-être qu'on allait les présenter aux blanches. Alors, elle se prépara avec soin et se dirigea vers la salle en question. Lorsqu'elle arriva à l'entrée, elle perçut des voix derrière les portes. Elle était en retard. Nerine poussa doucement la porte et entra dans le Cénacle. Beaucoup de soeurs étaient déjà présentes qu'elle salua de la tête et de la main. Elle se sentait souvent impressionnée lors de ce genre de réunion et n'osait pas trop s'adresser de vive voix à ses soeurs. La blonde aperçut également Thomaslatapie et sourit. Bientôt, elle et Yohan accompagnerait sa fille jusqu'à Thouars pour d'heureuses retrouvailles. Elle espéra que tout se passerait bien sur la route. Elle devait à Tété et Thomas la présence de Yohan à ses cotés pour la fin de sa convalescence. Alors, s'occuper de leur fille pendant quelques jours lui semblait plus que normal. Ca leur permettrait de les remercier pour ce qu'ils avaient fait pour eux. Tout en pensant aux jours à venir, Nerine repéra un siège libre près de la porte et s'y assit en attendant de découvrir le pourquoi de cette invitation.
Zya
[Quelques minutes avant, alors que les derniers arrivent et prennent place]


Léger clapotis de l'eau, qui avait été bénie, qu'elle avait goûté de son corps et qu'à présent, elle avait quitté.
Son esprit avait erré, entre Normandie et Lorraine, ses deux ports d'attache. Qui lui avaient appris bien plus qu'ils ne le penseraient jamais.

Mais voilà, une nouvelle étape de cette mise en scène était franchie et il avait bien fallu mettre fin à ses vagabondages spirituels. Elle avait lavé son corps de ses pêchés, comme son âme avait été redemptée lors de la confession au religieux. Et dans son esprit, une liste s'égraine :
Confession : faite. Pénitence : faite... et son estomac le lui rappelait, se tordant à souhait. Purification : faite.
Restait le serment... Probablement l'étape la plus dure, pour tout ce à quoi elle mettait fin, pour tout ce à quoi elle lui ouvrait la voie...
Et pourtant, rien d'autre n'avait vraiment de valeur, que ce serment à prononcer, selon elle. Tout le reste, elle s'y était adonnée de bonne grâce, mais sans plus d'intérêt... Pourtant, il lui faut encore continuer, un peu. Et pour ce faire, elle attrape un linge ou deux et se prépare.

Peu après, les mains lacent la tunique blanche qu'elle vient juste de revêtir, insigne de pureté... Sur la chaise, restent encore le tabard rouge, symbole de son sang qu'elle n'hésitera pas à verser par devoir et foi ; un pantalon et des bottes noirs, symbole de la mort qui l'attend... Les yeux se fixaient dessus, irrépressiblement...
On la croyait prête. L'était-elle vraiment? Finalité d'une montée de rang qui n'était autre que le commencement d'un apprentissage encore plus rigoureux, d'une ligne de conduite à tenir à vie... Les yeux se lèvent, comme elle passe l'étoffe rouge. Et Lui... l'aidera-t-il à tenir cette ligne de manière droite, la fera-t-il serpenter, ou la lui fera-t-il briser un jour?
Elle doutait trop. Tout le monde le lui répétait. Tout le monde lui disait d'être moins exigeante vis à vis d'elle, qu'elle s'en sortirait avec moins de dommage... Le pouvait-elle réellement? Ce doute, elle l'avait toujours connu, depuis son enfance en Bourgogne, loin de sa terre d'origine... et s'accentuait avec le temps. Alors, le processus inverse était-il possible?
Question qu'elle se pose, comme, une fois le pantalon enfilé - sorte de braies moins lâches - elle ajuste les bottes.
Elle ne voulait pas, en fait, ne plus douter. A être trop sûr de soi à chaque instant, on cause sa perte...

Elle s'approche de la porte, donnant sur le couloir qui la mènerait vers le Cénacle. Une sensation de vide l'envahit... La main droite se porte vers la garde de l'épée, pour s'y reposer, mais elle trouve l'absence de ce fer sécuritaire... Sur la table, sa miséricorde traine... première fois qu'elle s'en sépare depuis qu'on la lui a offerte pour son entrée ici. Ses attributs de Capitaine aussi, gisent là, remplacant les vêtements d'adoubement...
Une main se porte vers la cape à la teinte d'un vert profond et sombre, et en touche la dame cousue en filigrane dessus... Si elle avait su, il y a moins d'une dizaine d'années, qu'elle franchirait un jour l'antre chevaleresque en point de mire, elle en aurait bien ri et ne l'aurait surtout pas cru...

Vague sourire, alors qu'elle la retire, laissant là le tissu. Il était temps.
La poignée se tourne, le battant s'ouvre, une Dame l'attend pour la mener vers le Cénacle. Elle y entrerait avant elle, informant de sa présence que la future adoubée était prête, que la cérémonie pouvait commencer... puis allant confirmer le futur Chevalier la présence des personnes requises afin qu'elle puisse entrer...

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Absente Samedi 21/11 dès la fin d'aprem
Baile
Elle ne tient plus en place. Elle n'a jamais tenu en place. La seule qui ait réussi ce tour de force, de la faire découvrir qu'elle pouvait avoir un chez elle, aussi itinérant soit-il, n'est pas encore dans cette pièce. Et au risque de paraitre bêtement sentimentale aux yeux de qui la regarde, tout son être, corps et âme, est tendu vers cette arrivée qui se fait attendre.

N'y tenant plus, elle se lève et prend le chemin inverse à celui qu'empruntera sa Cap' dans un moment. Elle ne sait rien de la chevalerie, la Baile, que ce que lui apprend cette femme, consciemment ou malgré elle. Elle ne connait pas le rituel, mais elle sait que l'Ange y mettra tout le temps qu'il faudra, et toute l'énergie qui va avec, parce que plus perfectionniste, plus idéaliste, elle n'a jamais connu.

Celle qui aujourd'hui se sent davantage garde-de-corps que toute autre chose est là, à quelques pas de la porte, le coeur battant comme un noyé cherchant à respirer. Plus les minutes passent et plus elle a l'impression inouïe de planer. Jusqu'à cette poignée qui se tourne, la porte qui s'entr'ouvre, et ce visage que tout le monde attend qui apparait dans l'embrasure. Elle reste immobile, et cette fois le coeur a cessé de battre pour regarder aussi. Parce qu'elle est belle, parce qu'elle a fière allure, parce que son regard resplendit de quelque chose d'impalpable mais qui touche profondément. Elle murmure un je t'aime dans sa tête, avant de s'approcher du battant.

Non elle ne connait rien aux rituels de la chevalerie, la Baile. Mais elle lit dans les yeux de cet Ange mieux que dans un livre ouvert. Elle devine qu'elle ne s'avancera pas plus, pas si la cérémonie n'a pas commencé officiellement, pas dans la masse, pas n'importe comment. Tout dans la tradition, et l'idéal jusqu'au bout. Alors elle tourne les talons, et, retenant ses pieds qui cherchent à courir, elle rejoint Nanny et lui souffle.

Nanny... elle est là, elle est arrivée... Je.. Je lui dis d'entrer?


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agatha21
Enfin libre de sa garde…Mais qu'elle heure pouvait-il bien être ??
Elle pensait que ça n'allait jamais finir…Elle n'avait maintenant plus un moment à perdre mais quitte à arriver en retard, elle pouvait dignement pas arriver dans son accoutrement de garde…Vite !! Fallait allait se faire propre et s'réchauffer dans un bon bain et puis revêtir une tenue decente…
Ce qui fût fait…Ses cheveux noués en une natte agrémenté d'un ruban, une simple robe rouge sous laquelle dépassait un corsage blanc…Elle n'aimait pas les chose trop compliquées la limousine, mais elle se devait de faire honeur à sa sœur…
Mais quel heure pouvait-il bien être ??
Presser le pas pour regagner le cénacle. Croiser les doigts pour que la cérénomie n'ai pas encore commençait…
Et arriver essoufflée devant la porte…Reprendre son sa respiration et entrer discrétement…
Oufff !! Tout va bien !!
Agatha parcouru la salle du regard…Un large sourire sur les lèvres…
Nérine était là déjà…Et Baile qui faisait les cents pas devant Nanny…Lulue, Meren, Andy…Ho ! mais il y a aussi son ami le comte Ursin…Comme ça faisait longtemps qu'elle ne l'avait pas vu !
C'était grace à lui qu'elle était devenue Tribun, Sans doute la première personne à lui avoir donné sa chance…

Agatha ne savait pas si elle avait encore le temps pour aller le saluer avant que la cérémonie commence…
Mais une chose était sur c'est qu'elle ne manquerait pas de le faire…

Et puis une question lui traversa l'esprit…Mais comment avait-il pu faire pour arriver jusqu'ici ?? Elle ne l'avait pourtant pas vu arriver et elle s'était pas non plus endormie…HUmmm !! Il y aurait-il quelque passages secrets icelieu ??? …

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Zalina
L’invitation était bien arrivée, le parchemin bien gardé sur le sommet de la pile pour ne pas l’oublier. Mais comme d’habitude, quelques parchemins vinrent se retrouver au dessus malgré tout. Et l’invitation fut temporairement oubliée…
Peu de temps tout de même, mais assez pour la faire prendre la route en retard.
Zalina sauta sur sa monture et fit de nouveau le trajet, un peu plus connu que pour le dernier adoubement, au grand galop. Elle ne s’arrêta que quelques lieux avant la Commanderie pour se refaire une beauté rapide. Les Dames Blanches semblaient prendre soin d’être présentables lors de cette cérémonie. Elle voulait donc être un peu plus présentable elle aussi. Un simple cours d’eau et quelques coups de brosses, et sa natte fut refaite, maitrisant les cheveux rebelles, à l’exception d’une mèche libre lui bordant le coté droit du visage. Elle en profita également pour se changer. Point de robe, mais des braies, bottes et chemises propres, le tout aussi noirs que sa chevelure.

C’est donc une Peste débarrassée de sa poussière du voyage, mais très en retard, qui arriva à la Commanderie et fut menée au Cénacle.
Zalina passe à coté de Zya, lui adressant un signe de tête pour la saluer, un sourire pour l’encourager, et pénétra dans la salle derrière Rebaile. Il y avait du monde ce jour, et plus d’hommes qu’à l’adoubement réalisé quelques semaines auparavant. Probablement plus d’hommes qu’il n’y avait coutume d’y avoir en la Commanderie des Dames.

Un coup d’œil à l’estrade où se tenait la Grande Amazone et Kirah lui indiqua que Wonder n’avait pas l’intention de laisser la GEF se planquer dans un coin sombre contre le mur du fond. Une grimace, elle hésita… puis finit par s’avancer. Au moins, Kirah était elle passée la première cette fois. Mais elle s’arrêta avant l’estrade et attendit confirmation de la Maitresse de cérémonie avant de s’avancer plus avant, la suppliant du regard de lui pardonner son retard.

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Wonderanny
Le Cénacle se remplit, lentement, doucement. En son cœur, se mêlent à la fois la patience et l’impatience. Entre les sourires de salutations, elle se tourne vers sa complice et intérieurement se demande ou est passé le Wonder Page… ou sont les derniers invités, ou sont les représentants de l’ordre… Ou sont les … bref !

Le voilà enfin ce page qui arrive, rouge comme … bref rouge ! A voir son étrange couleur, elle lui pardonne d’entrée son absence. La raison doit être sérieuse… Cherchant sa respiration, il tend silencieux et surtout incapable d’en dire plus quelques missives cachetées. Un coup d’ongle rapide et précis pour faire sauter le sceau… première missive Le GM des Licornes… seconde le Maréchal… Lecture rapide. Bien ! Action alors.


Nanny... elle est là, elle est arrivée... Je.. Je lui dis d'entrer?

Relever le nez et apercevoir à nouveau la Baile. Incliner la tête en silence. Envie de lui dire : Attends ! sans arriver à trouver les mots pour pouvoir formuler la suite. Le Attends, n’est point pour la future adoubée mais bien parce que les irremplaçables ne sont point dans la salle.

Un bruit dans le fond de la salle qui ne lui laissera pas le temps de répondre. La Dame des Dames se lève sous le soulagement de cette arrivée. Et de un, enfin une ! Dans la missive lue il y a quelques instants, son ami Rhân, lui fait savoir qu’il sera quelque peu en retard. Quelques instants de réflexion… si Rhân est lui absent, Kirah pourrait être le témoin héraldique de la cérémonie ? Quoi qu’il en soit, il va arriver, ce qui ne l’empêche donc point de débuter.

Show Must Go On ! Ben Go alors !
Bien !


Grande inspiration avant d’aller à la rencontre de la GEF. Courte révérence devant la seconde complice de cet évènement.

Soyez la bienvenue !

Comme lors de l’adoubement d’Esca, lui prendre le bras et la mener vers l’estrade aux côtés de Kirah et lui souffler un simple

Merci.

D’un signe de la main, faire servir un verre chaud aux deux femmes tandis que le bras de la Baile est agrippé.

Oui ! Maintenant tu peux lui dire qu’elle peut entrer.

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{Mésange toujours à terre , me cherchez pas en HL !. Oui je sais ça doit faire quasi un mois et ça m'arrange point !
Que vive le MP... enfin pour le moment !}
chlodwig_von_frayner
A dire vrai il n’avait pas reçu d’invitation, il faut croire que le messager ne l’avait pas trouvé. Notez que cela risquait de lui poser des problèmes à l’entrée mais… n’étant pas au courant de cette fameuse invitation il ne pouvait pas s’en douter. Mais il verrait bien. Car traversant collines, forets, montagnes et territoires hostiles infestés de franc comtois et de savoyards (la sale engeance), bravant les terribles poneys mangeurs de foin, le troupeau qu’il était apparemment à lui tout seul arriva en un seul morceau (plus ou moins). Ce qui n’était pas peu dire tant les épreuves qu’il avait du affronter pour venir avaient été… quasi insurmontables. Mais elles étaient derrière lui et il n’avait plus à les refaire avant très longtemps, ça il se l’était juré. En fait il n’y pensait plus, et n’y avait même pas songé en les traversant, ses pensées se tournant instinctivement vers d’autres cieux… vers un monde où la lumière, la chaleur et la beauté resplendissait, où il aimait se perdre et se noyer… un monde qu’il n’avait que par trop délaissé.

Il y a des jours qui ne se manquent point et où une absence se révèle impardonnable. Car se sont des jours qui comptent et qui bâtissent une vie. Et en ces jours…on aime avoir ses proches à ses côtés parait il. La demande avait été explicite, il fallait qu’il soit là. Il avait obéis. Non qu’il soit discipliné mais encore une fois, il y a des demandes qui ne se refusent pas. Déjà parce qu’on ne veut pas, ensuite… parce que ça ne se fait pas. Alors à moins de mourir sur le bas côté de la route agressé par quelque brigand, il serait venu.

Arrivé devant la commanderie, il sauta de cheval, laissa son escorte pour s’occuper de tous les menus détails (comme caser les dadas à l’écurie, les desceller, défaire quelque bagages, préparer la chambre… des choses comme ça) et se dirigea droit vers la salle qu’il connaissait à présent pour être venu quelque fois. Il n’avait pas d’invitation mais se présentait comme le neveu de Nanny et invité pour la cérémonie. Fallait dire que son ses vêtements étaient quasi impeccables pour une fois (il avait eu la bonne idée de se laver et de se changer quelque lieues plus tot dans une auberge… d’où son retard en fait. Braies et surcot d’un noir de jaie sur lesquels il avait passé une cape de zibeline bridée d’hermine. Ses mains étaient ornées de ses gant de cuir noir brodé d’or. Voilà bien longtemps qu’il n’avait mis ses habits de cérémonie, plus habitué à une vie plus aventureuse et à des retraites longues et prolongées.

Et il arriva devant la porte tant attendu... pas directement derrière en fait, juste dans le couloir qui l'y amenait. Peu importe en fait l'endroit exact où il était, seul importa ce qu'il y vit... une silhouette bien connue de lui, un ange cher à son coeur. Le coeur battant, il se glissa à ses côtés et lui sourit légèrement. Il était heureux de la voir... normal il était venu juste pour elle vous me direz. Il ne sut trop comment se comporter, en ces lieux qu'il ne connaissait quasi pas et qui... dans le fond était plutot la maison de celle qui se tenait à ses côtés. Quelque mots glissés, point trop fort... savait on jamais.


Bonjour mon ange.Votre présence est toujours une agréable surprise. Pensez donc que je pensais arriver en retard et que je vous trouve là. Inutile de vous cacher ma joie.

Léger sourire... jeu maint et maint fois usé... Un peu plus bas il continue.


En tout cas tu as l'air de te porter à merveille...

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