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[RP] L'art et la manière de s'approprier un objet convoité

--Anthurium


[La nuit dans une maison non loin du château comtal]

L'homme regarda son sac. Il avait tous prit. Il mis son masque sur le visage pour resté incognito. Ce soir ils allaient faire un grand vol. Tous avait été prévus. Il avait envoyé une rose au comte. Ils devaient entrer dans sa chambre pour lui volé sont bien le plus précieux. Un chose simple en apparence mais plus compliqué qu'il n'y parait. Les garde était un peu partout, les évité serai chose difficile mais pas impossible pour de grand voleur. Il avais loué cette maison car elle était bien placé. On pouvais observé les gardes fessant leur ronde Et puis on voyait aussi les allez et venu de ceux qui entraient. Ce soir là personne n'était resté dans le château. Ce qui rendais la chose encore plus facile.

Il attendais là, le visage impassible du masque, ses deux compères qui ne devraient pas tarder.

[Hrp : c'est un Rp privé l'important c'est pas les joueur mais le Rp nous vous demandons que si vous désirez posté, demandez nous le dire par mp. Merci de votre compréhension ]
--Calla


Le regard constamment rivé sur le château, Calla surveillait, calculant les tours de gardes. Une plan du château à la main, qu’elle avait réussi à se procurer, elle le déroula et prit quelques minutes pour l’observer. Le temps avançait, les minutes passaient à une vitesse folle et Calla était impatiente de passer à l’action. Se regardant dans le miroir une toute dernière fois, elle prit son masque qu’elle installa doucement sur son visage pour ensuite mettre son chapeau. Accessoire à la main, elle roula le plan et termina ses quelques préparatifs. Comment faire pour passer incognito avec un casque de plumes... Elle trouverait bien le moyen de ce sortir de ce pétrin même si pour cela elle devrait passée par des actes impardonnables. C’était clair, aucun gardes ne l’empêcherait d’atteindre son bût.

Une fois prête, Calla sorti de sa chambre et descendit les marches pour aller rejoindre Anthurium. Lui aussi semblait être impatient, un malin sourire lui parcourra les lèvres, mais heureuse d’avoir un masque au même moment, cela l’empêcher de montrer sa joie au grand jour, ce qui aurait pu être dangereux si cela se produisait en publique... Sa besace sur elle, qui contenait plan du château et quelques instruments pour pourrait s’avéré utile. Elle regarda autour d’elle toujours pas de Lotus, elle ne devrait pas tarder...
--Lotus


Comme toujours, Lotus se faisait attendre. Elle maudissait Anthurium qui leur avait dégotté des chapeaux à n’en plus finir. Évidemment qu’il se garderait celui qui se faisait le moins encombrant. Il avait l’air d’un chef de clan avec son chapeau digne d’une autre monarchie. L’air n’était pas si faux puisqu’il était à l’origine de cette fabuleuse idée dont Calla et elle-même s’étaient empressés de suivre.

Le visage recouvert de suie pour noircir son regard, elle recouvra son visage d’un masque qui faisait honneur à leur équipe. Alors qu’elle installait ces foutus pétales sur sa tête qui représentaient dignement son nom occasionnel, elle s’empressa de revêtir le restant de son costume très peu discret. Une fois cela terminé, le plan machiavélique qu’avait mis au point les trois complices allait bientôt se mettre à exécution, se qui excitait grandement la vénéneuse Lotus.

Sortant de son repère, elle rejoignit ses deux compères en s’excusant de son retard en haussant les épaules. Elle avait tenté de s’exprimer de vive voix, mais elle s’était rapidement butée à un masque qui couvrait ses lèvres. Avait-il fait exprès pour choisir ces masques afin que Calla et elle se taisent tout au long de leur stratagème ?
--Anthurium


Anthurium regarda ses deux compères. Elle était très drôle avec leurs chapeaux, il leur avait trouvé ses déguisements il y a fort longtemps, c'était devenu la marque de fabrique de leur groupe. A ce moment là il chercha son chapeau des yeux. Il le prit et le visa sur sa tête. Il fit un léger hachement de tête pour leur dire qu'ils allaient partir. Il mit le sac sur son dos et ouvrit la porte.

Ils avancèrent sans un bruit. Arrivant au mur d'enceinte, il fit passer sac devant et en sortit plusieurs gigots et les lança derrière le mur pour les chiens. Il s'adossa contre le mur et plia les genoux et lia ses deux mains pour leur faire la courte échelle.
--Calla


Les joyeux lurons étaient prêt à quitter la maisonnée pour se lancer dans l’aventure, une dernière révision était mise à jour et elle fît la dernière à sortir et claqua la porte. Le soleil venait de se coucher, les oiseaux gazouillaient leur dernier refrains, mais Calla n’était pas certaine que c’était le couché qui les faisaient chantés mais plutôt le nid qu’elles avaient sur leurs têtes. La balade se fit dans un maximum de discrétion, les quelques regards qui pouvaient se poser sur eux, finissaient par baisser la tête par intimidation.

Arrivés devant le mur, Anthurium lança la nourriture aux chiens pour ensuite faire la courte échelle... Vu le chapeau et tout, si quelqu’un se trouverait de l’autre côté, il aurait bien remarquer leur chapeau... Calla enleva son chapeau et posa son pied sur la main du seul homme présent, une fois dans les airs, elle posa ses mains sur le rebords et leva la tête pour inspecter les lieux, tout semblait tranquille et dans un élan se retrouva sur le dessus du mur.

Elle regarda pour les chiens, qui semblaient s’empiffrés comme jamais. Elle aida Lotus ainsi que Anthurium à la rejoindre, on pouvait voir une magnifique vue, le château... Faillait passer les chiens et se rendre jusqu’à la plante grimpante... Elle replaça son tas de plume et regarda les autres leurs adressant un signe de tête, prête à sauter pour courir...
--Lotus


Lotus rejoignit les deux bandits déguisés en carnaval. Elle non plus n’échappait pas à la règle du trio. Aussitôt à leurs côtés, le signe qu’attendait Calla et elle se fit. Un subtil hochement de tête de la part d’Anthurium et voilà que le départ était donné. La déplaisante petite troupe fonça à pas de loup vers le lieu de leur futur méfait. Un immense mur de pierre contournait le majestueux château Poitevin comme si à vol d’oiseau, on aurait pu comparer la vue à une cible. Ironiquement, le château était la leur ! La motivation des trois masqués se trouvait à l’intérieure.

Au pied de la muraille, les gestes s’effectuaient à vive allure. Anthurium balança quelques pièces de viande dans le but de distraire les chiens de garde et suite à cela, il s’accroupit contre la fortification et s’empressa de faire la courte échelle aux deux autres. Calla passa devant et franchit la paroi sans problème. Une fois là-haut, la main de sa complice s’offrit à elle pendant qu’elle mit le pied dans les paluches d’Anthurium. En moins de deux, elle se retrouva aux côtés de Calla. Les deux chapeautés à l'extrême aidèrent le troisième membre du clan à les rejoindre. Une fois le premier obstacle franchit, Lotus se retourna et vit le château. Plusieurs fenêtres s’illuminaient des chandelles et lanternes qui éclairaient les pièces intérieures. La vue était magnifique, mais ils ne pouvaient contempler la vue plus longuement.

Coup d’œil rapide vers les gardiens à quatre pattes qui dévoraient leurs trouvailles et d’un balancement des hanches, elle s’éjecta de son perchoir pour atterrir contre le sol. S’assurant que son visage était toujours bien dissimulé derrière le masque, ensemble ils foncèrent vers le château par l’arrière. Prochaine étape : gravir les parois de la forteresse par les nombreuses plantes grimpantes qui la décoraient généreusement…
Cristof
Dans son château, le Comte du Poitou recevait nombres de présents et de courriers.
Son regard fut attiré par un des derniers envois.
Une Rose !

Une rose en cette saison, voilà qui était peu commun, une fausse sans doute se dit le Comte du Poitou, et il décida de la prendre avec précaution et de l’humer.
Drôle d’odeur cette variété, se dit-il, tout en décachetant une toute petite lettre enroulée à la base de la tige.



Bonjour

Nous vous souhaitons un bon sommeil

Des bienfaiteurs


Il déposa la lettre et s’installa sur le grand fauteuil près de l’âtre ou les bûches bien sèches crépitaient.
Une douce torpeur l’envahi et il s’écroula lourdement dans son fauteuil, d’un sommeil profond.
_________________
--Anthurium


Anthurium était sous Calla, mon dieu qu'elle était lourde! Et puis elle resté un temps sur ses mains, que fessait elle? Admirait elle le paysage? Anthurium en avait assez il poussa un peu plus sur ses main et elle grimpa aussitôt sur le mur. Ce fut le tour de Lotus. Elle était plus grande que Calla et un peu moins lourde. Mais aussi prit un temps fou pour montez sur le mur. La vu du château était si belle que cela? Ou c'etait l'idée du vol qui les fessais rêver. Il poussa un peu et celle ci monta a son tour.

Anthurium se retourna fit quelque pas dans le sens contraire du mur. Il pris son élan et s'élança pour grimpé sur celui ci. Il vit ses deux amies l'aider, au début il cru qu'elles voulaient le pousser vers en bas, mais a la vue des deux pair de main l'agripper et le hisser sur le mur, il fut plus rassuré. En haut il se plia en deux pour reprendre sa respiration. Il eu le temps de levez la tête et regarder le château, qui soit disant passant n'avait rien de spécial, que ses deux compères sautèrent du mur et couraient vers des plante grimpante. Il pris une grande inspiration et les suivit en courant.

Il arriva contre le mur en premier, les dames avaient du mal a gardez leur chapeau sur la tête en courant, il prit a deux mains les tige de la plante et escalada le mur pour arrivé au balcon le plus proche. La haut il aida ses deux amies a prendre pied.
--Calla


L’adrénaline commençait à prendre le dessus, une chose que Calla aimait bien d’ailleurs, à cette heure ci, le Comte devais avoir reçu la lettre et été surement parti au pays des merveilles. Un seul détail restait à savoir, sa femme, était-il seul ou bien la Comtesse était avec lui. Fallait pas que le plan tombe à l’eau... Il en était pas question! La rêverie terminée, Calla devait bouger ses fesses et se mettre en action. Lotus sauta la première, Calla la suivit...

Les plumes dans le vent, deux autruches qui couraient dans le champs, Anthurium lui semblait avoir beaucoup plus de facilité, vu son chapeau, c’est pour cela qu’il arriva le premier à la plante... Les chiens toujours en train de manger, mais ils en avaient plus pour longtemps alors ça ne servait à rien de jouer la carte de la patience. Valait mieux s’activer pour en finir... Anthurium était déjà dans l‘escalade lui, peut-être avait-il peur des sales cabots lui aussi..

Lorsqu’elle se tourna pour signaler à Lotus que l‘heure était à l‘escalade, Calla remarqua les p’tites bêtes noir qui semblaient cherchés quelques choses d’autres à ce mettre sous la dent, les yeux noirs qui fixaient les lurons de près... Elle n’avait pas envi de servir ses fesses comme dessert, elle grimpa avec une vitesse folle jusqu’au balcon où l'attendais Anthurium, qui la hissa fisa. Elle laissa l'homme s'occuper de la dernière compère, tandis qu'elle observai le balcon. Un dilemme s’imposait, ouvrir la baie vitré et risquer de ce faire prendre ou bien la cassée et risquer de ce faire prendre... Dans les deux cas c’était dangereux, pendant une fraction de seconde, Calla se demanda la peine qu’ils auraient s’il se faisaient prendre sur le fait.

Peu importe c’était surement pas quelques écus qui allait la libérée, ils s’apprêtaient à un grave délie et cela lui plaisait bien d’ailleurs... Elle regarde Lotus et Anthurium ne sachant pas quel décision prendre, elle ne pouvait quand même pas étampé son visage dans la fenêtre, la discrétion... Vu le chapeau et le masque... La meilleure idée pour faire faire une crise de cœur aux gardes.
--Lotus


Arrivé au pied de la forteresse, elle n’eut à peine le temps de reprendre son souffle et de replacer son chapeau maudit, que l’ascension débuta. Elle maugréa de plus en plus derrière son masque cette aventure. Elle se voyait déjà avec le fameux objet qui était le but de leur escapade, mais elle ne pensait pas devoir le faire dans un tel accoutrement. Elle respirait difficilement dû aux minuscules trous qui lui permettaient d’avoir de l’air frais, et les yeux… chaque fois qu’elle en clignait, ses cils heurtèrent le masque… ce qui devenait de plus en plus agaçant. Elle avait chaud, elle se sentait séquestrée d’un costume ridicule, l’impatience la gagnait et devenait de plus en plus impulsive.

La montée se fit tant bien que mal. Les pétales qui trônaient sur son exagéré couvre-chef lui obligea à garder une certaine distance du mur. La tête constamment relevée pour incliner sa coiffe, elle parvint à mettre un pied sur le balcon où patientait Anthurium et Calla. Cette dernière l’avait rapidement devancée dans l’escalade. À croire qu’elle avait vu quelque chose qui lui avait donné la frousse. À nouveaux réunis, Calla semblait hésitante pour la suite des événements. Lotus qui, de moins en moins patiente, vérifia si d’abord la porte du balcon était verrouillée. Malheureusement, les gardes faisaient bien leur boulot. L’accès était fermé à clé, mais cela ne limita pas Lotus. L’odeur du pouvoir pouvait se renifler tranquillement et cela stimulait la tierce vilaine. Elle appliqua un bout de son ample costume contre le carreau et d’un vif coup de coudre, elle le fracassa en mille morceaux. Ses deux complices étaient subjugués de constater la rapidité à laquelle Lotus agissait. Ils étaient là, à ne rien faire d’autre que l’observé étonné. Soupirant sous son masque, elle comprit qu’elle devait tout faire par elle-même. Elle glissa un bras dans l’ouverture qu’elle venait de créer et déverrouilla la porte de l’intérieur. Cette dernière s’ouvrit sous l’ordre de sa dextre et fit signe aux deux autres de s’activer. Ils passèrent devant et pénétrèrent la sombre pièce.

Le parfum du luxe s’intensifiait à ses narines. Sans plus attendre, elle s’orienta vers la porte qui menait au couloir. À présent, le comte devait déjà subir les effets secondaires de leur présent et puisque l’heure était tardive, la troupe de gardes était maintenant réduite au minimum. Le couloir était désert et c’est sur la pointe des pieds qu’ils longèrent les murs du corridor.
--Anthurium


Anthurium aida ses deux compagnons a montez sur le balcon. Il regarda Calla qui réfléchissait puis son regard fut attiré par l'autre voleuse. Celle ci prit un pan de sa robe pour atténué le bruit quand la fenêtre se brisa. Une fois la baie vitré ouvert il pressa les deux femmes a entrer. Il tira un peu sur le masque pour voir parler. Il ferma la porte et dit d'un voie grave et monocorde

Calla regarde la carte pour voir la chambre du comte et moi et Lotus on va voir s'il y a des gardes

Il appliqua bien son masque sur son visage et avança a pas de loup jusqu'au bout du couloir. Il jeta un œil a droite ... aucun garde. A gauche une fenêtre. Il plaqua son dos sur le coté gauche et garda toujours un œil sur l'escalier d'où pouvez venir les gardes.
--Calla


Bon, la porte ouverte par Lotus, Calla entra à l’intérieur et fût éblouis par la beauté, la décoration, tant de luxure et ... De...Goût... C’était un endroit qu’elle aurait bien aimer passer le restant de ses jours, malgré ça, elle se trouvait ici à voler un objet qui pourrait au moins lui donner l’apparence de la luxure. Un petit rire coincé lorsqu’elle entendit les commandes de Anthurium, elle les regarda courir dans tout les senses. Aucun gardes à l’horizon, elle sortit alors son parchemin et le déroula...

Ça semblait tellement complexe, des pièces partout... Pourtant elle avait prit le temps de le scruter mais avec le stress et l’angoisse, sa mémoire avait fait défaut. Plus rien d’un seul coup, elle chercha l’insigne « Chambre du Comte » mais rien, le front humide, elle leva les yeux croyant entendre quelqu’un...
Calla reprends toi.. Les yeux allaient et venaient sur le bout de papier sans aucune indication du cerveau, c’est alors qu’elle finit par trouver! Heureuse elle leva la tête pour se situer, à droite. Anthurium semblait être tout près, elle avança doucement essayant de ne rien accrocher, surtout avec son chapeau... Elle signala à ses complices que leurs fameux cadeau ce trouvait tout près maintenant.

Marchant sur la pointe des pieds, elle crût que ses orteils ne supporteraient pas le poids de son corps ainsi que celui du déguisement. Tournant à droite comme la carte l’indiquait, un long corridor ce dressait devant elle, selon ses informations, c’était la première porte. Voilà! Seuls les talons fît un 45 degrés pour faire face à une magnifique porte qui allait soit rester debout si elle n’était pas verrouiller ou bien finir par terre si elle devait utiliser la force, ce qui lui plaisait bien d’ailleurs. Elle dût ce reprendre Voyons Calla pas de violence.. En tout cas pas tout de suite Le sourire aux lèvres, elle posa sa main sur la poignée avec fermeté... La poignée déclacha presque seule, contente de ne pas avoir été obliger d’enlever ses gants, elle laissa la porte sur sa tendre lancée pour aller rejoindre le mur qui s’y trouvait derrière.

Fière d’elle, Calla se tourna vers ses compagnons... Le Comte, là, étendue sur le fauteuil, le pauvre il était fatigué. Regardant la lettre et la rose, un sourire diabolique lui vint aux lèvres, une immense satisfaction se fît sentir à l‘intérieur de la jeune femme... Les lurons à l’intérieur, Calla prit le soin de refermer la porte avec douceur, fallait quand même pas attirer l’attention, si proche du bût.
--Lotus


Les sens complètement en alerte… À l’affût des moindres bruit ou vision qui pourraient entraver leur périple dans ce majestueux château, Lotus veillait à ne pas faire tomber les bibelots, cadres et tout autres décorations qu’arboraient le mur. À quelques reprises, elle lançait un regard noir à son complice qui devait bien se marrer derrière son masque à les voir tenter d’esquiver tous les obstacles avec leur impressionnante circonférence de tête. Son regard se posa sur la vénéneuse Calla et soudain, un puissant inconfort l’envahi. Les yeux de sa complice qui scannait le plan à la recherche du moindre indice donna froid dans le dos à Lotus. Une intense colère naissait au fond d’elle en constatant qu’elle n’était pas prête à passer à l’action.

Lotus arrêta net ses pas quand le plancher grinça sous ses pieds. Son visage se crispa sous le masque en priant que cette planche maudite n’ait alerté tous les gentils petits gardiens. Pendant ce temps, le visage de Calla changea aussitôt. Lueur d’espoir dans l’œil de Lotus, Calla leur donna les indications pour se rendre aux appartements du comte. Quelques enjambées plus loin, le plancher s’était tue et ne dévoilait plus la présence des trois déplaisants zigotos.

La seconde compère prit les devants en posant la main sur la poignée. Instinctivement, Lotus attrapa le chandelier qui siégeait sur une magnifique table de corridor, fit rapidement éjecter les chandelles et s’en servit comme arme. Qui sait le nombre de personne qui pouvait se trouver avec le comte ! S’il fallait que la Dame soit avec lui, ils se devaient d’avoir l’air menaçant malgré leur accoutrement. Le chandelier faisant office d’arme brandit à la hauteur des yeux, Calla ouvrit facilement la porte à sa plus grande surprise. Prestement, le trio pénétra la pièce qui contenait le joyau. Une rapide analyse des lieux s’effectua quand, le comte jouait à la belle au bois dormant dans son fauteuil près de l’âtre. Le crépitement des flammes qui dévoraient les bûches rendait la pièce extrêmement apaisante, mais il va de soit que les trois costumés allaient un peu changer la donne.

Calla referma discrètement la porte pour ne pas éveiller les soupçons pendant que Lotus s’approcha du comte. Pour la première de sa vie, elle voyait un comte d’aussi près. Plus elle le regardait dormir paisiblement, plus elle le trouvait adorable avec ses petites pattes d’oie qui démontraient une sagesse et expérience de vie. Hélas, il n’avait pas encore assez d’expérience pour ne s’être méfier de leur diabolique plan. Le mot qu’avait préalablement envoyé Anthurium reposait sur la table à ses côtés et rapidement, Lotus libéra ses mains en balançant le chandelier sur un second fauteuil, mais par inadvertance, il rebondit et s’échoua sur son pied. D’une colère grandissante beaucoup trop rapidement, elle relâcha un cri de souffrance…

Merrduuuuuummmmm !!!

Le visage colérique sous son masque neutre, elle essaya de se tempérer sans grand succès. La douleur au pied mêlée à l’orgueil du rebond qu’elle ne vit venir devenait un mélange explosif pour un si petit corps. Décidée à en finir avec cette pitoyable mascarade, elle tendit la main vers ses complices en réclamant une corde qui reposait au fond d’un des deux sacs. Fallait bien ligoter le principal intéressé !
--Anthurium


Anthurium regarda Lotus en souriant, tous ce qu'il pouvait faire sous ce masque c'était de sourire, elle fessais bien attention de ne rien faire tombé. Ce qui lui donnai un air patibulaire assez cocasse. Il porta ses yeux a l'escalier. Personne ne venez, pourtant , en tendant l'oreille, on pouvais entendre parlé les gardes. Il reporta ses yeux sur Calla qui cherché a la lumière dansante des torches, la chambre du comte. Elle semblais perdu, pourvu qu'elle retrouve la chambre sinon ils étaient mal en point. Il remis ses yeux sur l'escalier et observa les murs et les décorations, si il aurait eu vraiment le temps il aurais essayé de tous prendre. La tapisserie qui était du l'autre coté du couloir valait au bas mots cinquante écus, le tableau facilement soixante pièces et tous le reste du mobilier était tous aussi juteux.

Tous en bavant sur les mobiliers il vit au coin de l'œil deux ombres bouger. Il tourna rapidement la tête et constata que les deux lurons partait dans une autre directions. Anthurium se leva et les suivis et entra dans la chambre du comte. Il resta figé après être entré dans la chambre. Autant le mobilier des couloir était intéressante autant celui de la chambre du comte était sublime. Il y avait un luxe dans cette chambre que tous voleur aurait voulu volé. Il reste, là fixe a observé. Sans le faire exprès Calla lui donna un coups, ce qui le ramena a la réalité. Il regarda dans la chambre pour localisé l'objet convoité. Il fit un sursaut tellement haut qu'il failli se cognez la tête contre le plafond. Il secoua la tête se demandant qui avait utilisé une catapulte contre le château. Anthurium se tourna vers la où venez le bruit et vit Lotus avec un lourd chandelier sur le pied. Il fit une légère grimace, cela devait faire très mal ... Il vit la main de Lotus reculez. Il ferma les yeux et se protégea la figure, il connaissais très bien les deux dames et Lotus était la plus colérique et elle avait la main lourde. Elle avait envoyé a l'hospice plusieurs hommes fort qui l'avait fait du charme. Anthurium ouvrit un œil et vit la main de Lotus faire un petit signe. Il baissa les bras et ouvrit les deux yeux. Que voulez elle ?? Elle refit le signe et Anthurium comprit. Il ouvrit son sac, sortit la corde et la posa dans la main de Lotus. Le sac était maintenant vide. Il se dirigea vers la tête en bois et prit la couronne. L'objet désirai était sublime. Fait d'or et incrusté de diamant, émeraude, améthyste et topaze. Anthurium avait les yeux qui brillaient. C'était l'objet le plus précieux qu'il avais jamais vu. Il ne put retenir un frison en pensant au pièce sonnante et trébuchante qu'ils allais en tiré, mais cette somme il faillais la divisé en trois. Certes la somme serai toujours conséquente mais bien moins que si c'était une part unique. Jamais Anthurium ne tuerais ses deux amies, ses sœurs pour de l'argent. La seul chose était de prendre d'autre joyaux. Il ouvrit les tiroir, avide d'argent. Quand le tiroir n'était que de papier et de document il le referma aussitôt. Le bureau n'avais rien d'intéressant, il se porta bien vite au table de chevet. Là le tiroir était plein a craqué de bagues, collier, broche, boucle d'oreille et autre babiole qui avait de la valeur. Bientôt le sac pesa aussi lourd qu'au début. Anthurium était geai comme pinson, ils allais avoir une belle vie tous les trois.
--Calla


N’ayant pas remarquer l’arme ultime de Lotus, Calla bloqua sur place lorsqu’elle entendit :

Merrduuuuuummmmm !!!

Se tournant brusquement, les yeux ronds comme un hibou, elle regarda la brute et couru vers la porte, écrasant son oreille sur la porte. Malheureusement elle ne pouvait rien entendre, le chapeau était énorme et une plume vint lui chatouiller le dedans de l’oreille. Laissant échapper un petit ricanement, elle plaqua sa main sur sa bouche surprise elle même du son qui venait de la trahir... Elle resta là, les mains sur les hanches à regarder les deux complotés, ses yeux suivaient Anthurium qui se dirigeait maintenant vers ce qui les faisaient rêvés, la fameuse couronne...

Lorsqu’il posa la main sur le bijou, un grondement remonta jusqu’à sa gorge, une peur l’envahi... Une émotion inattendu ce fît sentir, la méfiance! S’il devait faire un faux pas pour ce sauver avec la couronne, Calla était prête à tout pour garder son nouveau trésor, l’argent devait être séparer équitablement entre les trois, la fleur elle, s’occupait du Comte. Fallait juste pas qu’il se réveille sous le tripotement de la grande fleur, la douceur était la clé de la réussite.

Le cerveau au repos, Calla reçu un petit choc qui l’arrêta net de penser, elle regarda autour d’elle. Anthurium semblait vider la pièce, elle décida alors de regarder les tableaux accrochés au mur. La richesse était au rendez-vous mais c’était un peu gros comme charge, elle ne pourrait pas sortir du château et courir à travers les chiens. On oubliait cette idée, point! Elle scruta le bureau du Comte cherchant des places secrètes, se souvenant les histoires d’enfance. Toujours quelques choses de cachés, prenant la peine de s’asseoir et de regarder le dessous, Calla remarqua une petite corde.

La soif de richesse coulait dans ses veines, une curiosité immense l’envahis, elle prit alors la décision de tirer sur la corde...

AIeuhhhhHHhh! Malgré son masque on pouvait clairement entendre le son de sa voix.

Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle remarqua qu’elle avait une grosse bosse sur la tête et comprit qu’en tirant sur la corde, le tiroir lui avait tombé direct sur la tête. La blessure aurait pût être fatale pour la jeune femme si elle n’aurait pas eu cette immense derrière de poule sur la tête.

Une fois le vol fait, le Comte hors d’état de nuire, Calla regarda ses deux complices et comprit qu’ils avaient assez joués avec le destin et il était maintenant l’heure de quitter cette magnifique demeure. Elle replaqua sa tête contre le porte mais cette fois ci elle prit soin d’enlever son chapeau pour mieux entendre. Rien ne semblait être sur leur route, la porte ouverte elle passa d’abord, longeant le corridor. Lorsqu’ils arrivèrent près de l’endroit où tout avait commencer, elle remarqua un corps, un garde... Le chapeau toujours dans ses mains, elle glissa son visage le long du mur, si près que les petits bouts de bois menaçaient de lui entrer dans la peau à tout moment. Lorsque Calla réussit à mettre un oeil de l’autre côté, elle remarqua que la personne en question ronflait dans les couloirs... Rhooo un garde qui dort, tu parles!

Elle aurait tant voulu prendre une plume et lui chatouiller le bout du nez, mais elle aurait fait quoi s’il se réveillait... Si le chandelier n’était pas tomber sur les orteils de Lotus...
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