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[RP Eglise] Cérémonie de mariage de Grunen et Bidulette

Anguillerusee
En ce jour de la saint Sophrone, saint obscur coincé entre Saint Nicolas et Saint Corentin, l'Eglise de Saint Brieuc était toute pimpante pour la cérémonie de mariage entre Grunen et Bidulette. Le recteur avait vérifié les bans et les actes de baptêmes, il n'avait pas eu d'opposition à ce mariage, il attendait donc, dans une tenue toute simple, l'arrivée des mariés et de leurs amis pour la cérémonie.

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Robinos
Robinos arriva il franchis la manifique porte de l'eglise

Bonsoir,mon père suis-je sur la liste des invités?
Anguillerusee
- honnêtement, c'est aux mariés de le dire, moi je ne fait que dans la prestation de service... Installez vous en attendant qu'ils arrivent.
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Missanges
Elle se tenait droite devant la grande porte...devant la demeure du seigneur, deux pas, deux seuls pas lui permettrait d'entrer. Elle franchit ces pas, et poussa la grande porte en bois qui émit un léger grincement.

Elle entra et se signa, puis alla s’asseoir discrètement sur un banc, elle sourit à Robinos déjà présent ,un signe de tête au cardinal Anguillerusée, et attendit que la cérémonie commence

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Grunen


C'est d'un pas serein que Grunen entra dans l'église. Il affichait un sourire qui contrastait avec les grimaces qu'il avait affichées ces derniers jours tant la tension avait été palpable. Il arrivait enfin au moment tant attendu : celui de son union avec celle qu'il aimait plus que tout : Bidulette.
Comme convenu, il se présentait en premier pour pouvoir admirer l'entrée de sa fée dans cet édifice si beau et si prestigieux.
Il avait tenu à arborer sa tenue d'universitaire tant il était fier de ce qu'il était devenu. De paysan à érdudit, le chemin avait été semé d'embuches mais il avait réussi en persévérant. Il n'avait pu s'empêcher de faire remplacer le rouge bordeau par du vert, sa couleur fétiche.

Grunen s'avança donc vers Anguillerusée en saluant d'un coup d'oeil ou d'un geste discret à droite et à gauche tous ses amis. Avant de prendre place devant la chaise qui faisant dos à l'assemblée, Grunen se retourna pour voir chacun et chacune. Il appréciait chacun d'eux et attendait avec impatience de pouvoir le leur dire. Il ne put empêcher quelques larmes de couler tant il était heureux d'être sur le point de se marier avec celle qui lui avait redonné vie, qui l'aimait comme il l'aimait.

Il se retourna vers le curé et leva les yeux vers la statue d'Aristote. Il marmonna quelques phrases dans lesquelles il était question de remerciements, de destin, d'épreuves, de joie, de peine et de bonheur...

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Fanchon


Fanchon suivait à pas de loup le beau futur marié jusque dans l'église , elle l'imitait , elle rigolait doucement , dès que Grunen franchit la porte de l'église , la rousse sauta dans un rang de banc et s'installa parmi d'autres villageois , elle attendait de voir arriver des amis et surtout la mariée , de temps en temps elle se leva et jeta un coup d'oeil à l'extérieur pour la voir arriver .

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Jjkl34
JJ tenant nive par le bras, entra dans cette église qui un mois et demi plus tôt les avait accueillis pour leur propre mariage.

Il était quelque peu ému, et sentait que nive aussi vu la manière dont elle agrippait son bras.

Il ne vit pas encore grand monde, mais reconnut missanges et vint s'asseoir sur le même banc après s'être effacé pour que sa femme puisse s'asseoir à ses cotés

ils attendirent que les futurs mariés fissent leur entrée


Il ne put s'empêcher de murmurer:

"te souviens tu ma chérie?

Nous aussi hein?"

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fäelivrin na nin hervess an-ui

mela fäelivrin të vín gwinig

Tout et toujours ensemble
Remiette51
Mimi se remémore son baptême en entrant dans l'église et une pointe d'émotion l'étreint...voit son amie Fanchon et va s'installer près d'elle...en attendant que la mariée arrive....
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Bidulette



Bidulette avait été prévenue au dernier moment qu’Anguillerusée serait présent pour célébrer leur mariage ! à elle, et à Grunen, le leur !
Elle n’en revenait pas ! la vie était merveilleuse depuis qu’il était revenu vers elle.

Elle sortit de la malle la robe qu’il lui avait confectionnée de ses propres mains il y avait quelques jours.
Elle la posa sur le lit et l’admira, il y avait mis tant de volonté et de joie pour qu’elle lui plaise et c’était réussi, elle était très belle.
Elle l’enfila comme dans un rêve, le tissu glissait sur sa peau, elle lui seyait admirablement.

Se couvrant d’une chaude cape en laine, elle se rendit à l’église.




Elle le vit de suite, si beau et d’une telle prestance, elle était toujours un peu surprise de constater à quel point il était séduisant.
S’avançant dans la travée, elle salua Missange, Fanchon, Mimi, Jj et Nivé d’un sourire heureux.
Remerciant Anguillerusée d’un regard chaleureux et heureux, elle se tourna vers sa Tempête, le cœur battant, les mains moites…

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Grunen
Grunen entendit un oh d'admiration et se retourna. Il la vit alors, plus belle que jamais dans cette robe qui avait été source de tant de soucis.
Bidulette, sa fée, s'avançait comme dans un rêve. Elle semblait flotter comme si le bonheur la faisait léviter.
Grunen afficha un sourire toujours plus grand au fur et à mesure que sa fée s'avançait vers lui. Il ne détacha pas ses yeux d'elle et lui prit la main lorsqu'elle se trouva à sa hauteur.
Leur destin allait être scellé...

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Elsie.
La rousse emboitait le pas à la mariée qui était somptueuse. Bibi avançait d'un pas lent entre les bancs de l'église qui se remplissait progressivement de leurs amis, de briochins heureux de partager leur bonheur. L'assemblée eut tout loisir de les admirer l'un et l'autre dans leurs robes respectives.

Elsie suivit Bibi jusqu'à ce qu'elle rejoigne son futur époux, et prit place dans une des premières rangées, saluant au passage les personnes déjà présentes. La rouquine était d'autant plus émue d'assister au mariage de ses amis, que Grunen lui avait demandé d'être son témoin.

La rousse prit place, attendant le début de la cérémonie, non sans penser à son homme qui était resté dans la grange aménagée et décorée pour abriter la fête qui se déroulerait plus tard.

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***********Les doigts d'or des Royaumes Renaissants**********
Missanges
Il était passé devant elle tout ému, dans ses habits verts. Elle lui avait sourit le sachant un peu angoissé par ce jour de grande importance.

Elle se poussa légèrement de son siège pour faire de la place a jj et a sa femme Nive, elle leur sourit amicalement. Puis un bruissement de tissu lui fit tourner la tête. Le plus grand moment arrivait la mariée entrait dans l’église.

Elle s’avançait majestueusement, encore plus belle car l’amour lui allait si bien. Elle lui fit un sourire en lui souhaitant discrètement le plus beau des cadeaux d’être heureuse.

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Dynamitegirl
dyna arriva en retard au mariage de ces amis elle courut et s'assied tranquillement pres de ces amis present dans l'assemblée.
Anguillerusee
- bien, tout le monde est là.
Mes biens chers frères, mes biens chères soeurs, nous sommes réunis ce soir pour unir par le lien sacré du mariage Bidulette et Grunen, ici présents, devant la famille aristotélicienne rassemblée.

En guise de Lectures rituelles , voici un texte tiré des discussions d’Aristote sur la Politique:

Citation:
§ 6. Ces deux premières associations, du maître et de l’esclave, de l’époux et de la femme, sont les bases de la famille; et Hésiode l’a fort bien dit dans ce vers: « La maison, puis la femme, et le bœuf laboureur. », car le pauvre n’a pas d’autre esclave que le bœuf. Ainsi donc l’association naturelle de tous les instants, c’est la famille; Charondas a pu dire, en parlant de ses membres, « qu’ils mangeaient à la même table»; et Epiménide de Crète, « qu’ils se chauffaient au même foyer».

§ 7. L’association première de plusieurs familles, mais formée en vue de rapports qui ne sont plus quotidiens, c’est le village, qu’on pourrait bien justement nommer une colonie naturelle de la famille; car les individus qui composent le village ont, comme s’expriment d’autres auteurs, « sucé le lait de la famille »; ce sont ses enfants et « les enfants de ses enfants ». Si les premiers États ont été soumis à des rois, et si les grandes nations le sont encore aujourd’hui, c’est que ces Etats s’étaient formés d’éléments habitués à l’autorité royale, puisque dans la famille le plus âgé est un véritable roi; et les colonies de la famille ont filialement suivi l’exemple qui leur était donné. Homère a donc pu dire: « Chacun à part gouverne en maître Ses femmes et ses fils. »


On ne pourra pas dire que vous n’êtes pas prévenus .

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Grunen
Grunen écoutait les paroles du curé. Mieux ! il les buvait en affichant un sourire allant d'une oreille à l'autre.
Il prit la main de sa fée et la serra dans la sienne...

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