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[RP] cavalcade en Savoie

Iklil
Iklil et Erlande étaient partis.

La destination? Connue d'eux seuls!


* Regard sévère sur Iklil*

Bon, allez, d'accord : la Provence.

Ce qui est comique , c'est que, pour aller en Provence, on doit d'abord remonter vers le nord.
Hé oui, les routes sont ainsi faites.

DONC, Erlande et Iklil chevauchaient le cheval.
Iklil conduisait d'une main ferme son cheval récalcitrant.
Un cheval bouguon, râleur, aussi joueur...parfois...parfois...mais un bon cheval de combat qui n'avait peur de rien et qui se donnait à fond lors du combat.

DONC, Erlande et Iklil chevauchait le cheval.
De tape en tape sur les mains d'Erlande, ils arrivèrent à Chambérry.


Aaaaaah Chamberry! La belle capitale soyarde!

Dès leur arrivée, ils allèrent boire un godet en taverne.
Là, ils rencontrèrent une autochtone, soldate de surplus.
Ils eurent la démonstration de la grande qualité de la grande armée savoyarde. Ils étaient admiratifs devant la dame, les questions, les réponses, tout démontrait l'intelligence, l'écoute aussi.
Bref, un bon moment, plein de rires.

Iklil passa à l'hotel et ouvrit sa bourse.


J'espère qu'Erlande n'a pas oublié mon conseil.

Citation:
25-11-2009 04:20 : Vous avez passé la nuit à l'hôtel (coût : 1,00 écu).


Elle se recula de quelques pas.

Héhé, jolis les balcons.
Erlande
Annecy s'éloignait. Un balluchon sur le dos. Rien sur le cul. Des regret? non jamais. Isys lui avait dit qu'il lui manquerait. Il l'avait regardée sans rien dire. Tout cela pour quelques bons mots bien acides sur la faune et la flore de la ville.
Contre son dos, ils chevauchaient. Le canasson semblait rude. Il pouvait sentir les muscles de Iklil se raidirent pour tenir l'animal fougueux. Il est vrai qu'il tentait un peu de profiter de la situation. Mais en tout bien tout honneur. Jamais il ne se serait permis un geste déplacé envers cette femme. Surtout cette femme. Celle dont il voulait qu'elle suive sa route pour longtemps. Celle qui lui ressemblait tellement. Celle si belle.

Au détour d'un col, Chambéry. Les portes franchies, ils réglèrent leur chambre à l'auberge avant de tenter de rencontrer des habitants. Les volets semblaient se fermer sur leur passage. Des murmures, des chuchotements dans leur dos. Pensez donc des étrangers. Pourtant ils étaient savoyards. Mais allez comprendre la nature humaine vous. Du coup à part un soldat de sa Grâce le Comte rien à se mettre sous la dent.
et puis ce n'était point grave. Elle était là, Lil...


Vous avez vu les balcons... Un homme comme vous pourrait aisément les franchir...


Le regard lancé était mutin. Il lui sourit se voyant déjà jouer les funambules afin de la rejoindre dans cette chambre. Il tenta de chasser ses pensées qui laissaient entrevoir son désir d'elle. Elle ne dit rien. Mais n'en pensa pas moins sans doute. Ses yeux, dans lesquels il aimait à se perdre en disaient plus qu'un long discours.
Il avait entrelacé ses doigts aux siens, et retrouvé le cheval qui piaffait d'impatience de reprendre la route.
Cette fois ci, Elle voulait qu'il tienne les rênes. Et elle par la même occasion. Elle s'était assoupie, sa tête roulant de temps en temps contre son torse. Il avait resserré un peu ses bras afin de la caler contre lui.
Belley en vue.
Iklil
Belley...triste.....triste à en mourir.

Heureusement qu'Erlande était là!
Au sinon, elle aurait pu mourir d'ennui.
Avec lui, le temps passait trop vite.
Iklil avait l'impression que tout était possible avec lui, tout pouvait être ressenti, tout pouvait être vécu.

Une sensation de sécurité prenait doucement la place de cette méfiance qu'elle avait au fond d'elle-même.
Une à une , patiemment, Erlande faisait tomber les barrières. Un jour, elle serait à nu et sans doute nue devant lui.

Ce moment l'effrayait au plus haut point.
Que deviendrait-elle à ce moment là? Une femme dépendante? Une femme sur ses gardes? Une femme vivant dans la crainte de perdre son amour?
Une femme affaiblie mais peut-être si heureuse, ayant le plus précieux des trésors : un homme aimant et aimé.
Erlande
Finalement, ils avaient trouvé de quoi rire un peu à Belley. Mais, Tudieu qu'ils ont du cherché!!!
Et puis ils avaient pu parler un peu aussi. Savoir ce qu'ils voulaient ou ne voulaient point. Elle lui avait avoué qu'il lui manquait quand il partait on ne sait ou quelques heures. On ne sait ou. Lui, le savait pourtant...

Et puis une femme, ronde à demi comme elle disait fit son entrée dans la taverne ou ils s'étaient réfugiés pensant pouvoir s'en dire plus. Et ce fut l'apothéose de la journée.


Oui, je voyage avec "tuuu" et nous sommes deux et demi. Nous sommes en voyage de noce!!

Le visage de Lil vira et elle leva les yeux. Erlande lui voyait déjà la tournure qu'allait prendre la rencontre. La jeune femme était tout sourire en leur annonçant cela. Du coup, il la regarda et...

Hmm... vous êtes bien sure que c'est juste à demi?... car j'ai bien l'impression qu'il y a une jambe qui dépasse moi...

Le "rooo Erlande" de Iklil qui se retenait de prendre le fou rire de l'année le conforta dans sa vision de la chose. S'ensuivit une conversation des plus burlesques ou la future mère, blonde de surcroit, n'en compris pas tout les tenants et les aboutissants. Mais grande fut la joie de Erlande de pouvoir ridiculiser cette pauvre erre.
Enfin, après une dernière étreinte, très très furtive, Lil l'avait quitté. Elle devait préparer son cheval pour la partie de campagne à venir sans doute. Resté seul avec, il déclina l'offre d'une partie de rampo proposée par un homme qu'il connaissait un peu, ce dernier espérant le plumer sans nul doute. D'ailleurs à son grand désespoirs, personne ne voulut jouer avec lui.

Autant dire que c'est avec une joie non dissimulée qu'il rejoignit la belle jeune femme de son cœur dans les écuries. Il eut tout le loisir ensuite d'ôter quelques brindilles de paille restées emmêlée dans sa chevelure dorée sur le long du chemin.
Iklil
Ils reprirent donc la route.
Cette étape serait plus longue et ils bivouaqueraient en pleine nature. Cette idée n’était pas pour déplaire à Iklil et un petit sourire apparut sur ses lèvres.
Ils traversèrent Bourg au pas résonnant du cheval.
Peu après la sortie du village, au moment où le soleil se lève, ils s’arrêtèrent et firent démarrer un petit feu pour y chauffer l’eau.
Là, ils croisèrent d’autres voyageurs.


Citation:
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé un groupe composé de XXXXX, de XXXXX, de XXXXX et de XXXXX.


Iklil leur jette, tête en l’air, une invitation.

Bien le bonjour.
Venez profitez de notre petit feu pour vous réchauffer. Cassons la croûte ensemble histoire d’entendre les nouvelles (ragots) des villages voisins et vos aventures sur les routes.


Pourtant les armes sont bien visibles à leur côté . Elles sont fourbies avec soin et le fourreau est bien dégagé.
Les casques ne trompent pas non plus. Qui voyage casqué s’il n’est prêt à combattre à chaque instant ou à voler le premier passant?
Et à 4, le danger sur le chemin est-il si grand ?

Soit Iklil leur a paru sympathique, soit ils se sont dit qu’il n’y avait que des os à ronger car nul mal ne leur fut fait.
--Doc.
Doc remarqua le couple qui semblait bien savourer leur moment de repos.

L'odeur qui se dégageait du feu et l'invitation des ces voyageurs incita Doc a s'asseoir pres d'eux. Il remarqua rapidement que les armes que lui et ses compagnons portaient ne rassuraient pas forcement les deux voyageurs.


Bien le bonjour camarades voyageurs ^^

J'accepte avec plaisir votre proposition de partager ce coin de chaleur, permettez que j'y rechauffe mon pain ainsi qu'u nsac de maïs.
Ne vous inquitez pas de nous voir si equipés, nous preferons nous prémunir des mauvaises rencontres.

Puis Doc ota son casque.
Je garde tout de meme mon épée a bonne distance.

Les routes semblent calmes non ? Nous n'avons croisé que tres peu de monde aujourd'hui, c'est d'une tristesse. Enfin, vous etes la et nous pourrons ainsi faire un bout de chemin ensemble.

Nous sommes sur les routes a la recherche d'un bateau, en avez vous entendu parlé ? Il parait que le roi a autorisé la construction des ces vaisseaux, nous sommes tres curieux d'en apercevoir un !!

Des amis portugais sont également dans la région, nous avons du mal a les croiser, peut etre pour demain ^^

Allez, bon appétit, et buvez, si vous le souhaitez, un peu de ce vin, il est a tomber ^^
Iklil
Iklil, ravie, prit son godet et y mit un peu de vin.

Huuuuuuummmmmmmmmm, excellent!

Et elle tendit le bras aussitôt le godet vide.

N'est-ce point trop abuser?

Pour les vaisseaux, je pense que vous allez encore devoir chercher car les villes portuaires construisent leur port avant d'accueillir les bateaux.
Il parait que les risques de dégats sont importants si le port n'est pas aménagé.


Iklil se rassit près du feu, tout en jetant un regard à Erlande.

Donc des portugais voyagent aussi dans les environs.... Pour notre part, nous avons croisés des italiens.

Peut-être peu de savoyards sur les routes mais au niveau des étrangers, il y en a plus que je n'en ai jamais rencontré.


Le pain grillé sentait bon et Iklil y planta ses dents blanches avec gourmandise.
Erlande
La Savoie défilait sous leurs yeux et les sabots du cheval. Il semblait s'y faire l'animal. Il faut tout de même se méfier de l'eau qui dort...
Elle avait choisit l'emplacement. Comme quoi, le voyage avait été bien préparé. Il sentait qu'elle avait de l'expérience. il avait ramassé du bois. Elle avait allumé le feu. Il ne lui avait point avoué, mais il n'avait même pas de quoi dans son balluchon.
Ils s'étaient ensuite assis l'un à côté de l'autre.
Les bruits d'une troupe qui s'approche leur fit lever le nez. Iklil les invita. Il en fut un peu étonné. Mais ne dit rien. Il garda tout de même son coutelas ouvert à portée de main au cas ou.


Bien le bonjour, je suis Erlande.


La main tendue indiquait la place libre autour du feu, ils s'étaient assis leur proposant à boire. Il accepta tout comme Lil un godet. Elle semblait le trouver à son gout et après l'avoir sentit en but une gorgée.

Oui en effet cela est calme messire. Et point trop de patrouilles... ni de bateaux en vue. Il faut bien avouer que dans les montagnes, voguer est un peu dur, même si Belley tente de construire un port.

Il la regarda croquer sa tartine et sourit. Il fit de même sentant son estomac crier famine.
--Montaizuma


Monte vint s' asseoir à coté de l' homme, salut mon mignon c' est chouette de pouvoir partager votre campement et toi la belle t'es sa femme ????

Elle ne lui laissa pas le temps de répondre qu'elle continua de parler en riant....Je demande ça parce que j' en ferai bien mon quotidien de ce chou

A son tour elle sorti une miche de pain, elle avait remarquée le couteau que l' homme pouvait saisir à tout moments,dis moi beau gosse, tu pourrais me prêter ton couteau pour que je puisse couper ma miche en deux .....

Elle n' avait pas terminée sa phrase que sa main habile empoignait le manche, tout en regardant Doc.... et toi mon Doc files moi un coup de vinasse.
Erlande
Décidément, c'était leur jour. Erlande esquissa un sourire après avoir dégluti sa bouchée. Il s'essuya la commissure des lèvres. La femme s'assit contre lui sans nul autre forme de procès. Tout juste si elle ne s'était retrouvée sur lui. Voilà qui augurait un sacré moment. Ils avaient tous l'air de les prendre pour des lapins de deux semaines.

Je demande ça parce que j' en ferai bien mon quotidien de ce chou

Là, il éclata carrément de rire, la laissant s'emparer de son coutelas. quel idiot pensa t'il ensuite l'avoir laissé choir pour rigoler un bon coup. Il reprit rapidement son sérieux.

Vraiment damoiselle... sous votre masque se cache sans nul doute une saltimbanque... A moins que vous n'en ayez englouti un qui traina sur votre route.

Le "Doc" passa la cruche à Erlande qui remplit sans quitter des yeux sa lame. On n'est jamais trop prudent quand on tombe sur ce genre d'individus. Il en savait quelque chose d'ailleurs. Pour peu qu'il l'ait connu avant...

Faites tout de même attention... il coupe vraiment bien. Je ne voudrais point que vous vous blessiez tout de même... cela serait ballot.

Il avait ce sourire ironique qui le faisait être détester de beaucoup. S'il était un terrain ou il ne devait point être entrainé c'était bien celui là. Aucune mesure, aucune retenue et ce avec n'importe qui. Mais là, il était sr le qui vive. Prêt à attraper n'importe quel tison pour la défendre si le besoin s'en faisait sentir. Il jeta un œil à Iklil qui terminait sa tartine.
--Montaizuma



Monte avait très vite jugée l’arme …..Ce coteau est juste bon à égorger les hérissons pensa t elle ….Par contre, lui il avait de la répartie et à la limite son sourire et ses paroles étaient ses meilleurs armes.

Faites tout de même attention... il coupe vraiment bien. Je ne voudrais point que vous vous blessiez tout de même... cela serait ballot.

Monté lui tendit sa miche et le couteau …..Alors si tu me dis que je pourrai me blesser, je te laisse faire ….tu veux bien m’aider.

Tu vois j’ suis tellement gauche que mes compagnons sont armé et pas moi ….Ils sont là pour me protéger, j’ suis leur petite mascotte …..

Heu!!!! fait quand même attention ma miche est fragile…..Elle le fixait droit dans les yeux tout en se caressant les lèvres de l’index gauche ….Elle attendait sa réaction.
Iklil
Les voyageurs s'assirent donc autour du bivouac.
Quel ne fut pas l'étonnement de Lil lorsque la dame s'assit presque sur Erlande en disant :


Citation:
Salut mon mignon c' est chouette de pouvoir partager votre campement et toi la belle, t'es sa femme ????


Iklil la regarda avec de grands yeux sans piper mot.
Elle pensa en elle-même :


Sa femme, sa femme, ...c'est vite dit ça!

Elle regarda Le Doc qui ne disait rien non plus puis Erlande qui s'était fait chiper son couteau.

C'est alors qu'elle se dit que peut-être l'hospitalité du bord de route n'était pas toujours celle qu'on pouvait imaginer.

Un sourire se dessina quand même sur ses lèvres. Elle n'était pas sa femme, pas encore du moins ... et en plus , elle n'était pas vite jalouse. Elle se demanda comment Erlande allait se dépatouiller avec la belle qui ne semblait pas innocente.

Le geste provocateur de la belle irrita quand même un peu Iklil qui détourna alors le regard vers le beau brun à côté d'elle et lui donna son sourire le plus charmeur.

Elle se leva et se dirigea vers le cheval.Elle le sella, vérifia les fontes et la ferrure


Désolé, nous devons repartir.On vous laisse profiter du feu.
La route est encore longue.


Iklil prit les rênes du cheval et fit un signe de tête à Erlande.


On y va?
--Montaizuma


Monte regarda la femme et pris son air le plus angélique ....Ah bon vous nous quittez déjà ....Faites bien attention les routes sont parfois mal fréquentées.

Puis se retourna sur Doc ,n' est ce pas vrai mon Doc !!!!!!!

Peut être aurons nous l' occasion de nous revoir, qui sait il n' y a que les montagnes qui ne se rencontrent jamais ......

Elle se leva se diriga vers son meneur, lui prit la main et lui dit .....Allez Doc montre nous le chemin il n' y a plus rien à faire ici
--Doc.
Doc se releva, non sans lancer un regard indiscret sur le lourd paquetage que semblait trimballer leurs voisins d'un soir

Allons y Monte, oui, nous avons encore de nombreuses taches a accomplir.

Bien le bonsoir, chers voyageurs, merci pour ce feu. Et faites bien attention sur les routes ^^

Puis Doc fit signe a Monte qu'il allait rejoindre les autres compagnons, deja assoupis
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