[RP Ouvert à tous] En attendant son retour...

Galeazzo n'avait passé qu'une seule journée à Clermont, il devait se reposé de la nuit qui lui fut rude... mais il regrettait déjà d'être venu. Non pas qu'il n'aimait pas Clermont ou ses habitants, bien au contraire. Il regrettait d'avoir a partir si tot n'ayant vu que trop peu de temps toutes ces personnes qu'il avait découvert ou redécouvert.

Ses compagnons d'Airain, Loumisse et Knarel, dont il avait oublié qu'ils habitaient Clermont ainsi qu'Auroro qu'il n'avait pas reconnu tout de suite mais, après discussion, ils s'étaient rappelé s'être croisé sur un terrain de soule. Plus tard, Galea avait réalisé que la Dame fréquenté aussi Airain... mais lui n'y avait plus ses habitudes, voila pourquoi ils ne s'étaient pas reconnu de suite.

Il avait pu recroiser aussi ses compagnons d'arme avec qui il avait terrassé une piètre armée miteuse dont il s'était personnellement occupé de trois d'entre eux. Galea avait rarement eu l'occasion de discuter avec ses frères d'armes dans une taverne publique. Le commandant Delvi lui remémora rapidement pourquoi il ne discutait pas souvent en taverne... Une simple allusion a sont grade et il était devenu l'objet de convoitise de toutes les femmes présentes dans la taverne... Ce n'était pas pour lui déplaire de temps à autre mais Galea savait bien qu'il ne pourrait pas supporter cela tous les jours.

Pourtant les demoiselles étaient charmante. Il y avait d'abord la jeune Serya, nouvellement arrivée à Clermont d'après ce qu'il avait compris, à qui sa chevelure blonde avait beaucoup plus apparemment. Si seulement elle savait... le blond n'était pas la couleur naturelle de Galeazzo mais il préféré que les gens d'ici le croient... pour sa sécurité ... et la leur aussi. Enfin encore heureux qu'elles n'aient pas su d'où il venait ou il aurait fini en deux morceaux... parce que, bien sûr, il y en avait une qui ne voulait pas "partager"... Partager... Galea s'était sentit comme un gros gâteau au chocolat coincé que deux gloutonnes voulaient dévorer!

Pourtant la douce et tendre demoiselle ne paressait pas grossière à première vue... certes elle tenait le choc sur un terrain de soule et il ne valait pas s'y frottait quand elle fonçait vers l'en but mais rien ne semblait dire qu'elle était gloutonne... Elle semblait plutôt douce, agréable et vive d'esprit bien qu'un peu déjanté parfois... mais gloutonne?! En même temps elle n'était pas non plus à son premier gâteau au chocolat... enfin peut être est ce le premier gâteau au chocolat blond qui ne l'ai pas vraiment?

Un sourire apparu sur le visage empreint de tristesse de Galea, son départ de Clermont après une si belle soirée en leur compagnie, en sa compagnie... Galea repartait et ne savait pas quand il pourrait revenir la voir... peut être aurait elle l'occasion de passer le voir? Il ne savait pas où elles habitaient mais il savait qu'elles repasseraient à cette taverne... aussi avait il laissé un mot sur le comptoir...



Avec la lettre était posé une mèche de ses cheveux blond ainsi qu'une huile de massage fabriqué par ses soins et évidement UNE part d'un gros gâteau au chocolat...

Galea regarda derrière lui une dernière fois. Du haut de la colline on distinguait quelques maisonnettes chauffées au feu de bois.

Dors bien Douce sabreuse...


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Une journée des plus sympathique.. voila ce dont elle avait eu droit la veille. Quelques "voyageurs" étaient venus passer la journée à Clermont, permettant ainsi le remplissage de quelques tavernes.
Tavernes où rires, taquineries et même jeux de flechettes s'etaient succédés tout au long de cette si belle journée.

De la vie à Clermont. Voila ce dont la jeune boulangère avait le plus envie. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle mettait toute son énergie à eveiller leur belle Halle. c'est pourquoi elle préparait activement les Olympiades qui devaient très bientôt avoir lieu. Elle avait aussi profité de l'occasion de la visite de quelques champenois pour les y faire participer. Malheureusement ils avaient des obligations ailleurs et ne pourraient probablement pas être la pour les festivités... Voilà qui était bien dommage..
Cela aurait été d'autant plus une belle occasion de le faire revenir...

Car lors de cette soirée animée, Klouska avait eu le plaisir de revoir le P'tit Loup. Malheureusement, comme à chacune de leur rencontre, celle ci avait été de courte durée.. trop courte.

Enfin.. ils auraient surement l'occasion de se revoir.. surtout qu'il lui devait quelque chose et que la prochaine fois elle ne manquerai pas de lui réclamer.
Cette pensée la fit sourire. Comment avait t'elle pu oublier cela la veille ? Heuresement qu'il n'avait pas une memoire de poisson rouge comme elle, et qu'il n'avait pas hésité à le lui rappeler.

C'était à regret, mais poussée par la fatigue, qu'elle avait du quitter la taverne et laisser tout ce beau petit monde.

...

Au petit matin, après une nuit bien trop courte mais sans heurt, Klouska se leva et se rendit au château afin d'y accomplir son devoir d'adjointe.
De retour à Clermont, sur le chemin du verger, elle s'arreta en taverne. Il était certes bien trop pour y boire une premiere spéciale mais elle y trouverai peu etre du monde.

Guettant au travers des fenêtres de chaque taverne, elle n'y trouva personne, mais son regard fut attiré par un lot d'objets laissé sur le comptoir.
Se laissant guider par sa grande curiosité, Klouska ne perdit pas une seconde et entra.

De nombreuses choppes trainaient sur les tables mais elle ne s'y attarda pas. Il n'etait de toute façon pas rare de voir un tel spectacle.
Quelle ne fut pas sa surprise par contre de trouver sur le comptoir une grosse part de gâteau, un petit flacon d'huile et une meche de cheveux qu'elle reconnu immédiatement.
Elle décala le tout et prit le parchemin qui se trouvait dessous et le lu.
Elle souria à la lecture et comprit sur le coup que l'huile était probablement une l'huile de massage. Elle prit le flacon en main et fixa le fluide. Oh non.. elle ne manquerait pas de le lui rappeler la prochaine fois.

Elle reposa la lettre mais garda le flacon qu'elle glissa dans sa poche.
La grosse part de gateau au chocolat tronait la, bien en vue, et mettait l'eau à la bouche de la jeune femme. Elle etait gourmande.. oh ca oui.. mais fesait tout de même attention à sa ligne.

Le clocher de l'eglise sonna 11heures. Il était déjà si tard ?!
Ses enfants devaient l'attendre à la maison. Sans perdre une seconde de plus, elle laissa la le gateau à regret et sorti de taverne au pas de course, sa main gauche dans sa poche, tenant fermement le precieux flacon.
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Serya se promenait lentement dans les rue de Clermont. Il faisait froid, mais elle avait besoin de réfléchir un peu sur son avenir. Elle était arrivée à Clermont pour voir la tombe de sa sœur et non pour y rester. Les amies de Maya étaient tous tellement gentil qu’elle avait décidé sur un coup de tête de vivre à Clermont, donc elle avait tout perdu. Elle se demandait par contre quelle vie elle pourrait bien avoir dans ce village? Les gens de Tonnerre lui manquaient beaucoup. Elle réfléchissait à tout cela quand ses pas la menèrent à une taverne. Elle s’arrêta et regarda la porte. Plus personne n’était venu dans la taverne pendant un bon moment. Maintenant, elles étaient toute vides à cause de la possession de Reims. Elle décidé tout de même d’y entré. Elle-même n’y avait pas encore mit les pieds, ne trouvant pas l’utilité d’y aller sachant qu’il n’y avait personne. Elle s’assit près du comptoir et à sa grande surprise. Elle vi des cheveux blond. Elle fronça les sourcils et pensa.

-Le seul qui a les cheveux blond que je connaisse qui est ici est Vaumont… mais je ne crois pas qu’il s’est battu avec quelqu’un, se ne serais pas dans ces habitudes je pense…

Elle prit la mèche de cheveux encore intact et vi une lettre non loin. Elle la prit et la lut. Elle fut tellement surprise qu’elle devenu toute rouge. Soudain un point dans le ventre lui fit arrêté de respiré. Il faisait partit des loups qu’elle avait su. Il était donc sûrement sur les chemins pour mener à bien la justice. Elle baissa la tête, inquiète elle se dit de lui écrire. Elle prit la mèche de cheveux et l’enfuit dans sa poche. De toute façon, ce n’est pas comme si quelqu’un d’autre en aurait eu besoin. Inquiète, elle sortit de la taverne la tête encore plus baisse que quand elle avait franchit la porte. Ce temps était bien difficile.