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La gargote Limousine : [RP]D'énigme en énigme

--Melodia





[campement Memento Mori à l'aube]



Imaginez une tente dans un campement de soldats..usagée..

Imaginez la toile du rabat qui se soulève et se rabat à chaque ronflement..

Imaginez des bottes en cuir fuser des autres tentes et rebondir sur la dite toile..

Imaginez deux hommes qui dorment sous la tente après une soulerie en taverne et une dispute..


Curtius..

Un bouc, une réputation de Grec..pour une fois qu'une réputation n'ait aucun fondement..partie d'une plaisanterie en taverne..et a enflé injustement la boisson aidant, amoureux éperdument d'une brune, mais pas pu jusque là lui déclarer sa flamme

Kervineg

Nounou chez la nobliaute brune dont est épris Curtius, elle tout aussi éprise secrètement, édenté, la peau lacérée, appelé le vieux malgré ses quarante cinq automnes. Un moulin à parole, brute de coffrage, ne se comprenant pas lui même souvent, ne le faites pas répéter.

Les deux la veille se traitant mutuellement de "grecs", ivres, se retrouvent sous une tente le pied de l'un dans la bouche de l'autre, les vêtements défaits, les cheveux en bataille, l'un sentant le vomis, l'autre la bière.


Aelyce
Elle, inquiète pour son père, laisse le matin même celui pour qui son coeur penche, vibre, bat et déborde d'amour en secret..laisse le nounou qui travaille pour elle, emmène son enfant voir Alcyone et son père à Gueret.

Et enfin...Moi, Melodia

Je suis en moi même la première énigme, je ne m'attarderais guère sur mon identité réelle, vous me trouverez ici et ailleurs..comme par magie.

Puis une silhouette de femme qui approche, svelte, élancée, la mienne donc, et qui glisse un parchemin dans la tente, esquivant une botte, se bouchant les oreilles et le nez alternativement. pour le relâcher avant de disparaitre à nouveau



Citation:

Messire Curtius

Dans le décolleté de la mère Viviane, entre ses deux seins, la tenancière de l'auberge des trois grains de beauté dans les bas fond de limoges se trouve le premier indice qui vous amènera peut être à là où se trouve une personne chère à votre coeur et qui se trouve entre nos mains.
Si vous tenez à elle, suivez le parcours qui sèmera tout soldat de votre armée au cas où elle aurait la mauvaise idée de s'en mêler.

Le corbeau

Curtius
Il rêvait le Curt, l'alcool aidant son sommeil était lourd, très lourd, et il voguait en plein songes.......... ......... ..... ...

Dans les rêves d'un pas grec :

Une douce odeur flottait dans un paysage étrangement verdoyant. Petits oiseaux partout, ça sifflote, ça vole, et un curt qui marche pieds nus dans cette herbe ressemblant à un tapis tellement elle était douce. L'odeur, Curt la connaissait trés bien mais ne savait pas la replacer, elle l'attirait irrémédiablement vers une maison aux volets roses, tout était encore très coloré... trop?

Alléché par l'odeur, Curt ouvrit une porte, fort fort fort lourde. Il entra et trouva l'odeur plus forte encore, salivant, il s approcha d une grande pièce et vit sur la table, une trentaine de tartes chaudes ! toutes plus appétissantes plus les une que les autres...

Des tartes ! Des tartes ! Oui mais des Moaaniies ! ( à lire avec le slogan panzani dans la tête )

Moaan, habitante du limousin était là, mi nue, cuisinant des tartes.

Curt l'observait, intrigué, tartes, Moaan presque nue, c'est à cet instant précis que tout bascula. L'odeur des tartes devint une odeur de fromage pourri, Moaan pris l'apparence de..... de.... KERVINEG !


Fin du rêve..

Réveil en sursaut, les deux yeux grand ouvert et un...

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH


Cri strident, pire que l'arrachage d'une dent. Pire que l'arrachage du poil de nez ! pire que tout !

Vision apocalyptique, il était couché avec Kervineg dans une position repoussante...


Ah ! mais par tous les diables !!

Il regarda une main de Kervineg, posée sur .............. SES FESSES !

GREC ! Par tous les saints ! GREC !


Curt se leva, dépoussiéra ses vêtements comme s'il venait de chuter de cheval, et regarda un parchemin tomber de sa poche...


Gnieu?


Il le prit en main, sa tête lui faisait mal. Regardant Kervineg qui s'étire et se réveille enfin, il soupira. A la lecture il resta circonspect...

Corbeau? personne chère à ... mon coeur. Kerv ( houston ), on a un problème..
_________________
Kervineg
Il dort comme à son habitude du sommeil des bienheureux. Il sourit béatement, comme quand il regarde le gamin qu'il a maintenant l'habitude de pouponner. Un petit rire lui échappe sous les chatouilles, son gros orteil se faisant laper et sucer par un Curtius lui aussi dans un autre univers idyllique. Un dérangement au niveau de la respiration, l'odeur du vomi et un cri. Un grand, pas dans la demie-mesure.
Kervineg relève son torse et saute de sa couche en hurlant à son tour.


RAAAAAAAAAAAAAAAAAH!
Grec? Les sarrasiiiiiiins?! Où ça où çaaaaaaaaaaa!!!


Il plonge avec la dextérité de son âge sur son épée, ôtant la gaine de cuir de la lame et la brandissant violemment partout autour de lui, affaissant la toile qu'il déchire de part en part, les transformant tous deux en fantômes agités, dont un lecteur qui essaye de comprendre une mystérieuse missive tout en évitant un bretteur fou furieux, cherchant un ennemi absent.
Sortant essoufflé et trempé de sueur des restes de la tente, il se rend compte que le calme règne en maître sur la mer de toiles blanches, percée ici et là de tentes colorées, occupées par des gradés plus importants.
Le camp entier a les yeux rivés sur les deux grecs de rumeurs, et c'est un Kervineg bougonnant et dégoulinant des restes de ses régurgitations qui tend la main à Curtius l'englouti par le tissu.


Ah ça! M'refaites plus l'matin pareil, où j'risque d'vous y faire passer sous ma lame malgré moi!
C'est quoi don' l'souci qu'faut régler mon bon?

_________________
Curtius
Se dépatouillant du mieux que possible d'une toile qui venait de s'effondrer sur leurs museaux. Il tendit tout simplement le courrier à Kervineg avant de se demander s'il savait lire..

Hm.

Il reprit le parchemin et en fit la lecture, puis regarda le vieux...

Tu penses c'que je pense ? la seule personne chère à mon coeur dont on pourrait jouer de me l'enlever, c'est Aelyce. Personne ne connait ma soeur ici, hm.. Aelyce. Où est elle? Elle avait parlé Guéret non ?


Grommelle... L'énigme semblait pas si difficile, mais il n'en restait pas moins curieux. Qu'attendait on de lui? qu'avait donc le jeune homme boucu qui pourrait intéressé qui que ce soit ? Il se tourna vers le sol, observa son épée... l'épée d'Aelyce.. peut être est cela ? ou non.. ses pensées se perdirent dans un flot de questions..

Kervineg, je crois qu'on va devoir partir discrètement du campement, n'en dire mot à personne, et filer vers Limoges. J'aurai besoin de toi pour cela, ne serait ce que pour cette histoire de décolleté de la "mère" viviane. Si c'est une dame de ton âge tu l'amadouera plus aisément.


Il plia le parchemin et le glissa en sa poche...

Les derniers mots sont menaçants, et elle est partie avec l'enfant.

Regard inquiet vers le vieux, air de dire, oublions les querelles de la veille et marchons ensemble..

Trouvons nous un cheval... CHACUN. Je précise.. et partons au plus vite. On passera à Guéret voir si elle se trouve en sa famille comme elle le devrait... si ce n'est pas elle alors...

Haussement d'épaule, un peu abattu..
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Kervineg
Kervineg n'eut pas le temps d'essayer de lire la première phrase que le parchemin lui fut retiré des mains. Bah! De toute manière, ça lui aurait pris un temps monstrueux pour tout déchiffrer, encore plus pour comprendre.
Alors que son compagnon filait vers les écuries, le vagabond tenta, dans un ultime soupire, de lui faire comprendre qu'il était un va-nu pied et non un va-chaussé cheval.


Curt, attend! J'ai jamais monté à...

Voyant son ami s'en aller bon train vers les montures, il abandonne sa phrase et maugréé tout bas la fin.

cheval...

Le vieux finit par rattraper la jeunesse, déjà en selle, avisa un canasson peu farouche et monta dessus dans un véritable périple, aidé par trois palefreniers qui eurent toutes les peines du monde à l'y faire s'installer. Fier sur sa vieille bourrique, il s'accrocha au cou de l'animal qui aurait pu gagner un concours de lenteur dans une course d'escargots.

Baaaah j'suis maladeuuuuuh

Cinq mètres en dehors du camp, il vomissait déjà la brioche rapidement avalée du matin, pendant que Curtius faisait des rondes incessantes autour du cheval vétéran et de son cavalier plus que novice, impatient d'avancer au plus vite. La noble monture de Kervineg leur en fit voir de toutes les couleurs, s'arrêtant pour brouter un pissenlit, une autre fois pour faire ses besoins, une fois encore par peur d'un chien sauvage qui aboyait à l'entrée de la ville. Limoges. Délivrance pour le vieux qui les présenta aux gardes, toujours autant collé au cou du fier destrier proche de la date de péremption. Une fois descendu, il accrocha l'ancêtre équidé à la première taverne du coin, y entrant pour demander le bordel où ils pourraient trouver la mère Viviane.

J'ai l'chemin le Curtius, c'est point d'tout proche, mais j'irai vous suivant à pied, plutôt crever comme un rat qu'd'remonter sur c't'animal d'tous les diables! C't'à l'auberge des grains d'beauté ou que'qu'chose comme ça, à une dizaine d'ruelles d'ici, la plus sombre qu'y parait.

Trop heureux d'être de retour sur le plancher des vaches, Kervineg marcha aux côtés du cheval de Curtius, lui conseillant une dernière fois de le laisser avant d'arriver dans les rues mal famées de la capitale, peu sûres pour une telle monture. Une fois arrivés devant la dite taverne, il demanda la dite femme, au dit nom de mère Viviane.
_________________
Curtius
Grimpé sur un beau cheval, Curt tenta de cacher son inexpérience au vieil homme. Il n'avait jamais eu beaucoup l'occasion de monter un tel animal et c'est non sans crainte que les premiers lieues furent franchis.

Le pauvre Kevineg grommelait, malade, pas à l'aise du tout, tandis que Curt prit de plus en plus de plaisir à chevaucher. Le jeune homme a toujours eu une passion pour le cheval, noble animal, fort et débordant de puissance. Le souffle de l'animal se faisait entendre tandis que le bruit de ses sabots martelait le sol, aussi fort que le cœur du Curt..

Le paysage défilait sous ses yeux curieux, non sans faire de multiples pauses le cheval-poney monté par Kervineg n'étant pas des plus compréhensif...


J'crois que c'est l'odeur de tes braies qui l'incommode Kerv. Allez on s'remue !

Nez plissé, grommelant, il s'impatientait de plus en plus de savoir ce qu'il en était. S'il allait devoir sortir l'épée elle ne sortirait pas pour rien ça non..

Les portes de Limoges passées, il laissa son canasson sous les conseils du vieillard et entra dans une ruelle où il n'avait jamais mis les pieds avant. Odeur d'urine dans les recoins, ça pas trés inhabituel, sauf quand dans ces mêmes recoins des femmes de joies se laissent aller, cuisse levée.

Ensemble ils pénétrèrent dans la taverne , Curt s'avance, jette son regard dans tous les recoins. La taverne ressemblait plus à une auberge pour qui veut forniquer qu'à un lieu où on vient prendre le repas. Des jeunes femmes, des moins jeunes, un vieillard attablé devant un verre de vin où les pieds d'une jeune femme dansent lentement.. L'odeur, différente des autres tavernes, plus intime, chaleur plus confinée également. Curt s'approcha du comptoir et demanda avec le vieux..


Cherche la mère Viviane, mon camarade à mes cotés...
tapote sur l'épaule de kervineg.. Est un fidèle client de cette auberge !
_________________
--Mere_viviane
[Auberge des trois grains de beauté, chez la mère Viviane]



-Cherche la mère Viviane, mon camarade à mes cotés est un fidèle client de cette auberge !

Haussement de sourcil quand elle entend son nom, puis elle relâche le client ivre qu'elle tirait par les aisselles cuver dans un endroit où deux avaient déjà pris la place l'un sur l'autre, quasiment nageant dans leur vomis, secouant les mains bruyamment et pestant contre cette clientèle pourrave qu'attire irrémédiablement les lieux.
Elle se relève, le menton arrogant et ajuste ses cheveux blancs rares mais enflés sur sa tête à force de saint doux et de chaux pour les faire tenir, contourne le comptoir d'une démarche chaloupée et les regarde l'oeil expert, les toisant de bas en haut de haut en bas.
Elle reconnait le vieux, habitué en effet, mais le nouveau, propre sur lui doit avoir plus d'écus à payer. Elle tape sur sa poitrine bruyamment et claque la langue


-Et je peux quoi pour vous mes loulous? c'est moi la mère Viviane..
attendez que je devine, vous cherchez de la compagnie pour la nuit..vous la voulez comment mûre et experte, jeune, maladroite mais la cuisse laiteuse et ferme, ou alors entre les deux! la pucelle y'en a une mais je pense pas que vous ayez de quoi vous payer ça..


Elle claque des doigts en direction d'un client qui attendait son tour, tandis qu'un autre sortait en réajustant ses braies après avoir lâché un rôt qui fit se retourner les autres.
--Lili_la_pucelle


Une toute jeune femme s'avance vers les deux hommes, la démarche féline, aguicheuse dans ses moindres gestes, calculés à la perfection, assez pour redresser la virilité d'un homme sur le seuil de la mort et pour faire se noyer un jeune dans sa salive qui lui dégoulinerait de la bouche grande ouverte. Elle inspecte les gaillards, maîtresse de la situation, sachant trop bien à quel point ses toutes nouvelles petites formes et sa fraîcheur sont un atout face à eux. Elle pose son index sur la bouche du vieux, fait glisser son doigt jusqu'à l'encolure, puis lui griffant le cou avant de venir se coller, dos contre ventre au jeune Curtius, bien plus intéressant pour elle, ayant la fougue et la puissance de la jeunesse, elle glisse contre lui, pressant son postérieur intact contre l'objet de ses désirs et gémit dans un faible souffle:

Celui-ci me plaît bien m'dame Viviane, il saurait m'montrer ces choses pour ma première fois et l'est plutôt coquet.

Hein qu't'es beau le riche? je sais que mon corps ploiera sous tes coups et que tu sauras être digne de mon hymen, viens là mon beau brun.

Avant de regarder Curtius droit dans les yeux, lui demandant une fois une seule s'il veut l'accompagner, elle dit à la tenancière:

Oh, puis trouvez une belle pour le vieux, il a l'air de savoir y faire malgré tout, ce s'ra à mes frais!

Elle lui prend la main essayant de le faire bouger jusqu'à une chambre, sans succès. Un regard faussement boudeur, une mine mignonnette et attendrissante, autant de promesses de plaisir offertes sous le silence.
Curtius
Viviane, c'était donc elle, et elle semblait porter à son cou un collier contenant un petit parchemin. Restait à l'obtenir..

-Et je peux quoi pour vous mes loulous? c'est moi la mère Viviane..
attendez que je devine, vous cherchez de la compagnie pour la nuit..vous la voulez comment mûre et experte, jeune, maladroite mais la cuisse laiteuse et ferme, ou alors entre les deux! la pucelle y'en a une mais je pense pas que vous ayez de quoi vous payer ça..


Ahum euh non m'dame. On vient pas chercher d'quoi s'envoyer en l'air on vient récuperer quelque chose qu'on a du vous laisser pour nous. Me semble que vous le portez autour du cou.

Une jeune qui se disait pucelle vint aguicher le Curt, se frottant ici et là, pire qu'une chatte cherchant à frotter son dos à tous les matous du village. Elle tenta habilement de trainer le jeune homme dans une chambre,sans succès. Cloué au sol Curt était là devant Viviane et aux coté de Kervineg qui annonça..

Ma bonne dame, s'vous pouviez y laisser l'Curtius s'occuper d'vous r'tirer l'écrit d'entre vos belle miches, c'est point qu'j'irais point les chercher moi-même avec plaisir, m'enfin la consomation étant payée, j'm'en va la consommer ardemment!

Pourriez même nous le donner vous même, on nous a demandé de passer le chercher cet écrit. Ajouta il
_________________
Kervineg
Pendant ce temps, une femme vient à la rencontre de Kervineg, qui regarde Viviane, Curtius, Viviane, Curtius, le décolleté de la patronne, puis se souvient de la raison de leur venue et dit à la femme mûre:

Ma bonne dame, s'vous pouviez y laisser l'Curtius s'occuper d'vous r'tirer l'écrit d'entre vos belle miches, c'est point qu'j'irais point les chercher moi-même avec plaisir, m'enfin la consomation étant payée, j'm'en va la consommer ardemment!

Le vieux se laisse tirer vers une chambre avant d'entendre un appel auquel il ne peut désobéir, vu le ton sur lequel il est donné. Pour une fois qu'il n'avait aucun effort à fournir pour enfourner! C'est tout pataud qu'il abandonne sa fille de joie, et revient avec l'air d'un chien battu devant Curtius en annonçant solidement:

S'il vous y faut l'parchemin, j'y mettrais point la main, na!
_________________
--Mere_viviane


Elle regarde les deux loustics tour à tour, le vieux, le jeune, le vieux, le jeune, le vieux, le vieux, le jeune, le jeune, le vieux..

-Bon vous deux je vous sens pas, sois vous consommez quelque chose sois vous dégagez! Elle montre de son bras pendouillant la porte, exaspérée qu'on lui refuse ses services.

-Ahum euh non m'dame. On vient pas chercher d'quoi s'envoyer en l'air on vient récupérer quelque chose qu'on a du vous laisser pour nous. Me semble que vous le portez autour du cou.


-Oh vous parlez de ça?
elle relève de ses mains ses seins en gants de toilette, écrin du parchemin qu'on lui a confié contre une belle bourse pleine d'écus, comment refuser de rendre un service aussi lucratif?

-Prenez le vous même, mes seins ne mordent pas
Haussement d'épaules, elle était vexée, d'habitude elle chassait elle même les mains des clients qui se tendaient sans raison enfiler ses gants..euh seins.

-Ma bonne dame, s'vous pouviez y laisser l'Curtius s'occuper d'vous r'tirer l'écrit d'entre vos belle miches, c'est point qu'j'irais point les chercher moi-même avec plaisir, m'enfin la consomation étant payée, j'm'en va la consommer ardemment! et voilà que le vieux s'en mêle, elle lève les sourcils tour à tour, les poings enfoncés sur ses hanches.

-Pourriez même nous le donner vous même, on nous a demandé de passer le chercher cet écrit. Répond l'autre..

Trop c'en était trop, on aurait pu croire qu'on leur demandait de se jeter en enfer. Blessée dans son amour propre elle prend le parchemin roulé, et d'un geste vif sans prévenir elle le prend et le glisse dans les braies distendues du vieux


-Puisque vous aimez pas toucher aux femmes, je suis sûre que ça vous plairait de vous tripoter mutuellement, bande de Grecs!

Tournant les talents, elle demande à un cerbère de les jeter dehors sur le champs.
Curtius
-Puisque vous aimez pas toucher aux femmes, je suis sûre que ça vous plairait de vous tripoter mutuellement, bande de Grecs!

Non mais quelle manie de ...

Pas le temps de finir sa phrase que lui et le vieux se faisaient mettre dehors par des gros muscles, bourrus, mal fagotés mais diablement fort !

Hep ! Oh c'est bon on sortira d'nous même !

Curt se faisait à moitié trainer ....

AAh tripot d'catins ! on y reviendra tiens ! c'est vous les grecs !

Et c'est dans un nuage de poussière que les corps des deux "aventuriers" s'échouèrent dans la ruelle...

Curt se releva, grommela, puis lança un regard vers le vieux..


Hey, donne le parchemin.

Le parchemin il était à un endroit où il faudrait sans aucun doute le laver, le désinfecter, le brûler après l'avoir lu ! en se tenant bien loin du feu !


Curt fit lecture mettant un peu son dégout de coté..


Hmm..

Citation:
Curtius,

Direction l'église, sur la porte en bois est inscrit un carré de Sator, un carré magique, des lettres sont effacés il vous donneront un indice.

Le corbeau



Regard vers Kervineg..

En avant !


Et les deux compères se rendirent vers cette fameuse église, non pas sans avoir eu quelques difficultés à la trouver, le dédale de ruelles dans la capitale rendait la recherche difficile malgré le clocher visible à des lieues à la ronde.. Les bas fonds étaient derrière eux et enfin, la porte de l'église sous leur museau.

Nous y vla !

Curt s'avança et resta dubitatif, ne sachant trop quoi penser de ce qu'il avait sous les yeux..



_________________

Kervineg
En se relevant du pavé, le vieux brandit son poing vers la taverne en criant mille injures, dans un dialecte Kervinien. Parchemin déplié, église trouvée -non sans mal- et un Kervineg qui suit le Curtius en riant de leur mésaventure, certainement seul au monde à trouver plaisir à telle situation.

Au devant du morceau de bois suivant, il se gratte nonchalamment le crâne, fait sauter quelques poux puis renifle fortement après s'être rempli la narine de l'un de ses doigts pour y prélever la divine sécrétion. Pour tout dire, il ne comprend rien, et en plus, il a l'air stupide.


C'carré veut rien y dire ou j'm'appelle plus Kervineg!
Marqué deux fois "Apéro", une fois qu'il "rota" l'bougrelet mais sinon j'y vois point clair!
Puis ces lettres la, celle qu's'ont d'moins. Ca veut y dire quoi ça: T.E.S.
TES comme...t'es grec? Tes miches, mère Viviane? T'es trist' ?
[célèbre jeu créé par nos amis les bridés au 20èsiècle qui révolutionna le monde et les carottes]


J'vois point d'clair mon ami, j'crois qu'on tient l'bon bout, si on peut parler d'la manière. Et faudra y dire à toutes ces langues mauvaises qu'j'aime point fourrer l'pommeau dans l'derrière des puceaux. J'voudrais point qu'cette rumeur rest' en place.

_________________
Curtius
Devant l'église

Curt, il était pas doué pour les énigmes. Alors tout en écoutant le vieux il faisait chauffer son cerveau et tentait de trouver déjà quelles étaient les lettres manquantes...

Ca veut y dire quoi ça: T.E.S.

Ah .. euh..

Ker semblait déjà plus doué.. sagesse due à son âge? Grattage de tête intensif..

TES comme...t'es grec? Tes miches, mère Viviane? T'es trist' ?


Non en fait non, même niveau que le Curt...

Hmm. Bah, TES veut rien dire, faut peut être mélanger les lettres.. SET.. EST.. pi grec toi même. Attend.. Est ? y'a un truc à l'Est ?

Curt tendit le cou comme s'il allait mieux y voir en faisant cela..l'Est..un château peu entretenu visible au loin, au sommet d'une colline dans un secteur boisé.

L'chateau..Me semble avoir entendu parler de ce lieu il serait abandonné depuis belle lurette. Mon brave Kervineg, tout ceci ressemble de plus en plus à un piège grossier.. dans lequel on est bien obligé de tomber.

Grommelle..

En avant mon ami !

Promenons nous dans les bois... et arrivée devant le château :


Les deux comparses sortirent de la ville, le soleil déclinait dans le ciel et c'est dans une soudaine peine ombre qu'ils avancèrent. La forêt, dense, reine de tous les bruits les plus lugubres, se resserraient de plus en plus dans un chemin étroit. Le seul menant au lieu tant convoité. Curt scrutait les arrières, fit comprendre à Kerv son inquiétude d'un simple regard se sentant comme suivi. Soudain un bruissement de buissons, des branches se cassent et un Cerf passe juste devant eux tout cavalant surprenant l'homme qui ne pu se retenir et se retrouva les fesses au sol...


Grumf..

Dépoussiérage de braies, ralage, et les corbeaux qui s'y mettaient et tournaient au dessus des deux hommes à bonne hauteur..

C'lieu parait maudit. Quand j'pense qu'on me traitait de sorcier avec mon baton... j'aurai du l'prendre tiens..

C'est à la tombée de la nuit qu'ils arrivèrent devant le château. Les murs étaient pris sous le lierre et la porte semblait crasseuse, coincée et figée dans des toiles d'araignées.Des chauve souris commençaient à virevolter dans le ciel, frôlant au passage les cheveux des deux hommes..

M'demande si on s'est pas trompé..
_________________
--Melodia
[De l'autre côté de la porte du château abandonné]




Je vous avais prévenu que vous me trouverez de temps à autre ici et là, cette derrière la porte du château, alors que nos deux compères frappent timidement en cognant le marteau en cuivre contre le bois.

- Toc Toc Toc.
ça c'est la porte
- C'est qui ? ça c'est moi
- C'est Toto. ça c'est eux
- C'est Toto qui ? Encore moi
- C'est Toto temps où Bruxelles chantait, c'est Toto temps où Bruxelles Brusselait...


Fond sonore : Rien, j'ai sûrement mal compris..



- Toc Toc Toc.
ça c'est la porte
- C'est qui ? ça c'est moi
- Hélène et Ludivine.
- Hélène et Ludivine qui ?
- Hélène et Ludivine enfant, chantons tous son avènement...


Fond Sonore : Rien....sûrement qu'ils n'ont pas bien entendu la question



- Toc Toc Toc.
ça c'est la porte
- C'est qui ? ça c'est moi
- C'est Jean-Louis.
- Jean-Louis qui ?
- Jean-Louis dirai les mots bleus, les mots d'amour au fond des yeux...


Fond sonore : Gné?



- Toc Toc Toc.
ça c'est la porte
- C'est qui ? ça c'est moi
- C'est Leslie.
- Leslie qui ?
- Leslie-rènes du port d'Alexandriiie...


Fond sonore : J'hallucine!!


- Toc Toc Toc- Toc Toc Toc. ça c'est la porte
- C'est qui ? ça c'est moi
- Omar
- Omar qui ?
- Omar ie, si tu savais, tout le mal, que l'on me fait...


Fond sonore : "C'est quoi ces guignols?" grincé entre les dents



- Toc toc toc- Toc Toc Toc.
ça c'est la porte
- C'est qui ? ça c'est moi
- Jesus.
- Jesus qui ?
- Jesus venu te dire que je m'en vais ..


Fond sonore : des narines qui expulsent l'air tel un taureau en furie puis un...Suffit!


Je leur apprendrai à se moquer de moi. Puisque c'est comme ça..
quelques mots griffonnés sur une feuille tendue à un complice derrière moi


-pioupiou? à toi de jouer!
ça c'est moi...moi tout crachée



Fond sonore : Gniark gniark gniark
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